Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

Titus K

Members
  • Compteur de contenus

    6 512
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    96

Tout ce qui a été posté par Titus K

  1. TKMS : Scission approuvée par rapport à la maison-mère thyssenkrupp https://www.hartpunkt.de/tkms-abspaltung-vom-mutterkonzern-thyssenkrupp-gebilligt/ Les actionnaires de thyssenkrupp AG ont approuvé aujourd’hui, lors d’une assemblée générale extraordinaire, la scission de l’activité navale du groupe, regroupée au sein de TKMS. Dans le cadre de cette opération, 49 % des actions de la nouvelle société TKMS AG & Co. KGaA seront directement attribuées aux actionnaires. Thyssenkrupp AG conservera 51 % du capital, restant ainsi actionnaire majoritaire afin d’assurer la direction stratégique et la stabilité de TKMS. Comme l’a expliqué le PDG de thyssenkrupp, Miguel Lopez, lors de cette réunion tenue virtuellement, le groupe n’a actuellement aucune intention de céder d’autres parts de TKMS. Thyssenkrupp souhaite rester actionnaire de référence et conserver une influence déterminante sur l’entreprise. Les représentants du groupe ont précisé que TKMS restera consolidée dans les comptes du groupe. Dans le cadre de la scission, les actionnaires recevront 1 action de la nouvelle TKMS AG & Co. KGaA pour 20 actions de thyssenkrupp AG. L’attribution se fera proportionnellement : la part détenue dans la participation minoritaire séparée de TKMS correspondra à la part déjà détenue dans thyssenkrupp AG. La cotation de TKMS AG & Co. KGaA sur le segment Prime Standard de la Bourse de Francfort est prévue pour cette année, possiblement dès octobre. Selon le professeur Siegfried Russwurm, président du conseil de surveillance de thyssenkrupp AG, l’un des éléments clés de la nouvelle structure est l’accès direct de TKMS au marché des capitaux. Cela permettra à TKMS de financer sa croissance par ses propres moyens, de développer de nouvelles technologies, et de mener à bien des partenariats ou des acquisitions ciblées. Comme expliqué lors de l’assemblée, les banques ont déjà accordé à TKMS une ligne de garanties (avals) de plus de 2,5 milliards d’euros. De plus, le constructeur naval bénéficiera, jusqu’en 2028, d’une ligne de crédit renouvelable de 300 millions d’euros octroyée par thyssenkrupp pour assurer sa liquidité à court terme. D’après le directeur financier Axel Hamann, TKMS n’a toutefois actuellement besoin d’aucun financement externe, ni de thyssenkrupp ni de tiers. Aucune participation de l’État fédéral dans TKMS n’est prévue pour le moment, mais le groupe s’est dit ouvert à des discussions plus approfondies si le gouvernement changeait d’avis. Selon la maison-mère, l’autonomisation de TKMS constitue une étape clé dans la réorientation stratégique de thyssenkrupp AG. Avec la cession d’une participation minoritaire de 49 %, le groupe cherche à passer d’un conglomérat industriel diversifié à une holding stratégique plus ciblée. À l’avenir, thyssenkrupp AG doit agir comme une structure de direction allégée, chapeautant des participations autonomes et responsables sur le plan entrepreneurial.
  2. Coopération Pologne-Slovaquie-Hongrie pour le déploiement de SMR Américains en Europe --> La Slovaquie envisage la technologie américaine pour accroître sa capacité nucléaire https://www.world-nuclear-news.org/articles/slovakia-looking-to-us-tech-for-new-nuclear-capacity Slovenské elektrárne et Synthos Green Energy ont signé un protocole d’accord pour étudier le possible déploiement des petits réacteurs modulaires (SMR) BWRX-300 de GE Vernova Hitachi – et le Premier ministre Robert Fico a indiqué qu’une unité Westinghouse de 1 250 MW était prévue sur le site de Bohunice. Le protocole d’accord « vise à combiner les forces des deux entreprises et à analyser les possibilités d’investissement, de licences et de développement conjoint de projets de SMR en Slovaquie, en République tchèque et dans d’autres pays européens. Le protocole crée également un cadre pour le développement de chaînes d’approvisionnement régionales et le renforcement de la sécurité énergétique ». Branislav Strýček, président-directeur général de Slovenské elektrárne, a déclaré : « Nous considérons les petits réacteurs modulaires comme une option prometteuse pour une production d’électricité future stable, sûre et sans émissions. Le partenariat avec Synthos Green Energy nous permettra d’analyser en détail la technologie SMR BWRX-300 de pointe et d’évaluer son potentiel pour la Slovaquie de manière qualifiée. De plus, nous souhaitons utiliser nos nombreuses années de savoir-faire dans la construction et l’exploitation de centrales nucléaires pour soutenir le développement des SMR dans notre région. » Synthos Green Energy, société polonaise, est développeur de projets de SMR BWRX-300 dans la région et a également signé la semaine dernière une lettre d’intention avec la société hongroise Hunatom pour le développement potentiel de projets allant jusqu’à 10 SMR BWRX-300 de GE Vernova Hitachi. Le BWRX-300 est un SMR de 300 MWe refroidi à l’eau, à circulation naturelle, doté de systèmes de sûreté passifs, et qui s’appuie sur la conception et la base de licences du réacteur à eau bouillante ESBWR de 1 500 MW de GE Vernova Hitachi Nuclear Energy. Westinghouse En mai 2024, le gouvernement slovaque a officiellement approuvé des plans pour une unité de 1,2 GWe près de la centrale nucléaire existante de Bohunice, la Corée du Sud, les États-Unis et la France étant alors envisagés comme partenaires potentiels. Dans un message vidéo publié sur les réseaux sociaux, le Premier ministre Robert Fico a déclaré dimanche : « Autre information importante, chers amis : la Commission européenne a évalué positivement le contenu du projet d’accord entre les gouvernements de la République slovaque et des États-Unis sur la coopération dans le domaine de l’énergie nucléaire. Conformément aux règles internes de l’Union européenne, de tels accords interétatiques avec un pays non membre de l’UE, et portant sur la coopération dans le nucléaire, doivent être examinés au niveau de la Commission européenne. » Il a indiqué que le gouvernement américain avait déjà approuvé la proposition, et que cet accord constituait une condition préalable à la conclusion d’un autre accord intergouvernemental concernant la construction d’une nouvelle unité Westinghouse à Bohunice, d’une puissance de 1 250 MW, qui, a-t-il précisé, « appartiendra entièrement à la République slovaque ». Actuellement, la Slovaquie dispose de cinq réacteurs nucléaires – trois à Mochovce et deux à Bohunice – qui produisent la moitié de son électricité, et un autre est en construction à Mochovce. Les deux centrales sont exploitées par Slovenské elektrárne.
  3. Titus K

    Marine Grecque

    KIMON : Dernier passage en cale sèche pour la frégate grecque avant sa livraison à la Marine https://www.onalert.gr/eksoplismoi/kimon-sti-dexameni-gia-teleytaia-fora-i-elliniki-fregata-prin-paradothei-sto-polemiko-naytiko/635065/ La première frégate FDI HN grecque, la « KIMON », entre dans la phase la plus critique avant de hisser le pavillon grec et d’intégrer la flotte. Pendant les huit prochaines semaines, elle restera en cale sèche dans le cadre d’inspections intensives et d’essais techniques, avec pour objectif de reprendre la mer début octobre pour la phase finale des essais en mer, destinée à confirmer que tous les systèmes du navire sont parfaitement opérationnels. Selon le calendrier, la cérémonie de levée du pavillon grec et la livraison officielle devraient avoir lieu avant la fin décembre. Les responsables du constructeur Naval Group soulignent qu’il s’agit d’essais « extrêmes », conçus pour pousser au maximum la résistance de la plateforme et de ses systèmes. Le radar Sea Fire 500, capable de détecter simultanément des centaines de cibles, le système avancé de gestion de combat SETIS, les systèmes de guerre électronique et de communications, ainsi que le sonar de coque et à immersion variable, sont soumis à des contrôles stricts. La « KIMON » sert de modèle pour les deux autres navires de la classe, le « NEARCHOS » et le « PHORMION », déjà à flot et amarrés aux quais du chantier naval à différents stades de construction. Les conclusions tirées des essais de la « KIMON » seront utilisées pour apporter des améliorations avant que les deux autres frégates ne commencent leurs propres essais. Ainsi, la Marine gagne un temps précieux et s’assure que les unités suivantes intégreront immédiatement les enseignements validés en pratique. Après la fin des inspections en cale sèche, la « KIMON » reprendra la mer pour la dernière phase des essais, comprenant des vitesses élevées, des manœuvres d’urgence, l’évaluation des systèmes de combat en conditions « opérationnelles » et la vérification de la résistance de la plateforme à des conditions météorologiques défavorables. Ensuite, le navire retournera au chantier naval pour les derniers réglages, l’armement complet et la préparation du voyage vers la Grèce. Dans la dernière étape, il mettra le cap sur Brest pour y recevoir son armement. Ce sera la première nouvelle unité principale reçue par la Marine grecque depuis près de vingt ans. L’adaptation » grecque fait la différence Ce n’est un secret pour personne : la Marine grecque ne s’est pas contentée de la configuration « standard » des frégates FDI. Dès le début du programme, des modifications ont été apportées pour doter le navire de capacités supplémentaires, de systèmes d’autoprotection renforcés et d’une puissance antiaérienne accrue. Parmi les caractéristiques remarquables : Système antimissile RAM pour la défense rapprochée. Systèmes de lancement de contre-mesures électroniques pour tromper les missiles guidés. Système de conduite de tir STIR et optronique longue portée PASEO XLR. Capacité de lancement de missiles Aster 30 avec une portée de plus de 120 km. Intégration d’une suite complète de lutte anti-sous-marine. Ces changements n’ont pas échappé à la Marine nationale française. Les Français envisagent déjà d’équiper leurs propres FREMM et FDI avec des systèmes choisis par la Grèce, tirant des enseignements de la mer Rouge et du front ukrainien. Les yeux de la Marine tournés vers l’équipage de la « KIMON » Aucun essai n’est effectué sans la présence de membres de la Marine grecque. À Lorient, un détachement permanent d’inspection est présent, et 48 membres d’équipage sont déjà à bord. Ils apprennent et s’entraînent sur chaque système du navire afin que, le moment venu, ils puissent l’exploiter au maximum de ses capacités. Les frégates FDI HN se distinguent par leur capacité à faire face simultanément à de multiples menaces : Neutralisation d’attaques aériennes massives. Protection dans le cadre d’escortes navales. Détection et destruction de sous-marins en grande profondeur. Capacité de frappe à longue distance avec des armes guidées. La livraison de la « KIMON » ne constitue pas un événement isolé, mais le début du renouvellement complet du noyau de la flotte. Combinée aux programmes de modernisation des MEKO, des vedettes lance-missiles et des sous-marins, la Marine grecque se dote d’un réseau de navires capables d’opérer dans un environnement centré sur le réseau, échangeant des données en temps réel avec l’armée de l’air et le système de défense aérienne du pays.
  4. Titus K

    Marina militare

    Un exemple qui pourrait aller dans le sens de @gianks c’est le NH90 qui aurait apparemment une excellente disponibilité en Nouvelle-Zélande… meilleure que chez la plupart des gros utilisateurs européens qui participent pourtant à son développement & industrialisation
  5. Entendu a la radio, l'Allemagne s'apprêterait a bloquer l'export d'armement en direction d'Israel ?
  6. Titus K

    Marine Norvegienne

    Ce pourrait être la nouvelle frégate de la Norvège – avec des systèmes israéliens https://www.vg.no/nyheter/i/yEP19a/dette-kan-bli-norges-nye-fregatt-med-systemer-fra-israel Quatre pays sont en compétition pour fournir les nouvelles frégates de la Marine royale norvégienne. La frégate britannique Type 26 compte parmi ses sous-traitants clés des entreprises israéliennes. Points essentiels Quatre pays se disputent le contrat pour les nouvelles frégates de la Norvège, dont le Royaume-Uni avec sa Type 26. La candidate britannique utilise des systèmes de défense israéliens. Le gouvernement est sous pression après les investissements du Fonds pétrolier norvégien dans des entreprises israéliennes. Le ministère de la Défense n’a pas répondu aux questions de VG sur ces fournisseurs israéliens. Le Parlement norvégien a décidé que le pays achètera au moins cinq nouvelles frégates. Le coût total de cette flotte pourrait atteindre 125 milliards de couronnes. La décision du gouvernement est attendue cet automne. Le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne et les États-Unis sont en lice pour ce contrat majeur. Favorite La frégate britannique est considérée comme l’une des favorites. BAE Systems construit actuellement la nouvelle flotte britannique de frégates Type 26 dans son chantier naval de Glasgow, en Écosse. L’entreprise a signé d’importants contrats avec au moins deux sociétés israéliennes pour la fourniture de systèmes de défense et de protection des Type 26, selon des recherches dans les médias spécialisés en défense. Actuellement, le gouvernement norvégien est sous pression, car le Fonds pétrolier détient des actions dans des entreprises israéliennes qui soutiennent l’effort de guerre d’Israël à Gaza et en Cisjordanie. « Mon conseil au gouvernement serait de rester très loin des composants israéliens pour les nouvelles frégates norvégiennes », déclare Raymond Johansen, secrétaire général de Norwegian People’s Aid (Norsk Folkehjelp), à VG. Entreprises israéliennes impliquées Le plus grand fournisseur de défense d’Israël, Elbit Systems, doit fournir des technologies pour la guerre électronique des nouvelles frégates. Elbit livrera également un système de surveillance pour détecter les navires ennemis pouvant menacer la frégate. Selon Janes, le contrat a été signé en 2021. En 2009, Elbit a été exclu du Fonds pétrolier norvégien. L’entreprise devait alors fournir un système de surveillance pour le mur de séparation en Cisjordanie, ce qui, selon le Conseil d’éthique du Fonds, représentait un « risque inacceptable de contribuer à de graves violations des normes éthiques fondamentales ». Elbit fournit aussi des drones à l’armée israélienne. Le Fonds pétrolier a par ailleurs investi dans la société israélienne Next Vision Stabilized Systems, qui fabrique des caméras utilisées notamment sur les drones d’Elbit. Une autre entreprise israélienne, Plasan, fournit des plaques de blindage en composite pour les frégates britanniques, un élément clé de la protection contre les missiles et autres armes. Le premier contrat avec BAE a été signé en 2018, et, selon Israel Defence, il a été étendu en 2022 à plusieurs frégates en construction. Plasan fabrique également des chars et véhicules blindés pour l’armée israélienne (IDF). Avant la guerre de 2023, l’IDF a reçu gratuitement plusieurs dizaines de véhicules blindés dans le cadre d’une « mobilisation d’urgence ». Selon les recherches de VG, aucun fournisseur israélien n’est impliqué dans les projets de frégates des autres pays candidats. Pressions politiques Le Premier ministre britannique, Keir Starmer, espère que la Norvège choisira la frégate britannique. En mai, il est venu à Oslo rencontrer son homologue norvégien, Jonas Gahr Støre. Cette semaine, VG a posé au ministère de la Défense plusieurs questions sur les évaluations faites concernant les fournisseurs israéliens et sur un éventuel impact sur la sélection des frégates. Jeudi, le ministère a indiqué ne pas avoir la capacité d’y répondre pour l’instant. Faut-il chercher d’autres fournisseurs ? Raymond Johansen mène une campagne pour exclure du Fonds pétrolier les entreprises israéliennes impliquées dans des violations du droit international. « Nous ne demandons pas un boycott total des produits israéliens. Mais Elbit et Plasan fournissent directement à l’armée israélienne. Le gouvernement doit au minimum vérifier si ces entreprises et ce matériel de guerre participent à un possible génocide ou à des violations du droit international », dit-il. À la question de savoir si cela doit exclure la frégate britannique, il répond : « De toute façon, il est évident que le gouvernement doit chercher des alternatives et voir s’il existe d’autres fournisseurs pour ces systèmes. » Identiques ou pas ? Pour Ståle Ulriksen, chercheur à l’École de guerre navale, la Type 26 britannique est l’une des deux options les plus probables pour la Norvège, l’autre étant la frégate française. « Si le gouvernement ne veut absolument pas de pièces israéliennes, il est toujours possible de trouver d’autres fournisseurs d’électronique et de blindage. Mais alors, les frégates ne seraient plus totalement identiques, et on perdrait des avantages comme la maintenance commune », explique-t-il. « Faut-il éviter d’acheter des frégates avec du matériel produit en Israël ? » « À mon avis, ce serait aller trop loin », conclut-il.
  7. Titus K

    La Force aérienne suisse

    Au passage, ca ne signifie absolument pas qu'ils veulent du Rafale, c'est une évidence bonne a rappeler. Ce serait d'ailleurs intéressant de pouvoir comparer le % de Suisses qui voudraient spécifiquement du Rafale avec les 19% toujours en faveur de l'achat de F-35 malgré les attaques de Trump ... à mon avis ca risquerait d'en décevoir certains ici.
  8. Titus K

    L'Inde

    S'il leur faut un stop-gap, vu que les indiens ont déjà une ligne d'assemblage C-295 et commandé 56 appareils, autant prendre quelques Persuader ...
  9. C'est marrant l'UCAV semble avoir un angle de flèche similaire à celui du Mirage 2000, ~ 58° Pour le Neuron, c’était plutôt aux alentours de 52° il me semble. Bon Trappier avait déja fait la comparaison avec le M2000 dans challenges en juin
  10. Je pense que c'est juste pour le transport Ils ont changé la configuration du pare-brise, avant c'était comme ca -->
  11. Par un ravitailleur Polaris Canadien à Guam https://www.opex360.com/2023/07/25/un-a400m-francais-et-un-avion-ravitailleur-polaris-canadien-impliques-dans-un-incident-au-sol-sur-lile-de-guam/
  12. Super reportage sur les essais Canopus et Procyon Sympa d'avoir l'image du bateau Anglais qui rôdait dans les environs juste avant le test Aussi le Vice-Amiral Lorain 10 secondes avant le 1er Tir : "où sont les américains ? ... bon je donne l'autorisation"
  13. Arrivée des 6 derniers CAESAR commandés en Estonie
  14. Dans ces cas autant ne compter que 3 Mogami puisque le contrat d'une valeur de ~5,6 Milliards € ne couvre que : la livraison des 3 premieres Mogami assemblées au Japon l'armement de ces 3 premières frégates la mise en place de l'outil industriel pour construire les 8 suivantes en Australie. Les 8 Mogami supplémentaires ne sont à ce jour ni contractualisées ni budgétisées... --> https://www.abc.net.au/news/2025-08-05/australia-japan-navy-frigates/105613688 The initial contract for the first three vessels is worth $10 billion, although that money will also help provide the workforce, ship-building facilities and missiles the whole fleet will need. It is not yet clear how much it will cost taxpayers to build the rest of the warships in Australia. D'ailleurs il me semble que le Mindef Autralien n'envisage pas vraiment de SM-2 puisqu'il évoque 128 missiles par frégates, donc uniquement ESSM Quad-Pack --> https://www.minister.defence.gov.au/media-releases/2025-08-05/mogami-class-frigate-selected-navys-new-general-purpose-frigates It will take our general purpose frigates from being able to fire 32 air defence missiles to 128 missiles, giving our sailors the cutting‑edge weapons and combat systems they need to prevail in an increasingly complex environment.
  15. Titus K

    Marine Norvegienne

    En l'occurence la Constellation "américaine" fait bien partie des 4 candidats retenus, donc ils sont aussi soumis aux même critères.
  16. Titus K

    Marine Norvegienne

    Ca va être difficile d'atteindre les 100% pour la France non ? Surtout que les exemples qu'ils citent sont tous concurrents de produits Français ... NSM / JSM / Drones maritimes / Cyber etc. Des accords de coopération industrielle contraignants doivent être conclus, dans le cadre de projets directs ou indirects, qui garantissent que le fournisseur s'engage à une coopération industrielle correspondant à 100 % du montant du marché (y compris tout achat supplémentaire) L'acquisition de frégates contribuera à développer et à renforcer l'industrie nationale de la défense par les moyens suivants : en concluant de bons accords de coopération industrielle (ACI) qui soutiennent nos domaines d'expertise technologique, garantissent l'accès au marché et les livraisons dans le pays fournisseur, pour une valeur équivalente au coût de l'acquisition. Impliquer autant que possible l'industrie de défense norvégienne dans un partenariat stratégique avec le pays fournisseur, en garantissant la création de valeur au-delà de la valeur de l'acquisition elle-même. Soutenir la sécurité nationale de l'approvisionnement et la préparation aux situations d'urgence, de préférence conformément aux domaines d'expertise technologique (TKO) définis, y compris la capacité de maintenance. Domaines d'expertise nationaux prioritaires en matière de technologies de défense : Munitions, moteurs de fusée et explosifs militaires Technologie des missiles Systèmes de commandement, de contrôle, d'information, de communication et de gestion des combats Intégration des systèmes Systèmes autonomes et intelligence artificielle Technologie sous-marine Technologie des matériaux spécialement développés ou traités à des fins militaires Soutien au cycle de vie des systèmes militaires En outre, la technologie spatiale spécialement développée ou adaptée à des fins militaires est un domaine d'intérêt, en particulier à la lumière du développement rapide et de l'importance qu'elle a pris récemment.
  17. Titus K

    Marine Norvegienne

    Stratégie pour la participation industrielle norvégienne dans l’acquisition de nouvelles frégates https://www.regjeringen.no/no/dokumenter/strategi-for-norsk-industriell-involvering-i-anskaffelse-av-nye-fregatter/id3115004/ Plan/stratégie | Date : 02.08.2025 L’industrie de défense norvégienne joue un rôle central dans le renforcement des capacités de défense nationale, de la sécurité et de la préparation. Cette stratégie part donc du principe que l’acquisition de frégates doit non seulement garantir un système de frégates moderne, capable et livré en temps voulu, mais aussi contribuer au développement et au maintien d’une base industrielle de défense nationale durable et compétitive. La stratégie constitue la base pour atteindre l’objectif de développement et de renforcement de l’industrie de défense norvégienne. Elle fixe les cadres de l’implication de l’industrie dans les processus d’acquisition, dans le but de préserver les intérêts de sécurité nationale. Les domaines de compétences technologiques prioritaires (TKO) servent d’outil directeur pour indiquer les domaines où l’industrie norvégienne doit être priorisée, ces derniers étant définis comme critiques pour maintenir la sécurité nationale et la souveraineté technologique. Compte tenu du besoin de renforcer la sécurité d’approvisionnement et la préparation nationale, un objectif central est d’assurer une large implication de l’industrie norvégienne dans les mises à jour sur le cycle de vie, la maintenance et les modernisations des systèmes de frégates. L’implication des sous-traitants – y compris les petites et moyennes entreprises (PME) – est considérée comme essentielle pour construire des chaînes de valeur nationales robustes, renforcer la préparation et contribuer à compléter les chaînes de valeur en coopération avec les alliés. Un autre objectif est d’augmenter la création de valeur en général, comme cela a été réalisé à travers la coopération industrielle lors des acquisitions de chasseurs et de sous-marins. Le travail stratégique sur la coopération industrielle dans l’acquisition des frégates doit chercher à obtenir d’éventuelles synergies avec d’autres projets du plan naval « Flåteplan 24 ». Le ministère de la Défense mettra l’accent sur les objectifs et les domaines de compétences technologiques prioritaires (TKO) dans le processus de dialogue et de négociation avec les nations partenaires et les fournisseurs, en vue du choix d’un partenaire stratégique et de la conclusion ultérieure du contrat. Traduction deepl -->
  18. Titus K

    Armée belge

    Belgique : une première tranche d’infrastructures CaMo pour plus de 200 M€ --> https://www.forcesoperations.com/belgique-une-premiere-tranche-dinfrastructures-camo-pour-plus-de-200-me/
  19. Ils prennent la version à 32 VLS donc. Embarqueront-ils des SM ou seulement de l'ESSM ?
  20. Je me demande pourquoi, à part en Pologne, MBDA UK n’arrive pas a remporter quelques contrats avec son CAMM / CAMM-ER …. Diehl rafle absolument tout avec son IRIS-T ? L’ESSI doit y être pour quelque chose mais ça ne peut pas être la seule raison ?
  21. Un ami qui revient de CdS vient de m'apprendre l'incroyable popularité des traitements à l'hormone de croissance chez les -5 ans. J'avoue que je croyais pas à ses chiffres, mais en fait c'est même pire Les dépenses en injections d’hormone de croissance explosent en Corée du Sud alors que les parents « investissent » dans la taille de leurs enfants https://www.straitstimes.com/asia/growth-hormone-injection-spending-soars-as-south-korean-parents-invest-in-kids-height L'Angela Prefilled Pen (somatrogon), première injection hebdomadaire préremplie d’hormone de croissance en Corée du Sud, est prise en charge par l’Assurance nationale de santé depuis septembre 2023 pour les enfants de 3 ans et plus présentant une déficience en hormone de croissance. En Corée du Sud, la taille n’est plus seulement perçue comme un simple trait physique, mais comme un véritable atout à vie – et les parents dépensent des milliers de dollars en injections d’hormone de croissance pour offrir à leurs enfants le moindre avantage possible. À l’origine conçus pour les enfants atteints de troubles hormonaux graves ou de maladies génétiques, ces traitements sont désormais utilisés beaucoup plus largement, y compris chez des enfants qui grandissent normalement. Les données de santé publique révèlent une forte hausse des prescriptions d’hormone de croissance à l’échelle nationale. Selon le service d’évaluation et de révision de l’assurance maladie (HIRA), le nombre de prescriptions a presque doublé en trois ans seulement – passant de 138 537 en 2021 à 269 129 en 2024. Le nombre de patients concernés a plus que doublé, passant de 16 711 à 34 881 sur la même période. Mais ces chiffres ne reflètent qu’une partie de la réalité. Les données du HIRA ne couvrent que les traitements éligibles au remboursement selon les critères stricts de l’assurance santé nationale sud-coréenne – à savoir les enfants se situant sous le 3e percentile de taille, avec un diagnostic de déficit hormonal ou de maladies spécifiques comme le syndrome de Turner. Ces cas ne représentent qu’une infime portion des utilisateurs réels. En réalité, on estime qu’environ 97 % des prescriptions d’hormone de croissance sont financées de manière privée – ce qui suggère une demande bien plus importante. En dehors du cadre de remboursement public, les coûts sont élevés : un mois de traitement coûte en moyenne 700 000 wons (environ 440€), et une année complète peut dépasser 10 millions de wons. Le traitement consiste généralement en des injections nocturnes – jusqu’à sept jours par semaine – poursuivies pendant un à trois ans après un premier bilan hormonal. Malgré le coût et les contraintes, de nombreux parents sud-coréens considèrent ce traitement comme un investissement dans l’avenir de leur enfant. Dans les foyers aisés, cela fait partie de ce que certains appellent en plaisantant le « pack parental haut de gamme », au même titre que l’orthodontie ou les lentilles Ortho-K – des lentilles portées la nuit qui modifient temporairement la forme de la cornée pour corriger la myopie. Ces traitements sont prisés par les parents prêts à dépenser sans compter pour ce qu’ils estiment bénéfique à long terme pour leurs enfants. Une analyse de la répartition des prescriptions montre l’émergence d’un marché en pleine croissance ciblant ces familles. En 2020, 54,4 % des prescriptions d’hormone de croissance provenaient de grands hôpitaux universitaires. En 2024, ce chiffre est tombé à 38,2 %, tandis que les prescriptions émanant de petites cliniques de quartier ont presque triplé, passant de 4,0 % à 11,3 %. Ces cliniques, souvent appelées « cliniques de croissance », font activement la promotion de l’hormonothérapie dans une approche plus globale du développement de l’enfant, et leur nombre a explosé ces dernières années. Les données de ventes pharmaceutiques de la société mondiale d’analyse du secteur de la santé IQVIA indiquent que le marché sud-coréen des injections d’hormone de croissance a presque doublé en valeur, passant de 145,7 milliards de wons en 2019 à 277,5 milliards de wons en 2023. IQVIA estime que le marché a franchi la barre des 300 milliards de wons en 2024.
  22. Titus K

    Marine Grecque

    @GR_Silent As-tu entendu parler de cette histoire de chantier naval proche du ministre ? --> https://www.intelligenceonline.fr/grands-contrats/2025/06/06/athenes-met-la-pression-sur-naval-group-pour-sa-quatrieme-fregate,110462476-art Athènes met la pression sur Naval Group pour sa quatrième frégate En visite en France puis à Bruxelles, le ministre grec de la défense Nikos Dendias a habilement manœuvré pour obtenir des concessions de Paris pour ses futures acquisitions de navires. En jeu dorénavant, le choix des partenaires industriels en Grèce, dont l'un apparaît particulièrement proche de son parti politique. [...]
  23. Et puis c'est TKMS en face, nul doute qu'il y aura une plainte
  24. «Produire plus de poudre et d’explosifs, ce n’est pas qu’une question de moyens financiers mais de compétences», selon Thierry Francou, PDG d'Eurenco https://www.usinenouvelle.com/article/defense-produire-plus-de-poudre-et-d-explosifs-ce-n-est-pas-qu-une-question-de-moyens-financiers-mais-de-competences-selon-thierry-francou-pdg-d-eurenco.N2235785 Fabricant de poudre et d’explosifs, la société française Eurenco est en première ligne de l’économie de guerre. Elle doit investir massivement dans ses usines pour fournir les fabricants d’obus et de munitions. Son PDG Thierry Francou précise à L'Usine Nouvelle son plan pour relever le défi de la production et détaille ses objectifs de croissance. L'Usine Nouvelle - Eurenco a inauguré à Bergerac sa nouvelle unité de production de poudres pour gros calibre en mars dernier. Où en est la production actuellement ? Thierry Francou - Ce projet s’inscrit dans notre ambition de doubler nos capacités de production sur tous nos sites. Aujourd’hui, avec six mois d’avance sur le calendrier initial, l’usine tourne à pleine capacité, soit sur un rythme de production équivalent à 1200 tonnes par an de poudres gros calibre. Nous avons déjà produit plusieurs dizaines de tonnes de poudre pour qualifier notre production. Pour rappel, la construction de cette nouvelle unité avait été annoncée en février 2023 au ministère des Armées. Elle a été menée avec une rapidité remarquable grâce à la mobilisation de nos salariés et de nos partenaires. En cas de commandes supplémentaires, pourriez-vous augmenter cette capacité de production ? Nous avons déjà lancé un projet d’extension de cette capacité à Bergerac. Au-delà des deux lignes qui sont déjà à pleine capacité, nous avons deux autres lignes qui sont en cours de qualification. L’objectif est de porter notre production à 1800 tonnes par an sur l’ensemble de nos sites. Cet objectif prend en compte la cohérence de l’ensemble de notre chaine de production, depuis les matières premières de base jusqu’aux charges modulaires d’artillerie destinées à propulser les obus. Qui sont les clients de cette nouvelle unité de production? Pour l’instant, ces 1200 tonnes sont pour notre utilisation propre pour faire nos charges modulaires d’artillerie. Ce projet sécurise notre approvisionnement en poudre. Pour rappel, il avait été lancé car nous avions été lâchés par nos différents fournisseurs de poudre alors que nous avions tout le reste : les matières premières, la nitroglycérine et la nitrocellulose, les charges modulaires … Eurenco est sollicité par tous les fabricants d’obus et de munitions pour produire plus vite ses charges modulaires. Comment répondre à ce défi ? Notre vision industrielle, c'est une expansion sur l'ensemble de nos sites de production, avec des capacités de redondance et une robustification de notre outil industriel. Nous ne voulons pas tout avoir sur le même site. Nous avons prévu d’investir pour cela 650 millions d’euros entre 2024 et 2026 dans l’ensemble de nos sites. A quelle production d’obus de 155 mm correspondent vos moyens de production actuels de charges modulaires d’artillerie? Notre outil de production en propre aujourd'hui correspond à 90000 coups complets (tirs d’obus ndlr) et il va passer à 200000 coups complets en 2027. Nous avons des projets de croissance avec des partenaires afin de doubler encore cette capacité Votre groupe a annoncé récemment investissement dans son usine belge. De quoi s’agit-il ? L’usine de Clermont en Belgique est notre site qui fabrique aujourd'hui des poudres destinées au petit calibre et qui produit également la granule qui entre dans la composition des poudres de gros calibre pour alimenter le site de Bergerac. Notre investissement de 86 millions d’euros vise à diversifier et doubler notre capacité de production dans ces deux segments. Eurenco envisage-t-il de produire en Ukraine, comme le pays incite les industriels de l’armement ? Eurenco n’ira pas produire en Ukraine. Placer une usine de poudre et d’explosifs sur place, c’est compliqué. Par contre dans un pays à proximité, pourquoi pas ? Votre groupe a annoncé des objectifs de croissance ambitieux. Allez-vous les atteindre ? Notre plan de développement conçu avant la guerre en Ukraine prévoyait d’atteindre un chiffre d’affaires de 500 millions d’euros en 2025. L’objectif sera largement dépassé. Nous avons déjà réalisé 480 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2024. Et nous visons un chiffre d’affaires supérieur à 550 millions d’euros en 2025. L’an dernier, nous avions annoncé notre plan One Billion, soit atteindre un milliard d’euros de chiffre d’affaires avant 2030. Cela passe par le doublement de nos capacités de poudre et d’explosifs correspondant d’ici 2027 grâce à notre plan d’investissements de 650 millions d’euros. Comment financez-vous ces investissements industriels ? Eurenco a bénéficié de 90 millions d'euros de support étatique de la part de DGA et de la Commission européenne, le reste c'est de l'autofinancement. Cela a été abondé essentiellement par des commandes par anticipation d'un certain nombre de clients qui nous ont fait des contrats pour la période 2028-2032. Notre carnet de commandes s’élève à 3 milliards d’euros. Nous réfléchissions aujourd’hui à investir encore au-delà pour répondre aux besoins capacitaires supplémentaires de nos clients. Qui sont vos principaux grands clients ? Les principaux groupes qui fabriquent des munitions, qui tiennent à sécuriser leurs capacités. Aujourd’hui notre premier client est Rheinmetall qui pèse pour environ 13% de notre chiffre d’affaires. On voit arriver trois grands clients qui sont en train de monter en puissance : le groupe tchèque CSG, l’entreprise polonaise PGZ, et le Suédois Saab. Pendant le salon du Bourget, nous avons officialisé un accord avec ce dernier qui nous mène jusqu'en 2040. Saab nous demande et nous aide à investir afin de sécuriser ses capacités sur le long terme. C’est une première dans le secteur des munitions d’avoir une telle visibilité. Les commandes sont de plus en plus importantes. L’industrie va-t-elle savoir répondre à la demande ? Depuis l’éclatement de la guerre en Ukraine, il y a eu un retournement complet du marché. Eurenco a été créée il y a 20 ans en réponse à des impératifs de compétitivité et de surcapacité en matière de poudre et d’explosifs en Europe ! Aujourd’hui, les poudres et les explosifs ainsi que les produits nécessaires à leur fabrication sont devenus une denrée rare. Et il va falloir du temps pour que les capacités se mettent au niveau des commandes. Quels sont les défis pour les industriels dans ce domaine ? Ce n'est pas seulement une question de moyens financiers ou de rapidité d'exécution. Si Eurenco a pu aller aussi vite pour ouvrir des lignes de production en France, c’est parce que nous avions encore des compétences en Suède que nous avons pu dupliquer à Bergerac. Pour un industriel qui voudrait se lancer sur ce marché, il lui faudra une bonne dizaine d’année au minimum pour acquérir les compétences nécessaires. Quelles sont les compétences nécessaires à maîtriser ? C'est à la fois des compétences de chimie et de pyrotechnie. A titre d’exemple, en France, il n’y a qu’une école qui forme chaque année une poignée d’ingénieurs à la pyrotechnie. Il n’y a pas de formation d’ouvriers et on commence à peine à mettre en place des formations de techniciens. Les formations se font donc sur poste de travail. Cela demande donc d’avoir déjà les compétences en interne et de mettre en place des dispositifs de compagnonnage. Il faut environ 18 moins pour former un opérateur en production, compétent et qualifié. Dans l’industrie de l’armement, qu’est ce qui fait l’unicité d’une société comme Eurenco, à la fois en France et en Europe ? J’aime à dire qu’Eurenco est le chimiste de la BITD en France (base industrielle de technologique de défense, ndlr). En fait, notre métier, ça va être de transformer des matières premières chimiques de base en matière pyrotechnique. Donc on est le premier maillon de la chaîne. Il n'y en a pas d'autres en France. Notre seul équivalent en Europe, c'est Rheinmetall. Au-delà de la fabrication des poudres, êtes-vous tenté de produire également vos propres munitions comme Rheinmetall? Eurenco n’est pas munitionnaire et n’ambitionne pas de le devenir. On ne va pas faire d’obus, ni de munitions. Nous comptons conserver notre positionnement et continuer à vendre à tous les munitionnaires. C’est l’une de nos forces. Car les munitionnaires qui veulent être sûrs d’être livré préfèrent venir chez nous plutôt que chez un fournisseur qui est également un concurrent potentiel.
  25. Titus K

    La Force aérienne suisse

    Franchement je ne vois pas la Suisse faire machine arrière sur le Patriot, tant pis s'il y a des retards. Ils viennent de rejoindre l'European Sky Shield Initiative en commandant 5 IRIS-T SLM en plus des 5 Patriot ... ~30 Skyranger devraient suivre si je ne m'abuse. De toute façon il n'y a pas d'alternative disponible rapidement, d'après Eurosam un SAMP/T NG commandé en 2025 ne pourra être livré qu'en 2028 au plus tôt.
×
×
  • Créer...