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AIR-DEFENSE.NET

Titus K

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Tout ce qui a été posté par Titus K

  1. Titus K

    L'Inde

    @herciv écoute vers 17:30 l'avis du CEMAAE sur la communication Indienne : https://videos.assemblee-nationale.fr/video.17267859_686e1185e5e08.commission-de-la-defense--m-jerome-bellanger-chef-d-etat-major-de-l-armee-de-l-air-et-de-l-espace-9-juillet-2025
  2. Du coté US, l'économie de guerre sur le segment du FMAN/FMC c'est ca --> 2200 JASSM/LRASM par an d'ici 2030
  3. Le chef d’état-major de l’armée de Terre sur son adaptation à l’évolution de la menace Suivez l’audition du général d’armée Pierre Schill, chef d’état-major de l’armée de Terre sur « Bilan et perspectives d’adaptation du format de l’armée de Terre au regard de l’évolution de l’état de la menace ». —> https://www.youtube.com/live/qjGPoiZkVFw?si=ANVNxpMGHCl0O3AW Le chef d’état-major de l’armée de l’Air & de l’Espace sur son adaptation à l’évolution de la menace Suivez l’audition du général d’armée aérienne Jérôme Bellanger, chef d’état-major de l’armée de l’Air et de l’Espace sur « Bilan et perspectives d’adaptation du format de l’armée de l’Air et de l’Espace au regard de l’évolution de l’état de la menace ». -->https://www.youtube.com/watch?v=h7WU55wWk1M
  4. Tiens le Portugal pourrait s’intéresser à la FDI d’après mer et marine.
  5. Titus K

    Marine Grecque

    La FDI grecque Kimon reprend la mer https://www.meretmarine.com/fr/defense/la-fdi-grecque-kimon-reprend-la-mer Après une première sortie de 24 heures devant les côtes morbihannaises fin mai, le Kimon a appareillé de Lorient le 7 juillet pour une nouvelle campagne d’essais en mer. Première des trois FDI commandées par la Grèce, cette frégate doit être livrée à la fin de l’année La commande d’une quatrième unité de ce type, le futur Themistocles, est par ailleurs attendue prochainement en vue d’une livraison en 2028.
  6. Titus K

    Marine Norvegienne

    Le 2nd plus grand journal Norvégien publie un nouvel article assez élogieux de la France et critique du RU. La France émerge comme la principale puissance navale d'Europe. La Norvège devrait-elle choisir des frégates françaises plutôt que britanniques ? https://www.aftenposten.no/verden/i/8qaWpG/storbritannias-sjoemakt-skrumper-inn-boer-norge-velge-franske-fregatter Pendant plusieurs siècles, le Royaume-Uni s’est considéré comme une grande puissance maritime. L’hymne patriotique « Rule Britannia », avec son refrain « Britannia rule the waves », est depuis longtemps un classique des cérémonies solennelles. Mais cette image ne correspond plus à la réalité. Aujourd’hui, le Royaume-Uni ne dispose que de neuf navires de guerre opérationnels. Quatre d’entre eux participent actuellement à une mission dans l’Indo-Pacifique : un porte-avions, un destroyer, une frégate et un sous-marin d’attaque. "Si le président Trump pense que le Royaume-Uni peut assumer une responsabilité accrue en Europe pour la sécurité maritime dans l’Atlantique, il se trompe", déclare Ian Proud, un ancien diplomate britannique ayant servi pendant 24 ans, notamment à l’ambassade britannique à Moscou. Réduit à une puissance maritime régionale Dans un article publié en mai pour le think tank Quincy, Proud affirmait que seules trois puissances navales mondiales subsistaient aujourd’hui : les États-Unis, la Chine et la Russie. "La Royal Navy britannique a malheureusement été réduite à une puissance maritime régionale de moindre envergure. Elle n’est capable que ponctuellement d’opérer loin de ses côtes", estime-t-il. Aux côtés du porte-avions britannique dans l’Indo-Pacifique, participent également une frégate norvégienne et des navires de soutien d'autres pays. L’objectif est un important exercice militaire dans les eaux australiennes. En Norvège, les forces armées et le gouvernement estiment que la participation est importante à la fois sur le plan militaire et politique. D’autres considèrent cependant que c’est un gaspillage d’argent. Pour Proud, cette expédition de huit mois illustre bien l’état préoccupant de la marine britannique. La France en pleine offensive En 1945, la marine britannique comptait plus de navires de guerre que toute autre : près de 1000 cuirassés, porte-avions, croiseurs, destroyers et sous-marins. Aujourd’hui, la flotte britannique a atteint un niveau historiquement bas. Le président français Emmanuel Macron peut se targuer de disposer de plus de grands navires de surface que le Premier ministre britannique Keir Starmer : La France possède 23 grands navires : 1 porte-avions, 10 destroyers et 12 frégates. Le Royaume-Uni en compte 16 : 2 porte-avions, 6 destroyers et 8 frégates. Il s’agit ici de chiffres théoriques. Les besoins en maintenance, réparations et modernisations font que tous ces navires ne sont pas en état de naviguer en permanence. Ces chiffres n’incluent pas les sous-marins, chasseurs de mines, patrouilleurs ni navires de soutien. L’atout maître des Britanniques L’Italie, l’Espagne et l’Allemagne rattrapent également le Royaume-Uni si l’on inclut d’autres types de navires. L’an dernier, le Royaume-Uni a décidé de retirer du service ses deux grands navires amphibies, l’empêchant désormais de mener de grandes opérations de débarquement par ses propres moyens. Mais les Britanniques conservent vis a vis d'eux un atout stratégique majeur en plus de leurs porte-avions : leurs quatre sous-marins nucléaires lanceurs d’engins, porteurs d’armes atomiques, censés dissuader toute agression. Depuis 1969, au moins un sous-marin nucléaire armé de missiles balistiques patrouille en permanence dans l’Atlantique Nord ou d'autres zones maritimes. Des difficultés économiques Le Royaume-Uni a accepté, lors du récent sommet de l’OTAN à La Haye, de consacrer bien plus qu’auparavant à la défense. Tous les membres de l’Alliance (sauf l’Espagne) se sont engagés à porter leurs dépenses militaires à 3,5 % du PIB d’ici 2035. La Norvège a besoin de frégates fiables La Norvège s’apprête à acheter cinq ou six nouvelles frégates, ce qui pourrait constituer le plus gros achat d’équipements de défense de son histoire. Ce choix implique aussi la sélection d’un partenaire stratégique en mer. Faut-il se tourner vers la France, le Royaume-Uni, l’Allemagne ou les États-Unis ? "La Norvège coopère déjà avec chacun d’eux". Mais lequel partage réellement ses intérêts dans ses eaux territoriales "et dispose en même temps d’un modèle de frégate avec lequel elle pourrait coopérer efficacement ?" Le capitaine de frégate Lasse Elvemo insiste sur la nécessité pour la Norvège d’acquérir des frégates qui fonctionnent réellement — "et qu’elle sera capable de doter en personnel." Elvemo est enseignant principal, chercheur et doctorant à l’Académie navale. Il a servi à bord de frégates, de la classe Nansen actuelle et de l’ancienne classe Oslo. Il a aussi travaillé dans les domaines des acquisitions et de la logistique militaire. Il reconnaît les solides traditions britanniques et leur proximité géographique. Mais il observe aussi les difficultés qu’ils rencontrent en matière de capacités de production, de retards et de recrutement. "Une opportunité de partenariat supplémentaire" "Les Français sont de plus en plus présents dans l’Arctique et lors des exercices de l’OTAN. Leurs nouvelles frégates sont un concept éprouvé : elles offrent une grande disponibilité, nécessitent peu d’équipage, et bénéficient d’un système de soutien avec des engagements contractuels clairs", estime Elvemo. "Cela ouvre une possibilité de resserrer les liens avec la France, à la fois sur le plan stratégique et opérationnel. Il ne s’agit pas de remplacer le Royaume-Uni, mais d’ajouter un partenaire", explique-t-il à Aftenposten. Selon lui, il est aussi crucial de choisir une plateforme flexible et tournée vers l’avenir. Elle doit pouvoir être modernisée et accueillir de nouveaux systèmes d’armes, comme des armes à énergie dirigée (lasers) ou des drones autonomes. Elvemo considère que les forces armées norvégiennes ont jusqu’ici été utilisées comme un outil diplomatique, "à la fois dissuasif et destiné à intervenir dans des opérations internationales." "Cela nous a permis de tolérer des frégates souffrant de problèmes techniques majeurs. Mais nous devons maintenant acquérir un système crédible, qui ne soit pas seulement dissuasif sur le papier, mais également utilisable en situation réelle." La frégate elle-même n’est peut-être pas le plus important Les chercheurs Tor Ivar Strømmen et Ståle Ulriksen, également de l’Académie navale, sont fréquemment cités dans les médias norvégiens à propos de cette décision d’achat. Tous deux ont récemment affirmé dans Aftenposten que la frégate française, considérée isolément, est la meilleure option pour la Norvège : "On n’entre pas en partenariat avec un pays qui n’a pas réussi avec ses propres navires", a déclaré Strømmen. Mais Ulriksen pense tout de même que le choix pourrait se porter sur la frégate britannique, car la Norvège entretient déjà un partenariat stratégique très étroit avec le Royaume-Uni.
  7. https://www.tweedekamer.nl/kamerstukken/brieven_regering/detail?id=2025Z14350&did=2025D32714 Par la présente, j'informe votre Chambre de l'engagement des capacités néerlandaises de défense aérienne pour la protection du centre logistique de la NATO Security Assistance and Training for Ukraine (NSATU) en Pologne. À la demande du Supreme Headquarters Allied Powers Europe (SHAPE), les Pays-Bas ont accepté de fournir des F-35 pour la période du 1er septembre au 1er décembre 2025. Les Pays-Bas participeront à ce déploiement au sein d’un détachement conjoint avec la Norvège. Les deux pays s’accordent sur une répartition intelligente des moyens humains et matériels nécessaires à cette mission. Le NSATU coordonne et facilite la fourniture de formations et d’aides militaires à l’Ukraine. Il se compose d’un élément de commandement au SHAPE, d’un quartier général à Wiesbaden, et de trois points d’appui logistiques pour le transit de matériel militaire vers l’Ukraine. Le matériel militaire offert à l’Ukraine par les pays de l’OTAN doit parvenir à destination en toute sécurité. Une contribution à la défense aérienne en Pologne permet au NSATU d’assurer en toute sûreté les activités terrestres de soutien à l’effort de guerre ukrainien. Cet engagement contribue à l’objectif militaro-stratégique de dissuader la Russie et de défendre la zone du traité de l’OTAN. La mission est comparable à celle du Quick Reaction Alert (QRA) et du enhanced Air Policing (eAP), avec un accent particulier sur la menace posée par les systèmes aériens sans pilote (UAS) et les missiles de croisière. Le détachement néerlandais agira sous commandement direct de l’OTAN. Cela signifie que les F-35 seront transférés à l’OTAN via une procédure dite de Transfer of Authority (TOA) pour toute la durée de la mission.
  8. Titus K

    Marine Néerlandaise

    Tir d'ESSM au large des cotes Écossaises contre un drone. On en avait deja parlé mais pas de protection type gants//lunettes/cagoule ...
  9. Oui d'où sortent ces 80% ? Je me souviens de ce coup de gueule vis-a-vis du démonstrateur mais rien de plus ... Quand pourrait voler le démonstrateur du NGF ? Si on tient l’objectif initial d’un lancement de la phase de fabrication l’année prochaine (phase 2), on peut faire voler l’appareil en 2029-2030. On a déjà finalisé le design, testé la forme en soufflerie, maintenant il faut fabriquer l’avion. C’est faisable avant 2030 parce que, pour le moteur, on prend un M88 qu’on adapte. La plupart des pièces sont des pièces de Rafale, parce qu’Eurofighter ne veut pas nous donner ces pièces, de peur qu’on les copie. C’est bien connu, Dassault a besoin des technologies de l’Eurofighter pour faire des avions (rires) !
  10. Vents favorables pour Saab CB 90 en Suède et en France https://www.navalnews.com/naval-news/2025/07/favorable-winds-for-saab-cb-90-in-sweden-and-france/ A noter que la Suède vient de commander 22 CB90 NG pour 80 Millions €, soit ~3.6 Millions € par exemplaire
  11. Ok ca fonctionne avec "DGA Rafale" ... je savais pas pour les 4 lettres minimum.
  12. La fonction recherche me donne toujours "0 résultats trouvés" depuis hier ... je fais un fausse manip ou c'est un bug du forum ? EDIT : le mot que je cherche c'est "DGA", mais je vois dans le message juste au dessus que les recherches a 3 lettres ne fonctionnent pas ?
  13. Titus K

    Corée du Sud

    Ils faut aussi prendre en compte qu'il développent leur KAI LAH, le Dauphin à la sauce coréenne --> https://en.wikipedia.org/wiki/KAI_LAH Peut-être estiment-ils que ca suffira dans des environnement permissifs (un peu a l'image des H145M Allemands mais en mieux) Si l'environnement est trop dangereux alors les drones seront la seule option de toute façon, Apache ou non.
  14. Titus K

    Marina militare

    Tiens peut-être un nouveau sous-marin dédiés aux opérations spéciale, une spécialité italienne. Encore un midgetsub ou quelque chose de plus imposant cette fois-ci ? https://www.occar.int/news/u212-nfs-contract-amendment-no-7-signed The agreement, introduces key upgrades to ensure these advanced submarines remain at the cutting edge of underwater warfare. The amendment introduces a set of upgrades, including the enhancement of periscope capabilities, progress in the feasibility study for a Special Operations Submarine, as an NFS technology incubator, and minor engineering changes aimed at optimising on board systems integration and overall performance
  15. Les 12 F3R neufs qu’ils se sont procurés pourront monter au F4 full rassure nous ? Sinon ça craint vraiment …
  16. Franchement si c'est pour faire un partage 80/20 (ou 70/30) des frais de développement et du workshare autant contacter la Suède ... ca semblerait beaucoup pus sain au vu des economies des 2 pays.
  17. Titus K

    Défense sol-air multicouches

    200 millions € de Mistral pour l'Estonie https://www.hartpunkt.de/mistral-estland-schliesst-200-millionen-euro-rahmenvertrag-mit-mbda-france/
  18. Juste une remarque additionnelle, j'ai aussi l'impression que airbus traine des pieds.
  19. Est-ce qu'une version raccourcie d'environ 5 mètres, reprenant la même voilure et les moteurs, pourrait faire office d'avion STOL ? On voit certes que le petit ATR-42 séduit de moins en moins, comme dans toute les games ( ATR-42 / A220-100 / A319 / A320 ), mais pourrait-il y avoir un marché civil/militaire pour un ATR-60 "STOL" d'environ ~25m de longueur. L'ATR-42 STOL non plus n'a pas non plus séduit mais il n'avait pas accès au marché militaire... Point de vue dimensions un ATR-60 serait équivalent à un C-295 d'ailleurs...
  20. Malheureusement tout les développement pour un ATR du futur sont a l'arrêt ... Ils sont en situation de monopole donc ca ne pousse a l'innovation. Le STOL a été annulé et l'EVO semble au moins reporté au milieu de la prochaine décennie Peut-être que chez Airbus on attend de voir ce que va donner la techno RISE de CFM avant d'investir dans l'ATR du futur ? En attendant l'effort est mis sur l'augmentation de la cadence de production qui a stagne ces dernières années (le covid a fait mal à ATR) --> De 35 à 60 avions : ATR travaille pour que ses fournisseurs soient « prêts à monter en cadence » à partir de 2026 https://www.flightglobal.com/airframers/fraught-to-60-atr-working-to-ensure-suppliers-are-ready-to-ramp-from-2026/163517.article ATR continue d’analyser la capacité de sa chaîne d’approvisionnement et de son système de production à soutenir une augmentation future des cadences, alors qu’elle vise une production annuelle de 60 avions « d’ici trois à quatre ans ». « Nous préparons l’avenir, nous voulons augmenter la cadence, c’est clair », a déclaré la directrice générale Nathalie Tarnaud Laude, lors d’une conférence de presse au salon aéronautique de Paris le 18 juin. « Nous mettons beaucoup d’efforts pour améliorer le processus, et nous travaillons avec nos fournisseurs pour démarrer la montée en cadence en 2026. » L’an dernier, le fabricant franco-italien de turbopropulseurs (coentreprise entre Airbus et Leonardo) n’a livré que 35 avions, soit une unité de moins que l’année précédente, en raison de difficultés dans la chaîne d’approvisionnement. En février, Nathalie Tarnaud Laude avait indiqué que 2025 serait une « année de stabilisation » avant une hausse future des cadences. Mais elle assure aujourd’hui être « totalement confiante » dans la capacité de la chaîne d’approvisionnement à suivre la montée en rythme, malgré des goulets d’étranglement persistants — mais en amélioration. « Est-ce que nous allons augmenter de 30 % dès demain ? Certainement pas. Mais avec la visibilité que nous donnons à [nos fournisseurs], ils nous disent qu’ils peuvent atteindre les volumes que nous visons dans les trois à quatre prochaines années et au-delà. » Dans ce laps de temps, ATR vise une production annuelle « proche de 60 avions » puis « au-delà ». Donner de la « visibilité » aux fournisseurs est essentiel, car cela « les aide à fournir les efforts et les investissements nécessaires à cette montée en cadence ». « Pour le moment, nous sommes confiants dans notre capacité à organiser cela, mais bien sûr, cela demande un effort », dit-elle. « Cela ne viendra pas tout seul. C’est un travail de coopération que nous devons mener avec nos fournisseurs, mais je suis confiante sur notre capacité à réussir. » Les points de tension restants dans la chaîne d’approvisionnement incluent notamment les petits fabricants d’aérostructures, qui « sont dans une situation assez difficile », ainsi que le fournisseur de trains d’atterrissage Safran Landing Systems (SLS). À ce sujet, Tarnaud Laude note des signes d’amélioration : « Nous avons une très bonne relation [avec SLS] et nous travaillons main dans la main. Ce n’est pas facile, mais on commence à voir des choses se débloquer. » ATR avait auparavant identifié quatre composants de train d’atterrissage comme très critiques, mais « nous avons des discussions presque chaque semaine et ces quatre éléments sont désormais réduits à deux ». Parallèlement, ATR examine également sa propre organisation industrielle pour s’assurer qu’elle est compatible avec les objectifs de production accrus. Marion Smyers, récemment nommée vice-présidente senior des opérations et des achats, estime que l’avionneur doit être « ambitieux » pour répondre à la demande du marché, mais aussi « réaliste par rapport à la chaîne d’approvisionnement dont nous disposons et aux défis que nous rencontrons ». Selon elle, il s’agit de prendre le temps de stabiliser les volumes, de poser les bonnes bases et de s’assurer que la chaîne d’approvisionnement soit plus robuste et capable de monter en puissance. « Nous devons prendre le temps de comprendre comment atteindre le bon volume avec la bonne organisation. » La nécessité d’augmenter la production est illustrée par la dernière prévision à 20 ans d’ATR, qui anticipe 2 100 livraisons d’ici 2044, soit 105 avions par an en moyenne. ATR reste le seul constructeur occidental à produire encore un turbopropulseur, son concurrent De Havilland Canada ayant mis en pause la production du Dash 8-400 en 2022. L’an dernier, ATR a reçu 56 commandes, maintenant ainsi pour la quatrième année consécutive un ratio commandes/livraisons supérieur à un. Déjà 30 commandes ont été enregistrées pour le premier semestre 2025. Le carnet de commandes comptait 150 avions fin 2024, et selon le directeur commercial Alexis Vidal, le prochain créneau disponible pour un achat direct est maintenant au second semestre 2027. « L’un de nos objectifs est de convaincre les compagnies aériennes de planifier leur capacité et de s’engager dans des programmes de renouvellement de flotte sur plusieurs années », explique-t-il.
  21. Sur le système SPACIDO de Nexter Ammunition SPACIDO 1D Course Correction Fuze, 51st Annual Fuze Conference, May 22-24, 2007 Nashville --> https://ndia.dtic.mil/wp-content/uploads/2007/fuze/SessionIIIA/campion.pdf
  22. Titus K

    L'Inde

    Tu peux critiquer ou défendre mediapart, évite juste de faire de la politique ? Tu remarqueras que les messages de @rendbo défendant médiapart n’ont pas été supprimés eux …
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