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Tout ce qui a été posté par Chronos

  1. Pléthore d'armes en circulation en C.I. http://www.lalibre.be/actu/international/article/753796/a-abidjan-on-peut-louer-une-kalachnikov-pour-30-euros.html
  2. Un article sur les "brigades internationales" de l'ASL. http://www.lalibre.be/actu/international/article/753631/ils-avaient-l-accent-londonien.html
  3. Chronos

    Armée de Terre polonaise

    Les polonais cherchent à "opexiser" leur armée en somme ? On ne constate pas vraiment une réelle volonté de déploiement pourtant. Sur le plan politique. Ou alors nous assistons au début de la concrétisation de cette politique nouvelle ? S'agit-il d'une modernisation de la BITD ou de sa création ? Il me semblait que la Pologne disposait d'une industrie de défense de très bon aloi jusque dans les années 90, y compris en aéronautique (domaine où ils ne sont pas un petit sous traitant, notamment chez Agusta).
  4. En effet. L'avenir n'est pas/plus au moteur diesel pur. Les coûts prohibitifs sont ceux d'une technologie balbutiante n'ayant pas encore un grand attrait et donc pas de grand marché. La hausse mécanique des coûts du pétrole liée à la déplétion des productions est en mesure de rendre un tel mode de propulsion de plus en plus attractif. Il me semble que Porsche expérimente un modèle de voiture hybride.
  5. Ce qui n'est guère réjouissant, surtout lorsqu'on analyse ce qui aurait pu se passer dans nombre de pays démocratiques de l'époque, y compris aux USA. Cet enseignement, notamment en Amérique, est à mettre à la lumière de l'influence grandissante de certains lobbies à l'image d'Eglises et de l'accès à certains systèmes d'armes très sophistiqués.
  6. Ok. Smedley Butler pour la figure célèbre ? Je n'ai pas rouvert War is a racket pour l'occasion mais j'imagine que cela doit s'y trouver.
  7. Arrêtes de te contredire, espèce de crypto-Jacques ! Blague à part la position de négo existe quand même (tu l'expliques dans ton dernier paragraphe, la menace de quelques unes de ces mesures n'est-elle pas capable de permettre d'en faire passer, déjà ?). Via la simple licence obligatoire en matière pharma, arme utilisée par des pays émergents et encore de manière gentille, et mécanisme préexistant surtout. En ces périodes de morosité économique, l'argument pourrait être même exploité via la baisse du pouvoir d'achat des gens et l'austérité forcée. Le cas des médocs est encore plus particulier en ce que l'exemplaire étant largement diffusé et analysable, les boites de pharma sont contraintes d'exiger des extensions de brevets pour que le profit rentre pour de vrai, les périodes de certification pouvant être très longues. Ne peut-on pas trouver inspiration dans les méthodes utilisées en Malaisie par Mahatir Muhammad, enfin tant que certaines règles fondamentales du jeu démocratique ne sont pas mises en danger ? Par contre ce que je ne comprends pas c'est le pouvoir de marché des organismes non essentiels. Une boite pharma détient, tout comme une entreprise agro-alimentaire, un pouvoir sur des denrées fondamentales. Le CIO absolument pas, il ne détient son pouvoir que parce qu'une multitudes de villes sont quémandeuses d'une entreprise ruineuse pour leur comptabilité (tout comme une coupe du monde de foot, à en croire de nombreux reportages). Bref pourquoi céder ? Il doit bien y avoir des avantages, notamment un intérêt de la population vers certaines choses qualitativement moins importantes et l'implantation d'une idéologie sportivo-sportive mais est-ce vraiment tout ?
  8. C'était bien ma question. Des problèmes pour la température du moteur ou simplement une masse à ne pas dépasser par rapport à la puissance moteur ?
  9. Mais pourquoi "fermer" l'avant et pas l'arrière ?
  10. C'est moi ou ils "intègrent" systématiquement les surblindages ? Ya rien qui dépasse. Autre question : les cages à poule/armatures pour surblidnage sont visibles pour le show ou c'est toujours comme ça ?
  11. +1. Et encore, les messages de Henri K ont été supprimés :lol:. 20 minutes pour les charger ceux-là . (dommage ceci dit, c'était sa volonté mais ses apports comptaient).
  12. Probablement en rapport avec le sujet. Plusieurs entreprises américaines font pression pour favoriser le rapatriement d'avoirs aux USA, en évitant l'impôt et donc en faisant changer la législation/instituer une niche fiscale temporaire. http://www.lalibre.be/economie/actualite/article/753204/les-geants-technologiques-encombres-par-un-tresor.html
  13. Niches fiscales et échappatoires permettent aux grandes entreprises américaines d'amasser de colossaux trésors de guerre sur des comptes à l'étranger... mais ils ne savent qu'en faire. Du moins tant qu'on n'abaissera pas à zéro les taxes pour le rapatriement des avoirs. Chute intéressante de l'article sur le byzantinisme fiscal, soit dit en passant. http://www.lalibre.be/economie/actualite/article/753204/les-geants-technologiques-encombres-par-un-tresor.html
  14. Une population jeune dépense mais aussi épargne et donc dépose de l'argent sur son compte en banque. Structurellement, un pensionné retire ce qu'il a épargné. Enfin le Japon a plus ou moins émis de la dette pour toute l'épargne. Concrètement la population détient plus de créances vis-à-vis du gouvernement que d'argent "en propre" (il est sur compte en banque virtuel donc en propre est... impropre). Pour financer sa dette (donc ses emprunts ET les intérêts dus à la population), le cabinet nippon va devoir aller sur les marchés, de plus en plus. Le problème est qu'il va emprunter sur des marchés mais que sa marge de manoeuvre pour s'honorer des intérêts de ces emprunts là est limitée, parce qu'il a déjà un service de la dette vis-à-vis de sa propre population, et que ce service est à l'aune du niveau d'endettement, soit énorme. Bref à un moment ça va finir par coincer. Par contre un truc que je comprend pas 'est pourquoi on s'excite avec cette histoire de taux négatif. Celui qui emprunte à par exemple 0 ou -1% pour rembourser une dette contractée à 3% (par ex) réduit mécaniquement son service voir même une partie de son principal non ? Les Etats bénéficiant de cette situation ne sont-ils pas, en s'endettant, occupés à apurer leurs comptes ?
  15. Hum. Dans ce cas les troupes syriennes ont une tendance prononcée à la débandade ? Parce que bon, j'ai beau lire ce que je constate est que même la capitale n'est plus un sanctuaire, la première ville économique du pays, Alep, n'est plus que partiellement contrôlée par le régime. Le reste du territoire semble hors de contrôle. Donc à part les FS et deux divisions d'élite + des pasdaran occupant des positions et donc de facto déchargeant l'armée loyaliste de certains secteurs, que reste-t-il réellement ?
  16. Eh ben la mise en scène. Monsieur a son marketing comme dirait l'autre. Chante l'hymne national, joue à mort sur le drapeau, la patrie... Tout y est, y compris la BO appropriée et quelques plans de films d'action (le premier mission impossible c'est patent). La vraie bande de superhéros, et désintéressés en plus :lol:.
  17. Ooooh un VT de Steel Bataillon :oops: Par contre je m'interroge sur la pertinence de relever le pilote dans la structure blindée (forcé vu qu'il s'agit d'un mechas). C'est mine de rien l'opposé de la doctrine des chars qui tend au contraire à ramener l'équipage vers le bas avec la constitution de tourelles inhabitées. L'avantage de l'évolution des blindés est qu'ils se constituent de plus en plus en nacelle de survie autour d'éléments qui la protègent (chenille, tourelle, moteur...). Là si nacelle il y a, elle est au beau milieu de la cible avec rien pour la protéger. Et hum. quel avantage réel en termes tactiques ? L'autopompe n'impressionne plus ?
  18. C'est à ça que je pensais et justement soulignais qu'une telle chose était difficilement concevable mais pas impossible.
  19. Simple note. j'envisageais en cas d'acte du souverain la trahison, du fait du privé lésé, de forces métropolitaiens et non pas d'implication de la "home army" ailleurs.
  20. Qu'Assad ait une chance de gagner la guerre civile est une affirmation assez péremptoire étant donné que la rébellion dispose de bailleurs de fonds importants et d'un sanctuaire. Par contre il a ses chances de ne pas la perdre, ce qui augurerait un conflit long.
  21. Moyennement d'accord. Je suis d'accord avec le rapport de causalité pour les fournisseurs majeurs dans d'autres Etats, le cas de GDF et des factures en Belgique en est un bel exemple ;). Dans un tel cas de figure, le poids sur la scène nationale est strictement dépendant de l'avis du chef de l'Etat car sa position a été obtenue uniquement parce qu'il le veut bien. Tout dépend de la situation mais un Etat étranger dans lequel l'entreprise aurait ses intérêts aurait-il réellement quelque chose à dire en cas de remplacement du CA pour un motif donné ? Encore plus fois tout dépend où se situent le gros des billes sur le plan géographique et le préjudice réellement subit. Non dans le cas précis je le vois plus comme une complicité entre Etat et milieu d'affaire réglementairement qu'une influence d'un affairiste sur l'Etat (ce qui n'empêche pas le partage d'une idéologie commune, mais là on tombe plus dans l'influence d'une forme de religion que d'un intérêt économique privé au sens stricte). Là on tombe sur un autre cas de figure vachement plus internationalisé mais quand même fort dépendant des Etats, notamment côté français par contrôle indirect (via Lagardère)
  22. Bof, à partir de l'avènement de Louis XV et de la politique du visa la chose diminue quand même très fort au profit de personnes ayant moins de sang bleu. les grands, à quelques rares exceptions (cas des Nouailles), ne sont plus si riches que cela et le train de vie qu'ils s'imposent les ruinent fort vite (voir le cas de Choiseul qui avec ses millions de rente trouvât le moyen de se retrouver fauché). La puissance financière est plus à chercher auprès de ceux qui parviennent à mettre une Pompadour dans le lit de Sa Majesté, à savoir les fermiers, dont les plus influents viennent de plus bas (les Pâris), et plus tard, madame du Barry. Il est intéressant de noter que toutes les grandes concentrations capitalistiques de l'époque étaient ancrées dans un territoire donné. Elles étaient d'un Etat et projetaient leurs activités sur la planète entière. Le phénomène que nous vivons me semble plus important en ce que ces entreprises sont à présent en mesure de réellement changer de pays. Dans une certaine mesure la technologie à rendu cela possible pour certains domaines (le cas des transports terrestres et de l'énergie demeure en revanche plus complexe).
  23. Il convient de noter que dans certains cas historiques comme actuels, c'est l'Etat lui-même qui crée ces organismes plutôt qu'il ne les voit prospérer à son détriment. Le cas de la compagnie des Indes, en France, est patent, en ce qu'elle fut fondée par la Couronne et non par des particuliers se voyant ensuite accorder une charte. Fondamentalement cette compagne (et les autres) sont ancrées dans un Etat bien déterminé, ne peuvent en changer si aisément et la mentalité de ses dirigeants ne le permet pas. Leur puissance repose sur un et un seul facteur : la charte accordée par un souverain absolu. On peut quand même noter que ces compagnies apportèrent plus d'avantages que d'inconvénients à leurs Etats pendant l'essentiel de leurs existences et à quelques exceptions près (cas de la VOC), ne survécurent pas longtemps à de véritables grosses secousses (faillites, révoltes des contractors pour les anglais). Globalement, à quelques rares exceptions près, peut-on réellement considérer que ces compagnies sont de véritables entreprises privées ? Le monopole n'est pas accordé que par effet de clientélisme mais également par un besoin de rentabilité. La libéralisation du commerce des Indes fut tentée en Angleterre, mais les concurrents se sont retrouvés incapables de survivre à la concurrence de l'ancien monopoleur qui lui-même perdait des quantités notables de fric. Le résultat aboutit à une fusion. La charte en elle-même, est bien plus qu'un simple code des sociétés en ce qu'elle appuie nommément la constitution d'une entreprise (alors l'octroi à une entreprise bien déterminée peut effectivement faire l'objet de magouilles bien senties, je ne nie pas), mais l'entité en bénéficiant en acquiert-elle un véritable pouvoir de parasitage ? Le souverain est toujours en mesure d'exiger, s'il le désire, tel ou tel changement faute de quoi la Charte va à un autre. Certes il se retrouvera face à un mur de corruption de ses auxiliaires, notamment ses troupes métropolitaines, mais la chose ne me semble pas si illusoire que cela du moins jusqu'à un certain stade et selon la masse critique de l'Etat envisagé. Si on prend le cas de l'UK, il est à noter que l'East India n'était pas la seule compagnie officiant, que même si elle générait des guerres couteuses pour le Trésor britannique, lui apportait également matières à rentrées fiscales (commerce de denrées sur lesquelles taxer fortement) ainsi qu'une position économique et commerciale entraînant de quoi assumer un appareil militaire conséquent, préservant l'Etat sur la scène international (et donc faisant du régime anglais de l'époque non pas une machine capitalisto-libérale mais plutôt un appareil militaro-fiscal tendant vers le capitalisme d'Etat. À qui appartenait les chantiers navals ? ). Enfin hum, pour l'époque et vu la concentration des pouvoirs... Ces influences étaient-elles réellement anti-démocratiques ? Le cas néerlandais me semble plus pertinent. Tu prends l'exemple d'EDF. C'est pas plutôt un exemple de compagnie justement faible ? Elle reste détenue par l'Etat si mes souvenirs sont bons. Elle ne peut pas déplacer ses capitaux ni son siège social sans l'aval du premier actionnaire qui se trouve être le gouvernement administrant le territoire sur lequel se trouve son core business : les centrales. Qu'est-ce qui empêche le pur et simple remplacement de son CA si le besoin politique s'en fait sentir dans le chef des actionnaires ? Même en pur droit privé la chose est envisageable il me semble.
  24. Je n'ai pas dit que l'Etat syrien était de jure réservé aux alaouites. De facto la faction religieuse de Bachar contrôlait le pays. Les chrétiens ont également leur part et ils ont un intérêt mine de rien objectif à la survie du régime.
  25. Dans le cas d'Oradour il s'agit de SS et donc de troupes directement inféodées au parti, sa milice privée. Il ne faut pas négliger les subtilités des accords germano-britanniques de 1935 qui de facto entrent en contradiction avec les restrictions navales du Traité de Versailles. La préservation de compétence via des investissements aux Pays-Bas n'est pas le fait du régime nazi mais de la démocratique république de Weimar, tout comme les sites d'essais de matériel en URSS, le fait que la Reichswehr dispose de cadres et hommes du rang formés deux rangs au-dessus de leur grade officiel. Sinon pour revenir au sujet c'est étrange de trouver un soum si loin. Je vois mal pourquoi s'enfoncer à 100 kilomètres en territoire canadien pour réparer s'il le faut. Si les canadiens avaient récupérés le soum ça devrait figurer dans leurs archives.
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