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Tout ce qui a été posté par collectionneur

  1. collectionneur

    Turquie

    "...Je ne connais pas dans le cas européen de négociations qui ne soient allées à leur terme..." Je signale pour M. De Villiers l'exemple de la Norvége :twisted:
  2. collectionneur

    Le F-35

    Pouvait vous rappelez les discours alarmistes quand on était à 0,80 € pour un $ :?: :rolleyes:
  3. collectionneur

    Turquie

    Voici un article du Libé qui relativise cela ;) :arrow: Les dirigeants sont favorables à l'adhésion, les opinions plus divisées. Par Marc SEMO vendredi 17 décembre 2004 (Liberation - 06:00) à Berlin et à Rome A part la France, seule l'Allemagne s'enflamme réellement à propos de l'adhésion de la Turquie. Rien d'étonnant, ces deux pays sont ceux où une partie importante de la population affiche son turcoscepticisme, mais reste divisée sur l'argument (les Autrichiens, eux, sont quasi unanimes dans leur refus d'ouvrir la porte à Ankara). Un sondage du Figaro publié lundi montrait que 67 % des Français et 55 % des Allemands se déclarent opposés à l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne. «Aucune adhésion à l'UE n'a suscité autant de polémiques», notait hier la Berliner Zeitung, qui titrait : «Les Turcs sont à la porte de Bruxelles.» L'éditorialiste de la Süddeutschezeitung évoquait pour sa part une «décision à risque». La question turque continue aussi d'opposer la gauche et la droite allemandes. Le ministre des Affaires étrangères, le Vert Joschka Fischer, a déclaré hier au Bundestag que dire non sans véritable raison serait un calcul à «très courte vue», argumentant que la modernisation d'Ankara pourrait servir de modèle aux autres pays arabes. Angela Merkel, chef de l'opposition chrétienne-démocrate, persiste au contraire à qualifier l'ouverture des négociations avec la Turquie de «catastrophe». Elle a même provoqué un mini-scandale en annonçant que, si la CDU remportait les élections législatives allemandes de 2006, elle ferait tout son possible pour revenir en arrière. Le chancelier Gerhard Schröder, très favorable à l'adhésion, s'est aussitôt fait une joie de stigmatiser l'«isolement de la CDU» au sein du camp conservateur européen. Les Pays-Bas qui occupent ce semestre la présidence tournante de l'UE sont tenus à une réserve. Le gouvernement de coalition démocrate-chrétien­libéral reste très prudent, au diapason d'une population de plus en plus hostile à l'immigration venant des pays musulmans, depuis le meurtre du cinéaste Van Gogh. Au Danemark également, le turcoscepticisme monte. Hier, à Copenhague, la statue de la Petite Sirène a été «habillée» dans la nuit d'une burqa noire et entourée d'une banderole «Tyrkiet i EU ?» («La Turquie dans l'UE ?»). Alors que la Suède est plutôt turcophile, et le gouvernement social-démocrate de Göran Persson un des plus fervents soutiens de l'adhésion turque. En Grèce, l'«ennemi héréditaire» turc ne fait plus peur. Selon un sondage de la télévision privée ANT1, une courte majorité de la population (47,9 %) est favorable à l'entrée de la Turquie dans l'UE, qui améliorerait, espèrent-ils, les relations bilatérales. 45,2 % des Grecs n'en affirment pas moins toujours leur hostilité à une intégration d'Ankara. Le gouvernement de centre droit de Costa Caramanlis se prévaut néanmoins d'un ralliement général de l'opinion publique à sa politique de soutien à la perspective européenne de la Turquie. L'Espagne est très proturque, tout comme l'Italie, malgré le poids de l'Eglise catholique. Le très influent cardinal Joseph Ratzinger, préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, a rappelé que «les racines de l'Europe sont chrétiennes» et que «la Turquie a toujours représenté au cours de l'histoire un autre continent, en contraste permanent avec l'Europe». Les partisans de l'adhésion n'en sont pas moins largement majoritaires dans la classe politique, même à droite. Silvio Berlusconi vante son amitié personnelle avec Tayyip Erdogan, au point d'avoir assisté l'an passé aux noces de son fils. Seule la Ligue du Nord, xénophobe, est opposée aux Turcs. Quant à la Grande-Bretagne, elle est d'autant plus favorable à l'entrée de la Turquie qu'elle a toujours vu dans l'UE d'abord un vaste marché dont tout élargissement est le bienvenu.
  4. collectionneur

    Le F-35

    Avec un $ à 1,30 €, la comparaison est encore bonne :lol:
  5. collectionneur

    M60A3 Vs T72

    Il y aussi un fait négligé par les observateurs mais important pour les tankistes à l'intérieur des ces grosses machines ;) L'ergonomie :idea: Un équipage qui passe 12 h dans un T-62 ou un T-72 en plein désert est considérablement épuisé et malmemé tandis que dans les M-60, ils ont plus de place pour se bouger et sont en meilleure forme 8)
  6. collectionneur

    Turquie

    On ne parle que de la Turquie alors qu'il y aura des négociations l'année prochaine aussi avec au moins 3 autres pays : Croatie, Roumanie, Bulgarie... :rolleyes:
  7. C'est plutot le cousin de Robocop avec les MP's :lol:
  8. collectionneur

    Turquie

    Je vous propose cette excellente analyse sur la Turquie et ses conséquences économique, politique, démographique si elle rentre dans l'Union avec cartes et diagramme a l'appui ;) :arrow: http://www.diploweb.com/forum/verluise13.htm Bonne lecture 8)
  9. collectionneur

    Turquie

    Justement les Kurdes Turques ont manifesté en faveur de l'entrée de la Turquie dans l'Union. Au fait, derniére dépéche :arrow: Les eurodéputés disent oui aux négociations d'adhésion avec la Turquie STRASBOURG (Parlement Européen), 15 déc 2004 (AFP) Les eurodéputés se sont prononcés mercredi en faveur de l'ouverture de négociations d'adhésion entre la Turquie et l'Union européenne, par 407 voix contre 262 et 29 abstentions. L'avis du Parlement européen (PE) est un message politique avant tout symbolique car la décision appartient aux chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE qui se réuniront jeudi et vendredi à Bruxelles. Le rapport adopté par le PE recommande l'ouverture "sans délai inutile" des négociations avec Ankara et n'envisage pas, dès à présent, d'alternative à l'adhésion, comme le "partenariat privilégié" réclamé par les droites française et allemande. Si l'objectif "est que la Turquie devienne membre de l'UE", ces négociations sont cependant "un processus ouvert qui ne conduit pas a priori ni automatiquement à l'adhésion", soulignent les eurodéputés, qui énumèrent une série de conditions à remplir, dont "une tolérance zéro" contre la torture. © 2004 AFP
  10. collectionneur

    Turquie

    La Turquie n'a pas un Milliard d'habitants :lol: Elle à la population de l'Allemagne mais son PNB/hab est 9 fois moindre avec moins de 2 500 € par personne :rolleyes: Ex : la Pologne tourne de 4 000 € et la France 20 000 €
  11. Je signale aussi qu'aprés l'occupation russe de 1941, l'Iran a eu maille à partir avec l'US Navy Il y a eu des dizaines de petits accrochages durant la guerre Iran Irak au moment ou les pétroliers étaient pris pour cible dont le plus fut le 18 avril 1988, un vraie bataille navale irano-américaine - 6 navires coulés et 3 plates formes pétroliéres transformé en bases pour les vedettes des Pasdarans HS coté Iran, 0 pertes coté US 6 :twisted: Et ensuite l'affaire du "Vincennes" qui aurait confondu un Airbus avec un Tomcat :rolleyes:
  12. Hors sujet ;) Pour l'Irangate, il s'agissait plutotde faire coup double pour l'Administration Reagan en envoyant des armes à l'Iran avoir des fonds pour aider les "Contras" Nicaraguayens dont le Congrés US avait interdit le financement légal et aider les négociations concernant les otages US au Liban :? Au fait, la France à elle aussi fait envoyer des cargos bourré de matériel militaire à Téhéran plus le réglement d'une dette se chiffrant en centaines de millions d'€ datant du Chah en échange de nos otages :rolleyes:
  13. "Les sociétés US auraient-elles détournés l'embargo US :?: " :lol: Irangate... :twisted: La Corée du Nord c'est bien procurée entre 30 et 50 HD 500 D "Défender" neuf au marché noir :rolleyes: Ne pas oublier aussi les constructions sous licence à l'étranger d'appareils US ;) exemple, le Chinook est fabriqué en Italie et au Japon 8)
  14. collectionneur

    Turquie

    Alors pourquoi est elle dans OTAN, la CSCE ;l'OCDE. le conseil de l'Europe, l'Union de l'Europe Occidentale et autres :lol: :?: Voici la liste en anglais des organisation auquelle elle adhére :arrow: AsDB, Australia Group, BIS, BSEC, CE, CERN (observer), EAPC, EBRD, ECO, EU (applicant), FAO, IAEA, IBRD, ICAO, ICC, ICFTU, ICRM, IDA, IDB, IEA, IFAD, IFC, IFRCS, IHO, ILO, IMF, IMO, Interpol, IOC, IOM (observer), ISO, ITU, NATO, NEA, NSG, OAS (observer), OECD, OIC, OPCW, OSCE, PCA, UN, UNCTAD, UNESCO, UNHCR, UNIDO, UNMIK, UNMIL, UNMISET, UNOMIG, UNRWA, UPU, WCO, WEU (associate), WFTU, WHO, WIPO, WMO, WToO, WTrO, ZC Bon, c'est tout de méme hors suget ;)
  15. collectionneur

    Galileo

    Le système Galileo de navigation par satellite restera exclusivement à usage civil Les ministres de l'Union européenne ont avalisé le début opérationnel en excluant le volet militaire. A la différence de son grand rival, le GPS (Global Positioning System) développé sous l'impulsion de l'armée américaine, le système Galileo de navigation par satellite devra délaisser les applications militaires. Les ministres des transports des Vingt-cinq ont donné, vendredi 10 décembre à Bruxelles, à cette condition, leur aval au déploiement opérationnel de cet ambitieux programme européen. Pour rallier les pays les plus sceptiques, dont le Royaume-Uni, qui entend rester fidèle au système américain par alliance stratégique, la vocation civile de Galileo a été coulée dans le marbre. Galileo, ont confirmé les Etats membres, est "un programme civil sous contrôle civil". Dans l'hypothèse d'une évolution de ce principe, une décision à l'unanimité sera requise, dans le cadre de la politique étrangère et de sécurité commune (PESC). Cette clause va permettre au Royaume-Uni, ou aux Pays-Bas, de poser leur veto à l'utilisation militaire de Galileo. Le feu vert ministériel permet néanmoins aux promoteurs de Galileo d'entrer dans le vif du sujet. Jacques Barrot, le nouveau commissaire européen chargé des transports, a parlé vendredi d'une "décision historique". Le choix définitif du consortium doit survenir d'ici à la fin février 2005, entre les deux candidats en lice pour s'emparer de la concession : Eurely, d'une part, formé autour d'Alcatel, de Finmeccanica et de Vinci, et iNavsat, d'autre part, composé de Thales, d'EADS, et d'Inmarsat. Ces consortiums vont déposer de nouvelles offres détaillées d'ici à la mi-janvier. Le système européen doit en principe commencer à fonctionner en 2008, grâce à trente satellites. Mais l'ultime décision du Conseil Transport n'est pas allée sans de multiples tractations. Après avoir cherché à briser l'initiative européenne, les Américains ont accepté en juin de signer un accord d'interopérabilité entre leur GPS et Galileo. Concurrents, les deux dispositifs seront néanmoins en mesure d'être utilisés ensemble, sans se brouiller l'un l'autre. Il a ensuite fallu apporter des garanties aux partenaires européens les plus prudents. Les Britanniques, de même que les Etats neutres comme la Finlande, ont ainsi cherché à limiter tout usage militaire du projet, en obtenant que le signal crypté ouvert aux gouvernements - le PRS, ou Public Related Service - soit cantonné dans des applications civiles, "sous contrôle civil", comme la surveillance des flux migratoires aux frontières. Les Britanniques ont, par ailleurs, obtenu que les tarifs appliqués au PRS soient calculés au plus juste "sur une base non commerciale", sans marge de profit pour le concessionnaire privé, qui ne sera dès lors pas tenté de tout miser sur ce signal. Les Etats membres pourront enfin choisir d'utiliser ou pas le PRS : seuls les pays intéressés financeront ce service, et sans espoir, du moins dans un premier temps, de s'affranchir de la tutelle du GPS sur le plan militaire. Les timides efforts européens en matière de défense, à moins d'un vote unanime à l'avenir, resteront dépendants du GPS. L'OTAN devrait également continuer à n'utiliser que le seul système de navigation américain. Ces restrictions pourraient compliquer la tâche des concessionnaires privés appelés à la rescousse. Ces derniers doivent financer les deux tiers de la phase de déploiement du système européen, soit 1,4 milliard d'euros, les 700 millions restants étant puisés sur le budget communautaire. Ils ont bien sûr intérêt à ce que les applications de Galileo soient le plus large possible. "Les sources de revenus sont multiples, le PRS ne compte pas beaucoup d'un point de vue financier", dit-on auprès d'un des deux consortiums candidats à la concession, où l'on met en avant le panel très large d'applications d'ores et déjà possibles : navigation aérienne ou terrestre, gestion du trafic auto, localisation des bateaux en mer, etc. Ces services seront offerts aux particuliers, comme au gouvernement, à titre gratuit, ou payant, selon le signal utilisé. Vendredi, un accord "implicite", selon des négociateurs, s'est enfin dégagé sur le montant de la participation communautaire, qui pourrait être de l'ordre de 1 milliard d'euros. Mais cette somme ne sera pas définitivement acquise avant la fin des négociations sur le budget communautaire pour la période 2007-2013. "Il n'y a pas d'incertitude telle qui puisse arrêter le secteur privé", a tenu à assurer M. Barrot. Par Philippe Ricard dans Le Monde ------------------------------------ Galileo restera donc exclusivement civil et vue les grosses rectrictions, les USA n'auront donc pas a craindre de concurrence sur le volet militaire :rolleyes:
  16. collectionneur

    Turquie

    Précisions pris sur "le Monde diplomatique" concernant la fabrications d'armes en Turquie 8) :arrow: La société nationale turque MKEK (industries chimiques et mécaniques) fabrique, sous licence, toute une série d’armes légères et de munitions. Ces licences sont souvent composées d’accords très complexes concernant plus d’une pièce détachée ou plus d’un type d’armement. En 1992, MKEK signait un accord avec l’entreprise française Giat industries, qui était chargée de fournir des canons de fusil et des tourelles pour un véhicule blindé de transport de troupes... fabriqué conjointement avec l’entreprise américaine FMC. Dans le cadre d’un programme indirect de compensation industrielle (ces arrangements annexes aux contrats, appelés « offset ») d’une valeur de 29 millions de dollars, Giat offrait à MKEK sa technologie de production de munitions de calibre 25 mm. MKEK fabrique également sous licence toute une gamme d’armes légères H & K. MKEK signa en 1998 un accord de production sous licence avec H & K, qui lui permettait de produire 200 000 fusils d’assaut HK 33 de 5,56 mm sur le sol turc pendant les dix années suivantes. Ainsi, alors que des Etats comme l’Allemagne ont lié leur politique d’exportation vers Ankara au respect des droits humains, cet accord fournit à la Turquie un moyen indépendant et local de production de ses armes légères ----------------------------- Seulement 200 000 fusils pour son imposante armée de terre, certains vont garder encore longtemp leur anciennes armes :?
  17. M-16 pour les Marines, M-4 pour l 'US Army et des Kalash de temps en temps :lol: J'ai méme vue dans une vidéo des Marines tirée avec des M-14 cal 7,62 ;)
  18. Sur les 80 Tomcat achéter avant la révolution de 1979, une cinquantaine seraient en ligne avec un taux de disponibilité de 60 % delon le tableau de Global Sécurity donnée plut haut . En 1983, moins d'une dizaine était en état de voler mais l'Iran a acheter tellement de piéces au marché noir que l'US Navy s'est retrouvé quelques temp en ruptures de piéces de rechanges pour ses propres avions :lol: Ils ont été remit à niveau il y a quelques années, et on a passé sur un forum une photo d'un de ces engins avec un leurre remorqué comme on les F-18 ;)
  19. Ciel, les militaires Iraniens demande des sous et se plaignent de leur faible budget :lol: :arrow: Armed forces budget on the decline Wednesday, December 08, 2004 - ©2004 IranMania.com LONDON, Dec 8 (IranMania) - Representative of the Armed Forces Joint Chief of Staff for Majlis affairs said the budget of the armed forces is decreasing in comparison to the general budget. According to IRNA, Brigadier General Alireza Afshar, who was addressing the gathering of the legal experts of armed forces, added, "This is while our country is subjected to threats and the only preventive method is to boost our defense capabilities." Drawing an analogy between the budget of the armed forces and the budget of the armed forces of other similar countries, Afshar said, "According to statistics, military expenditures account for 2.39% of the gross domestic product (GDP). The same figure is 5.3% in Turkey, 6.4% in the Republic of Azerbaijan, 9.2% in Jordan and 14.9% in Saudi Arabia." The brigadier general also said Iran's per capita defense expenditure is $106, Turkey $154, Syria $280, Oman $726, Saudi Arabia $996 and the global average is $142. "The average per capita defense expenditure in the Middle East is $238," he said. Afshar urged the government and the Majlis to revise the budget allocated for the armed forces, on the basis of objectives declared in the 20-Year Outlook for the Islamic System and the country's policy guidelines. ------------------------- Et voici l'une des cibles possibles en cas d'intervention :arrow:
  20. Obsoléte, c'est vite dit :lol: :arrow: http://www.globalsecurity.org/military/world/iran/airforce-equipment.htm Su-24, Mig 29, Su-25... Ce pays n'a pas subi d'embargo et s'est approvisioné en Russie, Chine et ailleurs 8) Leur base industrielle et technologique sont correste, ils fabriquent en autre une copie du missile mer-air SM-1 US, des chars et des obusiers de conception locale, leurs propres SCUD...
  21. On ne peut pas dire que l'équipement indivuduelle des fantassins Iraniens soit à la pointe du progrés :lol: Mais un homme décidé avec un AK-47 et un RPG suffit pour causer des ennuis à des armées higt tech :?
  22. Seulement 2 payé leur poids en or par les Soviétiques pour pour examiner la béte de prés :lol: Les Tomcat Iraniens ont servie en autre durant la guerre du golfe I Iran Irak comme simili AWACS avec leur radar trés grande portée et les AIM-54 ont semble t il eu des succés contre les chasseurs Irakiens 8) Ils ont été modernisé et j'ai vut un photo de ces avions avec un leurre remorquée :shock: Pour les maquettistes, j'ai trouvé le camouflage d'un des 35 Mig 29 Iraniens (les USA en ont 21 acheter en Moldavie et ailleurs) :arrow: http://www.geocities.com/meco17br/Mig/29a/iran.GIF
  23. Il ne faut jamais sous estimé son adversaire, l'Iran à tenue 8 ans dans une guerre de tranchées digne de 14/18, son industrie d'armement se dévellope peut à peut, et elle peut réserver des surprises :rolleyes: Su-24 Fencer Iraniens :arrow: Maquette d'un projet d'avion de combat, le "Shafagh" dérivé du Mig-29, bien qu'il ressemble au F/A 18 "Hornet", L'Iran ayant participé à la conception du F-17 qui allait donner le Hornet au temp du Chah :shock: :arrow: Et le voici grandeur nature ;) :arrow:
  24. Excellent diagnostic, Mani, mais il aurait fallut le mettre sur le sujet "L'Iran va t elle étre envahie :lol: ;) :arrow: http://air-defense.net/phpBB/viewtopic.php?t=1802&postdays=0&postorder=asc&start=0
  25. Résumé des forces Iraniennes ;) :arrow: http://www.globalsecurity.org/military/world/iran/index.html En tous, l'Iran ne semble pas impressioner par les politiques Européennes :? :arrow: L'Iran exclut de renoncer à enrichir l'uranium TEHERAN (AFP), le 13-12-2004 L'Iran a exclu dimanche un renoncement permanent de sa part à enrichir l'uranium, et prévenu qu'il se réserve de rompre "à tout moment" les négociations qu'il entame lundi avec les Européens et qui visent à pérenniser la suspension de cette activité ultra-sensible. "Un gel permanent de l'enrichissement n'est pas à l'ordre du jour pour nous, nous insistons sur le fait que la suspension est pour une courte durée", a déclaré le porte-parole des Affaires étrangères, Hamid Reza Assefi. Il s'exprimait devant la presse à la veille du lancement, à Bruxelles, de négociations de suivi à un accord conclu en novembre entre Iraniens et Européens, par lequel la République islamique a accepté de suspendre l'enrichissement. L'Iran rompra ces tractations sitôt qu'il constatera qu'elles n'avancent plus, a prévenu le dirigeant chargé du nucléaire, Hassan Rohani, se livrant aux mises en garde d'usage tout en adoptant cependant un ton prudent et conciliant. "Nous poursuivrons les négociations aussi longtemps qu'elles progresseront, nous les cesserons à tout moment si ce n'est plus le cas", a dit M. Rohani, selon l'agence officielle Irna, au moment de s'envoler pour Bruxelles. Hassan Rohani doit rencontrer lundi les chefs de la diplomatie allemande, française, britannique et de l'UE pour lancer le cycle de discussions prévues dans l'accord de novembre. Aux termes de cet accord, l'Iran, accusé par les Etats-Unis de travailler secrètement à l'arme atomique, a accepté de suspendre l'enrichissement, garantie a priori probante que la technologie produisant le combustible pour ses futures centrales civiles n'est pas détournée à des fins militaires. Cette suspension a été obtenue par les trois Européens, mandatés par l'UE, contre la promesse d'une coopération nucléaire, technologique, économique et dans le domaine de la sécurité. L'accord a ensuite été endossé par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Il a écarté la menace pour l'Iran d'être traîné devant le Conseil de sécurité de l'Onu, comme le voudraient les Etats-Unis. Les discussions de lundi avec les trois ministres européens et le Haut représentant pour la politique étrangère de l'UE, Javier Solana, en marge d'une réunion des chefs de la diplomatie de l'Union, auront un caractère inaugural, avant d'en passer dans les jours suivants à des groupes de travail planchant sur la coopération. Les entretiens de lundi définiront "le cadre des négociations à venir" et évoqueront "les exigences et les attentes de la République islamique", a dit M. Rohani. "Nous prenons les choses une à une", a-t-il ajouté, interrogé sur les chances de succès. Il a cependant souligné que les Européens avaient depuis novembre respecté leurs engagements. Il a jugé "très important" le cap des trois mois, quand doit avoir lieu une évaluation du travail accompli: "On verra alors plus clairement si les Européens et nous pouvons parvenir à un accord dans tous les domaines". La suspension de l'enrichissement durera le temps des négociations, ne cessent d'insister les Iraniens. Les Européens, eux, voudraient obtenir un régime permanent. Les Américains, s'ils ont laissé faire en novembre, se montrent sceptiques. Maints diplomates s'accordent pour juger l'entreprise européenne aléatoire sans un concours américain. Ainsi, l'accord de novembre promet aux Iraniens un soutien européen à leur candidature à l'Organisation mondiale du commerce (OMC) qui se réunit lundi. Les Américains ont depuis 2001 empêché une admission iranienne. Bien que l'administration Bush écarte une telle éventualité pour l'heure, les spéculations continuent sur des opérations militaires américaines préventives contre l'Iran. "Nous ne croyons pas l'Amérique capable d'attaquer l'Iran. L'Iran se défendra", a déclaré M. Assefi. "Nous avons une période calme de négociations pendant les trois prochains mois", a dit M. Rohani, interrogé sur d'éventuelles garanties de tranquillité données à l'Iran.
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