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AIR-DEFENSE.NET

Titus K

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Tout ce qui a été posté par Titus K

  1. D'après Bloomberg, Apple songe sérieusement à acheter Mistral pour rattraper son retard dans l'IA. Mistral est valorisée à 6 Md€ et emploie 200 personnes en France
  2. ... Cela reste ma plus grande crainte concernant les futurs missiles de croisière et les missiles antinavires. Le document RAF Air & Space Power 2025 confirme que, selon les plans actuels pour le SPEAR 5, la RAF s’oriente uniquement vers l’adoption du TP-15 subsonique et furtif (avec le RJ-10 espéré pour la Marine ?). Il faut espérer que cette absurdité sera annulée. Si vous concevez deux missiles aux capacités complémentaires, vous devez ensuite utiliser les deux. Le RJ10 promet une capacité anti-radar (qui manque à la RAF), ajoute de la vitesse, et est également censé frapper les AWACS ennemis en vol à très longue portée. Les deux missiles sont nécessaires, sur avions comme sur navires. Par ailleurs, MBDA pousse le SPEAR Glide comme un compagnon radicalement moins cher du SPEAR 3 / SPEAR EW, reproduisant en quelque sorte le duo SDB/SDB 2 utilisé aux États-Unis. C’est parfaitement logique, mais je pense qu’il y a de très fortes chances que le Royaume-Uni achète bientôt des SDB comme solution d’attente à distance pour le F-35 et comme solution d’accompagnement économique à long terme.
  3. Ok donc avec 300 missiles par an en 2028 c'est deja la pénurie rien que pour couvrir le besoin FR/IT Je commence a comprendre les pays qui choisissent le Patriot... c'est comme si on prévoyait de ne rien vendre a l'export. C'est quoi la solution, commander 1000 missiles supplémentaires pour créer un stock stratégique afin de soutenir l'export ?
  4. Titus K

    Marine Néerlandaise

    Dans la famille « Barracuda », je demande… le Blacksword® Barracuda. https://www.naval-group.com/fr/naval-review-2 Inspirée des concepts et méthodes de travail développés pour la classe Suffren, la ligne de sous-marins océaniques à propulsion conventionnelle est un concentré de furtivité et de technologie. Extrêmement silencieux, puissant, polyvalent et endurant, ce sous-marin d’attaque de 3 000 tonnes a déjà séduit la marine néerlandaise. SUPÉRIORITÉ ACOUSTIQUE ET PUISSANCE TACTIQUE À l’instar de son parent français, le Blacksword® Barracuda comptera parmi les sous-marins les plus discrets au monde et sera doté de capacités de détection exceptionnelles. Avec sa capacité d’emport de près d’une trentaine d’armes lourdes, il pourra opérer sous l’eau pendant plusieurs jours et à des vitesses élevées, grâce à ses batteries lithium-ion de dernière génération. Son système de combat intuitif intègre les dernières innovations et optimisations héritées des travaux menés sur la classe Suffren. Enfin, ses équipages bénéficieront de conditions de vie à bord améliorées pour permettre des missions plus longues. UN SOUS-MARIN ADAPTABLE, UNE OFFRE DE VALEUR ÉTENDUE Pour répondre aux besoins multiples des marines, le Blacksword® Barracuda pourra intégrer des armes et des équipements particuliers tels que des drones. Appelé à naviguer dans des environnements opérationnels différents, il sera capable de réaliser des missions de surveillance de zone étendue, des frappes vers la terre et des opérations spéciales. Il pourra se déployer avec une force aéronavale et coopérer au sein de coalitions. Autre atout : l’offre de Naval Group comprend la formation, des entraînements sur simulateurs ainsi que du transfert industriel de technologie jusqu’au maintien en condition opérationnelle. PREMIER SUCCÈS À L’INTERNATIONAL Les Pays-Bas ont choisi Naval Group pour renforcer les capacités stratégiques de la marine néerlandaise (voir Naval Review n° 1 page 6) : quatre sous-marins conventionnels de la famille Barracuda dont les deux premiers seront livrés d'ici à 2034, suite à la signature, le 30 septembre 2024, de l’accord de livraison relatif au programme de remplacement des sous-marins néerlandais (RNSC). Du fait de leurs caractéristiques, ces sous-marins expéditionnaires pourraient également séduire d’autres marines souhaitant se projeter loin et longtemps, sur de larges zones.
  5. https://www.naval-group.com/fr/naval-review-2 De plus, nous dialoguons en permanence avec les équipes chargées du maintien en condition opérationnelle (MCO) pour intégrer aux navires en construction le retour d’expérience lié à l’exploitation des SNA en service. Celui du Suffren a conduit à modifier légèrement les sous-marins 2 et 3. Des évolutions plus importantes sont apportées aux sous-marins 4, 5 et 6. Enfin, le programme EVOL SNA a été mis en place pour maintenir les SNA au meilleur niveau opérationnel dans un « Nous sommes à mi-chemin du calendrier des livraisons et à plus de 85 % d’avancement du programme. » Le retour ­ d’expérience dont nous disposons désormais nous a conduits à adapter notre outillage pour optimiser la préparation des navires afin d’être capables de réaliser en dix semaines les travaux préventifs et correctifs, et les éventuelles évolutions capacitaires dont les SNA du programme Barracuda bénéficient chaque année lors de leur période d’indisponibilité pour entretien (IE). Prochain enjeu majeur pour nos équipes : être prêts pour la première indisponibilité périodique pour entretien et réparation (IPER) du Suffren, qui aura lieu en 2030. » Les phases de conception et de réalisation des chaufferies étant complètement imbriquées dans celles des navires, nos équipes sont en échange permanent depuis le démarrage du programme. Elles étaient présentes sur le site Naval Group de Nantes-Indret pour le prémontage en atelier des modules de chaque réacteur, dont les principaux composants ont été réalisés par Naval Group – cette phase est désormais terminée. --> Page 35 beaucoup d'info sur les infrastructures d'accueil de SNA à Toulon
  6. Le Naval Review nº2 vient de sortir --> https://www.naval-group.com/fr/naval-review-2
  7. Titus K

    Marine Néerlandaise

    Nouvelle lutte contre les mines : sans équipage et à distance https://magazines.defensie.nl/allehens/2025/06/09_alh-06-lancering-k-ster Lancement du premier K-Ster C : “Tourner la clé et boum” Le K-Ster C est une nouvelle arme de destruction de mines à usage unique. Un drone sous-marin doté d’une charge explosive à l’avant, capable de faire exploser une mine à distance. L’officier des opérations du groupe Minecountermeasures Module (MMG), le lieutenant de vaisseau de deuxième classe Richard Jonkers, a eu le privilège d’appuyer sur le bouton lors du premier tir réel du système de lutte contre les mines. Celui-ci a eu lieu depuis le navire-mère MV Geosea au large de Scheveningen. “ J’ai ressenti une tension croissante pendant la manœuvre, j’ai tourné la clé et boum.” LTZ 2OC Richard Jonkers est l’officier des opérations du MMG depuis octobre de l’année dernière. Comment s’est déroulé le lancement ? Jonkers : “Avec mes prédécesseurs, nous avons travaillé pendant plusieurs années pour arriver à ce moment. Mais nous avons souvent été confrontés à de mauvaises conditions météorologiques ou à des problèmes techniques. Nous travaillons en effet avec du matériel qui n’avait encore jamais été utilisé en mer du Nord agitée. Ce n’est qu’à ma troisième tentative que tout s’est bien passé. Cela dit, c’était stressant de le faire pour la première fois. Nous avions bien une checklist et avions répété les procédures, basées sur un véhicule similaire, mais sans explosifs. Là, pour la première fois, nous faisions vraiment exploser quelque chose.” Le K-Ster C provient du fournisseur français Exail. Que peut faire le K-Ster C ? Jonkers : “Le K-Ster C est équipé de 4 moteurs électriques : 2 propulseurs verticaux qui régulent la profondeur, et 2 moteurs pour la propulsion. Il contient 2,5 kilos d’explosifs dans sa tête. Le drone est aussi doté d’une caméra et d’un sonar de poursuite intégré. Cela nous permet de voir où aller. Une fois à proximité, nous vérifions avec la caméra si nous avons bien le bon contact. Ensuite, nous passons en mode attaque, qui permet un meilleur contrôle et nous permet de rester proche du contact. Enfin, nous regardons où se trouve la charge de l’objet et où il est préférable de faire la détonation. Après ça, c’est “tourner la clé et boum”.” Dans la tête “inclinable” du K-Ster C se trouvent 2,5 kilos d’explosifs. D’où vient le K-Ster C ? Jonkers : “Le K-Ster C vient du fournisseur français Exail. Nous avons actuellement un soutien français à bord. C’est parce que le système peut encore présenter des défauts de jeunesse, comme tout appareil nouvellement développé. Des éléments qui cassent ou des logiciels contenant des erreurs. L’assistance française est prévue contractuellement. Enfin, nous sommes l’un des premiers pays en Europe à utiliser le K-Ster C.” Pourquoi avons-nous choisi précisément le K-Ster C ? Jonkers : “Nous avons constaté que notre chasse aux mines actuelle est obsolète. Tant les équipements que nous utilisons que les navires eux-mêmes, qui ont 40 ans. Alors que les mines modernes sont plus intelligentes et beaucoup plus difficiles à détecter. Cela rend les navires de plus en plus vulnérables. Nous voulions donc opérer davantage à distance. D’où le choix du principe ‘stand-off’. Un navire de surface sans équipage (USV) navigue jusqu’à la zone dangereuse et y effectue la chasse aux mines. Cela évite beaucoup de risques pour un navire avec équipage.” Le USV90 transporte des drones (sous-marins) depuis un navire-mère vers une zone contenant des mines et autres explosifs. Quel est le nouveau rôle des plongeurs qui posaient auparavant les charges ? Jonkers : “Les plongeurs restent nécessaires, car le fond de la mer du Nord est rempli d’infrastructures. Si nous faisions exploser une mine juste à côté d’un gazoduc ou d’un oléoduc, ce serait une catastrophe. Nous avons donc besoin des plongeurs pour activer un tel contact. Ensuite, nous le soulevons avec un ballon de levage et nous le remorquons à l’aide d’un navire, et bientôt aussi avec un USV. À un endroit sûr, nous faisons exploser l’engin à distance en toute sécurité.” Le Geosea est le navire-mère depuis lequel le K-Ster C a été lancé. Qu’est-ce qui change principalement dans la lutte contre les mines ? Jonkers : “On passe à une approche à distance, dans laquelle le navire-mère reste en dehors de la zone dangereuse et les systèmes sans équipage entrent dans le champ de mines. Actuellement, un chasseur de mines doit encore s’approcher des mines. Ce qui est risqué, car parfois il navigue au-dessus sans les détecter. Avec notre nouvelle méthode, nous envoyons d’abord un A18 (drone sous-marin autonome) ou un T18 (équipé de sonar SAS) dans la zone, pour cartographier le fond et vérifier la présence de mines. Grâce à la détection et à la classification, nous faisons la distinction entre une mine et, par exemple, une pierre. Ensuite, un USV équipé d’un seascan est envoyé pour identification par caméras. Si c’est une mine et qu’il n’y a pas d’infrastructure à proximité, le K-Ster C peut la faire exploser. Ainsi, l’équipage reste en sécurité, et une mine peut être identifiée et détruite en moins d’une demi-heure.” “La nouvelle lutte contre les mines repose sur une approche ‘stand-off’, dans laquelle le navire-mère reste en dehors de la zone dangereuse et les systèmes sans équipage pénètrent dans le champ de mines.” Quelles unités seront équipées de ce système ? Jonkers : “L’idée est qu’un navire de lutte contre les mines ait à l’avenir un équipage de base. Pour la chasse aux mines, des modules du MMG devront être ajoutés. Par exemple un module complet avec des USV, un A-18 ou un T-18 pour la détection et la classification, des K-Ster C, des seascans et des Skeldars. Nous aurons aussi des drones hélicoptères sans équipage.” Formation pour le K-Ster C Tous les membres de l’équipe de Jonkers reçoivent une formation chez Exail. “C’est la formation de base en usine. Avec l’Académie navale belge à Ostende, nous développons des formations complémentaires pour la nouvelle génération de membres du MMG. La Belgique et les Pays-Bas ont déjà commandé un grand nombre d’exemplaires de la version plus récente du K-Ster C. Ils seront opérationnels à la fin de l’année. Le K-Ster C est une arme fantastique et nous sommes les premiers au sein de la Défense à l’utiliser.”
  8. En effet, l’augmentation de l’activité dans les chantiers navals en France et en Italie va demander un paquet d’Aster dans les années qui viennent. MBDA annonce une production 300 missiles par an vers 2028, ce qui permettra tout juste d’équiper le matériel entrant en service. Rien que la construction navale pourrait (dépendamment des configurations) nécessiter 128 Aster, soit 40% de la production. 2 FDI "full" par an —> 64 Aster 1 FREMM EVO par an —> 32 Aster 1 PPA "full" par an —> 16 Aster 1 MRCV Singapour —> 16 Aster Ajoutez à ça les 5 sections SAMP/T qu’on vient d’évoquer —> 5 Sections * 4 MLT * 8 Aster —> 160 Aster, soit 50% de la production.
  9. C'est désespérant à lire, alors pour toi qui baigne dedans j'imagine même pas ... On va espérer que l'Ukraine aura changé des mentalités ... mais pour l'instant ca reste discret. D'ailleurs, à la genèse du projet SAMP/T dans les années 90, il était prévu d'acheter combien de systèmes ?
  10. Mais du coup Eurosam attend la premiere commande export pour relancer la production de MLT ou alors c'était juste pas une priorité et ca viendra plus tard ?
  11. Je comprend le dilemme et la nécessité de répondre au besoin Franco-Italien, mais monopoliser toute la production pendant 4/5 ans ca ne va pas aider l'export ... Heureusement que pour le Rafale on a lissé les commandes sur des décennies sinon la chaine serait peut-être deja fermée.
  12. Tu avais évoqué il y a quelques mois une capacité de production de 5 batteries (sections) de NG a partir de 2026 ... c'était une estimation réaliste ou plutôt un vœux ambitieux ? Ce serait vraiment impossible d'accélérer les cadences si on annonce une commande par ex 5/6 systèmes pour l'Ukraine livrés en 2026/27/28 ? (2 par an)
  13. Airbus Défense s'associe à KratosDéfense pour offrir le XQ-58A Valkyrie à l'Allemagne d'ici 2029.
  14. La France refuse de financer l'achat de Patriot pour l'Ukraine, bon soit... J'espère qu'il y aura un effort de fait pour financer des SAMP/T à la place. Même si les systèmes mettent du temps a arriver un annonce ne ferait pas de mal. On remarque que l'Italie ne participe pas non plus ...
  15. Tu parles de l'exercice Marathon25 ?
  16. D'après le site officiel des forces armées suédoise, c'est en fait 3 CB90 qui vont être prêtés à la MN --> La vedette d’assaut suédoise plus convoitée que jamais https://www.forsvarsmakten.se/sv/aktuellt/2025/07/den-svenska-stridsbaten-mer-eftertraktad-an-nagonsin/ Le système suédois de vedette d’assaut 90 HSM attire l’attention dans le monde entier. Cette vedette, qui constitue le cœur des unités amphibies, a été testée par de nombreux pays alliés à la recherche d’un système aussi flexible. Trois vedettes suédoises vont désormais être prêtées à la France pour des essais complémentaires. Les instructeurs suédois ont formé leurs homologues français pendant quelques semaines intenses. Une vedette d’assaut entrant dans un navire amphibie français C’est lors de l’exercice Baltops 24 que l’intérêt de l’armée française pour les vedettes suédoises s’est manifesté. À tel point que la question d’un prêt de trois unités a été posée à la marine suédoise pour une période déterminée. Quelques semaines plus tard, plusieurs officiers français étaient formés au système Stridsbåt le long de la côte ouest suédoise. Une fois la formation achevée, les vedettes ont pris la direction de la France pour être utilisées sous des latitudes plus méridionales. "Ce type de coopération avec nos alliés est aujourd’hui tout à fait naturel. La France est d’ailleurs un partenaire stratégique très important pour la Suède", déclare Johan Norlén, chef de la marine. RENFORCER L’ALLIANCE ENSEMBLE En prêtant ce système de vedettes à la France et en formant ses équipages, la Suède diffuse un savoir-faire précieux à ses alliés – un avantage certain pour la défense future de nos intérêts communs. Ces bateaux aux multiples capacités, capables d’évoluer rapidement et aisément près des côtes et des îlots, sont conçus avec soin : de l’agencement des commandes aux écrans, tout est pensé pour garantir une manœuvrabilité optimale dans des conditions restreintes. Un point qui a particulièrement impressionné les officiers français. "Ils ont été vraiment impressionnés par la conception réfléchie et la robustesse des vedettes suédoises", explique Håkan Persson, responsable de la formation. CAP VERS LE SUD Sous une forte contrainte de temps, les officiers et soldats français ont dû apprendre à la fois les aspects techniques et la manœuvre des vedettes. Les instructeurs – du régiment amphibie Amf 4, de la base navale et de l’état-major de la marine – ont mené la formation à un rythme soutenu, avec l’aide d’interprètes. L’objectif : qu’ils arrivent en France suffisamment formés pour pouvoir continuer à se familiariser avec le système de manière sûre et maîtrisée, dans leur environnement national. "Les Français étaient ravis de la formation. On sentait qu’ils avaient déjà l’habitude de manœuvrer des bateaux. En gros, ils n’avaient qu’à regarder la vedette pour comprendre comment elle fonctionnait", conclut Håkan Persson.
  17. Article de CorporalFrisk sur l’A400M —> https://corporalfrisk.com/2025/07/16/the-one-who-bore-the-skies-upon-his-back/ Il évoque le potentiel export notamment dans les pays nordiques.
  18. Nähere Angaben zu potenziellen neuen Partnern machte er nicht. In erster Linie dürfte er vermutlich an die Unternehmen im britisch geführten Global Combat Air Programme (GCAP) sowie an Saab aus Schweden denken --> Il pense probablement en premier lieu aux entreprises du programme Global Combat Air Programme (GCAP), dirigé par le Royaume-Uni, ainsi qu’à Saab, en Suède." Non il faut comprendre GCAP ou Saab.
  19. Oublie pas les M2000-5 ... --> https://www.intelligenceonline.fr/grands-contrats/2023/06/06/qui-sont-les-operateurs-de-la-discrete-vente-des-mirage-qataris-a-jakarta,109979537-eve A l'heure où les Mirage 2000-5 de l'armée de l'air du Qatar commencent à être acheminés en Indonésie
  20. Il avait déjà été annoncé (par Lecornu il me semble) qu'il n'y aucune signature de contrat à l'occasion de la visite du 14 Juillet
  21. Conflit autour du FCAS : le député CDU Mayer-Lay soutient l’industrie aéronautique allemande et critique la position française https://www.hartpunkt.de/fcas-streit-cdu-politiker-mayer-lay-stellt-sich-hinter-deutsche-luftfahrtindustrie-und-kritisiert-franzoesische-position/ 14 Juillet 2025 (Bravo pour la date de parution de l'article ) Après l’annonce, ces dernières semaines, des exigences du partenaire français Dassault Aviation et du gouvernement français, qui, selon Volker Mayer-Lay, visent un doublement des parts et davantage de compétences de direction par rapport aux partenaires européens dans le cadre du projet Future Air Combat System (FCAS), le député CDU prend position en faveur des entreprises allemandes. Membre de la commission de la défense au Bundestag, il y est également rapporteur pour la Luftwaffe. « Alors qu’il existe des accords clairs, cette proposition venant du côté français est totalement inutile et destructrice », déclare Mayer-Lay, cité dans un communiqué de son bureau. Il y a huit jours, hartpunkt avait été le premier média à rapporter que la partie française réclamait une part de 80 % dans la répartition du travail pour le chasseur — le New Generation Fighter — qui doit être développé dans le cadre du FCAS. « Vis-à-vis des partenaires d’Airbus, cela relève déjà d’un certain manque de respect », souligne le député, qui ajoute : « Si la France persiste dans cette exigence, le projet commun est voué à l’échec. » Il espère donc qu’un accord à l’amiable sera rapidement trouvé. La région du lac de Constance, où Mayer-Lay a sa circonscription, est l’un des sites les plus importants de l’industrie aéronautique et spatiale allemande, avec de nombreuses entreprises. Deux d’entre elles participent directement au développement du projet FCAS et sont donc directement concernées par les exigences françaises : Airbus Defence and Space (Immenstaad) et Indra Avitech (Friedrichshafen). D’après les informations disponibles, ces deux sociétés jouent un rôle clé tant dans la conception du futur avion de combat que dans le développement d’une solution systémique innovante aux capacités étendues, comparable à un poste de commandement aéroporté. Bien que Mayer-Lay affirme rechercher une solution constructive au conflit, il envisage également d’autres options : « Si le projet ne peut être poursuivi avec Dassault Aviation, Airbus aura d’autres possibilités de partenariat pour faire avancer avec succès ses propres développements dans un nouveau projet », déclare le député CDU.
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