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[Iran] projet nucléaire et conséquences / Archive
Rochambeau a répondu à un(e) sujet de juanito dans Politique etrangère / Relations internationales
Eh wouaih pendant ce temps les chinois et russes raclent les parts ... Lien wiki qui parle des droits de l'homme en Iran Perspectives d’avenir Depuis son élection en 2005, la présidence de Mahmoud Ahmadinejad est marquée par la priorité donnée à la politique internationale. Le pouvoir se préoccupe plus de la position géostratégique du pays que des problèmes intérieurs. L’efficacité de l’action internationale sur les droits de l’homme en est affectée. Le dialogue avec l’Union européenne, rompu en 2004, n’est pas repris malgré une tentative de relance en 2005. L’ACAT note toutefois que, malgré des déclarations contradictoires, la position de l’Iran pourrait évoluer sur la question de l’application de la peine capitale aux mineurs[129]. À l’opposé, Amnesty International craint que le nombre d'exécutions de mineurs depuis 2005 soit sous-évalué. L’association avait vu dans les promesses électorales de Mahmoud Ahmadinejad (amélioration des droits sociaux et économiques) une occasion de sensibiliser l’Iran au thème des droits humains. Elle note au contraire que « les mois ont passé et… répression, limitation du droit à l’expression et d’association, arrestations arbitraires, torture et pour agrémenter le tout, retour massif à la peine de mort, sont à nouveau à la carte » [130]. De récentes déclarations du président Ahmadinejad appellent les étudiants à purger l’université de ses enseignants laïques et libéraux. Cet appel fait craindre une radicalisation du régime ; qui a déjà repris en main la liberté d’expression en fermant des sites webs, des blogs, et en réprimant la presse indépendante. Ces déclarations ne sont toutefois pas suivies de mesures précises[131]. Bernard Hourcade, iranologue au CNRS dresse un portrait optimiste de l’évolution politique et sociale de l’Iran. Il constate une modernisation du pays dans les secteurs culturel, social, économique, politique, des relations internationales, et des échanges universitaires internationaux. De nombreux anciens pasdarans qui occupent aujourd'hui des postes clefs sont allés étudier à l’étranger. Il note que les notions de république, de démocratie ou de libertés s’ancrent de plus en plus dans la société iranienne et créent les conditions d’un changement profond ; changement dans lequel l’islam politique a une nouvelle place. Selon lui, « malgré la répression, l’Iran est un pays où les gens débattent, parlent, s’expriment, protestent. Quels que soient leurs efforts, les autorités cléricales qui contrôlent la justice et la police ne sont plus en mesure de contrôler l’accès à l’information ni l’expression des revendications. Les actes de répression pour l’exemple, notamment contre les journalistes, sont d’autant plus violents et systématiques, mais dénoncés avec force et efficacité, même par des membres du gouvernement ». Si des oppositions bloquent encore les processus électoraux, ou la promulgation de lois, le pays a changé et a pris l’habitude de l’indépendance et de la liberté de parole, avant celle des actes[132]. Emmanuel Todd, anthropologue, démographe, historien, sociologue et essayiste français, fait un constat voisin. L’Iran est selon lui sur une trajectoire de modernisation qui lui interdit toute régression islamiste. Comme pour les révolutions française et russe : la montée de l’alphabétisation induit une crise idéologique et politique débouchant sur la mise à bas de la monarchie. La révolution est suivie d’une période violente, et le pays sort ensuite de la phase idéologique dure. La généralisation de l'accès à l’éducation entraîne le contrôle démographique et la modernisation des pensées. Il note aussi que si l’Iran n’est pas une démocratie parfaite, ses élections répétées témoignent d’un tempérament démocratique. Enfin, il établit un parallèle avec la révolution américaine qui, trouvant ses sources en une religion contestataire (le protestantisme), donnait naissance à une démocratie à matrice religieuse[133]. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Droits_de_l%27homme_en_Iran#Perspectives_d.E2.80.99avenir -
Avant 1789 Période pré-safavide Pendant le haut Moyen Âge, la Perse est surtout connue en Europe à travers des récits bibliques, grecs ou latins. Pendant les croisades, lancées par les Francs, tous les pays musulmans, dont la Perse, sont considérés comme des ennemis de la chrétienté. Les invasions mongoles permettent d'établir des contacts entre l'Orient et l'Occident et la France joue un rôle important à ce sujet. En effet, le but de l'Europe est alors de convertir les Mongols, comme ils l'ont fait plus tôt avec les envahisseurs barbares. Des missionnaires franciscains et dominicains sont envoyés en Perse Il-khanide et des missions sont établies à Sultaniya, Maragha, Tabriz et Tiflis (aujourd'hui Tbilissi). La majorité des lettres échangées entre les Mongols et les souverains occidentaux contiennent des demandes de soumission. C'est Eljigidei, un chef mongol en Arménie et en Perse qui initie l'ouverture diplomatique en 1248 en écrivant à Saint Louis. Celui-ci en retour envoie le dominicain André de Longjumeau apporter une lettre à Güyük, mais le moine arrive après la mort du Khan (dirigeant, roi en mongol et en turc) et sa veuve et régente, Oghul Qaïmich renvoie l'ecclésiastique sans autre ouverture. Les contacts entre les Francs et les Mongols continuent, sans donner lieu toutefois à une alliance. C'est Oldjaïtou qui relance les relations en écrivant à Philippe le Bel en 1305 pour proposer une alliance contre les Mamelouks[1], une milice d'esclaves affranchis du monde musulman. Alors que les préparations d'une nouvelle croisade s'enlisent, Oldjaïtou lance une attaque infructueuse contre les Mamelouks (1312–1313). Cette politique est par la suite abandonnée par son successeur, Abu Saïd qui signe le Traité d'Alep avec les Mamelouks en 1322. Alors que la coopération diplomatique est abandonnée, les activités missionnaires, commerciales et les voyages continuent. Période safavide L'avènement de Shah Ismaïl (1501) correspond à l'extension de la puissance portugaise dans le golfe Persique et l'océan Indien. Le Shah souhaite alors une alliance avec certains souverains européens pour contrer les Portugais, mais les Français restent absents. En effet, François Ier avait signé en 1536 un traité d'alliance avec Soliman le Magnifique afin de restreindre le pouvoir de Charles Quint, ce qui l'empêche de répondre aux souhaits du Shah. Suite aux invasions des Ottomans dans le nord-ouest de la Perse, en 1547 puis en 1604, les perses sont forcés de capituler et l'alliance de la France avec les Turcs empêche Henri IV de répondre aux demandes d'ouverture adressées par Shah Abbas Ier. La première tentative pour établir des relations directes entre la France et la Perse est faite par Louis XIII, qui se sert du prétexte d'envoyer une mission de marchands marseillais pour convaincre Shah Abbas de la volonté du roi de France de servir de médiateur entre la Perse et les Ottomans. Cette mission est menée par Louis Deshayes et a pour but non avoué de réduire l'influence du Portugal (et de l'Espagne, qui est son suzerain entre 1580 et 1640) en Orient. Le Shah allait accorder des privilèges aux Français, comme les droits exclusifs de protéger les catholiques en Perse, des facilités pour établir des missions catholiques et le monopole du commerce sur la route du levant, mais cette mission est rendue impossible par le grand vizir des Ottomans. Alors que les missionnaires présents en Iran sont surtout des augustins portugais ou des carmélites italiens et espagnols, Richelieu envoie deux moines capucins à la cour de Shah Abbas[2]. Les missionnaires français jouent par la suite un rôle important, en informant les marchands, les voyageurs et les diplomates grâce à leur connaissance poussée de l'Iran. Le plus représentatif de ces missionnaires est le capucin Raphaël du Mans, qui réside à Isfahan de 1647 à sa mort en 1696, qui joue un rôle de traducteur et de négociateur lors de l'établissement de la Compagnie française des Indes, ainsi qu'un rôle d'informateur auprès de Colbert. La guerre de Succession d'Espagne et les projets pour diminuer la puissance navale de Mascate mettent en sommeil les relations franco-persanes, qui sont renouvelées par la mission de Jean Billon de Canserilles à la cour safavide en 1700. Celui-ci recommande que le commerce avec l'Orient se fasse par la route du Levant. La mission de Billon de Canserilles est suivie par celle de Jean-Baptiste Fabre (qui meurt en route à Erevan) puis celle de Pierre-Victor Michel. Ce dernier réussit à obtenir un traité de capitulation en 1708[3]. Ce premier traité officiel accorde la protection aux missions chrétiennes et facilite le commerce. Des clauses monétaires et une lettre additionnelle promettant le déploiement de navires de guerre français dans le golfe Persique afin de combattre les Omanis sont très avantageuses pour les Persans. Toutefois, la guerre en France et les difficultés rencontrées lors du voyage retardent la ratification du traité à 1712. Le clergé arménien, irrité par le prosélytisme des missionnaires, réussit à faire annuler leurs privilèges qui doivent être renégociés. De plus, malgré les privilèges accordés aux marchands de Saint-Malo, aucun bateau français n'apparaît dans le golfe Persique, ce qui fait douter le gouvernement persan de l'authenticité des lettres remises par les missionnaires au nom de Louis XIV. Mohammad Reza Beg, maire d'Erevan, est envoyé en France, et est reçu en grande pompe par Louis XIV à Versailles le 19 février 1715, ce qui marque le début de nouvelles négociations pour déboucher sur un nouvel accord le 13 août 1715, cette fois-ci plus favorable pour le commerce français[4]. Cependant, avec la chute de la dynastie safavide en 1722, l'accord ne sera pas appliqué et le commerce français en Perse n'augmentera pas. La création de la Compagnie française des Indes orientales (1719), privilégiant la route passant par l'océan limitera par la suite les relations franco-persanes. Entre la Révolution française et la Première Guerre mondiale 1789 - 1849 Malgré l'hostilité de Catherine la Grande de Russie vis-à-vis de la Perse et de la Révolution française, l'ascendance des Qajars en Perse ainsi que les changements induits par la révolution en France ne rapprochent pas les deux pays. En 1804, cependant, Fath Ali Shah espère que Napoléon pourra l'aider à récupérer la Géorgie, alors que Napoléon pense que le souverain perse pourrait accélérer la défaite de la Russie et ouvrir la voie vers l'Inde. C'est à ces fins qu'est conclu le Traité de Finkenstein le 4 mai 1807. Mais la volte-face de Napoléon, qui signe le Traité de Tilsit le 7 juillet de la même année, les difficultés rencontrées sur la route de la Perse pour faire parvenir le traité au souverain Qajar et les manœuvres diplomatiques des Britanniques rendent le traité de Finkenstein inopérant. L'inaction des Français par la suite pousse Fath Ali Shah à se tourner vers les Britanniques à la place[5]. En 1811, les relations entre la France et la Perse sont interrompues. Pendant la période qui suit, les relations sont menées par des intermédiaires sans statut diplomatique; par exemple l'Arménien Davoud Khan Malekshah Nazar, qui sert les cours française et perse entre 1802 et 1818[6], les officiers français instruisant les troupes de Abbas Mirza à Tabriz[7] et Madame de la Marinière, française servant de tuteur à certains enfants de la cour[8]. Pendant les règnes de Mohammad Shah (1834-1848) et Louis Philippe (1830-1848), les négociations sont relancées par les persans, dont les relations avec les anglais se détériorent après la perte de Herat (1837). Mirza Hosein Khan est envoyé à la cour française en août 1838 et est reçu par Louis Philippe. La France accepte ensuite de fournir des armes et des instructeurs militaires à l'Iran afin de remplacer les britanniques. En septembre de l'année suivante, Mirza Hossein Khan quitte Paris accompagné d'un souffleur de verre, d'un armurier et de neuf sous-officiers sous le commandement de Henry Boissier[9]. À Téhéran, les Russes sont peu enclins à partager leur influence, et Mohammad Shah s'arrange pour que les officiers français ne reçoivent pas leur solde. La mission quitte la Perse en 1840 mais les liens culturels demeurent forts entre les deux pays. Eugène Bore, envoyé par l'Académie des inscriptions et belles-lettres obtient un firman le 17 mai 1840[10] l'autorisant, ainsi que les lazaristes, à ouvrir des écoles françaises. Les relations sont rétablies en 1844, cette fois à l'initiative des français, qui veulent signer un traité commercial mais aussi pour protéger les missionnaires lazaristes qui ont été maltraités en Azerbaïdjan. Cette mission débouche sur la nomination de Ernest Cloquet en tant que médecin personnel du Shah en 1846 et la proclamation de décrets visant à protéger les écoles lazaristes fondées afin d'éduquer les Chaldéens d'Iran. Ce renouveau des relations franco-perses est une nouvelle fois arrêté par la chute de Louis Philippe en février 1848, car la Perse ne fait pas partie des priorités de la République. Les condoléances pour la mort de Mohammad Shah (1848) n'arrivent à Téhéran qu'en avril 1849. Par la suite, Amir Kabir, grand vizir de Nasseredin Shah, n'aura pas confiance dans le gouvernement républicain français et rejettera toute tentative de rapprochement, dont un traité commercial en 1848, et oubliera même de payer les employés français du gouvernement persan. 1850 - 1871 Dessin représentant Amin o Dowleh, chef de la délégation perse à la cour de Napoléon III.Ces deux décennies sont une période de compréhension et d'entente cordiale entre les deux pays, avec des délégations bien établies à Téhéran et à Paris. En 1852, le premier ministre Mirza Aqa Khan Nour Etemad al-Dawleh a besoin d'une puissance médiatrice afin de l'aider à conclure de nouveau une alliance avec les anglais. Le premier ministre perse accepte alors un traité commercial proposé par la France 3 ans plus tard, en juillet 1855. Ce traité est finalisé en 1856 et en octobre 1858, le délégué perse en France revient avec une mission militaire française en Perse[11]. Un an plus tard, un nouveau délégué perse est nommé à Paris; ce délégué est aussi en charge de l'éducation en Europe d'environ 60 étudiants, diplômés de Dar-ol Fonoun pour la plupart. À cette époque, la représentation diplomatique de l'Iran en France est relativement importante, avec un attaché militaire à Paris et plusieurs consuls à Paris et en province. Napoléon III, qui est empereur à partir de 1852, répond en établissant une légation française à Téhéran en juillet 1854. La tête de cette légation n'est considérée que comme un poste mineur depuis Paris, principalement un poste d'observation aux intérêts limités. Les fonctionnaires qui se succèdent à ce poste permettent quand même d'asseoir les bases de l'influence française en Perse à travers les rôles de protection, d'éducation, de médecins à la cour et de conseillers militaires. C'est à cette époque que sont ouverts plusieurs consulats français en Iran, à Rasht en 1864 et à Tabriz en 1866. La tradition du médecin de cour français est maintenue avec la nomination du docteur Joseph Désiré Tholozan (du corps de santé de l'armée française) à ce poste. Les conseillers militaires retrouvent eux aussi une place d'honneur avec la mission du colonel Victor Brongniart qui sert directement sous les ordres du commandant de l'armée perse, certains officiers restant même après la fin de leur contrat en tant qu'instructeurs au Collège militaire de Téhéran ou en contribuant à la création d'usines d'armes modernes comme le capitaine Michel Rous[11] Cette époque se finit par la défaite française à Sedan en 1870, la chute de l'empire pour la république et la capitulation de Paris, qui fait perdre toute confiance envers la France aux Iraniens. De 1871 à la Première Guerre mondiale Pendant cette période, les relations sont officiellement maintenues mais n'ont pas grande importance politique, une France vaincue n'ayant que peu d'intérêt pour le gouvernement perse. Pendant cette même période, la Perse est en proie à une très grande rivalité entre la Grande-Bretagne et la Russie. La position de la France est alors inégale: influence culturelle grandissante mais déclin commercial et politique. De cette époque subsisteront d'ailleurs des emprunts au français dans la langue persane. La représentation diplomatique de la Perse en France est alors plus forte que jamais, puisqu'on compte treize consuls ou vice-consuls perses résidants en France (deux à Paris et Bastia, un à Bayonne, Béziers, Bordeaux, Le Havre, Lille, Lyon, Marseille, Nice et Rouen). La relation cordiale entre les deux pays se renforce encore avec les visites officielles de Nasseredin Shah et de Mozaffaredin Shah en France, ainsi que la participation de la Perse aux grandes expositions de 1878 et 1900. En 1905, Samad Khan Momtaz os-Saltaneh est nommé ambassadeur de Perse à Paris. Pendant ce temps, en Perse, l'activité diplomatique et commerciale des représentants français continue, et les médecins français des Qajars fournissent une source importante d'influence à la cour. Certains Français ont agi de leur propre chef pour développer des projets économiques en Iran, comme l'établissement de raffineries de sucre dans le Gilan en 1878 par Messieurs Barral et Rambaud, l'éclairage au gaz de Téhéran en 1881 par Boital[12], ou encore l'ouverture de pharmacies à Tabriz et Téhéran par M. Coppin. En 1912, un « syndicat franco-iranien » est même créé, permettant d'exploiter du charbon et divers minéraux au sud de la mer Caspienne. Cependant, à partir des années 1890, la France commence à chercher une alliance avec la Russie, puis, quelques années plus tard, entrevoit la possibilité d'une triple alliance avec la Grande-Bretagne. La Russie limitera les ambitions de la France dans cette partie du globe. Malgré la création de l'Union franco-persane en 1909, l'aide de la France se limite à envoyer quelques conseillers en matières agricoles et financières. Malgré ces quelques réussites commerciales, et en prenant en compte les exportations d'armes et d'alcool, la France n'est que le cinquième partenaire commercial de la Perse en 1914; ce qui souligne le déclin de l'influence française[13]. Malgré ce déclin économique, les contributions culturelles, archéologiques et à l'éducation en Perse montrent un fort dynamisme. De plus, le gouvernement français accorde une protection officielle aux citoyens suisses, grecs, italiens ainsi qu'aux officiers suédois de gendarmerie en Perse à partir de 1911. Pendant la Première Guerre mondiale, cette politique est maintenue. La Perse souhaite cependant que la France participe à l'évacuation des troupes russes et britanniques de Perse en 1917, et en septembre de cette année, la France envoie un hôpital mobile (appelé "l'Ambulance") à Tiflis (Tbilissi aujourd'hui) pour traiter les blessés russes qui combattent contre les ottomans. Cette "Ambulance" est ensuite envoyée à Orumieh après le départ des russes afin de fournir une aide humanitaire ainsi qu'un assistance militaire. Cette décision, qui a été prise par le Quartier général de Tiflis sans concertation ni avec Paris, ni avec Téhéran, aura des répercussions non voulues, puisque des combats éclatent entre les milices chrétiennes présentes dans la région et le Parti démocratique de l'Azerbaïdjan. Sur l'ensemble de la période, on voit donc que la France reste dans le cadre des relations entre l'Iran d'une part et la Grande-Bretagne ainsi que la Russie d'autre part; la politique française restant réservée par rapport à celle des autres partenaires européens. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Relations_entre_la_France_et_l%27Iran#Avant_1789
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Premières relations diplomatiques entre la France et l'Empire ottoman
Rochambeau a répondu à un sujet dans Histoire militaire
Les nouvelles Capitulations (1604) sous Henri IV Le système juridique des Capitulations dans l'empire Ottoman : 1604 Premier renouvellement des Capitulations A l'occasion du renouvellement des Capitulations (accordées par l'empire Ottoman à François 1er) la France exerça alors son protectorat sur les Européens qui voyageaient dans l’empire (sauf les vénitiens et les anglais). Par cette alliance avec la Turquie, la France jouissait alors, sous Henri IV, d'un quasi monopole du commerce en Méditerranée et au Moyen Orient. Renouvellement des capitulations avec la France. En 1604, à la demande de Savary de Brèves (François Savary de Brèves 1560/1628, Ambassadeur d'Henri IV à Constantinople et Rome, célèbre orientaliste, il avait étudié les langues orientales. Après avoir été ambassadeur, il créa à Paris un collège de Langues Orientales, qui fit paraître des publications en arabe, turc et persan. Il transféra d'Istanbul une centaine de manuscrits orientaux, créant la bibliothèque orientale la plus importante de France. Principales dispositions du hatti-chérif de renouvellement des capitulations : "Notre Hautesse, dit Ahmet (Ahmet 1er - 1590/1617, fils de Mehmet III), ayant été prié du sieur de Brèves, au nom de l'empereur de France son seigneur, comme son conseiller d’Etat et son ambassadeur ordinaire à notre Porte, de trouver bon que les traités de paix et capitulations qui sont de longue mémoire entre notre empire et celui de son dit seigneur fussent renouvelées et jurées de notre Hautesse ; sous cette considération, pour l'inclination que nous avons à conserver cette ancienne amitié, avons commandé que cette capitulation soit écrite de la teneur qui suit : « Que les ambassadeurs qui seront envoyés de la part de Sa Majesté à notre Porte, les consuls qui sont nommés d’elle pour résider par nos havres et ports, les marchands ses sujets qui vont et viennent par iceux, ne soient inquiétés en aucune façon que ce soit, mais, au contraire, reçus et honorés avec tout le soin qui se doit à la fois publique. « Que les Vénitiens et Anglais en hors, les Espagnols, Portugais, Catalans, Ragusais, Génois, Ancönitains, Florentins et généralement toutes autres nations quelles qu'elles soient, puissent librement venir trafiquer par nos pays, sous l'aveu et sûreté de la bannière de France, laquelle ils porteront comme leur sauvegarde ; et, de cette façon, ils pourront aller et venir trafiquer par les lieux de notre empire, commis ils y sont venus d'ancienneté, et qu'ils obéissent au consuls français qui résident et demeurent par nos havres, ports et villes maritimes. Nous commandons aussi que les sujets dudit empereur et ceux des princes ses amis, alliés et confédérés, puissent, sous son aveu et protection, venir visiter librement les saints lieux de Jérusalem, sans qu'il leur soit fait aucun empêchement. « De plus, pour l'honneur et l'amitiés d’icelui empereur, nous permettons que les religieux qui demeurant à Jérusalem, Bethléem et autres au lieu de notre obéissance pour servir les églises qui s'y trouvent d'ancienneté bâties, y puissent avec sûretés séjourner, aller et venir sûrement, sans aucun trouble et destourbier, et y soit bien reçus, protégés, aidés et secourus en la considération susdite. « Derechefnous recommandons que, les vénitiens et anglais en hors, toutes les autres nations ennemies de notre Grande Porte, lesquelles n'y tiennent ambassadeurs, voulant trafiquer par nos pays, elles ayent d'y venir sous la bannirait protection de la France, sans que jamais l'ambassadeur d'Angleterre ou autres ayent de s’en empescher. « Voulons et ordonnons que toutes permissions qui se trouve avoir été données ou qui se pourront donner par surprise ou mégarde, contraires à l'article précédent, soit de nul effet et valeur, ains que cette capitulation soit inviolablement gardée et entretenue ». Ces deux articles, les plus importants du Hatti-chérif de 1604, consacrèrent la prérogative exorbitante par laquelle les nations qui ont été perpétuellement en guerre avec la Porte, comme l'Espagne et l’Autriche, ont pu ne jamais interrompre leurs relations de commerce avec les pays ottomans, moyennant qu’elles se couvraient de la bannière de France. L'article 6 de nos français et autres navigant sous leurs bannières le droit d'acheter en Turquie des cuirs, des cires, des cotons, « jaçoit-ce que ce soient marchandises prohibées et défendues d'enlever. » L'article 7 prescrit l'admission des monnaies française en Turquie sans qu'elles puissent être refusées. Les articles 8 et 9 interdisent de faire prisonnier les français et navigant sur les vaisseaux ennemis de la Porte. Les articles 10,11 et 12 permettent aux vaisseaux français de prendre des vivre en tout temps dans les ports de l'empire. Les articles 13, 14, 15 et 16 assurent aux français l'exemption de tout impôt. L'article 17 ordonne aux corsaires de Barbarie de respecter les vaisseaux français, et leur prescrit de délivrer les esclaves de cette nation : "Déclarons qu'en cas que lesdits corsaires continuent leurs brigandages, à la première plainte qui nous en sera faite par l'empereur de France, les vices-rois et gouverneurs des dits pays seront tenus des dommages et pertes qu’iceux français auront faites, et seront privés de leur charge ; et ne sera besoin d’autre preuve du mal fait que la plainte qui en sera faite de leur part. De plus, nous consentons et avons pour agréable, si les corsaires d'Alger et de Tunis n'observent ce qui est porté par cette capitulation, que l'empereur de France leur fasse courir sus, les châtie et les prive de ses ports, et protestons de n'abandonner pour cela l'amitié qui est entre nos Majestés Impériales." L'article 18 concèdent aux français le privilège de la pêche du corail sur la côte de Barbarie. Les articles 19,20, 21,22, 33 et 24 sont relatifs aux droits de justice des ambassadeurs et consul sur les sujets français, "sans qu'aucun de nos officiers en prenne aucune connaissance ni juridiction." L'article 25 dit : "Et pour autant qu’icelui Empereur de France est entre tous les rois et princes chrétiens le plus noble et de la plus haute famille, et le plus parfait ami que nous ayons acquis entrent lesdits rois et prince la croyance de Jésus, nous voulons et commandons que son ambassadeur, qui réside à notre heureuse Porte, ait la préséance sur l'ambassadeur d'Espagne et sur ceux des autres rois et princes." Les autres articles, de 26 à 49, sont relatifs au commerce, à la justice, aux héritages, aux dettes, etc.. Le 50ième et dernier contient le serment solennel du sultan de ne pas contrevenir aux traité "tant que l'empereur de France sera constant et ferme à la conservation de notre amitié, acceptant dès à présent la sienne avec volonté de maintenir chère et en faire estime." Source : http://empireottoman.blogs.courrierinternational.com/archive/2008/03/10/1604-les-nouvelles-capitulations.html Source : http://empireottoman.blogs.courrierinternational.com/archive/2008/03/01/relations-entre-turquie-et-france-sous-louis-xiii.html -
Union pour la Méditerranée
Rochambeau a répondu à un sujet dans Politique etrangère / Relations internationales
Mouaf, il y a malgrès tout le prince ... toujours mieux que rien. -
[Iran] projet nucléaire et conséquences / Archive
Rochambeau a répondu à un(e) sujet de juanito dans Politique etrangère / Relations internationales
Tout comme la cérémonie du sacrifice de cabri chez moi, cela sera interdit ... Et alors cela fait de la France un pays non-tolérant ? -
[Iran] projet nucléaire et conséquences / Archive
Rochambeau a répondu à un(e) sujet de juanito dans Politique etrangère / Relations internationales
Euh ... je vois pas trop pourquoi on parle de secte ? :rolleyes: Vous voulez dire quoi par là ? -
Premières relations diplomatiques entre la France et l'Empire ottoman
Rochambeau a répondu à un sujet dans Histoire militaire
Histoire des relations entre la Turquie et la France : Quelques dates et repères symboliques. Entre la France et l’Empire ottoman (puis la Turquie), c’est l’une des plus longues relations diplomatiques de notre histoire, interrompue seulement par une brève rupture de trois années (1798-1801 lors de l’Expédition d’Egypte). Parmi les Ambassadeurs illustres : le Comte de Vergennes (1755-1768), le Général Sebastiani (1ère ambassade éphémère en 1801 puis de 1805 à 1808) [Général d’armée de Bonaparte qui se distingua à Austerlitz et lors de la Campagne de Russie avant d’être Ministre des Affaires étrangères sous Louis Philippe 1830-32 et Maréchal de France], Albert Sarraut de 1925 à 1926 [qui fut Président du Conseil à deux reprises, brièvement en 1933 et en 1936], René Massigli. Table des matières - 1484 : La première Ambassade ottomane se rend en France : - 1536 : Traité d’Alliance entre François Ier et Soliman le Magnifique. - 1543 : la flotte de Barberousse hiverne à Toulon. - 1689-1695, les relations franco-ottomanes sous le règne de Louis XIV. - 1807. Le Général Sébastiani organise la défense d’Istanbul contre la flotte anglaise de l’Amiral Sir John Thomas Duckworth (21 février- 2 mars 1807). - Guerre de Crimée 1853-1856 - 1868 : Création du lycée impérial ottoman de Galatasaray. - 1869 Visite de retour de l’Impératrice Eugénie au Sultan Abdulaziz. - 20 octobre 1921. Signature des Accords Franklin-Bouillon (Accord d’Ankara) - 1968. Visite de de Gaulle à Ankara et Istanbul - 1484 : La première Ambassade ottomane se rend en France : le Sultan Bayazid II — Bajazet, mais pas celui de la tragédie de Racine — envoya un grec de Lemnos pour s’enquérir, auprès du roi Louis XI, des conditions de captivité de son frère, le Sultan Cem 1536 : Traité d’Alliance entre François Ier et Soliman le Magnifique. Après le désastre de Pavie en 1525, la Régente de France avait envoyé à Soliman le Magnifique, au nom de son fils François Ier, une première Ambassade chargée de précieux cadeaux (dont un précieux diamant ou rubis : les sources divergent) qui se fit massacrer, en chemin, par le pacha de Bosnie. Une autre fut dépêchée dans la foulée avec deux lettres, de la régente, Louise de Savoie et de François Ier (toujours sous les fers). La réponse de Soliman est célèbre et exhorte : « François, roi du pays de France, à prendre courage et à ne pas se laisser abattre. Nuit et jour notre cheval est sellé et notre sabre est ceint ». Entre temps François Ier est libéré et les Turcs écrasent les Hongrois à la bataille de Mohacs (1526), desserrant l’étau des Habsbourgs. C’est un tollé en Europe : le Roi de France pour contrer la propagande qui fait de lui le « très chrétien bourreau de la chrétienté » obtient de Soliman, dès 1529, des assurances sur les lieux saints et la liberté de célébrer le culte. En février 1536, un Traité d’alliance en bonne et due forme est conclu. Connus sous le nom de « Capitulations », les textes conclus offrent à la France un droit de représentation permanente avec Ambassade et Consulats ainsi que des avantages pour le commerce avec la Sublime Porte ; privilèges complétés par la protection des pèlerins se rendant en Terre Sainte. - 1543 : la flotte de Barberousse hiverne à Toulon. L’hivernage de la puissante flotte (on parle de cent bateaux turcs) de Barberousse à Toulon est à inscrire dans le cadre des projets échafaudés contre Charles Quint. François Ier songe à utiliser Barberousse en vue d’une nouvelle attaque contre l’Italie ; Barberousse qui écume depuis Alger les eaux méditerranéennes et ravage les côtes italiennes, la Corse, la Sardaigne, débarque à Marseille le 15 juin et est accueilli par François de Bourbon, duc d’Enghien, qui lui remet une épée d’honneur. Mais les équipages turcs ne peuvent pas s’avitailler à Marseille et c’est finalement Toulon (après une tentative avortée de siège de Nice, alors dépendante du Duché de Savoie) qui les accueille. Barberousse, perdant apparemment l’envie de participer à une campagne avec les Français, quittera Toulon en mai 1544 pour Istanbul, en prenant à son bord le nouvel Ambassadeur de France auprès du Grand Turc, le baron de Lagarde. - 1689-1695, les relations franco-ottomanes sous le règne de Louis XIV. Nouvelle période d’intensité dans les relations entre la Porte et la France. La diplomatie française reste orientée par le souci de l’équilibre entre les puissances européennes (et la constitution d’alliance de revers) et la consolidation des avantages que tiraient les commerçants français de ces relations privilégiées. Après l’échec (de justesse) du siège de Vienne par les Ottomans en 1683, le Pape Innocent XI, l’Empereur Léopold Ier, Venise, la République de Pologne et la Russie se réunissent au sein de la Sainte Ligue. Louis XIV décline l’invitation du Pape à y participer. Louis XIV trouvait avantage à ce que Leopold Ier s’épuise sur le front est ; en déclenchant les hostilités contre Leopold Ier en 1688 sur le Rhin, Louis XIV donna aussi un répit aux Ottomans qui étaient jusque-là singulièrement malmenés : ils purent même reconquérir quelques territoires perdus. La fin de la guerre de la Ligue de Augsbourg en 1697 (Traité de Ryswick) mit un terme à l’alliance (qui s’était traduite par une étroite coopération militaire entre 1692 et 1695) et la confiance de la Porte en le Roi « très chrétien » s’étiola. L’Angleterre qui n’avait jamais été guerre avec l’Empire ottoman en tira grand profit. 1807. Le Général Sébastiani organise la défense d’Istanbul contre la flotte anglaise de l’Amiral Sir John Thomas Duckworth (21 février- 2 mars 1807). Le 25 janvier 1807, l’Angleterre adresse un ultimatum à Selim III : renouveler l’alliance anglo-turque, expulser l’Ambassadeur de France (le Général Sébastiani depuis 1806) et remettre aux Anglais les forts des Dardanelles. Conforté par le Général Sébastiani, Selim III repousse l’ultimatum ; l’Amiral Duckworth force facilement l’entrée des Dardanelles avec une puissante flotte et se présente devant Istanbul en février 1807. Sébastiani dirige les travaux de défense de la ville, contraignant Duckworth à se retirer et à repasser les détroits sous le feu de l’artillerie turque. Guerre de Crimée 1853-1856 (au cours de laquelle la France et le Royaume-Uni s’allient à l’Empire ottoman contre la Russie) : Victoire de l’Alma (1854), Siège de Sébastopol (1854), Prise par les Français de la Tour de Malakoff (1855). Le Traité de Paris conclu le 30 mars 1856 et dont on a fêté le 150e anniversaire a mis fin au conflit. 1868 : Création du lycée impérial ottoman de Galatasaray. C’est à l’initiative du Sultan Abdulaziz, impressionné par la qualité du système d’enseignement français lors de son voyage à Paris en 1867 (où il fut invité par Napoléon III à participer à l’Exposition Universelle), qu’est créé le lycée impérial de Galatasaray, où l’enseignement se fait essentiellement en français. L’influence de ce lycée sur le processus d’occidentalisation de la Turquie (jusqu’à 23) fut phénoménale ; considéré comme une fenêtre ouverte sur l’Occident (« une sorte de Tsarskoie Selo à la turque » en somme), il forma les élites réformatrices de l’Empire et celles qui allaient aussi participer à l’œuvre réformatrice de Mustafa Kemal. Dans les faits l’histoire de Galatasaray remonte à 1481, date à laquelle le premier établissement d’enseignement supérieur fut ouvert à l’emplacement de l’actuel lycée, et qui s’appelait déjà école impériale de Galatasaray mais qui eut par la suite des fortunes diverses. 1869 Visite de retour de l’Impératrice Eugénie au Sultan Abdulaziz. Le Sultan Abdulaziz avait visité la France en 1867. Napoléon III et sa femme avaient prévu de lui rendre sa visite en 1869 mais les événements en France obligèrent l’Empereur à abandonner son projet de voyage et il chargea sa femme de le représenter. Elle fut accueillie à Istanbul par des festivités extraordinaires, logea au Palais de Beylerbeyi (sur la rive asiatique) et visita le lycée de Galatasaray. - 20 octobre 1921. Signature des Accords Franklin-Bouillon (Accord d’Ankara) : la France est le premier pays de l’Entente à établir des contacts diplomatiques avec le Gouvernement de la Grande Assemblée Nationale de Turquie et à signer avec lui un accord politique. Franklin Bouillon était Président de la Commission des Affaires étrangères du Sénat et s’est rendu à deux reprises en Turquie en juin et septembre 1921 pour discuter de cet accord avec Mustafa Kemal. On notera qu’Atatürk ne s’est rendu qu’une fois en France en tant que jeune officier (en 1910) pour participer à des manœuvres en Picardie. Source : http://www.ambafrance-tr.org/spip.php?article22#tdm BONNEVAL (Claude-Alexandre, comte de), appelé aussi le Pacha de Bonneval, officier français et aventurier célèbre, né le 14 juillet 1675, au manoir de Coussac-Bonneval, dans le Limousin, mort à Constantinople le 23 mars 1747. Il s’engagea à treize ans dans les gardes de la marine, devint enseigne de vaisseau, puis passa dans les gardes françaises. Pendant la guerre de la succession d’Espagne, il commandait un régiment sous les ordres du duc de Vendôme. En 1704, ayant encouru les reproches du ministre de la guerre Chamillart, il fit acte d’indiscipline, demanda une réparation qu’il ne devait pas obtenir et quitta la France. Il offrit ses services au prince Eugène de Savoie qui le nomma général, et il était dans les rangs ennemis à Malplaquet. En 1716, à la bataille de Peterwaradin, contre les Turcs, il fit des prodiges de bravoure. Cette ardeur, déployée contre les ennemis de la chrétienté, aida à le réhabiliter, et il revint en France en 1717. Bonneval y épousa Judith de Gontaut-Biron, mais dix jours après son mariage, il regagnait son corps en Autriche. Il prit part à de nouvelles opérations contre les Turcs et contribua à la prise de Belgrade. L’empereur Charles VI l’appela au Suprême conseil de la guerre et le combla d’honneurs. Néanmoins, la fougue et l’indépendance de son caractère amenèrent bientôt sa rupture avec l’empereur. Sa conduite arrogante vis-à-vis du gouverneur des Pays-Bas le fit condamner à un an de forteresse. Après avoir subi sa peine, il laissa l’Autriche et entra en Turquie. Il espérait y réunir un corps de partisans et guerroyer contre l’empereur; mais la Turquie ne se prêta pas à ses vues. Il chercha vainement aussi à obtenir l’appui de la France auprès de la Turquie. Bonneval se fit alors musulman. Mais ce fut seulement l’avènement du sultan Mahmoud, en 1730, qui changea sa fortune. Il fut chargé d’instruire et de commander le corps des bombardiers. Il eut toute la confiance du grand vizir Ali, pour lequel il rédigea des mémoires sur l’état des divers pays de l’Europe et dressa tout un plan politique, consistant principalement dans une alliance de la Turquie avec la France contre la Russie. Bonneval fut nommé gouverneur de la Caramanie et beylerbey de Roumélie, distinctions qui le mettaient au premier rang des pachas; on lui donna une pension et un palais à Scutari. Mais ses plans ne réussirent pas; il tenta aussi sans succès de soulever la Hongrie. Un acte d’insubordination du corps des bombardiers entraîna sa perte; il fut saisi et exilé en 1738. Il revint à Constantinople en 1739, recouvra ses titres, reprit du crédit, mais ses dernières années furent pleines de déceptions. Il songeait à demander asile au pape et à rentrer au service de la France, lorsqu’il mourut. On voit encore son tombeau dans une dépendance du Tekké ou couvent des derviches tourneurs, à Péra. 0n a publié sous le nom de Bonneval des mémoires qui n’ont aucun caractère d’authenticité : Mémoires du comte de Bonneval, cidevant général au service de Sa Majesté Impériale et Catholique (Londres, 1737, 3 vol. in 8; réimprimés en 1738, 1755 et 1806); Anecdotes vénitiennes et turques, ou Nouveaux Mémoires du comte de Bonneval, par M. de Mirone (Utrecht, 1740, 2 vol. in-8). Il en existe une traduction en suédois et, en 1741, il a été publié une suite à cet ouvrage. Source : http://pagesperso-orange.fr/dboudin/zGalerie/Bonneval.html -
Renaissance de l'empire du Milieu ?
Rochambeau a répondu à un(e) sujet de Rochambeau dans Politique etrangère / Relations internationales
La nature de ce qu'est le Falun Gong est ancrée dans les traditions chinoises. Les pratiques de Qigong ont été interdites et réprimées comme des pratiques féodales et superstitieuses durant la Révolution culturelle. Dans un contexte de détente économique, peu après les premières réformes libérales et la première apparition du chômage le Qigong réapparaît en Chine. Les autorités y voient une façon de mettre en avant la culture chinoise et participent à sa promotion à travers les Salons de la santé qui lui seront consacrés au début des années 1990. En 1992, le Falun Dafa est présenté au grand public par Li Hongzhi (qui vit aux États-Unis depuis 1998). Pendant plusieurs années, les autorités chinoises resteront indifférentes face à ce mouvement et en 1995 Li Hongzhi commence à diffuser la méthode à l'étranger. Commençant par la France, il donne une série de neuf conférences à l'ambassade de Chine à Paris. Mais cette école se détache par sa gratuité et sa popularité. En l'espace de sept ans, elle compte environ 80 millions de pratiquants, d'après les estimations des autorités de l'époque. Les autorités s'inquiètent de l'ampleur du phénomène, le nombre de pratiquants serait deux fois supérieur à celui des inscrits au Parti communiste chinois. Dès l'année 1996, des incidents de harcèlement de pratiquants ou de groupes de pratique sont recensés et le gouvernement fait interdire les livres du Falun Gong qu'il éditait auparavant et des articles contre le Falun Gong apparaissent alors dans la presse. Le 23 avril 1999, suite à la parution d'un article mettant en garde contre les dangers du Falun Gong dans la petite université de Tianjin, des pratiquants se rendent sur place dans le but d'expliquer leur point de vue, plusieurs d'entre eux seront alors arrêtés. Le 25 avril 1999, dix mille pratiquants de Falun Gong protestent devant le siège du gouvernement chinois (Zhongnanhai) à Pékin suite aux arrestations des pratiquants. Pendant 13h, sans banderoles ni slogans, ils viennent faire appel pour demander la libération de pratiquants et le droit de pratiquer librement le Falun Gong.[5] Selon les membres du Falun Gong, ce rassemblement aurait été spontané, suite aux conseils de policiers concernant les arrestations ayant eu lieu à Tianjin. Une délégation est reçue par le premier ministre qui lui aurait assuré que les prisonniers seraient libérés et que personne ne serait inquiété. D'après les autorités, cet événement prouve une forme d'organisation et une volonté de défier le pouvoir. Cette manifestation marque un tournant de la politique du Parti communiste chinois à l'égard du Falun Gong.[6] Le 20 juillet 1999, Jiang Zemin, président à l'époque, affirme que le mouvement menace la stabilité sociale et politique de la Chine. Il lance une politique de répression en fondant le Bureau 610, un groupe de commandement chargé de surveiller le Falun Gong et dont l'organisation et le statut extra-gouvernemental sont similaires à celui du Comité central de la révolution culturelle. En octobre 1999, une loi légitimise la répression en rendant illégales toutes les organisations dites hérétiques. Celle-ci étant rétroactive, tous les pratiquants et ex-pratiquants sont concernés. Au moment des fêtes du Nouvel an chinois, le 23 janvier 2001, cinq personnes s'immolent par le feu sur la place Tian'anmen.[7] Selon le gouvernement chinois, il s'agissait de membres du Falun Gong.[8] Le mouvement soutient qu'il s'agissait d'une mise en scène du régime chinois.[9] Le film Feu mensonger primé au festival international du film de Colombus montre des images de l'événement au ralenti.[10] La même année, Ian Johnson, correspondant spécial du Wall Street Journal à Pékin reçoit le prix Pulitzer pour son reportage sur la persécution du Falun Gong[11]. En janvier 2006 Gao Zhisheng, avocat chinois défenseur des Droits de l'homme, publie trois lettres ouvertes successives à Hu Jintao et à son premier ministre en dénonçant la repression. Les autorités chinoises font alors fermer son cabinet d'avocat. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Falun_Gong#Historique Woof, plutôt light la secte ... normalement une secte n'est pas une structure qui dépend d'un gourou ? -
Union pour la Méditerranée
Rochambeau a répondu à un sujet dans Politique etrangère / Relations internationales
Ahhh enfin ... merci d'avoir éclairé ma lanterne. -
Union pour la Méditerranée
Rochambeau a répondu à un sujet dans Politique etrangère / Relations internationales
Ah non mon chère, c'est la France qui est devenue un département ;) Cela surprend toute même tous ses pays non-méditerranéen ... je pensais que Sarkozy étant le président de l'Europe, qu'il avait pas besoin d'être chaperonné ... manque de confiance ? Un truc qui ne cout pas ! Dis donc c'est un vrai magicien notre président =) -
Renaissance de l'empire du Milieu ?
Rochambeau a répondu à un(e) sujet de Rochambeau dans Politique etrangère / Relations internationales
Je parlais de l'article ... Pour le fait que cette chaine soit fermée pour satisfaire les autorités de Pékin, je n'en doute pas ... mais quoi de plus normal de la part d'un pays autoritaire :P -
Union pour la Méditerranée
Rochambeau a répondu à un sujet dans Politique etrangère / Relations internationales
UPM, encore un machin qui porte mal son nom :lol: Sinon pour le coût ? -
Renaissance de l'empire du Milieu ?
Rochambeau a répondu à un(e) sujet de Rochambeau dans Politique etrangère / Relations internationales
Reporter sans frontière ... =D C'est bizarre comme tout d'un coup cette article me semble orientée ... D'ailleurs cela me fait penser que c'est à cause de son secrétaire général à vie qu'aujourd'hui on est en train de s'humilier. Enfin, je dis ça en passant 8) -
Union pour la Méditerranée
Rochambeau a répondu à un sujet dans Politique etrangère / Relations internationales
Euh ... excusez moi mais pourquoi il y a la Belgique, l’Allemagne, l’Autriche, le Luxembourg, les Pays-Bas, la Suède, le Danemark, la Finlande, l’Irlande, le Royaume-Uni, l’Estonie, la Hongrie, la Lettonie, la Lituanie, la Pologne, la République tchèque, la Slovaquie et la Bulgarie ? :rolleyes: Et, combien va couter cette réunion ? -
Renaissance de l'empire du Milieu ?
Rochambeau a répondu à un(e) sujet de Rochambeau dans Politique etrangère / Relations internationales
Vous rigolez, mais il y a vraiment du pétrole en Europe :P . Notamment en France : La France produit environ 21 000 barrils/jours (1% sa consommation). La production a culminé à 67 000 b/j en 1988. Le bassin parisien offre une série de petits gisements, notamment en Seine-et-Marne et dans le Loiret. De même en Aquitaine, il faut signaler le gisement de gaz de Lacq avec comme sous-produit le soufre, dont l'exploitation est maintenant terminée et quelques gisements de pétrole dans les Landes de Gascogne, à Parentis et à La Teste de Buch. Les deux principaux gisements Français sont Parentis et Itteville, avec chacun une production de l'ordre de 2000 barils/jour. L'Alsace (géologiquement, le Fossé rhénan) ne produit du pétrole qu'en quantités insignifiantes, mais mérite d'être citée pour des raisons historiques : à Merkwiller-Pechelbronn du pétrole fut extrait dès la renaissance (1498). Actuellement, l'exploration continue dans certains régions, particulièrement le golfe du Lion recevant les sédiments portés par le Rhône. La compagnie britannique Melrose espère y trouver du gaz. De petites quantités de pétrole ont été localisées au large de l'Aquitaine, mais leur développement ne serait pas rentable. En mer d'Iroise quelques puits ont été forés sans résultat jusqu'ici. Par ailleurs, il existe des gisements pétroliers dans le Jura, à proximité de Nantua. Néanmoins, ces gisements n'ont jamais mis en exploitation du fait du coût élevé d'accès à la ressource[1]. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9gions_p%C3%A9trolif%C3%A8res_en_Europe#Production_fran.C3.A7aise Oh bien sur ce n'est pas comparable aux productions du Moyen-Orient ;) Bon pour revenir sur la Chine La Chine en force dans la liste des 500 plus grandes entreprises du monde Les entreprises américaines perdent du terrain dans le classement des 500 plus grosses sociétés du monde, dressé par le magazine Fortune, tandis que les firmes chinoises, indiennes et mexicaines s'y assurent une présence sans précédent. "La liste montre le plus faible nombre de sociétés américaines depuis plus de dix ans (153) et confirme l'essor des marchés émergents", a souligné la jounalistes de Fortune Jenny Mero en commentant le classement, fondé sur le chiffre d'affaires des entreprises. La Chine place un chiffre sans précédent de 29 sociétés dans la liste du magazine économique, dont cinq nouvelles entrantes, soit autant que l'Italie, l'Espagne et l'Australie prises ensemble. "Il y a moins de dix ans, l'Inde, le Mexique et la Russie avaient chacune une seule société parmi les 500 (plus grosses du monde). La liste de cette année comporte sept société indiennes, cinq mexicaines et cinq russes", a ajouté Mme Mero. Les Etats-Unis avec leurs 153 sociétés restent tout de même en tête du classement, et occupent cinq des dix premières places, avec le géant de la distribution Wal-Mart à la première. Les pétroliers Exxon-Mobil, Chevron et ConocoPhillips sont respectivement 2e, 6e et 10e, et le constructeur automobile General Motors 9e. Les plus grandes sociétés chinoises répertoriées sont la pétrolière Sinopec (16e mondial), le distributeur d'énergie State Grid (24e) et le pétrolier China National Petroleum (25e). Les cinq entreprises chinoises à faire leur entrée sont Aluminum Corp (476e), China Communications Construction (426e), China Metallurgical Group (480e), Lenovo (499e) et Noble Group (349e). La France compte 39 sociétés parmi les 500 plus grosses, dont le numéro huit mondial, le pétrolier Total. Source : http://www.aujourdhuilachine.com/actualites-chine-la-chine-en-force-dans-la-liste-des--plus-grandes-entreprises-du-monde-7997.asp?1=1 -
Renaissance de l'empire du Milieu ?
Rochambeau a répondu à un(e) sujet de Rochambeau dans Politique etrangère / Relations internationales
En faites sur se coup là, Sarkozy a parlé trop vite ... Pour ma part, je préfère lécher le cul aux jolies américaines et chinoises ... mais bon c'est une question de goût :P -
Un 14 juillet de protestation ?
Rochambeau a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Divers
Hola, faut arrêter de tresser Jojo67 ... Quel français connait encore aujourd'hui la "symbolique" du 14 juillet ... le français moyen s'en tape ! :lol: Pff, ils ont déjà peu d'estime pour nous alors ... Et puis comme vous dites la source n'est sur. -
Un 14 juillet de protestation ?
Rochambeau a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Divers
Faut pas exagèrer jojo67 ... C'est juste un mécontentement, "malheureusement" sa tombe sur Sarkozy ... et puis Sarkozy n'est pas allé main morte avec eux donc fallait s'y attendre. Mais bon, ce n'est pas une révolution non plus :lol: -
Un 14 juillet de protestation ?
Rochambeau a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Divers
Cela fait environs trente ans que nos politiques retard tel ou tel truc, et le discours de Sarkozy lors des précédentes élections leurs ont donné de "faux" espoir. D'autant plus que le style du président ne plait pas du tout ... Et là ils ont ras le cul ... en tout cas je comprendrai tout comme j'ai compris les manifestations des policiers avant. -
Normal, Le fleuret est déstiné à l'étude et compétition d'escrime. http://fr.wikipedia.org/wiki/Fleuret_(arme) @ Durandal2, vous savez le poids peut dépendre du forgeron ... ce qui est sur d'après wiki : la lame fait dans les 700 à 900 g. Ou peut-être que vous aviez vu un tachi qui est une variante plus longue ...
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Renaissance de l'empire du Milieu ?
Rochambeau a répondu à un(e) sujet de Rochambeau dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est officiel, Sarkozy ira à la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques de Pékin C'est fait. Il n'y avait plus guère de suspense, mais Nicolas Sarkozy a officialisé sa décision. Une conférence de presse était prévue avec les journalistes qui le suivent au G8 au Japon, mais finalement le président français s'est contenté d'un communiqué après sa rencontre avec Hu Jintao. Le président français Nicolas Sarkozy a confirmé mercredi sa participation attendue et déjà critiquée à la cérémonie d'ouverture des jeux Olympiques de Pékin le 8 août, alors que le dialogue ouvert entre la Chine et le dalaï lama semble au point mort. Comme il l'avait annoncé, M. Sarkozy a livré la primeur de sa décision à son homologue chinois Hu Jintao, qu'il a rencontré au matin de la journée de clôture du sommet du G8 à Toyako. Avant d'en informer la presse par un simple communiqué, distribué avant la fin de leur entretien. "Le président de la République a confirmé au président chinois son intention de se rendre à Pékin le 8 août pour prendre part à la cérémonie d'ouverture des 29èmes olympiades", indique ce texte. "Le chef de l'Etat a consulté à ce sujet l'ensemble de ses homologues européens. En accord avec eux, c'est donc en sa double qualité de président de la République française et de président en exercice du Conseil européen que le président Sarkozy assistera à la cérémonie", ajoute le communiqué. L'Elysée a ainsi fait savoir que la chancelière allemande Angela Merkel, qui a pourtant annoncé qu'elle n'irait pas à Pékin, s'était "réjouie" de la décision du président français. Cet entretien, qui marquait les retrouvailles entre les deux dirigeants depuis la visite de Nicolas Sarkozy en novembre, s'est "extrêmement bien passé", a-t-on souligné dans l'entourage du président français, "la relation franco-chinoise est à nouveau sur les rails du partenariat stratégique". Les liens entre les deux pays ont subi un coup de froid en avril à la suite du passage de la flamme olympique en avril à Paris, perturbé par des manifestants pro-tibétains dénonçant la répression par l'armée chinoise de troubles quelques semaines plus tôt au Tibet. Nicolas Sarkozy s'était déclaré "choqué" par les événements tibétains et avait assuré qu'il n'assisterait à l'ouverture des JO qu'en cas de reprise du dialogue entre la Chine et les représentants du dalaï lama. Avec la reprise de ces pourparlers la semaine dernière, la présence du président français le 8 août à Pékin ne semblait plus faire guère de doute, ses proches multipliant les confidences confirmant sa décision. Ces "fuites" ont déclenché une violente polémique en France. Le patron des députés de l'opposition socialiste Jean-Marc Ayrault a appelé Nicolas Sarkozy au boycott des JO "au nom de tous ceux qui luttent pour la liberté et les droits de l'Homme", et le secrétaire général de Reporters sans frontières (RSF) Robert Ménard lui a reproché d'"abandonner ses propres engagements". Lors d'un entretien le 30 juin sur la chaîne de télévision France 3, il avait une nouvelle fois précisé les conditions de sa participation. "Si ça (les discussions sino-tibétaines) devait progresser encore et si le dalaï lama et le président chinois reconnaissaient les progrès, alors l'obstacle à ma participation serait levé", avait-il dit. Malgré les déclarations d'un émissaire du dalaï lama, Lodi Gyari, se déclarant "déçu" par ses discussions avec la Chine, Nicolas Sarkozy a finalement confirmé mercredi à Hu Jintao sa venue à Pékin. Aucune information sur l'état des pourparlers sino-tibétains n'a filtré de leur entretien. "Nous avons convenu d'un commun accord que rien ne serait dit à ce sujet d'ici la prochaine session de discussions prévue en octobre", a-t-on indiqué dans l'entourage de Nicolas Sarkozy. L'Elysée a fait preuve de la même discrétion sur une éventuelle entrevue du président avec le dalaï lama lors de sa visite en France en août. Mardi, Pékin avait prévenu qu'une telle rencontre aurait des "conséquences graves" sur les relations franco-chinoises. Source : http://www.aujourdhuilachine.com/actualites-chine-c-est-officiel-sarkozy-ira-a-la-ceremonie-d-ouverture-des-jeux-olympiques-de-pekin-7955.asp?1=1 Sarkozy annonce sa présence aux JO : réactions des Pékinois http://www.aujourdhuilachine.com/actualites-chine-sarkozy-annonce-sa-presence-aux-jo-reactions-des-pekinois-7960.asp?1=1 Source : http://www.aujourdhuilachine.com/informations-chine-mise-en-garde-de-la-chine-sur-une-rencontre-entre-sarkozy-et-le-dalai-lama-7943.asp?1=1 Il y a truc qui me turlupine dans cette hsitoire ? Pourquoi c'est seulement la France qui est visé par les critiques ? Que je sache il y a eu les même protestations dans d'autre pays d'Occident ? -
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Escrime_m%C3%A9di%C3%A9vale#Sujets_d.27.C3.A9tude http://jfgilles.club.fr/escrime/index.html http://www.detailleetdestoc.com/ http://ardamhe.free.fr/ http://laghilde.free.fr/ http://www.lugdunenses.com/ http://70.80.189.194:8080/
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Dans une armurerie "près" de chez moi, un vendeur avait exposé son Katana. Il avait dis que le sien pesait environs 1,060 kg avec une lame qui faisait dans les 700 à 800 g. Maintenant reste à savoir si c'est un wakizashi ou un katana (il me faut encore voir les deux ensembles pour les diffèrencier :P) L'escrime chinoise avec le fameux Jian, qu'on voit notamment dans "Tigre et dragon" et "hero" etc ... . La maitrise est assez particulière, celle-ci oblige l'escrimeur à faire des mouvements amples et rapides à cause de sa fragilitée.
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Tancrède je ne dis pas le contraire. ;) Kenshin vise les gamins ou les grand gamins :P, bref c'est un vrai shonen ... Tandis que Vagabon vise clairement un autre public (un seinen forcément). Moi je le "comparerai" plutôt à Satsuma, ou à L'habitant de l'infini (quoique celui-ci est genre "fantastique"), ou encore à Lone wolf and cub et bien sur comme vous le citez Kaze No Shô.
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En même temps Kenshin et Vagabon ne vogue pas dans les même catégorie ... Vagabon est plus sérieux, surtout que les phases de combat sont plus lente et "réaliste". Et surtout un héro qui ne sourit que une fois en douze volume. Je dois admettre que Takehiko Inoue a fait du très bon travaille ! Franchement je mis attendé pas après son "Slam dunk", un virage à 180°. Lien sur l'escrime à l'ancienne : http://www.parlepee.com/