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Borisdedante

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Tout ce qui a été posté par Borisdedante

  1. Surement car l'opposition aurait pu en être à l'origine :lol:. Sur le reste à l'exception des remarques sur Zapatero, ils n'y a rien de spécial. Le seul reproche est qu'il est fait ces remarques en publique. Pour le reste notamment l'arrogance française, cela relève plutôt ici du cliché.
  2. "Tanit" : l'autopsie ne permet pas de savoir qui a tué Florent Lemaçon http://www.lemonde.fr/societe/article/2009/04/17/tanit-l-autopsie-ne-permet-pas-de-savoir-qui-a-tue-florent-lemacon_1181880_3224.html#xtor=RSS-3208
  3. http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=96679 Cacophonie autour des armes nucléaires américaines La volonté affichée par la nouvelle administration américaine de retirer ses armes nucléaires stationnées outre-Rhin divise la coalition dirigée par Angela Merkel. Certains estiment qu'elles donnent du poids au pays tandis que d'autres défendent la dénucléarisation totale. Depuis que Barack Obama a plaidé pour un monde sans armes nucléaires, la coalition gouvernementale constituée autour des partis conservateurs (CDU-CSU) et social-démocrate (SPD) se déchire sur l'avenir des quelques armes atomiques américaines qui demeurent encore sur le territoire de l'Allemagne. "Ces armes sont aujourd'hui militairement obsolètes", estime Frank Walter Steinmeier, le ministre (SPD) des Affaires étrangères, avant d'ajouter qu'il interviendra pour qu'elles soient "retirées d'Allemagne" et qu'il faudra évoquer "le désarmement de cette catégorie d'armes lors de la conférence sur le désarmement que les Etats-Unis souhaitent mettre sur pied". Avec cette déclaration, Steinmeier prend une orientation contraire à celle de la chancelière Angela Merkel (CDU). Celle-ci, au courant de l'initiative de Barack Obama, avait affirmé devant le Bundestag que le gouvernement tenait à la participation de l'Allemagne à la dissuasion nucléaire. Elle garantissait que Berlin "[aurait] une influence au sein de l'Alliance, y compris dans ce domaine hautement sensible". Seuls les pays qui abritent des armes nucléaires américaines peuvent "avoir sérieusement voix au chapitre" au sein de l'OTAN, dit-on également au ministère de la Défense, qui est dirigé par la CDU. Pendant la guerre froide, le gouvernement allemand avait obtenu un certain droit de parole sur les armes nucléaires. La République fédérale accueillait à l'époque des milliers d'ogives nucléaires. Les Etats-Unis ont retiré presque toutes leurs ogives d'Europe après 1990. Le Groupe des plans nucléaires (GPN), de l'OTAN, qui était jadis réservé aux pays dotés de l'arme nucléaire, regroupe aujourd'hui tous les pays de l'Alliance sauf la France. Certains Etats, comme la Grèce et le Canada, ont renoncé depuis des années à participer à la dissuasion nucléaire mais peuvent toujours prendre part aux décisions. Les armes nucléaires américaines sont encore présentes en Belgique, aux Pays-Bas, en Italie, en Turquie et sur une base aérienne de l'armée allemande à Büchel, dans le Land de Rhénanie-Palatinat. Il y en a une centaine en tout. Ces ogives ne possèdent toutefois "aucune valeur militaire", comme l'a déclaré, en décembre 2008, une commission d'experts à Robert Gates, le ministre de la Défense américain. En revanche, leur stockage engloutit des "sommes folles." Ceux qui s'opposent à une participation de l'Allemagne à la dissuasion sont majoritaires actuellement au Bundestag. La Gauche et les Verts plaident pour un retrait, comme les spécialistes de la défense du SPD. Guido Westerwelle, le chef du FDP (libéraux-démocrates), a lui aussi exigé le retrait des ogives après le discours d'Obama. Editorial Der Spiegel
  4. Comment un article où il est précisé que la demande vient du commandement Américain et Britannique de ne pas faire défilé de troupe noir devient dans ta phrase, le Général de Gaule demande à ce que tros de troupes non blanches ne défile pas. En effet De Gaulle dans le texte demande à ce que des troupes françaises défilent mais il n'est pas fait mention de ces préférences.
  5. Ce n'est pas ce que j'en déduis en lisant l'article.
  6. Il me semble que comme d'autre pays, ils ont préférer rembourser le plus vite possible leur dette au FMI. Au sujet du déblocage du fond, certain agent économique le réclamait depuis un certain temps ce n'est pas nouveau. En revanche jusqu'à présent le gouvernement s'y était il me semble refusé.
  7. Un policier présent dans l'hotel incendié à Strasbourg accuse sa hiérarchie http://www.liberation.fr/depeches/0101560801-un-policier-present-dans-l-hotel-incendie-a-strasbourg-accuse-sa-hierarchie Strasbourg : une vidéo de CRS caillassant des manifestants http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2009/04/08/01016-20090408ARTFIG00435-strasbourg-une-video-de-crs-caillassant-des-manifestants-.php
  8. Les six Somaliens suspectés de l'attaque du "Ponant" sont en prison depuis un an. http://www.lemonde.fr/societe/article/2009/04/06/les-six-somaliens-suspectes-de-l-attaque-du-ponant-sont-en-prison-depuis-un-an_1177252_3224.html Ils sont six. Officiellement, ils ont entre 21 ans et 46 ans. Ils sont incarcérés séparément depuis le 18 avril 2008 dans six maisons d'arrêt différentes de la région parisienne. Abdurahman Ali Samatar, 24 ans, Ismaël Ali Samatar, 28 ans, Abdulqader Guled Saïd, 31 ans, Daher Guled Saïd, 31 ans, Mohamed Saïd Hote, 46 ans et Abdullahi Youssouf Hersi, 22 ans sont somaliens. Selon leurs avocats parisiens commis d'office, leur arrestation ordonnée par Nicolas Sarkozy, est entachée d'illégalité. Ils l'ont plaidé devant la cour d'appel de Paris qui devait rendre sa décision lundi 6 avril. Originaires du Puntland, une région autonome située au nord-est du pays, devenue l'antre de la piraterie en vogue au large de la corne africaine, ces Somaliens sont soupçonnés d'avoir participé entre les 4 et 11 avril 2008, à la prise d'otages menée à bord du navire de croisière Le Ponant. Ils ont été interpellés le 11 avril 2008 par un commando français alors qu'ils roulaient à bord d'un 4 x 4 à une dizaine de kilomètres de Garaad, où, quelques heures auparavant, les trente otages avaient été libérés en échange d'une rançon de 2 millions de dollars. Les militaires - des commandos marines et des gendarmes d'élite - ont neutralisé les suspects à l'issue d'une opération héliportée autorisée "oralement" par un membre du gouvernement somalien. Un sac contenant 181 100 dollars et 3 millions de shillings somaliens (118 378 euros au total) a été trouvé dans le véhicule. Après avoir été retenus entravés, "hors de tout cadre légal", assurent leurs avocats, pendant cinq jours, à bord du Jean-Bart, une frégate de la marine nationale, ils ont été transportés en France. Ils ont atterri le 16 avril 2008 à l'aéroport du Bourget (Seine-Saint-Denis) où un officier de police judiciaire leur a signifié qu'ils étaient en garde à vue. Quarante-huit heures plus tard ils ont été présentés au juge d'instruction Patrick Gachon qui les a mis en examen pour "détournement de navire, arrestation et séquestration de plusieurs personnes comme otages pour obtenir le versement d'une rançon en bande organisée, association de malfaiteurs, vols en bande organisée". Depuis, ils ont été entendus chacun à deux reprises par le juge. Pour les confondre, on a tiré des photographies qu'on a montrées aux otages, lesquels les ont vaguement et partiellement identifiés. En février, la commission consultative du secret défense a donné un avis favorable à la déclassification d'un film "confidentiel défense" réalisé par les militaires pendant la prise d'otage. Le juge attend que le ministère de la défense lui communique cette pièce. Pêcheur, gardien de troupeaux, maçon, petit employé ou chauffeur de taxi, ces six suspects viennent d'une des régions les plus misérables de la planète, livrée aux bandes armées. Confrontés à la justice française, ils ne comprennent pas ce qui leur arrive. Ils ont grandi sans eau courante, ni électricité, savent à peine lire et écrire. Si certains d'entre eux ont reconnu être montés sur le bateau pendant la prise d'otage, d'autres assurent n'y avoir jamais mis les pieds. Pour leurs défenseurs, leur présence dans le 4 x 4 ne peut en aucun cas constituer une preuve. "On les a arrêtés mais on ne sait pas si ce sont les pirates", s'indigne Me Gustave Charvet qui défend, avec Me David Reingewirtz, Mohamed Saïd Hote. A les en croire, celui-ci est bien allé sur Le Ponant, mais c'était pour vendre aux pirates des denrées et du qat, une herbe euphorisante très répandue dans cette région. Ne s'exprimant que dans leur langue d'origine, les Somaliens ne parlent qu'à leurs avocats et à l'interprète qui les accompagne aux parloirs. Certains sont mariés et ont des enfants. Leurs familles, alertées, n'ont pas les moyens d'entreprendre un voyage jusqu'à Paris. Seul Mohamed Saïd Hote, père de douze enfants, comptable dans une société de pêche à Garoowe, a reçu la visite d'une de ses soeurs venue des Etats-Unis. Cet hiver - le premier de leur vie - ils ont été habillés par des associations caritatives. Ils se plaignent de la nourriture. Samedi 4 avril, un yacht battant pavillon français a été capturé par des pirates à environ 640 km au large de Ras Hafun dans le nord-est de la Somalie, a annoncé l'organisation non gouvernementale (ONG) Ecoterra International. Les Somaliens incarcérés en France appartiennent-ils à un réseau de brigands ? Y a-t-il un chef parmi eux ? Sont-ils de simples exécutants, ou de pauvres quidams interceptés par hasard ? "C'est, au pire, du menu fretin", affirment leurs avocats, en déplorant qu'au bout d'un an, les investigations n'aient guère avancé. Ces flibustiers de la misère risquent la cour d'assises et la réclusion à perpétuité. Ils sauront cette semaine, si leur détention provisoire est prolongée. Si elle ne l'était pas, ils seraient en situation irrégulière, des sans-papiers, un véritable casse-tête pour la justice. Yves Bordenave
  9. http://www.dailymotion.com/video/x8ulhv_eoliennes-vs-horloges_news Cette histoire?
  10. http://www.lefigaro.fr/international/2009/03/30/01003-20090330ARTFIG00352-le-cinema-russe-revisite-la-guerre-de-georgie-.php Le cinéma russe revisite la guerre de Géorgie Un téléfilm diffusé hier soir raconte le conflit d'août dernier, mettant en exergue l'«agression géorgienne». Au péril de leur vie, Michael et Genia vont révéler la vérité au monde entier. Tel est, résumé, le scénario d'Olympus inferno, le premier film de fiction sur la guerre de Géorgie du mois d'août 2008 que les téléspectateurs russes ont pu découvrir hier soir sur la première chaîne. «Le débat a commencé, les méchants Russes ou les méchants Géorgiens, déplore le réalisateur Igor Volochine, mais c'est juste un film. » Un film d'action, lequel offre néanmoins la vision russe du conflit déclenché le 8 août dans la petite province séparatiste géorgienne d'Ossétie du Sud. Qu'on en juge. Michael est un jeune entomologiste américain d'origine russe. Il se rend en Ossétie du Sud pour filmer un papillon de nuit rare, Olympus inferno. Il y retrouve Genia, une amie russe, photographe. Dès la première nuit sur une verte colline, au lieu d'attraper des papillons, nos deux héros se retrouvent nez à nez avec une colonne de chars et de blindés géorgiens. Ils croisent parmi les militaires géorgiens le capitaine Adams, un officier noir de l'US Army. Si les États-Unis de George Bush ont soutenu et armé la Géorgie de leur protégé Mikhaïl Saakachvili, la présence de conseillers militaires américains sur le front cet été, dénoncée par Moscou, n'a pas été démontrée. Dans Olympus inferno, Michael détient la preuve - des films sur un disque dur -, que c'est Saakachvili qui a commencé la guerre, contrairement à ce que claironnent les médias occidentaux. Michael et Genia prennent tous les risques pour porter leurs images à Tskhinvali, la capitale bombardée d'Ossétie du Sud. S'ensuivent des scènes où un officier géorgien abat de sang-froid un civil et où les chars venus de Tbilissi détruisent systématiquement des maisons à bout portant. Le film a été tourné cet hiver en Abkhazie, l'autre territoire pro-russe de la Géorgie dont Moscou a reconnu l'indépendance le 26 août. «Guerre de l'info» Autre séquence : un journaliste anglo-saxon de la «chaîne SBC» raconte contre toute évidence que ce sont les Russes qui bombardent. «C'est la guerre de l'info», dit-il triomphant aux héros médusés par le mensonge. Sur fond de ballet d'hélicos au ralenti façon Apocalypse Now, Mike et Genia rencontrent enfin une colonne de chars russes, les libérateurs, tels qu'ils sont effectivement considérés par la population ossète. À la fin du film, Michael est invité sur un plateau de télé américaine qui ridiculise ses révélations en diffusant uniquement ses images de papillons. Une allusion directe à un épisode médiatique qui fit grand bruit en Russie. Le 13 août, la chaîne américaine Fox News avait interrompu une femme ossète qui dénonçait la responsabilité du président géorgien Saakachvili. Cette scène fut déformée par un montage grossier afin d'exagérer la partialité de Fox News, dénoncée par Vladimir Poutine. Surprise à la fin du film. Genia, hospitalisée, regarde les informations. Le commentateur : «Dans une interview au Figaro, Dmitri Medvedev affirme que l'indépendance de l'Ossétie et de l'Abkhazie est irréversible.» Le téléspectateur peut voir les vraies images de l'entretien du président russe que Le Figaro publia le 13 novembre. Contrairement à ce qu'avance le film, les médias occidentaux n'ont pas tu l'attaque géorgienne dans la nuit du 7 au 8 août. Le fait est que la contre-offensive russe jusqu'au cœur de la Géorgie (absente du film) a ensuite focalisé l'attention des Européens et des Américains. Huit mois après la guerre dont un bilan humain indépendant manque toujours, les questions sur l'enchaînement des faits persistent. Qui est à l'origine des provocations en Ossétie qui ont précédé l'attaque géorgienne ? Dans quelle mesure les troupes russes étaient-elles prêtes à intervenir ? C'est pour tenter de répondre que l'Union européenne a confié une mission d'enquête à la diplomate suisse Heidi Tagliavini. Sa remise de copie est prévue le 31 juillet. Sur le terrain, les armes ne se sont toujours pas tues. Un policier géorgien a été tué hier matin dans l'explosion de sa voiture à Dvani près de l'Ossétie du Sud, déplore l'EUMM, la mission d'observation européenne. Laquelle redoute un regain de tension, bien réel, pas du cinéma. http://blog.lefigaro.fr/russie/2009/03/guerre-de-georgie-le-film.html
  11. http://www.lemonde.fr/societe/article/2009/03/30/deux-militaires-tues-dans-les-pyrenees-lors-d-un-exercice_1174528_3224.html Deux militaires français ont été tués, lundi 30 mars, lors d'un exercice dans les Pyrénées-Orientales, a annoncé le parquet de Montpellier, chargé du suivi des affaires militaires dans la région Languedoc-Roussillon. Selon le Midi Libre, ils participaient à un exercice de manipulation d'explosifs, qui avaient été placés sur un véhicule. Ils auraient été tués par la déflagration, apparemment déclenchée alors qu'ils n'étaient pas encore à une distance de sécurité suffisante.
  12. http://www.lemonde.fr/international/article/2009/03/30/le-president-comorien-appelle-a-un-rejet-arabe-du-nouveau-statut-de-mayotte_1174492_3210.html Le président comorien appelle à un rejet arabe du nouveau statut de Mayotte Le nouveau statut de Mayotte suscite de vives réactions. Le président des Comores, Ahmed Abdallah Sambi, a appelé, lundi 30 mars, à Doha ses pairs arabes, réunis en sommet, à rejeter le nouveau statut de département français de Mayotte, adopté la veille par référendum. M.Sambi a appelé les membres de la Ligue arabe à exprimer, "leur solidarité avec le peuple des îles Comores dans la défense de son droit légitime, juridique et souverain à recouvrer l'île de Mayotte et à publier, à l'instar de l'Union africaine, un communiqué rejetant le référendum nul". L'île de Mayotte a décidé dimanche par 95,2 % de oui à un référendum d'acquérir le statut de département français et de s'arrimer un peu plus à Paris, malgré les îles voisines des Comores, qui ont dénoncé la "politique coloniale" de la France. Les 72 035 électeurs inscrits ont décidé de faire de Mayotte en 2011 le 101e département français et le 5e département d'outre-mer (DOM) – étape ultime d'un processus entamé en 1974, lorsque les Mahorais avaient décidé de rester français, quand les trois autres îles des Comores optaient pour l'indépendance. Le gouvernement des Comores, avec le soutien de l'UA, considère cette consultation dans un "territoire occupé" comme "nulle et non avenue". Il a constamment mais vainement demandé à Paris de renoncer à un tel projet, qui éloigne encore plus la perspective d'une "réunification" de l'archipel de l'océan Indien. A Mayotte, les principaux partis politiques avaient appelé à voter oui, et une vaste campagne a été menée en français et dans les deux principales langues locales.
  13. http://www.lemonde.fr/europe/article/2009/03/27/bruits-de-bottes-russes-dans-l-arctique_1173248_3214.html#xtor=RSS-3208 Bruits de bottes russes dans l'Arctique Moscou veut déployer des unités militaires et le Service fédéral de sécurité (FSB, ex-KGB) dans l'Arctique, région riche en hydrocarbures et convoitée par plusieurs pays, selon un document officiel russe accessible sur Internet. Cette stratégie russe pour l'Arctique a été approuvée par le président russe Dmitri Medvedev le 18 septembre 2008, mais elle n'a été publiée sur le site internet du Conseil de sécurité russe que très récemment. "Il est nécessaire de créer des unités militaires (...) dans la zone arctique de la Fédération de Russie afin d'y assurer la sécurité militaire", explique le document, ajoutant que la "surveillance des côtes" sera confiée "au Service fédéral de sécurité". Le but de la Russie est d'"utiliser la zone arctique (...) en tant que base stratégique de ressources" naturelles, pour assurer notamment "les besoins en hydrocarbures, en ressources biologiques, en eau et d'autres sortes de matières premières stratégiques". CONCURRENCE AUX AUTRES PAYS ARCTIQUES Pour mettre en œuvre cette stratégie, la Russie se fixe un calendrier en trois étapes. La première (2008-2010) doit déterminer "les frontières de la Russie dans l'Arctique" au moyen d'études géologiques et géographiques. La deuxième (2011-2015) doit conduire à la reconnaissance internationale des frontières dans l'Arctique et leur mise en œuvre "sur la base des avantages compétitifs de la Russie pour la production et le transport de ressources énergétiques". La troisième étape (2016-2020) doit faire de l'Arctique "la base stratégique des ressources" naturelles de la Russie. Moscou demande une extension de sa zone économique en Arctique, affirmant que la dorsale de Lomonossov, une chaîne de montagnes sous-marine, est une extension de son plateau continental. Une ambition qui concurrence celles des autres nations arctiques : les Etats-Unis, le Canada, le Danemark et la Norvège. La Russie a mené, pendant l'été 2007, une action spectaculaire en plantant son drapeau par quelque 4 000 mètres de profondeur sous le pôle Nord pour étayer ses revendications.
  14. http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=96090 FRANKFURTER ALLGEMEINE ZEITUNG L'Iran et l'OTAN prennent contact pour la première fois depuis 1979 Pour la première fois depuis la révolution islamique, des représentants de l'Iran et de l'OTAN se sont entretenus. Selon des responsables de l'Alliance, l'initiative est venue au début du mois de mars du régime iranien, qui a sollicité une rencontre. Laquelle a eu lieu "la semaine dernière" entre l'ambassadeur iranien à Bruxelles et Martin Erdmann, le secrétaire général adjoint de l'OTAN pour les Affaires politiques, précise le quotidien. Téhéran doit participer, le 31 mars à La Haye, à une conférence internationale sur l'Afghanistan.
  15. http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=96077 Beaucoup de bruit pour rien ? Pyongyang vient de placer le missile balistique Taepodong-2 sur le pas de tir. La communauté internationale entend sanctionner le régime nord-coréen s'il procède à un tel lancement. Une menace inutile puisque Pyongyang reviendra de toute façon à la table des négociations, estime un journal sud-coréen. La Corée du Nord a annoncé, le 24 mars, son intention de ne pas participer aux prochains pourparlers à six [les deux Corées, Chine, Etats-Unis, Japon et Russie] sur son programme nucléaire, si le Conseil de sécurité des Nations unies la sanctionne pour le lancement d'une fusée prévu entre les 4 et 8 avril. "En refusant de nous reconnaître le droit de jouissance pacifique de l'espace, le Japon et les Etats-Unis violent l'esprit de la déclaration commune [des six pays] du 19 septembre 2005 basé sur le respect mutuel et l'égalité", dénonce le communiqué du ministère nord-coréen des Affaires étrangères. "Si le Conseil de sécurité donne raison à cette attitude hostile et discriminatoire, cela signifie qu'il invalide la déclaration commune. Par conséquent, ces négociations n'auront plus de sens", ajoute-t-il. Ces propos ont une double signification. D'une part, Pyongyang veut être maître du jeu, en anticipant la réaction de la communauté internationale à ce futur lancement qui, d'après elle, ne devrait pas faire l'objet d'une sanction ; la résolution 1718 de l'ONU, qui lui en impose une série, a été adoptée en 2006 par le Conseil de sécurité suite à un essai nucléaire auquel elle avait procédé et ne peut être appliquée dans le cas d'un lancement de satellite [que la communauté internationale soupçonne d'être en fait un tir de missile]. D'autre part, pour beaucoup d'analystes sud-coréens, en dépit des apparences, ce lancement sera suivi d'une reprise de pourparlers. Kim Yong-hyon, professeur de l'Université Tongguk, croit qu'"il y aura dans l'immédiat des échanges verbaux assez violents, qui ne tarderont pas à laisser place à des négociations". "Les Nord-Coréens n'ont pas dit qu'ils ne toléreraient aucune sanction de l'ONU. Il s'agit surtout d'un avertissement de principe avant le passage à l'acte", commente un autre spécialiste de la diplomatie et de la sécurité. La Corée du Sud et le Japon rappellent la possibilité d'une sanction, affirmant que le lancement d'une fusée correspondrait à une violation de la résolution 1718 du Conseil de sécurité, mais la Russie et surtout la Chine restent discrètes. Le représentant sud-coréen aux pourparlers à six, Wi Sung-rak, a reconnu, le 24 mars, après une rencontre avec son homologue chinois Wu Dawei, que "même si les deux pays sont d'accord sur la nécessité de réagir de manière solidaire, il y a une divergence quant au niveau de la riposte." De son côté, Washington risque d'être plus à l'écoute de Pékin, partenaire indispensable à sa sortie de crise économique. Séoul étudierait la possibilité d'appliquer à nouveau la résolution 1718 dont l'application est en réalité suspendue, mais les cinq membres permanents du Conseil de sécurité risquent de ne pas l'approuver de manière unanime. Beaucoup d'analystes donnent raison à l'ancien président sud-coréen Kim Dae-jung, selon lequel "Pyongyang va tirer un missile, le président du Conseil de sécurité de l'ONU va publier un communiqué, les six pays vont revenir à la table des négociations". En prévision d'une réaction modérée des Américains et des Chinois, Kim Tae-hyo, secrétaire de la présidence sud-coréenne aux Stratégies internationales, veut s'assurer d'une marge de manœuvre. "Même si la Corée du Nord tire un missile, nous allons soutenir l'effort de la communauté internationale en vue de résoudre le problème du nucléaire nord-coréen par le dialogue", a-t-il déclaré le 23 mars. Les Nord-Coréens veulent fixer la limite des sanctions à son encontre et signifier sans doute qu'ils sont par ailleurs prêts à revenir aux pourparlers à six. La détention des deux journalistes américaines [qu'ils ont arrêtées le 17 mars à la frontière sino-nord-coréenne] peut leur offrir une occasion de reprendre contact avec les Américains. "Cette affaire pourra servir d'amortisseur aux menaces contre le Nord. Les deux femmes seront probablement relâchées après le lancement de la fusée", avance le professeur Kim. Hwang Pang-yol OhmyNews
  16. http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=96058 TURQUES-ET-CAÏQUES -Rien ne va plus au paradis fiscal Miné par la corruption et les abus d'un Premier ministre flambeur, l'archipel antillais, territoire d'outre-mer britannique, va repasser sous le contrôle direct de la Couronne. Londres se donne deux ans pour remettre de l'ordre. Avec les plages blanc immaculé, la mer bleu turquoise et l'absence d'impôt sur le revenu qui les caractérisent, les îles Turques-et-Caïques ont fait leur réputation et leur fortune en se vendant comme un paradis fiscal des Caraïbes. Mais, si 260 000 vacanciers affluent chaque année pour siroter des cocktails et ouvrir des comptes en banque dans cette planque de luxe, la vie de ses 30 000 habitants n'est pas si idyllique. La situation politique des Turques-et-Caïques, annexées par la Grande-Bretagne en 1799, est telle qu'à 7 000 kilomètres de là un ordre de la reine va être présenté devant le Parlement pour suspendre de larges pans de leur Constitution et replacer ces îles sous le contrôle direct de Londres pour une durée de deux ans. Au lieu d'envoyer un détachement des Royal Marines prendre d'assaut Cockburn Town, la minuscule capitale de l'archipel, le Foreign Office se prépare à dépêcher un bataillon d'élite de technocrates pour faire office de conseillers dans ce qui s'annonce comme une refonte totale d'organes essentiels du gouvernement. L'arrivée de cette équipe d'urgence a été avancée lorsqu'on a appris, le 23 mars, que le Premier ministre de l'archipel, le charismatique Michael Misick, avait démissionné de ses fonctions une semaine plus tôt que prévu, après six ans passés à la tête d'un gouvernement miné par les scandales. Cette brusque tournure des événements est l'aboutissement d'une enquête de neuf mois qui a révélé une corruption endémique et des pratiques douteuses, comme la vente de terrains publics, mais aussi le goût de M. Misick pour l'adultère, les jets privés et les costumes de haute couture, ainsi que son "achat" d'une Rolls Royce Phantom [en fait louée à prix d'or] pour sa femme, une actrice hollywoodienne. Sir Robin Auld, un ancien juge très respecté qui a été chargé d'enquêter sur la conduite des affaires dans l'archipel, a publié cette semaine un rapport provisoire incendiaire qui faisait mention d'"une foule d'informations suggérant une forte probabilité de corruption générale ou de profonde malhonnêteté" et concluait qu'il y avait "des signes clairs d'amoralité et d'immaturité politiques et d'incompétence en matière d'administration". Ce tableau diffère radicalement de l'image de paradis des Caraïbes que l'on a habituellement de ces îles, dont le statut de territoire d'outre-mer britannique signifie que le Royaume-Uni est garant de leur défense et de leur stabilité économique, et qui ont attiré des célébrités comme Bruce Willis, Michael Douglas, Keith Richards et Oprah Winfrey. L'archipel a connu un essor économique considérable depuis l'arrivée au pouvoir, en 2003, de l'affable M. Misick, issu d'une famille influente de l'archipel et leader du Parti national progressiste, au pouvoir jusqu'au mois de février. Le nombre annuel de touristes est passé de 175 000 à 264 000 grâce à la construction d'une série de stations balnéaires haut de gamme, et le PIB a grimpé de 216 millions de dollars à 722 millions. La fortune personnelle de M. Misick a augmenté de la même manière. En 2003, elle était de l'ordre de 50 000 dollars, mais l'an dernier, quand il s'est séparé de sa deuxième femme, elle était estimée à 180 millions de dollars, dont 20 millions de prêts non déclarés de la part d'entreprises étrangères et de membres de son gouvernement. Quand on a demandé à M. Misick pourquoi il était mieux payé que le Premier ministre britannique, il a répondu : "J'ai fait plus pour les Turques-et-Caïques que Gordon Brown pour l'Angleterre." La décision de faire passer l'archipel sous le contrôle direct de Londres a fait resurgir des souvenirs d'un passé colonialiste que M. Misick s'est empressé d'exploiter. Le Foreign Office a fait valoir que des insulaires seraient représentés dans les organes établis par le gouverneur britannique de l'archipel, Gordon Wetherell, pour avoir un droit de regard. "Il ne s'agit pas d'imposer indéfiniment un contrôle direct, mais d'intervenir ponctuellement, le temps de mettre en place les réformes nécessaires." Cahal Milmo The Independent
  17. La sévérité des Etats-Unis met en valeur les charmes de Londres http://www.lemonde.fr/la-crise-financiere/article/2009/03/23/la-severite-des-etats-unis-met-en-valeur-les-charmes-de-londres_1171499_1101386.html
  18. http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=95835 Les conservateurs font de la résistance littéraire En reprenant à leur compte les arguments de la romancière Ayn Rand, chantre de l'individualisme et de l'ultralibéralisme, les républicains tentent de rallier les déçus de la politique menée par Obama. Certains produits ne connaissent pas la crise, comme l'alcool, le chocolat, les places de cinéma et les cigarettes. D'autres connaissent un succès inattendu en cette période de débâcle économique. C'est le cas d'un roman de science-fiction publié il y a plusieurs dizaines d'années et dont certains admirateurs pensent que le scénario d'apocalypse économique et sociale serait sur le point de se réaliser. Publié en 1957 par Ayn Rand, La Révolte d'Atlas [traduction française parue chez l'éditeur suisse Jeheber en 1958] – un éloge de l'individualisme forcené, de l'égoïsme le plus obtus et du laisser-faire libéral – a vu ses ventes exploser depuis le début de la crise, révèle TitleZ, l'outil de veille du site de commerce en ligne Amazon. Chez le lecteur, cet ouvrage peut susciter un enthousiasme quasi mystique ou, au contraire, les moqueries les plus sarcastiques au fur et à mesure qu'il découvre, avec impatience ou avec effroi, un monde délaissé par les "hommes de l'esprit" (inventeurs, entrepreneurs et industriels) lassés d'une société qui ne cherche qu'à les épuiser à coups de taxes et de réglementations. Fatigués d'être exploités par le gouvernement au nom des masses populaires qui sont présentées comme des "parasites" et des "solliciteurs", ces figures du capitalisme se retirent au milieu des montagnes du Colorado, dans un camp protégé par un bouclier holographique. Privée de ses esprits les plus brillants, la société ne tarde pas à imploser et les guerres éclatent de toutes parts jusqu'à ce que les bureaucrates n'aient plus d'autre choix que de supplier John Galt, chef des capitalistes rebelles, de prendre les rennes de l'économie. Si Amazon classe La Révolte d'Atlas parmi les ouvrages de science-fiction, les admirateurs de Rand voient pourtant d'étranges similitudes entre ce roman et la situation actuelle à Washington. A leurs yeux, l'aide de l'administration Obama aux banques et propriétaires en difficulté s'apparente à une forme de tyrannie socialiste, obligeant les citoyens les plus éclairés à voler au secours des plus faibles, des irresponsables et des incompétents. "La politique économique actuelle est tout droit sortie de La Révolte d'Atlas", écrivait récemment un chroniqueur du Wall Street Journal. "Moins vous êtes compétent dans votre domaine, plus les hommes politiques vous aident." Le discours d'Obama indiquant que la crise exige un sacrifice de tous et "une contribution supplémentaire" de la part des plus riches aurait donné la nausée à Ayn Rand pour qui l'altruisme était le mal incarné. "La raison nous montre que tout sacrifice nécessite la désignation d'une personne pour collecter les contributions de tous. Tout service implique que quelqu'un soit servi par un autre. L'homme qui vous parle de sacrifice évoque en réalité un maître et des esclaves, et se réserve le rôle du maître", écrivait-elle. Certains adeptes prédisent même une révolution "randienne". Fatigués de devoir soutenir leurs concitoyens en permanence, les hommes les plus intelligents de notre société pourraient refuser de payer leurs impôts ou de partager leurs savoirs avec le reste du monde. Dans plusieurs villes des Etats-Unis, des militants conservateurs ont organisé des manifestations appelées tea parties, reprenant ainsi l'idée d'un journaliste de la chaîne économique CNBC, qui a appelé les contribuables à se mobiliser comme leurs ancêtres avec les Boston tea parties de 1773, qui ont compté parmi les catalyseurs de la révolution américaine. Emigrée russe venue aux Etats-Unis, Ayn Rand considérait son livre comme l'ultime somme de sa réflexion objectiviste. L'ouvrage a pourtant largement été ignoré des grands philosophes, et Noam Chomsky juge son auteur comme "l'un des pires personnages de l'histoire intellectuelle moderne". L'idée d'une révolution à la manière d'Ayn Rand a pourtant des partisans à Washington. "Les gens commencent à avoir l'impression d'assister à la réalisation du scénario décrit dans La Révolte d'Atlas", remarque John Campbell, représentant républicain qui distribue des exemplaires du livre à ses stagiaires. "Les grands hommes vont se mettre en grève. Je perçois déjà, à petite échelle, le ressentiment de ceux qui créent des emplois. Ils renoncent à leurs ambitions, car ils voient déjà qu'on va les punir pour cela", poursuit-il. Le livre a fait ses meilleures ventes sur Amazon les jours où de grandes décisions économiques ont été prises comme le sauvetage de la Northern Rock, la participation de l'Etat dans le capital de neuf grandes banques privées ou le vote du plan de relance de Barack Obama. Selon le Ayn Rand Centre for Individual Rights, les ventes du livre aux Etats-Unis auraient triplé au cours des sept premières semaines de 2009, par rapport à l'année précédente. Pour les plus sceptiques, les menaces de boycott des impôts sont un peu l'équivalent conservateur du départ vers le Canada que les gens de gauche avaient annoncé si Bush remportait les élections de 2004. Il avait gagné et ils étaient finalement restés. Oliver Burkeman The Guardian L'article original du Guardian http://www.guardian.co.uk/world/2009/mar/10/ayn-rand-atlas-shrugged
  19. http://observers.france24.com/fr/content/20090312-clip-bollywodien-marchand-armes-israelien extrait d'une intervention sur le site fr france24
  20. L'assureur américain AIG a dédommagé des banques européennes http://www.lemonde.fr/economie/article/2009/03/16/l-assureur-americain-aig-a-dedommage-des-banques-europeennes_1168208_3234.html#ens_id=1168135&xtor=RSS-3208
  21. L'ONU prend le relais de la force européenne au Tchad http://www.lemonde.fr/afrique/article/2009/03/15/l-onu-prend-le-relais-de-la-force-europeenne-au-tchad_1168137_3212.html#xtor=RSS-3208
  22. http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=95627 Le "retour" de la France plaît à Moscou La réintégration complète de la France au sein des structures de l'Alliance Atlantique suscite des commentaires favorables de Moscou. Cela "correspond aux intérêts de la Russie, qui veut renforcer ses positions dans l'Alliance et empêcher l'entrée dans l'OTAN de la Géorgie et de l'Ukraine", écrit Kommersant. "La France est notre partenaire prioritaire en Europe, et que Paris ait plus de poids dans la prise de décision au sein de l'OTAN joue en faveur de Moscou", selon la directrice du Centre de sécurité européenne Tatiana Parkhlina citée par le journal libéral russe. Selon cette experte, cela va favoriser les relations entre l'OTAN et la Russie car "le président Sarkozy est l'un des premiers à soutenir l'idée de création d'une nouvelle structure de sécurité européenne avancée par le président Dmitri Medvedev". Le directeur de l'Institut russe des recherches politiques Sergueï Markov partage cet optimisme et estime que "le renforcement de l'influence de la France limite celle de Washington et minimise la tendance antirusse de l'Alliance, attisée par les pays d'Europe orientale, en particulier les Etats baltes", rapporte Vremia Novostieï. "La France aura la possibilité de 'semer la révolte' de l'intérieur", s'emporte même un chroniqueur du Moskovski Komsomolets. Un enthousiasme refroidi par le représentant permanent de la Russie près de l'OTAN Dmitri Rogozine. "Jusqu'à présent, l'opposition antiaméricaine au sein de l'OTAN s'appuyait sur l'indépendance de la France. On ne sait pas sur qui les Français eux-mêmes pourront compter au sein de l'Alliance", explique-t-il dans les colonnes du quotidien économique moscovite RBC Daily. Il compare la situation actuelle à "une partie de poker fermé aux résultats imprévisibles pour tous les joueurs".
  23. Un lien vers l'article original. http://www.telegraph.co.uk/comment/telegraph-view/4975164/France-must-decide-on-military-issues-and-Nato-membership.html Le journal d'où est extrait l'article explique le ton de celui ci. http://www.courrierinternational.com/planetepresse/planeteP_notule.asp?not_id=3471
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