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Tout ce qui a été posté par Titus K
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@GR_Silent C’est le budget alloué â la modernisation des 4 MEKO ?
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Inde : politique intérieure et internationale
Titus K a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
Les klaxons des tuktuk et des mobylettes sous les tirs de DCA -
Ils peuvent toujours commander des Caracals comme les Pays-Bas et la France
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Ca doit être assez thérapeutique pour @Patrick de piétiner ADS après cette fin de semaine difficile en Inde
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Sur le SCAF --> Dans une précédente interview, vous aviez indiqué que les négociations de la phase 2 du programme européen SCAF auraient dû être bouclées fin 2024. Cela n'a pas été le cas. Qu'est-ce qui s'est passé ? Ce que j'avais dit en réalité c'est qu'en raison des élections allemandes, il fallait accélérer les négociations et tenter de les finir avant cette période qui n'est jamais propice à une prise de décision politique. Finalement, les élections ont été avancées, ce qui change la donne. Aujourd'hui, il y a une stabilité politique en Allemagne et en Espagne ainsi qu'en France, en tout casjusqu'à preuve du contraire. Nous nous préparons à entrer dans la voie permettant d'aller vers la phase 2. Et nous avons un sujet fondamental auquel il va falloir répondre : la façon dont le monde évolue. C'est-à-dire ? Si on regarde le programme tel qu'il est défini, nous allons préparer un système de systèmes, le SCAF n'étant pas qu'un avion de combat. Nous allons développer ce programme qui devra être prêt en 2040 grâce à des démonstrateurs technologiques : phase 1B, démonstration technologique sur papier ; phase 2, fabrication des démonstrateurs et premiers vols qui se poursuivront en phase 3 ; et en parallèle on lancera le développement du système en tant que tel pour une mise en service opérationnelle en 2040. Dans le même temps, on constate aujourd'hui partout dans le monde l'arrivée de drones et de nouveaux systèmes de connectivité. Donc on peut se demander si nous ne sommes pas en train de nous tromper de plan. Pourquoi ? Aujourd'hui, la France a le programme F5 avec le Neuron et des systèmes de connectivité qui assurent les évolutions de l'aviation de combat pour la décennie suivante. Les autres nations se posent également cette question de développer ce type de capacité dans ou hors du SCAF. Au départ, les nations avaient répondu que tout ce qui se passait avant 2030, c'était hors SCAF. Mais le fait que tout le monde mette aujourd'hui son énergie sur toutes ces capacités de système de systèmes questionne la pertinence et la cohérencedes développement SCAF qui préparent l'horizon 2040. La question fondamentale avec la phase 2 est comment va-t-on mettre en place un système où d'une certaine manière on peut voir le programme SCAF exister plus tôt ? Comment les nations font-elles leurs propres feuilles de route ? Il peut y avoir des feuilles conjointes peut-être plus tôt sur le plan opérationnel que 2040. Vous demandez clairement une accélération du programme. Les États y sont-ils prêts ? Dans tous les pays, il y a bien sûr la question de l'immédiateté de l'équipement des forces ici et maintenant, et la nécessaire préparation du long terme car la maturation de technologies et le développement de grands programmes prend du temps. Ce qui est sûr, c'est qu'il faut un avion de combat européen de sixième génération furtif et connecté. Le développer prendra du temps. Ce qui est sûr également, c'est que les autres composantes du système de systèmes (drones, systèmes de connectivité, combat cloud) ne sont pas sur la même dynamique aujourd'hui dans le monde. Nous constatons le développement de plusieurs solutions de drones de combat dans différents pays un peu partout dans le monde. Comment arrive-t-on à concilier ce monde d'aujourd'hui avec le programme SCAF en 2040 ? Comment pourrait-on être interopérable dès les années à venir et comment pouvons-nous préparer la bulle de combat européenne entre les trois nations SCAF, mais aussi avec les Britanniques et d'autres ? C'est-à-dire comment dès les années 2030 peut-on avoir du combat collaboratif entre des avions et des drones européens d'origine diverse, en attendant le NGF et les remote carriers du programme SCAF ? On peut commencer avec les avions d'aujourd'hui en France, en Allemagne et en Espagne et préparer les technologies dont on a besoin pour la génération suivante. En clair, Airbus souhaite « plugger » un système de combat collaboratif le plus vite possible sur l'existant. Exact ? C'est exactement l'idée. SCAF, ça commence dès aujourd'hui. Le besoin opérationnel de SCAF existe déjà. Si on ne bouge pas dès maintenant sur la combat collaboratif, l'Europe va acheter américain dans cinq ans. Il faudra à la fois avoir une capacité opérationnelle en 2040 et être capable de livrer des capacités opérationnelles intermédiaires. Il faut tracer une feuille de route entre 2025 et 2040 et surtout éviter que chacun soit dans son silo pendant 15 ans face à la concurrence sur tout ce qui va être développé à partir d'aujourd'hui. Quelle est l'importance du système de systèmes ou le combat collaboratif ? Il est central. L'ensemble a une influence sur l'avion lui-même parce que le système de missions de l'avion doit être ouvert en termes d'architecture. Il doit également être ouvert à la connectivité avec les autres plateformes qu'elles soient dans les airs, sur la mer ou à terre. Le système de systèmes doit permettre l'assignation de missions d'un avion à un autre, d'avions à un drone, d'un avion de commandement à un avion de chasse. L'information sera d'ailleurs distribuée à partir de plusieurs avions de commandement. In fine, l'équipe conjointe clients nationaux et industriels qui coordonne le système de systèmes est de fait un peu le chef d'orchestre des différents piliers du SCAF.
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On the 6th and 7th of May 2025 at DEFEA - Defence Exhibition Athens, Naval Group strengthened its commitments in favour of the Greek industry, through the signature of new partnership agreements with six Hellenic companies in the frame of the Hellenic Industrial Participation (HIP) plan: 4 framework contracts on the support of the FDI frigates 2 Memorandum of understanding (MoU) regarding the integration of drones on surface ships, beyond the FDI HN programme. Naval Group and ALTUS LSA S.A. signed a Memorandum of Understanding in order to cooperate in the field of UAVs marinization and integration on navy ships (FDI frigates, Gowind corvettes and other surface ships). Naval Group and Hellenic Aerospace Industry S.A. (EAB) also signed a MoU to initiate discussions on the integration of the Centaur C-UAS system on the FDI platform, and later to other surface ships platforms. The four framework contracts signed at DEFEA aim at contributing to the future support of the FDI for the Hellenic Navy in Greece, covering the following services : FARAD S.A Heat Exchangers : services for HVAC systems DIVING STATUS : underwater inspection and maintenance work Melita Power Diesel : diesel engine PETROS PETROPOULOS : diesel generator https://www.linkedin.com/posts/naval-group_fdi-activity-7326156214076121089-xUvc
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Je ne savais pas qu'une si grande part de l'armée était réellement unilingue ! Ce serait un trop gros frein au recrutement de justement favoriser le bilinguisme en mélangeant francophones et néerlandophones des le debut de carrière ? Quitte a faire un apprentissage de l'autre langue façon légion étrangère.
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J’ai remarqué que plusieurs députés belges se sont plaint que le français soit utilisé lors de la formation Scorpion/CaMo par les militaires français et non l’anglais "langue de l’OTAN". C’est l’anglais qui est utilisé au quotidien dans la force terrestre belge ?
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VATICAN : micro état / influence maxi
Titus K a répondu à un(e) sujet de Bechar06 dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est le nom de famille Francais qui a du faire pencher la balance -
Les ~75 tonnes c'est la MZFW, donc Empty + Payload.
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Inde : politique intérieure et internationale
Titus K a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
Pensez-vous qu'il y puisse y avoir des restriction sur l'utilisation du Meteor pour éviter qu'un missile ayant raté sa cible ne tombe en territoire pakistanais ? -
Nouvelles armes pour sous-marins : des opportunités pour les fabricants européens https://premium.marineschepen.nl/nieuwe-wapens-voor-onderzeeboten-kansen-voor-europese-fabrikanten/ De quelles armes seront dotés les nouveaux sous-marins néerlandais ? Les nouveaux sous-marins néerlandais doivent pouvoir lancer la torpille américaine MK 48, ainsi que le Tomahawk. C'est ce qu'a annoncé le ministère de la défense il y a quelque temps. Toutefois, il n'est pas encore certain que les sous-marins seront équipés de ces armes ou seulement de ces armes. Le Tomahawk, par exemple, a déclaré des sources françaises à Marineschepen.nl, n'a jamais été une exigence formelle. Le MK 48 l'a été, mais la défense cherche à le remplacer. Cela représente des opportunités pour les entreprises européennes. La Défense a récemment donné son feu vert au remplacement des torpilles MK 48. Cela s'est fait par la publication de la lettre A du 23 avril annonçant 17 projets d'équipement différents. Comme on le sait, les sous-marins de la classe Walrus fonctionnent depuis le début avec la torpille américaine susmentionnée. Cette torpille est actuellement en cours de modernisation et devrait également pouvoir être lancée par les nouveaux sous-marins de la classe Orka. Mais « le rythme des développements dans le domaine sous-marin est rapide », écrit le secrétaire à la défense, Gijs Tuinman, dans la lettre A. « La défense prévoit que la classe Orca sera confrontée à une combinaison de menaces provenant de plates-formes habitées (traditionnelles) et de systèmes sans pilote. C'est pourquoi la défense a besoin d'un nouveau type de torpille pour les sous-marins de la classe Orca ». Alors que le Submarine Service modernise la MK 48 et que COMMIT a exigé que la classe Orka puisse lancer cette torpille, il semble que l'on ne fasse pas encore ses adieux à cette torpille utilisée depuis le début des années 1970. Plusieurs experts interrogés par Marineschepen.nl affirment également que le Service des sous-marins ne veut pas se séparer de cette MK 48 pour l'instant. Cela ne signifie pas nécessairement qu'il n'y a pas de place pour de nouvelles torpilles, explique un expert à Marineschepen.nl. En fait, il se pourrait bien que la classe Orka, ainsi que la classe Walrus, naviguent avec deux types différents de torpilles lourdes. Toutes les torpilles lourdes produites dans les pays de l'OTAN ont un diamètre de 533 mm. Elles doivent pouvoir être intégrées dans le système de gestion du combat (CMS) du sous-marin et connectées au système de lance-torpilles existant. Avec cette combinaison dans les chambres du tube d'étrave, les cibles traditionnelles telles que les navires et les sous-marins habités peuvent être attaquées avec une MK 48 modernisée, conçue à l'origine pour être lancée en eaux profondes par un sous-marin nucléaire. Mais les nouvelles menaces dont parle le secrétaire d'État peuvent également être torpillées avec les torpilles nouvellement conçues. Nouvel investissement dans les torpilles Pendant des décennies, le développement des torpilles a été quasiment au point mort. Pour de nombreuses marines, la torpille était l'arme la plus lourde, mais à l'heure des opérations de maintien de la paix, peu de gens voyaient un avenir à ces armes et les fabricants étaient réticents à investir dans ce domaine. La situation a changé. Plusieurs entreprises ont dépoussiéré leurs départements de conception de torpilles et ont commencé à travailler sur une nouvelle génération prometteuse de torpilles. Les logiciels jouent un rôle majeur dans cette génération, permettant aux nouvelles torpilles de franchir une étape importante en termes de capacités. Tout d'abord, Naval Group a introduit une nouvelle torpille : la torpille F21. En service depuis 2018, elle est destinée aux sous-marins de la classe Suffren, mais sera également embarquée sur les sous-marins brésiliens Scorpène. La MK 48 est une torpille qui fonctionne à l'Ottofuel II, invisible et inodore. La plupart des autres torpilles sont électriques et peuvent néanmoins atteindre des vitesses élevées et couvrir de longues distances. La F21 est également une torpille électrique qui atteint des vitesses de sprint de plus de 50 nœuds et des distances de plus de 50 km. Cette torpille peut également rester en mer plus d'une heure. Grâce à son nouveau traitement, la F21 peut également se diriger vers la cible à faible vitesse, de sorte que la torpille n'est détectée que très tardivement. En plus de viser directement le navire lui-même, un sonar embarqué permet à la torpille de repérer un navire qui s'éloigne à grande vitesse et de le suivre par autoguidage. (wake homing) La torpille française est un candidat évident car le constructeur du sous-marin est également le constructeur de la torpille. Torpille 63 et DM2A5 Mais il y a aussi d'autres possibilités. C'est justement parce que des investissements sont actuellement réalisés dans de nouvelles torpilles. En effet, la société suédoise Saab et la société allemande Atlas Elektronik développent toutes deux une nouvelle torpille. Le développement de ces armes va de pair avec la construction de la classe Orka. Marineschepen.nl s'attend à ce que les deux entreprises participent au projet néerlandais Replacement MK 48. Atlas Elektronik développe la DM2A5 pour les sous-marins allemands et norvégiens de type 212CD, comme cela a été annoncé lors de l'exposition UDT sur les sous-marins. Cette torpille succède à la DM2A4, en service en Allemagne, en Israël et en Espagne, entre autres. Comme ses prédécesseurs, la DM2A5 est développée pour les sous-marins diesel-électriques en eaux profondes et peu profondes. Les concepteurs de torpilles suédois étudient actuellement le successeur de la Torpedo 62 : la Torpedo 63. Cette nouvelle arme s'inspirera également de la technologie des armes précédentes, comme la Torpedo 47 récemment introduite (une torpille légère pour les frégates, par exemple). Naval News a récemment écrit que Saab vise des vitesses d'environ 50 nœuds et des portées de plus de 50 km avec la 63. MK 48 sur les bateaux français Si le Service des sous-marins semble vouloir s'en tenir à la MK 48, il convient de préciser qu'il ne s'agira pas d'un « plug and play ». Au printemps 2023, des représentants de Naval Group ont confirmé à Marineschepen.nl que la France ne souhaite pas que les systèmes d'armes américains soient directement intégrés dans les systèmes français, et que les Américains ne le permettront pas non plus. La solution serait une interface garantissant que les torpilles et les missiles américains n'aient pas à communiquer directement avec le logiciel français du sous-marin. En outre, le lancement du MK 48 nécessite une technique différente de celle à laquelle les Français sont habitués pour leurs propres bateaux. Pour des raisons de sécurité, la marine française lance les torpilles à l'aide d'un bélier, une tige qui pousse physiquement la torpille hors du bateau, s'assurant ainsi que la torpille a bien quitté le bateau. Le MK 48 ne peut pas être lancé de cette manière, il est trop fragile pour cela et est poussé par l'eau (le F21 peut également être lancé de cette manière). Les nouveaux tubes lance-torpilles doivent donc être conçus pour cela. Cela n'a été possible que depuis la signature du contrat, car lors de la procédure d'appel d'offres, les Pays-Bas n'ont pas été autorisés à partager toutes les spécifications des tubes torpilles MK 48 avec les différents chantiers navals. Il y a aussi la situation géopolitique, qui fait que plusieurs experts doutent qu'il soit encore souhaitable d'équiper un sous-marin néerlandais d'un système d'armement américain. L'abandon de la torpille MK 48 comme l'un des systèmes d'armes de l'Orka représente également un risque sur un autre front. Cette torpille est une exigence et figure, selon toute vraisemblance, dans le contrat. Un écart par rapport au contrat pourrait avoir une incidence sur la marge de manœuvre dont dispose la défense pour faire respecter le contrat par le chantier naval, et donc sur le prix et les délais de livraison. Tomahawk Plus encore que le MK 48, le Tomahawk est une arme qui ne peut pas être simplement placée sur un bateau de fabrication française. Les États-Unis n'ont jamais fourni ces armes à la France (ni à l'Allemagne, ni à la Suède). En mai 2024, le Telegraph écrivait que les Américains auraient des difficultés à fournir ce système d'armement pour un bateau de Naval Group. Le ministre de la défense de l'époque, Christophe van der Maat, a écrit en réponse à ce rapport que ce n'est qu'après la signature du contrat avec Naval Group que des discussions auraient lieu avec les Américains afin d'élaborer le « concept d'intégration » des Tomahawks. Les chantiers navals qui ont participé à l'appel d'offres ont reçu des informations encore plus générales sur les exigences d'un missile de croisière. Selon des initiés français, le Tomahawk n'était même pas une exigence et seule une arme de vol croisé a été mentionnée. La lettre susmentionnée de M. Van der Maat indique également que « l'intégration et l'installation proprement dites ne font pas partie du programme de sous-marins. Les chantiers navals candidats ont proposé des dispositions dans leurs offres sur la base d'informations générales (dimensions, poids, etc.) concernant l'armement ». En septembre, un employé de Naval Group a expliqué à Marineschepen.nl que différents types de systèmes d'armes ont été pris en compte dans la conception et que la combinaison exacte n'a pas encore été déterminée. Le Tomahawk pour les sous-marins n'a pas encore été commandé Fin avril, le département d'État américain a approuvé la demande de commande de 175 Tomahawk. Une enquête menée auprès du ministère de la défense révèle qu'il ne s'agit que de Tomahawk destinés aux frégates et non aux sous-marins. Le projet Maritime Strike Acquisition, écrit le ministère de la défense dans une réponse à Marineschepen.nl, « se compose de plusieurs sous-projets, et donc de plusieurs cas de FMS. La capacité de lancement en surface est une, tout comme la capacité de lancement sous la surface pour les sous-marins est une ». La prochaine revue des projets de défense contiendra de plus amples informations sur l'état d'avancement du projet. Alternatives européennes Le programme de frappe maritime est néanmoins entièrement axé sur le Tomahawk, y compris pour les sous-marins. Dans la lettre A de mars 2023, la Défense écrit que le Tomahawk est le seul système d'arme conforme. « Pour les sous-marins de remplacement, les Tomahawk modifiés sont nécessaires dans tous les cas », a écrit le secrétaire d'État en 2023. Plus encore que sur les torpilles américaines, les experts extérieurs à la marine ont critiqué une arme stratégique américaine sur les sous-marins néerlandais depuis que Donald Trump est à la Maison Blanche. Pour seule alternative, la Défense devra donc se pencher sur le MdCN, le missile de croisière français qui peut être lancé via une torpille. Contractuellement, cette étape sera plus facile à franchir et c'est probablement aussi le cas sur le plan technique. Outre les missiles d'attaque terrestre, d'autres développements sont également en cours. Ainsi, MBDA travaille sur le nouvel Exocet SM40 pour les sous-marins et, dans le même temps, la Norvège et l'Allemagne s'intéressent à la version sous-marine du Naval Strike Missile (NSM). Le NSM sera installé sur les frégates néerlandaises, mais il est également développé (à la suite d'une initiative espagnole) pour les sous-marins. La combinaison de systèmes d'armes dont seront dotés les nouveaux sous-marins n'est donc pas encore certaine. Mais le choix ne manque pas.
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L'Inde a quand même perdu l'équivalent d'une vingtaine de F-35 avec ce Rafale au tapis
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[Bâtiment RAVitailleur d'Escadre/ FLOTLOG Vulcano/ Bâtiments Ravitailleurs de Force BRF]
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
BRF Jacques Stosskopf : tout l'armement à poste https://www.meretmarine.com/fr/defense/brf-jacques-stosskopf-tout-l-armement-a-poste Les 2 Rapidfire et les 2 Simbad-RC sont installés Encorbellements ont été ajoutés sur la superstructure afin d’améliorer le champ de battage des Simbad-RC Tourelle Simbac-RC Rheinmetall, ce sera une rouelle Cegelec a partir du 3ème BRF Prochaine sortie fin-mai, direction Toulon en Juillet -
Inde : politique intérieure et internationale
Titus K a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
Dans cet article il y a beaucoup de vidéo des opérations de l'armée de l'air indienne --> https://timesofindia.indiatimes.com/india/operation-sindoor-govt-releases-footage-of-army-bombing-terror-camps-in-pakistan-pok/articleshow/120954049.cms -
En soit ca pourrait aussi être 6 FDI + 2 FDA NG supplémentaires, au lieu de 8 FDI ... Mais ne pas passer à 18 frégates ce serait admettre que la MN ne peut pas tenir son rang ... je cite le ministre il y a 3 semaines A 37 min (transcription YouTube) --> https://www.youtube.com/watch?v=rIe5ulJRqqA On sait très bien que les trois frégates qui ont été retirées du format des armées sous la RGPP, bah comme les mers n'ont pas beaucoup changé et notre espace maritime non plus ... Et bien en fait les trois frégates qui ont été retirées dans les réformes des années 2000 (nous manquent car) on a toujours la même ZEE Donc je vous donner un scoop : en fait il nous manque trois frégates. C'est c'est comme ça. Donc après est-ce qu'il faut réparer ça très vite ? En tout cas faut le réparer et on peut prendre une pente plus longue mais en tout cas je pense qu'il faut il faut le regarder.
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Notre Marine Nationale, les nouvelles, les effectifs, la composante
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Audition de l’amiral (2S) Bernard Rogel, membre titulaire de l’Académie de Marine, ancien chef d’état-major particulier du président de la République et ancien chef d’état-major de la Marine, dans le cadre du cycle « Espaces maritimes et enjeux de défense ». --> https://www.youtube.com/live/DUSR4cRn9xs -
Inde : politique intérieure et internationale
Titus K a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
Sait-on si les jaguars "plus furtifs qu’un F-22" ont été employés ? https://www.eurasiantimes.com/the-last-jaguars-in-the-world-crash-sparks-concern/ -
Inde : politique intérieure et internationale
Titus K a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
Il se passe quoi pour l’A330 MRTT qui serait envoyé par la France en « Wet Lease » ? C’est toujours à l’ordre du jour ? -
Un rare opportunité pour le NH90 ? La Nouvelle-Zélande va remplacer les hélicoptères navals Seasprite https://verticalmag.com/news/new-zealand-to-replace-seasprite-naval-helicopters/ Les forces de défense néo-zélandaises ont l'intention de remplacer leurs hélicoptères maritimes, les Seasprite SH2-G(I), pour un coût de 2 milliards de dollars néo-zélandais (1,2 milliard de dollars américains), dans le cadre d'une augmentation majeure des dépenses militaires. La Nouvelle-Zélande compte huit hélicoptères Seasprite dans sa flotte, exploités par l'escadron n° 6, avec des équipages de la marine royale néo-zélandaise. Les appareils ont été livrés en 2015, en remplacement du modèle SH-2G(NZ), et sont principalement utilisés pour la lutte anti-surface, la lutte sous-marine, les patrouilles maritimes et la surveillance. Ses autres rôles incluent la recherche et le sauvetage, les opérations utilitaires, la formation des équipages et des équipes de pont d'envol, et les tâches domestiques pour les agences gouvernementales. Les hélicoptères Seasprite sont entretenus par des techniciens de l'armée de l'air royale néo-zélandaise. Wellington a déclaré qu'il prévoyait également d'augmenter les dépenses de défense de 957 millions de dollars néo-zélandais (573 millions de dollars américains) au cours des quatre prochaines années afin de financer les activités opérationnelles essentielles. « Notre personnel est appelé à se rendre dans des endroits plus nombreux, plus souvent et plus longtemps pour jouer le rôle de la Nouvelle-Zélande dans la sécurité mondiale », a déclaré la ministre de la défense, Judith Collins, dans un communiqué. « Ce financement leur permettra de le faire.
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@LetMePickThat premiere fois que je lis cette info, ca permettrait de gagner en portée ? Page 33 (Avio) --> https://www.defense.gouv.fr/sites/default/files/dga/Calepin 2025 English version.pdf A modernised version of the ASTER 30 booster, called MLU (Mid-Life Update), is currently under development.
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L'Iris-T aussi pour un système entré en service il y a 3 ans ... https://fr.wikipedia.org/wiki/IRIS-T_SLM Tu dois confondre les portées air-air et sol-air ? et encore... Que veux-tu dire par "plus puissant" ? Le fameux Aster 15 terrestre du SAMP/T ...
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Avec 8 FDI il y aura 18 frégates, en plus des 6 corvettes en outre-mer qui seront mieux armées que nos FLF actuelles... ajoute a ca les silos manquants aux FDI .. ca fera une jolie flotte de surface vers 2035-40 ! Pendant ce temps on entend toujours rien sur un changement de format la sous-marinade ... Si on veut notamment "peser" en indopacifique ou par notre dissuasion conventionnelle je pencherait plutôt sur un investissement dans ce domaine.
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M'enfin monsieur on est sur un forum Francais !!! Meafou, Flament, Taofifénua, Colombe ... la France ne manque pourtant pas de grands gaillards