Titus K

Ne sois pas si pessimiste Leurs critères principaux sont une livraison rapide et la mission anti-ballistique ... on va pas dire que c'est leur specialité.

Frégates prochaine grande initiative pour la défense https://www.svd.se/a/aJ1yW4/efter-luftvarnskopet-forvarsminister-pa-jonson-oppnar-for-storre-satsningar La Suède continue de renforcer la défense aérienne et a désormais acheté pour plus de 20 milliards de couronnes de systèmes de défense aérienne en un semestre. La dernière commande concerne un système de courte portée pour 3,5 milliards – et selon le ministre de la Défense Pål Jonson, des investissements encore plus importants sont à venir, notamment pour de nouvelles frégates. ... ... Volonté d'acheter de nouvelles frégates Les Forces armées désignent la défense aérienne et antimissile comme l’un des cinq domaines les plus importants à renforcer. Selon elles, cela est nécessaire à la fois pour protéger les unités militaires contre les attaques et pour renforcer globalement le flanc nord de l'OTAN. Selon Pål Jonson, d'autres acquisitions dans ce domaine sont également à venir. – Nous continuerons à faire des investissements plus importants dans la défense aérienne. C’est une conséquence de la décision de défense que nous avons prise en décembre dernier, dit-il. La nécessité d’une meilleure protection contre les attaques aériennes affecte également la marine, selon le ministre de la Défense. Dans ce cas, l’Administration du matériel de défense, qui gère les achats de matériel pour les Forces armées, travaille maintenant à recueillir des offres de plusieurs pays pour la livraison de quatre frégates. Ce sont des navires plus grands que les corvettes Visby qui constituent aujourd’hui le cœur des navires de surface de la marine. Pour la Suède, il s’agit d’un achat de plusieurs milliards de couronnes. Le prix n’est pas encore fixé, mais il s’agit de montants de plusieurs dizaines de milliards par navire. – Le grand investissement concerne les nouvelles frégates, dont la mission principale sera la défense aérienne afin de pouvoir gérer les missiles balistiques, dit Pål Jonson. La Grande-Bretagne, la France et l’Espagne ont tous soumis différentes offres pour fournir les nouveaux navires à la Suède. Le lobbying avant la décision est intense, et lundi, la ministre française de la Défense Catherine Vautrin était à Stockholm pour rencontrer Pål Jonson et discuter d’une affaire. Concurrence pour le contrat La France souligne notamment que le pays est intéressé par l’achat de deux à quatre avions de surveillance et de commandement Globaleye de Saab. Une contrepartie pourrait alors être que la Suède achète les frégates à la France. Dans le même temps, la Suède entretient depuis longtemps des liens étroits avec l’industrie de défense britannique. Saab a également collaboré auparavant avec l’entreprise britannique Babcock pour élaborer des plans pour une nouvelle version plus grande des corvettes Visby actuelles. Mais cette option comportant des navires entièrement nouveaux prendrait, selon Pål Jonson, trop de temps. La Suède doit acquérir des navires déjà développés afin de pouvoir les recevoir suffisamment rapidement. – Les délais de livraison sont importants pour notre intégration dans la défense antimissile de l’OTAN. L’objectif est d’obtenir deux frégates d’ici 2030 et deux autres d’ici 2035. Pour respecter les délais de livraison, il faut faire appel à des fournisseurs étrangers, dit Pål Jonson. Babcock souhaite maintenant livrer ses frégates standard à la Suède. Selon Saab, les entreprises ont également un partenariat à ce sujet. – Nous avons soumis une offre avec Babcock, que nous estimons être la meilleure pour la marine suédoise, déclare Mattias Rådström, chef des relations publiques chez Saab. Une décision sur l’attribution du contrat de plusieurs milliards est attendue prochainement. – J’imagine qu’une annonce sera faite au début de l’année prochaine, dit Pål Jonson.

9 C-130 Indonésiens vont être modernisés pour 25 000 heures de vol et 15 ans de service supplémentaires pour 150 M $ https://www.scramble.nl/military-news/first-of-nine-tni-au-c-130s-starts-upgrade-programme

F-35 beat Gripen fighter jet 'by a mile' in 2021 Defence Department competition https://www.cbc.ca/news/politics/f-35-gripen-dnd-competition-9.6992167?__vfz=medium%3Dsharebar Data obtained by Radio-Canada shows Lockheed Martin jet was clear winner L'avion de chasse F-35 de construction américaine a dominé son rival suédois Gripen en termes de capacités techniques et militaires lors d'une compétition organisée par le ministère de la Défense en 2021. La compétition s'est concentrée sur les capacités de chaque avion de chasse à défendre le continent nord-américain et sur la probabilité de succès dans diverses missions contre les forces militaires modernes. Le F-35 a obtenu un score de 95 % sur les capacités militaires, avec un total de 57,1 points sur 60. En revanche, le Gripen-E a terminé avec un score de 33 %, marquant 19,8 points sur 60, selon le classement du Département de la Défense nationale (DND) obtenu par Radio-Canada. L'écart est particulièrement important dans le score pour les « performances de mission » et la capacité à améliorer l'avion tout au lon longe de son cycle de vie. Le ministère de la Défense n'a pas commenté le score de la compétition 2021 illustré dans ce graphique, affirmant seulement que son examen de l'achat du F-35 était en cours. (Obtenu par Radio-Canada) Interrogé de commenter les résultats de la compétition, le DND a déclaré que l'examen de l'achat du F-35 est en cours. Plusieurs experts, ainsi que des représentants des deux sociétés en lice, ont déclaré qu'ils n'avaient jamais vu les chiffres précis auparavant. La différence flagrante entre les deux avions pourrait aider à expliquer la décision du gouvernement Trudeau de renier sa promesse électorale de 2015 de ne pas procéder à l'achat du F-35, a déclaré David Perry, président de l'Institut canadien des affaires mondiales. "L'évaluation des capacités ici indique qu'il y a un gagnant clair, pas de concours, pas d'ambiguïté", a-t-il déclaré. « Je m'attendais à ce que [le F-35] soit un gagnant clair, mais c'est un gagnant d'un kilomètre. » L'évaluation du DND suggère que les résultats du Gripen étaient "systématiquement inférieurs" au F-35 en termes de capacités militaires, a déclaré Justin Massie, expert en défense à l'Université du Québec à Montréal. Il a déclaré que les résultats sont particulièrement intéressants car le Canada examine la possibilité d'acheter moins de F-35 en faveur de Gripens. « Voulons-nous un avion moins performant pour le Canada ? » Massie a dit. L'ancien lieutenant général de l'armée de l'air royale du Canada, Yvan Blondin, affirme que les chiffres confirment qu'il n'y a pas de véritable concurrence entre le F-35 et tous les autres avions américains ou européens qui étaient autrefois en lice pour le contrat canadien. Les avantages du F-35 résident dans sa plus grande furtivité et sa capacité à intégrer des informations provenant de divers actifs militaires, tels que des navires, d'autres F-35 et des avions de surveillance, a-t-il déclaré. « Quand vous les comparez, ils ne sont même pas proches », a déclaré Blondin, qui a pris sa retraite des Forces armées canadiennes en 2015. « Le F-35 est de loin le meilleur avion de chasse au monde. » Pourtant, un autre officier à la retraite, Charles "Duff" Sullivan, a fait valoir que l'armée de l'air voulait depuis longtemps le F-35 et que les critères utilisés dans la compétition de 2021 favorisaient l'avion. Le Canada devrait-il abandonner son accord F-35 en faveur d'un nouvel accord avec la Suède ? La société de défense suédoise Saab affirme que son argumentaire s'accompagne de la promesse de milliers d'emplois canadiens. Power & Politics demande à Philippe Lagassé, expert en politique de défense, ce que le gouvernement devrait envisager. Sullivan a déclaré que le programme de développement du F-35 connaît des revers et des retards, ce qui signifie que le Canada n'obtiendra pas nécessairement toutes les capacités techniques promises par Lockheed Martin. « Le bureau du projet canadien a toujours été à 100 % en faveur du F-35 », a déclaré l'ancien général-major, qui a travaillé pour Boeing Canada après avoir quitté l'armée de l'air. Après avoir comparé le F-35 et le Gripen, Ottawa a déterminé que les deux avions répondaient à leurs exigences minimales obligatoires. Cependant, après avoir examiné les capacités techniques, les coûts à long terme et les avantages économiques, le gouvernement a attribué le contrat pour 88 jets - maintenant estimés à plus de 27 milliards de dollars - à Lockheed Martin en 2022. Commande en cours d'examen Le gouvernement Carney a lancé un examen de l'achat de jets américains en réponse aux États-Unis. Les politiques commerciales du président Donald Trump. La ministre de l'Industrie, Mélanie Joly, a déclaré la semaine dernière que le gouvernement envisageait de passer au Gripen pour la majeure partie de sa flotte si Lockheed Martin n'améliore pas les avantages économiques du contrat pour le Canada. L'avion de chasse F-35 construit aux États-Unis a dominé le Gripen suédois lors d'une compétition organisée par le ministère de la Défense en 2021. L'écart concurrentiel était le plus large pour la « performance de la mission » et la capacité à améliorer l'avion tout au lon longe de son cycle de vie. "Je ne crois pas que nous ayons eu assez d'emplois créés et d'avantages industriels à partir du contrat F-35", a déclaré Joly. « Je pense que les Canadiens attendent plus, et nous devrions en avoir plus. » Les représentants de Saab, qui fabrique le Gripen, ont déclaré qu'ils n'avaient jamais eu accès aux scores finaux de la compétition 2021 et ne pouvaient pas les commenter. Pourtant, ils ont défendu le Gripen en tant qu'avion robuste et de pointe, facilement adaptable aux menaces et conçu pour être amélioré plus rapidement que n'importe lequel de ses concurrents. "Il est construit pour une mission que nous ne connaissons toujours pas, et il est construit pour une technologie que nous n'avons pas encore vue", a déclaré Marcus Wandt, un pilote de Gripen qui est vice-président en charge de la technologie chez Saab. Il a déclaré que l'avion est plus facile à entretenir et à utiliser que le F-35, notamment dans les conditions de l'Arctique. "L'une des grandes capacités en ce moment est qu'il est tellement à niveau et actualisable, de sorte que vous pouvez le garder pertinent pendant longtemps", a déclaré Wandt. Lockheed Martin n'a pas commenté directement les résultats, mais a déclaré que son avion est « le meilleur choix pour le Canada ». Pour l'instant, le Canada n'a passé qu'une commande ferme pour 16 F-35. L'avenir de la flotte mixte Si le gouvernement choisit une flotte mixte, les Gripens seraient assemblés au Canada. Le gouvernement Carney a déclaré qu'il était intéressé par la promesse de Saab de créer 10 000 emplois pour assembler des avions de chasse au niveau national pour les forces armées canadiennes et le marché international. Il était déjà entendu lorsque le Canada a signé son contrat avec Lockheed Martin qu'il n'incluait pas de paquet d'avantages économiques traditionnels. La commande a été passée par le partenariat international qui a développé l'avion et auquel le Canada participe depuis 1997, assurant ainsi un prix d'acquisition inférieur. Un nouvel avion de chasse F-39 Gripen de l'armée de l'air brésilienne survole l'usine d'avions Embraer au Brésil en 2023. André Penner/La Presse Associée) Dans l'ensemble, Lockheed Martin promet des avantages de plus de 15 milliards de dollars sur la durée du contrat, notant qu'il y a environ 3 millions de dollars de contenu canadien dans chacun des 3 600 jets qui seront livrés à diverses armées. Il existe déjà des équipements fabriqués au Canada sur plus de 1 000 jets livrés. « Ce n'est pas seulement de l'énergie aérienne. C'est des emplois, des compétences et de la prospérité pour tous les pays partenaires du F-35, y compris le Canada », a déclaré Lockheed Martin dans un communiqué. Mais l'entreprise a récemment averti que les avantages économiques de l'achat du F-35 "rétréciront" si le Canada réduit sa commande. Massie a déclaré que le gouvernement ne devrait pas décider d'acheter un avion militaire comme le Gripen sur la base de promesses d'emplois canadiens. L'objectif, a-t-il dit, devrait être d'évaluer si une deuxième flotte pourrait compléter le F-35 en fonction des besoins militaires à long terme du pays. « Ce n'est pas au ministre de l'industrie de définir les besoins militaires du Canada », a-t-il déclaré. « La politique de défense ne concerne pas les emplois. » Et Blondin a déclaré que la perspective d'une flotte mixte devrait être un projet à plus long terme, lorsque les chasseurs voleront aux côtés d'une nouvelle génération de drones de combat. Sullivan a déclaré que le Canada devrait s'engager à acheter 24 F-35 et explorer la possibilité d'acheter des Gripens, étant donné qu'il s'agissait du seul autre avion à se qualifier en 2021.

Ca fait 2,7 Millions € pour 1 système et 4 missiles (+entrainement/soutient/simulateur...)

Peut-être un client potentiel dans 10-15 ans pour l'A321 MPA ?

La Bulgarie va acheter de l'artillerie avec quatre alliés de l'OTAN https://www.capital.bg/politika_i_ikonomika/otbrana/2025/11/03/4847887_bulgariia_shte_kupuva_artileriia_zaedno_chetiri/ La Croatie, l'Estonie, le Portugal et la Slovénie participeront également à la commande commune d'obusiers mobiles français Caesar Le prix de 320 millions d'euros que la Croatie s'apprête à payer pour 18 canons est un détail important, car il donnera probablement une indication du montant que la Bulgarie devra débourser pour ses 57 systèmes d'artillerie. L'armée bulgare participera à l'acquisition conjointe de pièces d'artillerie automotrices de l'OTAN avec la Croatie, l'Estonie, le Portugal et la Slovénie. C'est ce qui ressort d'une déclaration du ministère croate de la Défense, diffusée à la fin de la semaine dernière et citée par SeeNews. Il s'agit d'un achat commun par les cinq pays membres de l'OTAN de howitzers mobiles français Caesar MK2, basés sur un châssis à roues 6x6, le projet étant coordonné par l'agence française d'acquisition d'équipements de défense DGA. Selon toute vraisemblance, l'initiative restera ouverte à d'autres pays, ce qui pourrait éventuellement entraîner des économies d'échelle et une baisse supplémentaire des prix. En principe, la plupart des pays de l'UE financeront la modernisation de leurs armées à l'aide de crédits accordés dans le cadre du programme européen SAFE, qui permet des ajustements et l'ajout de nouveaux projets jusqu'au printemps de l'année prochaine. Le ministère croate de la Défense a précisé qu'il prévoyait d'acheter 18 canons, soit une division. La livraison des systèmes d'armes devrait avoir lieu entre 2026 et 2030. Le montant indicatif pour la réalisation du projet est de 320 millions d'euros. Outre les systèmes d'artillerie « César », Zagreb souhaite acquérir 44 chars Leopard 2A8 supplémentaires, des systèmes de défense anti-drones et 420 camions militaires lourds Tatra T-815-7, le tout pour un montant total de 1,9 milliard d'euros. Il s'agit en fait de la première information officiellement diffusée qui donne des détails plus précis sur les obusiers automoteurs avec lesquels les forces terrestres bulgares se préparent à se réarmer, ainsi que sur le prix indicatif de cette opération. Jusqu'à présent, le ministre bulgare de la Défense, Atanas Zapryanov, avait seulement précisé en mars dernier, en réponse à une question parlementaire du député de l'opposition Ivaylo Mirchev, que les canons seraient des « César » français et que l'acquisition se ferait dans le cadre d'un projet multinational mené par Paris. ... Combien coûteront les canons ? Le prix de 320 millions d'euros que la Croatie s'apprête à payer pour 18 canons est un détail important, car il donnera probablement une idée du prix que la Bulgarie devra payer pour ses systèmes d'artillerie dans un avenir proche. Notre pays souhaite actuellement acquérir jusqu'à 57 obusiers mobiles, ce qui est suffisant pour équiper trois divisions d'artillerie, comme le montrent les informations détaillées figurant sur la liste des projets prioritaires pour la modernisation de notre armée, qui seront financés par un crédit au titre du programme européen de réarmement SAFE. De cette manière, les forces terrestres de notre pays pourront résoudre leur problème d'artillerie pour les 20 à 30 prochaines années, en modernisant les canons de la 61e brigade de Stryam et de la 2e brigade de Tundzha, ainsi que ceux du 4e régiment d'artillerie à Asenovgrad. Dans la pratique, ce sont les formations militaires qui seront les premières à être activées en cas d'escalade militaire à grande échelle, conformément à l'article 5 de l'OTAN. ...

Les Suédois veulent 2 frégates avant 2030, c’est leur critère nº1 … ça semble déjà tendu pour des FDI, alors pour un nouvelle variante de T31

Nouveau coup en Guinée-Bissau

https://www.terremag.defense.gouv.fr/enquetes/zoom-sur/le-caesar-en-plein-boum Leur emploi est prévu pour 800 à 3 000 coups avant remplacement, en fonction des charges et des types d’obus employés. Le dépassement de ces préconisations peut affecter la précision des tirs mais n’engage pas la sécurité des utilisateurs.

Justement je lisais il y a quelque jours qu'Aubert et Duval ne fait des tubes de type Caesar que "jusqu'à 10m". Donc ca semble juste pour 78 calibres, plutot 64 max (c'est déjà pas mal) https://www.aubertduval.com/wp-content/uploads/2025/04/Brochure-Defense-1.pd Increasing system life Aubert & Duval CLARM® grades offer unique ability for: + Thickness Reduction due to high mechanical performances to decrease weight impact + Increasing systems service life and maximum range + Cost reduction (maintenance & logistics) to battlefield + Capable of withstanding higher pressures, resulting in greater maximum ranges than traditional materials. Aubert & Duval has the capability to vertically heat treat barrels in order to minimize distortion and residual stresses in the product, avoiding barrel deformation during machining and firing. CLARM® grades Blank barrels up to 10 meters for enhanced action range

--> https://aviationweek.com/mro/aircraft-propulsion/safran-opens-hyderabad-leap-mro-facility Adjacent to the new Leap engine MRO facility, Safran has built a 5,000-m2 MRO facility dedicated to the M88 engine that powers the Dassault Rafale combat aircraft. It is the first Safran military engine maintenance site to be built outside France. It will provide MRO services for more than 600 engine modules a year and will employ up to 150 people at full capacity. Prioritizing engines on aircraft operated by the Indian Air Force, it will also perform MRO for other M88 export customers. India is a long-standing customer for Safran’s military engines. The country recently ordered 26 Rafale M naval variants and already operates 36 Rafale and 47 Mirage 2000 fighters. To build a sustained talent pipeline, Safran will also establish an on-site training academy capable of preparing over 100 technicians and engineers every year, strengthening domestic expertise and raising the technical benchmark for engine maintenance in Hyderabad and the surrounding region. With these facilities, Safran expects to triple its annual revenue in the country to more than €3 billion by 2030.

Le centre de MRO vient d'être inauguré Capacité de 300 Leap 1a / 1b par an https://aviationweek.com/mro/aircraft-propulsion/safran-opens-hyderabad-leap-mro-facility

Pas de T31 pour l'instant Sweden offered the best terms, both in terms of delivery timing and the conditions and possibilities for technological cooperation. Sweden also declared purchases of armaments in Poland, including a rescue ship to be built at a Polish shipyard, Kosiniak-Kamysz said.

D'apres les medias Suedois, la Pologne aurait selectionné Saab pour 3 sous-marins A26. Je pense pas que ce contrat manque tant à NG, mais par contre j'espère juste que ca ne rime pas avec des T31 Polonaises pour la Suède... La Pologne achète des sous-marins suédois https://www.svt.se/nyheter/utrikes/polen-koper-svenska-ubatar La Pologne va acheter trois sous-marins au constructeur suédois Saab, a annoncé mercredi le vice-premier ministre polonais Wladyslaw Kosiniak-Kamysz dans une déclaration, rapportée par Reuters. Le Premier ministre Ulf Kristersson (M) confirme l’accord dans un message publié sur X. « C’est une force non seulement pour la coopération entre nos pays, mais aussi pour toute la Suède en tant que nation de l’industrie de défense. C’est une preuve que notre industrie de défense est solide. Saab possède un programme de sous-marins de classe mondiale », écrit Kristersson dans son message. Selon des informations obtenues par SVT, l’accord représente une somme de plusieurs milliards. La déclaration de la Pologne doit être considérée comme une manifestation d’intention indiquant que le pays a décidé d’opter pour les sous-marins suédois. Des négociations vont maintenant se poursuivre en vue de la signature du contrat. « C’est un véritable coup de pouce pour la force sous-marine suédoise, qui manquait depuis longtemps d’un partenaire pour partager les coûts de développement des sous-marins en Suède. Le fait que la Pologne choisisse d’en acheter trois montre clairement qu’elle souhaite devenir un partenaire à long terme grâce à ce contrat de plusieurs milliards », explique John Granlund, journaliste spécialiste en sécurité pour SVT. Les sous-marins concernés sont les mêmes que ceux actuellement en construction chez Kockums à Karlskrona, destinés à la marine suédoise. Cela ouvre la voie à de futures coopérations, notamment en matière de personnel et de pièces détachées. « La Pologne a choisi des sous-marins suédois pour sa marine. Cela renforcera notre défense commune, notre sécurité ainsi que notre base industrielle de défense », écrit le ministre de la Défense Pål Jonson (M) sur X.

OCCAR attends 7th HYDIS User Workshop https://www.occar.int/news/occar-attends-7th-hydis-user-workshop Berlin/Germany – 18-19 November 2025, MBDA DE hosted the 7th HYDIS Users Requirements workshop in their premises in Berlin, which represented the final opportunity to capture and refine Nations’ weapon system requirements during the Interceptor’s Concept Phase. Under the supervision of the OCCAR HYDIS Programme Division, technical specialists from Germany, France, Italy, and the Netherlands, along with the MBDA Programme Integrated Team, engaged once again in a very constructive exchange covering key technical, and operational aspects of the future interceptor. The two-days meeting specifically focused on discussions concerning threat scenarios, interception domains, safety measures, impact debris management and the weapon system life-cycle management. The platform integrability requirements, particularly those associated with the naval vertical launchers, were reviewed and finalized. The discussion led to significant alignment among Nations concerning operational performance and safety tolerances applicable to the involved launching systems and strategies. This effort will culminate at the Mission Definition Review (MDR) milestone in 2026, with the delivery of the final set of coherent and consistent key requirements for the interceptor system, based on the operational needs expressed by the participating Nations.

L'article de flightglobal sur les propositions d'airbus, leonardo et sikorsky pour le p[rogramme NRGC de l'OTAN, disponible en navigation privée --> https://www.flightglobal.com/helicopters/ngrc-project-reveals-concept-studies-including-high-speed-compound-rotorcraft-and-17t-tiltrotor/165439.article Airbus et Sikorsky proposent 2 variantes (1 rapide et 1 conventionelle) et leonardo propose un MV-75 "italianisé" Le concept d'airbus semble avoir le plus de commonalité entre les deux variantes. Assez different du racer quand même... Airbus --> Sikorsky --> Leonardo -->

Donc un moteur de 12 à 14 tonnes avec l'Inde d'ici 2035 mais pour le SCAF on est limité à 11 tonnes d'ici 2040 ?

Par contre pour thales qui s'est installé aux US poour y fabriquer ou en tout cas assembler des captas c'est pas une bonne nouvelle je pense ...

Le programme Constellation est annulé, seuls les 2 premiers bâtiments seront construits (donc pas le Lafayette ... 4ème) https://news.usni.org/2025/11/25/navy-cancels-constellation-class-frigate-program-considering-new-small-surface-combatants Petite pensée au parti (conservateur ?) norvégien qui voulait que cette frégate soit selectionnée

A 2:51 dans la video je croyais que c'etait le rapidfire qui tournait sur lui même

Marineschepen a été invité à une reunion de la Team Orka aux Pays-Bas pour faire état de l'avancée du programme L'Orka a grandi en tout cas ... 85 mètres aujourd'hui et 3700 tonnes en plongée Je poste quelques extraits du 1er de 2 articles prévus --> https://premium.marineschepen.nl/update-nieuwe-onderzeeboten-hoe-gaat-het-nu-met-de-orka/ L'auteur commence par faire ammende honorable : Avant d'entrer dans le contenu des bateaux, nous devons d'abord rectifier quelque chose : le développement de la classe Orka est sur la bonne voie. Début avril, l'article « Nouveaux sous-marins entièrement utilisables plus tard que prévu » a été publié sur Marineschepen.nl. Cela avait été écrit sur la base du rapport d'étape qui venait d'être publié ... explications ... --> tant que les 4 navires n'ont pas atteint la FOC, le programme est consideré en IOC (y compris les bateaux deja livrés en FOC) En conclusion, il n'y a pas de retard. « Non, le programme est sur la bonne voie. » Le deuxième bateau, le Zwaardvis, sera donc pleinement opérationnel au troisième trimestre de 2035. En ce qui concerne la livraison des bateaux, il y aura toujours un minimum d'un an à un maximum d'un an et demi entre deux livraisons. Mieux encore : Lorsque l’on a appris que Naval Group allait remporter la course pour les nouveaux sous-marins, il y a eu beaucoup de critiques. Des critiques dans de nombreux médias, y compris sur Marineschepen.nl, disaient par exemple qu’il serait difficile de collaborer avec le chantier naval français. Cette collaboration, le directeur adjoint du programme, Van den Bosch, la décrit maintenant comme « vraiment excellente ». Un certain nombre de collaborateurs de COMMIT travaillent en permanence à Cherbourg chez Naval Group. Mais des équipes des deux organisations se rencontrent aussi à d'autres endroits. « Des groupes de travail se rencontrent très régulièrement pour des discussions techniques », dit Van den Bosch. « Ici à Utrecht, mais aussi à Paris et à Cherbourg. Ou par exemple pour les systèmes SEWACO [capteurs, armes et logiciels] à Ollioules. » « Ils se consultent pour comprendre comment le chantier a répondu à nos exigences. On vérifie si tout répond à ce que cela devrait être. Et je dois dire, cela se passe bien. » Kwak : « Dès le premier jour, nous avons eu une impression très professionnelle de Naval Group. On pouvait déjà le voir dans l'offre. » « Nous avons bien sûr eu énormément d’émotions dans la presse et sur les réseaux sociaux lors de la préparation du choix. Et l’autre partie a bien sûr lu et ressenti cela aussi. Donc quand tu commences, c’est un peu : “oui, et maintenant nous devons le faire ensemble”. » « Mais lors du kick-off à Cherbourg, il y avait une équipe enthousiaste et professionnelle. Ils construisent des sous-marins nucléaires ; ils possèdent un vrai savoir-faire. Mais l'Orka est diesel-électrique et ce qu’ils ont, le Scorpène, est un design relativement ancien. Ceci est vraiment nouveau. Orka va devenir la nouvelle norme. Ils se développent maintenant aussi, et j’ai parlé à des gens chez Naval qui disent : “J’ai postulé pour ce programme, je veux en faire partie”. Cet enthousiasme est très agréable à voir. » Quelques extrait sur la coopération : Pour Naval Group, cette collaboration est aussi particulière, car ils doivent concevoir et construire un sous-marin de taille adaptée, tout en travaillant avec un client expérimenté qui possède une grande expertise ainsi que ses propres solutions, héritées d’un riche passé dans le domaine des sous-marins. « Ils voient également que nous disposons d’une flotte de sous-marins diesel-électriques de tout premier plan », déclare Van den Bosch, lui-même ancien sous-marinier. « Nous avons vraiment beaucoup de connaissances, même si nous sommes relativement petits. Le Walrus est un excellent sous-marin. » « Nous aussi, nous voulons en apprendre davantage sur Naval Group, engager la conversation et avoir ces discussions techniques. Eux aussi apprennent. Ils trouvent cela très intéressant. Nous les avons emmenés plusieurs fois à bord des sous-marins de la classe Walrus. On les entend dire : “Ah, vous avez résolu ce problème comme ça !”. Ils le notent soigneusement. Et c’est très positif, car cela contribue à rendre l'Orka encore meilleur. » Sur le Detailled Engineering : « Nous avons atteint un niveau où le dialogue est bon », souligne Van den Bosch. « Nos groupes de travail sont en contact permanent avec Naval. Sur toute une gamme de systèmes et de domaines, ils sont vraiment très ouverts à nos idées. Mais on ne peut pas changer tout ce que l’on veut. » Le centre de commandement (plus de détails dans la partie 2) est modifié avec l’aide de TNO. « C’est un bon exemple », explique Van den Bosch. « Nous aurions pu garder le centre français tel quel. Non, nous voulons y exercer notre influence, et il y aura des modifications. Ces modifications restent dans les limites du contrat, donc elles ne nécessitent pas de changement contractuel. En revanche, si nous voulons installer un système double là où un seul était prévu, c’est peut-être possible, mais il faudra alors accepter les conséquences. » Sur la filiation Suffren : « L’Orka est dérivé de la Barracuda [classe Suffren], mais certaines technologies issues du Scorpène diesel-électrique ont également été intégrées », explique Van den Bosch. « En partant de la Barracuda, il y a beaucoup moins d’ingénierie à refaire. Nos exigences doivent cependant être intégrées dans les plans, car ce format n’existe pas chez eux. À cet égard, c’est bien un sous-marin à part, unique. Mais il ne s’agit pas d’une conception entièrement nouvelle. On suggère parfois qu’un tout nouveau sous-marin doit être conçu de zéro, mais ce n’est pas le cas — cela nécessiterait bien plus de temps. » « Donc, de très nombreuses parties sont pratiquement identiques à des conceptions précédentes. La chaîne de fournisseurs est également existante, et elle est largement utilisée. On forme une vértiable famille. » Sur l'avancement du programme : Aujourd’hui, plus d’un an après la signature du contrat, le projet se trouve dans la phase de conception. Et cette phase n’est pas encore terminée — elle durera encore deux à trois ans au total. « La construction, la découpe du premier acier, commencera en 2027 », déclare Van den Bosch. À ce moment-là, la conception détaillée ne sera pas finalisée. « Les gens pensent souvent que toute l’ingénierie doit être terminée avant de débuter la construction, mais ce n’est pas le cas. Les premiers anneaux sont fabriqués alors que l’ingénierie se poursuit. C’est un peu comme en construction : on enfonce déjà les pieux dans le sol avant d’avoir choisi la cuisine, pour ainsi dire. » « Mais à ce moment-là, les grandes lignes du sous-marin sont figées : longueur, diamètre. » Car elles ne le sont pas encore. Le sous-marin a par exemple gagné quelques mètres l’année dernière : sa longueur est passée de 82,5 mètres à environ 85 mètres. Le déplacement en plongée a également légèrement augmenté : il est désormais estimé à environ 3 700 tonnes. Le diamètre, lui, est resté inchangé. « Le design est encore en évolution », dit Kwak. « Bien sûr, cela ne doit pas durer trop longtemps. À un moment donné, il faut dire : ‘Voilà désormais la baseline’. Car nous devons respecter le planning. Le design est donc encore en mouvement, mais de moins en moins. »

Safran signe un accord avec Bharat Electronics pour produire l’armement air-sol modulaire en Inde --> https://www.opex360.com/2025/11/25/safran-signe-un-accord-avec-bharat-electronics-pour-produire-larmement-air-sol-modulaire-en-inde/ Dans le détail, cette coentreprise, dont le nom n’a pas été précisé, sera constituée sous la forme d’une société à responsabilité limitée, détenue à parts égales par Safran Electronics & Defense et BEL. Cette structure « assurera la production, la fourniture et la maintenance du système Hammer afin de répondre aux besoins opérationnels de la force aérienne et de la marine indiennes. Le niveau d’indigénisation augmentera progressivement jusqu’à atteindre 60 %, avec la fabrication locale des principaux sous-ensembles, composants électroniques et pièces mécaniques », a expliqué le ministère indien de la Défense.