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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. g4lly

    Le scandale du VHM

    Un budget UK 30% supérieur au notre ... le VBCI qui été la priorité remplacant une parti des VAB pour les unité les plus exposé, la croyance dans laquelle les conflits dans lesquelles on allait etre engager se passer dans des endroit assez accessible. La logique du livre blanc ... qui temps a réduire les spécificité amphib et montagne le montre bien. Ajouter a ca le fait que les chenillette blindé ne sont pas la panacée universelle ... forcement le processus d'acquisition prend du plomb dans l'aile, meme si dans certain contexte ce genre d'engin surtut en l'absence d'aeromobilité credible devient indispensable.
  2. http://www.battlefieldtourist.com/content/2008/09/09/haqqani-network-getting-hammered-counter-attacks-in-n-waziristan/ Haqqani Network Getting Hammered; Counterattacks in N. Waziristan Sep 9 at 11:11pm by David Tate Over the past two weeks, the Haqqani terrorist network has been under a daily assault, in both Afghanistan and Pakistan, causing heavy fighting to erupt in North Waziristan. It comes on the heels of a US missile strike against the network’s top madrassa facility and now militant fighters loyal to the family are counterattacking. Geo TV reports Taliban fighters attacked two Pakistani army camps; one in Miramshah and one in Mir Ali. The Long War Journal is reporting that up to 150 Taliban took part in the attacks and that the fighting is ongoing. US sources tell The Long War Journal that the attacks in Pakistan are more symbolic than anything and speculated a larger respopnse could be in store for US troops operating in eastern Afghanistan. The attack follows the September 8 missile attack in Dandi-zar-Dapakehl, North Waziristan that killed several members of Jalaluddin Haqqani’s family. As many as 15 Al Qaeda operatives were also killed. Two reports say the dead include Al Qaeda’s top man in Pakistan, Abu Firas al Masri. The fighting culminates two straight weeks of attacks on Haqqani network targets that have been steadily increasing all year, in both Afghanistan and Pakistan, to levels previously unseen. Preperation For The “Winter Offensive” ? Coalition targets include training facilities, command and control as well as leaders of all rank within the Haqqani command structure. Below are reported operations conducted over the past 14 days involving the Haqqani network: Afghanistan September 5 - Multiple operations are launched across Khowst Province targeting members of the Haqqani terrorist network. The coalition says a total of four militants were captured, including one known longtime leader within the network September 6 - Coalition forces killed ten militants and captured three others Khowst Province during an operation targeting members of the Haqqani terrorist network. In a press release, the coalition says as its forces approached the target compound, a group of men began firing as they ran for a nearby treeline. The coalition soldiers engaged the fighters before calling in helicopters and close air support, killing eight fighters, including the intended target who was believed responsible for direct attacks and a suicide bombing in Sabari district, Khowst Province that killed two coalition soldiers March 3. Following that action, the coalition troops entered the compound where they were met by three other armed men; two surrendered and the third was shot to death when he refused to lay down his weapon (In May, several Haqqani terrorists from the same cell were killed and seven captured). September 8- Coalition forces arrest two men, including the intended target, in Mando Zayi district, Khowst Province. The targetted militant was a wanted member of an IED ring. September 9 - Two Haqqani network members are arrested in Khowst Province. The men are suspected of being involved in roadside bombings. Pakistan A senior US military source confirms to the The Long War Journal that American missles were to blame for the attack on the main madrassa in North Waziristan operated by the Haqqani network. It was the latest US attack against Haqqani network targets across Pakistan’s Tribal Agency. Other recent attacks compiled by The Long War Journal include: • US targets Haqqani Network in North Waziristan, Sept. 8, 2008 • US airstrike killed five al Qaeda operatives in North Waziristan, Sept. 5, 2008 • Report: US airstrike kills four in North Waziristan, Sept. 4, 2008 • Pakistanis claim US helicopter-borne forces assaulted village in South Waziristan, Sept. 3, 2008 • US hits al Qaeda safe house in North Waziristan, Aug. 31, 2008 • Five killed in al Qaeda safe house strike in South Waziristan, Aug. 31, 2008 • Al Qaeda safe house targeted in South Waziristan strike, Aug. 20, 2008 Jalaluddin Haqqani is a veteran commander of the Soviet-Afghan war who was favored among the Americans and Saudis. It was during those days that Haqqani became close to Osama bin Laden. After the Taliban came to power in Afghanistan in 1996, Haqqani served as Minister of Tribal Affairs. Today, the Haqqani network is considered the primary Taliban faction orchestrating attacks in Afghanistan and is credited with introducing the tactic of suicide bombing to the Afghan theater. Haqqani is believed to be in Afghanistan and in poor health. Sirajuddin Haqqani, Jalaluddin’s son, is currently in actual control of the terrorist network. Long War journal http://www.longwarjournal.org/archives/2008/09/haqqanis_attack_paki.php
  3. http://www.france-info.com/spip.php?article183203&theme=81&sous_theme=184 Fusillade de Carcassonne : 5 soldats reconnaissent de graves dysfonctionnements France Info - 06:04 Le 29 juin dernier, lors d’une démonstration d’exfiltration d’otages devant plus d’un millier de spectateurs, un sergent du 3ème régiment parachutiste d’infanterie de marine blesse 17 personnes dont un enfant de 3 ans, en tirant par erreur à balles réelles au lieu de balles à blanc. Le jour même et le lendemain, cinq soldats dont le tireur sont entendus par les gendarmes... France info a pu avoir accès aux procès verbaux de ces auditions. Les récits de ces cinq soldats révèlent de graves dysfonctionnements dans le contrôle des munitions. Le règlement de l’armée prévoit en effet qu’après chaque exercice à balles réelles, les soldats doivent vider leurs chargeurs et rendre les balles non utilisées. Cette pratique, au vu des témoignages, était très loin d’être respectée au sein du 3e RPIMA... A propos du contrôle des munitions : - Sergent J : "Les munitions sont entreposées dans une armoire fermée avec un cadenas, commune aux deux commandos, dans une pièce sécurisée. La clé est déposée dans le bureau des officiers. Tous les membres du commando ont accès à cette clé." - Est-il possible de garder des balles réelles sans les restituer à l’issue d’un tir ? - "Bien évidemment, c’est possible ; Notre groupe tient sur la responsabilité de chacun. Personne n’ira vérifier le nombre de cartouches tirées, le nombre de cartouches rendues et ce que fait chacun d’entre nous. Pour ma part, ca m’est arrivé de garder des munitions à balles réelles sachant que j’avais un autre tir le lendemain. Nous avons souvent un emploi du temps chargé qui nous fait rentrer tard le soir et reprendre tôt le lendemain. Le denier tir à balles réelles remonte au 26 juin 2008 à Pamiers. J’avais emprunté un chargeur à un collègue." - Quelle est la procédure de récupération des balles après un tir à balles réelles ? - Lieutenant C , chef de l’une des 2 équipes de commandos : "Après les tirs à balles réelles, on se contrôle par binôme. On vérifie les armes, les douilles sont mises dans une caisse a part, celles non-utilisées dans une boîte a part. Je ne fais pas la vérification générale des armes. Chaque personnel est responsable de son arme. Nous avons instauré la vérification par binôme." - Est-il possible qu’un soldat garde des munitions ? - "C’est très possible. Il n’y a pas de contrôle." - Est-ce qu’il arrive que des militaires s’échangent des chargeurs ? - Sergent B : "Ca arrive." - Et des armes ? - "J’imagine que cela peut arriver." - Sergent V : "L’armoire pour les cartouches à blanc est jaune, celle pour les cartouches réelles est grise. Ce ne sont pas des armoires fortes. Toute les deux sont verrouillées avec un cadenas. Toute l’équipe a accès aux 2 armoires. Lors d’un stage du 15 au 20 juin, à Mont-Louis, je réalise a présent que je suis parti là bas avec des chargeurs contenant des munitions réelles. Aucun incident n’a pu se produire car c’était un stage de corps a corps." A propos de l’organisation de la manifestation : - Sergent Y : "J’avais des bouchons anti-bruit pendant la démonstration. Il y avait de la fumée partout. Je n’ai rien vu. Le sergent V. (le tireur, NDLR) ne pouvait pas voir que le bouchon de sécurité avait sauté." - Y a-t-il eu une note de service sur la démonstration du 29 juin ? - "Je n’en ai pas eu connaissance." - Lieutenant C : "Concernant le scénario des démonstrations, il y a eu des correctifs entre temps. Il y a eu une note pour ce changement, que je n’ai pas vue. Au départ, la tente avec le public devait se trouver dans l’angle, à l’opposé de là où elle se trouvait. Mes hommes se sont entrainés 2, 3 jours avec cette configuration. Il n’y a pas eu de mesures de sécurité particulière liée à la présence de la foule." - Officier supérieur adjoint P : "Les tirs qui ont été effectués à blanc étaient dirigés vers une extrémité du terrain où il était censé ne pas y avoir de public. Au départ, le positionnement du public ne se trouvait que d’un coté de la zone de jeu, côté mâchefer." - Sergent L : "Un coup c’était moi qui lançais le fumigène, un coup c’était le sergent V. (le tireur, NdLR) Ce jour là, le fumigène lancé par V. a fait effet, en jouant son rôle d’écran. Je ne distinguais plus le plastron (l’assaillant qui sort de la foule, NdLR) avec la fumée. Je ne voyais plus la foule non plus. L’action devait être dynamique. Nous devions assurer la fluidité de l’action. Je n’ai pas analysé ce qui se passait. Je n’ai pas reçu de consigne particulière en ce qui concerne les tirs vers la foule."
  4. g4lly

    [Russie] Mil Mi-26

    Y a d'autre souci avec le downsizing ... c'est de croire qu'on a plus d'adversaire potentiel technologique. Alors que la menace asymetrique ne fait que s'ajouter aux menaces classiques. La menace chinoise et russe n'est pas insignifiante. Et meme si dans un futur tres proche y a pas de risque de conflit direct ou indirect avec eux ... dans un avenir a peine plus lointain y a pas de raison qu'on ait pas a leur disputer nos intérêt pas forcement a nos frontiere mais dans des endroit presque aussi stratégique. Réduire la voilure techno alors que les autres l'augmente rapidement ... est assez risqué. C'est pas faute d'avoir été prévenu pourtant ca s'agite en Asie et aux frontière de l'Europe. Sitôt qu'ils auront pris un peu plus d'assurance il faudra être suffisamment convainquant pour pas subir. Pour l'achat d'Mi 26 y a pas mal de souci logistique et de compatibilité ... c'est un helo hors norme qui ne convient pas a pas mal de nos installation et a nos habitude de déploiement. Pas forcement super utilisable avec nos habitude actuelle.
  5. g4lly

    Aéronavale et l'avenir

    C'est un grand classique la base mobile type plateforme qui utiliserait les moyen classique et pas des moyens spécifiques aeronaval. Y a pas mal de probleme notamment le probleme de la mobilité a la fois stratégique et tactique ... et la vulnérabilité. En gros ca doit etre deplacé en morceau ... et c'est assez lent bien plus qu'un PA ... une fois assemblée sur place c'est tres peu mobile donc une cible relativement facile a qui aurait accès a l'imagerie satellitaire. Impossible de passer inapercu avec un bordel pareil qui file 5kts maxi ...
  6. C'est probablement ce qui va se passer avec un réarrangement de la formation sur plusieurs bateau pour des durée plus courte, plutot que tout sur le meme longtemps. D'autant qu'en plus du navire école il faut prévoir un ou deux navire d'accompagnement, selon les besoin des application.
  7. g4lly

    Aéronavale et l'avenir

    Je cross post ici Exclusif: l'Atlantique est désormais un bombardier Depuis le mois de juillet, l'avion de patrouille maritime Atlantique 2 de la Marine nationale est certifié comme bombardier. Il peut désormais tirer des bombes guidées laser GBU-12. Sa capacité d'emport est de quatre bombes de 250 kg en soute. Pour larguer ses bombes, l'Atlantique 2 a besoin qu'un autre avion ou qu'un TacP (contrôleur aérien avancé) au sol éclaire sa cible, car il ne dispose pas (encore ?) de son propre pod de désignation laser. L'intérêt de l'Atlantique est qu'il peut rester en vol une dizaine d'heures au dessus de ces cibles potentielles. Ne disposant pas d'autoprotection contre les armes sol-air, il doit toutefois rester à haute altitude. Cette adaptation d'un avion conçu pour traquer les sous-marins se justifie par un éventuel emploi sur le continent africain, où la menace est faible. Pas question de l'engager en Afghanistan : l'Atlantique n'est pas un avion adapté au vol en montagne. Il reste malgré tout un marin ! http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2008/09/exclusif-latlan.html Répondre sur http://www.air-defense.net/Forum_AD/index.php?topic=6992.msg329838#msg329838
  8. Exclusif: l'Atlantique est désormais un bombardier Depuis le mois de juillet, l'avion de patrouille maritime Atlantique 2 de la Marine nationale est certifié comme bombardier. Il peut désormais tirer des bombes guidées laser GBU-12. Sa capacité d'emport est de quatre bombes de 250 kg en soute. Pour larguer ses bombes, l'Atlantique 2 a besoin qu'un autre avion ou qu'un TacP (contrôleur aérien avancé) au sol éclaire sa cible, car il ne dispose pas (encore ?) de son propre pod de désignation laser. L'intérêt de l'Atlantique est qu'il peut rester en vol une dizaine d'heures au dessus de ces cibles potentielles. Ne disposant pas d'autoprotection contre les armes sol-air, il doit toutefois rester à haute altitude. Cette adaptation d'un avion conçu pour traquer les sous-marins se justifie par un éventuel emploi sur le continent africain, où la menace est faible. Pas question de l'engager en Afghanistan : l'Atlantique n'est pas un avion adapté au vol en montagne. Il reste malgré tout un marin ! http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2008/09/exclusif-latlan.html
  9. g4lly

    Le scandale du VHM

    La question c'est pourquoi Stratège n'ouvre pas un blog ... plutôt que de rabâcher sont point de vue sur les fora et commentaire ...
  10. Pour mettre quoi dessus ?! on a pas d'helico et on en aura pas beaucoup plus dans le futur... 3 BPC ca embarque 18 tigre et 30 NH90 ... plus 8 NH90 sur les TCD ... et on a une battelerie en ruine. Si c'est pour faire promene couillon pas besoin de radier immergeable et de tout le tralala, autant repeindre un roulier en gris. au moins le roulier ca sert :)
  11. La solution la plus simple c'est de coller les élèves officiers sur les bateaux qu'on a déjà ...
  12. the smell of a rotting, dead animal :lol:
  13. Le Mi-35 la soute n'est pas vraiment taillé pour transporter du personnel sauf en urgence ... par contre c'est super pratique pour des evac d'urgence ou du cargo. Le plus gros probleme en Afghanistan c'est l'aspect fantomatique de l'ennemi. L'ennemi apparait en tant que tel que lorsque qu'il décide d'attaquer, en dehors de rare cas ou on a pu mettre une identité sur un ennemi qu'on recherche particulièrement, l'ennemi et juste un résident afghan lambda. La première chose a faire c'est de forcer l'ennemi a se découvrir et d'apparaitre en temps l'ennemi pour pouvoir le traiter militairement. Le méthode sont connu, commandos de chasse, chèvre de monsieur seguin, honeypot etc. Le probleme est que c'est méthode c'est de la guerre crade ... et risqué et que pour le moment on rechigne a en passer par la, d'autant que si les resultats en terme de bodycount sont quantifiable, les résultat politique sont par contre loin d'être évident. La seconde chose c'est de traiter la logistique et les appui de l'ennemi, a la fois les financement, les recrutements, et les route d'approvisionnement. C'est un boulot de "police" pour renseignement, un boulot de service secret pour les actions d'élimination, la destruction, et un boulot de militaire pour l'interception/destruction des stock sur place. Meme si tout ca reussissait rien ne dit que que le combat des taliban ne change pas de nature ... restant aussi nuisible au regard de la construction d'un structure politique pas trop anti-occidental en Afghanistan. Les campagnes de terrorisme suffiraient dans un pays troublé a retarder longtemps la construction d'un état viable, pour peu qu'il continu a s'appuyer sur une population pas trop défavorable bon gré mal gré. L'OTAN a brulé pas mal de ses cartouche en Afghanistan, je ne sais pas trop comment elle pourrait encore susciter l'espoir au sein de la population, du moins un espoir qu'elle serait en mesure de satisfaire un minimum.
  14. En fait nos soldats remplacent l'OMLT neerlandaise ... c'est pour ca le melange ils ont du bosser ensemble un moment pour passer le relai.
  15. Approvisionnement par air des OMLT en Uruzgan Les 27 et 29 août, deux opérations d’aérolargage ont été menées sur la base opérationnelle avancée de Deh Rawood, dans la province d’Oruzgan. Ce sont les premiers largages de ce type (largage très grande hauteur – ouverture basse) effectués dans un contexte opérationnel. Cette phase de validation opérationnelle a permis de livrer rapidement aux hommes de la 6ème brigade légère blindée déployés en Oruzgan des approvisionnements du service des essences des armées (lubrifiants, carburants). Cette technique permet aux avions de rester hors d’atteinte d’éventuels moyens sol-air, tout en garantissant une excellente précision au sol. Seules cinq nations sont aujourd’hui en mesure d’effectuer ces opérations délicates qui requièrent un haut niveau de technicité. La FOB (Forward Operating Base) de Deh Rawood est située à plusieurs centaines de kilomètres de sa base logistique de Kaboul. Les ravitaillements par la route sont incertains, et le matériel acheminé par ce moyen met plus de trois semaines pour parvenir à destination en raison des contraintes opérationnelles. En outre, les axes empruntés ne seront plus praticables à l’arrivée de l’hiver. La livraison par air est donc un moyen vital de ravitaillement pour l’OMLT française de la province d’Oruzgan.
  16. Nouvelle OMLT en francaise en Uruzgan RC-South Depuis le 20 août 2008, une 6ème OMLT (Operational Mentoring and Liaison Team) est opérationnelle en province d’Oruzgan en Commandement régional sud (RC-Sud). Elle soutient le 2ème kandak (bataillon) d’infanterie de la 4ème brigade du 205ème corps de l’Armée nationale afghane (ANA), en remplacement d’une OMLT néerlandaise. Environ 70 militaires, essentiellement du 2ème Régiment étranger d’infanterie (REI de Nîmes), arment cette nouvelle OMLT. Un échelon de soutien a été mis en place sur la base néerlandaise de Deh Rawood. Une vingtaine de militaires français mettent en œuvre ce relais logistique entre le Bataillon de commandement et de soutien (BCS) à Kaboul et l’OMLT, tout en s’appuyant sur la chaîne néerlandaise. L’OMLT Oruzgan opère à partir des FOB (Forward Operating Base) de Tarin Kowt et Deh Rawood. L’action du kandak est coordonnée avec celle des contingents néerlandais, britannique et canadien présents sur cette zone. Le déploiement d’une OMLT française en province d’Oruzgan avait été annoncée le 24 octobre 2007 lors de la réunion informelle des ministres de la défense de l’OTAN aux Pays-Bas. http://www.defense.gouv.fr/var/dicodrefonte/storage/images/media/images/ema/afghanistan__2/omlt__3/08_09_08_afghanistan_une_nouvelle_omlt_en_rc_sud/80/1120944-1-fre-FR/80.jpg http://www.defense.gouv.fr/var/dicodrefonte/storage/images/media/images/ema/afghanistan__2/omlt__3/08_09_08_afghanistan_une_nouvelle_omlt_en_rc_sud/63/1120924-1-fre-FR/63.jpg http://www.defense.gouv.fr/var/dicodrefonte/storage/images/media/images/ema/afghanistan__2/omlt__3/08_09_08_afghanistan_une_nouvelle_omlt_en_rc_sud/61/1120919-1-fre-FR/61.jpg
  17. g4lly

    Hélidrones

    Le but du jeu c'est de se passer de l'équipage aero ... a bord de l'helo mais aussi a bord de la frégate. La problématique est la même pour les drone avion sur PA, l'atterrissage automatique est pas évident tellement y a de parametre a anticipé ... mouvement de la plateforme aérologie, qu'un pilote anticipe naturellement ou presque en regardant juste la mer l'effet de l'aérologie que les vague ou les élément flottant du navire etc. Le drone lui va plutôt etre en mode atterrissage de nuit au instrument ... c'est tout du suite moins simple a appréhender a cause de la reduction drastique des information permettant l'anticipation des mouvement relatif plateforme/aéronef. D'où l'intérêt d'ajouter des censeur tel les scanner de vague, centrale inertiel différentiel du navire lié a l'aéronef ... voire radar météo permettant d'anticiper l'aérologie locale. toute la problematique etant au pilote automatique de "décidé" quand atterir quand refuser l'atterissage comment gérer le timing en fonction des requete du personnel de bord et du niveau de sécurité qu'il fixe dans la manoeuvre - on peut supposer qu'a mesure ou le carburant baisse la limite de risque pris pour atterir augmente -
  18. En fait non Gefaut etait aussi au tout debut le nom de la version antichar et Tigre la version appui... Mais j'avais pas pris la peine de répondre, la reponse se situant deja sur le forum. Normalement on devrait avoir 40 HAP ... Helo Appui Protection avec canon + rocket + mistral, et 40 HAD Helo Appui Destruction avec en plus les Hellfire II. Les HAD seront livré directement avec le MT390E le surblindage et les amélioration reclamé par les espagnols puis par les australiens. Les HAP doivent etre remis au niveau des HAD au fur a mesure, niveau moteur, blindage et amélioration, mais peut etre pas missile, c'est pas clair sur le dernier point - ca dépend des rocket guidé je suppose, qui impose le désignateur laser -. Au final tous les helo pourrait être au format HAD ... Pendant un temps on parlait d'une commande supplémentaire pour portée la dotation a 120 (moitier HAP moitier HAD) mais il est fort probable que ca ne se produise pas dans un futur proche.
  19. Je vais être obligé de présenter mes plus plates excuses a Berkut ;) http://fr.wiktionary.org/wiki/t%C3%B4le l'orthographe de tôle/taule étant assez laxiste. Par contre le tôlier n'est pas le taulier attention !!! :)
  20. http://www.lepoint.fr/actualites-monde/devant-bajolet-le-general-georgelin-critique-la-reforme-du/1648/0/272330 Devant Bajolet, le général Georgelin critique la réforme du renseignement Par Jean Guisnel Le général Georgelin, chef d'état-major des armées, et Bernard Bajolet, coordinateur national du renseignement © WITT / SAEED KHAN / SIPA / AFP Manifestement, il y a un problème. Et la nouvelle priorité stratégique accordée au renseignement semble avoir un peu de mal à passer à l'état-major. De fait, le général Jean-Louis Georgelin, chef d'état-major des armées, n'a aucunement l'intention de se laisser indiquer de quelle manière il doit gérer les outils du renseignement militaire français - essentiellement la DRM, Direction du renseignement militaire - qui dépendent directement de lui. C'est en tout cas ce que le premier des militaires français a déclaré lors d'une table ronde tenue, lundi après-midi, à Saint-Malo, durant la 6e université de la Défense, son discours étant directement destiné au nouveau coordonnateur national du renseignement, l'ambassadeur Bernard Bajolet, qui était assis à deux mètres de lui. "Je n'ai pas attendu le Livre blanc pour faire du renseignement", a notamment déclaré Gean-Louis Georgelin devant 350 militaires, parlementaires et industriels européens, avant d'ajouter : "Ne donnons pas l'impression de partir de zéro." Installé officiellement dans ses fonctions, le 5 septembre dernier, par le secrétaire général de l'Élysée Claude Guéant, Bernard Bajolet ne dispose que d'un petit état-major de quatre hauts fonctionnaires civils et militaires. Mais son rôle est clairement défini, et sa coordination concerne tous les services de renseignement des ministères de l'Intérieur (DCRI) et de la Défense [Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), direction de la protection de la sécurité et de la défense (DPSD), Direction du renseignement militaire (DRM)]. Il a d'ailleurs décrit sa fonction sur un mode plutôt extensif, en précisant qu'il devait centraliser les informations pour le président de la République et le Premier ministre, transmettre les instructions du Président aux différents services, hiérarchiser et orienter les opérations de renseignement, organiser la concertation entre les différents services. Ce qu'il traduit en trois verbes : faire faire, impulser, arbitrer. Et "une priorité absolue : la lutte contre le terrorisme". Sans oublier la stratégie à long terme : les investissements, la planification des besoins en personnels, l'adaptation des règles juridiques de fonctionnement. "Sortir de la logique" (Fontaine) Et Bernard Bajolet d'insister sur le fait que les parlementaires seront associés au travail des services via la nouvelle commission de contrôle parlementaire. De ce côté-là, il ne doit pas se faire trop de souci. Le président de cette commission, le député Guy Teissier (UMP, Bouches du Rhône), qui est également l'organisateur de l'université de la Défense, a en effet estimé que le travail de sa commission consiste "à ouvrir des fenêtres à défaut d'ouvrir des portes" et qu'il s'agit "moins d'un contrôle que d'une vulgarisation au sens large auprès de nos compatriotes". Ça roule... Le général Georgelin a bien compris l'enjeu de la priorité accordée au renseignement dans le Livre blanc. Ce sera plus d'argent pour les satellites d'observation militaire, par exemple. Mais si c'est au détriment des forces militaires, non merci, dit-il en substance, rappelant que lors des travaux préparatoires au Livre blanc, il avait "fait valoir avec beaucoup d'insistance que savoir sans pouvoir (était) une illusion". Et pour que Bernard Bajolet, qui l'écoutait pourtant très attentivement, comprenne bien, le général insiste sur la différence "entre le renseignement de l'État pour l'autorité politique" que fournissent à ses yeux la DGSE et la DCRI (Direction centrale du renseignement intérieur) ; et d'autre part, "le renseignement" qui (lui l)'intéresse" que donnent la DRM et les militaires déployés sur les théâtres d'opérations. Et il en remet une louche en demandant que l'on distingue "ce qui appartient à l'un et à l'autre". Sous-entendu : à Bajolet de coordonner la DGSE et la DCRI, et au chef d'état-major des armées de décider des priorités et d'axer le travail des moyens militaires prioritairement attribués à la DRM, à savoir les satellites d'observation et les drones, les systèmes d'écoute, et le réseau des attachés de Défense. Sauf que ce n'est pas vraiment ce qu'on pense à l'Élysée, où il va sans doute falloir mettre un peu d'ordre dans ces appréciations divergentes. Présente elle aussi, la conseillère (civile) du président de la République pour les affaires militaires, Cécile Fontaine dont le rôle a été fort important dans la rédaction du Livre blanc, a rétorqué au général Georgelin, avec l'air de ne pas y toucher, qu'il fallait "sortir de la logique" voulant qu'"on prépare la guerre d'avant, pour analyser les nouvelles menaces". Il semblerait qu'à l'Élysée, on n'ait pas été vraiment satisfait des conditions dans lesquelles s'est préparée la mission des soldats français qui sont tombés dans l'embuscade d'Uzbeen. Et qu'on estime justement que les moyens de renseignement tactiques auraient dû être déployés avant que la mission ne s'engage. Estimerait-on dans l'entourage de Nicolas Sarkozy, comme naguère Georges Clemenceau, que "la guerre est une chose trop sérieuse pour la confier à des militaires" ? Il se pourrait qu'on en prenne le chemin.
  21. http://www.toulon.maville.com/-Guerre-des-mines-les-drones-sous-marins-gardent-les-hommes-au-sec-/re/actudet/actu_dep-700308------_actu.html Guerre des mines : les drones sous-marins gardent les hommes au sec Un pays nouvellement indépendant, dont la population est constituée d'ethnies originaires de ses deux encombrants voisins, demande l'aide à la communauté internationale et le déploiement de forces d'interposition... Toute ressemblance avec des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite... Qu'on se rassure, la France et ses alliés de l'OTAN ne sont pas en train de préparer un débarquement en Abkhazie, province géorgienne récemment reconnue indépendante par la Russie. Dans un climat international particulièrement tendu où l'expression « guerre froide » a refait surface, le scénario imaginé par le capitaine de frégate Jean Broch, chargé de la planification de la guerre des mines, n'est pas un plan d'attaque de cette province sécessionniste, mais le fil rouge de l'exercice « Olives noires ». Dix nations alliées et vingt-quatre navires de guerre y participent jusqu'au 19 septembre, notamment dans la rade d'Hyères. Les drones, la grande nouveauté Organisé tous les deux ans par la France, cet exercice verra pour la première fois réunis les deux groupes de guerre des mines permanents de l'OTAN. Mais la grande nouveauté de cette édition 2008 sera l'utilisation de drones sous-marins. Les États-Unis, qui multiplient les opérations extérieures, sont les leaders en la matière. Ils sont ainsi venus à Toulon avec un exemplaire du REMUS. « Un genre de petite torpille que l'on programme pour aller reconnaître les zones en eaux très peu profondes, mais qui ne remplace pas encore complètement les plongeurs démineurs », explique le lieutenant de vaisseau Gipson, solide gaillard de l'US Navy, avant d'ajouter : « Notre objectif d'ici à cinq ans est de pouvoir équiper ces véhicules sous-marins de moyens de destruction. Et donc de ne plus mettre d'hommes à l'eau. » La Marine française aussi, dès 2009 Si elle émet quelques critiques à l'égard du REMUS américain - « il ne se déplace pas très vite, n'a pas une grande autonomie et ne peut pas emporter une charge utile importante », remarque le capitaine de frégate Charles-Henri Rey, officier de programme guerre des mines et plongée - la marine française ne s'intéresse pas moins de très près à ces nouvelles technologies. Ainsi, depuis plusieurs années déjà, le groupe d'études sous-marines de l'Atlantique teste des drones submersibles (Autonomous underwater vehicles ou AUV) à Brest. Une longue campagne de validation apparemment concluante, puisque dès l'an prochain, les groupes de plongeurs démineurs, dont celui de Toulon, devraient être équipés de petits AUV. Mais à l'horizon 2017-2022, c'est tout son système de guerre des mines que la Marine française renouvellerait. « On se dirige dans le futur vers un système à base de drones qui seront mis en oeuvre à partir de bâtiments dédiés », annonce le commandant Rey. Un procédé d'ores et déjà baptisé Système de lutte anti-mines futur (SLAMF), qui poussera peut-être les hommes grenouilles vers la surface... P.-L. P. Var-Matin
  22. Les tchèques je crois ont fait quelques patrouille a cheval en Afghanistan ... probablement dans une zone calme. Tachikomas ou Armure mobile ... quel dilemme. Le plus simple ca serait un bon carpet booming version B52 avant les reco ... juste pour le terrassement, mais bon c'est plus la mode ... pourtant ca ferait bien dans le programme de reconstruction ...
  23. Tungunska ... haute mobilité ... 3000m d'altitude. low cost avec le canon. Tor ... haute mobilité ... 6000m d'altitude. Buk ... tout terrain, pas de tir en mouvement ... 14000m d'altitude. Ganef ... tout terrain, pas de tir en mouvement ... 25000m d'altitude. C'est tres complémentaire tout ca.
  24. Un drone c'est juste un avion avec le pilote en Floride et la cellule en Afghanistan ... a priori y a pas de raison que ça empêche de faire les même mission ... a par la latence de la connexion.
  25. g4lly

    Hélidrones

    Fire Scout 8h d'autonomie avec 60kg de payload. payload maxi 320kg. http://en.wikipedia.org/wiki/MQ-8_Fire_Scout "D'un poids de 760 kg, avec une charge utile de 180 kg et une endurance de 8 heures, Devil sera capable de réaliser des missions jusqu'à 100 milles de distance, principalement contre les navires de surface, avec la possibilité de désigner des cibles par vidéo et infrarouge, mais aussi d'effectuer des opérations de guerre électronique ou de renseignement." Vu la charge utile presque impossible d'embarquer un missile anti navire même léger type Marte Mk2 a bord ... par contre ça peut être super utile comme relai de désignation pour un exocet block3 lui permettant une approche silencieuse a longue distance, 170 km. On fait comme ca avec les drone type avion, quand il sont pas trop grand on les recupere en vol avec une sorte de grande epuisette tendu en travers de la plateforme dans laquelle se jette le drone. Avec un drone type hélicoptère de pas loin de 2t c'est nettement moins évident ;)
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