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AIR-DEFENSE.NET

Titus K

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Tout ce qui a été posté par Titus K

  1. Oui je suis aussi assez decu de ce manque "d'ambition" qui semble venir du cote FR ... Moi qui pensais que ce serait justement le gros challenge du SCAF pour ne pas se retrouver largués par rapport au Chinois/Americains...
  2. non ca vient du fil PATMAR/SURMAR Je me demande surtout s'ils vont essayer de reduire un peu le nombre de modeles proposés ... Les 900 / 2000 / 6X / 8X / 10X ne partagent presque rien au final, quand on compare a Gulfstream et Bombardier qui reutilsent beaucoup les mêmes sections de fuselage.
  3. Titus K

    Armée de l'Air hellénique

    Mirage 2000-5 : ils ne sont pas vendus directement ou indirectement à l'Ukraine, selon des sources du ministère de la Défense https://www.onalert.gr/eksoplismoi/mirage-2000-5-den-poloyntai-apeytheias-i-emmesos-stin-oykrania-anaferoyn-piges-toy-ypoyrgeioy-amynas/642011/ Ils ne sont vendus ni directement ni indirectement à l'Ukraine (par exemple via l'Estonie) les avions de combat Mirage 2000-5 dont dispose l'armée de l'air, répètent à OnAlert.gr des sources du ministère de la Défense nationale, à la suite d'un article publié à ce sujet. Les mêmes sources indiquent que, pour les Mirage 2000-5, la position constante est que « rien n'est vendu s'il n'est pas remplacé par un système d'armement équivalent ou supérieur ». Elles ont rappelé que ce n'est pas la première fois que des pressions sont exercées pour céder un système d'armement à l'Ukraine, comme cela a été le cas, par exemple, avec le système antiaérien Patriot, pour lequel la réponse a été la même. De son côté, le porte-parole du gouvernement Pavlos Marinakis, interrogé à ce sujet, a déclaré lors d'une conférence de presse : « La Grèce n'entendra pas de parler d'une telle procédure. Je n'ai aucune information concernant une telle demande. Je la démentis ». Comme l'a déjà signalé OnAlert.gr en mai dernier, l'armée de l'air souhaiterait revendre à la France les Mirage 2000-5 dont elle dispose, afin de pouvoir acheter de nouveaux Rafale à de meilleures conditions, d'autant plus que les efforts pour les vendre, par exemple à l'Inde, n'ont pas abouti. La question des pressions exercées sur la Grèce pour qu'elle vende ses Mirage 2000-5 à l'Ukraine a été révélée au grand jour par le journal « Kathimerini ». Dans son reportage, le journaliste Vassilis Nedos mentionne entre autres : « En ce qui concerne les demandes adressées à la Grèce, principalement par les États-Unis et la France, mais aussi par les alliés de l'aile orientale, demandent à Athènes de revendre certains des 24 avions de combat de type Mirage 2000-5 de l'armée de l'air, dont le destinataire final serait l'Ukraine. En cas de revente, les principaux pays jouant le rôle d'intermédiaire sont les grands pays de l'OTAN (États-Unis, France, Allemagne), tandis que la République tchèque constitue également un nœud. L'Estonie, l'un des plus fervents soutiens de l'Ukraine malgré sa petite taille, a également exprimé son intention de jouer le rôle d'intermédiaire si Athènes décidait de vendre certains de ses Mirage 2000-5 à l'Ukraine. .
  4. COMMISSION DE LA DÉFENSE : MISE EN APPLICATION DE LA LPM 2024-2030 Conclusions de la mission d’information sur la mise en application de la LPM 2024-2030 https://videos.assemblee-nationale.fr/video.17368378_68dbe764f1656.commission-de-la-defense--mise-en-application-de-la-lpm-2024-2030-30-septembre-2025
  5. C'est vrai que pendant la periode covid c'etait très chaud pour les chaines Falcon ... Ça me rappelle que j’avais fait ca il y a quelques mois.
  6. Titus K

    Force aérienne suédoise

    La Suède va signer lundi pour 4 C-390 via les Pays-Bas https://www.pilootenvliegtuig.nl/militair/zweden-stapt-aan-boord-nederlandse-aankoop-embraer-c-390/
  7. Je ne comprend pas ce tweet ... 11 Rafales M ? C'est quoi les stagiaires dans les armées ? #Entraînement | 11 avions, 30 en jeu, une coordination parfaite ! 3 stagiaires (12F/11F) mènent des missions COMAO avec +30 avions pour leur qualification mission commander OTAN. Dogfight vs F-18 espagnols & intégration AV-8B italiens en missions air-air.
  8. Titus K

    [PATMAR & SURMAR]

    La Marine prend soin de ses ATL2, regardez comme il est beau .
  9. Nouvel article de politico.de European strategic autonomy is in German hands https://www.politico.eu/article/germany-europe-strategy-military-gdp-defense-france-budgets/ Alors que Berlin devient inévitablement la puissance militaire dominante de l’UE, ses milliards pourraient soit renforcer, soit brouiller la vision de Macron pour la défense européenne. Cette année, les budgets de défense allemand et français sont à peu près comparables — 86 milliards d’euros pour l’Allemagne et 62 milliards pour la France. (notez le choix de la photo ... j'aime pas les points godwin mais francehement ........ ) Par Mujtaba Rahman, directeur Europe du cabinet Eurasia Group. Un vieux cauchemar français — celui de la montée en puissance militaire de l’Allemagne — ressurgit sous une nouvelle forme. En effet, les angoisses des XIXᵉ et XXᵉ siècles concernant une invasion transrhénane ont depuis longtemps été dissipées par le partenariat franco-allemand au sein des alliances européennes et atlantiques. De plus, les projets actuels de Berlin visant à doubler ses dépenses militaires sont accueillis favorablement en France, vus comme un rempart contre à la fois l’agression russe et le désengagement américain. Pourtant, selon des responsables gouvernementaux anonymes, le président français Emmanuel Macron serait « obsédé » par la marge de manœuvre budgétaire gigantesque dont dispose l’Allemagne pour se réarmer dans les cinq prochaines années, surtout en comparaison avec une France à court de liquidités. Sa crainte n’est pas une invasion du territoire français, mais une atteinte au rôle prééminent de la France comme puissance politico-militaire la plus efficace de l’UE. Il redoute aussi que les milliards allemands servent non pas à bâtir, mais à diluer sa vision d’une industrie de défense européenne stratégiquement autonome. En théorie, les deux pays sont liés par le nouvel engagement des membres de l’OTAN à consacrer 3,5 % du PIB à la défense d’ici 2035. Mais si l’Allemagne a un plan crédible pour atteindre cet objectif dès 2029, la France, sauf à bénéficier de larges subventions d’un fonds européen de défense qui n’existe pas encore, n’a aucun moyen évident de respecter à la fois son engagement envers l’OTAN et de ramener son déficit budgétaire à 3 % du PIB en quatre ans. Cette année, malgré l’écart entre leurs PIB et leurs populations, les budgets de défense sont relativement proches : 86 milliards pour l’Allemagne et 62 milliards pour la France. Mais d’ici 2029, l’Allemagne prévoit de dépenser 150 milliards d’euros par an, tandis que la France, même avec ses plans de défense élargis, atteindrait au mieux 80 milliards. Certains hauts responsables français, sous couvert d’anonymat, minimisent toutefois la menace : selon eux, la nouvelle puissance militaire de l’Allemagne — et dans une certaine mesure de la Pologne — n’érodera pas l’influence de Paris à Bruxelles. Ils rappellent que le statut « spécial » de la France dans l’UE repose aussi sur sa portée militaire mondiale, son siège permanent au Conseil de sécurité de l’ONU et sa force de dissuasion nucléaire. Les chefs militaires français, également anonymes, doutent quant à eux de la capacité de la Bundeswehr à devenir une force efficace après huit décennies d’aversion historique pour tout ce qui touche au militaire. Ils estiment que cette montée en puissance budgétaire est bienvenue et importante, mais qu’il faudra de nombreuses années avant que l’armée et l’aviation allemandes atteignent le niveau de la France. Le problème le plus urgent est cependant celui de la direction que prendra ce réarmement. La montée en puissance de l’armée allemande contribuera-t-elle à forger une industrie européenne de défense plus autonome, créatrice d’emplois et renforçant le pouvoir économique européen ? Ou bien servira-t-elle surtout à acheter du matériel américain sur étagère et à privilégier des alliances industrielles avec les géants de la défense des États-Unis ? Parfois, le chancelier allemand Friedrich Merz reprend les accents de Macron, affirmant que la hausse des dépenses de défense doit s’inscrire dans un « cadre européen » et promouvoir la « souveraineté stratégique européenne ». Mais à d’autres moments, il insiste sur le « contrat de coalition » au sein de l’OTAN et sur l’importance du partenariat transatlantique. Quoi qu’il en soit, l’ampleur des dépenses allemandes dans les années à venir fera inévitablement de son industrie de défense l’acteur central de l’innovation et de l’approvisionnement militaire européen. Or, par le passé, une grande partie de l’industrie allemande a préféré chercher des partenariats avec les États-Unis ou se tourner vers des start-ups nationales plutôt que de coopérer avec les acteurs établis en France ou ailleurs dans l’UE. Dans cette logique, Paris a été consterné par la décision récente de Rheinmetall de conclure un accord avec l’américain Anduril pour produire des drones et des missiles. Mais si l’on peut estimer qu’il est déjà trop tard pour détourner l’Allemagne des avions de combat américains, la réalité est qu’il ne pourra jamais exister de véritable base industrielle de défense européenne sans une coopération étroite entre pays de l’UE pour développer les armements du futur. Il est donc crucial que Berlin et Paris définissent rapidement un cadre commun pour les années de forte croissance à venir et qu’ils réaffirment leur engagement politique en faveur de la coopération franco-allemande dans l’innovation, la formation et les programmes d’armement. La fenêtre d’opportunité est étroite — et, passé ce délai, il ne restera qu’à mettre en œuvre les décisions déjà prises. À Paris, l’opinion majoritaire est que le réarmement allemand soulèvera d’abord des questions « d’équilibre industriel » bien avant de poser un problème « d’équilibre politique » au sein de l’UE. Mais Merz comprend aussi que si cette montée en puissance n’est pas intégrée dans un consensus européen, la puissance militaire allemande pourrait devenir un problème politique — et pas seulement pour la France. Néanmoins, la France abordera la décennie à venir avec anxiété, car l’Allemagne conservera son statut de puissance industrielle de l’Europe et deviendra — par sa seule taille — la première puissance militaire de l’UE. La vérité inconfortable pour la France est que, lorsqu’il s’agit de bâtir une industrie européenne de défense — et même de faire croître rapidement ses propres capacités militaires —, l’autonomie stratégique est désormais entre les mains de l’Allemagne.
  10. La MM, pourtant déjà bien fournie en 76mm, va remplacer toutes ses OTO 25mm par des nouvelles Lionfish 30 On évoque 60 tourelles ... C'est du sérieux !
  11. Titus K

    Le successeur du CdG

    Oui mais avec kit ASM ? Je pensais que c'etait plutot des NH90 destiné à transporter des commandos / fusiller marin
  12. Titus K

    Marine allemande

    Ca semblerait être l'option retenue ... Jackpot pour Rheinmetall, 1 semaine après le rachat de NVL Le plus grand navire de guerre d’Allemagne est en construction https://www.bild.de/politik/grossauftrag-geht-an-bremer-werft-deutschlands-groesstes-kriegsschiff-wird-gebaut-68dcf770acd2ac3541a0c5b2?t_ref=https%3A%2F%2Ft.co%2F Le projet naval le plus ambitieux depuis 1945 prend du retard et devient plus coûteux Berlin Le gouvernement fédéral maintient la construction de la frégate de type F126. Selon des sources industrielles citées par BILD, il existe un accord de principe pour que, malgré d’importants retards et dysfonctionnements, la Bundeswehr reçoive bien six navires. Toutefois, de profondes modifications du contrat sont prévues afin que le projet puisse désormais être mené à bien aussi rapidement que possible. Le contrat ne devrait plus rester entre les mains du chantier naval néerlandais Damen Naval, mais passer à l’arsenal allemand Lürssen (NVL) à Brême. En principe, les entreprises concernées et le monde politique se sont accordés sur ce transfert afin de sauver un projet jusqu’ici enlisé. La valeur du contrat dépasse les dix milliards d’euros Le ministère de la Défense a déclaré, sur demande, qu’une évaluation complète du projet est actuellement en cours. Aucune décision officielle n’a encore été prise, selon une porte-parole. Damen a refusé de commenter, tandis que NVL a déclaré : « Si l’autorité publique nous confie la poursuite du projet des frégates F126 en tant qu’entrepreneur principal, nous sommes prêts, chez NVL, à assumer cette responsabilité. » Aucun détail supplémentaire n’a été donné. La commande, la plus importante de la marine allemande depuis 1945, avait initialement été attribuée aux Néerlandais, le gouvernement jugeant les chantiers allemands insuffisamment performants. Damen avait toutefois fait appel à NVL pour réaliser une partie des travaux en Allemagne. La valeur des six F126 déjà commandées dépasse les dix milliards d’euros. « Le prix devrait maintenant encore augmenter », confie un initié. Retards dus à des problèmes d’informatique embarquée Cette réorganisation est devenue nécessaire car Damen n’arrivait pas à maîtriser le projet. La livraison de la première frégate, prévue pour 2028, n’était plus tenable. Selon des experts, la construction prendra trois à quatre ans de retard. En cause : des problèmes dans les systèmes informatiques, véritable système nerveux central des navires. Damen devait présenter d’ici début 2026 un plan pour résoudre ces défaillances. Face aux difficultés, l’inquiétude grandissait dans l’industrie comme dans la politique qu’un abandon pur et simple du projet soit décidé. « La F126 arrivera si tard qu’on pourrait presque commencer directement la construction d’une nouvelle génération », a confié une source proche des planifications. De fait, la F126, dans sa conception initiale, n’est que partiellement adaptée à la mer Baltique. Elle a été pensée pour des déploiements mondiaux – y compris dans les zones arctiques et tropicales. Or, le profil opérationnel de la marine a évolué avec l’attitude plus agressive de la Russie : « En mer Baltique, il faut des navires puissants, capables de contenir les forces russes », explique un expert du projet. Un coup de projecteur pour NVL La suite de la planification et de la construction doit donc passer sous la responsabilité principale de NVL. « L’accord est trouvé, même s’il reste quelques points à régler. Ils pourront l’être dans les prochaines semaines », indique une source proche du dossier. Pour NVL, ce transfert est un véritable adoubement. Jusqu’à présent, le chantier naval de Brême n’était qu’un partenaire junior sur les grands projets, notamment derrière Thyssenkrupp Marine Systems (TKMS) ou Damen. NVL est désormais en passe d’être racheté par le groupe Rheinmetall, qui étend ainsi son portefeuille au-delà des systèmes terrestres. L’influence à Berlin du patron de Rheinmetall, Armin Papperger (62 ans), a probablement pesé dans la balance. Mais plus que ses arguments, c’est la puissance financière du plus grand groupe d’armement allemand qui a joué un rôle décisif. Damen, déjà fragilisé financièrement par les problèmes liés au F126, avait même envisagé de céder une partie de son capital familial. « Cette option a, pour l’instant, été écartée », selon une source proche du dossier.
  13. Titus K

    Marine Néerlandaise

    Le batiment ravitailleur CSS Den Helder entre au service actif et sera pleinement operationel en 2026. Il va etre deployé dans les Caraibes pour des test par temps chaud --> https://www.defensie.nl/actueel/nieuws/2025/10/01/marine-stelt-zr.ms.-den-helder-in-dienst
  14. Titus K

    Le successeur du CdG

    Il y aura 5 à 6 hélicoptères sur le PANG au lieu de 2 à 3 sur le CdG ... Je demande simplement s'il vous semble possible qu'on embarque des NH90 ASM directetement sur le PANG pour renforcer les FREMM/FDI ? Le capitaine de vaisseau Lavernhe, responsable PANG à l’état-major de la Marine, évoque un GAE composé de 6 hélicos dans le podcast de Mer&Marine.. Aussi dans cet article --> https://www.meretmarine.com/fr/defense/pa-ng-un-groupe-aerien-embarque-d-au-moins-40-avions-drones-de-combat-et-helicopteres?event=42791 Le PA-NG pourra accueillir au moins 40 aéronefs, la capacité en chasseurs étant de 30, sachant que l’aéronautique navale ne possède à ce jour que 41 Rafale Marine, le Charles de Gaulle étant habituellement déployé avec 24 de ces appareils, soit l’équivalent de deux flottilles. Quant aux drones de combat furtifs, les UCAV (Unmanned Combat Air Vehicle), ils sont intégrés dans le format des avions de combat, c’est-à-dire que le bâtiment pourra embarquer, en tout, 30 aéronefs de combat : Rafale Marine, NGF et UCAV. En plus, le PA-NG embarquera 2 à 3 avions de guet aérien et de commandement E-2D Advanced Hawkeye, ainsi que 5 à 6 hélicoptères, auxquels s’ajouteront plusieurs drones aériens à voilure fixe ou tournante de différents types (drones tactiques ou de contact).
  15. Titus K

    [PATMAR & SURMAR]

    Les 12 Albatros sont commandés La DGA commande cinq avions de surveillance maritime Albatros supplémentaires à Dassault Aviation --> https://opexnews.fr/dga-commande-dassault-aviation-cinq-albatros-avsimar/
  16. Il semblerait qu’un A400M espagnol soit arrivé en Algérie : Likely to undergo flight tests by specialists in the Algerian Air Force C’est la première fois depuis des années que j’entends parler d’une éventuelle vente à l’Algérie. Quelqu’un aurait-il des informations à ce sujet ?
  17. Titus K

    Le successeur du CdG

    On lit regulierement que le PANG devrait embarquer davantage d’hélicoptères que le Charles de Gaulle, avec une tendance estimée à 5–6 appareils contre 2–3 actuellement En plus de 2-3 H160 pedro, le PANG pourrait-il accueillir des NH90 ASM, afin de renforcer la capacité assurée par les FREMM et les FDI ? Les américain embarquent encore des helicos ASM sur leur CVN n'est ce pas ? Ca pourrait aussi compenser le fait que les frégates francaises n’embarquent "qu’un seul" NH90 à l'inverse des fregates italiennes par exemple.
  18. Titus K

    La Composante Air belge

    J'adore : Le premier système d’arme dans le viseur de la Défense ? Le missile Brimstone développé par la filiale britannique du groupe MBDA. La commande d’un « petit nombre » de missiles doit en théorie être actée dès cette année afin de disposer d’un embryon d’armement en 2027. En cours de qualification au Royaume-Uni, l’intégration du Brimstone constituera une solution intermédiaire avant de basculer sur le missile AGM-114 Hellfire et la munition guidée GBU-54 JDAM. Un "petit nombre" (promis boss) de missiles européens en solution interiaire avant de rebasculer sagement sur 2 armes 100% amércaines
  19. Tu parles de la manœuvre effectuée par le Stratus RS (ex RJ10) à la 33e seconde de la vidéo de MBDA par exemple ?
  20. Je me demande si c'est les 4 évoqués dans l'annonce du bourget ? https://www.defense.gouv.fr/dga/actualites/bourget-2025-france-lespagne-signent-lettre-dintention-qui-assure-production-da400m-jusqua-fin-2028 La France et l’Espagne ont l’intention d’anticiper la livraison de trois A400M Atlas en 2028 pour l’Espagne et de quatre avions sur 2028-2029 pour la France. Ca pourrait vouloir dire 37 d'ici 2028, et 4 en 2029 ?
  21. Titus K

    Marine Danoise

    Tiens c’est la première fois que je remarque qu’ils ont mis le CAMM parmi les missiles disponibles …. Tiré par quel lanceur a votre avis ? ExLS, Mk41, mushroom Farm ou Sylver ?
  22. J'ai vraiment apprécié la vidéo, bien expliqué, surtout sur la problematique export qui reste pour moi le plus grand problème du SCAF. Quand on voit le mal que se donnent les Turcs, Sud-coréens ou indiens à devenir autonomes ... PS : Ton éluction est vraiment bonne, ca permet aux pressés comme moi d'écouter en x2
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