Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

Rochambeau

Members
  • Compteur de contenus

    5 946
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    3

Tout ce qui a été posté par Rochambeau

  1. Vous parlez de celui-ci : Bataille de Kasserine http://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Kasserine
  2. 1918 Les Américains au combat Depuis le 26 juin 1917, date de l'arrivée en France de leur premier contingent à Saint-Nazaire, les Américains mettent progressivement en marche une impressionnante machine de guerre. Au 1er janvier 1918, il y a 150 000 soldats américains en France. Le 11 novembre, ils sont 2 millions sur le front occidental. Au cours de cette même année, leurs unités, instruites dans des camps aux Etats-Unis avant d'être envoyées en France, à l'arrière du front, pour compléter leur instruction sous la direction de cadres français, montent en ligne en Lorraine, dans des secteurs relativement calmes où elles subissent l'épreuve du feu. A cette époque, la France fournit des armes lourdes : environ 230 tanks, 3 000 canons, des milliers d'avions. Commandant en chef des troupes américaines, le général Pershing a, dès l'origine, des instructions claires de son ministre de la guerre, Baker : coopérer avec les Alliés mais en conservant l'intégrité de ses forces jusqu'à pouvoir mener ses propres offensives. Dans cette optique, il s'affranchit peu à peu de la tutelle française et, après bien des pourparlers avec le généralissime Foch, il peut créer officiellement, le 10 août 1918, la 1re armée américaine dont le G.Q.G. se situe à Chaumont (Haute-Marne). En convois maritimes, protégés par leur marine commandée par l'amiral Sims, les Américains arrivent en France au printemps 1918, au rythme de 200 000 par mois. Prêtes, attendant d'être réunies en une armée capable d'opérer seule, les unités de Sammies (soldats américains) vont être jetées par fractions dans la fournaise, lorsque de dangereuses poussées ennemies, déclenchées le 21 mars 1918, imposent de soutenir d'urgence les troupes françaises et britanniques. Toute l'infrastructure du Service of Supply (camps, dépôts, lignes de communication, transports) fonctionne alors à plein rendement et les effets de la "marée montante" américaine contribuent puissamment à précipiter l'ennemi vers sa perte. Du 28 mai au 31 juillet se déroulent les opérations de la poche Aisne-Marne et de la deuxième bataille de la Marne, à Bouresches, Bois Belleau, Château-Thierry, Fère-en-Tardenois, Nesles, Fismes, etc, où s'illustrent notamment la 2e division d'infanterie américaine (D.I.U.S.) et la brigade de marine. Dès le 28 mai, la 1re D.I.U.S. attaque le long de l'Aisne en concentrant ses efforts sur le village de Cantigny, à l'est de Montdidier, qu'elle enlève le jour même, au prix d'importantes pertes (plus de 1 000 tués ou blessés). Début juin, la 3e D.I.U.S. réussit à empêcher les troupes d'assaut allemandes de traverser la Marne pour s'emparer de Château-Thierry. La 2e D.I.U.S., qui avait reçu l'ordre de relever la 1re D.I.U.S. à Cantigny, s'empare de Bouresches. Les Marines (5e et 6e Régiment de fusiliers marins) libèrent entièrement le bois Belleau, situé légèrement à l'est de Château-Thierry, entre le 6 et le 25 juin, malgré leur infériorité numérique. La bataille est considérée aujourd'hui comme le premier engagement majeur et l'événement fondateur de la réputation des Marines. Dans ses mémoires, le général Pershing analyse cette participation aux combats: " Les trois divisions américaines qui, pour la première fois, avaient pris part à des combats, s'étaient toutes distinguées : la 1re à Cantigny, la 2e au bois Belleau, la 3e à Château-Thierry. Leur conduite au feu faisait présager tout ce que pourraient accomplir des troupes américaines entraînées ". (Général Pershing, Mes souvenirs de guerre, Librairie Plon, 1931) D'août à octobre, les armées alliées étendent le théâtre des combats dans la Somme, l'Artois et les Flandres. Là se distinguent les 27e, 30e, 33e, 80e D.I.U.S. Avec sa 1re armée, Pershing lance l'offensive franco-américaine qui, du 12 au 14 septembre, réduit le saillant de Saint-Mihiel, dans la Meuse : 15 000 ennemis sont faits prisonniers. La victoire est rapidement acquise grâce notamment aux chars, aux canons et aux avions prêtés par le commandant en chef des armées françaises. Elle est également facilitée par l'épuisement d'un adversaire qui a raccourci son front par une retraite vers sa ligne Hindenburg, entre Etain et la Moselle. Lors de l'attaque, les chars sont commandés par un officier dont la renommée allait éclater en 1944 : Patton, alors colonel. Le 25 septembre, l'offensive des 4e armée française (général Gouraud) et 1re armée US démarre avec les Ardennes pour objectif. Les Américains nettoient l'Argonne, dégagent Verdun, montent vers le Nord de part et d'autre de la Meuse, au prix de combats acharnés et d'un piétinement qui amènent le maréchal Foch à faire appuyer cette progression par l'apport de renforts français à partir du 1er octobre. Le 3, les 2e et 36e D.I.U.S. s'emparent de la redoutable crête du Blanc Mont. Selon Leonard Ayres, chef du service statistique de l'armée américaine, les pertes du corps expéditionnaire pendant la campagne d'Argonne s'élèvent à environ 22 000 morts, soit près de la moitié des pertes totales américaines pendant la Grande Guerre. Le 12 octobre, une deuxième armée américaine est créée, puis une troisième, le 7 novembre. Les Américains atteignent Sedan le même jour. Les Français franchissent la Meuse, à Vrigne, le 10, en combattant furieusement tandis que plus au nord, vers Rocroi, ils entrent en Belgique. L'armistice est demandé le 9 par l'Allemagne. Le général Pétain avait préparé une grande offensive en Lorraine, prévue pour le 14 novembre 1918, et qui devait mener les troupes franco-américaines jusqu'en Allemagne. Mais elle est abandonnée car, contre son avis et celui du général Pershing qui souhaitaient que la signature de l'armistice n'intervienne pas avant que l'ennemi ne soit rejeté au-delà du Rhin, le général Foch et Clemenceau acceptent la demande allemande et signent l'armistice, le 11 novembre. Le 21 novembre, les Américains entrent à Luxembourg, capitale libérée du Grand-Duché, puis pénètrent en Rhénanie, le 23. Par la vallée de la Moselle, ils atteignent le Rhin et Coblence, le 9 décembre. Le 14 juillet 1919, ils défilent avec tous les Alliés, sous l'Arc de Triomphe à Paris, lors des fêtes de la Victoire. Au cours de la guerre, sur les fronts de France, de Belgique et d'Italie, plus de 50 000 Sammies ont été tués au combat ou sont décédés à l'hôpital des suites de blessures. Des dizaines de milliers d'autres sont morts de maladie ou victimes d'accidents. En janvier 1919, à l'ouverture du négociations de Versailles, Wilson fait valoir ses vues : réduction des armements, libération des colonies, liberté de circulation en mer et surtout création de la Société des Nations destinée à garantir la paix et les nouvelles frontières européennes. Mais le Sénat américain refuse, en novembre 1919, de ratifier le traité de Versailles, inaugurant le retour à l'isolationnisme des Etats-Unis d'Amérique, qui ont su prendre le relais d'une Europe défaillante économiquement et financièrement. Source : http://www.cheminsdememoire.gouv.fr/page/affichepage.php?idLang=fr&idPage=13426
  3. Rochambeau

    Eurosatory 2008

    Le Salon Eurosatory 2008 Aravis : le franchisseur hyperblindé de Nexter Pour accéder au nouveau véhicule de Nexter, l’Aravis (site montagneux dans les Alpes), il faut franchir un sas de sécurité. Et surtout ne pas prendre la bête de trop près en photo. Car ce nouveau véhicule de 12,5 tonnes, dont l’idée est née il y a deux ans, a vu le jour dans le plus grand secret. Y compris chez Nexter, où certains l’ont découvert seulement samedi dernier. Aux allures de bull dog, l’Aravis s’appuie sur un châssis Unimog 5 000 Mercedes qualifié militairement, et dont le maintien en condition opérationnelle ne sera pas un problème (le rechange existe déjà). Le protection de l’engin (niveau 4 Otan), qui peut emporter huit hommes, est son principal atout : essayé à Bourges, il résiste à 50 kg de TNT sous forme d’IED (la porte s’ouvre après l’explosion). Deux véhicules de présérie existent avec des cibles à l’export et la volonté d’intéresser le marché national. Sans être monté en kit, l’Aravis, si un client en commande une quantité suffisante, pourra être assemblé à l’étranger. En fonction des besoins du client, la protection peut être renforcée (protection active...). Diesel (100 km/h pour 750 km d’autonomie), il est aérotransportable (C130, A400, C17). A l’intérieur, l’impression d’espace domine. Les écrans de contrôle, reliés à des caméras indépendantes, permettent à l’équipage de surveiller les abords du véhicule. RTD mise sur le Sherpa Fort du succès de son véhicule Sherpa 3, commandé par la Gendarmerie et la Namsa (Otan), Renault Trucks Defense (RTD) a décliné son véhicule en différentes versions : une version surprotégée, dénommée HI (pour Haute Intensité), munie d’une protection 2A/B stanag Otan contre les mines, et niveau 3 pour la caisse. Cette protection accrue est rendue possible par la charge utile de 3 tonnes, qui du coup passe à 1,5 tonne. Autre version, réservée aux forces spéciales, avec une caisse ouverte et une charge utile de 3 tonnes. Le véhicule aurait été confié pendant deux mois au 1er RPIMa, qui aurait émis quelques remarques prises en compte par RTD. Autre véhicule intéressant, le Sherpa 5 MRAP. Avec une protection élevée (niveau 3) et une caisse en “V”, la charge utile a été réduite à 6 tonnes. Muni d’un châssis de camion civil, le coût tant d’acquisition que de maintien reste contenu. Les premières livraisons du Sherpa 3 pour la Namsa interviendront cet été, et l’ensemble des véhicules commandés à RTD (au total près d’une centaine, Sherpa 3 et Kerax 4X4; 6X6 et 8X8) le seront avant la fin de l’année. Ces véhicules opéreront en Italie, en Allemagne et aux Pays-Bas. Quelques Sherpa pourraient être envoyés en Afghanistan. Inde : Nexter et MBDA se positionnent Le Salon Eurosatory a été l’occasion pour la firme française Nexter de proposer son système Caesar dans le cadre de l’appel d’offres indien pour un système d’artillerie de 155 mm/52. Nexter serait disposé à effectuer un transfert global de technologie à l’Inde sur l’ensemble du système, après accord du gouvernement français. Rappelons que l’artillerie est le véritable talon d’Achille de l’armée de terre indienne, qui, en 2007, ne s’était pas déclarée satisfaite des essais réalisés sur les systèmes analogues des constructeurs Bofors et Soltam. En avril 2008, les firmes BAE Systems et Singapore Technologies (ST) ont proposé leurs systèmes respectifs M777 et Pegasus de calibre 155 mm/39. La phase d’essais devrait commencer en 2009. Dans le domaine des missiles, le consortium MBDA devrait coproduire un système SAM de dernière génération avec le DRDO (DGA indienne) et le missilier indien Bharat Dynamics Limited. L’expérience réussie du Brahmos semble avoir convaincu New Delhi des avantages liés au codéveloppement et à la coproduction dans le domaine des missiles, d’autant que le système de défense antiaérienne indien, basé sur les SA-3 Goa et SA-8 Gecko d’origine soviétique, est aujourd’hui obsolète. Baptisé Maitri (bienveillance en sanskrit), le système devrait équiper les trois forces et être produit à plus de 1 000 exemplaires. Les petits calibres Les visiteurs d’Eurosatory n’ont pas trouvé de grandes nouveautés dans le domaine des armes de petit calibre. A signaler, toutefois, la nouvelle gamme de semi-automatiques pour emploi militaire et/ou de police du brésilien Taurus (pistolets série 800 en calibre 9 mm Parabellum, 40 S&W et 45 ACP), qui exposait également le pistolet-mitrailleur MT9 sur projet chilien FAMAE. Autre arme attirant l’attention : le nouveau fusil d’assaut croate Type VHS à configuration «bull pup» en calibre 5,56 mm Otan. Au détour de l’allée centrale, le nouveau modèle finlandais pour sniper TRG-42FS chambré en 338 Lapua Magnum trouvera vraisemblablement preneur. Tout comme le shotgun italien Fabarm Ultra Short en calibre 12, ou le lance-grenades bulgare de 40 mm Arcus 50M3 SGL. Deux derniers systèmes sont intéressants sans, cependant, renouveler les technologies : le mono-coup de sniping lourd sud-africain Truvelo en 20 x 110 mm et le fusil d’assaut italien Beretta ARX160 en 5,56 mm Otan. Développé dans le cadre du programme “Soldat du futur”, ce dernier est proposé par le fabricant italien avec le module lance-grenades GLX160 de 40 mm, qui s’intègre parfaitement au fusil d’assaut, mais qui peut être utilisé également en configuration «Stand Alone», avec poignée pistolet, crosse télescopique à quatre positions de réglage, alidade de visée pour le tir courbe jusqu’à 400 mètres, et rail Picatinny pour le montage d’accessoires d’aide à la visée. Spy Arrow, @simov, Spectre L’espace “innovation” du Gicat à Eurosatory met à contribution l’ensemble des industriels. Thales y expose le Spy Arrow, un mini-drone de moins d’un kilogramme pour la reconnaissance. Par ailleurs, le pavillon Thales abrite une solution de concept car (@simov) pour les véhicules de combat rapproché. Cet outil de simulation peut générer l’interaction entre plusieurs plates-formes avec des fantassins et des drones. Enfin, dans le domaine de la protection des forces basées au sol, le Spectre, démonstrateur de système de contrôle de zone locale, en développement depuis plusieurs années, pourrait entrer dans sa phase de réalisation. Polymères : l’émergence du Kevlar XP La société DuPont, basée à Genève, a annoncé le lancement de DuPont™ Kevlar® XP™, une nouvelle technologie composite brevetée qui offre une protection contre les balles et les traumatismes et rend les gilets pare-balles plus confortables. Les tests réalisés par DuPont ainsi que des laboratoires indépendants indiquent qu’avec Kevlar® XP™, les balles sont systématiquement arrêtées dans les trois premières couches du gilet, qui en comporte 11 au total. Kevlar® XP™ offre généralement une réduction de 15 % de la déformation de la face arrière et un gilet au moins 10 % plus léger, qui protège contre la menace de niveau IIIA (la plus sérieuse) du National Institute of Justice (NIJ) : une balle de 44 Magnum. Kevlar® XP™ sera initialement disponible dans des gilets pare-balles, mais DuPont travaille déjà sur d’autres applications balistiques futures, ainsi que sur des produits destinés à d’autres secteurs comme les blindages. DuPont a également engagé des ressources supplémentaires afin de répondre à la demande croissante de fibre Kevlar®, en investissant 500 millions de dollars dans l’accroissement de la production de Kevlar®, un projet comportant plusieurs étapes qui doit être achevé d’ici à 2010 et qui constitue le cinquième investissement majeur de l’entreprise en sept ans. Hutchinson incontournable Les chaînes de production de la société Hutchinson marchent à plein. La société française équipe les 15 000 véhicules MRAP commandés par l’armée américaine (véhicules Buffalo, Cougar...). La branche défense de la société s’est spécialisée dans les roues militaires et offre des roues en aluminium ainsi que le dispositif de roulage à plat, permettant au véhicule de continuer à évoluer malgré une crevaison (système VFI). L’utilisation de l’aluminium permet un allègement du poids du véhicule pour une charge utile plus importante (consommation en baisse). Associés au système de roulage à plat, ces matériaux sont particulièrement efficaces contre les IED, en encaissant le plus gros de l’effet explosif (accélération réduite de 50 % entre une roue acier et aluminium). Malgré un nom très américain, la société française (500 personnes travaillent sur l’activité défense, dont 300 en France) est devenue le leader mondial dans son segment, tandis que l’utilisation de ces composants pour les roues est devenue la règle pour les armées depuis plus de deux ans, notamment en raison des attaques IED. Résultat : l’ensemble des véhicules en sont équipés, du PVP au VBCI ou Stryker américain. En Bref... La Biélorussie refoulée Les industriels biélorusses n’étaient pas les bienvenus sur le Salon. Selon la version offi­cielle, Minsk n’aurait pas effectué les démarches nécessaires pour les accréditations. Officieusement, il semble que le Quai d’Orsay ne souhaitait pas la présence au Salon de représentants de la dernière dictature en Europe, haut lieu pour les trafics d’armes. La Russie en retrait Un peu perdu, le pavillon russe n’a pas grand-chose à présenter cette année. A l’exception, peut-être, de son véhicule “Tigre” (Arzamas Machinery) destiné aux forces du ministère de l’Intérieur. On a le sentiment que Rosoboronexport privilégie les salons aéronautiques. Sagem vise les États-Unis En s’associant avec L3 Communications sur le système RT-SAARTS (Real Time - Situation Awarness Airborne Targeting System), la société française vise le marché américain et serait en discussion avec le Marine Corps. Le système associe les jumelles de Sagem au BDMS (Battle Dismounted Management System). Il permet au TAC-P opérant au sol, proche de la cible, de transmettre au cockpit de l’aéronef l’imagerie, afin de faciliter le traitement de la cible pour le pilote, qui n’opère plus “à l’aveugle”. Détection de tir La société israélienne d’Etat Rafael a présenté son système SpotLite de détection électro-optique. Son emploi concerne la détection de tirs de snipers, mais pas seulement. Tout tir (RPG, obus...) est immédiatement détecté permettant la destruction de la source. Il dispose d’une version portable et peut aussi être intégré à un véhicule blindé. Le système fonctionne avec des piles rechargeables avec une plage de détection supérieure à 1 000 mètres, selon l’industriel.  Insensible Chez Nexter Munitions, les ingénieurs ont trouvé la parade à la formule “mettre le feu aux poudres”. Avec leur concept de munitions insensibles (munition de 155...) capables de résister à un tir de RPG, la sécurité logis­tique des stockages ne devrait bientôt plus être un problème. Starstreak : carnet de bord Le maître mot de Thales sur le Salon était la présentation de solutions clés en main. Certaines sont assez originales pour ce qui concerne le combat de contact, comme le système Starstreak à guidage laser. Il s’agit d’un outil volant disposant de trois charges contre tout type d’objectif. Cabines blindés Depuis son retrait du marché des camions PPT, la société allemande MAN mise désormais sur les cabines blindées armées de tourelles téléopérées. L’engin présenté était le SX45 en 2X2. Le Jam-Air de Rafael Chez Rafael, un peu à l’écart des produits phares (famille Spike...), on trouve le système de contre-mesures Jam-Air. Une petite boîte destinée à la pro­tec­tion des hélicoptères. Le Jam-Air, qui intéresse Eurocopter, est déjà présent sur le système Helistar, qui comprend le détec­teur de départ de missiles MILDS (EADS). D’un poids de 27 kg, il a une capacité d’action dans un rayon de 5 km. Le Teorem de Thales Thales présente son téléphone sécurisé Teorem, destiné aux autorités gouvernementales et à la présidence de la République. Fonctionnant avec une carte SIM classique et pouvant appeler n’importe quel autre mobile, le système peut être relié à un PC pour transférer des données avec un chiffrement qui, selon l’indus­triel, est incassable. Le télé­phone est en cours de finalisation. Le WASP Panhard et Sagem ont développé le WASP (Weapon under Armor for Self Protection), un tourelleau d’autodéfense téléopéré, équipé d’une mitrailleuse légère couplée à une lunette d’observation et de visée infrarouge. 2R2M : succès à l’export Le mortier 120 mm de TDA, inséré dans un véhicule (VAB ou M113), rencontre ses clients exports. Après Oman, le système aurait été choisi par un autre client du Moyen- Orient. La société serait en discus­sion avec un pays d’Asie et un autre européen. Avec une résis­tance au recul, le système 120 mm fonctionne à 360 degrés pour un chargement automatique qui offre une portée de 13 km et permet une mise en œuvre très rapide. Source : http://www.ttu.fr/francais/Dossiers/eurosatory2008.html
  4. Ben, en fait les trois civilsations que j'ai cité se sont fait battre par les espagnols aux environs du XVIème siècle. Alors forcément ils n'ont même pas eu le temps de comprend ce qui se passe ... Ensuite la topographie du continent américain de cette époque ne pouvait permettre se genre d'utilisation de la cavalerie ...
  5. Ben, oui forcément pas de cavalerie Les civilastions Amérindiens comme ceux des Incas, Aztèques ou Mayas les plus a même de développer se genre chose ne l'ont pas fait. Ah d'accord ...
  6. Hola, hola ... Franchement n'importe quel armée aurait eu des difficultés dans cette guerre. De toute manière seul les Etats-Unis peuvent faire et supporter se genre de guerre à l'heure actuel au monde ... Enfin, si les Etats-Unis trouvent la soultion a ce petrin je vois absolument pas où est le problème ! Tant mieux même ! Oui, Zamorana a exprimé trop fort sa façon de penser ... mais bon Zamorana :lol:
  7. Hérétique ! Vade retro, satanas ! :lol: Eh bien, allez voir "Astérix aux jeux Olympiques" ... c'est se qu'on appele un film débile et c'est made in France :lol: :-\ :'( Dans mes souvenir les civilastions et tribu amérindiens n'avaient pas de cavalerie LE CHEVAL ET LES AMERINDIENS Le cheval éleva ainsi l’Indien des plaines au rang de cavalier, cela amena une véritable révolution culturelle. Acquis par des trocs ou des vols, le cheval transforma en chasseurs intrépides et en farouches guerriers des nomades habitués aux longs parcours pénibles. Voici le descriptif du changement : L'ORIGINE DE L'ARRIVER DU CHEVAL Les espagnols débarquèrent sur le nouveau continent avec leurs chevaux appeler Andalous (mélange de sang barbare, napolitain et espagnol). Les Espagnols installèrent les chevaux dans des bâtiments fermés. Mais au cours des attaques indiennes, beaucoup de ces chevaux s’échappèrent et redevinrent sauvages. La plus grosse échappée fut en 1680 lors de la rébellion des pueblos. Les Espagnols furent chassés du nouveau Mexique et laissèrent beaucoup de chevaux derrière eux. C’est ainsi que les Indiens purent en acquérir. Au fil du temps leur morphologie se transforma afin de s’adapter à leur nouvel environnement. Ils devinrent plus petit, plus robustes et très nerveux c’est ainsi qu’on les appela les mustangs. CHANGEMENT DE VIE LA CHASSE : Avant les Indiens des plaines d’Amérique du nord chassaient le bison avec différente ruse pour les envoyer vers les précipices dans lesquels beaucoup de bêtes tombaient. Mais ils en tuaient plus qu’il n’en fallait pour la tribu. Mais lors de l’arrivée des chevaux ils tuèrent que le strict nécessaire. Ils faisaient galoper leur monture le long du bison et lui apprenait est s’en écarter des qu’ils avaient décoché leurs flèches. Malgré les grandes précautions qu’ils prenaient, il arrivait parfois que l’animal blessé se retourne et charge le cheval et l’éventre. Il y avait plusieurs façon de chassé le bison a cheval. Ils décochaient une flèche et celle-ci transperçaient le bison ou parfois même elle disparaissait dans le corps de l’animal. Certains chasseur préférait se servir de lances d’autres sautaient depuis leur monture sur le dos de l’animal pour l’égorger. TRANSPORT : Les chevaux servaient aussi à transporter les tipis qui étaient tirés par les chiens avant. Du coup les tipis on put être plus grand et abriter plus de personnes. LES GUERRIERS : Ils se mirent à se voler les montures d'une tribu à l'autre. Un bon voleur de chevaux pouvait acquérir autant de prestige qu’un guerrier au combat car les meilleurs chevaux étaient très souvent attachés près des tipis des propriétaires. Le voleur devait donc pénétrer seul dans le camp pour ramener les bêtes vers ses compagnons restés plus en arrière. Les tribus qui pratiquaient énormément c’est raids était les Crows, les Crees, Gros Ventres, Assiniboines et Sioux Mais ils capturaient aussi les chevaux sauvages qui leur servaient pour mener des raids plus rapides et plus nombreux. Les Indiens n’allaient pas chercher les chevaux que dans les tribus, ils capturaient aussi les chevaux sauvages qui leur permettaient de mener des raids plus rapides et plus nombreux. Certaines tribus possédaient des troupeaux de plusieurs milliers de tête. LES ECHANGES : Le don de chevaux valait beaucoup de prestige au donateur et une satisfaction personnelle a la personne qui le recevait. Plus un homme pouvait faire un cadeau d’un grand nombre de chevaux, plus il était considéré comme quelqu’un de riche. La valeur du cheval variait d’un animal a l’autre cela dépendait de ses qualités, de sa rareté, de son age, des régions et du nombre de chevaux disponibles dur le territoire. On échangeait les chevaux contre des vêtements des fusils, des bijoux etc. Le nombre de chevaux possédés représentait le statut social d'une famille. Une famille riche pouvait en posséder 30 à 50. On attendait des riches qu'ils prêtent des chevaux aux pauvres. LES CEREMONIES : De nombreuses cérémonies religieuses faisaient référence à l'impact du cheval dans la vie des Indiens. Une des plus intéressantes était le culte du médecin -cheval pratiqué par la plupart des tribus des plaines. Par exemple : La tribu Oglala dans le Dakota avait élaboré un culte du " horse medecine " Ils imitaient par une danse le cheval. Les Oglala utilisaient ce culte pour influencer les courses, pour soigner les chevaux malades ou blessés, calmer un cheval capricieux ou pour que les poulinières ait de beaux petits. Les " horse medecine " hommes ou femmes étaient parmi les membres les plus respectés de la tribu. LES SACOCHES : Certains amérindiens fabriquèrent des sacoches. Ils utilisaient de la peau d’antilope de daim ou de bison. Dans un premier temps la peau était séchée grattée puis frotté avec de la cervelle d’animal. Ensuite on taillait un rectangle puis il rabattait vers le milieu les bords droit et gauche. Apres on cousait le tout ensemble avec le fond puis fessait une ouverture dans chaque pan de la sacoche et on y glissait de la poussière pour la mise en forme pendant le second séchage. Chaque pan était terminé par des franges. Pour la décoration on appliquait des bandes de flanelle rouge sur lesquelles étaient cousus ou peints des motifs géométriques. Ils mettaient aussi des bandes de peau perforées peintes de lignes ou de larges cercles. Ces sacoches étaient la seule partie du harnachement confiée aux femmes et chaque guerrier avait ses motifs et couleurs préférés comme décoration sur ses sacoches. On savait donc toujours à qui elles appartenaient. Elles étaient destinées à transporter tout ce dont le guerrier avait besoin durant son raid : nourriture, munitions plus particulièrement. LA SELLE : Dans un premier temps les Indiens montaient à cru c'est-à-dire sans selle. Parfois il posait simplement une peau de bison sur le dos de la monture. Plus tard, il utilisa un cousin de peau rembourré de poils. Après plusieurs années les Indiens fabriquèrent des selles. L’arçon c'est-à-dire l’ossature de la selle était faite en corne d’animal et en bois. L’avant et l’arrière étaient très haut mais les hommes préféraient utiliser soit les cousins soit une selle a l’avant et au dossier moins haut pour ne pas êtres gênés pendant la chasse ou la guerre. Une peau brute enveloppait l’arçon pour maintenir l’ensemble. Parfois ils positionnaient une peau de bison en travers sur le siège pour plus de confort. Les croupières, poitrails et étriers pouvaient aussi être ornes de broderies. Avant l'apparition du mors, une corde en cuir cru passait dans la bouche du cheval, enserrant sa mâchoire inférieure. Les deux extrémités de cette longue corde formaient les rênes. La technique employée par les Sioux pour dresser un cheval alliait la rapidité à la rudesse et à l'efficacité. Les poulains ne subissaient pas d'entraînement avant l'âge de trois ans. Il était plus facile, à ce que l'on croyait, de les dresser avant cet âge, il était prouvé que les poulains de plus de trois ans se montraient plus robustes et plus disciplinés. Cela n'empêchait cependant pas les garçons d'entraîner des Yearlings, et chose curieuse, ces jeunes animaux avaient la réputation de coursiers rapides et endurants. La première étape du dressage consistait à passer autour du cou de l'animal un nœud coulant tandis qu'un homme s'asseyait sur sa tête. Une fois le cheval immobilisé par une longue corde retenue par deux ou trois hommes, celui qui était sur sa tête se levait en prenant soin d'éviter les coups de pieds, ceci avait pour effet de faire se lever l'animal, réaction que les hommes contrôlaient souplement à l'aide de la corde. Tandis que le cheval se défendait, les hommes l'emmenaient progressivement vers le cercle du campement ; c'est alors qu'après avoir enroulé la corde plusieurs fois autour de ses jambes, les hommes tiraient d'un coup sec pour faire basculer le cheval à terre. Dans le même temps, l'un des hommes sautait sur lui tandis que les autres attachaient une jambe de devant à la jambe gauche de derrière. A chaque fois que le cheval essayait de se lever, il en était empêché par cette entrave et cela jusqu'à ce qu'il fût épuisé. Quand en fin de compte il se laissait aller, allongé sur le sol, trop faible pour lutter, les hommes lui donnaient de petits coups de poing sur tout le corps et plus particulièrement sur le cou, les oreilles et le dos. Après l'avoir tapé consciencieusement, ils posaient une couverture sur le dos de l'animal. Celui-ci, reprenant alors courage, sautait pour essayer de se débarrasser de cette couverture, mais ses entraves le faisaient tomber à chaque mouvement. Quand le cheval n'avait plus assez de force pour s'en débarrasser, l'un des hommes s'approchait et sautait sur son dos. Il plaçait avec la plus grande précaution un licol autour de sa tête ; dès que l'animal s'habituait à celui-ci comme à son cavalier, les hommes recommençaient à le frapper, à lui donner de petits coups de poing, à le flatter et à lisser sa robe. Puis, avec mille précautions, on enlevait les entraves. Le cheval se mettait alors à trotter en supportant son cavalier. Ceci pouvait demander une journée : quelques chevaux particulièrement récalcitrants exigeaient deux jours de dressage. Mais dans tous les cas, la technique des Sioux avait prouvé son efficacité. Ils avaient les chevaux les mieux entraînés, les plus efficaces et les plus endurants. Source : http://www.culture-amerindiens.com/categorie-134998.html
  8. Franchement je ne vois pas ou, les états-uniens on une culture débile. On n'est pas mieux ... avec notre nombrilisme =D .(Tiens, récemment un jeune français qui sortait du bac a dis que les bombardements atomiques de Hiroshima et Nagasaki c'étaient pendant la première guerre mondiale. :lol:) http://fr.wikipedia.org/wiki/Culture_am%C3%A9ricaine#Vers_une_culture_am.C3.A9ricaine Ensuite il faut dire que la France et surtout les français n'ont absolument rien fait pour changer à cette histoire. Au contraire certain acteur français, politique et "élite" participent a cette mascarade.
  9. Où ai-je parlé de pinard et bouffe ? (c'est bien les seules choses qui nous unifient) :lol: ;)
  10. Je viens de voir "Elizabeth", enfin le premier ... vous pouvez pas imaginer ma surprise en voyant Vincent Cassel* dans se film ! Justement voilà le problème ... Cassel joue Henri d'Anjou. Pourquoi ? Eh bien, de : 1) Représenter Henri d'Anjou d'une manière très caricaturale et dans faire un travesti à ses heures perdues. Je dois applaudir le subtile french-bashing ... vous êtes des artistes (c'est d'un autre niveau que les états-uniens). D'abord, un prince ne se conduit pas de cette manière surtout que ce même prince a fait l'une des plus belle cour d'Europe. Et pour le fait que Henri III se travestissait, c'est effectivement vrai (d'ou la subtilité) mais Henri d'Anjou ne le faisait qu'au carnaval avec ses potes. 2) C'est ballot ... Henri d'Anjou n'a jamais mis les pieds en Angleterre. 3) C'est François d'Anjou ou si vous préférez François d'Alançons, qui est parti en Angleterre. D'ailleurs c'est lui que Elizabeth Ier appelait "sa grenouille" (oui, le pauvre François n'était pas gâté par la nature) Sinon à part cela, c'était un film plaisant. *En plus, Cassel à la chance d'être le mari de l'une des plus belle actrice européenne (chercher l'erreur =()
  11. Pas de troupes japonaises en Afghanistan dans l'immédiat Le Japon ne prévoit pas d'envoyer des troupes terrestres en Afghanistan dans l'immédiat mais le gouvernement étudie une telle possibilité, a déclaré le Premier ministre japonais, Yasuo Fukuda. M. Fukuda a souligné que le Japon ne pouvait envoyer de troupes à l'étranger à sa guise en vertu de sa Constitution pacifiste héritée de la défaite lors de Seconde guerre mondiale, lors d'une interview accordée à des agences de presse des pays du G8, dont l'AFP. "Par conséquent nous ne prenons pas part aux opérations terrestres en Afghanistan", a déclaré M. Fukuda. Le gouvernement japonais avait déclaré récemment qu'il pourrait envoyer une mission d'inspection en Afghanistan pour étudier l'envoi de troupes sur place. Les Etats-Unis, qui conduisent la coalition internationale engagée en Afghanistan dans le cadre de la "guerre contre le terrorisme", demandent régulièrement à leurs alliés d'y envoyer des soldats pour participer à la lutte contre l'insurrection des Talibans. Le Japon est l'un des principaux contributeurs de l'aide internationale à la reconstruction de ce pays ravagé par la guerre, avec 1,3 milliards de dollars de don (840 millions d'euros) depuis la chute du gouvernement des Talibans en 2001. Tokyo n'entretient aucune troupe sur place, mais des navires des forces d'auto-défense japonaises apportent dans l'Océan Indien un soutien logistique aux armées internationales en mission en Afghanistan. Source : http://www.aujourdhuilejapon.com/informations-japon-pas-de-troupes-japonaises-en-afghanistan-dans-l-immediat-4686.asp?1=1 Source : http://www.aujourdhuilejapon.com/actualites-japon-un-destroyer-japonais-appareille-pour-la-chine-une-premiere-depuis---4713.asp?1=1 Un soldat US condamné à 8 ans de prison au Japon Un marin de l'US Navy a été condamné à huit ans de prison au Japon pour tentative de meurtre à l'encontre de deux Japonaises, a annoncé une source judiciaire. Le marin, âgé de 20 ans, a été reconnu coupable d'avoir poignardé une adolescente de 16 ans et une femme de 26 ans en juillet, apparemment parce que l'adolescente avait refusé ses avances. La plus âgée avait été grièvement blessée et la plus jeune s'en était tirée avec des blessures légères. Le marin avait été arrêté le jour même près de la base navale américaine de Yokosuka (sud de Tokyo), la plus grande base de l'US Navy à l'étranger. Il a été condamné à huit ans de prison par un tribunal de Yokohama (région de Tokyo), a annoncé une source judiciaire. La police n'a pas révélé le nom du condamné qui, ayant moins de 20 ans au moment des faits, était considéré comme mineur selon la loi japonaise. Ce jugement intervient alors que plusieurs affaires criminelles impliquant des militaires américains ont récemment défrayé la chronique au Japon. Un Marine a été condamné en mai à quatre ans de prison dont trois ferme pour abus sexuel contre une adolescente de 14 ans sur l'île d'Okinawa (sud), une affaire qui avait suscité la colère de la population. Trois autres Marines ont été condamnés à des peines allant de 15 mois à 2 ans de prison, en cour martiale en mai et juin, pour des "actes indécents" commis en réunion sur une Japonaise à Hiroshima (ouest). Fin avril, un marin de l'US Navy a été inculpé pour le meurtre d'un chauffeur de taxi à Yokosuka (région de Tokyo). Quelque 40.000 soldats américains sont basés dans l'archipel au nom d'un accord de sécurité entre les Etats-Unis et le Japon. Source : http://www.aujourdhuilejapon.com/informations-japon-un-soldat-us-condamne-a-ans-de-prison-au-japon-4720.asp?1=1 Source : http://www.aujourdhuilejapon.com/informations-japon-la-secretaire-d-etat-americaine-rice-au-japon-pour-une-reunion-du-g--4780.asp?1=1 Accord Chine-Japon pour exploiter un gisement de gaz disputé La Chine et le Japon sont parvenus à un accord pour développer conjointement un gisement de gaz qu'ils se disputent depuis des années en mer de Chine orientale, a annoncé le gouvernement japonais. L'accord porte sur le champ gazier de Chunxiao, que les Japonais appellent Shirakaba, et qui est déjà exploité par les Chinois, a indiqué le ministère des Affaires étrangères japonais dans un communiqué. Ce gisement renferme des réserves exploitables de 63,8 millions de barils équivalent pétrole, sur un total de 3,26 milliards de barils pour l'ensemble de la mer de Chine orientale, selon des études chinoises et japonaises. "Pour faire de la mer de Chine orientale une mer de coopération et d'amitié, la Chine et le Japon ont accepté de coopérer", indique le communiqué japonais. Ce texte ne fait aucune allusion aux trois autres gisements de gaz encore disputés dans la région, ni à la question de la frontière maritime entre les deux pays. "Nous avons accompli un premier pas en avant et poursuivrons les négociations", se contente d'affirmer le communiqué. Chunxiao, appelé Shirakaba en japonais, se trouve juste à l'ouest d'une ligne située à environ 450 km au large de l'archipel japonais d'Okinawa et revendiquée par le Japon comme la frontière de ses eaux territoriales. Tokyo soupçonnait depuis longtemps Pékin de profiter de sa présence à Chunxiao pour siphonner du gaz se trouvant du côté japonais de la frontière. Pékin ne reconnaît pas cette ligne de démarcation, arguant que ses droits économiques s'étendent pratiquement jusqu'à Okinawa. Source : http://www.aujourdhuilejapon.com/actualites-japon-accord-chine-japon-pour-exploiter-un-gisement-de-gaz-dispute-4707.asp?1=1
  12. Quoi ! Les chinois aussi se mettent au french-bashing :lol:
  13. En faites ... il y a combien de film historique qui sort en Europe ? Parce que récemment "ALATRISTE" est le seul dont j'ai entendu parlé ... (qu'on ne me parle pas de "Indigène" >:()
  14. Ah, la fameuse arrogance occidental ... :lol: -La Femme est notre propriété ; nous ne sommes pas la sienne... -Les femmes quand on n'y pense pas,on n'en a pas besoin. Napoléon Bonaparte
  15. Hola, hola ... Je n'ai pas dis que le film était de mauvaise qualité ... en plus j'ai pas vu le film. Mais il n'est pas rare qu'au cinéma européen que se sont les salaires versés aux acteurs qui engouffre comme vous dites le budget d'un film ... ;)
  16. Eh ben, vous devez être vraiment impatient pour le 3 juillet, pour vous mettre a parler de la socièté française ... :lol: Euh ouais ... seul les mots ont changé ... Et un francophobe ... mais bon nul n'est parfait.
  17. Il a couté cher aussi parce que la personne qui joue le rôle du héro est un acteur en vogue depuis un film qui avait comme trame principal la détruction d'un anneau. :rolleyes:
  18. Euh Zamorana il n'y pas de quoi a envier la Chine surtout qu'elle souffre des mêmes maux .... http://www.cefc.com.hk/fr/pc/articles/art_ligne.php?num_art_ligne=8601 http://www.chine-informations.com/actualite/chine-demographie-les-filles-sacrifiees-dasie_6092.html Le poids démographique de la Chine dans la population mondiale induit une disparité dans les années qui viennent : la situation porte atteinte au droit à naître des filles. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Droit_%C3%A0_na%C3%AEtre_des_filles
  19. Le dollars voyons ! =D Mouais ... lorsque je vois combien a couté cette toussa bouze toussa de "Astérix aux jeux Olympiques" je me pose des questions sur le soit-disant manque de liquidité au cinéma français. D'ailleurs je crois que la France sort plus de cent films l'année avec un budget moyen de deux à trois millions d'euro par film. Ou sinon il y a encore les téléfilms qu'on diffuse sur par exemple des chaînes comme "histoire" pour conquérir un publique ...
  20. En même temps, qu'est ce qui nous empêche de faire de même ?
  21. Que voulez vous messieur ... Vous autant que moi sommes habitués aux largesse historiques de hollywoode.
  22. Demain en vente dans toutes les librairies "Comment atomiser la France en deux leçons" de G4lly.
  23. Ce n'est pas plutôt une forte concurrence qui diminue les prix ? Et se genre de chose justement ne fait que favoriser le monopole et la surfacturation, non ?
  24. Pourquoi pas ... en tout cas je vois pas ou est le problème.
×
×
  • Créer...