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Tout ce qui a été posté par Titus K
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European "NEXT SPACE" mieux que "NEW SPACE" à la sauce US
Titus K a répondu à un(e) sujet de Bechar06 dans Engins spatiaux, Espace...
La flexibilité ? Je crois pas vraiment a leurs promesses, mais en soit ca permet de ne pas avoir à attendre d'avoir 10 tonnes a envoyer en orbite pour prévoir un lancement a prix compétitif. -
Notre Marine Nationale, les nouvelles, les effectifs, la composante
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
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Allemagne
Titus K a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
En plus l'AfD vient peut être de recevoir son cadeau de noel en avance ce soir ... Attaque contre le marché de Noël de Magdebourg --> https://www.bild.de/news/magdeburg-raste-auto-in-menschenmenge-grosseinsatz-auf-weihnachtsmarkt-6765b9fff0c2b32e8c26d02b Service de secours: 60 à 80 blessés Le service de secours de Magdebourg indique qu'il y aurait eu entre 60 et 80 blessés dans l'attaque. -
Allemagne
Titus K a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Comme quoi tout ce qu'il fallait pour relancer le programme spacial américain c'était un nouvel immigré proche de l'extreme droite allemande ... -
(Re)structuration du tissu industriel européen de défense
Titus K a répondu à un(e) sujet de Skw dans Economie et défense
C'est marrant j'ai toujours eu l'impression que la France était quand même le gros driver du développement des programmes chez MBDA ... La France seule --> MICA / Mistral / ASMPA / MDCN / Exocet / AKERON MP Et la France en coopération --> Meteor (12%) / SCALP (40%) / Aster (60%) / FMAN-FMC (50%) J'avoue ne pas bien comprendre cette réorganisation ...- 227 réponses
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@Teenytoon contrat signé pour 25 EF en Espagne, 115 avions au total l’Espagne https://www.airbus.com/en/newsroom/press-releases/2024-12-spain-orders-25-additional-eurofighter-aircraft The agreement, which follows a previous contract signed in 2022 for a batch of 20 fighter jets, will see the Spanish Eurofighter fleet grow to 115 aircraft. With the first delivery due in 2030, these new aircraft will: boost Spain’s air-power capabilities and operations; reinforce its prominent position at the heart of NATO, and secure the programme’s industrial footprint.
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énergie Energies renouvelables : projets et conséquences
Titus K a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Economie et défense
Catherine MacGregor, directrice générale d’ENGIE Patrick Pouyanné, président-directeur général de TotalEnergies Luc Rémont, président-directeur général d’EDF -
Elle est vraiment bien cette chaine, c'est agréable de voir des Français faire du contenu sur les armes a feu sans être des giga-beaufs.
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Si j'avais encore le droit le décorer ma chambre de posters (), j'aurais sans scrupule glissé un Zumwalt entre une FLF et le Richelieu personnellement ... les gouts et les couleurs !
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Pays-Bas
Titus K a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Youpi .... "L'entreprise néerlandaise ASML a annoncé, ce jeudi, la nomination de l'ancien ministre de l'Economie en tant que conseiller du conseil d'administration du groupe." -
(Re)structuration du tissu industriel européen de défense
Titus K a répondu à un(e) sujet de Skw dans Economie et défense
MBDA, le projet de réorganisation qui fâche la France et la Grande-Bretagne https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/mbda-le-projet-de-reorganisation-qui-fache-la-france-et-la-grande-bretagne-1014168.html Paris et Londres s'opposent à un projet de réorganisation de MBDA, accueilli favorablement par Rome. En jeu dans ce projet, l'influence des États clients dans un groupe très stratégique pour les intérêts souverains de la France, de la Grande-Bretagne et de l'Italie. Jusqu'ici tout allait bien chez MBDA... Les contrats de ventes de missiles s'empilent les uns après les autres depuis la guerre en Ukraine et gonflent un carnet de commandes propulsé notamment par une méga-commande de six milliards d'euros signée en 2024 par MBDA en Pologne. Résultat, le missilier affiche un carnet qui va atteindre fin 2024 des altitudes stratosphériques, soit environ 35 milliards d'euros, selon nos informations. Mais depuis neuf mois, la situation en interne s'est progressivement et très nettement tendue et crispée avec un projet de réorganisation profond (dont La Tribune s'est procurée une copie) voulu par le PDG de MBDA, Eric Béranger avec le feu vert de son conseil d'administration. Interrogé par La Tribune, le missilier n'a pas souhaité faire de commentaires. Un dossier très irritant pour Paris et Londres Si l'objectif de rendre le groupe plus efficient en vue d'écouler son colossal carnet de commandes apparait légitime, cette réorganisation touche également à la gouvernance du missilier et impacte l'influence des pays fondateurs de MBDA (France, Grande-Bretagne et Italie). Et là, c'est le drame. Car ce sujet fâche aussi bien en interne qu'à l'extérieur du groupe, la France et la Grande-Bretagne. Cette entreprise européenne (détenue à 37,5% par Airbus, 37,5% BAE Systems et 25% Leonardo) doit effectivement composer dans sa gestion industrielle et managériale avec les intérêts souverains de trois nations qui ont créé cette entreprise en 2001 et pour lesquelles la filière missilière est extrêmement sensible et souveraine. Car cette industrie est souvent très décisive dans l'obtention de contrats à l'export de plateformes militaires (aéronefs, navires et véhicules blindés) développées en national. Et pour la France, MBDA va bien au-delà de ces considérations commerciales. La société représente un enjeu existentiel pour la défense française, le missilier faisant partie de l'écosystème de la dissuasion avec la production du missile nucléaire aéroporté ASMP-A, et puis plus tard, l'ASN4G. La réorganisation de MBDA mobilise beaucoup le ministère des Armées, qui se montre très vigilant sur ce dossier. Interrogé par la Tribune, le ministère n'a pas souhaité faire de commentaires. Ces derniers temps, les relations entre Eric Béranger et deux États fondateurs de MBDA (France et Grande-Bretagne) ont été animées, voire très animées. Le ministère, via la DGA (Direction générale de l'armement), a émis « un avis défavorable » à ce projet, selon un courrier du Délégué général pour l'armement (DGA) envoyé le 22 novembre à Eric Béranger et que La Tribune s'est procurée. Pour la DGA, la réorganisation n'est ni dans le bon timing, ni dans le bon tempo compte tenu du défi par MBDA de livrer en temps et en heure les missiles achetés par les pays pour reconstituer leurs stocks dans l'urgence. « Lancer une réorganisation d'ampleur aujourd'hui engendrerait à mes yeux une période d'instabilité contraire » à l'objectif d'une accélération des livraisons, explique Emmanuel Chiva à Eric Béranger dans son courrier. Interrogé par La Tribune, la DGA n'a pas non plus souhaité faire de commentaires. Par ailleurs, le ministère n'arrive pas à apprécier aujourd'hui en quoi la réorganisation, qui a été présentée par Eric Béranger, rendra la production plus efficiente pour permettre une hausse des capacités de production. Une influence de la France réduite « En outre, la réorganisation proposée me semble affaiblir la présence de la France dans l'instance dirigeante de MBDA, l'équilibre actuel se justifiant d'une part par les investissements réalisés par la France depuis la création de MBDA et d'autre part par le poids que représente l'entité française dans le chiffre d'affaires de MBDA et dans ses effectifs », écrit également le Délégué général pour l'armement. Et c'est là le cœur des mécontentements de la France mais aussi de la Grande-Bretagne. Dans le projet de réorganisation présenté au ministère des Armées, l'influence de la France est affaiblie par rapport à ce qu'elle est aujourd'hui tandis que celle de l'Italie monte en puissance. Si la réorganisation était mise en œuvre telle qu'elle a été présentée aux trois pays, Leonardo placerait deux Italiens à des postes clés, susceptibles de guider la stratégie et les investissements présents et à venir de MBDA : la direction des opérations et celle de la stratégie et de la croissance. Inacceptable pour Paris et Londres. La France serait ainsi marginalisée avec une seule direction, celle des programmes (au lieu de deux actuellement : opérations et programmes). Cette réorganisation réduirait également le rôle de Stéphane Reb, d'un des hommes forts au sein de MBDA et auquel la France tient tout particulièrement pour gérer les programmes de la dissuasion aéroportée, selon nos informations. D'ailleurs, les relations déjà fraîches entre Eric Béranger et l'actuel directeur des programmes de MBDA et directeur général MBDA France, se sont très nettement refroidies ces derniers mois. La Grande-Bretagne aurait quant à elle trois directions (finances, ventes et ressources humaines). Un calendrier suspendu Pour toutes ces raisons, Emmanuel Chiva a demandé à Eric Béranger de « suspendre » cette réorganisation et « de concentrer ses efforts à la pleine réalisation des objectifs industriels qui vous sont assignés, en particulier dans notre contexte d'économie de guerre ». Poussé par Airbus et Leonardo, notamment, le patron de MBDA semblait vouloir aller très vite en dépit des messages très négatifs de Paris et de Londres, déjà très irrités d'avoir été averti au dernier moment par MBDA et qu'une fois le feu vert du conseil d'administration acquis. Pour la France, il y a donc à la fois un problème de forme (tempo et calendrier) et de fond (remise en cause des équilibres entre les nations et de perte souveraineté). Aujourd'hui, il semblerait, selon des sources concordantes, que pour Eric Béranger, il est urgent d'attendre et de lancer une concertation avec la France et la Grande-Bretagne, notamment, de façon à ce que MBDA prenne en compte leur avis et leurs exigences. D'ailleurs, les groupes de travail au sein de l'entreprise, qui a déjà des coûts sur ce dossier, ont été arrêtés, selon nos informations. Et le projet de réorganisation est aujourd'hui présenté comme un document de réflexion et non plus comme un projet sur le point d'être lancé. Selon nos informations, MBDA prévoit au mieux un lancement de cette réorganisation pas avant la fin du premier semestre, si elle est effectivement lancée. Ce qui est certain, c'est que MBDA a besoin de se réformer pour être plus efficient dans la production industrielle, changer de dimension et donc accompagner ce monde nouveau qui a surgi depuis la guerre en Ukraine. A Eric Béranger de trouver un équilibre entre la volonté de ses actionnaires et les exigences de ses clients nationaux, qui devront quant à eux continuer à acheter des missiles et lancer des programmes pour peser sur le groupe. est une ligne de crête par nature instable pour Eric Béranger.- 227 réponses
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https://www.rid.it/shownews/7016/il-rinascimento-del-programma-eurofighter-parola-all-rsquo-ad-giancarlo-mezzanatto S'il y a bien un pays ou tu peux te permettre un peu d'hérésie, de blasphème et de sorcellerie ... profites-en Et puis tu va voir, le message va être bien reçu "Nous sommes à un tel point qu'aujourd'hui nous pouvons considérer l'Eurofighter TYPHOON, né comme un chasseur de supériorité aérienne, comme le meilleur swing role européen, grâce à une série de paquets d'amélioration (Phase Enhancements) développés par le Consortium dans le cadre d'une feuille de route de capacité fondamentale à la fois pour les Nations Partenaires, aux fins de la planification des fonds nécessaires, et pour l'industrie, à des fins de la planification des activités et des ressources." Il y en a 3 et ils sont très solides : La première, l'avion joue un rôle opérationnel avec des résultats très importants. Il suffit de dire qu'au cours des 2 dernières années, 80% des missions opérationnelles des flottes de chasse des pays partenaires ont été réalisées par l'Eurofighter TYPHOON, avec un engagement allant des missions de défense aérienne sur le flanc oriental de l'OTAN aux missions au Moyen-Orient - comme, par exemple, au Yémen pour défendre le trafic naval dans la mer Rouge ou pour lutter contre les attaques de missiles de l'Iran contre Israël. La seconde, un plan de développement des capacités clair et bien défini. Enfin, la troisième raison concerne le fort impact économique du programme. Sur les ventes --> Exactement. Je peux confirmer à cet égard une perspective de marché d'environ 150-200 nouveaux avions. Oui, exactement : il s'agit d'une perspective qui comprend à la fois de nouvelles commandes des pays partenaires - HALCON 2 en Espagne (25 exemplaires), la nouvelle commande de l'armée de l'air en Italie (24 exemplaires) et les soi-disant tranches allemandes 5 (20 exemplaires) annoncées par le chancelier Scholtz - ainsi que les opportunités qui émergent des campagnes d'exportation en cours. En outre, les signatures sur les contrats HALCON 2 et pour les nouveaux TYPHOON italiens sont imminentes. Nous sommes actuellement engagés dans 4 pays : le Qatar, l'Arabie saoudite, la Turquie et la Pologne. Dans l'ensemble, nous parlons d'environ 130 nouveaux avions. Dans les 3 premiers pays, le premier est BAE Systems, tandis qu'en Pologne, comme on le sait, Leonardo l'est.
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Le K-564 "Arkhangelsk"
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SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Dommage qu'il soit a 4000 mètres de fond, ca aurait pu faire un bon spot de plongée -
C'est quoi l'emport sous le Tu-22 ?
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Hum, ça change pas mal de choses ouais. Bon ça semble mal barré cette affaire si même eux s'y mettent. La vision d'horreur de l'Eurofighter ne leur a pas suffi? Ils veulent "rejoindre" le GCAP? Acheter des F-35? Ils se sentiraient moins "seuls" en même temps en étant si bien entourés... Hahaha quand on parle du loup ... https://www.idaero-plus.com/articles/interview-d-eric-trappier-sur-le-theme-de-la-souverainete/ Extrait : Pouvez-vous préciser les apports de la dissuasion pour votre industrie ? La mission de dissuasion aéroportée étant particulièrement exigeante, elle a obligé les forces aériennes et les industriels à développer de nouvelles compétences et de nouvelles technologies. À titre d’exemple, les FAS ont été les premières à utiliser le ravitaillement en vol, qui est aujourd’hui commun à toutes nos opérations. Elles ont aussi acquis des aptitudes spécifiques en planification et en conduite des opérations aériennes, qui ont été utiles dans des environnements conventionnels denses et hostiles, comme en Libye ou en Syrie. L’autonomie d’emploi requise pour la mission de dissuasion a, de même, conduit au développement des systèmes de contre-mesures électroniques, des moyens de navigation de bord et de pénétration en suivi de terrain automatique, qui ont pu être ensuite déclinés sur d’autres avions. La souveraineté « à la française » exclut-elle la coopération en matière de programmes militaires ? Non. D’ailleurs, Dassault Aviation a réalisé plusieurs avions en coopération : ATL, Alpha Jet, Jaguar, nEUROn. Ces expériences montrent que la coopération est possible à condition de respecter certains principes. D’abord, les spécifications technico-opérationnelles communes, arrêtées entre les partenaires d’un programme en coopération, ne doivent pas faire d’impasse sur les missions militaires considérées comme essentielles à leur souveraineté par les différentes parties prenantes. Par exemple, lors des discussions sur le projet d’avion européen, dans les années 80, il est vite apparu que nos partenaires potentiels ne souhaitaient pas que l’avion soit capable d’opérer depuis un porte-avions. Plus généralement, la polyvalence leur semblait superflue ou inaccessible, et leur besoin se situait uniquement au niveau d’un appareil spécialisé dans les missions de supériorité aérienne. L’air-mer et l’air-sol n’entraient pas dans leurs priorités pour ce programme. Sans même parler du nucléaire. Dès lors, la coopération n’était plus possible, et la France n’avait d’autre solution que de faire seule son avion, le Rafale. Avec le recul, nous constatons que ce choix était le bon, tant au point de vue budgétaire qu’au point de vue performances. Enfin, Dassault Aviation milite depuis les débuts du programme nEUROn, il y a 20 ans, pour que les coopérations adoptent certaines règles d’efficacité : associer les meilleurs talents sous la direction d’une unique maîtrise d’œuvre, avec un partage clair des tâches en fonction des compétences démontrées par chacun des partenaires, et non pas en fonction du « juste retour » territorial. La pertinence de ces règles a été démontrée par le total respect des performances et des budgets du nEUROn. Un programme qui s’écarte de ce modèle débouche souvent sur un matériel cher et sous-optimisé qui grèvera le budget de la défense et in fine, n’accomplira pas les missions attendues. La souveraineté est aussi une question d’efficacité. Aujourd’hui, nous travaillons avec les industriels allemands et espagnols dans le cadre du Système de combat aérien futur (SCAF). Nous avons négocié fermement pour préserver les savoir-faire de Dassault Aviation et obtenir la maîtrise d’œuvre du NGF, pièce centrale du SCAF. Pour que ce programme réussisse, il faut que les règles et principes que je viens d’évoquer soient respectés. Le NGF doit avoir la capacité Marine et la capacité dissuasion nucléaire. Nous sommes mobilisés pour définir un démonstrateur qui devrait voler vers 2029. Ce démonstrateur suppose de nouvelles étapes contractuelles pour lesquelles le partage des tâches reste encore à négocier, en particulier sur les aspects de la fabrication. En attendant, et jusqu’au-delà de 2060, le Rafale restera le cheval de bataille de l’armée de l’Air et de la Marine. Nous le faisons évoluer régulièrement, notamment en développant un drone de combat prévu avec le standard F5. En termes de puissance aérienne, le Rafale demeure l’ultima ratio de la souveraineté française.
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques
Titus K a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
18 F-16 pour l'EFTC en Roumanie + 24 F-16 pour l'Ukraine --> 42 F-16 Néerlandais Les F-16 néerlandais reçoivent une nouvelle destination en Roumanie pour la formation des pilotes https://www.defensie.nl/actueel/nieuws/2024/12/13/nederlandse-f16s-krijgen-een-nieuwe-bestemming-in-roemenie-voor-training-van-vliegers Les Pays-Bas veulent transférer officiellement 18 F-16 restants à la Roumanie. Les avions de chasse sont déployés pour le centre européen de formation F-16 (EFTC) dans ce pays. Entre autres choses, pour former des pilotes ukrainiens. Les Pays-Bas n'utilisent plus les appareils eux-mêmes après être passés au F-35 moderne. Le ministre Ruben Brekelmans et son collègue roumain ont signé hier à La Haye une lettre d'intention pour le transfert. Brekelmans : « Le maintien d'un endroit où l'Ukraine peut former de nouveaux pilotes est très important. Ici, ils apprennent à défendre leur pays contre les attaques aériennes russes impitoyables avec l'appareil de chasse. En plus des avions que nous livrons directement à l'Ukraine, nous soutenons à la fois notre allié roumain de l'OTAN et l'Ukraine avec ces F-16. L'EFTC joue un rôle clé dans notre détermination à fournir à l'armée de l'air ukrainienne la capacité du F-16. C'est bon pour la sécurité de l'Ukraine, de la Roumanie, de l'OTAN et donc aussi des Pays-Bas. » Centre de formation L'EFTC de la base aérienne de Fetesti forme les futurs pilotes F-16. Par exemple, en juillet de cette année, les premiers pilotes roumains ont terminé leur formation. Ils sont utilisés pour protéger l'espace aérien de l'OTAN. En septembre, les soldats ukrainiens ont commencé leur formation sur le F-16. En plus des F-16 pour le centre de formation, les Pays-Bas en fournissent également 24 à l'Ukraine. Avec le Danemark et les États-Unis, les Pays-Bas mènent les efforts de capacité du F-16 pour l'Ukraine. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
Titus K a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est le "on" tres inclusif ... aka "Occident" aka en fait "USA" ? Parcque si tu parles de ces gens la, pense que tu les surestimes grandement... -
Le Scaf fait l'objet d'un lobbying intense d'une entreprise qui veut tout faire, alors que, selon l'adage, « seul plus on va plus vite, en groupe on va plus loin », même si la coopération demande des concessions. Il y aura un successeur au Rafale, le projet qui se déroule en coopération fera l'objet d'une information au Parlement l'an prochain, un rendez-vous entre la France, l'Espagne et l'Allemagne doit être pris avant la fin de l'année pour le lancement de la phase 2, lequel est subordonné aux échéances électorales allemandes. La dissuasion n'est pas en risque, nous ne cèderons rien sur le sujet ; le nouvel avion sera capable de porter le missile nucléaire, il n'y a pas de question sur le sujet. Soit nos partenaires le comprennent, soit nous ferons autrement, nous avons des plans alternatifs. En tout état de cause, l'absence de restriction à l'export est une condition sine qua non que nous posons pour aller plus loin sur le projet.
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Est-ce ca ne justifierait pas plutôt developper en 1er un drone ravitailleur un minimum furtif ? Parce-que ce problème de rayon d'action sera le même sur tout les LW ... En plus pour la MN le NGF ne pourra probablement pas ravitailler comme le Rafale depuis le PA. Par exemple le MQ-25 ravitaille 6 tonnes de carburant à 500 nautiques, ca ravitaille combien de tes drones ? 1.5 ? Sachant qu'à 500 nautiques 1 MRTT peut délivrer environ 60 tonnes soit l'équivalent de 10 MQ-25.
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European "NEXT SPACE" mieux que "NEW SPACE" à la sauce US
Titus K a répondu à un(e) sujet de Bechar06 dans Engins spatiaux, Espace...
Les recettes d’ArianeGroup pour concevoir son premier minilanceur réutilisable avec MaiaSpace https://www.usinenouvelle.com/article/les-recettes-d-arianegroup-pour-concevoir-son-premier-minilanceur-reutilisable-avec-maiaspace.N2224317 Pour concevoir son minilanceur réutilisable, la filiale d’ArianeGroup MaiaSpace veut combiner l’agilité d’une start-up du newspace sans renier l’héritage de l’Europe spatiale. Son premier vol commercial est prévu en 2026 avec pour objectif de réaliser une vingtaine de tirs par an depuis la Guyane à l’horizon 2032. Plus qu’un symbole. Dans l’immense site d’Arianegroup, à la lisière de la forêt de Vernon (Eure), dans l’un des multiples halls d’assemblage de la zone, les salariés de la start-up MaiaSpace ont pris possession des lieux. Ils commencent à assembler le prototype de leur minilanceur dans le bâtiment A37, au cœur même de l'endroit où ont été produits les moteurs des premières fusées Ariane depuis le début des années 1970. Malgré l’ancienneté de la structure, le grand hall d’assemblage avec ses ponts roulants est suffisamment haut et long pour manipuler à l'horizontale les tronçons de fusée d’une dizaine de mètres de long et de plus de 3,5 m de diamètre. «Ce hall d’assemblage a été utilisé pour les fusées d’Ariane 1 à Ariane 4. En termes de dimensions, il correspond parfaitement à nos besoins pour une production en série. Les moteurs arriveront directement d’un bâtiment voisin», explique Jean-Michel Sannino, directeur de l’usine MaiaSpace à Vernon. Le responsable est lui-même un ancien… d’ArianeGroup, où il travaillait sur les programmes du futur. A côté du minilanceur en construction patientent une poignée de réservoirs d’ergols de la taille d’un gros chauffe-eau. «On va les soumettre à des tests en pression et de température pour évaluer nos nouveaux procédés de soudure. Pour certains, on ira jusqu’aux limites» explique le directeur de l'usine. Une démarche typique du newspace ou l’on hésite pas à détruire pour apprendre. Court-circuiter la règle européenne du retour géographique En avril 2022, la filiale d’ArianeGroup, société commune à Safran et Airbus, s’est lancée dans la course à la fabrication d’un minilanceur réutilisable. Sur ce segment, en Europe, les concurrents sont nombreux : l’espagnol PLD Space, le britannique Orbitex, les allemands RFA et Isar Aerospace ainsi que les français Latitude, HyprSpace, Sirius… Ces minilanceurs conçus pour mettre sur orbite des charges utiles entre 500 kg et 1,5 tonne espèrent se faire une place à côté des moyens et gros lanceurs déjà sur le marché. Comme la fusée Falcon 9 de SpaceX ou encore les lanceurs Vega C et Ariane 6 de l’agence spatiale européenne. Grâce à leur capacité de mettre sur orbite des charges jusqu’à dix fois plus importantes, les gros lanceurs affichent un prix au kilo mis en orbite mécaniquement plus bas grâce aux économies d’échelle. A moins que… «Il faut concevoir et fabriquer différemment nos lanceurs. Sinon on ne pourra pas être compétitif», explique Yohann Leroy, PDG de MaiaSpace. Maiaspace et ses 230 salariés, affichent des objectifs ambitieux : un premier vol commercial en 2026, soit moins de cinq ans après sa création, et une cadence d’une vingtaine de tirs par an à l’horizon 2032. Grâce à ses dimensions relativement plus importantes que les autres minilanceurs (50 m de hauteur, 3,5 m de diamètre), la fusée construite à Vernon ambitionne d’être compétitive sur différents segments de marché. Le lanceur sera capable de lancer des charges utiles de 500 à 1500 kg mais également des grappes de satellites en constellations avec un prix au kilo en orbite comparable à celui des lanceurs lourds. Alimenter les bureaux d'études en multipliant les essais Comment ? En s'imposant comme le chainon manquant entre le newspace symbolisé par SpaceX et le "oldspace", soit les acteurs traditionnels du secteur. Ainsi 40% de ses effectifs proviennent de la filière historique du spatial (ArianeGroup, CNES, ESA…) et 60% proviennent d’horizons différents. «C’est le bon rapport, sourit le dirigeant. A la fois pour ne pas commettre d’erreurs de débutants grâce à des experts qui ont déjà développé des lanceurs, et en même temps pour être en capacité de faire les choses différemment.» Surtout, pour MaiaSpace, hors de question de réinventer la roue. Plutôt que développer un nouveau moteur pour ses fusées, la société s'équipe auprès d’ArianeGroup du moteur Promethéus de 120 tonnes de poussée développé pour le compte de l’ESA pour répondre au besoin des lanceurs réutilisables. Même philosophie pour le pas de tir. Elle fera décoller sa fusée depuis l’ancien pas de tir des fusées Soyouz au centre spatial guyanais, libre depuis le départ des Russes de Guyane. La société s’inspire également des recettes d’Elon Musk pour accélérer ses développements. MaiaSpace s’appuye sur la méthode «test and learn»(essayer et apprendre) qui a permis à SpaceX de mettre au point ses fusées réutilisables. «On apprend plus en échouant qu’en restant derrière un ordinateur», explique Yohann Leroy. Ainsi, dans le hall A37, pour la fabrication du premier étage de son lanceur, les équipes vont procéder en trois étapes. Elles vont concevoir successivement deux prototypes qu’elles pousseront à leurs limites avant de produire l’exemplaire de vol. Et rien de tel que les essais terrains. La filiale d’ArianeGroup peut profiter pleinement des moyens techniques disponibles à Vernon. Dans l’une des zones de tests du site, les équipes commencent à tester le mécanisme de séparation entre les deux étages du lanceur. Dans une autre zone, elles évaluent les moteurs du 3eme étage livrés par différents fournisseurs. Encore ailleurs, elles reproduisent les opérations au sol de remplissage et de vidage du second étage. «L’ensemble de ces essais alimentent nos bureaux d’études avec de la connaissance qui leur permettent à leur tour de concevoir des prototypes qui s’approchent du modèle du vol, explique Jérôme Vila, responsable du lanceur pour MaiaSapce. La proximité géographique entre la zone d’essais et les ateliers est clé dans notre équation.» Un modèle de développement pour le successeur d'Ariane 6 Sur le plan industriel, MaiaSpace ne va copier le modèle ultra intégré de SpaceX qui fait quasiment tout lui-même pour fabriquer son lanceur. «En fonction de chaque équipement : la baie moteur, l’avionique, les réservoirs… Nous regardons si c’est mieux de faire par nous-mêmes ou par un partenaire. Aujourd’hui, 40% des coûts sont générés par nos partenaires hors de France en Europe», explique Yohann Leroy. Par contre, pas question de se faire imposer ses fournisseurs par l’agence spatiale européenne (ESA) comme c’est le cas pour Ariane 6 ou Vega C. Soumis à la règle du juste retour géographique, les maîtres d’œuvre respectifs, ArianeGroup et Avio sont contraints de sélectionner des fournisseurs dans les pays qui ont contribué financièrement à leur programme. «Nous choisissons nos partenaires où nous voulons en Europe en fonction de leur compétitivité», assure-t-il. Pour s’affranchir de cette contrainte, MaiaSpace a pu bénéficier des investissements de ses deux actionnaires de référence. Et si la société participera bien à la compétition organisée par l’ESA dans le domaine des minilanceurs, ce n’est pas pour récupérer des fonds mais pour décrocher des contrats institutionnels. Safran et Airbus ont déjà financé leur filiale à hauteur de 125 millions d’euros et devraient mettre au moins autant en 2025 pour poursuivre son développement. Avec le secret espoir que ces investissements soient profitables au futur successeur d’Ariane 6. «Le futur lanceur lourd européen, s’il s’inspire nos méthodes, pourrait coûter trois fois moins cher que les concurrents traditionnels», estime le dirigeant. Pour produire à plus grande échelle, MaiaSpace veut disposer de sa propre usine. Deux sites sont en concurrence pour accueillir la "MaiaFactory" : le site de Vernon, qui offre la proximité avec la zone d’essais et la fabrication des moteurs, ou celui des Mureaux, dans le département voisin (Yvelines), où sont déjà assemblées les nouvelles Ariane 6. Le choix sera réalisé d’ici à la fin de l’année.