Concernant le taux de 15 % d'échec dans les années 2000, il est tout de même inférieure aux 20 % de ratés prévu de la fin des années 60 aux années 80.
J'avais déjà écrit que les tout premiers SLBM US avait un taux de réussite risible :
La fiabilité globale du Polaris A-1 n'était estimée qu'à 25 %, en effet le lanceur lui-même avaient un taux de fiabilité de 50 % ou moins, et l'ogive W47Y1 DE 600 kilotonnes l'armant a été estimée à une chance sur deux d'initier une explosion nucléaire en cas de besoin ; mais lors de tests de 1966, il y a eu trois échecs sur quatre ce qui fait tomber le taux réel de fiabilité à 12,5 %