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Tout ce qui a été posté par DEFA550
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On est dans le sujet Rafale, lequel succède aux chasseurs qui équipaient les escadres mentionnées. Ce n'est pas parce qu'il est dans les habitudes de disserter de tout et n'importe quoi ici même que je dois m'y conformer
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Dit comme ça, je réalise pleinement qu'on est tombé bien bas Il fût un temps pas si lointain où chaque escadre comptait au moins 3 escadrons et portaient les numéros 2, 3, 4, 5, 7, 10, 11, 12, 13, 30 et 33 et où il y avait des chasseurs à Strasbourg, Dijon, Reims, Cambrai, Toul, Colmar, Creil...
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Tu as de sérieux problèmes de logique ! Une défaillance moteur (panne, incident, dommage de guerre) sur un mono-moteur signe la perte de l'avion, et peut-être de son équipage. Une défaillance moteur (panne, incident, dommage de guerre) sur un bi-moteur permet très souvent de ramener l'avion et son équipage. La perte d'un mono-moteur suite à une défaillance de moteur est certaine. La perte d'un bi-moteur suite à une défaillance d'un moteur est possible. Voilà pour les fondamentaux. Le reste repose sur le niveau d'acceptation du risque. Dans les années 60, perdre 15 avions par an, la plupart du temps avec son équipage, était tolérable. Aujourd'hui en perdre seulement un seul ne l'est plus.
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...les transporteurs à Boeing et les bombardiers à Northrop Grumman.
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Théoriquement il le peut, mais avec des difficultés. Ou dit autrement, il y a tout ce qu'il faut pour qu'il puisse le faire.
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Measuring Stealth Technology's Performance & ECM
DEFA550 a répondu à un(e) sujet de zx dans Divers air
C'est très bien le brouillage massif omnidirectionnel. Ca brouille tout, même ses propres capteurs. -
Tout à fait, dès lors que ce choix n'implique pas une régression notable qui ne soit pas justifiée par ailleurs. Ceci étant dit, je constate que l'algèbre de Boole n'est pas à la portée de tout le monde...
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Pour ta gouverne personnelle, il s'agissait du DA-6 perdu en novembre 2002 en raison d'une double extinction (l'une commandée, l'autre non) Celui que tu cites, avec le pilote saoudien à bord (décédé à l'éjection), date d'août 2010.
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Argument fallacieux. On a utilisé des pioches pendant des années pour creuser des tunnels ferroviaires. Je suppose que ça t'apparaîtrait acceptable de continuer à le faire...
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Pour compléter en illustrant un peu la chose, l'un des coupables est le TAM (Tableau Armement Mécanicien) situé sous l'emplanture de la voilure gauche. Ce boitier sert à définir le type d'armement présent (entre autres choses) en affichant un code pré-défini dans les catégories "externe voilure", "interne voilure", "fuselage" et "points latéraux". Et voilà comment on abouti à quatre emports différents au maximum en simultané, puis à du "mono-mission" lorsqu'on considère que l'un des choix identifie les "bidons", qu'un second déclare les "MAGIC", et que le troisième s'est fait "phagocyter" par le PDL.
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C'est pourtant l'image que j'ai aussi sur Google Earth, datée de 02/07/2016
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Ca doit être ici : https://www.google.fr/maps/place/Lusaka,+Zambie/@-15.3326822,28.4314288,302m/data=!3m1!1e3!4m5!3m4!1s0x1940f37d3cbcaa49:0xd0d093c1462013eb!8m2!3d-15.3875259!4d28.3228165
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De mémoire, la pieuvre électrique du 2000D avait déjà été modifiée/remplacée (au moins en partie) pour le chantier post-R2 effectué à St Dizier (pour occuper les anciens jaguaristes). En ce qui concerne les emports, on ne peut pas parler de mono-tâche mais plutôt de configurations opérationnelles figées et d'une gestion simplifiée des emports (déclaration, affichage, sélection, tir). Le panachage est théoriquement possible mais se heurte actuellement à trois écueils : Le nombre limité de points d'emport en configurations opérationnelles, la limitation propre des adapteurs d'emport multiple, la gestion des emports de voilure par paires homogènes (idem pour les points latéraux de fuselage), le tout éventuellement compliqué par l'application de modifications détournant certaines choses à leur profit exclusif. Bref, c'est un peu plus compliqué que de dire que ça a été "conçu mono-tâche". Ca a plutôt été conçu simplement, pour répondre à des besoins simples et clairement identifiés, et "trafiqué" au fil du temps pour s'adapter aux nouveautés sans tout remettre à plat à chaque fois.
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En gros FATac explique qu'il ne suffit pas de connaître les équations. Il faut aussi leur fournir les bons paramètres, et c'est là que l'excellence des ingénieurs joue encore un rôle crucial parce que la complexité des phénomènes analysés implique de devoir simplifier le modèle numérique tout en conservant un niveau de détail suffisant (expertise) là où c'est important (expertise). Un défaut d'expertise éloigne le modèle de la réalité et expose à découvrir trop tard l'existence de phénomènes non désirés.
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D'ailleurs : http://www.lesechos.fr/03/05/2007/LesEchos/19911-090-ECH_deuxieme-porte-avions---alliot-marie-enclenche-la-commande-des-catapultes.htm
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Tu perds du temps (et de l'argent) à faire mieux si le savoir-faire et l'expertise ne permettent plus d'arriver rapidement à une solution quasi-optimale. Les CDVE apportent un certain confort dans l'exploitation de l'appareil (facilité de pilotage, respect du domaine de vol, etc) mais ne permettent pas de faire voler une aile qui a décroché, ni de retrouver une autorité perdue. Autrement dit, elles s'expriment dans un domaine aérodynamique défini par le dessin de l'avion mais ne permettent pas d'élargir ce domaine. A partir de là on peut envisager deux écoles : ceux qui se reposent sur les CDVE pour aider à conserver le contrôle d'une brique volante, et ceux qui font un véritable avion avec des qualités de vol sublimées par les CDVE. La logique, commandée par l'ordre des choses, préfère la seconde option. Une aile "ratée" renvoie tout le monde à la première.
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Des évaluations conduites pour appuyer à postériori un choix partial sont de facto d'un intérêt plutôt limité...
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Pour moi ça s'apparente à une baisse du niveau d'expertise par manque d'expérience. Les "anciens" ne sont plus là ou n'occupent plus les fonctions concernées, ce qui impose aux "jeunes" de redécouvrir (ou pas) les ficelles du métier, parfois dans la douleur. C'est en forgeant qu'on devient forgeron. Tout simplement.
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Les anglais craignent de ne pas pouvoir utiliser chez eux le désignateur laser de leurs F-35. http://www.theregister.co.uk/2016/08/01/f35_electro_optical_targeting_system_laser_cant_used_uk/
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Donc on aurait un Rafale non armé qui aurait décidé d'aller fureter à 1500 bornes de la Malaisie sans ses bidons mais avec un ravitailleur ? Je connaissais le coup de la marmotte qui met le chocolat dans le papier alu, mais pas celui-là...
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Pas mieux. Déjà le Rafale de démo n'est pas armé du tout et n'est pas en mesure de menacer qui que ce soit, et il a mieux à faire que d'aller traîner très loin au large de la Malaisie pour une obscure raison et d'y orbiter un moment le temps que les intercepteurs arrivent pour le foutre dehors.
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Bonne question, mais mauvaise cible. Le but est de succéder au F-16. Ni le F-22 (trop cher et pas assez "tactique"), ni le F-15 (en fin de vie, lui aussi) ne sont qualifiés. Donc si tu tiens à arrêter le F-35, la seule solution est l'immobilisme avec le remplacement des F-16 par des F-16.