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Titus K

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Tout ce qui a été posté par Titus K

  1. Le Scaf fait l'objet d'un lobbying intense d'une entreprise qui veut tout faire, alors que, selon l'adage, « seul plus on va plus vite, en groupe on va plus loin », même si la coopération demande des concessions. Il y aura un successeur au Rafale, le projet qui se déroule en coopération fera l'objet d'une information au Parlement l'an prochain, un rendez-vous entre la France, l'Espagne et l'Allemagne doit être pris avant la fin de l'année pour le lancement de la phase 2, lequel est subordonné aux échéances électorales allemandes. La dissuasion n'est pas en risque, nous ne cèderons rien sur le sujet ; le nouvel avion sera capable de porter le missile nucléaire, il n'y a pas de question sur le sujet. Soit nos partenaires le comprennent, soit nous ferons autrement, nous avons des plans alternatifs. En tout état de cause, l'absence de restriction à l'export est une condition sine qua non que nous posons pour aller plus loin sur le projet.
  2. Titus K

    Remplacement des alphajet?

    Est-ce ca ne justifierait pas plutôt developper en 1er un drone ravitailleur un minimum furtif ? Parce-que ce problème de rayon d'action sera le même sur tout les LW ... En plus pour la MN le NGF ne pourra probablement pas ravitailler comme le Rafale depuis le PA. Par exemple le MQ-25 ravitaille 6 tonnes de carburant à 500 nautiques, ca ravitaille combien de tes drones ? 1.5 ? Sachant qu'à 500 nautiques 1 MRTT peut délivrer environ 60 tonnes soit l'équivalent de 10 MQ-25.
  3. Les recettes d’ArianeGroup pour concevoir son premier minilanceur réutilisable avec MaiaSpace https://www.usinenouvelle.com/article/les-recettes-d-arianegroup-pour-concevoir-son-premier-minilanceur-reutilisable-avec-maiaspace.N2224317 Pour concevoir son minilanceur réutilisable, la filiale d’ArianeGroup MaiaSpace veut combiner l’agilité d’une start-up du newspace sans renier l’héritage de l’Europe spatiale. Son premier vol commercial est prévu en 2026 avec pour objectif de réaliser une vingtaine de tirs par an depuis la Guyane à l’horizon 2032. Plus qu’un symbole. Dans l’immense site d’Arianegroup, à la lisière de la forêt de Vernon (Eure), dans l’un des multiples halls d’assemblage de la zone, les salariés de la start-up MaiaSpace ont pris possession des lieux. Ils commencent à assembler le prototype de leur minilanceur dans le bâtiment A37, au cœur même de l'endroit où ont été produits les moteurs des premières fusées Ariane depuis le début des années 1970. Malgré l’ancienneté de la structure, le grand hall d’assemblage avec ses ponts roulants est suffisamment haut et long pour manipuler à l'horizontale les tronçons de fusée d’une dizaine de mètres de long et de plus de 3,5 m de diamètre. «Ce hall d’assemblage a été utilisé pour les fusées d’Ariane 1 à Ariane 4. En termes de dimensions, il correspond parfaitement à nos besoins pour une production en série. Les moteurs arriveront directement d’un bâtiment voisin», explique Jean-Michel Sannino, directeur de l’usine MaiaSpace à Vernon. Le responsable est lui-même un ancien… d’ArianeGroup, où il travaillait sur les programmes du futur. A côté du minilanceur en construction patientent une poignée de réservoirs d’ergols de la taille d’un gros chauffe-eau. «On va les soumettre à des tests en pression et de température pour évaluer nos nouveaux procédés de soudure. Pour certains, on ira jusqu’aux limites» explique le directeur de l'usine. Une démarche typique du newspace ou l’on hésite pas à détruire pour apprendre. Court-circuiter la règle européenne du retour géographique En avril 2022, la filiale d’ArianeGroup, société commune à Safran et Airbus, s’est lancée dans la course à la fabrication d’un minilanceur réutilisable. Sur ce segment, en Europe, les concurrents sont nombreux : l’espagnol PLD Space, le britannique Orbitex, les allemands RFA et Isar Aerospace ainsi que les français Latitude, HyprSpace, Sirius… Ces minilanceurs conçus pour mettre sur orbite des charges utiles entre 500 kg et 1,5 tonne espèrent se faire une place à côté des moyens et gros lanceurs déjà sur le marché. Comme la fusée Falcon 9 de SpaceX ou encore les lanceurs Vega C et Ariane 6 de l’agence spatiale européenne. Grâce à leur capacité de mettre sur orbite des charges jusqu’à dix fois plus importantes, les gros lanceurs affichent un prix au kilo mis en orbite mécaniquement plus bas grâce aux économies d’échelle. A moins que… «Il faut concevoir et fabriquer différemment nos lanceurs. Sinon on ne pourra pas être compétitif», explique Yohann Leroy, PDG de MaiaSpace. Maiaspace et ses 230 salariés, affichent des objectifs ambitieux : un premier vol commercial en 2026, soit moins de cinq ans après sa création, et une cadence d’une vingtaine de tirs par an à l’horizon 2032. Grâce à ses dimensions relativement plus importantes que les autres minilanceurs (50 m de hauteur, 3,5 m de diamètre), la fusée construite à Vernon ambitionne d’être compétitive sur différents segments de marché. Le lanceur sera capable de lancer des charges utiles de 500 à 1500 kg mais également des grappes de satellites en constellations avec un prix au kilo en orbite comparable à celui des lanceurs lourds. Alimenter les bureaux d'études en multipliant les essais Comment ? En s'imposant comme le chainon manquant entre le newspace symbolisé par SpaceX et le "oldspace", soit les acteurs traditionnels du secteur. Ainsi 40% de ses effectifs proviennent de la filière historique du spatial (ArianeGroup, CNES, ESA…) et 60% proviennent d’horizons différents. «C’est le bon rapport, sourit le dirigeant. A la fois pour ne pas commettre d’erreurs de débutants grâce à des experts qui ont déjà développé des lanceurs, et en même temps pour être en capacité de faire les choses différemment.» Surtout, pour MaiaSpace, hors de question de réinventer la roue. Plutôt que développer un nouveau moteur pour ses fusées, la société s'équipe auprès d’ArianeGroup du moteur Promethéus de 120 tonnes de poussée développé pour le compte de l’ESA pour répondre au besoin des lanceurs réutilisables. Même philosophie pour le pas de tir. Elle fera décoller sa fusée depuis l’ancien pas de tir des fusées Soyouz au centre spatial guyanais, libre depuis le départ des Russes de Guyane. La société s’inspire également des recettes d’Elon Musk pour accélérer ses développements. MaiaSpace s’appuye sur la méthode «test and learn»(essayer et apprendre) qui a permis à SpaceX de mettre au point ses fusées réutilisables. «On apprend plus en échouant qu’en restant derrière un ordinateur», explique Yohann Leroy. Ainsi, dans le hall A37, pour la fabrication du premier étage de son lanceur, les équipes vont procéder en trois étapes. Elles vont concevoir successivement deux prototypes qu’elles pousseront à leurs limites avant de produire l’exemplaire de vol. Et rien de tel que les essais terrains. La filiale d’ArianeGroup peut profiter pleinement des moyens techniques disponibles à Vernon. Dans l’une des zones de tests du site, les équipes commencent à tester le mécanisme de séparation entre les deux étages du lanceur. Dans une autre zone, elles évaluent les moteurs du 3eme étage livrés par différents fournisseurs. Encore ailleurs, elles reproduisent les opérations au sol de remplissage et de vidage du second étage. «L’ensemble de ces essais alimentent nos bureaux d’études avec de la connaissance qui leur permettent à leur tour de concevoir des prototypes qui s’approchent du modèle du vol, explique Jérôme Vila, responsable du lanceur pour MaiaSapce. La proximité géographique entre la zone d’essais et les ateliers est clé dans notre équation.» Un modèle de développement pour le successeur d'Ariane 6 Sur le plan industriel, MaiaSpace ne va copier le modèle ultra intégré de SpaceX qui fait quasiment tout lui-même pour fabriquer son lanceur. «En fonction de chaque équipement : la baie moteur, l’avionique, les réservoirs… Nous regardons si c’est mieux de faire par nous-mêmes ou par un partenaire. Aujourd’hui, 40% des coûts sont générés par nos partenaires hors de France en Europe», explique Yohann Leroy. Par contre, pas question de se faire imposer ses fournisseurs par l’agence spatiale européenne (ESA) comme c’est le cas pour Ariane 6 ou Vega C. Soumis à la règle du juste retour géographique, les maîtres d’œuvre respectifs, ArianeGroup et Avio sont contraints de sélectionner des fournisseurs dans les pays qui ont contribué financièrement à leur programme. «Nous choisissons nos partenaires où nous voulons en Europe en fonction de leur compétitivité», assure-t-il. Pour s’affranchir de cette contrainte, MaiaSpace a pu bénéficier des investissements de ses deux actionnaires de référence. Et si la société participera bien à la compétition organisée par l’ESA dans le domaine des minilanceurs, ce n’est pas pour récupérer des fonds mais pour décrocher des contrats institutionnels. Safran et Airbus ont déjà financé leur filiale à hauteur de 125 millions d’euros et devraient mettre au moins autant en 2025 pour poursuivre son développement. Avec le secret espoir que ces investissements soient profitables au futur successeur d’Ariane 6. «Le futur lanceur lourd européen, s’il s’inspire nos méthodes, pourrait coûter trois fois moins cher que les concurrents traditionnels», estime le dirigeant. Pour produire à plus grande échelle, MaiaSpace veut disposer de sa propre usine. Deux sites sont en concurrence pour accueillir la "MaiaFactory" : le site de Vernon, qui offre la proximité avec la zone d’essais et la fabrication des moteurs, ou celui des Mureaux, dans le département voisin (Yvelines), où sont déjà assemblées les nouvelles Ariane 6. Le choix sera réalisé d’ici à la fin de l’année.
  4. Je comprend pas très bien ... Dans la premiere partie, le DGA parle de Dassault quand il évoque "un lobbying intense d’une entreprise qui veut tout faire" ... puisqu'il assure juste après que "la dissuasion n'est pas en risque" ?
  5. Merci, mais justement pour les batteries li-ion ce serait des batteries chinoises ou russes ? https://topwar.ru/224833-rossijskaja-podlodka-p-750b-serval-modificirovana-dlja-razmeschenija-vnutri-minisubmarin.html
  6. Le kiosque me dit quelque chose ... https://www.baesystems.com/en/article/australian-government-and-industry-partners-reach-ssn-aukus-agreement?utm_source=twitter&utm_medium=baesystemsplc&utm_campaign=SocialCT&utm_content=Post&utm_term=c53c8306-fbb1-4423-9d0d-04af15028769 Australian Government and industry partners reach SSN AUKUS agreement Dec 17 2024 The Australian and UK Governments have announced a significant milestone between the Australian Submarine Agency (ASA) and industry partners that will support the delivery of the SSN AUKUS fleet of conventionally armed, nuclear-powered submarines for the Royal Australian Navy. The ASA, BAE Systems and ASC Pty Ltd have signed a Tasking Statement, a contractual agreement that supports the joint development of build strategy, supply chain management plans and a workforce development strategy. Stuart Whiley, Chief Executive Officer and Managing Director of ASC, said: “The Tasking Statement is an important step in establishing a sovereign nuclear submarine build capability in Australia. The program is anticipated to generate thousands of highly skilled jobs over its lifetime. "SSN AUKUS is a multi-national, multi-generational programme through which ASC will invest in developing the critical skills required to build a nuclear submarine fleet in Australia. It’s hard to imagine, but the children at school today will be the ones building our submarine fleet of tomorrow.” Steve Timms, Managing Director, BAE Systems’ Submarines business, said: "SSN AUKUS is our contribution to the critical tri-national security partnership between Australia, the UK and the US. The safe build, test and commissioning of nuclear submarines is a hugely complex engineering endeavour and through these agreements, we’re able to share our vast experience of nuclear submarine capabilities with our industry partners to support the build of submarines in Australia. "We have a long history of delivering sovereign capability and security in Australia and the UK and the Tasking Statement underpins further support to essential delivery capabilities in Adelaide, with support from Barrow.” Craig Lockhart, Chief Executive, BAE Systems’ Australia, said: “Focused on stealth and endurance, the SSN AUKUS submarine will integrate cutting edge technologies and advanced materials to enable it to operate the full spectrum of underwater missions, from advanced intelligence and surveillance through to underwater warfare. “It is a complex build challenge that industry partners are coming together to deliver. Work is underway on defining the delivery schedule, the enablement environment for future information transfer between the UK, US and Australia, as well as design of the new yard at Osborne to accommodate the build.” Over the past eight months, government and industry partners have made progress across a number of areas for delivery of the SSN AUKUS. In November, the ASA, BAE Systems and ASC signed an AUKUS Mobilisation Deed, which provides a framework to contract with the Australian Government through the ASA. That followed the Heads of Agreement and the tri-lateral announcement of the Commonwealth of Australia’s shipbuilders in March. Integrated Project Teams are now working to oversee tasks such as nuclear stewardship, infrastructure functional requirements, business enablement and build preparation. Underpinning business functions, such nuclear safety and assurance, engineering and build operations have also been established.
  7. Disons que quand les séquences tirs sélectionnées pour des clips promotionnels du matos c’est ceux la (à 1:56) ... c’est pas très étonnant d’entendre ca Pourtant avec un BRF avec cet état de mer, c’est difficile de faire plus stable comme plateforme.
  8. @mudrets Il y a des nouvelles du projet P750B ? Une autre question que je me posais pour les SSK russes, quand on voit que les futurs SSK (comme au JP ou NL) s’orientent vers du 100% batteries pour le stockage d’énergie, les russes ont-ils une industrie souveraine dans ce domaine ou vont ils dépendre des chinois ?
  9. Titus K

    Marina militare

    Oups j’avais pas vu le message au dessus, absorbé par les images
  10. Titus K

    Marina militare

    J’ai l’impression qu’il réutilisent le « cockpit » des PPA non ? En tout cas ils ont plus de gueule que les Patrouilleurs Hauturiers, mais bon la facture est aussi bien plus salée.
  11. Titus K

    [PATMAR & SURMAR]

    Donc selon l’amiral, L'ATL est « un des meilleurs au monde pour la PATMAR » ... sachant le nombre de PATMAR doit tenir sur les doigts d’une main... heureusement non ? C'est une bonne nouvelle, mais j’ai un peu de mal a saisir votre emballement ?
  12. J’imagine que c’est pas le plus important dans le cas de cet appel d’offre ... mais la distance franchissable de l’A400M avec 25 tonnes est environ 2,5x plus importante que celle du C-390.
  13. Vous pensez quoi de cette hystérie qui s’est emparée des US depuis l’apparition de drones sur la côte est ?
  14. Titus K

    La Force aérienne suisse

    J'avoue qu'il essayent même plus de contacter les boites françaises, même pas Thales NL ... le groupe vit bien Le 9 décembre 2024, armasuisse a remis la demande d’offres aux fabricants suivants: • Hensoldt, Allemagne • IAI ELTA Systems, Israël • Leonardo, Italie • Leonardo DRS, États-Unis • Saab, Suède • SRC Inc., États-Unis • Weibel Scientific, Danemark
  15. Tant qu’on y est ALBATROS À BEC JAUNE : TAUX DE SURVIE EN HAUSSE DES POUSSINS SUR LES FALAISES D’ENTRECASTEAUX À AMSTERDAM https://taaf.fr/actualite/albatros-a-bec-jaune-taux-de-survie-en-hausse-des-poussins-sur-les-falaises-dentrecasteaux-a-amsterdam/ Son long bec noir surmonté d’une ligne jaune, lui permet de se différencier des autres espèces d’albatros. Les albatros à bec jaune vivent principalement dans le sud de l’océan Indien, au large de l’Afrique australe et de l’Australie. 65 % de la population mondiale se reproduit sur l’île Amsterdam, soit environ 25 000 couples. Ils nichent notamment sur les falaises d’Entrecasteaux dans les hautes herbes ou sur le sol nu. Leurs nids forment un cône cylindrique construit avec des herbes et de la boue. Le projet RECI (Restauration des écosystèmes insulaires de l’océan Indien) vise notamment à favoriser le succès de reproduction de la population d’albatros à bec jaune de l’océan Indien sur l’île Amsterdam. Dans le but de réduire l’impact de la prédation des rongeurs et pour sécuriser les études des projets scientifiques soutenus par l’IPEV, une centaine de pièges à rongeurs létaux (de type Goodnature ®A24) sont installés sur les colonies d’albatros à bec jaune depuis décembre 2021. L’impact de ces pièges sur les rongeurs, notamment durant la saison hivernale, combiné aux campagnes de vaccination contre le choléra aviaire jouent un rôle important dans le succès de reproduction de l’albatros à bec jaune de l’océan Indien. En effet, le taux de survie constaté fin mars 2023 pour la saison de reproduction 2022/2023 est de 52 %, contre un taux de 11 % à la même date en 2022 descendant jusqu’à 4 % en 2019 et 2020 . Ce taux de survie est le meilleur depuis 10 ans et fait suite à la première saison de reproduction complète bénéficiant du contrôle des rongeurs par piège létal sur la colonie.
  16. Si par "sous-allemand" tu veux dire Néerlandais ... soit ... mais c’est assez insultant
  17. On a une idée de la date ? Avec le remaniement ca va pas arranger les choses, j’espère qu’il y aura de la stabilité au MINARM ... https://www.defense.gouv.fr/sites/default/files/ministere-armees/22.03.2024_Communiqué_Déplacement de Sébastien Lecornu à Berlin (21 et 22 mars 2024)%2C réunion bilatérale sur l’Ukraine et les projets industriels.pdf "Système de combat aérien du futur (SCAF) : réunion avec l’Allemagne et l’Espagne en décembre 2024 " "Satisfaits des avancées constatées, les ministres sont également convenus de se réunir, avec l’Espagne, en décembre, pour faire un point d’étape sur le programme SCAF."
  18. https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/a400m-stop-ou-encore-1013667.html Faute de nouvelles commandes, Airbus pourrait devoir arrêter certains approvisionnements de temps long dès avril 2025 avec un arrêt programmé de la chaine d'assemblage installée à Séville en Espagne à l'horizon 2030. Airbus a configuré sa chaine d'assemblage pour sortir huit appareils par an au minimum. En deçà, le constructeur perd de l'argent. Sur les neuf premiers mois de 2024, Airbus a livré cinq A400M. En 2023, huit appareils avaient été fournis aux forces armées clientes et dix en 2022. Pour nourrir la chaine de production au-delà de 2030 et compléter les trous de production de certaines années (48 avions encore à produire au total), Airbus a un besoin urgent de nouvelles commandes de l'A400M, qui a fait ses preuves sur le plan opérationnel Des discussions approfondies et actives sont en cours : Europe dans un pays de l'est --> 8 / 10 appareils Moyen-Orient --> <10 appareils Inde --> Competition pour ~40 appareils Nouvelles commandes pour GB et Turquie ? Quid de l'Italie @gianks ?
  19. http://ileskerguelen.blogspot.com/2019/11/recolonisation-de-lile-du-chateau-par.html Le Rat noir (Rattus rattus) a été introduit involontairement sur certaines îles de l’archipel de Kerguelen. Ils constituent une menace pour l’avifaune nicheuse de l’île et notamment les oiseaux marins à nidification hypogée, les oiseaux nichant dans les terriers (Prions, Pétrels, Océanites…). En effet, les oiseaux nichant sur l’archipel ne sont pas habitués à avoir des prédateurs sur terre. Par le passé, le Rat noir était bien présent sur l’île du Château. En 2002, une opération de dératisation a été menée sur l’ensemble de l’île afin d’éradiquer la population de Rat noir. A la suite de cette opération, un premier état des lieux de la densité de petits Pétrels a été réalisé en 2011 en suivant le protocole d’estimation par « points comptage ponctuels ». Fin octobre 2019, le protocole a été appliqué à l’identique pour évaluer l’évolution des populations d’oiseaux nicheuses. L’agent de la réserve naturelle en charge des suivis ornithologiques est resté quelques jours sur place pour réaliser les relevés. Alors qu’en 2011, uniquement quelques terriers avaient été observés, cette année, le nombre de terriers et la diversité des espèces recensées était plus élevé. L’île se recolonise progressivement de Pétrels noirs, Pétrels à tête blanche, Océanites à croupion gris, Pétrels plongeurs communs et de Géorgie… Ces suivis montrent l’efficacité de l’opération de dératisation qui a été menée sur l’île Château au début des années 2000. Le Rat noir est toujours présent sur quelques îles du Golfe. La dératisation de certaines îles du Golfe est un des objectifs du plan de gestion 2018-2027 de la réserve naturelle des terres australes françaises. Si cette action est réalisée, ces îles pourraient redevenir accueillantes pour de nombreuses espèces d’oiseaux marins, comme l’île du Château.
  20. Désolé d’avoir répondu sur ce ton hier... Mais il y a plein d’espèces qui n’ont simplement pas de prédateurs et dont les populations se régulent tout de même. Les des conditions de vie (rudesse de l’environnement ou maladies), des taux de reproduction faible, de la competition intraspécifique, parfois de la predation sur les jeunes ... sont pour beaucoup d’espèces des régulateurs suffisants ... il n’y a vraiment pas besoin de leur introduire des prédateurs. Moi aussi, j’en ai 2. Personnellement, d’un point de vue éthique, je trouve l’extermination lente par la stérilisation (imagine le dernier chat qui va vivre sur un ilot de 50Km2 ... seul) bien plus cruelle qu’un coup de fusil, mais chacun sa sensibilité. Et pour l’adoption pourquoi pas ... mais certains chat haret ne sont plus vraiment comparables à des chats domestiques --> En France c’est un idiot qui a décidé par lui meme d’introduire la maladie dans son jardin dans les années 50... Ca n’est absolument pas comparable au cas australien. Pour l’impact des rats dans les écosystèmes insulaires, si ca en intéresse, ici vous avez un compte rendu assez intéressant notamment dans la partie tableaux : --> https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2351989415000244#t000030
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