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L'Iran va t-elle être envahie???
collectionneur a répondu à un(e) sujet de georgio dans Politique etrangère / Relations internationales
Selon cette article, le nombre de sites qu'il faudrait mettre hors jeu en cas de frappe varierait de 23 à 63 :? :arrow: http://www.strategypage.com/dls/articles/200511123.asp Osirak vue par un F-16; les Iraniens ont aussi bombardé la centrale alors qu'elle était en reconstruction ;) Mais ce type de frappe ne ferait que relentir un programme d'armement. Le programme nucléaire iranien ne cessera que lorsque les dirigeants de Téhéran se résoudront à accepter que l'arme atomique n'est pas la meilleure option stratégique à privilégier. Et si le gouvernement actuel ne l'accepte pas pacifiquement, il faudra le faire changer d'avis d'une autre maniére ( Le retour du Shah :?: ) Au fait, selon les sondages, les Iraniens serait l'un des quelques peuples qui auraient voté pour Bush Jr :lol: -
VBR de panhard et le projet du PBI
collectionneur a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Poid à vide de 4,8 tonnes, ce n'est pas un poid léger :lol: Au fait, la mitrailleuse du toit, elle est téléopéré :?: -
L'Iran va t-elle être envahie???
collectionneur a répondu à un(e) sujet de georgio dans Politique etrangère / Relations internationales
"Nous pouvons revendiquer le fait que nous avons rapidement produit un équipement dont il a résulté le plus fort élément de dissuasion", Le ministre Iranien donne le baton pour ce faire battre :lol: Bombe "sale" ou gaz de combat peut étre :?: -
L'Iran va t-elle être envahie???
collectionneur a répondu à un(e) sujet de georgio dans Politique etrangère / Relations internationales
Voici le démenti du Pentagone à propos de cette article avec des précisions sur quelques point de celui ci : http://www.defenselink.mil/releases/2005/nr20050117-1987.html -
L'Iran va t-elle être envahie???
collectionneur a répondu à un(e) sujet de georgio dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est peut étre comme pour l'histoire de La Mecque, une info dirigée pour faire monter la pression sur Téhéran et l'inciter à négocier sérieusement sur ces installations nucléaires avec l'AIEA et l'Europe ;) -
Situations Outre-Manche, forces aéromobiles et perspectives britanniques
collectionneur a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Hélicoptères militaires
Les Britannique nous recopie le concept de notre ancienne 4ème Division Aéromobile de la FAR :lol: -
Je précise que le Japon n'a pas non plus de missiles de croisiéres -armes offensive contraire à leur constitution- ;)
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1'200 nouveaux "Black Hawk" pour l'US Army
collectionneur a répondu à un(e) sujet de Marc P dans Hélicoptères militaires
Et les milliards de piéces détaché produites pour les Black Hawks, ils en font quoi :?: :lol: Je signale qu'il reste encore des centaines Hueys dont la conception remonte aux années 60 en service 8) Les Hercules volent depuis 50 ans et ils se vendent toujours :lol: Les prix du UH-60M seront nettement inférieurs à ceux du NH-90, et les frais des industriels sont largement amorti :rolleyes: -
L'Iran va t-elle être envahie???
collectionneur a répondu à un(e) sujet de georgio dans Politique etrangère / Relations internationales
On continue les négociations de part et d'autre mais on se prépare au cas ou :arrow: Téhéran multiplie les démonstrations de force Téhéran : Delphine Minoui [14 janvier 2005] Au cours de ces dernières semaines, la République islamique d'Iran a multiplié, de façon ostentatoire, les déclarations laissant entendre qu'en cas d'intervention militaire extérieure, elle aurait les moyens de réagir. Certes, l'épreuve de force, envisagée préalablement par certains faucons de Washington n'est plus aujourd'hui à l'ordre du jour, au vu de l'enlisement des forces américaines en Irak. Certes, les capacités militaires de l'Iran sont limitées. Mais les Iraniens se sont engagés dans une politique de défense dissuasive. «D'un côté, ils jouent sur l'ambiguïté au niveau du nucléaire et, de l'autre, ils développent depuis plus d'un an la tactique de la guerre asymétrique – comme en Irak –, qui viserait à ne pas résister à une pénétration de forces étrangères, mais à utiliser ensuite sur le terrain toutes sortes de capacités de nuisance», confie un expert occidental, sous couvert de l'anonymat. Tout a commencé, début décembre, avec cette annonce en grande pompe de l'organisation de manoeuvres militaires iraniennes au sud-ouest de l'Iran, près de la frontière avec l'Irak. L'exercice militaire, présenté comme un des plus importants depuis la révolution de 1979, aurait mobilisé quelque 120 000 hommes. Et puis, plus récemment, la presse iranienne rapportait que l'armée de l'air iranienne avait reçu l'ordre de tirer sur tout engin étranger qui violerait l'espace aérien iranien, quelques jours après avoir menacé de riposter en cas d'attaque étrangère contre les sites nucléaires iraniens. «Il est évident que dans le contexte actuel d'encerclement de l'Iran par les Etats-Unis et de la pression américaine sur le nucléaire, l'Iran cherche à faire une démonstration de force», souffle un diplomate occidental. Mais l'Iran a-t-il vraiment les moyens de transformer ses paroles en actes ? «Difficile à dire, répond l'expert en la matière, car l'accès aux manoeuvres militaires est toujours fermé aux étrangers, à l'exception des deux défilés officiels annuels.» Seule exception : la présentation publique, l'année dernière, à Qazvin, du «bataillon iranien du maintien de la paix» devant un parterre de spécialistes étrangers. A cette occasion, certains signes de faiblesse ont pu être détectés. «Le matériel avait trente ans d'âge. Il y avait des vieux véhicules américains M113, capables de rouler sur quelques mètres. Mais quid d'une situation de combat ?», s'interroge l'expert. Dans un récent rapport sur les capacités militaires de l'Iran, réalisé pour le compte du Center for Strategic and International Studies, le chercheur Anthony H. Cordesman fait le même constat : «L'Iran a vu entre 50 et 60% de ses équipements militaires détruits pendant la guerre Iran-Irak (1980-1988), dit-il. Aujourd'hui, la plupart des équipements sont vieux et usagés.» Et d'ajouter : «Si grandioses soient les plans militaires annoncés, l'Iran n'a pas été en mesure de se procurer un nombre significatif d'avions de combat moderne.» L'embargo américain et celui, plus récent, des Européens sur la vente d'armes à l'Iran (selon la déclaration du Luxembourg, en 1997) ont largement limité toute possibilité de se rééquiper. Néanmoins, précise Cordesman, «L'Iran est le seul pays de la région qui pose une sérieuse menace militaire à la stabilité du Golfe. Il y a une preuve évidente selon laquelle l'Iran cherche à développer des missiles ainsi que l'arme nucléaire». Le chercheur américain fait bien sûr référence au dernier missile balistique iranien Shahab 3, d'une portée pouvant aller jusqu'à 2 000 kilomètres. Il sous-entend également que la suspension, annoncée en novembre dernier, du programme iranien d'enrichissement d'uranium au terme de longues négociations avec l'Union Européenne ne garantit pas la suspension totale des activités iraniennes. «Dans le cadre du nucléaire, la confiance est en effet difficile à établir avec les Iraniens», confirme, de son côté, l'expert, qui partage les propos d'Antony Cordesman. Pour lui, «cette ambiguïté autour du nucléaire, entretenue en permanence par l'Iran, s'inscrit dans une politique de défense dissuasive». La preuve en a été faite cette semaine, avec l'acceptation de la visite des inspecteurs de l'AIEA sur le site militaire iranien de Parchine, mais une condition : se limiter au prélèvement d'échantillons, seulement à l'extérieur. «C'est un coup d'épée dans l'eau», constate l'expert. D'autant plus que la demande de la visite du site avait été formulée en octobre. Depuis, les Iraniens ont pu jouer avec le temps pour réorganiser leur site. Mais, d'après lui, ils jouent aussi avec les mots. «Les responsables iraniens ne cessent de clamer haut et fort que le but de leur programme est civil et que l'utilisation militaire de l'arme nucléaire est «haram» (interdit par l'islam). Mais quelle est la part de la sincérité dans tout cela ? Le problème, c'est qu'à l'époque, l'ayatollah Khomeiny a déjà donné le mauvais exemple en déclarant qu'au nom de ce fameux principe chiite de la «takiya», on a le droit de dissimuler la réalité quand ses propres intérêts sont en jeu. Donc à partir de là, aucune déclaration n'est totalement fiable», commente-t-il. Autre politique actuelle de dissuasion iranienne : la tactique de la guerre asymétrique. «Conscient de sa faiblesse technique, l'Iran serait prêt, le cas échéant, à envisager de laisser pénétrer un ennemi étranger sur son territoire, pour ensuite l'affaiblir par tous les moyens : ouverture de barrages, blocage de routes, recours à des bombes sales», confie l'expert. Dans ce cadre-là, les soldats de l'armée régulière pourraient être amenés à se mobiliser, et plus particulièrement l'armée d'élite, les fameux Pasdaran (Gardiens de la Révolution), fidèles au Guide religieux, l'ayatollah Ali Khamenei. Sans compter les 7 à 8 millions de bassidjis, ces fameux miliciens islamistes volontaires. Signe des temps : cette force paramilitaire d'intervention populaire massive a récemment augmenté ses effectifs et multiplié ses rassemblements. -
L'Iran va t-elle être envahie???
collectionneur a répondu à un(e) sujet de georgio dans Politique etrangère / Relations internationales
Pris sur "Tunis Hebdo", édité le 20 décembre 2004 : Les faux calculs de Téhéran Le bras de fer entre la République islamique d’Iran et les Etats Unis d’Amérique, ainsi que l’Europe communautaire, évolue en dents de scie, sans qu’il soit clair de prévoir avec certitude l’issue de cette bruyante affaire, qui accapare désormais la troisième place de l’actualité internationale. Voire. Téhéran avait savamment entretenu, durant ces deux dernières années, la politique de la «balançoire» sur la poursuite de son programme nucléaire, dans l’espoir de voir George Walker Bush quitter la scène politique américaine lors de l’élection présidentielle, et s’éloigner du danger. Cet espoir s’étant évanoui, les options qui restent aux mains du Pouvoir iranien sont, de l’avis des observateurs avertis, assez minces, pour ne pas dire très ténus. Le départ de Colin Powell, seule «colombe» dans le gouvernement de faucons de George Bush, et son remplacement par la «dame de fer», dont les positions maximalistes sont légendaires, Condoleezza Rice, nouveau Secrétaire d’Etat US, augurent en eux-mêmes un genre de «dialogue» qui présidera aux rapports des deux parties. «Condy» n’a jamais écarté et, encore moins, démenti la possibilité d’une attaque militaire contre l’Iran, si ce dernier ne mettait pas définitivement fin à son programme nucléaire. Une menace d’autant plus prise au sérieux que le président des Etats-Unis a en tête, pour son second mandat, le fameux projet de «Grand Moyen-Orient», lequel place le pays de Omar Al-Khayyam au cœur du chambardement envisagé. Washington et Tel-Aviv, son allié numéro un, s’inquiètent plus que les Européens que l’Iran devienne une puissance nucléaire et n’hésiteront pas à recourir à la force, assure-t-on à Tel-Aviv et à Washington. Le gouvernement iranien, compte certainement sur un certain nombre de facteurs pour contourner cette menace et revenir à la charge de son projet. Téhéran pense que l’horrible expérience des Etats-Unis en Irak, où ils ont perdu beaucoup plus de mille soldats et de l’argent fou, en plus de l’hostilité anti-américaine qui se propage dans le monde à une vitesse supersonique, dissuadera l’Oncle Sam de se lancer dans une aventure iranienne qui serait désastreuse pour les USA sur tous les plans. Erreur, répondent des analystes : les néo-conservateurs américains peuvent interpréter le vote majoritaire en leur faveur comme le signe que le peuple des Etats-Unis accepte la perte de soldats comme «un prix raisonnable à payer». Téhéran pense également que la toile d’araignée commerciale et économique qu’il a tissée avec les grandes puissances, lesquelles disposent du droit de veto à l’ONU, découragerait Washington d’entreprendre contre lui une action militaire. L’Iran a engagé avec la Chine ce que les économistes appellent «le marché du siècle» : un énorme accord gazier, jamais réalisé sur la scène internationale. L’Inde et le Pakistan, alliés stratégiques de Washington et de Tel-Aviv sont, eux aussi liés à l’Iran par de grands accords commerciaux et économiques, qu’il serait chimérique de la convaincre à les résilier ou seulement à les suspendre. New Delhi tient à son projet d’oléoduc qui lui fournira du gaz iranien via le Pakistan. La Russie, la Turquie et même le Koweït, poumon pétrolier des USA, se trouvent organiquement liés à l’héritière de la grande Perse par des projets d’importance capitale. Idem pour le Japon dont les intérêts en Iran sont immenses. Faux calculs, que tout cela ? Possible. Très possible même : George Walker Bush n’a-t-il pas attaqué l’Irak malgré l’opposition du monde entier, de l’ONU et de toutes les organisations ? L’Iran est bel et bien dans l’œil du cyclone. T.H -
Je suposse que tout betement, on à rajouter un zéro de trop sur le post :lol: 22 millions pour 31 MM 40 modernisé soit la moitié du prix d'un neuf ;)
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Nouveau remorqueur de haute mer
collectionneur a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Voici le site de la société de remorquage ;) :arrow: http://www.les-abeilles.fr/index1_fr.html Construites en Pologne, finitions en Norvége avec des moteurs Allemands sous license Anglaise, c'est vraiment le Marché Commun :shock: :arrow: Abeille Bourbon sur son chantier Norvégien -
Donc, il y aura de grosses différences par rapport au dessin d'artiste :? :arrow:
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Correction, les USA en recu 33 F-22 jusqu'a présent ;) Quand au dons pour l'Asie, avec les surenchéres tout les jours, je ne sait plus ou on en ait, sauf que déja l'aide militaire US leur à déja couter 45 millions de $ en 10 jours, moins le cout de l'hélico qui s'est planté ;)
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Un SNA US s'échoue dans le Pacifique
collectionneur a répondu à un(e) sujet de collectionneur dans Amérique
Un des marins est décédé hier de ses blessures et 23 autres ont blessés. -
What If : Guerre CDN/ROK/USA
collectionneur a répondu à un(e) sujet de Warrer3 dans Conflits probables
Dimanche 09 Janvier 2005 LA COREE DU NORD NE SERAT PAS UNE "FASHION VICTIME" :lol: Campagne contre les cheveux longs et tenues "décadentes" en Corée du Nord SEOUL (AFP), le 09-01-2005 La Corée du Nord a intensifié une campagne contre les cheveux longs et les tenues négligées, dénonçant notamment à cet égard la "décadence capitaliste", selon la BBC citant les médias dans une dépêche datée de Pyongyang. Les télévision, radios et journaux ont demandé aux hommes de porter les cheveux courts, pas plus de 5 cm, et d'aller chez le coiffeur deux fois par mois. La télévision nord-coréenne a même expliqué que les cheveux longs "consommaient beaucoup d'éléments nutritifs" et pouvaient priver le cerveau d'une partie de son énergie. :shock: La radio considère, de son côté, qu'il est important de se vêtir correctement "pour repousser les manoeuvres ennemies d'infiltration d'idées et du mode de vie capitalistes". Le quotidien du parti communiste au pouvoir, le Rodong Sinmun, met, lui, en garde contre la décadence. "Les gens qui portent des vêtements d'un style et mènent une vie qui ne sont pas les leurs vont devenir des idiots et provoquer la ruine de la nation", dit-il. La télévision a montré des Nord-Coréens aux cheveux longs dans les rues de Pyongyang dans une émission inhabituelle utilisant une caméra cachée. -
22:02 Un sous-marin nucléaire américain s'échoue à Guam HONOLULU, Hawaï (AP) - Un sous-marin nucléaire américain s'est échoué pour une raison indéterminée à environ 600km au sud de l'île de Guam dans le Pacifique, faisant une vingtaine de blessés parmi les matelots, dont un grave. L'équipage compte 137 hommes. La marine américaine n'a pas signalé de dégâts au réacteur de l'USS San Francisco qui continue apparemment de fonctionner normalement. Il s'agit d'un submersible de 110 mètres qui regagnait son port d'attache de Guam. L'échouage s'est produit vendredi après-midi et une enquête est en cours, a précisé Jon Yoshishige, porte-parole de la flotte du Pacifique basée à Pearl Harbor. Guam est un territoire américain situé à 6.000 kilomètres au sud-ouest de Hawaï. Sur Internet : Flotte américaine du Pacifique : www.cpf.navy.mil AP Bg/v00404 © AP - The Associated Press. Tous droits réservés. Voici une page sur le SNN 711 "USS San Francisco" de classe "Los Angeles" : http://navysite.de/ssn/ssn711.htm -------------------------------------- Un sous-marin nucléaire américain s'est échoué NOUVELOBS.COM | 08.01.05 | 15:47 L'USS San Francisco, un sous-marin d'attaque nucléaire, s'est échoué à 2h GMT alors qu'il était en plongée à 563 kilomètres du territoire américain de Guam, dans l'Océan Pacifique. Plusieurs blessés. Un sous-marin d'attaque nucléaire américain s'est échoué samedi 8 janvier au sud de Guam, une île du Pacifique sud, et il y a eu plusieurs blessés à bord du bâtiment, dont le réacteur atomique n'a toutefois pas été endommagé, a annoncé la Marine américaine à Los Angeles (Californie). L'USS San Francisco, un submersible de la classe Los Angeles, s'est échoué à midi heure locale (02H00 GMT), alors qu'il était en plongée à 563 kilomètres du territoire américain de Guam, où il est basé, selon le communiqué de la Marine. "L'étendue des blessures et des dommages à bord du San Francisco est encore en cours d'évaluation", poursuit le document, d'après lequel "une personne a été grièvement blessée et plusieurs autres plus légèrement". "Le sous-marin est en surface et retourne le plus rapidement possible vers son port d'attache à Guam", toujours selon le communiqué. "Nous n'avons pas été informés de dommages (éventuellement infligés) au réacteur nucléaire, qui fonctionne normalement", assure la Marine. Des avions de l'armée et des gardes-côtes ont été envoyés pour surveiller le déroulement des opérations, a ajouté le communiqué. Les sous-marins de la classe Los Angeles mesurent 109,73 mètres de long et disposent d'un réacteur nucléaire, selon les données fournies par la Marine.
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What If : Guerre CDN/ROK/USA
collectionneur a répondu à un(e) sujet de Warrer3 dans Conflits probables
Juste pour rappeler que la Corée du Nord est toujours sous trés haute surveillance 8) Pas moins de 190 sorties d'U-2, de RC-135 et autres "avions espion" ont été dénoncé par celle ci pour le seul mois de d'Octobre 2004. :twisted: Ceci dans le cadre d'opérations mettant en oeuvre de 6 à 8 appareils - Je précise que ceux ci ne sont rentré dans l'espace aérien nord Coréen - -
Officielle, la RPC à 1 300 000 000 d'hab, sans compter la diaspora en Asie et ailleurs....
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Arianespace: deux fois plus de lancements en 2005 Promis, 2005 fera oublier l’année 2004, marquée par seulement trois lancements de satellites par Arianespace. Yves Le Gall, le directeur général de la société aérospatiale européenne, a annoncé six lancements pour 2005, dont la nouvelle version d’Ariane-5, un résultat financier équilibré, tout en présentant un carnet de commandes bien rempli pour les années à venir. Douze contrats de lancements ont été signés au cours de l’année 2004, a expliqué hier Yves Le Gall à la presse, dont 5 au mois de décembre. Au total, 40 lancements sont inscrits dans le carnet de commandes d’Arianespace, dont 5 qui seront effectués par la filiale franco-russe Starsem avec le lanceur Soyouz. Les cinq derniers contrats signés concernent le lancement de deux satellites militaires britanniques Skynet 5A et 5B, deux satellites Pléiades d’observation de la Terre du CNES et l’observatoire astronomique spatial Corot (CNES). L’événement majeur de l’année 2005 est le lancement de l’Ariane-5 ECA, capable d’emporter une charge de 10 tonnes, prévu pour le 11 février. La première tentative avait échoué. Cinq autres missions sont programmées pour l’Ariane-5 ‘’générique’’. Le chiffre d’affaire de 2005 devrait atteindre 700 millions d’euros, a précisé M. Le Gall, ce qui permettra d’atteindre l’équilibre pour la seconde année consécutive. Après plusieurs années dans le rouge, Arianespace a été recapitalisée à hauteur de 60 millions d’euros par ses actionnaires –les deux principaux sont le CNES et EADS. Cécile Dumas - Science & Avenir (05/01/05)
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L'Iran va t-elle être envahie???
collectionneur a répondu à un(e) sujet de georgio dans Politique etrangère / Relations internationales
Le journaliste à dut vouloir écrire F-14, une erreur de chiffre est vite arrivé ;) On parle de F-18 qui sont aussi des appareils embarqué donc pourquoi pas :? Peut étre un vol depuis l'Océan Indien jusqu'en Afghanistan :?: -
L'Iran va t-elle être envahie???
collectionneur a répondu à un(e) sujet de georgio dans Politique etrangère / Relations internationales
Post mit par Rayak le 28/12 sur ce topic :arrow: "Les installations nucléaires iraniennes dans tout le pays sont survolées par de mystérieux OVNIS volant à très basse altitude ... Bien évidemment, le pouvoir en place les accuse d'être de nationalité US, et a ordonné à son aviation de les abattre, mais celle-ci déclare ne pas avoir les compétences techniques pour s'acquitter de la besogne. Bientôt des pilotes extra-terrestres otages en Iran ? " http://216.132.172.10/indiadaily/editorial/12-26a-04.asp - Vous étes sur l'accord de lutte contre les OVNI :?: , cela ne s'appele surement pas comme cela officielement :lol: - Mais que fait Mulder :?: Voici une photo de ces engins prises en Avril 2004 au dessus de l'Iran ;) :arrow: -
Post de Biloo d'Armée.Com :arrow: Début décembre, ce bijou de la construction navale militaire, bourré d'électronique de combat et de navigation, s'est échoué comme un vulgaire rafiot sur un récif, à 600 m du rivage, prés de son port d'attache de Djeddah, en Arabie Saoudite. La frégate furtive Makkah, sortie des chantiers de DCN Lorient en septembre 2003, participait à une parade nautique devant des personnalités du régime saoudien lorsque l'accident s'est produit, faisant 70 blessés parmi les passagers et 190 membres d'équipage. Un récif de corail isolé Compte tenu des circonstances, la Marine saoudienne, qui venait de faire entrer cette unité flambant neuve en service actif, n'est guére bavarde. Coté francais, pour d'évidentes raisons diplomatiques et commerciales, le ministère de la Défense, comme DCN et Thales, constructeurs de la Makkak, observent aussi un silence radio total. Selon les rares informations qui filtrent, la frégate se serait ��empal�e�� sur le récif corallien alors qu'elle filait à 23 noeuds (pratiquement sa vitesse maximum) pénétrant dans l'écueil sous-marin sur une trentaine de métres. Malgré l'extréme violence du choc, la structure aurait cependant trés bien résisté. Par la déchirure de la coque, le navire embarque autour de 400 m3 d'eau par jour, un volume facilement évacué par les pompes installées a bord. L'inquiétude réside plus dans l'instabilité du vaisseau blessé. Si les conditions météo lui en laissent le temps, la Marine saoudienne envisage de faire soulever la Makkah par des pontons-grue afin de la dégager de sa facheuse posture. Elle pourrait ensuite, apres réparations provisoires sur place, gagner l'arsenal de Toulon. Plusieurs experts francais, parmi lesquels des ingénieurs de DCN Lorient et le Brestois Charles Claden, commandant du remorqueur de haute mer Abeille-Flandres, se sont rendus sur place afin d'évaluer les dégats et proposer des solutions de sauvetage. Selon les premiers éléments de l'enquéte, la responsabilité du commandant de la frégate Makkah ne serait pas en cause. Le récif de corail isolé ne figurait pas sur les cartes marines. Les Francais se garderont de tout commentaire... Il y a quelques années, un navire de notre Royale avait connu semblable mésaventure .Dans la Marine nationale, on se souvient aussi du talonnage en janvier 1978, de l'escorteur d'escadre Duperré dans le Raz-de-Sein.
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L'Iran va t-elle être envahie???
collectionneur a répondu à un(e) sujet de georgio dans Politique etrangère / Relations internationales
Pris sur le site diplomatique WWW.ICG.ORG :arrow: "Laissont parler les diplomates" ;) Iran: Où mène le contentieux nucléaire? Briefing Moyen-Orient 24 novembre 2004 RESUME Le 15 novembre 2004, l'Iran et la "troïka" européenne (France, Allemagne et Royaume-Uni) ont signé un nouvel accord pour tenter de sortir le dossier nucléaire de l'impasse. L'Iran s'engage à suspendre ses activités d'enrichissement d'uranium de façon plus sérieuse et les Européens sont plus précis en matière de récompenses économiques. Cet accord évite pour le moment au dossier d'être transmis au Conseil de Sécurité et constitue, comme celui conclu en 2003, une avancée positive susceptible d'interrompre temporairement les ambitions nucléaires que nourrit l'Iran. Mais, dans le meilleur des cas, il s'agit seulement d'un prélude à des négociations plus capitales en vue d'un règlement durable qui doivent inclure les Etats-Unis. Il y a un an, Crisis Group (ICG) qualifiait l'accord entre l'Iran et les Européens de crise différée parce qu'il n'abordait pas les questions sous-jacentes.[1] Depuis, les rares changements survenus n'ont guère améliorer la situation: plus de méfiance, moins de possibilités et, plus grave encore, de moins en moins de temps à mesure que tourne l'horloge nucléaire. Cet accord a échoué, les conservateurs iraniens ont renforcé leur emprise et le pays a poursuivi son programme nucléaire. Il est impératif que les Etats-Unis s'engagent à rechercher un règlement global qui tienne compte des intérêts sécuritaires légitimes de l'Iran. Washington est resté en retrait, approuvant l'accord sans y croire et refusant de proposer des initiatives tout en avertissant que l'Iran serait bientôt en mesure de fabriquer une bombe atomique. Sa position repose sur deux hypothèses: premièrement, le régime actuel est déterminé à développer une arme nucléaire et la communauté internationale ne devrait pas se faire d'illusion sur une politique d'engagement. Deuxièmement, ce problème ne peut être traité que par un nouveau régime en Iran qui soit abandonne le programme nucléaire, soit le rende beaucoup moins menaçant (tendre des perches économiques ou diplomatiques au régime actuel ne servirait qu'à le renforcer et retarder le changement nécessaire). Compte tenu de certains épisodes antérieurs, un tel scepticisme n'est pas totalement infondé. Téhéran joue habilement l'UE et l'Agence Internationale pour l'Energie Atomique (AIEA) tout en agissant comme s'il avait quelque chose à dissimuler. La violation de facto de son engagement à suspendre les activités d'enrichissement, la production en quantités significatives d'hexafluoride d'uranium et la poursuite de ses travaux sur un réacteur à eau lourde (parmi d'autres activités suspectes) inspirent difficilement confiance. Si le régime en place à Téhéran poursuivait des politiques autres, par exemple, que de soutien aux groupes violents ou d'opposition à la paix israélo-arabe, les inquiétudes en seraient d'autant atténuées et, par ailleurs, étant donné le niveau élevé de mécontentement populaire, un éventuel changement politique ne peut pas être entièrement exclu. Enfin, l'UE et d'autres acteurs internationaux comme la Russie ou la Chine ont souvent paru privilégier les intérêts politiques et économiques aux soucis de non-prolifération. Cependant, la posture adoptée par les Etats-Unis s'annihile d'elle-même pour les raisons suivantes: Sur la question du programme nucléaire: si l'Iran est prête à renoncer à ses ambitions militaires, seuls les Etats-Unis peuvent lui offrir les compensations politiques, économiques ou sécuritaires qu'il souhaite; et si l'Iran n'est pas prêt à négocier, alors seul le rejet d'une offre américaine valable persuadera le reste du monde. D'aucuns ne devrait affirmer que la position de Téhéran est statique et imperméable à toute influence: laisser entrevoir une normalisation des relations avec Washington pourrait augmenter les coûts politiques d'un programme militaire, influencer certaines opinions au sein du régime et favoriser une expansion des échanges commerciaux qui profiterait à certains. Qu'importe le scénario, les Etats-Unis doivent joindre leurs efforts à ceux de l'Europe pour atteindre leurs objectifs. Quant à un éventuel changement de régime: il n'y a aucune garantie qu'il ait lieu prochainement. Les évènements de cette année (la déroute des réformateurs aux élections parlementaires, la forte hausse des cours du pétrole, les difficultés américaines en Irak) ont renforcé les partisans de la ligne dure et propulsé la confiance du régime à son plus haut niveau depuis dix ans. Comme le suggèrent les réformistes, Washington devrait exploiter les divisions latentes au sein du régime, en jouant ceux favorables à une libéralisation économique et commerciale contre ceux qui tirent profit d'une économie fermée. Au lieu de cela, il suscite un ralliement nationaliste conduisant à une combinaison qu'il ferait mieux d'essayer d'empêcher: un régime hostile aux intérêts américains qui cherche à se doter de l'arme nucléaire. En résumé, l'horloge nucléaire tourne à une cadence plus rapide et plus fiable que celle du changement de régime. Les Etats-Unis n'ont pas pour autant proposé d'alternative réaliste à la politique de la "troïka" européenne. Les efforts de lutte contre la prolifération ont, dans le meilleur des cas, brouillé les perspectives. Le programme iranien paraît suffisamment avancé pour ne pas avoir à craindre grand-chose de la part d'éventuelles sanctions. Des frappes préventives américaines ou israéliennes représenteraient un risque important pour un gain hypothétique. Les Etats-Unis ont menacé l'Iran pendant quatre ans mais n'ont offert aucune mesure concrète pour changer son comportement. Ils ont surestimé la capacité de la jeunesse iranienne à susciter un changement politique et sous-estimé celle des partisans de ligne dure au renouveau politique. En pressant (verbalement) en faveur d'un changement de régime, ils ont stimulé les ambitions iraniennes en faveur d'une force de dissuasion nucléaire. La seconde administration Bush devra rapidement affronter la question qu'elle a soigneusement éludée jusqu'à présent. Pour cela, les changements suivants doivent avoir lieu: L'Iran doit immédiatement et sans condition appliquer le nouvel accord conclu avec les trois Grands européens, en particulier suspendre ses activités d'enrichissement de l'uranium; Une fois que l'AIEA a vérifié la mise en œuvre par l'Iran de l'accord, des négociations pour un règlement durable de la question devraient être entamées. Pour que celles-ci aient une chance de voir le jour, les Etats-Unis devront marier les initiatives européennes aux leurs. L'Iran a des préoccupations économiques, politiques et sécuritaires légitimes. Il ne renoncerait à un programme militaire seulement si celles-ci étaient prises en compte. Une meilleure intégration à l'économie mondiale (par exemple, via une adhésion à l'OMC) exacerberait les divisions latentes au sein du régime, renforcerait les voix pragmatiques et augmenterait le coût politique d'un programme militaire. Dans l'idéal, l'Iran renoncerait de façon permanente au droit à développer son propre cycle d'approvisionnement nucléaire. Mais dans la mesure où il respecte le Traité de Non-Prolifération Nucléaire (TNP) ainsi que les exigences du Protocole Additionnel, alors l'Occident devrait pouvoir se contenter de moins. Une cogestion iranienne/internationale de ses infrastructures nucléaires (non requise dans le cadre du TNP) devrait être envisagée en tant que compromis acceptable. Dans le cas d'un rejet iranien d'une offre acceptable, une formule de sanctions progressives sera nécessaire. En cas d'échec des négociations et afin de persuader les Etats-Unis à rester dans le sentier diplomatique, l'UE et d'autres acteurs (Chine, Russie et Japon) devraient soutenir ensemble l'adoption de telles sanctions, si possible avec une résolution du Conseil de Sécurité. Amman/Bruxelles, 24 novembre 2004 -
L'Iran va t-elle être envahie???
collectionneur a répondu à un(e) sujet de georgio dans Politique etrangère / Relations internationales
Petite analyse prise sur sur un forum de Bladi.net ;) :arrow: ikkar Bladinaute régulier Inscrit le: 7/7/2004 Envois: 663 La Chine conforte l'Iran dans ses discussions nucléaires avec les Européens Salam Entre la chine et l Iran s est tissée une relation economique et technologiques qui est tes vieilles car beaucoup de points en commun. 2 vieilles civilisations, les 2 exclus des strategies americano occidentales de cooperation en matiere de technologie et d echanges strategiques... Le but a long terme des USA encore plus important que le nucleaire militaire de l Iran, c est de limiter les ressources d importation du petrole pour la chine. Sachant que les hydrocarbures deviennent de plus en plus PRIMORDIALE pour un pays qui s indutrialise a une vitesse extraodinaire. Pourquoi sinon LES USA/ Angleterre ont "re etabli" les relations economiques surtout avec la Lybie? Pourquoi aussi l amerique s interesse de plus en plus au petrole algerien? quel interet d englober le maghreb dans l Otan? L europe et surtout France /Allemagne traitent le dossier iranien avec beaucoup de precautions car ils veulent denucleairiser militairement l Iran dans le dialogue afin d eviter une entré en force des USA a l image de l Irak. Derniere carte de l echiquier moyen oriental pour un controle americain complet sur tout le petrole de la region ( la france et surtout lallemagne seraient perdants car eux aussi des partenaires actuels de l Iran). Jusqu ou la chine va t elle soutenir l Iran un de ses plus grands fournisseurs en hydraucarbures?! le veto? Les USA ont aussi d autres moyens de pressions sur la chine qui se veut - pour le moment en tout cas- une puissance seulement regionale. le 1/4 des exportations chinoises sont a destination des USA qui lui accorde toujours la "clause de la nation la plus favorisée" des moyens efficaces pour convaincre. non? Il sera tres dur pour la chine de soutenir a la fois sa meilleure source en petrole sans pour autant facher son meilleur marché exterieur ( les USA)