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AIR-DEFENSE.NET

Titus K

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Tout ce qui a été posté par Titus K

  1. Dans la vidéo sur leur site internet : "au lieu de" https://www.cta-international.com/fr/munition/
  2. Titus K

    40 CTA

    https://www.edrmagazine.eu/pdfviewer/edr-magazine-76-july-august-2024?auto_viewer=true CTAI AUJOURD'HUI L'entreprise emploie une centaine de personnes, dont un tiers au bureau d'études et une vingtaine à la production. Elle utilise deux grands bâtiments à côté de ceux de KNDS France. Son chiffre d'affaires, stable depuis plusieurs années grâce aux programmes établis de part et d'autre de la Manche, est de 48 millions d'euros en 2023 avec un carnet de commandes d'environ 130 millions. Dans le cadre des programmes Ajax et Warrior Capability Sustainment Programme (WCSP), 515 canons ont été livrés au MOD britannique en tant que Government Furnished Equipment (GFE). Avec la fin du WCSP, seuls les 245 canons pour AJAX seront utilisés, laissant un stock disponible de plus de 200 armes au ministère de la défense britannique pour une utilisation future éventuelle, telle que le MRO de la flotte en service, une augmentation de la série Ajax, ou un nouveau VFI basé sur une plate-forme à déterminer (Boxer 8x8 ou Ascod, CV90). En France et en Belgique, un total de 360 Jaguar est prévu, dont environ quatre-vingts ont déjà été livrés. Le choix de la Marine nationale française en faveur du système RapidFire de Thales-KNDS France pour armer les ravitailleurs de la classe Jacques Chevallier et les futurs patrouilleurs océaniques correspond à une cinquantaine de canons supplémentaires. A ce jour, les ventes cumulées et le carnet de commandes s'élèvent à plus de 900 armes et plus de 200 000 munitions de tous types. KNDS France est actuellement engagé dans deux compétitions acharnées en Grèce (version Philoctète) et au Qatar avec son 8x8 VBCI armé d'une tourelle CT40 de fabrication locale. A eux seuls, ces deux projets représentent potentiellement un total cumulé de près de 500 canons et de centaines de milliers de munitions. Le domaine de la lutte anti-aérienne se traduira sans doute par des volumes supplémentaires ; les Britanniques préparent le programme GBAD (Ground Based Air Defence), qui assurera la protection des forces terrestres contre l'ensemble des menaces aériennes. Son équivalent français, Sol-Air Basse Couche (Short and Medium Range Air Defence), devrait également faire appel à des solutions canon, permettant de couvrir des secteurs où les missiles ne peuvent faire face à certains objets volants, notamment les petits drones opérant près du sol ou dans les missions C-RAM (Counter-Rockets Artillery Missiles). Une version terrestre du RapidFire montée sur un camion, un véhicule blindé ou une plateforme statique devrait répondre au besoin. CTAI dispose d'installations de production capables de fabriquer jusqu'à 20 armes par mois. Les canons sont usinés dans la canonnerie de KNDS France à Bourges, où sont fabriqués les canons de 155 mm de l'artillerie Caesar, les canons 30-791 de l'avion Rafale, et les 120 mm du char Leclerc. Le tissu industriel français fournit de nombreuses pièces mécaniques et électroniques. La fabrication des munitions est actuellement répartie à parts égales entre BAE Systems (Glascoed) et KNDS France (La Chapelle-Saint-Ursin). Les deux entreprises ont la capacité d'assembler tous les types de munitions pour leurs propres clients à partir de pièces et de sous-ensembles fabriqués selon une répartition des tâches convenue entre les deux sociétés mères. Concurrence Il existe au moins deux copies du CT40, l'une en Chine, sans que l'on sache exactement quelles sont ses applications, et l'autre en Corée du Sud pour armer le futur véhicule blindé d'assaut amphibie, le Hanwha KAAV-2. Le Bofors 40 mm reste limité au marché suédois car sa technologie est ancienne, et les clients du CV90 ont préféré se tourner vers le Northrop Grumman 30 mm Mk44 Bushmaster, dont les munitions sont moins chères et plus facilement disponibles au sein de l'OTAN, ou le 35 mm Bushmaster III. Le 57 mm russe vient d'entrer en service dans les forces de la Fédération ; il équipe les nouveaux BMP d'infanterie et est proposé à l'exportation, la Serbie l'ayant monté sur un VFI Lazar 8x8, intégré dans un tourelleau téléopéré. La guerre en Ukraine mobilise toutes les capacités industrielles de la Russie et la loi américaine CAATSA (Countering America's Adversaries Through Sanctions Act) dissuade de nombreux pays d'acheter des équipements russes. A court terme, sa diffusion ne devrait pas être très large. Les Américains développent le canon automatique XM913 de 50 mm pour armer le futur OMFV (Optionally Manned Fighting Vehicle), appelé XM-30. Cette arme, conçue à l'origine par les arsenaux fédéraux, est promue par Northrop Grumman. Elle ne sera pas qualifiée et mature avant plusieurs années, et son adoption par les forces américaines prendra du temps. En attendant, le CTAI considère le 30 mm Mk44 comme son concurrent le plus sérieux en raison de sa large diffusion. Le CTAI souligne toutefois plusieurs avantages de son CT40. Le premier est la létalité. Un obus GPR-PD (HE) de 40 mm contient 115 grammes d'explosifs, contre 30 grammes pour l'HE 30x173. Le rayon létal est beaucoup plus grand et l'énergie permet de projeter des fragments plus grands et plus rapides pour un effet majeur sur la cible. Qu'il s'agisse de neutraliser une infanterie abritée ou une cible aérienne, le nombre de munitions nécessaires est divisé par un facteur de trois à quatre. Face à un VCI ennemi moderne armé d'un canon de moyen calibre, le canon de 30x173 mm devra s'approcher jusqu'à mille mètres pour espérer pénétrer son blindage (90 mm @ 1000 m). Le canon CT40 transpercera ce VFI jusqu'à trois mille mètres (100 mm @ 3000 m). Le CT40 augmente donc la capacité de survie de la plate-forme en augmentant la distance de sécurité. La force du système CTAS La stratégie du CTAI est d'offrir aux intégrateurs de systèmes de tourelles des produits et des services sur mesure. Il suffit de regarder les différentes approches d'ingénierie suivies par KNDS France pour la tourelle Jaguar, par Lockheed Martin pour l'Ajax et par Thales-KNDS pour le RapidFire. Le Jaguar intègre le système CTA complet, ou CTAS. Le CTAS est un système clé en main et autonome qui comprend la fonction de puissance de feu (canon), la fonction d'approvisionnement/stockage des munitions (Ammunition Handling System ou AHS), la fonction d'entraînement électrique en élévation et en azimut de la tourelle (alimentation Moog), et la gestion du système (état, sécurités, tests intégrés, modes de fonctionnement, calcul balistique et conduite de tir) grâce à un calculateur numérique à logiciel sécurisé fonctionnant sur un système d'exploitation en temps réel. Il « suffit » d'interfacer une suite optronique de détection de cible et un obus, et l'on obtient une tourelle. L'adoption de l'ETG a été la démarche suivie par KNDS France et Thales en deux versions différentes adaptées à la guerre terrestre pour l'une, aux besoins navals pour l'autre. Pour cette dernière, le canon du RapidFire est légèrement plus lourd pour l'adapter aux contraintes de tir de la munition KE-AB dédiée à la lutte anti-aérienne et pour assurer une très grande précision de visée et de tir lors de l'engagement de cibles rapides. Son dispositif de centrage dans le berceau a également été modifié. Lockheed Martin a choisi une autre approche en confiant l'AHS à Meggit et a dirigé le développement du système d'entraînement de la tourelle à Curtiss Wright. La gestion de l'interface est devenue une préoccupation majeure et a entraîné des retards de qualification qui ont affecté la date de mise en service de l'Ajax, lequel a finalement été affecté par des problèmes de vibration. Enfin, le canon 40CT, qui fonctionne à l'électricité (et non au gaz), permet de réduire considérablement la charge de maintenance. Pour mémoire, le canon 40CT a été qualifié en 2014 après plus de 15 000 tirs dans le cadre du programme de qualification UK-FR. Une gamme complète de munitions Le principal avantage d'un gros calibre comme le CT40 est de pouvoir développer des munitions performantes dans lesquelles les explosifs, l'électronique et les projectiles très meurtriers peuvent trouver leur place. La gamme CT40 comprend sept types de munitions. Le projectile en tungstène APFSDS-T pénètre plus de 140 mm de RHA à 1 500 mètres, ce qui est bien supérieur au niveau 6 du STANAG 4569. Ajax et Jaguar ont ainsi la capacité de détruire tous les VFI en service ou en cours de développement. Les chars les plus lourds restent également vulnérables sur leurs flancs et dans le secteur arrière. Trois munitions explosives sont disponibles. La GPR-PD-T (détonation ponctuelle) explose par impact direct sur la cible. Elle a la capacité de pénétrer et de faire sauter une partie des murs en béton armé (>200 mm). Son efficacité est également démontrée sur des cibles légères ou peu protégées telles que des véhicules blindés légers. Le GPR-AB-T « airburst » est doté d'une fusée programmable qui lui permet d'exploser à une distance donnée. Il est efficace contre l'infanterie retranchée et, dans une certaine mesure, contre les cibles aériennes. L'obus est programmé par induction par le dispositif de réglage de la fusée juste avant d'être chambré. Le KE-AB, qui ne contient pas de charge explosive, a été développé pour augmenter les effets sur une cible aérienne. La charge utile, constituée de billes de tungstène, est plus lourde que celle du GPR-AB-T. C'est la munition préférée du RapidFire naval pour détruire les drones et les missiles menaçant un navire. Elle projette vers l'avant une pluie d'éclats, ce qui permet de compenser les éventuelles erreurs de télémétrie. Le GPR-KE-T est une balle inerte et non explosive qui peut neutraliser des cibles non durcies sans effets collatéraux, faire un trou dans un mur pour neutraliser un sniper ou arrêter complètement une voiture en tirant dans le bloc moteur. Ce type de situation peut se produire lors d'une mission de maintien de la paix dans un environnement civil. Enfin, il existe deux types de munitions d'entraînement, la TP-T et la TP-RR-T, qui se distinguent par des portées réduites (1 500 et 900 mètres), ce qui permet de les utiliser dans de petits stands de tir. La version TP-RR-T réduit l'usure du canon et donc le coût d'exploitation du système. Le Jaguar peut contenir 64 munitions dans son AHS, tandis que le RapidFire dispose de 71 cartouches prêtes à l'emploi. L'AHS permet de mélanger n'importe quel type de munitions dans un même tir. La conduite de tir appelle la munition choisie par l'opérateur dans la tourelle, et celle-ci est automatiquement chargée dans la culasse. Il est possible de tirer plusieurs types de munitions dans la même rafale et sur la même cible pour obtenir une neutralisation assurée. Par exemple, APFSDS et obus explosifs sur un véhicule blindé. La conduite de tir adapte automatiquement la visée de l'arme en temps réel sans action spécifique du tireur. Plus à venir Le CTAI se déclare agnostique quant à ses perspectives potentielles. L'ETG, l'arme et les munitions sont proposés aux intégrateurs de tourelles étrangers et ne sont pas réservés à KNDS et BAE Systems. La diffusion du standard CT40 passe par des licences accordées à d'autres pays et des accords de coopération industrielle à long terme. Avec les programmes actuels et les bonnes perspectives d'exportation, l'activité est assurée pour les quinze prochaines années, mais le CTAI réfléchit à d'autres applications de sa technologie pour prendre le relais.
  3. Tiens je savais pas mais la future munition KE-AB du Rapidfire ne contient pas du tout de charge explosive : https://www.edrmagazine.eu/pdfviewer/edr-magazine-76-july-august-2024?auto_viewer=true Le KE-AB, qui ne contient pas de charge explosive, a été développé pour augmenter les effets sur une cible aérienne. La charge utile, constituée de billes de tungstène, est plus lourde que celle du GPR-AB-T. C'est la munition préférée du RapidFire naval pour détruire les drones et les missiles menaçant un navire. Elle projette vers l'avant une pluie d'éclats, ce qui permet de compenser les éventuelles erreurs de télémétrie. Mais aussi --> Pour cette dernière, le canon du RapidFire est légèrement plus lourd pour l'adapter aux contraintes de tir de la munition KE-AB dédiée à la lutte anti-aérienne et pour assurer une très grande précision de visée et de tir lors de l'engagement de cibles rapides. Son dispositif de centrage dans le berceau a également été modifié.
  4. Titus K

    L'artillerie de demain

    https://x.com/VincentLamigeon/status/1861695407539032392 EXCLUSIF La France envisage le développement d’un nouveau missile balistique conventionnel, portée supérieure à 1.000km. Russie, Ukraine, Iran, Israël, Houthis : depuis 2022, l’usage des armements balistiques a explosé Qui pourrait concevoir ce missile balistique français ? Un rapport de l'IFRI sur la frappe dans la profondeur, publié il y a une semaine, donne une indication claire : il indique, au détour d'un paragraphe, qu'ArianeGroup défend un programme de missile balistique terrestre (MBT) 1) Puisque beaucoup commentent sans lire le papier, quelques précisions : 1) il est bien écrit + de 1000km, pas 1000km, et c’est à dessein 2) Un développement de missile balistique français, pour peu qu’il soit financé et bien organisé, peut être effectué assez rapidement. Toutes les briques ou presque sont là. Le balistique, la France sait faire, cf M51 et tous ses prédécesseurs 3) Un des gros enjeux est de faire un missile d’un prix abordable, adapté au besoin, et productible en masse 4) Missile de croisière et missile balistique, ce n’est pas la même chose, et ce n’est pas le même usage. Qualités différentes, et pas forcément de concurrence, sinon sur les moyens financiers à y consacrer 5) Voici un schéma issu d’une très bonne note récente du CESM, le Centre d’études stratégiques de la Marine, qui résume les différences entre missiles balistiques, planeurs hypersoniques et missiles de croisière
  5. Titus K

    [Rafale Marine]

    @Patrick pour ta collection ... Hup Holland Hup
  6. On a envoyé l’Auvergne en mer rouge avec 16 Aster 15 ... elle y est arrivée le 8 décembre et en février elle y était encore.
  7. Si les 5 FLF avait équipées d'Aster, je pense qu’on aurait eu beaucoup plus de marge pour gérer le problème Houthi en mer rouge, et ainsi libérer des FREMM pour d’autres déploiements ... C'est la même chose pour les FLF qui devraient participer a dissuasion conventionnelle de France/Europe/OTAN ... Il faudrait comparer le ratio coût/dissuasion des FLF françaises, à celui des FLF singapouriennes par exemple ? Bon on est pas sur le bon fil je vais me faire reprendre
  8. Je pense qu’il faut pas voir les choses comme ca franchement ... sinon en allant par là, que faut-il penser du parc de Leclerc qui coute 60 million par an rien qu'en MCO ?
  9. Les anglo-saxons ? C’est juste les américains ... Mais bon quand t’as 96 ou 128 VLS sur tes navires tu peut bien en dédier 32 à des MDC... Tu remarqueras D’ailleurs que sur les constellations à 32 VLS ils ne prévoient pas de mettre des Tomahawk... c’est plutôt ESSM Quad-Pack et SM...
  10. Ce serait pour 8 MDCN et 24 Aster comme les Grecs ou 16+16 comme les FREMM ASM ? D’ailleurs c’est un cas unique au le monde non les FREMM ASM avec autant de missiles de défense aérienne que de missiles de croisière ? Si on ajoute les Exocet c’est même 60% d’offensif contre 40% de défensif En tout cas la foi de la MN en l’Aster est impressionante...
  11. Titus K

    [Rafale]

    Poste la source stp
  12. Titus K

    Marine Britannique

    On aurait peur être eu les mêmes problèmes de propulsion que les T45, vu q’ils auraient (a juste titre) récupéré 60% du workshare
  13. Titus K

    Marine Britannique

    HMS Dauntless à Brest le 24 Novembre
  14. Titus K

    Marine Norvegienne

    Ils vont probablement pousser fort la dessus en effet, en plus des capacités ASW et de la taille du navire (capacités d’évolution). Certains parlent d’equipage mixte norvégiens/anglais pour palier la cadence de production ... Mais il faut aussi reconnaître que ce partenariat de défense existe déjà avec les anglais (comme les allemands d’ailleurs), donc a part le renforcer encore plus ... alors que se rapprocher de la France serait un gain net. Par exemple si je suis la Grèce, la prochaine fois je fais un gros achat en Italie (4 FREM EVO ou PPA) ... puisque le partenariat avec la France est déjà assuré avec rafale et FDI Avec en plus les Brits qui poussaient pour Saab... bel exploit.
  15. Titus K

    Marine Norvegienne

    ... et ca va compter dans le sens ou la Norvège hésite entre 5 ou 6 fregates : - 5 Constellations --> ~1000 personnes - 5 T26 --> 785 personnes - 6 FDI --> 750 personnes
  16. Titus K

    Marine Norvegienne

    C'est dimanche 15h j’ai du temps ... Juste un petit point sur les calendriers de livraisons : Pour la T26, sauf grosse augmentation des cadences de productions, ou partenariat avec un chantier naval norvégien, j’ai vraiment du mal a voir comment ils pourraient satisfaire le besoin Norvégien sans mettre la RN dans une situation plus que difficile... Je rappelle que pour l’instant les Britanniques ont comme objectif fin 2035 de 19 frégates ... dont 14 réellement de premier rang (les T45/T26) - 6 T45 AAW - 8 T26 ASW - 5 T31 GP - T32 --> ???? pas de nouvelles ... Or, dans le dernier calendrier de livraison posté par NavyLookout en 2024, on remarque que 2 livraisons dont prévues avant 2030, puis 1 par an jusqu’en 2035... Je vais partir du principe que les norvégiens veulent au minimum 4 frégates livrées fin-2035 ... avec les 1/2 dernières en 2036/38 Je vois mal comment ils pourraient livrer la moitié de leur T26 aux norvégiens : 1 --> Livraison 2027 / Entrée en service octobre 2028 2 --> Livraison mi-2028 / Entrée en service mi-2029? --> Norvège 1 ? 3 --> Livraison 2030 4 --> Livraison 2031 --> Norvège 2 ? 5 --> Livraison 2032 6 --> Livraison 2033 --> Norvège 3 ? 7 --> Livraison 2034 8 --> Livraison 2035 --> Norvège 4 ? En redirigeant 4 de ces frégates UK à la NOR, il faudrait que la cadence soit augmentée de 50% pour satisfaire les besoins de RN. Et franchement quand on voit que même pour NavalGroup, avec des FDI de 4500 Tonnes, une cadence 2 est difficile a atteindre ...si les UK y arrivent avec des frégates de 8000 tonnes, après avoir arrêté leur outil industriel pendant 10 ans ... Bravo. À la limite une solution pour les UK serait de mieux équiper leur T31 en lutte ASM pour pouvoir palier au manque de T26 ? Je pense au passage que l’ASWF de Damen (produite a 6 exemplaires pour BE/NL) aurait été une très bonne option pour les norvégiens... Mais a mon avis c’est à cause du calendrier de production qu’elle na pas été retenue --> cadence 1 à partir de 2029/30 jusqu’en ~2035 A mon avis le problème est exactement le même sur la T26... sauf que ne pas retenir les UK était probablement plus compliqué point de vue diplomatique. Je rappelle que pour la FDI, les norvégiens pourraient normalement recevoir leurs 6 frégates d’ici fin-2034, à raison d’1 par an. Et c'est sans mettre sous tensions les livraisons françaises (et en laissant même de la place pour l’export supplémentaire). Bon évidement ca dépend aussi des Gowind outre-mer, si elles sont construites au site du Rohu c’est idéal. Je cite mon calendrier maximum que j’ai posté sur le fil FDI --> Pour la proposition Allemande basée sur l’AAW T127 ca me semble trop flou comme projet sachant que la décision norvégienne est attendue mi-2025 ... Pour moi les vrais favoris c’est Constellation avec participation de Vard - ou - FDI avec "accord de défense" + participation de l’industrie norvégienne. D’ailleurs a propos de l’intégration d’armes norvégiennes sur FDI, est-ce que le LMP (lanceur modulaire polyvalent) n’est pas une bonne occasion de faire participer l’industrie norvégienne, en intégrant de l’armement ou en fabriquant des éléments de la tourelle ? Des idées ?
  17. Titus K

    Armée néerlandaise

    Signature du contrat
  18. Titus K

    Marine Néerlandaise

    Vidéo : Naval Group renforce ses relations avec ses partenaires néerlandais pour le programme de sous-marin Orka La coopération avec les instituts de connaissance et l'industrie maritime néerlandaise se poursuit avec une lettre d'intention avec Marin, un accord entre les partenaires Thales et Optics11, et un contrat de coopération avec le ministère néerlandais des Affaires économiques (MEA) pour l'intégration de la solution de contre-mesure CANTO sur les navires de la Marine royale néerlandaise. Communiqué de presse de Naval Group Aujourd'hui, le NEDS 2024 s'est déroulé à Rotterdam. A cette occasion, Naval Group accélère le développement de ses partenariats avec les partenaires de la BITD néerlandaise avec trois signatures supplémentaires, deux semaines après la signature à Euronaval de contrats avec Verebus et Van Halteren Technologies. Dans le cadre de l'accord de coopération industrielle (ICA) conclu en septembre dernier, une lettre d'intention avec Marin et un accord entre Thales et Optics11 marquent une nouvelle étape dans la production des sous-marins destinés à la Royal Navy et dans la coopération de Naval Group avec les instituts de recherche et l'industrie néerlandaise. Parallèlement au programme RNSC, un contrat de coopération a également été signé pour l'acquisition de systèmes de contre-mesures CANTO pour les navires de la Marine royale néerlandaise. « Notre coopération avec l'industrie néerlandaise existe depuis 30 ans et se renforce encore aujourd'hui. Après la signature des contrats précédents lors de l'exposition Euronaval à Paris, nous franchissons une nouvelle étape dans notre engagement à respecter les accords conclus avec nos partenaires néerlandais. Nous sommes donc extrêmement satisfaits des collaborations actuelles et espérons qu'elles se poursuivront ». Pierre Éric Pommellet, président-directeur général de Naval Group La signature de la lettre d'intention avec Marin, un institut de recherche maritime de premier plan reconnu dans le monde entier, permet à l'institut d'utiliser ses logiciels, ses installations d'essai, ses simulateurs et ses mesures grandeur nature pour continuer à améliorer les sous-marins. Un accord a également été signé entre Thales et Optics11 pour une étude de faisabilité d'une antenne linéaire remorquée. Leader mondial de la technologie de détection optique pour les systèmes d'alerte précoce ultra-sensibles, Optics11 fournira aux sous-marins de la classe Orka des systèmes et des composants avancés. Avec ces deux signatures, Optics11 et Marin sont concrètement impliqués dans le programme RNSC, dans des domaines à forte valeur ajoutée. Elles constituent une étape vers la première grande revue prévue début 2025 lorsque la conception du sous-marin sera achevée. Pepijn de Jong, directeur de la défense chez Marin : « MARIN est ravi de signer cette lettre d'intention, car cela signifie que nous pouvons soutenir Naval Group pour le programme de remplacement des sous-marins de la marine royale néerlandaise grâce à notre vaste expertise technique en matière d'hydrodynamique navale et d'opérations maritimes. Nous travaillerons avec Naval Group pour veiller à ce que les Pays-Bas disposent des meilleurs sous-marins possibles ». Paul Heiden, PDG d'Optics11 : « La technologie de pointe et l'expertise d'Optics11 en matière de solutions de haute technologie sont essentielles à la réussite du programme Orka. Ce partenariat renforce non seulement notre position dans le secteur de la défense, mais souligne également l'importance des entreprises néerlandaises de haute technologie dans la contribution à l'économie nationale. » Parallèlement, la signature du contrat de coopération sur les systèmes CANTO est un exemple de l'engagement de Naval Group envers la BITD néerlandaise au-delà du programme RNSC. Au début du mois, Naval Group a déjà signé des contrats avec Verebus et Van Halteren Technologies lors d'Euronaval à Paris. La collaboration avec Verebus porte sur la documentation technique du soutien logistique intégré selon la spécification S1000D, pour le programme CANTO de la Royal Navy. Avec Van Halteren Technologies, la collaboration se concentre sur une étude préliminaire pour des unités de puissance hydraulique pour les sous-marins de la classe Orka.
  19. Titus K

    Marine Néerlandaise

    Il est de 2024. Il a franchi le Bosphore cette semaine pour rejoindre le chantier de Damen aux pays-bas et finir son armement.
  20. @Gallium @Bechar06 Je peux rien y faire, il me semble que le tweet est supprimé. C’était sur la MTO avec la grenade a fusil, 10 000€ pour le prix, 2/3 semaine d’entrainement des pilotes et y’avait un autre truc...
  21. Titus K

    Marine Néerlandaise

    Reportage sur le nouveau ravitailleur --> https://marineschepen.nl/nieuws/Interview-nieuw-bevoorradingsschip-Den-Helder-tijdens-proefvaart-221124.html \
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