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Titus K

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Tout ce qui a été posté par Titus K

  1. Titus K

    Marine Britannique

    Les 2 F-35 sur le tribord avant en "brun terre de france"
  2. Titus K

    Marine Néerlandaise

    Marineschepen a aussi pondu son article sur les SSN aux PB. --> https://premium.marineschepen.nl/nucleaire-onderzeeboten-voor-nederland/ On y trouve notamment des avis intéressants d’anciens marins néerlandais et d'un ancien sous-marinier Francais. Je ne vous mets pas toutes les citations, mais l’idée générale est partagée : tout le monde s’accorde à dire que les SSN sont supérieurs aux SSK, mais qu’il est vraiment trop tard pour modifier le programme Orka actuel. En revanche, pour le futur programme de remplacement des Orka, vers 2050, cela pourrait devenir envisageable… En attendant pourquoi ne pas commander 2 SSK Orka supplémentaires ? Tous les experts interrogés par Marineschepen.nl affirment que — indépendamment des coûts — ils choisiraient un sous-marin nucléaire. L’ancien commandant de sous-marin John Weyne Toutes les décisions sont prises sur la base d’informations secrètes. Est-il judicieux de choisir des sous-marins nucléaires ? Je suis parti de la Force sous-marine depuis un certain temps, et il est diablement difficile de se prononcer. Vous pouvez naviguer à 20 nœuds pendant des heures et intercepter des contacts à l’autre bout de votre zone assignée. Un sous-marin diesel-électrique ne peut pas faire cela ; il navigue généralement très lentement. Il peut sprinter, mais on préfère éviter, car les batteries doivent ensuite être rechargées rapidement. Cela se fait sous l’eau, mais avec le mât-snorkel qui dépasse à la surface, et les moteurs diesel font beaucoup de bruit. Fred Matthee, officier du service technique, a servi sur divers sous-marins et a participé à la construction de la classe Walrus : Avec un sous-marin diesel-électrique, vous disposez d’une quantité limitée d’énergie. Vous devez atteindre une certaine vitesse pour accomplir votre mission, vous avez un schéma de snorkel : quand plonger, quand remonter ? Un SSN plonge profondément et fonce vers le point où le commandant veut se rendre, car il n’a pas à se soucier de l’énergie. On dit souvent qu’un sous-marin nucléaire fait beaucoup de bruit, mais les nouveaux sous-marins sont souvent aussi silencieux qu’un modèle diesel-électrique. Pieter Bindt, ancien commandant de sous-marin et ex-directeur du MIVD : Pour le même prix, je n’hésiterais pas — surtout un petit SSN aurait ma préférence. Mais il y a, en plus de l’argent, encore d’autres facteurs à prendre en compte. J'ai surtout l'impression que certains experts NL estiment que se tourner vers des SSN permettrait aux Pays-Bas de conserver un statut "particulier" ... au moment ou l'Espagne se dote de sous-marins au capacités trans-océaniques par exemple... Parmi les pays européens, onze (dont les Pays-Bas) possèdent ou ont commandé des sous-marins conventionnels. Seuls deux pays ont des sous-marins nucléaires (le Royaume-Uni et la France). Les Pays-Bas utilisent leurs sous-marins différemment de la plupart des autres pays, mais les nouveaux sous-marins de l’Espagne, de l’Allemagne et de la Norvège seront nettement plus grands que leurs prédécesseurs et pourraient également opérer partiellement plus loin de leur base. Pieter Blind : Dans la situation géopolitique actuelle, vous voudriez avoir des SSN supplémentaires pour l'Europe. Les sous-marins nucléaires britanniques et français sont eux. principalement utilisés pour protéger leurs SSBN. John Weyne : Je pense qu'un SSN nous offrirait une position plus forte en Europe. Aussi par rapport aux États-Unis, dans la mesure où cela serait important, nous devenons un acteur européen plus important. Je vous partage la conclusion Une option pour l’avenir Les Pays-Bas ne sont pas les seuls à acquérir de grands sous-marins conventionnels. Les sous-marins sud-coréens actuellement développés sont peut-être encore plus imposants. Mais la Corée du Sud semble, après l’Australie, vouloir passer des grands SSK aux sous-marins nucléaires. Séoul a récemment obtenu la promesse que les États-Unis aideraient le pays à accéder à la technologie nucléaire. Tous les anciens sous-mariniers interrogés par Marineschepen.nl reconnaissent unanimement les avantages des sous-marins nucléaires par rapport aux conventionnels. Mais d’après leurs réactions, il serait très ambitieux de changer de cap dès maintenant. Du côté français, Marineschepen.nl reçoit les mêmes signaux. Un ancien sous-marinier français estime que le partage de connaissances nucléaires n’est plus un tabou. Le Brésil et la France construisent actuellement un sous-marin nucléaire au Brésil, et dans le cadre du programme AUKUS, ces connaissances sont également partagées. Il souligne toutefois que l’infrastructure nucléaire de la marine française est à peine suffisante pour ses propres sous-marins. Ajouter soudainement quatre sous-marins néerlandais ne serait pas facilement réalisable. Selon lui, les coûts nécessaires pour mettre en place l’infrastructure seraient comparables à ceux des sous-marins nucléaires eux-mêmes. Il ajoute que, malgré une base civile nucléaire importante, la France ne dispose que d’un nombre très limité d’experts nucléaires, juste assez pour maintenir sa flotte actuelle. Il estime que les Pays-Bas ne pourraient pas, seuls, créer ou maintenir cette expertise. Une décision de coopérer avec les Pays-Bas dans le domaine du nucléaire devrait être prise à un très haut niveau, affirme-t-il. Il mentionne aussi un autre problème : « Les Pays-Bas auraient dû poser la question plus tôt. » Concernant les réacteurs, le programme Suffren est déjà terminé, et la construction des sous-marins touche à sa fin. « Si les Pays-Bas étaient arrivés plus tôt, Naval Group aurait pu continuer directement la production, et les Pays-Bas auraient pu avoir des sous-marins nucléaires d’ici quelques années. » Marineschepen.nl a demandé (lors d’un entretien qui sera bientôt publié) une réaction à Jurjen Kwak, directeur du programme Orka. Kwak a souligné qu’une telle décision ne relevait pas de l’organisation du projet, mais du Ministère. Selon lui, c’est un « bon point de départ pour la discussion, mais plutôt pour le remplaçant de la classe Orka ». En parler dès maintenant Pour autant, les experts ne disent pas que le sujet est prématuré : « Je trouverais imprudent de ne pas examiner les options dans la période actuelle », dit John Weyne. « Je pense que l’étude de l’option nucléaire, d’abord du point de vue militaire opérationnel, puis du point de vue politico-stratégique, vaut vraiment la peine. » Qu’il s’agisse ou non d’un choix possible pour la classe Orka, un ancien officier estime qu’il serait de toute façon judicieux de commencer rapidement à discuter du remplacement de la classe Orka : « Je ne pense pas que ce soit ce qu’on veut entendre à La Haye, mais ce serait intelligent. Et cela permettrait d’envisager aussi la propulsion nucléaire. » Pendant ce temps, si le budget de la défense continue d’augmenter, « le moment est peut-être venu de commander six sous-marins conventionnels de la classe Orka », suggère un autre expert. Le retour de quatre à six sous-marins reste en effet un sujet récurrent : « Avec quatre sous-marins, vous en avez toujours un de disponible ; avec six, vous en avez deux ou trois en permanence. » Mais cela constitue encore un autre débat.
  3. Titus K

    [Rafale]

    3 bidons pour un vol d'essai ? Ou alors ils partent vers l'indonésie ? Apparement on met 3 bidons pour des vols d'essai, le DM22 aussi
  4. Titus K

    [Rafale]

    C'est quel numero ?
  5. Titus K

    Marine Néerlandaise

    Naval : premiers accords concrets avec des entreprises néerlandaises pour la construction de sous-marins https://fd.nl/bedrijfsleven/1578132/naval-eerste-harde-deals-met-nederlandse-bedrijven-voor-bouw-onderzeeboten En bref Naval Group conclut les premiers contrats avec une dizaine d’entreprises néerlandaises pour les sous-marins. La contribution néerlandaise au projet de Défense pour les sous-marins Orka pourrait atteindre environ 1 milliard d’euros. Des contrats ont notamment été signés avec RH Marine, Nevesbu, Van Halteren et HatenboerWater. Le groupe français de construction navale Naval a signé les premiers contrats d’achat concrets avec des fournisseurs néerlandais pour la grande commande de sous-marins du ministère de la Défense. Il s’agit d’une dizaine d’entreprises, dont RH Marine, Van Halteren, Hatenboer-Water et Nevesbu. C’est ce qu’a déclaré Mark Donderwinkel, directeur Pays-Bas chez Naval Group, dans un entretien avec le FD. « Nous avons démarré avec dynamisme », déclare Donderwinkel lors du salon de la défense Neds qui s’est tenu jeudi à Ahoy. Sur le stand de Naval, il y avait un va-et-vient de marins français et néerlandais, d’entrepreneurs et de représentants d’institutions de recherche, dont TNO. Les commandes pour les fournisseurs néerlandais dans la construction des quatre sous-marins Orka s’inscrivent dans l’accord que Naval a conclu à ce sujet l’année dernière avec le ministère des Affaires économiques (EZ). Cet accord oblige l’entreprise à faire appel à des fournisseurs néerlandais. La valeur financière de la contribution néerlandaise s’élève, selon EZ, à près de 1 milliard d’euros pendant la phase de production des sous-marins. Donderwinkel ne peut pas révéler la valeur exacte des contrats conclus jusqu’à présent, mais celle-ci serait de plusieurs centaines de millions d’euros. Système d’évacuation D’après des discussions avec les entreprises néerlandaises concernées, il s’agit souvent de premiers contrats partiels. De nouveaux suivront au fur et à mesure de l’avancement de la construction. C’est le cas notamment de RH Marine, qui va fournir des systèmes de gestion de l’énergie, de propulsion et d’approvisionnement en eau. « Chaque contrat est lié à une phase spécifique de la construction des sous-marins », explique le directeur commercial Dieter van Schagen. RH Marine travaille en étroite collaboration avec une équipe de Naval. Van Schagen s’attend à rester impliqué dans les prochaines phases de construction. L’après-midi, le PDG Pierre Éric Pommelet de Naval Group a signé un contrat avec Nevesbu. Selon le directeur Bart van Rijssen, son bureau d’ingénierie fournit la conception du système d’évacuation « complexe » pour l’équipage du sous-marin. « Nous espérons ensuite pouvoir également livrer le système lui-même. » Avec le constructeur naval IHC, un accord-cadre a été conclu, mais pas encore de contrat d’achat ferme. Cela devrait se faire début de l’année prochaine, selon Eric Gret, directeur d’IHC Defence. L’objectif est qu’IHC construise des modules dans lesquels les systèmes seront fixés à l’intérieur du sous-marin. « Il s’agira de plusieurs contrats pour plusieurs modules », dit Gret. La complexité des modules augmentera au fur et à mesure de la construction. Selon Donderwinkel de Naval Pays-Bas, Optics11 fournira des systèmes sonar optiques, qui seront suspendus à l’arrière des sous-marins Orka. « Il existe des solutions standard, mais les Pays-Bas veulent innover et imposent d’autres exigences. » Les entreprises en liste pour la signature d’un contrat comprennent notamment Bolidt et Solico. Donderwinkel : « Bolidt fabrique des carreaux acoustiques. Cette entreprise va d’abord fournir des carreaux que nous allons tester. S’ils répondent aux exigences, un contrat de livraison suivra. » Composites Le directeur Eric van Uden de Solico, qui conçoit des matériaux composites, a été invité début décembre à soumettre une offre pour un composite qui recouvrira la coque résistante du sous-marin. « Nous considérons cela comme un début. Nous espérons que cela conduira aussi à une mission pour la conception. » Il aspire finalement aussi à fournir des parties du composite. Van Uden souhaite faire appel à d’autres entreprises néerlandaises pour cela. Il s’agirait d’un projet potentiel de « plusieurs dizaines de millions d’euros ». Dans une explication, le PDG Pommelet de Naval Group déclare que l’industrie néerlandaise profite plus largement de la commande pour les sous-marins Orka. « Naval veut également faire appel aux entreprises pour d’autres missions, comme la construction de frégates. »
  6. Piste tactique à Orléans
  7. Article sur l'escale de l'Amiral Ronarc'h au Portugal --> https://www.dn.pt/internacional/fragata-francesa-de-ltima-gerao-exibiu-se-no-tejo
  8. Titus K

    Marine Britannique

    Ca avance pas vite ... et on voit bien l'avantage du PSIM sur lequel tout l'equipement est monté en avance. --> https://ukdefencejournal.org.uk/new-images-show-progress-on-first-new-type-26-frigate/
  9. Titus K

    Marine suédoise

    Quel dommage ce serait en effet ... Naval Group ayant vraiment tout pour s'imposer ... C'est quelle proposition britannique qui aurait le vent en poupe ? la T31 Polonaise ?
  10. Il me semble que le plan c'etait de mettre les Simbad RC au dessus du Rapidfire, mais au final ils ont mis le systeme non létal à cet endroit.
  11. Titus K

    L'Inde

    Sur l'opération Sindoor
  12. Rapport americain de plus de 200 pages qui évoque notamment Sindoor, par la United States–China Economic and Security Review Commission Cette phrase ... Pakistan’s military success over India in its four-day clash showcased Chinese weaponry. … est relayée par les trolls sino-pakistanais ... ici par exemple --> https://www.reddit.com/r/LessCredibleDefence/comments/1p189z3/trt_world_us_commission_acknowledges_pakistans/ Mais l’ensemble du passage reflète selon moi une réalité assez différente : -->https://www.uscc.gov/sites/default/files/2025-11/2025_Annual_Report_to_Congress.pdf Following the May 2025 India-Pakistan border crisis, China initiated a disinformation campaign to hinder sales of French Rafale aircraft in favor of its own J-35s, using fake social media accounts to propagate AI images of supposed “debris” from the planes that China’s weaponry destroyed. In 2024, pro-China online actors used AI-generated news anchors and fake social media accounts with AI-generated profile pictures to sow divisions in the United States on issues such as drug use, immigration, and abortion. ... China expanded its military cooperation with Pakistan in 2025, compounding its own security tensions with India. In November and December 2024, China and Pakistan held the three-week Warrior-VIII counterterrorism drills, and in February 2025, China’s navy participated in Pakistan’s multinational AMAN drills, highlighting China’s and Pakistan’s growing defense cooperation. India’s commentators viewed the drills as losses in their relationship with China and as direct security threats to its territorial positions. Pakistan’s military success over India in its four-day clash showcased Chinese weaponry. While characterization of this conflict as a “proxy war” may overstate China’s role as an instigator, Beijing opportunistically leveraged the conflict to test and advertise the sophistication of its weapons, useful in the contexts of its ongoing border tensions with India and its expanding defense industry goals. As Pakistan’s largest defense supplier, China provided approximately 82 percent of the country’s arms imports from 2019 to 2023. This clash was the first time China’s modern weapons systems, including the HQ-9 air defense system, PL-15 air-to-air missiles, and J-10 fighter aircraft were used in active combat, serving as a real-world field experiment. China reportedly offered to sell 40 J-35 fifth-generation fighter jets, KJ-500 aircraft, and ballistic missile defense systems to Pakistan in June 2025. That same month, Pakistan announced a 20 percent increase in its 2025–2026 defense budget, raising planned expenditures to $9 billion despite an overall budget decrease. In the weeks after the conflict, Chinese embassies hailed the successes of its systems in the India-Pakistan clash, seeking to bolster weapons sales. Pakistan’s use of Chinese weapons to down French Rafale fighter jets used by India also became a particular selling point for Chinese Embassy defense sales efforts despite the fact that only three jets flown by India’s military were reportedly downed and all may not have been Rafales. According to French intelligence, China initiated a disinformation campaign to hinder sales of French Rafales in favor of its own J-35s, and it used fake social media ac- counts to propagate AI and video game images of supposed “debris” from the planes China’s weaponry destroyed. Chinese Embassy officials convinced Indonesia to halt a purchase of Rafale jets already in process, furthering China’s inroads into other regional ac- tors’ military procurements.
  13. Par contre il me semble que c'est le J.Chevalier ... sur le J.Stosskopf les simbad RC sont deportés pour avoir un meilleur angle de tir On les voit bien ici qui dépassent
  14. Titus K

    Ukraine : Armée de l'air

    Dassault, MBDA, Thales et c'est qui le 4ème industriel ? https://www.intelligenceonline.fr/europe-russie/2025/11/19/lettre-d-intention-pour-le-rafale-a-kiev--les-industriels-fixes-vendredi,110561086-bre Lettre d'intention pour le Rafale à Kiev : les industriels fixés vendredi Selon les informations recueillies par Intelligence Online, le ministère français des armées informera ce vendredi 21 novembre les quatre industriels parties prenantes de la lettre d'intention sur la possible vente d'avions de chasse Rafale à l'Ukraine Edit : Safran évidement ...
  15. Un peu tard ... Quand au radar indien non merci. Airbus Sees Opportunity In NATO E-7 Cancellation https://aviationweek.com/defense/aircraft-propulsion/airbus-sees-opportunity-nato-e-7-cancellation DUBAÏ – Airbus voit une opportunité potentielle pour répondre à un besoin de l’OTAN de trouver une plateforme alternative à l’E-7 de Boeing pour l’alerte avancée aéroportée (AEW) après l'abandon de cet achat. L’alliance doit remplacer ses anciens appareils E-3 Sentry basés sur le Boeing 707 d’ici 2035 et prévoyait de le faire avec l’E-7 jusqu’à ce que les États-Unis retirent leur financement en juillet. Jean Brice-Dumont, responsable de la division Air Power d’Airbus Defense and Space, a déclaré aux journalistes au Dubai Airshow qu’il pense que l’entreprise “pourrait” fournir une solution alternative. La société est déjà impliquée dans les propositions industrielles pour l’Alliance Future Surveillance and Control (AFSC) via son équipe industrielle Aspaaro, formée en 2021. « AFSC est un système de systèmes ... le FCAS des AWACS » (mmh ca donne envie ), a déclaré Brice-Dumont. Il a comparé l’AFSC au complexe système Future Combat Air System (FCAS) sur lequel l’entreprise travaille avec l’industrie en Allemagne et en Espagne. L’AFSC vise à développer un réseau multidomaine de capteurs distribués et aéroportés à travers l’alliance pour remplacer l’E-3 en 2035. L’E-7 devait faire partie de ce système. « Certains pays voudront acheter suédois », a-t-il suggéré, en référence au Saab GlobalEye que certains pays de l’OTAN ont sélectionné ou envisagent. « Nous devrons regarder cela de manière holistique », a-t-il ajouté. Une voie possible pourrait consister à s’appuyer sur un développement potentiel pour l’Inde qui convertirait plusieurs anciens A321 d’Air India en avions d’alerte avancée aéroportée appelés Netra II. Le constructeur aéronautique est actuellement en « discussion continue » avec l’armée de l’air indienne et l’Organisation de recherche et développement pour la défense (DRDO) du pays sur la manière dont ces avions seront convertis. L’Inde souhaite équiper les appareils d’un radar à antenne active (AESA) développé localement, installé dans un carénage en forme de boîte à ski sur le dessus du fuselage, similaire à celui du radar Erieye sur le GlobalEye. « Nous préparons cela pour l’Inde, et il y a un avion potentiel disponible pour ce type de mission pour nos clients », a déclaré Brice-Dumont. Ce programme est l’un des deux grands efforts de la société pour commencer à militariser la famille d’avions de ligne monocouloir Airbus A320. Contrairement au Boeing 737, qui a été modifié notamment en E-7 et en patrouilleur maritime P-8 Poseidon, l’A320 « n’a pas été militarisé », a déclaré Brice-Dumont. Mais le travail indien sur l’AEW est l’un des deux projets qui pourraient « ouvrir le champ ». L’autre projet consiste à développer une variante de patrouille maritime de l’A321XLR qui comporterait une soute à armes derrière l’aile. La France a sélectionné la plateforme proposée pour des études de réduction de risques, dans le cadre d’une initiative visant à remplacer à terme les avions Atlantique 2 de la Marine française. Paris a prévu 3 milliards d’euros (3,4 milliards de dollars) pour le programme dans son projet de loi de finances 2026. Brice-Dumont a déclaré que la variante de patrouille maritime était l’une des « plus spectaculaires », avec un ensemble de modifications en mode « buffet à volonté ». Ces dérivés militaires de la famille A320 pourraient ouvrir la voie à d’autres rôles pour l’avion dans la guerre électronique, le brouillage et d’autres missions spéciales.
  16. Une « différence d’interprétation » sur les échanges de données explique les difficultés des CAESAr tchèque --> https://www.opex360.com/2025/11/19/une-difference-dinterpretation-sur-les-echanges-de-donnees-explique-les-difficultes-des-caesar-tcheque/ Par ailleurs, à la différence de ceux mis en œuvre par l’armée de Terre française, équipés du système de conduite de tir ATLAS, les CAESAr destinés à l’artillerie tchèque doivent être dotés du système Adler III, fourni par l’entreprise allemande ESG pour 28 millions d’euros. Or, le problème se situe justement à ce niveau. ... A priori, une issue est proche. « KNDS France s’annonce confiant sur l’aboutissement de cette intégration, les systèmes ADLER et ATLAS répondant aux standards de l’Otan et ayant déjà été intégrés avec succès sur différentes plates-formes d’artillerie », a conclu le ministère des Armées.
  17. Titus K

    Marine suédoise

    Oui, je suis un peu mauvaise langue et complotiste Les anglais ont pas mal de workshare sur les A26… les français aussi d’ailleurs, les mats optroniques sont fournis par Safran par exemple
  18. MBDA va developper une munition rodeuse aux émirats via une nouvelle filialle MBDA UAE ... le droniste reunionnais Fly-R pourrait être impliqué --> https://www.mbda-systems.com/fr/tawazun-et-mbda-lancent-des-initiatives-strategiques-pour-renforcer-la-localisation-des Dans ce contexte, MBDA a annoncé la création future de sa filiale MBDA UAE marquant une nouvelle étape dans sa collaboration avec les Émirats entamée en 2000. Cette initiative vise à renforcer la présence locale de MBDA tout en développant les capacités nationales en matière de recherche et développement, de production et de support technique, et en consolidant ainsi la position de MBDA en tant que partenaire industriel de longue date des ÉAU. MBDA a également annoncé le projet de développement de munitions téléopérées intégrant l'intelligence artificielle, en collaboration avec la start-up Fly-R. Ce nouveau système présentera une conception innovante assurant une vitesse élevée et une manœuvrabilité exceptionnelle, offrant ainsi une supériorité opérationnelle accrue sur les champs de bataille modernes grâce à l'intégration de l'IA.
  19. Encore hier J'ai moi même demandé si on avait servi de lièvre
  20. Titus K

    Ici on cause MBT ....

    toi tu va passer un sale quart d'heure ...
  21. Rencontre entre Trump et Bin Salman à la Maison Blanche : « L'Arabie saoudite va acquérir des F-35 identiques à ceux d'Israël »
  22. Titus K

    Marine suédoise

    Les anglais font du lobying en faveur de sous-marins Saab en Pologne, probablement pour que les Suédois leur commandent des T31 en retour ... https://x.com/UKinSweden/status/1990747856874111288 https://x.com/UKDefenceSweden/status/1990731786217755095?s=20
  23. Titus K

    Mirage F1 CR

    Sur l'entrainement des Americains en Europe contre des pod de brouillages electroniques francais et des Mirage F1 pour preparer la première guerre du golfe Et l'affaire du Stark - Falcon Exocet À 4:30 -->
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