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Tout ce qui a été posté par DEFA550
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Moi j'avais retenu F-22 = tête d'épingle, F-35 = balle de golf, Rafale = ballon d'eau chaude Mais comme c'est invérifiable toute autre suggestion n'est pas moins vraie.
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On fait dire ce qu'on veut aux chiffres, surtout lorsqu'on ne précise pas de quoi il s'agit vraiment. Par exemple il faut moins d'une heure pour remplacer le moteur d'un M2000, mais il s'écoule plus de temps que ça entre le début de l'opération et la remise en ligne. Bref, attention avec les chiffres...
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Sauf que le Rafale A dérive de l'ACX, lequel fusionnait au moins en partie l'ACT et l'ACM. L'idée de la navalisation est donc plus ancienne que ce premier vol, en plus d'être soutenue par une certaine expérience dans ce domaine. Par conséquent l'analogie ne tient pas.
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C'est déjà la raison première dans bon nombre d'autres cas, étant entendu que le couple température et/ou densité joue sur la portance et la poussée du (des) moteur(s). Ce n'est donc pas capillotracté du tout... ;)
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Les bombes ne sont pas larguées mais éjectées (avec force). De plus il me semble que l'ordre de largage se fait en croix pour équilibrer les masses au mieux.
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La qualification est acquise de manière triviale par équivalence puisqu'il s'agit d'une Mk-82 avec une fusée d'ogive (même si elle est spéciale) dont l'encombrement, le poids, le centrage et la balistique demeurent comparables à ce qui est connu.
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Oui mais avant il y avait de vrais pilotes, et pas de simples opérateurs système ;) J'ajouterai néanmoins que cette méthode se satisfaisait de l'absence de vue du sol puisque c'était la base du "vol à la ficelle" pour les pénétrations TBA de nuit.
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Il serait aussi temps de penser que la quasi-totalité des missions quotidiennes consistent à entraîner les forces à mener à bien des missions de guerre, et ça se fait nécessairement avec les outils mis à disposition par le contribuable pour faire réellement face aux menaces si d'aventure un ennemi venait toquer à notre porte.
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La place, le poids et les qualités de vol qui en résulteraient.
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Sur les 86 livrés, il y en a 8 qui ont été perdu sur accident. Restent une soixantaine à Nancy, trois à Djibouti, une dizaine à l'AIA en moyenne, une demi-douzaine répartie entre le CEAM et le CEV. J'en déduis qu'il n'y en a pas beaucoup sous cocon ;) L'électronique du -5F n'est pas transposable (ce n'est pas aussi simple que de jouer aux Légo sinon la moindre modification ne coûterait pas une fortune).
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Surtout qu'il est subsonique avec les 2000L...
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Crashs et accidents d'appareils militaires
DEFA550 a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Actualités air
Il me semble avoir déjà lu quelque part qu'il s'agit d'un B747-400 ex Air France, transportant 5 véhicules et que l'accident pourrait être dû à un défaut d'arrimage. -
Non mais les Jaguar avaient une conduite de tir A/S que n'ont pas les -5. L'exercice est tout de suite plus difficile lorsqu'il n'y a aucun "viseur" (entre autres choses).
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Mirage F1 : Récupération Jaguar : Ejection Mirage 2000 : Ejection Rafale : Ejection Mirage III : Ejection (?) Alphajet : Ejection Les maillons sont toujours récupérés parce qu'ils ne peuvent pas être éjectés (vitesse propre très faible, accrochés les uns aux autres)
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Fermez le ban. C'est une réaction caractéristique de ceux qui croient tout savoir mieux que les autres et qui ne comprennent pas un certain nombre de choses dès lors qu'elles viennent contrecarrer une vision idyllique. Si les choses sont ce qu'elles sont, ce n'est pas l'effet du hasard et il est bien péremptoire voire présomptueux de raser gratis les choix du passé pour mieux asséner sa propre idéologie. Ce mec était méprisant et c'est lui faire trop d'honneur que d'accorder la moindre importance à ce qu'il a pu diffuser ici ou là.
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Sauf que la chaleur est générée à l'extérieur des surfaces ; elle sera donc toujours présente. Par ailleurs le radôme et la verrière s'accommodent très mal de tout système accessoire.
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Va donc en parler à Nancy (par exemple), ils t'expliqueront comment essayer de garder tes cheveux... :lol: Le plus gros problème des micro-flottes se fait moins ressentir à l'échelle nationale qu'à l'échelle locale lorsque la disponibilité convertit tes micro-flottes en femto-flottes. C'est à ce moment là que tu te rends compte des difficultés quasi-insurmontables qu'il y a à fournir le nombre voulu d'appareil avec les capacités demandées.
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Pour le coup je suis aller jeter un oeil sur l'article de bubzy et en revoyant la fameuse image je n'ai pu m'empêcher de remarquer l'inscription en haut à droite : TAC A/A 7.8 NM TAC A/A comme TACAN Air/Air ? Auquel cas on sait comment la piste est consolidée, en plus de confirmer qu'il n'y a pas que SPECTRA dans l'équation...
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L'IHM (en français) ne se limite pas à l'affichage. Toute la "boutonique" en fait partie et c'est là que la profusion de modes d'un avion très multi-roles a tendance à compliquer les choses. Si en plus l'IHM en question se démarque des standards habituels, la charge de travail augmente automatiquement du fait du manque de maitrise. Autrement dit, un système innovant optimisé pour réduire la charge de travail moyennant un apprentissage peut s'avérer suffisamment déroutant pour produire l'effet inverse tant que l'apprentissage ne porte pas ses fruits. Or l'apprentissage est réduit à pas grand chose pendant une évaluation puisqu'il s'agit avant tout de savoir ce qu'il est possible de faire et non d'apprendre à le faire le mieux possible.
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Mon problème n'est pas ce qu'il a dit. C'est l'interprétation qui en est faite et selon laquelle SPECTRA seul suffit à acquérir, suivre et désigner une cible. Cette interprétation suppose qu'il a absolument tout dit et que la situation vécue se résume à cette seule phrase. Seulement on ne sait pas ce qui s'est passé avant, ni si les deux appareils étaient en patrouille mixte avant de se "fritter" (infos TACAN), ni s'il y avait une liaison MIDS entre les deux ou avec une tierce partie. L'absence d'informations sur ces sujets devrait inciter à la prudence. Je constate que ce n'est pas le cas et que la crédulité est de mise.