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AIR-DEFENSE.NET

Titus K

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Tout ce qui a été posté par Titus K

  1. Alors Danemark ou Ukraine ? https://air-cosmos.com/article/le-danemark-en-passe-d-ecarter-le-systeme-antiaerien-samp-t-franco-italien-au-profit-du-patriot-americain-70425 Le Danemark doit prochainement prendre une décisions pour son futur système antiaérien et antimissile balistique : le SAMP/T NG franco-italien ou le Patriot américain ? Un récent indice laisse à penser que le choix est déjà fait, avec un avantage pour le Patriot. À noter que le Danemark n’achèterait pas uniquement le Patriot mais aussi le système de commandement Integrated Battle Command System (IBCS) de Northrop Grumman. ... le 29 août 2025, la Defense Security Cooperation Agency (DSCA) américaine a publié l'autorisation du Département d'État (équivalent au ministère de l'Europe et des Affaires étrangères français) pour la vente au Danemark d'une batterie MIM-104 Patriot. ... Les systèmes intégrés ne sont pas uniquement "made in USA" : le 26 novembre 2019, un poste de commandement IBCS de Northrop Grumman a permis de fusionner les données d'un radar Girafe 1X de Saab pour permettre à un système antiaérien courte portée CAMM de MBDA d'intercepter la cible détectée. Ce fut la première fois qu'un intercepteur non américain réussissait une interception dans le cadre de l'IBCS (MBDA). Et de fait, la batterie Patriot danoise pourra être intégrée au sein de cette "super" bulle antiaérienne et antimissile multicouches. À noter que le coût estimé pour cette autorisation est phénoménal, avec pas moins de 8,5 milliards de dollars (soit 7,27 milliards d'euros), notamment suite au coût d'acquisition des systèmes permettant l'accès à l'IBCS. ... Or, le 12 mars 2024, Dhiel, responsable pour le développement et la production des IRIS-T SLM, avait signé une lettre d'intention avec Northrop Grumman pour justement pouvoir intégrer l'IRIS-T SLM au sein de l'Integrated Battle Command System. Sauf que apparement ce serait pour un transfert a l'Ukraine ? Les États-Unis transféreront des systèmes Patriot à l’Ukraine via le Danemark Les États-Unis ont officiellement approuvé la vente de systèmes de défense aérienne Patriot à un allié de l’OTAN : le Danemark. La transaction est estimée à 8,5 milliards de dollars (environ 7,3 milliards d’euros). https://dialog.ua/war/319519_1756545670 Le lot comprend 6 lanceurs, radars, systèmes de guidage et missiles, selon la DSCA (Defense Security Cooperation Agency). Pourquoi passer par le Danemark ? Le pays nordique ne dispose pas de Patriot en propre et doit les acheter aux États-Unis. La stratégie est claire : renforcer la défense du Danemark tout en soutenant l’Ukraine face à l’agression russe. Le Danemark prévoit donc de transférer ces systèmes à Kyiv. Cette approche a été adoptée auparavant par les Pays-Bas, qui ont également commandé des Patriot aux États-Unis. L’importance pour l’Ukraine est majeure : les forces russes continuent de lancer des attaques massives sur les villes, les infrastructures et les installations énergétiques. Les Patriot permettent d’intercepter efficacement missiles et avions, augmentant considérablement la protection. Les alliés occidentaux, souvent confrontés à des pénuries d’armement, tentent de trouver un équilibre entre leurs besoins propres et l’aide militaire à l’Ukraine. Sous l’administration Trump, les États-Unis n’étaient pas toujours prêts à livrer directement de nouvelles armes. Notons que certains rapports indiquent que les Russes ont identifié des vulnérabilités dans les Patriot ukrainiens, ce qui pourrait limiter leur efficacité dans certains cas. Enfin, la première installation Patriot promise par Trump est déjà arrivée en Ukraine, marquant un tournant dans le renforcement de la défense aérienne ukrainienne.
  2. https://www.laprovence.com/article/region/56550892681044/en-deplacement-a-marignane-le-ministre-sebastien-lecornu-vante-les-merite-dairbus Arrivé à 10h15 sur le tarmac d’Airbus à bord d’un NH90, le biturbine Européen créé par l’industriel marignanais, le ministre a pris du temps, beaucoup de temps hier matin, pour visiter la chaîne de production d’Airbus et à mesurer les progrès accomplis. En effet, entre 2017 et 2025, le nombre d’heures pour lesquelles un hélicoptère est "véritablement capable de décoller" a augmenté de 30%. "C’est énorme !" s’est enthousiasmé le ministre.
  3. Titus K

    Marine Norvegienne

    Apparement la liberté d'expression des chercheurs norvégiens ca ne plait pas vraiment chez le grand partenaire stratégique
  4. 650 actuellement mais jusqu'à 2000 PAC-3 par an dans le futur --> https://aviationweek.com/defense/missile-defense-weapons/lockheed-martin-targets-dramatic-rise-patriot-interceptor Pour l'Aster (naval+terrestre), les derniers objectifs annoncés étaient de 300 missiles par an en 2028 ... Lockheed Martin a été sollicité par le gouvernement pour étudier une augmentation spectaculaire de la production des missiles de défense aérienne Patriot PAC-3, alors même que l’entreprise atteint déjà le rythme exigé plus tôt que prévu. La société est contractuellement tenue de produire 650 intercepteurs par an d’ici 2027 et, sur la base du rythme de production des trois derniers mois, elle est déjà à ce niveau, indique Brian Kubik, vice-président du programme PAC-3 chez Lockheed Martin. L’entreprise s’attend à ce que l’exigence dépasse le seuil des 650 unités, ayant été priée d’évaluer des chiffres pouvant aller jusqu’à 2 000 par an. Lockheed Martin fournit des intercepteurs aux États-Unis ainsi qu’à 16 autres pays, et la demande est généralisée, a précisé Kubik en marge du Space and Missile Defense Symposium. Le rythme actuel est soutenu, mais le niveau que le gouvernement souhaite atteindre dépendra des financements disponibles. L’entreprise avait pris de l’avance sur les besoins de croissance, ayant identifié cette nécessité assez tôt, souligne Kubik. Le système actuellement en service est le PAC-3 Missile Segment Enhanced (MSE), et Lockheed Martin poursuit en parallèle le développement de la future version Integrated Guidance Subsystem (IGS). Celle-ci permettra de miniaturiser l’électronique de l’intercepteur afin de dégager plus de place pour le propergol, ce qui augmentera la portée du missile. La production de l’IGS est attendue « d’ici quelques années », précise Kubik. Lockheed Martin envisage également d’accroître le rythme de production du système THAAD (Terminal High Altitude Area Defense), actuellement fixé à 96 intercepteurs par an, indique Dawn Golightly, vice-présidente de la défense aérienne et antimissile intégrée de haut niveau. L’entreprise profite de l’augmentation des capacités de production de moteurs-fusées solides chez ses principaux fournisseurs, L3Harris et Northrop Grumman, tout en explorant des sources supplémentaires. Les matériaux énergétiques constituent le principal sujet de préoccupation, mais la chaîne d’approvisionnement s’active à répondre à ce défi, ajoute Kubik. La demande en Patriot et en THAAD est devenue particulièrement visible ces derniers mois, avec de nombreuses interceptions au Moyen-Orient face aux attaques iraniennes et houthies contre les États-Unis, Israël et leurs partenaires. L’interception en juin 2025 de missiles iraniens a constitué la plus importante interception jamais réalisée par le programme THAAD. Kubik et Golightly indiquent que l’entreprise, en coordination avec le Pentagone, tire des enseignements de ces événements pour de futures améliorations des systèmes, sans toutefois fournir de détails précis.
  5. Titus K

    [Rafale]

    J'avais résumé l'article Je me demande quelle sera la distinction F5.1 / F5.2 ? en 2037 l'UCAV et l'ASN4G devraient déjà être entrés en service il me semble. Le F5.2 pourrait être un standard axé sur le PANG ?
  6. Les affaires vont bien chez Exail : Exail secures sale of DriX H-9 long-range Uncrewed Surface Vessel to leading Global Hydrographic Authority https://www.exail.com/news/exail-secures-sale-of-drix-h-9-long-range-uncrewed-surface-vessel-to-leading-global-hydrographic-authority Exail a conclu la vente de son nouveau véhicule de surface sans équipage (USV) longue portée, le DriX H-9, à une grande autorité hydrographique internationale. Cette étape marque l’expansion réussie du portefeuille de solutions autonomes d’Exail, tant pour les marchés civils que pour la défense, renforçant ainsi sa position d’acteur clé dans le secteur en forte croissance des USV. S’appuyant sur le succès du DriX H-8, le nouveau modèle H-9 offre jusqu’à 20 jours d’autonomie, une capacité d’emport accrue et une flexibilité renforcée pour soutenir un large éventail de missions maritimes. Conçu pour répondre à la demande croissante en levés persistants au-delà de l’horizon (OTH), le DriX H-9 réduit la logistique offshore tout en étendant la portée opérationnelle — des exigences clés pour des secteurs tels que l’énergie en mer, les infrastructures sous-marines et la surveillance navale. Le H-9 peut embarquer simultanément plusieurs capteurs géophysiques, tels qu’un sonar à balayage latéral, un magnétomètre, un sondeur multifaisceaux et des profileurs de sédiments. Son système arrière de mise à l’eau et de récupération permet le déploiement de capteurs tractés et de véhicules sous-marins téléopérés (ROV) de classe inspection, pour des missions telles que la cartographie des fonds marins et l’inspection des infrastructures. Un mât adaptable permet l’intégration de capteurs supplémentaires, comme des systèmes optiques et des équipements de communication avancés, pour les missions de connaissance du milieu maritime. Comme le DriX H-8, le H-9 adopte une architecture en gondole optimisée pour les capteurs hydroacoustiques, garantissant une collecte de données de haute qualité et stable. Un cadre d’architecture commun à l’ensemble de la série DriX simplifie en outre l’intégration au sein d’une flotte, permettant le partage des pièces de rechange et une maintenance rationalisée.
  7. D'après FOB l'Irak pourrait à terme tripler sa commande (36) Remplacement des Mi-17 j'imagine ? Le Maroc finalise une commande de 10 Caracal
  8. Titus K

    Marine Norvegienne

    Attention a ne pas trop diluer non plus, les houthis on quand même mis une FREMM dans une situation inconfortable Je cite la DGA en audition parlementaire "La premiere frégate qui a tiré ses missiles s'est retrouvée dans une situation ou elle n'avait plus que les missiles nécéssaires, et le nombre est classifié, pour assurer son auto protection et donc n'était plus en mesure de poursuivre sa mission."
  9. Titus K

    Marine Britannique

    Pas très étonnant pour une entreprise américaine
  10. Titus K

    Marine Norvegienne

    Pour la Norvège spécifiquement, à mon avis ils n'auraient pas accepté que NG propose un bâtiment trop different de celui commandé par la MN. Plus de VLS, NSM et un RAM OK ... mais un plug de 9m et une propulsion différente a mon avis ca aurait été trop de modifications.
  11. Titus K

    Marine Norvegienne

    En tout cas beaucoup d'articles en Norvège continuent de louer les mérites techniques de la FDI, Pour la Norvège c'est trop tard, mais à mon avis ca ne pourra qu'aider la campagne export en Suède, eux qui regardent de près cet appel d'offre en Norvège. – Pas le meilleur choix https://www.forsvaretsforum.no/fregatt-innenriks-langtidsplanen/ikke-det-beste-valget/453955 Un système de défense aérienne insuffisant et un mauvais partenaire stratégique : c’est ainsi que des experts jugent la décision de la Norvège d’acheter des frégates britanniques. « La Type 26 n’est pas le meilleur choix », affirme Tor Ivar Strømmen, chercheur et professeur principal à l’École navale. « C’est un navire à rôle unique. Il est conçu principalement pour la chasse aux sous-marins. Ce ne sont donc pas des frégates multirôles. » Dimanche, le Premier ministre Jonas Gahr Støre (Ap), le ministre de la Défense Tore O. Sandvik (Ap) et le chef des forces armées Eirik Kristoffersen ont annoncé que la Norvège allait acheter des frégates britanniques de type 26. Støre a souligné que le partenariat stratégique avec le Royaume-Uni était une raison importante de cette décision. « C’est justement là une partie du problème. Je comprends l’argument, mais il y a plusieurs critiques possibles à l’égard de la frégate britannique », déclare Amund Nørstrud Lundesgaard, maître de conférences à l’École d’état-major. Une défense aérienne insuffisante « Les frégates françaises et allemandes disposent d’une meilleure défense aérienne. La britannique est conçue pour opérer au sein d’une unité plus large. Ce sont alors les destroyers qui l’accompagnent qui assurent la défense aérienne », explique Lundesgaard. « Cela peut poser problème, notamment face aux drones dans l’espace aérien. Il sera intéressant de voir ce que le gouvernement dira à ce sujet », poursuit-il. Strømmen partage cette critique : selon lui, la défense aérienne embarquée est insuffisante. « La Type 26 ne dispose que d’un système de défense aérienne de proximité et a une capacité très limitée à protéger autre chose qu’elle-même. Elle n’a aucune aptitude à défendre une zone étendue ni à s’intégrer efficacement dans un système moderne de défense aérienne coordonnée. Or, la Norvège manque cruellement de défense aérienne », déclare Strømmen. « Dans presque toutes les opérations en temps de guerre, l’absence de défense de zone et de capacité à contrer les missiles balistiques ou hypersoniques est un facteur critique. Une frégate qui en est dépourvue doit soit opérer au sein d’une flotte disposant de telles capacités, soit rester confinée à des zones où la menace aérienne est limitée », ajoute-t-il. « La défense aérienne de la Type 26 a une capacité limitée de détection des missiles balistiques et aucune capacité de les intercepter. En réalité, elle est nettement plus faible que celle dont dispose déjà la classe Nansen », poursuit le chercheur. Selon Strømmen, la protection contre les drones est actuellement limitée, mais cela pourrait évoluer en fonction des négociations entre la Norvège et le Royaume-Uni concernant les spécifications finales. Écarter le Danemark et la Suède Strømmen estime également que le Royaume-Uni n’est pas le meilleur partenaire stratégique pour la Norvège. « Nous choisissons un partenaire stratégique extérieur à l’UE. Nous nous écartons donc du principal cadre de coopération sécuritaire européen pour les décennies à venir. Cela nous exclut du développement industriel et militaire de la défense européenne », dit-il. Il souligne que ce choix signifie aussi renoncer à un rapprochement naval avec le Danemark et la Suède. « Nous n’aurons pas de coopération navale renforcée avec nos voisins les plus proches, qui doivent eux aussi acquérir de nouvelles frégates – la FDI française étant un candidat sérieux pour la Suède, et la F127 allemande ou la FDI pour le Danemark. Aucun d’eux n’opterait pour la Type 26. » Strømmen n’est pas non plus impressionné par les capacités maritimes britanniques récentes. « Le Royaume-Uni n’a pas réussi à rendre sa marine véritablement opérationnelle depuis 20 ans. Leurs navires passent plus de temps en cale sèche qu’en mer, et cela vaut pour presque toutes leurs classes. Il y a un risque sérieux que nous achetions des problèmes », juge-t-il. Le choix français aurait été préférable Selon Strømmen, les capacités actuelles de la marine britannique sont insuffisantes pour soutenir la Norvège. « Maintenant que les Britanniques déploient un porte-avions en Asie, ils n’ont presque plus de capacités disponibles en Europe », dit-il. À ses yeux, la meilleure option pour la Norvège, en termes de capacités, aurait été la frégate allemande F127, suivie de près par la frégate française FDI. Mais comme l’Allemagne ne peut livrer assez rapidement, il estime que la Norvège aurait dû acheter la FDI du groupe Naval français. « La marine française affiche en outre une disponibilité opérationnelle de 80 %. Pour un petit pays avec peu de navires mais de grands besoins, cette disponibilité est absolument cruciale », souligne-t-il. Concrètement, sur cinq frégates, quatre seraient toujours opérationnelles, tandis qu’une seule serait immobilisée pour maintenance. « Pour les frégates britanniques, seules deux ou trois seraient disponibles à la fois, à moins que les Britanniques ne réussissent à transformer radicalement leurs systèmes de maintenance et de modernisation », conclut Strømmen. Soulagement Lundesgaard se dit satisfait que la Norvège n’ait pas choisi de frégates américaines. « Je suis soulagé que l’on n’ait pas opté pour des frégates américaines. Techniquement, elles sont bonnes, mais leur chaîne de production a des difficultés et elles sont très en retard sur le calendrier », explique-t-il. Il met aussi en avant la situation politique aux États-Unis : « Je suis très sceptique quant à la fiabilité des États-Unis, du moins avec le gouvernement actuel, mais aussi avec un éventuel gouvernement démocrate. Le centre de gravité de la politique américaine s’oriente désormais dans une autre direction qu’auparavant. »
  12. Titus K

    Marine Norvegienne

    Frégates : la Norvège choisit la T-26 britannique https://www.meretmarine.com/fr/defense/fregates-la-norvege-choisit-la-t-26-britannique ... Avis dissidents Dans la presse et certains cercles politiques norvégiens, ce choix suscite aussi des critiques. Certains experts considèrent que la frégate française FDI aurait mieux convenu aux spécificités géographiques et opérationnelles norvégiennes, notamment en raison de son gabarit plus adapté à la navigation dans les fjords et ses capacités anti-sous-marines éprouvées. D’autres craignent que des composants stratégiques des frégates britanniques proviennent de pays tiers comme Israël, soulevant des questions politiques et techniques. Ces critiques regrettent également que le choix ne favorise pas autant l’industrie norvégienne que prévu. ... Naval Group prend acte et mise sur d'autres marchés scandinaves Dans un communiqué, Naval Group a dit prendre acte du choix de la Norvège de ne pas avoir sélectionné la FDI pour son futur programme de frégates, à l’issue d’une compétition présentée comme « intense ». L’industriel français partait en position de challenger, en particulier face au Royaume-Uni qui a des liens stratégiques historiques avec le royaume scandinave et faisait donc depuis longtemps office de favori. Cela, même si la T26 répond clairement moins bien aux besoins opérationnels norvégiens et que cette frégate, contrairement à son homologue tricolore, n’a toujours pas pris la mer. « C'est un choix souverain que nous respectons, et qui ne remet aucunement en cause les capacités de la frégate FDI qui a déjà été sélectionnée par deux marines européennes membres de l’OTAN. Nous sommes convaincus que la FDI est un navire parfaitement adapté aux missions dans le Grand Nord. La FDI répond et dépasse les besoins capacitaires exprimés, et est prête à être livrée dans des délais rapides pour relever les défis croissants du combat naval. Naval Group poursuit le développement international de la FDI au service de pays qui souhaitent bénéficier d’une flotte de premier rang avec un navire conçu pour le combat de haute intensité sur toutes les mers du globe », a déclaré le groupe français. Ce dernier va désormais concentrer ses forces sur d’autres marchés, avec notamment, en plus de la commande attendue prochainement d’une quatrième FDI pour la Grèce, les compétitions pour les nouvelles frégates danoises, suédoises ou encore indonésiennes.
  13. Titus K

    Marine Néerlandaise

    La coque du sixième chasseur de mines belgo-néerlandais est arrivée à Concarneau https://www.meretmarine.com/fr/defense/la-coque-du-sixieme-chasseur-de-mines-belgo-neerlandais-est-arrivee-a-concarneau Le programme rMCM des 12 nouveaux porte-drones de guerre des mines des marines belge et néerlandaise avance maintenant à un rythme soutenu. Alors que la tête de série effectue ses derniers essais en vue de sa livraison dans les semaines qui viennent, la coque du sixième bâtiment est arrivée au chantier Piriou de Concarneau, où son armement va se poursuivre.
  14. Titus K

    Marine Norvegienne

    A mon avis les T26 Australiennes et Canadiennes n'ont plus grand chose a voir avec BAE UK (j'exagère un peu) ... C'est un peu comme les Constellation et les FREMM Bon au moins ca fait des lignes d'arbre a livrer pour NG qui livre toutes les lignes d'arbre des T26 dans le monde.
  15. Titus K

    Marine Britannique

    Ca ne va pas aider la RN cette histoire en tout cas ...
  16. Titus K

    Marine suédoise

    Avouez que ca aurait de la gueule si on arrivait a livrer une FDI aux Suédois avant que les Norvégiens reçoivent leur premiere T26 ...
  17. Titus K

    Marine suédoise

    Bon c'est ici que ca se passe maintenant !
  18. Titus K

    Marine Norvegienne

    A mon avis le fait que les deux pays opèrent des P-8 a du jouer aussi. Britsky lucide comme toujours : Il en déduit que la 3ème T26 britannique sera livrée a la Norvège ... ca veut dire qu'en fin-2030 la RN n'aura toujours que DEUX T26 Une victoire pour le Royaume-Uni à bien des égards, mais la réalité est que cela aggravera la situation déjà paralysante de la frégate de la Royal Navy, car les T23 s'en sortiront et les T26 ne les remplaceront plus longtemps. Les T23 auraient dû de prendre leur retraite il y a 10 ans, ils mendient une douce libération dans une casse turque.
  19. Titus K

    Marine Norvegienne

    On verra qui sera en sous-dotation en 2035, la Norvège ou le Royaume-Uni, puisqu'ils ne pourront pas livrer 13 à 14 T26 entre 2028 et 2035 Dommage pour la sécurité européenne, il y aura moins de frégates dans les mer du nord en 2035 du coup ... On aurait facilement pu avoir 8 T26 britanniques et 6 FDI norvégiennes en 2035 soit 14 frégates ASM ... là si on atteint les ~ 11 T26 ce serait deja un bel exploit. Honnêtement j'y croyais de moins en moins à la Norvège ... la Suède reste un candidat très sérieux par contre (même plus sérieux a mon avis)
  20. Titus K

    Eurofighter

    J'avais jamais remarqué que le train avant était aussi loin derriere le pilote sur le Typhoon
  21. NAVAL WAR COLLEGE, CHINA MARATIME STUDIES Chinese Mine Warfare A PLA Navy ‘Assassin’s Mace’ Capability --> https://www.andrewerickson.com/wp-content/uploads/2017/09/China-Maritime-Study-3_Chinese-Mine-Warfare_Erickson-Goldstein-Murray_200906.pdf @mudrets Quelques informations sur l'héritage russe/soviétique si ca t'intéresse
  22. Titus K

    Marine Norvegienne

    https://www.forsvaretsforum.no/fregatt-langtidsplanen-politikk/droner-og-ny-teknologi-ma-prioriteres/452615 Voici les réponse du Parti du centre, par l'intermédiaire de son représentant au Parlement, Bengt Fasteraune. – À qui la Norvège devrait-elle acheter ses frégates ? L'acquisition de nouvelles frégates est l'un des investissements les plus importants pour la capacité de défense norvégienne dans les décennies à venir. Plusieurs facteurs doivent être pris en compte pour prendre une telle décision : les coûts doivent être viables, les frégates doivent répondre aux besoins de la défense et elles doivent être acquises, exploitées et entretenues dans le cadre d'un partenariat stratégique avec un allié proche. Pour nous, il est essentiel que cet allié puisse offrir de bonnes solutions et ait des intérêts stratégiques convergents dans les zones proches de la Norvège, avec une attention particulière pour les régions nordiques. https://www.forsvaretsforum.no/forsvaret-fregatt-fremskrittspartiet/vi-trenger-en-rask-oppbygging-av-luftvern/452168 Le premier à répondre est Morten Wold, porte-parole du Parti du progrès en matière de politique de défense. – À qui la Norvège devrait-elle acheter ses frégates ? Le plus important est que la Norvège obtienne des frégates qui répondent à nos besoins en matière de puissance de combat, en particulier en termes de capacité anti-sous-marine, de protection des voies maritimes et de capacité à opérer dans les régions nordiques. Les frégates sont un pilier de notre défense maritime et sont essentielles pour surveiller, dissuader et défendre la Norvège en cette période troublée. Dans le même temps, un investissement de cette ampleur doit contribuer à nous rendre plus autonomes. Les chantiers navals et les entreprises de défense norvégiens devraient être impliqués dans la construction, la maintenance et la fourniture de systèmes, afin de renforcer notre propre état de préparation, notre expertise et nos capacités technologiques. Pour le FrP, l'objectif est que l'achat de frégates ne nous permette pas seulement d'acquérir des navires pour notre usage, mais aussi de construire une industrie de défense nationale plus solide, capable de soutenir la marine dans les décennies à venir. https://www.forsvaretsforum.no/europa-forsvarsdepartementet-fregatt/forsvaret-ma-gjore-seg-uavhengig-av-israelsk-vapenindustri/453248 L'armée doit s'affranchir de l'industrie militaire israélienne. Le MDG réagit au fait que des armes provenant d'une entreprise israélienne soient testées en Norvège. « À une époque où Israël est dirigé par un régime qui a complètement enterré le droit international et les droits de l'homme, l'armée norvégienne doit avoir pour objectif de devenir indépendante de l'industrie militaire israélienne », déclare Une Bastholm, membre du Parti vert (MDG). Elle est très surprise que des systèmes de la société israélienne Elbit Systems aient été testés et essayés en Norvège. En mai, la plate-forme d'artillerie à roquettes MARS 3 a été testée à Porsangermoen, selon Naval News, entre autres. La plate-forme d'artillerie est fournie par la société d'armement allemande KNDS Deutchland et fait partie des options envisagées par la Norvège pour l'achat d'artillerie à longue portée pour son armée. Des frégates problématiques L'acquisition de nouvelles frégates par la marine norvégienne pourrait également impliquer que la Norvège fasse des achats auprès de l'entreprise d'armement israélienne. La frégate britannique comporte des composants provenant de sous-traitants israéliens. Selon le journal VG, Elbit doit notamment fournir la technologie permettant aux frégates de mener une guerre électronique, ainsi qu'un système de surveillance pour détecter les navires ennemis. « Nous sommes en train d'acheter des frégates équipées de composants israéliens. Et peut-être aussi de l'artillerie équipée de composants israéliens. Il est à la fois immoral et dangereux sur le plan sécuritaire de s'appuyer sur des composants israéliens, estime Bastholm, qui pense que la décision d'acheter les frégates a été prise, ou du moins penche en faveur de la proposition britannique. En matière de politique étrangère, la Norvège œuvre pour la stabilité au Moyen-Orient et pour le respect du droit international. Selon elle, le fait que la Norvège se rende dépendante d'un État auquel nous ne pouvons pas faire confiance comporte un aspect sécuritaire. « La discussion que le Parlement pensait avoir eue au sujet des investissements du fonds pétrolier, mais qui n'a jamais été vraiment abordée au sein du fonds pétrolier, ne semble pas non plus avoir été abordée au sein de l'armée ou du ministère de la Défense, qui sont également impliqués dans ces achats. Alors qu'Israël mène des attaques contre des civils à Gaza depuis deux ans, cela est inacceptable. Le secrétaire d'État au ministère de la Défense, Andreas Flåm (Ap), écrit dans un courriel adressé au forum des forces armées que la Norvège n'a pas instauré de boycott général d'Israël. « Le commerce avec des entreprises israéliennes ou d'autres entreprises internationales est autorisé tant qu'il est conforme à la législation et aux sanctions éventuelles. Il n'existe pas non plus d'interdiction générale empêchant les entreprises ou les personnes israéliennes de posséder ou d'investir dans des entreprises norvégiennes. Toute question nécessitant une évaluation concrète est traitée au cas par cas », écrit M. Flåm. https://www.tu.no/artikler/disse-fregatt-alternativene-leveres-uten-israelske-systemer/561416 Ces frégates seront livrées sans systèmes israéliens Au moins deux des types de frégates que la Norvège envisage d'acquérir seront totalement dépourvus de systèmes israéliens, y compris dans leur pays d'origine. Ni les frégates américaines de classe Constellation (en haut) ni les frégates françaises de type FDI ne seront pas livrées avec des systèmes israéliens à bord.
  23. Titus K

    Marine Britannique

    Pas vraiment d'accord avec la conclusion, je ne pense pas que le manque de moyens soit le 1er problème de la RN... Il est temps d’être honnêtes avec nous-mêmes. La Royal Navy est cassée https://www.telegraph.co.uk/news/2025/08/29/its-time-to-be-honest-with-ourselves-the-royal-navy-is-brok/ La « Senior Service » se voit confier trop de missions avec trop peu de moyens. Quelque chose doit céder. Le HMS Daring, premier de nos six destroyers de type 45, est resté à quai pendant 3 000 jours, comme ce journal l’a récemment rapporté. Ce qui m’a frappé, c’est la réponse pavlovienne du ministère de la Défense : « nous continuons de remplir toutes nos missions opérationnelles ». Cela m’irrite profondément. D’une part, dans le cas de nos sous-marins nucléaires d’attaque (SSN), dont la situation est encore pire que celle de nos destroyers en difficulté, ce n’est clairement pas vrai. Je ne sais pas ce qui est le plus grave : que nous n’ayons parfois aucun SSN en mer, ou que nous vivions dans une culture incapable de l’admettre. Je suis certain que, pour les SSN, nous ne respectons pas nos engagements opérationnels, car nous avons actuellement cent mille tonnes de Carrier Strike Group de l’autre côté du monde sans aucun sous-marin britannique pour l’accompagner. C’est un échec. Les hypothèses de planification concernant les déploiements d’un groupe aéronaval déterminent quels escorteurs doivent protéger le porte-avions à chaque moment, et cela varie selon la zone. Dans l’Atlantique Nord, il peut n’avoir qu’une seule frégate. En mer Rouge, il faut tout ce que nous avons, plus quelques destroyers américains. Dans l’Indo-Pacifique, je vous garantis qu’un SSN devrait être présent, pour des raisons évidentes. Mais il n’y en a pas. Et ce n’est pas qu’un sous-marin ait été détaché pour travailler avec un allié à proximité, prêt à revenir en trois jours si nécessaire. Non, sur les cinq que nous possédons, un seul est en service, et il est au Royaume-Uni. Cela ne répond ni à la doctrine ni aux besoins opérationnels. Et oubliez le groupe aéronaval : qui accomplit aujourd’hui les missions de SSN autour de la Grande-Bretagne ? La disponibilité des SSN n’est pas le seul problème lié au nucléaire. Nos sous-marins de dissuasion vieillissent et leurs remplaçants accusent un retard considérable. Cela, ajouté à un arriéré de maintenance, oblige leurs équipages à effectuer de plus en plus de patrouilles de six mois. Six mois dans un tube d’acier, en profondeur, sans vue ni contact avec la maison, à se faufiler pour rester indétectés et à attendre un signal qu’ils espèrent ne jamais recevoir. Quand la génération précédente de SNLE – les « R boats » – arrivait en fin de vie, certaines patrouilles dépassaient trois mois et demi, et cela avait été jugé « inacceptable et à ne jamais reproduire »... Nous avons aujourd’hui ajouté 50 jours à ce chiffre. Tout enquêteur d’accident vous dira que « normaliser l’exceptionnel » mène droit au désastre. Et cela continue. Derrière ces deux priorités se trouve la Royal Fleet Auxiliary (RFA), la colle logistique qui maintient notre marine opérationnelle. Il ne nous reste plus que dix de ces navires, et les problèmes de maintenance et d’équipage font que nous ne pouvons en faire naviguer qu’environ quatre : un pétrolier avec le groupe aéronaval, un au Royaume-Uni, un bâtiment de surveillance et notre unique navire amphibie, qui a réintégré la flotte la semaine dernière. Pour répéter : nous n’avons actuellement qu’un seul navire capable d’opérations amphibies, et il y a deux semaines, ce nombre était de zéro. Le vénérable RFA Argus a récemment perdu sa certification de sécurité au point qu’il n’a même plus le droit de changer de quai, encore moins de regagner son port d’attache. Le RFA Stirling Castle, notre unique navire-base de lutte contre les mines, a dû être transféré à la Royal Navy, faute d’équipage dans la RFA. Le seul navire de ravitaillement solide que nous possédons, le RFA Fort Victoria, est inapte à prendre la mer, si bien que nous avons dû compter sur la Norvège pour fournir cette capacité au groupe aéronaval. Les alliances sont utiles lorsqu’on choisit d’y recourir ; elles le sont beaucoup moins lorsqu’on y est contraint. Et nous n’avons même pas encore parlé des destroyers de type 45. Ni du fait qu’il ne nous reste que huit frégates anti-sous-marines, dont beaucoup n’ont pas de missiles mer-mer, ce qui est assez embarrassant lorsqu’elles escortent de puissants navires russes dans la Manche. La frégate de type 23 avait été conçue pour une durée de vie de 18 ans. Celles qu’il nous reste en ont 30, et continuent, tout en se dégradant de l’intérieur. Leurs remplaçantes, les Type 26, sont au moins en construction, mais avec un retard considérable – d’où la nécessité de prolonger les Type 23 bien au-delà de leur limite. Nous avons deux porte-avions, mais le nombre maximum de chasseurs que nous pouvons déployer est la moitié de la capacité prévue, et encore, sur un seul navire. Et ces avions sont faiblement armés : ils ne devraient disposer d’un véritable armement de frappe à distance qu’à la prochaine décennie. Je ne parlerai même pas des hélicoptères ou des stocks de missiles. Nous menons les opérations militaires les plus complexes de la planète… avec un budget dérisoire. Nos marins d’exception ne peuvent combler qu’une partie du déficit. J’avais l’intention de proposer des solutions, mais toutes se heurtent à la même réalité : nous essayons de faire fonctionner des forces armées de niveau Guerre froide avec moins de la moitié du budget de l’époque, sans véritable plan de changement, si ce n’est en requalifiant des dépenses non militaires en dépenses de Défense. Et quand nous dépensons un peu pour la Défense réelle, nous semblons nous soucier davantage de programmes de création d’emplois que de l’achat de matériel. Le nouveau Military Strategic Headquarters (MSHQ) devait aider sur ce point, mais au fil du temps, il ressemble de plus en plus à un exercice de réarrangement des transats. Le fait que personne ne semble désireux d’occuper le rôle crucial de National Armaments Director au sein de l’état-major est un très mauvais signe. Les infrastructures de soutien portuaire ont besoin d’un renforcement massif. Prenons le Project Euston par exemple. Il est censé améliorer les infrastructures nucléaires de Faslane – le problème qui a déclenché cet article. Mais cela avance-t-il ? Personne ne semble le savoir. Peut-être attend-on le prochain document d’investissement en Défense – il y en a beaucoup en ce moment. Même chose pour les nouveaux navires amphibies et les destroyers, déjà en retard. Et nous serons clairement à la traîne dans la transition vers l’autonomie et l’IA si nous ne changeons pas de culture, d’appétit pour le risque et de capacité à travailler avec les petites entreprises. Mais plus important que tout cela : nos personnels. Le recrutement dans la RN est désormais correct ; la fidélisation, non. Si nous ne réglons pas ce problème, tout le reste est vain. Nous avons toujours demandé à nos marins de faire plus avec moins – c’est la tradition de la Navy – mais aujourd’hui la limite est franchie et quelque chose va céder. Aujourd’hui, nous n’avons ni la marine dont nous avons besoin, ni celle que nous méritons. Si on la pousse à bout, elle peut encore accomplir des choses extraordinaires – voyez le déploiement du groupe aéronaval – mais après des décennies à repousser les problèmes de Défense, avec un gaspillage et une inefficacité considérables, et une culture où la Royal Navy dit « oui, ministre » et obéit, tandis que le ministère affirme platement « nous remplissons toutes nos missions » alors que c’est manifestement faux, nous en sommes là. Les solutions seront coûteuses, complexes et nécessiteront un changement culturel et de leadership. Mais si nous ne commençons pas par l’honnêteté – envers nous-mêmes, envers la hiérarchie, envers l’extérieur – rien ne changera avant qu’il ne soit trop tard.
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