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Tout ce qui a été posté par Titus K
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La Belgique fait don de tous les chasseurs de mines restants à la Bulgarie, les Pays-Bas peut-être aussi --> https://marineschepen.nl/nieuws/Belgie-doneert-alle-resterende-mijnenjagers-aan-Bulgarije-Nederland-mogelijk-ook-130925.html La Belgique fera don de quatre de ses chasseurs de mines « tripartite » actuels à la Bulgarie, a décidé le Conseil fédéral des ministres vendredi après-midi. La Bulgarie obtient les navires gratuitement, mais les fera d'abord moderniser par l'industrie belge, pour un contrat d'une valeur de 24 millions d'euros. Les Pays-Bas examinent également s'ils peuvent rejoindre le partenariat et donneront trois chasseurs de mines de la même classe. Il s'agit donc de l'ensemble de la flotte de mineurs belges et néerlandais.
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D'après le Finantial Times ce serait 4 systemes SAMP/T NG au Danemark Denmark chooses European air defences over US Patriots https://www.ft.com/content/ffb4da02-9b95-467d-904b-892d8a35d9d9 Le Danemark a passé une commande record de systèmes européens de défense aérienne plutôt que d’opter pour des alternatives américaines, dans un contexte de tensions entre le pays scandinave et l’administration Trump au sujet du Groenland. Jeudi, le gouvernement danois a choisi le système franco-italien SAMP-T, une arme sol-air longue portée, plutôt que le Patriot américain, best-seller du secteur. Il a précisé qu’il retiendrait une option norvégienne, allemande ou française pour la défense aérienne moyenne portée, pour un montant total de 58 milliards de couronnes danoises (9,1 milliards de dollars) — son plus gros investissement de défense jamais réalisé. « Ce n’est pas un rejet des Patriots. C’est une sélection de ce qu’il y a de mieux », a déclaré Per Pugholm Olsen, directeur de l’office des acquisitions du ministère danois de la Défense. Il a mis en avant le prix plus élevé et le délai de livraison plus long pour expliquer l’abandon de l’option américaine. La défense aérienne européenne a récemment attiré l’attention après qu’environ 19 drones russes ont pénétré l’espace aérien polonais mercredi, poussant l’Otan à déployer des chasseurs qui en ont abattu une partie — la première interaction directe avec des équipements russes depuis l’invasion de l’Ukraine en 2022. Cependant, certains experts remettent en question l’utilisation d’avions de chasse et de systèmes de défense coûteux contre de simples drones-leurres bon marché, et recommandent de développer rapidement des alternatives moins onéreuses. Les relations entre le Danemark et les États-Unis sont mises à rude épreuve depuis que le président Donald Trump a affirmé à plusieurs reprises vouloir prendre le contrôle du Groenland, immense île arctique appartenant au royaume de Danemark, refusant d’exclure le recours à la force. Le vice-président JD Vance, le fils du président Donald Trump Jr et l’influenceur récemment assassiné Charlie Kirk se sont tous rendus au Groenland cette année pour exprimer l’intérêt américain et critiquer la gestion de l’île par Copenhague. Stratégiquement cruciale, elle ne compte pourtant que 57 000 habitants. Le gouvernement centriste danois a répété à plusieurs reprises que le Groenland n’était pas à vendre, mais a affirmé vouloir renforcer ses liens avec les États-Unis sur la sécurité arctique et d’autres dossiers. Troels Lund Poulsen, ministre danois de la Défense, a assuré ne pas craindre que la décision sur les défenses aériennes n’aggrave les tensions avec Washington : « J’ai répété à plusieurs reprises que nous voulons un lien renforcé avec les États-Unis, donc non, je ne suis pas inquiet », a-t-il déclaré à la télévision danoise TV2, soulignant qu’« il y a un temps d’attente très long pour les Patriots ». La Première ministre Mette Frederiksen a exhorté l’armée danoise à « dépenser, dépenser, dépenser » alors que le pays s’engage à augmenter massivement son budget de défense face à l’invasion russe en Ukraine. Le Danemark a commandé 27 avions de chasse F-35 aux États-Unis, dont 17 ont déjà été livrés, les autres devant arriver « dans les années à venir », selon le ministère de la Défense. Jeudi, le ministère a annoncé qu’il achèterait un ou plusieurs des trois systèmes européens de défense aérienne moyenne portée : le NASAMS norvégien, l’IRIS-T allemand et le VL MICA français. La décision d’acquérir quatre systèmes SAMP-T NG est une bonne nouvelle pour la France et l’Italie, car elle marque la première vente de cet armement à une armée étrangère. L’ancienne version du SAMP-T avait échoué à plusieurs appels d’offres ces dix dernières années, des pays comme la Suisse ou la Suède lui préférant les Patriots américains. Cette fois, Paris et Rome ont activement promu le nouveau SAMP-T NG auprès de leurs voisins européens, en insistant sur l’importance d’acheter européen pour réduire la dépendance vis-à-vis des États-Unis. Ils l’avaient également proposé à la Belgique, mais celle-ci devrait finalement se tourner vers les Patriots. Le SAMP-T NG est fabriqué par MBDA, champion européen des missiles détenu conjointement par la France, le Royaume-Uni et l’Italie, tandis que les radars sont produits par Thales (France). D’autres pays comme la Grèce, l’Arabie saoudite et le Brésil pourraient aussi s’intéresser au modèle franco-italien lorsque leurs systèmes Patriot nécessiteront une modernisation, selon des sources industrielles, mais cela n’interviendrait que dans plusieurs années. Pareil chez aviation week --> https://aviationweek.com/defense/missile-defense-weapons/denmark-selects-sampt-long-range-air-defense-need Copenhague prévoit d'acquérir quatre batteries SAMP/T
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C'est donc des boucles magnetiques ET acoustiques. Je pensais que les test de discretion acoustique se faisaient en haute mer, parfois même avec un SNA.
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Europe de la Défense ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de samson dans Politique etrangère / Relations internationales
Le Sejm polonais vient d'obtenir le feu vert de la ratification par le président Karol Nawrocki du traité franco-polonais de Nancy. Avec un remarquable 403 votes en faveur ! Le soutien interpartis est frappant. Une fois que le Sénat aura confirmé, Nawrocki pourra inaugurer une nouvelle ère stratégique en matière de relations Franco-Polonaises -
C’est juste les donnes AIS —> https://www.marinetraffic.com/fr/ais/home/centerx:0.8/centery:46.8/zoom:7 Amiral Ronarc’h —> https://www.marinetraffic.com/en/ais/home/shipid:8839031/zoom:14 Kimon —> https://www.marinetraffic.com/en/ais/home/shipid:9538245/zoom:14 Une fois un navire sélectionné il suffit de cliquer sur « past track »
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Par contre ca devient un peu lourd de lire dans des articles, sur les réseaux sociaux et même ici des sous-entendus qui amènent à penser que la sélection du SAMP/T NG est uniquement la résultante de la potique etrangere de trump vis-avis du danemark et du groenland. Notre systeme a tout simplement remporté l'appel d'offre car il répondait mieux aux attentes du Danemark ... et l'histoire du groenland a pu aider un peu. Parce que dans ces cas la comment on explique que les Danois vont racheter des F35 supplémentaires ? ANALYSE : Le choix de la défense aérienne à 58 milliards de couronnes du Danemark est un rejet des États-Unis de Trump https://www.dr.dk/nyheder/indland/analyse-luftforsvaret-er-58-milliarder-fravalg-af-trumps-usa Un nouveau système de défense aérienne constitue le plus grand achat d’armement de l’histoire du Danemark – mais l’OTAN en exigera encore davantage. Il y a quelques semaines, la nouvelle est tombée : le Congrès américain avait approuvé une potentielle vente de plusieurs milliards de dollars de systèmes de défense aérienne Patriot au Danemark. Cela n’aura finalement servi à rien. Le Patriot est probablement l’un des rares systèmes de défense sol-air dont le grand public – y compris dans la file d’attente pour une glace à Fårup Sommerland – connaît le nom. « Patriot ». Une sorte de quarterback de la défense aérienne. Célèbre depuis les guerres du Golfe, et plus récemment pour ses performances en Ukraine, où les batteries offertes s’emploient activement à intercepter les attaques de missiles russes. Mais cela n’a pas suffi. Le quarterback a perdu lourdement. Le Danemark a choisi l’Europe. L’acquisition d’un système sol-air par le Danemark avait été annoncée comme un duel entre l’Europe et les États-Unis. L’Europe, qui a reçu au cours de l’année un réveil brutal avec l’arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche, assorti d’un message clair : « débrouillez-vous ». L’Europe marque un point Avec cet achat record, le Danemark et l’Europe franchissent désormais un pas décisif vers cette autonomie. Une décision qui aura un retentissement international. Elle donnera aussi un sérieux coup de pouce aux industriels européens de l’armement, qui voient arriver une importante commande d’un pays de l’OTAN comme le Danemark. Avec davantage de commandes viendra la possibilité d’accroître la production, et donc de mieux assurer l’indépendance. Le système Patriot – qui concourait au Danemark sous l’appellation plus technique IBCS (Integrated Battle Command System) – a, selon les informations de DR Nyheder, été battu à plates coutures par son concurrent européen, le SAMP/T NG. Par exemple, le Patriot était deux fois plus cher. Non seulement à l’achat, mais aussi en termes de coûts de fonctionnement sur l’ensemble de sa durée de vie. Sans parler de la catégorie la plus cruciale, celle de la performance militaire, où le SAMP/T NG a également surpassé son rival. Or c’est précisément cela qui compte : la capacité à détecter et abattre des menaces. Une gifle aux géants américains C’est un sérieux revers pour les géants américains RTX (Raytheon) et Lockheed Martin, concepteurs du Patriot. En revanche, c’est un succès potentiel majeur pour le consortium franco-italien Eurosam, que DR avait visité plus tôt cette année. Jusqu’ici, Eurosam avait eu du mal à vendre son système à d’autres armées que celles des pays producteurs, la France et l’Italie. Singapour fait figure d’exception. Et ce malgré le fait que la première génération du système ait également été déployée en Ukraine, où – m’a-t-on assuré en France – il obtient des résultats tout à fait satisfaisants : neuf cibles abattues sur dix tirées. Le sigle SAMP/T NG signifie d’ailleurs « Sol-Air Moyenne Portée Terrestre – Nouvelle Génération », autrement dit : « défense aérienne terrestre de moyenne portée – nouvelle génération ». Une touche américaine quand même Ce n’est pas seulement dans la catégorie longue portée que les offres américaines ont été écartées. Dans la catégorie des systèmes à portée plus réduite également, les propositions venues des États-Unis ont été rejetées. Là aussi, un concurrent américain était en lice, mais selon les informations de DR Nyheder, il a été classé parmi les moins performants. Cependant, si l’on regarde de plus près, on retrouve tout de même une touche américaine dans la décision finale : le système NASAMS du norvégien Kongsberg est en réalité une coproduction avec Raytheon. Les missiles AMRAAMinstallés dans les rampes de lancement sont fabriqués par l’industriel américain. C’est précisément ce point que Copenhague entend utiliser pour adoucir une éventuelle colère américaine. Car la décision n’a pas été prise sans inquiétude. Le Danemark avait pris soin d’évaluer à l’avance les conséquences d’un rejet des États-Unis. Comme pour tout ce qui touche à Trump, impossible de prévoir la réaction. Si jamais la gifle infligée au Patriot devait être interprétée comme une revanche liée à Ørsted, dont le projet d’éoliennes au large du Rhode Island vient d’être annulé, le Danemark est prêt. Les compensations viendraient alors sous la forme d’un engagement à acheter de nouveaux avions de combat F-35 de Lockheed Martin. « Et le NASAMS n’est-il pas, après tout, un système américain ? », entend-on à Washington. Ce n’est pas tout à fait la vision de Kongsberg en Norvège, mais passons. Le plus grand achat d’armes de l’histoire du Danemark Au passage, la facture a doublé. Le Parlement avait initialement budgété 25 milliards de couronnes pour une défense sol-air. Le coût total, incluant 30 ans d’exploitation, atteint désormais 58 milliards de couronnes – ce qui en fait le plus grand achat d’armement de l’histoire du pays. Un record qui semble se déplacer de plus en plus souvent ces temps-ci. À l’intérieur de cette enveloppe, on trouve d’ailleurs beaucoup plus d’« unités de tir » que prévu initialement. Cela s’explique par l’importance accrue de la défense aérienne au sein de l’OTAN, renforcée par les leçons de l’Ukraine. Avec cet achat, le Danemark devrait être « home safe » en ce qui concerne les objectifs capacitaires – c’est-à-dire les exigences précises en matière de matériel militaire que le pays doit fournir à la défense commune. Mais ce n’est qu’une première mi-temps Attention toutefois : 58 milliards de couronnes, c’est beaucoup, mais ce n’est que la première mi-temps. L’OTAN exigera encore bien davantage d’unités de tir danoises dans l’avenir. Avec cet achat, le Danemark n’est qu’à mi-chemin. Heureusement pour le gouvernement, la pression ne se fera sentir qu’au prochain cycle d’objectifs capacitaires. Comme les Jeux olympiques, ce cycle se répète tous les quatre à cinq ans. Pour cette fois, le Danemark est qualifié. Et l’équipe Europe en sort un peu plus forte.
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Défense aérienne : le SAMP/T franco-italien met le Patriot KO au Danemark https://www.challenges.fr/entreprise/defense/defense-aerienne-le-sampt-franco-italien-met-le-patriot-ko-au-danemark_624281 Le Danemark a préféré le système de défense aérienne franco-italien SAMP/T NG, développé par MBDA et Thales, au Patriot américain. Une première encourageante pour un équipement qui avait connu de multiples déconvenues à l’export. Le SAMP/T s’offre enfin le scalp du Patriot. Après des années de déconvenues à l’export, le système de défense aérienne SAMP/T NG (système sol-air moyenne portée/terrestre nouvelle génération), développé par le missilier européen MBDA et le français Thales au sein du consortium Eurosam, vient de frapper un grand coup. Il a été sélectionné par le Danemark, ce vendredi 12 septembre, qui l’a préféré au best-seller américain Patriot. Déjà utilisé par la France, l’Italie et l’Ukraine, le SAMP/T décroche ainsi son premier véritable contrat export, à l’exception d’une version dérivée vendue à Singapour en 2013. Le nombre exact de systèmes commandés n’a pas été précisé. Copenhague achètera également des systèmes de plus courte portée, le VL Mica français (MBDA), l’IRIS-T de l’allemand Diehl et le Nasams, développé par le norvégien Kongsberg avec le soutien de l’américain Raytheon. Le montant total de ces acquisitions, destinées à muscler au plus vite les capacités de défense aérienne du Danemark, est estimé à 7,7 milliards d’euros par Copenhague. « La guerre en Ukraine démontre clairement la nécessité d’une défense aérienne terrestre moderne, composée de plusieurs systèmes intégrés et assurant la protection de l’espace aérien à plusieurs niveaux », explique le chef d’état-major des armées danois, Michael Hyldgaard, cité dans le communiqué. Cette victoire au Danemark rompt une impressionnante série de déconvenues à l’export pour le système franco-italien. Ce dernier avait notamment été battu par le Patriot en Pologne, en Suisse ou encore en Suède. Mais les industriels y ont toujours cru. « Il y aura tôt ou tard un décollage des commandes, comme pour le Rafale », assurait le PDG de Thales Patrice Caine à Challenges en février dernier, en marge d’une visite du centre de recherche en IA CortAIx de Palaiseau. D’autres contrats espérés prochainement Les discours de Donald Trump évoquant une annexion du Groenland ont-ils joué un rôle dans le choix danois ? Possible, voire probable. La France, elle, avait mis toutes les chances de son côté, en montrant un soutien inconditionnel au Danemark, avec la visite d’Emmanuel Macron au Groenland le 15 juin dernier, et celle du ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot fin août. Le camp franco-italien espère désormais transformer l’essai en signant d’autres contrats rapidement. Le SAMP/T est notamment en lice en Belgique et en Estonie. L’Arabie saoudite, cliente du Patriot, regarde également le système franco-italien. Le délégué général pour l’armement Emmanuel Chiva assurait en mai 2024 au Figaro que le SAMP/T NG « représentera une rupture technologique vis-à-vis du Patriot américain ». « Ce sera l’un des seuls systèmes au monde capable d’arrêter un missile hypervéloce [à la fois hypersonique et manœuvrant, ndlr] », assurait-il. Plus efficace contre les missiles balistiques Le SAMP/T NG sélectionné par Copenhague est une version améliorée du SAMP/T classique, appelé Mamba dans l’armée de terre. Ce dernier intégrait un radar d’ancienne génération, développé par Thales (Arabel), ainsi qu’un système de lancement de huit missiles antiaérien Aster 30. De quoi détruire des cibles à plus de 100 km de distance. Le SAMP/T NG, en cours de développement, accroît considérablement ces performances, avec un radar de dernière génération, le GF 300, construit par Thales sur son site de Limours (Essonne), et une nouvelle version de l’Aster 30, au doux nom d’Aster 30 B1NT. Ce nouveau missile sera capable, selon le ministère des Armées, de frapper une cible à 25 km d’altitude et dans un rayon de 150 km. Il sera également capable « d’intercepter des missiles balistiques de moyenne portée et des missiles hypersoniques, qui se déplacent à des vitesses dépassant cinq fois la vitesse du son (Mach 5, soit 6 000 km/h) », assure encore le ministère. La France a commandé huit systèmes SAMP/T NG, qui seront livrés entre 2026 et 2030.
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Coopération Franco-Danoise Acquisition du SAMP/T NG par le ministère de la Défense du Danemark Le ministère de la Défense Danois retient le système de défense aérienne longue portée SAMP/T NG développé conjointement par la France et l’Italie Ce choix stratégique permettra au Danemark de disposer d’une capacité de défense aérienne de nouvelle génération permettant de protéger son territoire face à l’évolution des menaces aériennes. Par cette décision déterminante dans le contexte géopolitique actuel, et grâce à l’interopérabilité du SAMP/T NG avec les systèmes des partenaires, le Danemark contribue au développement de la sécurité européenne et à la défense collective de l'OTAN La DGA et l'AAE sont pleinement mobilisées pour accompagner et travailler avec leurs homologues danois dans le cadre de coopérations bilatérales de long terme.
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3 Rafales neufs ? Ils évoquent 14 M2000... Tu penses vraiment que des M2000 de plus de 20 ans valent 20-25% du prix d'un Rafale F4/F5 Neuf ? Deux exemples En 2017 on a vendu plus de 60 mirage F1 pour 21 millions € En 2005 on a vendu 12 mirage 2000 au brésil pour 60 millions € Sinon le Pérou a déjà des Mirage 2000 ... en quoi ils leur faudrait plus de mirage 2000 aujourd'hui pour qu'ils achentent des Rafales dans le futur ? D'ailleurs l'agument export Rafale fonctionne mieux pour l'Ukraine non ? Les integrer a l'écosysteme Dassault aujourd'hui permettra peut-être de leur vendre des Rafales dans le futur.
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Nos M2000 sont bien plus utilies en Ukraine que perdus au fin fond de l'AmSud, surtout qu'on les vendrait pour des clopinettes de toute facon. Ils peuvent toujours racheter les M2000 emiratis s'ils veulent.
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Espace, actualités et divers
Titus K a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Engins spatiaux, Espace...
Méga-fusion dans le spatial : Airbus, Leonardo et Thales entrent dans le « money time » https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/mega-fusion-dans-le-spatial-airbus-leonardo-et-thales-entrent-dans-le-money-time-1032235.html Les discussions entre Airbus, Leonardo et Thales en vue de fusionner leurs activités spatiales entrent dans le « money time ». Les trois groupes vont très prochainement discuter de la valorisation de leurs activités spatiales. L'opération de consolidation des activités spatiales d'Airbus, de Leonardo et de Thales a le feu vert de l’Élysée Selon nos informations, Airbus, Leonardo et Thales, qui sont alignés sur le principe d'une consolidation à trois dans le domaine de l'espace (hors lanceurs), vont se rencontrer la semaine prochaine pour lancer les négociations sur la valorisation de leurs activités spatiales. Et précisément, les trois grands groupes européens, qui souhaitent fusionner ces activités au sein d'une même entité détenue à parts égales, vont devoir s'entendre sur la valorisation de cinq entreprises : Thales Alenia Space, Telespazio, Airbus Space Systems, Airbus Intelligence, les activités spatiales de Leonardo. Accélération des négocations Le calendrier des négociations entre les actionnaires s'accélère dans la dernière ligne droite. Ainsi, les actionnaires vont entrer dans une phase très classique de négociations où chaque actionnaire va gonfler ses muscles et démontrer que son carnet de commandes va apporter à terme de la croissance et de la rentabilité pour la future société. Ainsi, Leonardo va notamment tenter de réduire le montant de la soulte qu'il devra payer pour détenir la même participation qu'Airbus et Thales dans la future entité. Une fois l'accord trouvé, les cinq sociétés seront vendues à la nouvelle entité créée, qui aura les mêmes actionnaires. -
—> https://x.com/xaviervav/status/1966407015451840649?s=61&t=-Od1EGA6bGlFktvqyTlEzQ Bon! C'est maintenant officiel, le Danemark a sélectionné le SAMP/T NG La question est maintenant de savoir si et comment cela aura un impact sur le prochain projet de frégate de la marine royale danoise. Certains responsables du DALO m'ont dit qu'il y avait certainement un avantage à avoir un missile commun entre la terre et la mer
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ON A GAGNÉ ! C’est officiel maintenant SAMP/T NG + VL MICA + IRIS-T + NASAMS Par contre, 8 systèmes composés chacun de 4 unités de tir … ça veux dire combien de batteries ? Les partis de l’accord de défense s’accordent sur un investissement historique dans des systèmes terrestres de défense aérienne et antimissile https://www.fmn.dk/da/nyheder/2025/forsvarsforligskredsen-enige-om-historisk-investering-i-jordbaserede-luft--og-missilforsvarssystemer/ Les partis signataires de l’accord de défense ont pris la décision d’acquérir des systèmes terrestres de défense aérienne supplémentaires. Un total de huit systèmes, à longue ou moyenne portée, seront acquis. Il s’agit du plus important investissement jamais réalisé en une seule fois dans la reconstruction des forces armées danoises. 12 septembre 2025 – 08h30 Les forces armées mettent en place une défense aérienne terrestre capable de protéger la population civile, les objectifs militaires et les infrastructures critiques contre les menaces aériennes. Avec la création de l’Air Defence Wing en mars 2025, les forces armées ont établi le cadre des investissements désormais engagés dans les systèmes de défense aérienne et antimissile. « La situation actuelle en matière de sécurité internationale fait de la défense aérienne terrestre une priorité absolue dans la construction des forces armées. L’expérience de l’Ukraine montre que la défense aérienne terrestre joue un rôle crucial pour protéger, entre autres, la population civile contre les attaques aériennes russes. Je suis donc très satisfait qu’une décision ait été prise avec les partis de l’accord pour un investissement important dans des systèmes supplémentaires de défense aérienne terrestre. Dès cette année, les forces armées pourront mettre en service opérationnel une première partie de cette capacité de défense aérienne terrestre, et je me réjouis que les partis de l’accord réagissent de manière à long terme face à l’évolution de la situation sécuritaire, » déclare le ministre de la Défense, Troels Lund Poulsen. Les acquisitions de défense aérienne terrestre ont suivi deux axes. En juin 2025, il a été décidé de procéder à l’acquisition d’urgence de systèmes de défense aérienne terrestre à moyenne portée, afin d’obtenir des effets le plus rapidement possible. Sur la base de la recommandation professionnelle du chef de la défense, les partis de l’accord ont désormais décidé d’acquérir au total huit systèmes à longue et moyenne portée respectivement. Les systèmes à moyenne portée acquis en urgence en feront partie. Pour le système à longue portée, il sera acquis le SAMP/T, produit franco-italien, tandis que pour les systèmes à moyenne portée, le choix se portera sur un ou plusieurs des systèmes suivants : le NASAMS produit en Norvège, l’IRIS-T allemand et le VL MICA français. Ces systèmes ont été sélectionnés sur la base d’une évaluation globale tenant compte des aspects opérationnels, économiques et stratégiques. « La guerre en Ukraine démontre très clairement la nécessité pour une défense aérienne terrestre moderne de combiner plusieurs systèmes intégrés, fournissant plusieurs couches de protection de l’espace aérien. C’est le concept de la défense aérienne terrestre dans lequel nous investissons et que nous développons au sein des forces armées, » déclare le chef de la défense, Michael Hyldgaard. Le coût total lié à l’acquisition et au fonctionnement des systèmes terrestres de défense aérienne et antimissile est estimé à 58 milliards de couronnes pour la durée de l’accord. Les acquisitions nécessitent l’approbation d’un acte par la Commission des finances. « La décision de retenir plus d’un ou deux fournisseurs permet de réduire les délais de livraison. Cela signifie que nous pourrons atteindre au plus vite une capacité complète de défense aérienne terrestre et ainsi soutenir au mieux le renforcement rapide de la puissance de combat du Danemark, » explique le chef du FMI, le lieutenant-général Per Pugholm Olsen. Faits : Un total de huit systèmes seront acquis, chacun comprenant quatre unités. Une unité de tir peut, de manière autonome, lancer un missile guidé contre une cible aérienne identifiée (typiquement composée d’un radar, d’une installation de contrôle, d’une ou plusieurs plateformes de lancement et d’un certain nombre de missiles). Avec cette acquisition, une défense aérienne terrestre sera présente sur l’ensemble du territoire danois afin de protéger, par exemple, la population civile, les villes, les objectifs militaires et les infrastructures critiques. Les systèmes pourront également être combinés afin de fournir une défense de zone plus robuste et multicouche, protégeant par exemple les villes et les grandes zones peuplées contre les mêmes types de menaces. Le premier système de défense aérienne terrestre devrait être mis en service opérationnel dès 2025, et le nombre de systèmes augmentera progressivement par la suite. « Le Danemark n’est pas suffisamment protégé contre les attaques de drones ennemis ou de missiles. Nous ne pouvons pas vivre avec une telle insécurité, et nous y remédions maintenant. Avec la décision du plus grand investissement de défense de l’histoire du Danemark, nous achetons un système de défense aérienne extrêmement puissant, capable depuis le sol d’abattre les missiles ennemis avant qu’ils ne nous atteignent. Cette décision renforce la sécurité au Danemark et, en même temps, la sécurité et l’autonomie stratégique de l’Europe, » déclare Simon Kollerup, porte-parole du Parti social-démocrate pour la défense. « Lorsqu’on suit l’actualité du combat pour la liberté de l’Ukraine, c’est presque un rappel quotidien qu’une défense aérienne efficace est absolument essentielle dans les conflits modernes. C’est pourquoi je suis heureux que nous soyons tombés d’accord, dans le cadre de l’accord de défense, pour investir massivement dans la défense aérienne terrestre. Car même si c’est coûteux, c’est un investissement absolument nécessaire pour protéger le Danemark, » déclare Peter Juel-Jensen, porte-parole du parti Venstre pour la défense. « Pendant beaucoup trop d’années, nous avons été privés d’une véritable défense aérienne, et c’était une situation intenable. Chez les Démocrates danois, nous sommes heureux de lancer maintenant le processus relatif à la défense aérienne terrestre. Il a été crucial pour nous de répondre rapidement aux attentes de l’OTAN et d’obtenir une défense aérienne capable de nous protéger contre des puissances étrangères, » déclare Lise Bech, porte-parole des Démocrates danois pour la défense. « Au Parti socialiste populaire (SF), nous nous réjouissons et nous partageons l’évaluation objective des forces armées qui, sur les trois critères importants, constitue le meilleur choix : rapidité de livraison, prix et développement de l’industrie de défense européenne, » déclare Lisbeth Bech-Nielsen, porte-parole du SF pour la défense. « L’Alliance libérale soutient les recommandations militaires professionnelles concernant l’achat de systèmes de défense aérienne. L’abattage de drones russes au-dessus de la Pologne montre très clairement qu’une défense aérienne forte est nécessaire pour la sécurité des Danois. Avec cette décision, le Danemark respectera les objectifs de capacité futurs de l’OTAN, ce qui est important pour l’Alliance libérale, mais il est également important de souligner qu’il est toujours étudié s’il existe des solutions temporaires pour renforcer immédiatement la défense aérienne du Danemark, » déclare Carsten Bach, porte-parole de l’Alliance libérale pour la défense. « Les Modérés sont très satisfaits du choix des systèmes européens de défense aérienne. Nous renforçons les entreprises européennes de défense et, en même temps, nous obtenons la livraison la plus rapide et donc le renforcement le plus rapide possible de la puissance de combat, » déclare Peter Have, porte-parole des Modérés pour la défense. « Pour nous, les Conservateurs, deux points sont essentiels lorsqu’il s’agit de renforcement militaire : la compétence et la rapidité. Nous devons obtenir ce dont les forces armées ont besoin pour protéger le Danemark et l’OTAN. Et nous devons l’obtenir rapidement. Nous obtenons les deux avec l’accord sur la défense aérienne terrestre. Et je me réjouis que nous soyons maintenant en mesure de répondre aux attentes de l’OTAN à notre égard, » déclare Joachim Hoffmann-Petersen, porte-parole du Parti conservateur pour la défense. « Le Parti du peuple danois se réjouit qu’avec cet accord, le Danemark puisse d’ici 2032 être entièrement protégé par des défenses aériennes à courte, moyenne et longue portée, » déclare Alex Ahrendtsen, porte-parole du Parti du peuple danois pour la défense. « Le Parti radical (Radikale Venstre) est satisfait que nous réalisions un investissement important pour établir une défense aérienne complète pour le Danemark. C’est une étape nécessaire si nous voulons disposer d’une défense solide en période d’incertitude. Lors des négociations, nous avons souligné l’importance que cet investissement soutienne autant que possible le développement d’une base industrielle européenne de défense plus solide, » déclare Stinus Lindgreen, porte-parole du Parti radical pour la défense.
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Wow ce serait potentiellement 4 SAMP/T NG au danemark Et 12 batteries moyennes portée, soit 9 en plus des 2 VL MICA et de l'IRIS-T (le NASAMS n'est qu'en location) On dirait que nous pourrions bientôt avoir la plus grande acquisition de défense du Danemark -- 53 milliards de DKK (7,1 milliards d'euros) pour la défense Sol-Air : 2 unités de longue portée (4 unités de tir) SAMP/T NG 6 unités de courte/moyenne portée (12 unités de tir) IRIS-T SLM MICA NASAMS
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Surtout que les norvegiens viennent de commander 40 à 50 000 tonnes de frégates assemblées en écosse et que les danois pourraient tres bien commander des T31...
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J'avais fait quelques recherches pour mon tableur livraison futures 1 Rafale livré en 2024, il me semble un monoplace EM09 Les biplaces DM17, DM18, DM19 et DM20 ont etes observés en debut d'année à Merignac. Il y a eu 4 livraisons export au premier semestre 2025, peut-être ces 4 biplaces ? Si on en croit la DGA, sachant que 13 Rafales devraient etre livrés à l'AAE et que la guidance est de 25 avions livrés en 2025, on peut s'attendre à une dizaine livraisons à l'Égypte ? L'indonésie devrait réellement recevoir son 1er Rafale qu'en début d'année 2026.
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Les futurs missiles de croisière et antinavire franco-italo-britanniques nommés STRATUS https://www.meretmarine.com/fr/defense/les-futurs-missiles-de-croisiere-et-antinavire-franco-italo-britanniques-nommes-stratus Stratus LO (TP15) Remplacera les Scalp/StormShadow de la RAF, l'AAE et la MN Entrera en sercice au tout début des années 2030 N'a pas vocation a remplacer le MdCN dans la MN Les Britanniques souhaitaient que le STRATUS LO, dispose d’une capacité de lutte antinavire à grande distance, à l’image du Kalibr russe --> On ne sait pas si cette option est toujours d’actualité. Stratus RS (RJ10) Version Mer-Mer utilisée depuis les rampes entrera en service vers 2035 Complement des exocet MM40Blk3C (qui resteront en service encore 30ans) La Royal Navy pourrait aussi adherer à cette approche --> NSM + Stratus RS La Marina Militare aussi, puisque son Teseo Mk2 vient d'entrer en service Version Air-Mer entrera en service un peu plus tot, vers le début des années 2030 Succedera à l'AM39 Il n'est pas prévu de décliner le futur missile antinavire en version à changement de milieu Le missile est trop encombrant pour etre encapsulé L'exocet SM40 remplira cette fonction a partir de 2030
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C'est un peu tard, tout les appels d'offre Européens sont en cours ... va falloir qu'on fasse le deuil je pense
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--> https://ukdefencejournal.org.uk/babcock-plots-growth-as-an-international-defence-business/ Les perspectives d’exportation de la Type 31 en sont un exemple central. Malgré les difficultés liées à la conception d’une frégate durant la pandémie, le Brexit et l’inflation, il a rappelé que « avant même d’avoir construit le navire, nous l’avions vendu à la Pologne et à l’Indonésie, et nous discutons désormais avec la Suède, le Danemark, la Nouvelle-Zélande, le Chili et environ 17 pays au total ». Howie a soutenu que les choix de conception de la Type 31 la rendaient plus attractive à l’étranger. « On aurait pu répondre au cahier des charges avec un navire de la même taille que la Type 23, mais on se retrouvait avec les mêmes problèmes. Nous avons donc choisi de faire beaucoup plus grand, avec plus d’espace, plus de flexibilité, et cela signifie que les marchés à l’export trouvent plus facile de reconfigurer le navire. » Il a ajouté que sa modularité facilitait non seulement l’exportation, mais soutenait également l’automatisation et la robotique dans la production au Royaume-Uni. Interrogé sur l’emploi, il a indiqué que la situation variait selon le client. « Il y a un mélange de pays qui souhaitent construire au Royaume-Uni, d’autres qui voudraient un assemblage partiel ou des modules produits au Royaume-Uni, et ceux qui veulent construire eux-mêmes, comme la Pologne. Je suis en réalité assez satisfait de constater combien de pays considèrent encore la construction au Royaume-Uni. »
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Oui pour l'Artillerie principale et les AShM. Mais bon si on en croit la maquette presentée cette semaine, cette T31 s'en sort pas mal : Iver Huitfeld --> 32 SM-2 + 24 ESSM + 16 Harpoon + 2x76mm & 1x35mm T31 "DK" --> 24 SM/Aster30 + 96 CAMM + 8 FMAN + 1x76mm & 2x40mm FDI HN --> 24 Aster30 + 8 Aster15 + 8 Exocet/NSM/FMAN + 1x76mm & 1x40mm
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l'IBSC du patriot c'est pas l'équivalent du module/poste de commandement sur SAMP/T ? Ce belge affirme qu'il n'y a pas d'equivalent à l'IBCS sur SAMP/T (NG) Giving up certain capabilities for a 20+ year period because of something that will be gone in about 3,5 years is pretty shortsighted imo. Especially seeing that they got the green light for IBCS. If we are all starting from the baseline assumption that he will be emperor for life (however long that will be), then we have bigger worries than just defence procurements. SMAP/T-NG still lacks an IBCS equivalent, and I do not see any movement in Europe to develop a local alternative. 2. Going off of the assumption that it will always be worse after the next election just results in a country being unable to buy foreign equipment. By that same mindset, what is saving France from having a landslide far-right victory and becoming just as isolationist as the Trump administration? SAMP/T is not integrated with IBCS and neither has Ukraine integrated any AD systems not of US origin into IBCS. Buying European should still get priority if what is being offered meets or exceeds the capability of the US offering. There is, for example, no reason to buy JDAM because we have Hammer or Stryker C-UAS when we have Skyranger.
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En effet. Bon ceci dit pour nous, même si les AShM occupent 8 VLS, ca laisse toujours 24 SM-2/3/6 + 96 CAMM/CAMM-ER soit 120 missiles ... contre 32 sur une FDI.