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Borisdedante

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Tout ce qui a été posté par Borisdedante

  1. Armes nucléaires : l'offre ambitieuse d'Obama à Moscou http://www.lefigaro.fr/international/2009/02/04/01003-20090204ARTFIG00548-armes-nucleaires-l-offre-ambitieuse-d-obama-a-moscou-.php
  2. Un axe germano-russe se dessine dans le nucléaire http://www.lemonde.fr/economie/article/2009/02/04/un-axe-germano-russe-se-dessine-dans-le-nucleaire_1150531_3234.html
  3. "La sécurité, notre mission commune", par Angela Merkel et Nicolas Sarkozy http://www.lemonde.fr/opinions/article/2009/02/03/la-securite-notre-mission-commune-par-angela-merkel-et-nicolas-sarkozy_1150337_3232.html
  4. ISRAËL • La sécurité, priorité électorale numéro un A une semaine du scrutin, Maariv a interrogé les leaders des trois principaux partis : Benyamin Nétanyahou (Likoud, droite nationaliste), Tzipi Livni (Kadima, centre droit) et Ehoud Barak (Parti travailliste). http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=94186
  5. ROYAUME-UNI • La menace du repli sur soi plane sur le pays Depuis plusieurs jours, les grèves sauvages pour protester contre l'embauche de travailleurs étrangers se multiplient. Le gouvernement paraît divisé et impuissant à canaliser une colère nourrie par le ralentissement économique. http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=94158
  6. Un manifestant britannique lance sa chaussure sur le premier ministre chinois http://www.lemonde.fr/europe/article/2009/02/02/un-manifestant-britannique-lance-sa-chaussure-sur-le-president-chinois_1149823_3214.html
  7. http://www.1940lafrancecontinue.org/
  8. Pour Abbas, le Hamas a "risqué la vie du peuple" palestinien LEMONDE.FR avec AFP | 01.02.09 | 19h04 • Mis à jour le 01.02.09 | 19h28 http://www.lemonde.fr/la-guerre-de-gaza/article/2009/02/01/pour-abbas-le-hamas-a-risque-la-vie-du-peuple-palestinien_1149345_1137859.html#ens_id=1106055&xtor=RSS-3208 Le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a refusé, dimanche 1er février, au Caire, tout dialogue avec "quiconque rejette l'Organisation de libération de la Palestine", dans une allusion directe au Hamas. "Ces gens ont risqué la vie du peuple, risqué le sang du peuple, risqué la destinée du peuple, risqué le rêve et l'espoir du peuple d'établir un Etat palestinien indépendant", a-t-il martelé au cours d'une conférence de presse dans la capitale égyptienne, retransmise par la chaîne de télévision satellitaire Al-Jazira. "Et pourquoi? En toute franchise, à cause d'agendas qui ne sont pas palestiniens", a-t-il poursuivi d'un ton virulent. .......
  9. La Turquie tente de s'imposer comme médiateur impartial au Proche-Orient http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2009/01/31/la-turquie-tente-de-s-imposer-comme-mediateur-impartial-au-proche-orient_1149017_3218.html#ens_id=1106055
  10. A Gaza, des ONG dénoncent la répression du Hamas http://www.lemonde.fr/la-guerre-de-gaza/article/2009/01/30/a-gaza-des-ong-denoncent-la-repression-du-hamas_1148835_1137859.html
  11. Taux de suicide record dans l'armée américaine en 2008 http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2009/01/30/taux-de-suicide-record-dans-l-armee-americaine-en-2008_1148324_3222.html#xtor=RSS-3208 Le taux de suicide dans l'armée de terre américaine a atteint un nouveau record en 2008, vraisemblablement en raison du stress généré par la longueur et l'intensification des conflits en Irak et en Afghanistan, ont indiqué, jeudi 29 janvier, des responsables de l'armée américaine. En 2008, 143 soldats américains ont mis volontairement fin à leurs jours, contre 115 en 2007, selon des chiffres fournis par l'armée. Le taux de suicide a atteint 20,2 pour 100 000 l'an passé, dépassant le taux national record enregistré aux Etats-Unis, soit 19,5 pour 100 000, en 2005. Le nombre de suicides parmi les soldats en activité a augmenté chaque année depuis quatre ans, parallèlement à l'intensification des efforts militaires en Irak et en Afghanistan. Selon le chef d'état-major adjoint de l'armée de terre, le général Peter Chiarelli, cette hausse est liée à la longueur et au rythme élevé des missions qui compliquent les relations entre les soldats et leurs familles. "Le stress est une explication, cela ne fait aucun doute dans mon esprit", a-t-il déclaré. Selon les chiffres de l'armée, 30 % des suicides ont été commis par des soldats alors qu'ils étaient déployés. Pour les trois quarts de ces derniers, il s'agissait de leur premier déploiement. Mais plus d'un soldat sur trois (35 %) ont également mis fin à leurs jours après être rentrés de mission, généralement plus d'un an après avoir regagné leur camp de base. Confrontée à cette augmentation, l'armée a mis en place des programmes de prévention et accentué le repérage des soldats souffrant de problèmes psychologiques, mais des responsables militaires ont indiqué ne pas connaître précisément l'efficacité de ces mesures. Le général Chiarelli a annoncé le lancement dès le 15 février de séances d'entraînement destinées à apprendre aux soldats à gérer un comportement suicidaire, chez eux ou leurs frères d'armes.
  12. Cesare Battisti : "La France m'a aidé" Dans une interview exclusive à l'hebdomadaire brésilien Istoé, l'ancien terroriste italien Cesare Battisti, actuellement réfugié au Brésil, affirme que "des membres des services secrets français" l'ont aidé à fuir l'Hexagone en 2004. http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=94111 "C'est un membre des services secrets français qui a eu l'idée de ma fuite vers le Brésil", affirme depuis la prison l'ancien chef des Prolétaires armés pour le communisme, qui a été arrêté en 2007 à Rio de Janeiro. "L'un d'entre eux m'a rapporté dans le bureau de mes avocats français que l'Italie exerçait des pressions à cause des dénonciations que je faisais dans mes livres. Il m'a alors parlé du Brésil, disant qu'il y avait beaucoup de réfugiés italiens dans ce pays. Une semaine plus tard, il a dépêché une autre personne qui m'a remis un passeport italien avec ma photo et mes données personnelles", poursuit celui qui a été condamné par contumace à la prison à vie en Italie pour quatre assassinats commis durant les "années de plomb". Battisti raconte ensuite avoir quitté la France en voiture pour l'Espagne, puis au Portugal et de s'être embarqué à Lisbonne pour l'île de Madeire. De là, il s'est rendu aux îles Canaries, où il a pris un avion pour Cap Vert, puis pour Fortaleza, au Brésil. Battisti affirme, par ailleurs, avoir été constamment suivi par des agents français, à la fois lors de son arrivée à Fortaleza, et pendant tout son séjour au Brésil. Il dément que Carla Bruni-Sarkozy soit intervenue en sa faveur auprès des autorités brésiliennes afin qu'elles refusent de l'extrader vers l'Italie. Gian paolo accardo
  13. Blackwater sommée de quitter l'Irak http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2009/01/29/blackwater-sommee-de-quitter-l-irak_1147936_3218.html#xtor=RSS-3208
  14. En regardant les autres photos on voit que celui qui tient le couteau prend plusieurs pose, d'où la qualité des photos et la proximité de celle ci. http://www.gettyimages.com/Search/Search.aspx?contractUrl=2&language=en-US&assetType=image&mt=photography&p=iraq%20to%20cut%20the%20throat%20of&src=standard Il fait de même avec un autres personne.
  15. Quelles étaient les missions de la Turquie en cas de conflit avec les russes au seing de l'Otan?
  16. Davos a perdu les maîtres du monde http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=93947 Jadis, le gotha de la politique et de l'économie se retrouvait chaque année au Forum économique mondial, qui ouvre ses portes ce 28 janvier en Suisse. Mais la crise est passée par là. Nombre de grands patrons n'ont, cette fois, pas été invités. John Thain, le PDG de la banque Merrill Lynch, a été remercié peu avant son départ pour le Forum économique mondial. Il voulait être à Davos pour "soigner les relations avec la clientèle importante". Quelles relations publiques doit encore entretenir un PDG qui vient de faire couler sa banque ? Ça ne paraît pas très clair. Robert Rubin, ministre des Finances sous l'administration de Bill Clinton et conseiller économique de Barack Obama, a été pendant des années une des stars de Davos. Il a démissionné, il y a quelques jours, de la direction de Citigroup, emporté par le désastre de ce colosse bancaire qui a déjà coûté presque 300 milliards de dollars en garanties de l'Etat. Au Forum économique mondial, qui s'ouvre le 28 janvier, l'industriel indien Ramalinda Raju devait présider un débat sur les marchés financiers. Mais, voilà deux semaines, les autorités ont retiré son passeport au fondateur de Satyam Computer Services, car il est accusé de faux en écritures comptables après avoir dissimulé un trou de 1 milliard de dollars. Huang Guangyu, le magnat chinois à la tête de l'empire de l'électroménager Gome, s'est retrouvé la semaine passée, après deux mois de cavale, dans une prison de son pays. Quant à Adolf Merckle, 74 ans, patron de la multinationale pharmaceutique allemande qui porte son nom et qui figurait sur la liste des cent dirigeants d'entreprise les plus riches du monde, il a connu une fin plus tragique. Il s'est suicidé, il y a deux semaines, en se jetant sous un train. C'est la fin de l'"homme de Davos". La récession la plus grave de l'après-guerre vient de détruire un mythe qui, pendant des décennies, a focalisé les attentions : l'élite supranationale qui a tracé les destinées de l'économie globale. On l'avait baptisée Superclasse ou les Maîtres de l'Univers. C'est le politologue Samuel Huntington qui avait forgé l'expression "homme de Davos", du nom du rendez-vous obligatoire de l'establishment capitaliste, réuni à la fin de chaque mois de janvier dans les montagnes suisses des Grisons. L'"homme de Davos" semblait évoquer une mutation anthropologique, une nouvelle classe dirigeante affranchie des conditionnements nationaux, plus puissante que les gouvernements, liée par de denses intérêts communs, fidèles à la pensée unique néolibérale. Chaque année, on venait discuter en ce lieu des derniers défis économico-financiers. Les débats entre VIP dessinaient la tendance, dictaient l'agenda de la gouvernance globale. En une année, l'"homme de Davos" a pratiquement tout perdu. Des patrimoines considérables ont été réduits de moitié à cause de l'effondrement des Bourses. Des célébrités du gotha financier sont sous le coup d'enquêtes judiciaires ou parlementaires. Tous ont vu s'écrouler leur crédibilité et leur légitimité. Tous ces destins se sont consumés en tout juste douze mois. A l'ouverture de l'édition 2008 du Forum, l'heure était déjà au pessimisme. Les premières crises bancaires avaient pointé leur nez durant l'été 2007, un prophète lucide du désastre comme l'économiste Nouriel Roubini avait été écouté avec attention. Et précisément pendant que se tenait le Forum 2008 était arrivée de Paris la nouvelle de l'arrestation de Jérôme Kerviel, un trader de la Société générale responsable d'un trou de 5 milliards d'euros. Les VIP de Davos avaient alors pensé que ce n'était pas si grave et qu'ils pourraient s'en tirer sans trop de casse. Beaucoup paraissaient convaincus que l'affaire de la Société générale resterait dans les mémoires comme "la grande arnaque de l'année". Aujourd'hui, cette affaire n'est plus qu'une anecdote mineure. Entre-temps, Bear Stearns et Lehman Brothers ont fait faillite, les Etats-Unis ont dû nationaliser AIG, Bank of America et Citigroup. Du Royaume-Uni à la Belgique, de grands organismes de crédit n'ont été sauvés de la banqueroute qu'en saignant à blanc les budgets nationaux. Jusqu'en 2008, même les adversaires les plus radicaux de la pensée néolibérale, comme les mouvements altermondialistes, attribuaient à l'"homme de Davos" un projet stratégique, une vision. Aujourd'hui, l'élite globale est en pleine débandade. Les plus chanceux, ceux qui n'ont pas été licenciés dans le déshonneur, qui n'ont pas été arrêtés ni placés sous enquête, mendient aujourd'hui l'aide de l'Etat. C'est un establishment en décomposition qui s'agrippe aux gouvernements nationaux au risque de les entraîner avec lui vers le fond. Le grand metteur en scène du Forum économique mondial, le Suisse-Allemand Klaus Schwab, avait fait preuve par le passé d'une remarquable capacité d'adaptation. Brillant homme d'affaires, c'est aussi un animal politique qui sait sentir le vent. Lors de l'édition 2009, le Premier ministre chinois, Wen Jiabao, fera sa toute première apparition. On y attend aussi son homologue russe, Vladimir Poutine. Deux leaders politiques, deux Etats autoritaires, deux puissances émergentes : le message est clair. Au cours des dernières décennies, à chaque signal de crise, l'"homme de Davos" réagissait en cooptant son rival. Plus rapide que le G8 ou que le Fonds monétaire international, le Forum économique mondial a été le premier à s'ouvrir aux idées des altermondialistes. Il a intégré le Forum social, il a bâti des ponts d'or à tous les leaders des puissances émergentes, de l'Asie à l'Amérique latine, il a offert une tribune mondiale à l'ancien vice-président américain Al Gore et aux experts du changement climatique. Ce modèle semble avoir épuisé ses dernières ressources. Pour coopter les outsiders, il faut que l'appel vienne d'un establishment qui ait un capital de prestige à dépenser. Aujourd'hui, c'est l'idée même d'establishment qui a perdu toute consistance. Le débat sur le "code éthique des banquiers ", qui figure en évidence sur le programme de ce sommet 2009, fait aujourd'hui sourire. Federico Rampini La Repubblica
  17. La fondation Charles de Gaulle tente de réconcilier Paris et Pékin http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2009/01/28/la-fondation-charles-de-gaulle-tente-de-reconcilier-paris-et-pekin_1147761_3216.html Le président de la Fondation Charles de Gaulle, Pierre Mazeaud, a reçu, mercredi 28 janvier, une délégation chinoise et devait rencontrer, dans l'après-midi, Nicolas Sarkozy pour évoquer avec lui "l'absolue nécessité" de renouer avec la Chine de bonnes relations, mises à mal par la question tibétaine. Alors que le premier ministre chinois Wen Jiabao a entamé une tournée européenne, évitant soigneusement la France, une délégation chinoise conduite par Yang Wenchang – président de l'Institut des affaires étrangères du peuple chinois et composée notamment de l'ancien ambassadeur de Chine en France, Cai Fangbai – a été reçue par Pierre Mazeaud, annonce la Fondation. Yang Wenchang "a fait part au président Mazeaud des difficultés liées au problème intérieur du Tibet et donc de la position de la France vis-à-vis du dalaï-lama", explique la Fondation dans un communiqué. "Considérant comme nécessaires que ces difficultés s'estompent et persuadé que tel est l'intérêt de nos deux pays, il demande au président de la Fondation Charles de Gaulle de se faire l'interprète auprès du président de la République française de l'absolue nécessité de renouer des relations fructueuses", ajoute-t-elle. LA FRANCE TOUJOURS BOUC ÉMISSAIRE Frappée de plein fouet par la crise économique, Pékin a décidé de reprendre le dialogue avec l'Union européenne, interrompu en fin d'année dernière à cause du Tibet. La Chine, qui avait annulé le sommet UE-Chine prévu à Lyon, le 1er décembre, pour protester contre la recnontre entre Nicolas Sarkozy et le dalaï-lama, vient ainsi de faire savoir qu'elle était prête à discuter de sa reprogrammation. Mais la France continue de faire figure de bouc émissaire : outre la Suisse, Bruxelles et l'Espagne, M. Wen se rendra en Allemagne et au Royaume-Uni, alors qu'Angela Merkel et Gordon Brown avaient également reçu le dalaï-lama. Le premier ministre chinois se contentera pourtant de contourner la France, dont elle tient à faire un exemple à l'attention des autres démocraties occidentales. Pékin a encore récemment demandé à Paris de faire "un geste" afin d'"améliorer les relations bilatérales" entre les deux pays.
  18. La Russie suspend son projet de déploiement de missiles à Kaliningrad http://www.lemonde.fr/europe/article/2009/01/28/la-russie-suspend-son-projet-de-deploiement-de-missiles-a-kaliningrad_1147545_3214.html#xtor=RSS-3208 La Russie suspend son projet de déploiement de missiles Iskander dans la région de Kaliningrad, en raison d'un changement d'attitude des Etats-Unis, avec lesquels Moscou espère avoir des relations moins tendues que du temps de George W. Bush. Un représentant du ministère russe de la défense cité par RIA Novosti a relevé de son côté qu'"aucune mesure en vue du déploiement de missiles 'Iskander' dans l'ouest du pays n'avait été prise" jusqu'ici par ce ministère. Varsovie ne commente pas "pour l'instant" l'information, soulignant qu'elle provenait d'une "source anonyme" et devait être "confirmée". Cette annonce apparaît comme un nouveau geste de détente dans les relations entre Moscou et Washington depuis l'élection du démocrate Barack Obama à la Maison Blanche. La décision de Moscou, si elle se confirme, "serait un pas très positif", a estimé mercredi l'ambassadeur des Etats-Unis auprès de l'Otan, Kurt Volker.
  19. D'autres photos du meme lieu. http://www.gettyimages.com/Search/Search.aspx?contractUrl=2&language=en-US&assetType=image&mt=photography&p=iraq%20to%20cut%20the%20throat%20of&src=standard
  20. Gaza : premiers incidents depuis le cessez-le-feu http://www.lefigaro.fr/international/2009/01/27/01003-20090127ARTFIG00336-gaza-premiers-incidents-depuis-le-cessez-le-feu-.php
  21. Le principe de précaution est déjà dans une loi , il a même une valeur constitutionnel. http://fr.wikipedia.org/wiki/Principe_de_pr%C3%A9caution#En_France
  22. Borisdedante

    FREMM Grecques

    http://www.air-defense.net/Forum_AD/index.php?topic=11596.msg355690#msg355690
  23. En rapport "Israël redoute que ses officiers soient poursuivis pour crimes de guerre" http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2009/01/22/israel-redoute-que-ses-officiers-soient-poursuivis-pour-crimes-de-guerre_1145060_3218.html#ens_id=1106055
  24. Le lanceur de chaussures demande l'asile politique http://www.lefigaro.fr/international/2009/01/19/01003-20090119ARTFIG00389-le-lanceur-de-chaussures-demande-l-asile-politique-.php L.S. (lefigaro.fr) avec AFP 19/01/2009 | Mise à jour : 09:37 | Ajouter à ma sélection . Selon son avocat, le journaliste irakien qui a jeté ses chaussures à la tête de Bush ne peut plus exercer son métier dans son pays. Le journaliste irakien Mountazer al-Zaïdi qui a lancé ses chaussures sur le président américain George W. Bush le 14 décembre dernier à Bagdad va demander l'asile politique en Suisse. Me Mauro Poggia, son avocat genevois, l'a annoncé au quotidien La Tribune de Genève. «Au début du mois, sa famille est entrée en contact avec moi via le CICR (Comité international de la Croix-Rouge), et je vais écrire cette semaine au Département fédéral (ministère) des affaires étrangères pour encourager la Suisse à lui accorder l'asile politique», a-t-il expliqué. Les raisons de cette demande ? «Même si de nombreux Irakiens soutiennent son acte, il est à la merci d'extrémistes de tout poil. Et d'autres fous qui voudraient faire de lui un martyr de la souffrance de tout un peuple», fait valoir le juriste. «Il ne pourra plus travailler comme journaliste sans subir désormais de terribles pressions. Profilé à gauche, il se montre très critique vis-à-vis du gouvernement actuel en Irak qu'il juge trop soumis aux Américains. Sa vie peut devenir un enfer dans son pays», a-t-il ajouté. «Une fois installé à Genève, cet homme, célibataire et sans enfants, pourra très bien travailler estime Me Poggia. Mountazer al-Zaïdi devait être jugé le 31 décembre par la Cour centrale criminelle d'Irak, compétente pour les affaires de terrorisme, mais le procès a été reporté sine die en l'attente d'une décision sur la demande d'annulation de la procédure déposée par son avocat en Irak, Me Dhiya al-Saadi. En théorie, il risque de 5 à 15 ans de prison si le qualificatif «d'agression caractérisée» est retenu, mais le tribunal peut estimer qu'il s'agit seulement d'une «tentative d'agression», punie d'un à cinq ans de prison. Et selon son avocat, il «devrait être jugé assez rapidement et écoper d'une peine avec sursis». Reste à savoir si Genève accueillera de bon cœur ce personnage devenu symbole. Son avocat estime que la Suisse peut lui accorder l'asile «sans pour autant prendre position pour ou contre l'intervention américaine en Irak».
  25. L'Europe lasse de financer la reconstruction palestinienne http://www.lefigaro.fr/international/2009/01/16/01003-20090116ARTFIG00012-l-europe-lasse-de-financer-la-reconstruction-palestinienne-.php L'UE est le principal pourvoyeur de fonds des Territoires palestiniens. L'Europe a condamné jeudi avec fermeté le bombardement israélien du bâtiment abritant une agence de l'ONU. La Commission européenne, qui est le premier contributeur financier de l'UNWRA, l'agence humanitaire des Nations unies, s'est dite «choquée» et «consternée». Au vingtième jour des hostilités, l'Europe se montre lasse de devoir financer des installations appelées, quelques années plus tard, à être détruites par l'armée israélienne. L'Union, qui est également le principal pourvoyeur de fonds des Territoires palestiniens avec 486 millions d'euros dépensés en 2008, «n'est pas simplement là pour payer la casse», répète le commissaire à l'Action humanitaire, Louis Michel. Du coup, la proposition de la présidence tchèque de l'UE, formulée lundi, visant à organiser une nouvelle «conférence des donateurs» pour venir en aide aux Palestiniens de Gaza, a suscité un tollé au Parlement européen. «Il est scandaleux de proposer une telle initiative sans exiger des comptes» à l'État hébreu, a estimé la députée belge Véronique de Keyser. Même la commissaire européenne aux Relations extérieures, Benita Ferrero Waldner, d'ordinaire prudente, a jugé la proposition tchèque précipitée. Pour Bruxelles, l'urgence est de parvenir à un cessez-le-feu et, à tout le moins, permettre l'acheminement de l'aide humanitaire. À ce titre, 10,4 millions d'euros supplémentaires ont été débloqués. Pour leur part, les eurodéputés ont voté jeudi à Strasbourg une résolution préconisant l'envoi «d'une mission multinationale». Recours juridique contre Israël Selon l'Autorité palestinienne, les sièges de l'ancien Parlement ainsi que des bâtiments ministériels à Gaza, dont la construction a été largement financée par les Vingt-Sept, ont été détruits. «Une gifle d'Israël à la face de l'Europe», commente Leila Shahid, la déléguée de l'Autorité palestinienne auprès de l'UE. Le Danemark a annoncé le bombardement de trois cliniques dont il fut le bailleur de fonds. «Il est trop tôt pour faire des évaluations», a répliqué l'ambassadeur d'Israël auprès de l'UE, Ran Curiel. Par ailleurs, les salaires de décembre des fonctionnaires et des retraités palestiniens, traditionnellement payés par l'UE (25 millions d'euros), n'ont pas pu être distribués à leurs bénéficiaires, de même que la livraison de fioul à la centrale thermique de Gaza. Déjà, en 2002, lors de la seconde intifada, Tsahal avait détruit la piste de l'aéroport de Gaza et une centrale électrique, financées par le contribuable européen. Le préjudice avait été évalué à quelque 20 millions d'euros. «Sans nous, les Territoires palestiniens ne survivraient pas», rappelle un fonctionnaire européen. Dans le passé, toutes les tentatives de recours juridique contre l'État hébreu n'ont pas abouti, en raison de l'opposition de l'Allemagne, de la République tchèque ou des Pays-Bas. Mercredi, le représentant de la Commission européenne en Israël avait évoqué la nécessité de faire une «pause» dans la relation «renforcée» entre l'UE et Tel-Aviv. «Ce n'est pas la priorité», démentait Bruxelles, jeudi, alors que s'esquissait un possible cessez-le-feu.
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