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Le problème de Statège c'est qu'il prend le problème par le mauvais coté. C7 ton example l'illustre bien, mais la différence entre 1800 et aujourdhui c'est que la France n'a plus de volonté de puissance, c'est tabou, on n'a plus le droit d'ettre conquerant et offensif. Si cet ésprit éxistait nous aurions les marges de manoeuvre dont tu parle souvent.
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L'atrophie de l'armée Française rend les programmes de blindés lourd inaccéssible au regard des moyens financier que nous sommes prét a leur allouer. D'ailleurs ils rentrent dans le deuxiemme voir le troisiemme cercle du LB. Je me demande meme si l'EBRC verra le jour parce que si on ne s'accorde pas avec un ou des partenaires la facture risque d'etre salée, à moins que les coopération sur des sous système comme le 40CTA aboutissent.
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Si j'ai envie de le lire je sais ou aller. ;) A la fin je vais finir par penser que l'expert indépendant dont à besoin notre PR est Stratège, il devrait lui écrire un courier ou faire la gréve de la fain devant l'Elysée afin de décrocher une audience. pour la réserve il faudrait une mission claire, utile et non concurentielle vis à vis des personels sous contrat de l'armée mais également de la gendarmerie et de la police.
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Salut et bienvenu.
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Je vais aller sur Marine forum. :lol: là bas on parle des beau bateaux. ;)
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La politique étrangère et de défense selon Sarkozy
P4 a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Sans nier notre "mauvais" positionnement économique le boycott des produits Français est à la mode depuis le précédent US, depuis d'autres s'y sont essayer sans trop de succès comme la Turquie mais avec la Chine c'est de nouveau un gros morceau. Ils ont de bonnes raisons d'y aller vu l'absence de réaction de notre part vis à vis des USA et de la Turquie. -
[Belgique]
P4 a répondu à un(e) sujet de Jojo67 dans Politique etrangère / Relations internationales
Albert Frère, il en pense quoi? -
Plus fort que chez CVS. Trois soeurs pilotes, laissait leur le manche.
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affirmatif!!!
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Union pour la Méditerranée
P4 a répondu à un sujet dans Politique etrangère / Relations internationales
L'Elysée réaffirme «sa préférence» pour une ville du Sud Surprise :O Ils avaient qu'a lire le PDF suivant: LE PROJET EUROMEDITERRANEE ET L’UNION EUROPEENNE -
[Afghanistan] Archive
P4 a répondu à un(e) sujet de jeanmi dans Politique etrangère / Relations internationales
Philippe Folliot en Afghanistan -
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Jean Guisnel fairait bien de s'intérroger sur la professionnalisation de 95 et ses promoteurs........ Au lieu de ça il fait le chien de garde des que quelqu'un emet une opinion.( Général Thomann, colléctif Surcouf et LOUIS GAUTIER) Pour aboyer c'est assurement le meilleur et il ne s'interdit aucun mauvais argument, malheureusement ce n'est que du partit pris.
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Les premiers mecs ne participent pas, ils ont crée leur propre forum. Le premier à avoir parlé pognon c'est stratège.
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L'auteur de ce post aurait du mettre les deux textes au lieu de se contenter de la réponse de Jean Guisnel. J'ai juste pris l'initiative d'apposer le texte de LOUIS GAUTIER paru dans les échos, je peux l'enlever si ça dérange. :lol:
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Pour le 57 je suis résté bloquer à l'organisation de 1995. :lol:
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57 RA sur batteries Roland+ 1 batterie mistal para.
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Une idée du prix de la beauté.
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Les pays MLU ne sont pas la France, la situation est complétement différente du fait qu'ils font des achats sur étagère, nous il faut invéstir et financer de nouveaux programmes comme le Rafale et le démonstrateur Neuron.
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La politique étrangère et de défense selon Sarkozy
P4 a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
J'ai pas retrouver l'article du monde lis il y a une heure. :'( M'enfin, il y a l'édition anglaise de spiegel. :lol: Si Obama a insisté en Allemagne, il y a délivré un message clair. Obama Calls for Greater European Role in War on Terror L'échéance éléctorale s'approche, sans se calquer sur Bush Obama reste grosso modo sur la ligne générale US. -
Sauf que bercy s'est opposé a ce mode d'achat car il crée une dette caché a coté de la dette.
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[Afghanistan] Archive
P4 a répondu à un(e) sujet de jeanmi dans Politique etrangère / Relations internationales
La déstabilisation du Pakistan au travers du conflit Afghan est elle un bien pour l'Inde puisqu'en plus de perdre sa profondeur stratégique en A-stan le pakistan se retrouve amputé d'une partie de son propre térritoire. Bp a posté cette carte de la répartition des bases aériènnes, on observe leur concentration dans le Pakistan non tribal, sans doute une sage précaution. J'ai pu lire certaine récrimination Pachtounes concernant un pouvoir Afghan en cheville avec New Delhi et agissant à son profit. Entendu qu'au travers du Pakistan c' est un réequilibrage du rapport avec la Chine qui est rechercher afin de n'avoir plus que le front nord. Une bonne raison pour New Delhi d'acheter du matos US. Quand certains parle de négocier avec les taliban on se demande sur quoi et contre quoi. Si la déstabilisation est un but de la guerre en A-stan l'argent générer par l'opium donne a ceux qui en son maitre un pouvoir de corruption des rouages d'un etat centraliser. Le gain final pour les tribaux est une taxe sur le pipe line a venir, "dieux est grand". :lol:. -
Je crois que pour le controle aérien c'est le Mt Verdun prés de Lyon depuis quelques temps.
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L'équilibre, le vrai. ;) LOUIS GAUTIER Livre blanc et malaise dans les armées Le moins que l'on puisse dire, c'est que le nouveau Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale ne suscite ni un fort enthousiasme chez les militaires ni un immense intérêt chez les Français. Le plus préoccupant cependant dans ces réactions, ce n'est pas tant les critiques de fond que les accrocs au traditionnel consensus sur la défense qu'il provoque. Qu'attend-on d'un Livre blanc ? Clairvoyance et adhésion. L'analyse doit permettre de sérier précisément les menaces et les enjeux ; ce que le Livre blanc dans l'ensemble fait plutôt bien. Les attendus et conclusions doivent aussi recueillir l'assentiment du plus grand nombre. C'est sur ce point que le bât blesse. Le choix de réintégrer l'Otan est très discutable, la modestie des ambitions affichée pour l'Europe de la défense est regrettable. Ces sujets semblent définitivement tranchés sans concertation ni débat. Plus généralement, les nouvelles orientations de notre défense souffrent d'un déficit d'adhésion des Français et de la communauté militaire. Dès sa conception, le Livre blanc aura manqué de légitimité et de soutien. Les élus ont été peu consultés sur ce texte rédigé par une commission. Ils n'ont pas eu à en approuver les conclusions avalisées par le chef de l'Etat avant même que la représentation nationale soit saisie. Certes, la commission du Livre blanc comprenait des parlementaires et procéda à de nombreuses auditions de personnalités. Il est donc injuste de parler d'un travail en vase clos. Mais les temps changent et on attend que le débat public sur la défense, autrefois confiné au secret, s'intensifie et se normalise dans notre pays à l'instar de ce qui prévaut dans les autres grandes démocraties. C'est d'ailleurs pour ne pas cautionner un faux-semblant que les deux parlementaires de l'opposition, membres de la commission du Livre blanc, en démissionnèrent en avril 2008. Une occasion a été ratée de faire évoluer dans le bon sens nos pratiques institutionnelles. La pratique est en effet souvent plus importante que la réforme des textes. Au demeurant, la réforme de la Constitution ne bouleversera guère la donne en matière de défense. Les pouvoirs du Parlement, dans ce domaine, sortiront à peine renforcés. Certes, la représentation nationale sera désormais amenée à se prononcer sur les interventions extérieures, mais dans des délais et des conditions tels que cette avancée de principe est strictement bornée dans son application. En France, les discussions sur la politique de défense restent toujours bridées. La réception du Livre blanc est venue souligner cette anomalie démocratique. L'exercice a aussi révélé le trouble qui gagne la hiérarchie militaire. Bien malgré lui, il est aussi devenu le catalyseur d'une grogne à la base. Les militaires ont eu le sentiment d'être marginalisés dans les travaux préparatoires. Ils craignent d'être durement traités dans les arbitrages qui s'annoncent en termes budgétaires et de restructuration. La vérité oblige à dire que l'état-major des armées a été constamment associé, et de très près, à la rédaction du Livre blanc. Mais les différents états-majors d'armées n'ont pas été suffisamment consultés. On paye les effets de la réforme de 2005, qui atrophie exagérément les responsabilités des chefs d'état-major de chaque armée. Les remous, notamment au sein de l'armée de terre, sur fond de démission de son chef, le général Cuche, après la fusillade de Carcassonne, extériorisent le malaise de l'institution militaire. Le gouvernement, plutôt que de diligenter une enquête sur le groupe d'officiers qui publia dans « Le Figaro », sous le pseudonyme de Surcouf, un article à charge contre le Livre blanc, plutôt que de saisir la justice pour manquement au devoir de réserve contre des gendarmes ayant ouvert un blog sur Internet, ferait mieux de se mettre à l'écoute et d'adopter une attitude ouverte sur les moyens d'expression des militaires. Bien sûr, on attend d'un soldat qu'il respecte de façon impérative l'obligation du secret défense, l'interdiction de compromettre des renseignements opérationnels, le principe d'obéissance et le devoir de loyauté envers les autorités politiques. Mais, logiquement, la professionnalisation des armées incite à accorder aux militaires une plus grande liberté de parole sur leurs conditions de vie, leurs missions et leur métier. Paradoxalement, le refus qui leur est encore opposé de formuler publiquement des avis les conforte dans la conviction que leur opinion serait la plus pertinente car indicible. La censure est toujours inepte. Au cas présent, elle accentue le sentiment chez les militaires qu'on exige de l'armée des sacrifices qui ne sont imposés à aucune autre administration, sous prétexte qu'elle est la seule à ne pas pouvoir manifester ses doléances. Il est grand temps qu'on libéralise en pratique le droit d'expression des militaires et qu'on modernise dans les principes leur droit de représentation collective. La réforme du statut général des militaires adoptée en 2005 fut timorée. Elle maintient toujours en vigueur la règle absurde du tirage au sort plutôt que le principe de l'élection pour désigner les représentants dans les instances supérieures de concertation de la fonction militaire. N'est-il pas temps d'engager une réflexion sereine sur la place et les droits des militaires dans notre société ? Tout y pousse : le passage à l'armée de métier, le mode de commandement, moins vertical que par le passé, l'objectif de forces européennes communes qui incite à l'harmonisation des statuts militaires à l'intérieur de l'Union. La défense nationale a été l'objet d'un large consensus pendant trente ans. L'accueil réservé au Livre blanc par l'opinion, dubitatif et détaché, trahit l'effritement de l'union des Français autour de leur défense et de la priorité qui lui était autrefois reconnue. Il révèle aussi une crise larvée entre l'institution militaire et le pouvoir en place, ce qui n'est jamais sain. Et dans cette crise, une chose est sûre : les crispations de mâchoires et les coups de menton, ces tics parasites de l'autorité, ne feront pas progresser d'un pouce les convictions ni le respect. Il faut en revanche prendre garde aux évolutions négatives qui affectent aujourd'hui le lien entre l'armée et la nation. L'état politique et social d'un pays est en effet toujours en rapport avec l'état de son armée. LOUIS GAUTIER est délégué national aux questions stratégiques du PS.
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Cette décision a été prise avant le Livre Blanc.