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Tout ce qui a été posté par DEFA550
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Pourtant il est dans une autre catégorie, celle des chasseurs légers (7-8 tonnes). Le Super Hornet, lui, est quasiment un chasseur lourd en étant au delà des 12-13 tonnes.
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Certainement. La première étant de savoir ce que ça apporte de plus au point d'accepter d'en supporter les contraintes.
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Je confirme que ce n'est pas un DEFA 552 de Mirage III. Le retrait de service des Jaguar, Mirage F1 et Mirage 2000C a généré une montagne de DEFA 553/554. Je me doutais bien que la légende rapportée par Pascal pourrait être mal interprétée. Je me suis abstenu d'apporter une clarification préventive, mais finalement j'aurai dû... Bref, si les DEFA 552 du Mirage III ont pu donner l'idée (j'ignore si c'est vrai), ce ne sont pas ces canons-là qui sont utilisés. Il y a une différence de cadence de tir entre les DEFA 553 (Mirage F1, Jaguar et Alphajet) et DEFA 554 (Mirage 2000), au bénéfice des derniers.
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Les maillons sont sûrement conservés. Reste la question des douilles...
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Ca veut dire qu'un Mirage 2000N d'essai en vol, dans un environnement spécifique, a pu tirer une AASM d'essai selon des conditions d'emport et de tir non précisées. En gros, il a été démontré qu'on pouvait l'accrocher dessous, comme on peut le faire sur un Alphajet, un Mirage III, ou n'importe quel avion disposant de dispositifs d'emport au standard OTAN (au hasard, un F-16 ), et qu'on arrivait à l'éjecter sans se le prendre dans la figure. Certes c'est un bon début, mais il reste du travail à faire, et pas qu'un peu, pour permettre à un Mirage 2000-5Mk2 de le faire dans des conditions opérationnelles.
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En opération, en principe oui, le reste du temps, normalement non. Dans le premier cas on recherche une synergie pour maximiser l'efficacité, dans le second on recherche la sécurité en évitant les habitudes.
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Si on considère que ce genre d'engin a une durée de vie limitée, qu'il est aussi sujet à l'obsolescence (de ses systèmes et/ou de son principe), que la consommation est trop faible pour maintenir un approvisionnement permanent, que cette consommation est inévitablement freinée par le coût de chaque munition, l'option la plus raisonnable consiste à acquérir un stock non renouvelable. Ainsi le coût global est minimum, et l'obsolescence est traitée à la fin de ce stock par l'acquisition de nouvelles munitions dont le type est à définir (sur étagère, à développer ou à rénover s'il s'agit toujours de l'AASM). A partir de là il n'y a pas de problème avec l'AASM, que ce soit pour les armées, la DGA ou Dassault. Que SAGEM n'y trouve pas son intérêt est le problème exclusif de SAGEM.
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La France et ses programmes UAV/UCAV
DEFA550 a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
C'est un peu extrême. Avoir une idée de ce que ça donne ne dispense pas d'expérimenter ni de valider des données théoriques. -
L'achat de F-18 a été envisagé dès le milieu des années 1970, pour être précis, parce que le F-8 était déjà obsolète au sens où il ne permettait pas à la marine d'entrer en premier dans un conflit (= sans assistance). Tout le monde sait que c'est tombé à l'eau (si je puis dire), mais on sait moins qu'un intercepteur embarqué dérivé du Mirage F1/M53 n'a pas eu plus de "chance". Les efforts ont exclusivement porté sur les avions tactiques. L'épisode de 1989 n'est qu'un bégaiement de l'histoire, et un prétexte bien pratique pour ne voir que l'arbre qui cache la forêt. En réalité le plus gros lobby dans cette histoire est à chercher du côté de Bercy, l'aéronavale n'ayant jamais eu les moyens de ses ambitions, et certainement pas les moyens de voler sur F-18 tout en participant au programme Rafale. D'ailleurs elle n'a pas eu ces F-18, et a de plus obtenu un "rabais" sur sa participation au développement du Rafale (et l'abandon de la version biplace embarquée). La position qui consistait à dire "F-18 en attendant le Rafale" reposait sur du vent, parce que ça aurait abouti sur du "F-18 tout court" qui ne répondait pas au cahier des charges de l'ACM, avec rien derrière, y compris pour remplacer les SEM.
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J'ai vu ce "entre autres", mais depuis de l'eau a coulé sous les ponts et il a carrément disparu de ta prose. Par contre la pique contre Dassault revient comme un leitmotiv, elle... Par ailleurs si je cite un passage, c'est pour répondre à ce passage, et exclusivement ce passage, pas à une autre intervention postée plusieurs heures plus tôt et qui n'est plus d'actualité, ni pour répondre à la partie que tu aurais souhaité que je choisisse. Oui, "un peu meilleurs". C'est maigre, vu les conséquences. D'ailleurs c'était tellement important d'avoir un truc un peu meilleurs que ces fameux Cruz' ont fait du rab' au delà de 1996. Savoir fabriquer des kits de bombes de précision n'est pas une activité stratégique. C'est à la portée de n'importe quel pays industrialisé. Et tu as oublié de noter qu'on avait un stock pour la 20aine d'années qui vient. C'est précisément ce qui évite (entre autres ()) les problèmes de livraison.
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Tu l'aimes bien cet exemple, hein ? Dommage qu'il ne soit pas comparable au cas présent pour au moins trois raisons. La première est l'importance stratégique du programme Rafale, la seconde est que ce lobbying de la part du maître d'oeuvre bénéficiait à l'ensemble des industriels concernés par le programme, la troisième est que le F-18 était quasiment inexploitable sur les Foch/Clemenceau et qu'il aurait fallu attendre le CdG pour en tirer une capacité opérationnelle significative. Autrement dit, ce F-18 n'apportait rien au plan technique, rien au plan budgétaire (pire : le budget quittait le territoire), et un maigre gain de deux ans au plan opérationnel par rapport au Rafale.
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Le commanditaire à payé le développement, la mise au point et l'intégration sous Rafale, et en a commandé un certain nombre. Ce même commanditaire a ainsi constitué un stock dimensionné pour répondre aux besoins prévisibles sur une période donnée (autour de 20 ans), à l'issue de laquelle le renouvellement par le même matériel n'est pas acquis, et même improbable du fait des évolutions (technologiques, doctrinales). Je vais finir par croire que tu bosses pour SAGEM. Sinon je m'offusque des raisons derrière ce lobbyisme, pas du lobbyisme en tant que tel.
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Je ne fais pas dans le social. Cette chaîne n'existait pas avant. Qu'elle n'existe plus ne me pose aucun problème puisque l'industriel se contente visiblement d'essayer d'en retarder la fermeture le plus longtemps possible.
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Je comprends très bien pourquoi ils le font, et la raison profonde est que leur unique produit n'est pas compétitif à courte portée. L'imposer par des moyens occultes ne le rendra pas plus compétitif et équivaut à quémander sa part de subvention prélevée sur le budget de la défense. S'il y a des AASM à tirer avant d'arriver en limite d'utilisation, alors il n'y a plus besoin de GBU-49 ni de faire du lobbying pour ne plus en acheter.
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Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
DEFA550 a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Donc il est temps de mettre à jour tes connaissances : http://www.defense.gouv.fr/ministre/archives-herve-morin/actualites-du-ministre/commande-de-60-rafale http://www.defense.gouv.fr/dga/equipement/aeronautique/le-rafale -
Les 2000D n'y sont plus, à Djibouti. Et vu qu'il faut aligner plusieurs millions d'euro pour acheter un seul RDY, la facture serait plutôt salée pour perdre le suivi de terrain et "gagner en polyvalence". --- Par ailleurs, on apprend par l'EMA qu'une paire 2000D/2000N vient de passer le cap des 10000 heures de vol en missions opérationnelles depuis la Jordanie. C'est absolument énorme puisque rapporté à une consommation annuelle ça correspond au potentiel de ... 35 Mirage 2000.
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Je ne la regarde pas, mais je la paye chaque fois que je passe à la caisse...
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Les nouvelles positives du programme JSF F-35
DEFA550 a répondu à un(e) sujet de Picdelamirand-oil dans Amérique
Ah ?!? T'en a acheté un toi aussi ? ---->[ ] 150ft/M0.8- 883 réponses
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S'ils en arrivent là, c'est que leur escorte n'a pas réussi à faire son boulot et qu'ils n'ont pas réussi à fuir le combat. Autant dire que c'est un double échec qui ne présage rien de bon pour la suite.