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Borisdedante

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Tout ce qui a été posté par Borisdedante

  1. http://www.lexpress.fr/actualites/2/un-policier-antiterroriste-abattu-a-athenes_768090.html Par Reuters, publié le 17/06/2009 à 07:47 - mis à jour le 17/06/2009 à 15:23 Un policier antiterroriste abattu à Athènes ATHENES - Un policier des services antiterroristes grecs a été abattu mercredi à Athènes par deux membres de la mouvance d'extrême gauche armée qui ont pris la fuite à moto, rapporte la police. Il s'agit du plus grave incident depuis les émeutes de décembre dernier dans la capitale grecque. Le policier, qui avait 41 ans, a été tué de plusieurs balles tirées à bout portant alors qu'il était assis dans sa voiture, affecté à la surveillance d'un témoin impliqué dans une affaire visant un mouvement de guérilla urbaine. Les deux assaillants, qui appartiendraient à la Secte rouge, un groupe de l'extrême gauche armée, ont disparu dans les rues du quartier densément peuplé de Patissia. "C'était un meurtre de sang-froid (...) Ils ont sorti leurs armes et l'ont assassiné", a déclaré le porte-parole de la police grecque Panagiotis Stathis aux journalistes. Plusieurs mouvements anarchistes et gauchistes ont mené une série d'attaques ciblant la police ou les banques depuis qu'un policier a abattu un adolescent de 15 ans, Alexandros Grigoropoulos, le 6 décembre. Ce décès avait déclenché pendant plusieurs jours les émeutes les plus violentes depuis la fin du régime militaire en 1974. L'attaque de mercredi, survenue aux premières heures de la journée, rappelle l'agression d'un autre policier dans la nuit du 4 au 5 janvier, revendiquée par un autre groupe d'extrême gauche, Lutte révolutionnaire du peuple (ELA) en mémoire du meurtre de Grigoropoulos. L'agent de 21 ans avait été grièvement blessé. Le policier tué mercredi venait de prendre la relève d'un collègue pour surveiller un individu protégé après avoir témoigné contre un membre de Lutte révolutionnaire du peuple, aujourd'hui dissous, condamné avec d'autres en 2004. La police a ramassé 24 douilles provenant de deux armes différentes sur les lieux du meurtre, dont certaines correspondent à une arme utilisée par la Secte rouge lors de la fusillade du siège de la télévision Alter en février. "La victime a été tuée d'au moins 15 à 20 balles", a précisé Paganiotis Stathis. Un médecin légiste a indiqué que le policier n'avait pas eu le temps de dégainer son arme. "Il porte de multiples blessures par balles, la plupart sur la partie gauche du corps. Son arme était dans sa ceinture", a-t-il dit. Une vaste chasse à l'homme a été lancée dans le quartier de Patissia pour tenter de retrouver les auteurs du meurtre, qui n'a pas été revendiqué. "Il n'y aura aucune tolérance pour des actes criminels qui coûtent des vies et visent la société et la démocratie", a dit le porte-parole du gouvernement, Evangelos Antonaros.
  2. http://www.lemonde.fr/societe/article/2009/06/18/l-attentat-de-karachi-de-2002-est-une-affaire-d-etats-selon-les-victimes_1208654_3224.html#xtor=RSS-3208 L'attentat de Karachi de 2002 est une "affaire d'Etats", selon les victimes L'enquête sur l'attentat de Karachi en 2002 contre des salariés des arsenaux d'Etat DCN s'oriente vers une "affaire d'Etats", et non plus vers Al-Qaida, a affirmé jeudi 18 juin l'avocat de sept familles de victimes, après avoir vu les juges antiterroristes. "La piste Al-Qaida est totalement abandonnée. Le mobile de l'attentat apparaît lié à un arrêt des versements de commissions" de la France au Pakistan dans le cadre de la vente de sous-marins Agosta, a expliqué Me Olivier Morice, à l'issue d'une rencontre des juges antiterroristes Marc Trévidic et Yves Jannier avec les familles des victimes à Cherbourg. "Ces commissions ont été arrêtées à l'arrivée de Jacques Chirac à la présidence de la République en 1995 afin que des rétrocommissions" destinées à financer la campagne d'Edouard Balladur, premier ministre avant l'arrivée de M. Chirac à la présidence, "ne soient pas versées", a affirmé l'avocat. "DES PERSONNALITÉS POLITIQUES VONT ÊTRE ENTENDUES" Dans ce scénario, l'attentat aurait été une représaille au non-versement des commissions alors distribuées par l'actuel chef de l'Etat pakistanais, Asif Ali Zardari, alors premier ministre, a expliqué Magali Drouet, fille d'un salarié de la DCN. "Il s'agit d'une affaire d'Etats impliquant la France, le Pakistan et l'Arabie saoudite, bailleur de fonds du Pakistan", a-t-elle ajouté. C'est, selon Mme Drouet et son avocat, ce que dit un rapport demandé par la DCN baptisé "Nautilus" non signé mais dont les auteurs ont été identifiés et auditionnés par les juges antiterroristes. "On s'oriente nécessairement vers des actes de grande importance. Des personnalités politiques de premier plan vont être entendues", a ajouté M. Morice. L'attentat avait fait le 8 mai 2002 14 morts, dont 11 ingénieurs français travaillant pour les anciens arsenaux d'Etat DCN, devenu depuis DCNS, ou des sous-traitants, ainsi que 12 blessés.
  3. http://www.lematin.ch/flash-info/monde/fils-dernier-shah-iran-plaide-scenario-desobeissance-civile Le fils du dernier shah d'Iran plaide pour "un scénario de désobéissance civile" Le fils du dernier shah d'Iran renversé par la révolution islamique, Reza Pahlavi, a appelé dimanche la communauté internationale à soutenir un "scénario de désobéissance civile" en Iran, estimant que le changement dans son pays ne pourrait venir que de l'intérieur. AFP - le 14 juin 2009, 11h45 "J'ai toujours cru à un scénario de désobéissance civile, mais ceci ne pourra pas se passer sans qu'il y ait l'aide et le soutien de la communauté internationale", a déclaré sur RTL M. Pahlavi, qui vit en exil aux Etats-Unis. "Il est temps que le monde soutienne mes compatriotes dans leur combat pour la liberté, les droits de l'Homme et la démocratie", a-t-il ajouté. M. Pahlavi a estimé qu'"il ne fallait pas s'attendre à d'autres résultats" que la réélection de M. Ahmadinejad à la présidence. "Quand on connaît un système où il y a une personne tout en haut qui dit avoir un pouvoir divin, qui contrôle tous les aspects du gouvernement et qui dicte des candidats. Le fond du problème, c'est ce régime, et tant que ce régime est en place, je pense que malheureusement les Iraniens n'arriveront pas à retrouver l'opportunité de progrès et de liberté", a-t-il dit. Interrogé sur l'hypothèse d'une attaque israélienne contre les installations nucléaires iraniennes, M. Pahlavi a estimé qu'elle ne pourrait "que profiter au régime" iranien. "La seule solution pour le monde, avant que l'Iran ait sa bombe, est d'aider à ce qu'il y ait un changement de l'intérieur à travers les mains des Iraniens eux-mêmes, qui sont les alliés du monde libre", a annoncé M. Pahlavi, exilé depuis 1979.
  4. http://www.lepoint.fr/actualites-monde/2009-06-13/innovation-pour-la-premiere-fois-un-regiment-de-l-armee-de-terre-sera/1648/0/352350 Pour la première fois, un régiment de l'armée de terre sera commandé par une femme D'autres femmes, dans d'autres unités, se sont vu confier des postes de responsabilité équivalente. Mais pour la première fois, un régiment opérationnel de l'armée de terre, le 18e régiment de transmissions de Bretteville-sur-Odon (Calvados), sera commandé par une femme, qui prendra ses fonctions le 18 juin. Dominique Vitte, qui est entrée à Saint-Cyr en 1986, promotion Général Callies, était alors la cinquième femme à pénétrer par la grande porte dans ce panthéon des valeurs masculines. Fille de militaire, elle a initialement choisi une autre voie, et se voyait plutôt dans l'univers économique, après une prépa HEC et des études de sciences économiques. Mais une préparation militaire parachutiste en décide autrement. Elle change d'avis et se présente au concours de l'École spéciale militaire de Coëtquidan. De ces années de formation, elle dit pudiquement s'être sentie "mouton noir chez les moutons blancs". À cette époque pionnière, voici un quart de siècle, l'armée concevait quelques difficultés à gérer la présence des femmes imposée par le politique, et Dominique Vitte a vécu ces tâtonnements sur le terrain de sport : "La première année, j'ai passé des épreuves sportives différentes de celles de mes camarades masculins, notées avec des barèmes différents. La seconde année, c'étaient des épreuves semblables, avec barème différent. Et la troisième année, c'était la même chose pour tout le monde. Au motif que si les femmes doivent faire leurs preuves, elles les feront, et que dans une section d'infanterie, on passe les barres, et c'est tout." Elle s'adapte, se transforme : "J'étais devenue comme eux : agressive. Ce qui m'a permis de résister, c'est que j'avais une autre image du métier d'officier." Pour ne pas dire qu'elle en a bavé des ronds de chapeau, elle préfère expliquer : "C'était parfois difficile pour les garçons de vivre cette logique. Il y avait des gens très bien, aussi !" Aujourd'hui, elle a deux préoccupations : être prête pour sa passation de commandement, ce qui ne lui pose pas de problème, et faire face à sa nouvelle notoriété, ce dont elle se passerait volontiers. "Je ne veux pas faire l'objet de curiosité. M'exposer, c'est contraire à ma nature." Vive et peu adepte de la langue de bois, elle ne fait pas une histoire de sa carrière, ni dans l'arme des transmissions ni dans ces affectations sous-exposées où conduit parfois une carrière militaire. Elle parle avec émotion de Pierre Dabezies , officier exceptionnel et universitaire éminent , dont elle prononça l'éloge funèbre en 2003 , et qui a été son professeur de relations internationales à La Sorbonne. Avant le Collège interarmées de défense, elle est passée par la Fondation nationale des sciences politiques, y travaillant sur la conduite du changement "avec le devenir collectif et individuel des hommes au coeur de la problématique", et se dit ravie de pouvoir se mesurer à une mise en oeuvre concrète de ses études. Car sa mission au 18e RT n'est pas si simple : elle va devoir conduire le régiment à sa dissolution programmée, dans un an : "C'est une courte mission, mais à conduire tambour battant." À elle donc la charge de rendre le site très moderne de Bretteville-sur-Odon aux autorités locales, et de préparer les hommes et les femmes du 18e RT à partir pour d'autres unités. Aurait-elle rêvé d'une autre mission ? Ce n'est pas le problème : "J'ai entendu un de mes supérieurs demander récemment à chacun d'atténuer les pics de sa personnalité, pour mieux servir. Je suis d'accord : ceux qui acceptent de se fondre dans la masse servent bien l'institution." Jean Guisnel
  5. La réponse est peut être au début de l'article.
  6. http://world.guns.ru/assault/as96-e.htm http://en.wikipedia.org/wiki/VHS_assault_rifle
  7. Borisdedante

    La Force aérienne suisse

    Les électeurs suisses se prononceront sur l’achat de nouveaux avions de combat http://www.opex360.com/2009/06/09/les-electeurs-suisses-se-prononceront-sur-lachat-de-nouveaux-avions-de-combat/
  8. EDF va lancer un emprunt auprès des particuliers rémunéré à 4,5% http://www.latribune.fr/entreprises/industrie/energie-environnement/20090527trib000380760/edf-va-lancer-un-emprunt-aupres-des-particuliers-remunere-a-45.html
  9. Pour la chasse il existe des munitions pour sanglier mais je ne connais la règlementation à ce sujet ni ci ce type de cartouche est utilisable autre par que sur un fusil de chasse..
  10. Au sujet de l'abstention personne n'en parle ou peu car cela arrange tout le monde. En parler obligerait chacun à parler de leur propre absentéisme au niveau de la campagne électoral. L'encombrante élection du "soldat" Hortefeux http://www.lepoint.fr/actualites-politique/2009-06-08/europeennes-l-encombrante-election-du-soldat-hortefeux/917/0/350708
  11. http://www.courrierinternational.com/article/2009/05/07/un-investissement-vachement-rentable AGRICULTURE • Un investissement vachement rentable Tandis que les Bourses s’effondrent et que l’immobilier plonge, certains redécouvrent une façon simple et sûre de placer ses économies : les vaches. Enquête. En cette période de crise, les Français, qui ont la réputation de se méfier des banques, ne se contentent plus de cacher leur argent sous leur matelas, ils investissent également dans les vaches. Pour Pierre Marguerit, 60 ans, ces animaux constituent un investissement fiable, sans risque et écologique, un placement à long terme sur une ressource renouvelable. Ces types de placement n’ont rien de nouveau – ils remontent à Richard Cœur de Lion –, et le mot anglais capital vient d’ailleurs du ­français cheptel. L’année dernière, l’entreprise de M. Marguerit a connu une croissance de 40 % et cette année, elle a déjà “pratiquement doublé son chiffre d’affaires”, explique le directeur d’Elevage et Patrimoine, une entreprise de conseil en investissement bovin sise à Meyzieu, dans le Rhône, et président de Gestel, une entreprise de “location” de vaches laitières qui met en relation agriculteurs et investisseurs. “Ceux qui ont des économies ne veulent pas les gaspiller, dit-il. Les Bourses ont chuté et les gens veulent désormais placer leur argent dans un investissement plus stable et à long terme.” Il ne s’agit peut-être pas d’un placement “vache à lait”, mais investir dans des holsteins vous rapportera 4 à 5 % nets par an. Un profit basé sur une croissance on ne peut plus naturelle : la vente des veaux “produits” par vos génisses. Comparé aux maigres taux d’intérêt offerts par les banques françaises, c’est un bon placement. En général, les investisseurs achètent entre dix et vingt génisses, à 1 250 euros par tête, et peuvent soit vendre les veaux chaque année ou les ajouter à leur cheptel, explique L’Association française d’investissement en cheptel (AFIC). En cette période difficile, c’est un bien meilleur investissement que l’immobilier et bien moins volatil que la Bourse, explique M. Marguerit. Il poursuit sa démonstration en faisant l’éloge de la nouvelle passion des Français pour tout ce qui est “naturel, bio et durable”. Les Français ont toujours eu une vision très romantique de la vie à la campagne et se sentent une âme de paysan. “Ça fait partie de notre patrimoine.” Depuis la crise financière, “il y a comme une prise de conscience, le retour à la réalité est très dur et les gens se posent de vraies questions, ajoute-t-il. Alors, pourquoi ne pas diversifier ses investissements en acquérant des vaches ? Cet arrangement a permis à Richard Durand, 48 ans, de moderniser son exploitation laitière, qui couvre 200 hectares, à quarante-cinq minutes au sud-est de Lyon. Ses holsteins y sont choyées et jouissent d’une vue superbe sur les montagnes et les verts pâturages où elles paissent l’été. Et elles peuvent même s’offrir un petit massage quand bon leur semble en venant se frotter sur une grande brosse ronde dont leur propriétaire vient de faire l’acquisition. Il a rebaptisé son exploitation “la Ferme des vaches heureuses”, et c’est exactement l’impression qu’elle donne. M. Durand, qui connaît toutes ses vaches par leur nom, en loue 37 sur les 100 que compte son cheptel. Ennuyeuses à mourir mais si attachantes vaches Elever des vaches qui appartiennent à d’autres lui donne droit à des réductions d’impôts et libère près de 17 % de son capital, qu’il emploie à des travaux ou à des investissements, explique M. Durand. Ses trois enfants ont quitté le foyer et ne veulent plus rien avoir à faire avec les bêtes à cornes. Les vaches ont un bon tempérament mais sont des bêtes ennuyeuses à mourir, reconnaît-il. “Elles passent huit heures à manger, huit heures à dormir et huit heures à ruminer.” M. Durand vend sur les marchés artisanaux de la région l’excellent fromage blanc, le beurre et les yaourts qu’il fabrique avec une partie du lait de ses bêtes, et vend le reste de sa production – 750 000 litres au total – à la coopérative locale. Actuellement, selon l’AFIC, il y aurait 37 000 vaches sous contrat en France dans près de 880 fermes. Mais le marché potentiel est énorme, insiste M. Marguerit : ce chiffre pourrait avoisiner le million de têtes en France et 6 millions en Europe. Et, en bon vendeur, il termine par un argument religieux : “C’est également un investissement compatible avec la charia.”
  12. Mais justement n'est pas grâce au 10 ans d'enquêtes précédentes que la vidéo surveillance et ADN ont pu être efficace. En effet, si les camera n'ont pas été mis au hasard et on été positionné pour chercher quelque chose de connu, n'est ce pas justement grâce au travail fait précèdement.
  13. Un syndicat de pilotes d'Air France appelle à ne plus voler sur des A330 http://www.lemonde.fr/economie/article/2009/06/08/un-syndicat-de-pilotes-d-air-france-appelle-a-ne-plus-voler-sur-des-a330_1204437_3234.html#ens_id=1200707&xtor=RSS-3208
  14. http://www.lepoint.fr/actualites-monde/2009-06-08/renseignement-quand-les-militaires-et-les-espions-utilisent-google/1648/0/350700 Quand les militaires et les espions utilisent Google par Jean Guisnel Il n'y a pas si longtemps, les agents secrets français de la DGSE, qui étaient allés négocier la restitution d'un otage enlevé en Somalie, avaient utilisé les cartes de Google Maps et les photos de Google Earth pour localiser ses ravisseurs. Mais aujourd'hui, habitué des applications qui tuent la concurrence (killing apps), Google fait encore plus fort. La société américaine est sans doute en train de réinventer la géographie avec un outil invraisemblable, Google Map Maker . Attention ! Ici, il ne s'agit pas du tout d'aller batifoler sur une carte, ou de chercher le restau du coin. Il s'agit bien plus intelligemment de "fabriquer" une carte, d'y insérer des routes, des immeubles, des stades ou des hôpitaux, des changements de limites territoriales et à terme de l'information quasi cadastrale. Chaque internaute s'y colle, Google traite ces informations, le tout se retrouvant ensuite dument installé sur Google Earth et/ou Google maps, qui viennent de s'enrichir d'informations détaillées sur 60 pays. Comme le signale la dernière livraison de la lettre confidentielle Intelligence on Line (site payant), le chantier n'en est qu'à ses débuts, mais les militaires avertis s'y intéressent déjà de très près. Pour eux, une information géographique ne vaut que si elle est exacte et validée. Or, ce travail exige un temps et des moyens considérables. Dans des zones difficilement accessibles, ou mal cartographiées, voire interdites, il est quasiment impossible d'effectuer des mises à jour permanentes. Il est également difficile de nourrir une base de données avec des informations aussi importantes que de la toponymie exacte, la nature des sols ou des paysages, les zones inondables. Or, c'est exactement ce que propose Google Map Maker, confie Thierry Rousselin, de la société Géo212 , société créée en 2004 par cet ingénieur géologue passé d'abord par la télédétection puis par la géographie militaire au sein de la DGA (Délégation générale pour l'armement) : "Au début, en juin 2008, le projet n'a pas quitté les Google Labs . Ils avaient bien vu qu'ils avaient un problème pour créer des cartes concernant des zones mal couvertes par des sociétés comme Navteq ou Teleatlas , dont ils achètent les fonds de cartes. La mise à jour aurait coûté cher, et serait demeurée sans modèle économique." C'est peu connu, mais le mouvement des logiciels libres possède son pendant dans l'information géographique, avec des projets collaboratifs comme OpenStreetMaps , qui possède son antenne française . D'après Thierry Rousselin, dont la société vient de rendre un rapport confidentiel sur ce sujet au ministère de la Défense, les militaires ont tout intérêt à utiliser ces cartographies collaboratives, souvent informées par des professionnels oeuvrant à titre bénévole, et par de vrais amateurs qui proposent photos, itinéraires ou autres. Google Map Maker reprend les recettes qui ont fait le succès de l'entreprise : pas de jargon, et un contrôle qualité qui ne dit pas son nom, passant par la "modération" entre internautes. Les tests réalisés par des Français ont révélé que chaque fois ou presque qu'une information est ajoutée dans Google Maps Maker, un mail arrive demandant des détails supplémentaires. Du travail bien fait... Au confluent du militantisme, du business, du renseignement et du militaire, le mouvement VGI (Volonteer Geographic Information) surfe sur cette vague, et avait rassemblé ses principaux animateurs en décembre 2007, pour une grande conférence , organisée par Michaël Goodchild , du département de géographie de l'université de Californie à Santa Barbara. Tout ce qui se fait de plus brillant dans le monde scientifico-militaire américain était présent. Etrange ? Mais non, tout s'explique... Intelligence On Line rapporte qu'en janvier dernier, lors de la conférence Digital Geographic Information Europe 2009 , l'un des cadres de l'agence de renseignement géographique américaine, la NGA (National Geospatial Intelligence Agency) , Jack Hild, avait indiqué que son agence souhaitait acquérir une base cartographique mondiale "précise et à jour". Et si, tout simplement, il s'agissait des systèmes géographiques de Google, implémentés chaque jour, et gratuitement, par des internautes généreux ? Simple hypothèse, bien sûr...
  15. http://www.clubic.com/actualite-280886-chine-logiciel-censure.html Chine : bientôt un logiciel de censure ? Depuis plusieurs années le gouvernement chinois met en place une série de processus permettant de filtrer le contenu du web. C'est ainsi que plusieurs sites Internet jugés inappropriés sont censurés sur le territoire à l'image de YouTube, Hotmail, Wikipedia ou encore Twitter. Les géants de la recherche ont d'ailleurs signé plusieurs accords afin de restreindre les résultats de leur moteur auprès des citoyen du pays. A partir du 1er juillet prochain, les ordinateurs commercialisés à l'intérieur de la Chine pourraient nécessiter la pré-installation d'un logiciel permettant le filtrage automatique. Le Washington Post rapporte que le gouvernement chinois s'est entretenu à ce sujet avec les différents fabricants mais n'a pas encore annoncé cette initiative au public. Officiellement, ce logiciel permettrait de protéger les plus jeunes internautes contre le contenu inapproprié, notamment les sites pornographiques. Un porte-parole de Hewlett-Packard explique que la société : « travaille avec les autorités du gouvernement et réfléchit sur la meilleure approche. De toute évidence nous mettrons en oeuvre la meilleure expérience possible pour l'utilisateur tout en s'assurant d'être conformes aux conditions de régulation ». Développé par la société Jinhui Computer System Engineering Co., le logiciel de filtrage est baptisé « Green Dam-Youth Escort ». Bryan Zhang, à la tête de cette entreprise, explique qu'il s'apparente à une application de contrôle parental laissant les parents décider du niveau de sécurité. Si certains PC commercialisés en Chine sont déjà dotés d'un tel utilitaire, il s'agit cependant du premier demandé et agrégé par le gouvernement local. M. Zhano précise également que Jinhui serait en charge de dresser la liste des sites bloqués et pourrait éventuellement collecter des informations personnelles même si ce n'est pas son rôle principal. Notons par ailleurs que Green Dam-Youth Escort pourra être désinstallé. Si les représentants de Dell n'ont pas souhaité se manifester à ce sujet, Lenovo affirme au Washington Post sans plus de précision : « nous passons en revue toutes les législations en rapport avec notre commerce ». D'autres représentants de l'industrie ajoutent que les fabricants n'ont pas vraiment eu le temps de tester Green Dam soulignant également le manque de transparence du gouvernement chinois. Ils précisent que Green Dam a été développé pour fonctionner avec le système Windows mais avancent qu'il pourrait créer quelques conflits avec les autres applications installées. Reste à savoir si tous les fabricants se plieront à cette demande et surtout la manière dont le logiciel sera utilisé par les autorités chinoises.
  16. http://www.lefigaro.fr/international/2009/06/06/01003-20090606ARTFIG00109-l-europe-d-obama-un-continent-banalise-.php L'Europe d'Obama, un continent «banalisé» Renaud Girard Le président américain est populaire dans une Europe qu'il connaît très peu et où il privilégie le symbolique sur le politique. Barack Obama déborde de sourires et de propos aimables à l'en-droit des deux vieilles grandes puissances d'Europe continentale et de leurs dirigeants, mais, en temps passé, il n'accorde à ces dernières qu'un service minimum. On est loin de l'époque où, en visite d'État à Paris, un Kennedy insistait pour avoir au moins trois entretiens en tête-à-tête avec le général de Gaulle à l'Élysée. Le camp de Buchenwald et la plage de Colleville : Obama a choisi le champ du symbolique pour son voyage en Allemagne et en France ; le politique passe au second plan. Auprès de Merkel et de Sarkozy, le président américain estime qu'il n'a ni conseils à prendre (ou à donner), ni aide particulière à prodiguer (ou à solliciter). « Pour Obama, l'Europe n'est pas un problème, ni même une solution à ses problèmes », résume l'ancien ministre des Affaires étrangères Hubert Védrine. Dans la hiérarchie des urgences, la résolution de la crise économique et financière et la stabilisation de l'ensemble Afghanistan- Pakistan viennent en premier aux yeux du président américain. Dans le premier dossier, c'est la relation avec la Chine qui est devenue cruciale. Au début de la semaine, Ben Bernanke, le président de la Réserve fédérale (banque centrale américaine), s'est publiquement inquiété des conséquences à moyen et à long terme de l'énormité des déficits publics des États-Unis. À cet égard, l'Europe, minée par ses propres déficits, ne peut être d'aucune utilité à l'Amérique. En revanche, il est vital que la Chine continue à acheter des bons du Trésor américain, même si tout le monde a compris que Pékin avait entamé un désengagement progressif à l'égard des titres libellés en dollars, pour une politique d'accumulation de matières premières stratégiques. Unilatéralisme doux En plaçant son voyage européen sous le signe symbolique de l'hommage au sacrifice (celui des soldats américains ayant débarqué en Normandie pour libérer ensuite les camps de concentration nazis), Obama adresse, concernant le second dossier, un message à peine codé à l'Allemagne et à la France : vous devriez faire plus dans la « grande guerre pour la civilisation » qui se joue actuellement en Afghanistan et au Pakistan. Mais, depuis le sommet de l'Otan de Strasbourg, le président américain sait que les Allemands et les Français ne sont pas prêts à envoyer des troupes supplémentaires dans les montagnes afghanes. Obama s'est résigné à l'américanisation croissante de la guerre en Afghanistan. Il a internalisé la faiblesse militaire des pays européens. Sur l'« Af-Pak », la Maison-Blanche est revenue sans illusion à ce que le géopoliticien américain Robert Kagan a appelé « the soft unilateralism of low expectations », c'est-à-dire un unilatéralisme doux, fondé sur très peu d'attentes à l'égard de l'Europe. Spécialiste des relations transatlantiques et chercheur à la Brookings Institution (grand think-tank, plutôt démocrate, de Washington), Justin Vaïsse confie qu'il n'y a « aucune raison pour s'étonner de ce que l'Europe ne figure pas dans les priorités du président américain. L'agenda d'Obama en Europe est déjà réalisé. Il fallait tourner la page des mauvaises relations transatlantiques de l'ère Bush-Cheney : cela a été fait ». Qu'il s'agisse de l'Irak, de l'Iran, du conflit israélo-palestinien ou du changement climatique, il n'y a plus de divergences fondamentales entre Washington et les grandes capitales européennes. Au sommet de Copenhague sur le climat de décembre prochain, Obama se présentera avec une ligne très proche de celle des Européens, car son Administration est convaincue de la nécessité de diminuer drastiquement les émissions de CO2 de l'Amérique. Simplement, faute d'avoir obtenu un accord préalable du Congrès, le président américain ne sera pas en mesure d'impulser un nouveau protocole, plus ambitieux que celui que les États-Unis avaient repoussé à Kyoto. Allié tranquille, un peu passif Lors de son premier mandat (janvier 2001-janvier 2005), le président George W. Bush avait, à l'occasion de l'affaire irakienne, divisé l'Europe en profondeur. Son secrétaire à la Défense, Donald Rumsfeld, avait vanté l'audace des pays de la « Nouvelle Europe » face à la « Vieille Europe », qu'incarnaient la France et l'Allemagne, résolument opposées au projet néoconservateur de démocratisation par la force de l'Irak. Rien de tel chez Obama, qui n'a jamais même imaginé de monter les Européens les uns contre les autres. Le nouveau président démocrate souhaite une Europe aussi unie que possible et se satisfait des relations transatlantiques actuelles, apaisées pour longtemps. L'Union européenne (dont la plupart des membres font partie de l'Otan) est vue de Washington comme un allié tranquille, un peu passif, qui ne pose pas de problème particulier. Pour résumer en recourant à un néologisme, on est entré dans une période d'« Obanalisation » de l'Europe. Concernant les grandes affaires internationales, Hubert Vé­drine regrette que les « Européens se soient montrés totalement inca­pables de s'unir pour proposer des initiatives à Obama avant même son investiture ». De fait, l'Europe n'a pas su, pour imprimer sa marque sur le monde, saisir la « fenêtre d'opportunité » qui s'offrit à elle pendant les deux dernières années de la présidence Bush. Dans le dossier israélo-palestinien, Obama peut ainsi se payer le luxe d'avancer seul. Aucun dirigeant européen n'avait jusqu'à présent osé aller aussi loin que le président américain, qui, lors de son discours du Caire, a qualifié d'« intolérable » la situation de la population palestinienne dans les Territoires occupés. Pour relancer le processus de paix, plus personne ne fait confiance à l'Européen Tony Blair, pourtant délégué officiel du Quartette (États-Unis, Russie, ONU, Union européenne). Tous les yeux sont tournés vers George Mitchell, l'envoyé spécial d'Obama pour le Proche-Orient. Sur la question du nucléaire iranien, la Maison-Blanche a repris la main, sans intervention de la moindre médiation européenne. Le président américain a tendu un rameau d'olivier à la population et aux dirigeants iraniens, en prenant l'initiative de s'adresser à eux à l'occasion du Nouvel An persan. En 2003-2004, c'était l'Europe, avec son groupe des trois (France, Allemagne, Angleterre), le leader dans les négociations avec l'Iran. Aujourd'hui, le leadership sur cette question est clairement passé à Washington. À l'égard de la Russie, Obama a forgé une nouvelle diplomatie, sans que l'Europe lui ait été du moindre conseil. Le président américain souhaite rétablir une relation stratégique de qualité avec Moscou. Pour cela, il a relancé avec succès les négociations bilatérales de réduction des arsenaux nucléaires militaires. Ignorance et ingérence La politique de soutien actif aux « révolutions de couleur » dans les anciennes républiques soviétiques est terminée ; il s'agit de ne pas accroître le « sentiment d'encerclement » des Russes. L'adhésion de la Géorgie et de l'Ukraine à l'Otan ne fait pas partie de l'ordre du jour d'Obama. La construction d'un bouclier nucléaire en Pologne et en République tchèque est suspendue. En échange, Washington a demandé à Moscou de ne plus réitérer ses incursions militaires dans les anciennes républiques soviétiques (à l'image de l'opération en Géorgie du mois d'août 2008). La popularité d'Obama est telle dans les pays de l'Union européenne que leurs dirigeants ne réagissent que mollement quand le président américain s'ingère indûment dans leurs affaires, comme lorsqu'il préconise l'entrée de la Turquie dans l'Union. Obama est populaire dans une Europe qu'il connaît en fait très peu. Son plaidoyer du Caire pour le droit des femmes musulmanes à porter le voile en Occident témoigne de son ignorance de la vieille aversion française à l'égard du communautarisme. L'Europe n'aura de chance de se faire entendre d'Obama que lorsqu'elle parlera d'une voix unie. Le cas s'est produit une fois, lors de la phase de préparation du G20 de Londres, quand Sarkozy et Merkel ont uni leurs voix pour exiger de l'Amérique plus de régulation du système financier international. Parce qu'ils s'étaient exprimés ensemble, le président français et la chancelière allemande ont été entendus : le secrétaire au Trésor américain finalise actuellement toute une série de nouvelles réglementations qui s'imposeront aux banques, aux compagnies d'assurances, aux agences de notation et aux fonds spéculatifs.
  17. Convoquée par la police pour avoir traité Nadine Morano de "menteuse" sur Internet http://www.lemonde.fr/politique/article/2009/06/05/convoquee-par-la-police-pour-avoir-traite-nadine-morano-de-menteuse-sur-internet_1202991_823448.html#xtor=RSS-3208
  18. http://www.lemonde.fr/politique/article/2009/06/04/l-assemblee-divisee-sur-l-extension-du-secret-defense_1202292_823448.html#xtor=RSS-3208 L'Assemblée divisée sur l'extension du secret-défense L'examen du projet de loi de programmation militaire pour 2009-2014, qui commence lundi 8 juin à l'Assemblée nationale, va donner lieu à une confrontation insolite. La commission des lois de l'Assemblée a en effet rejeté à l'unanimité, mercredi 3 juin, une partie contestée du texte - les articles 12 à 14 - élargissant la protection du secret-défense à de nombreux lieux face aux perquisitions judiciaires. Cependant, dans l'Hémicycle, ces dispositions vont être défendues par la commission de la défense, qui les a approuvées. En application de la révision constitutionnelle, c'est en effet le texte de la commission saisie au fond - celle de la défense - qui va être présenté en séance. Juristes et militaires s'opposent sur cette extension du secret-défense. Les premiers craignent que la possibilité de classer des lieux sensibles, et non plus seulement des informations, n'empêche toute possibilité d'investigation des juges. Les seconds rappellent que la définition de ce qui est classifié est une prérogative du pouvoir politique. Certains événements récents, qui ont fait polémique, comme les perquisitions intervenues dans le cadre de l'affaire Clearstream ou de l'enquête sur la mort du juge Borrel à Djibouti en 1995, ne sont pas étrangers à cette volonté législative. Pour Jean-Luc Warsmann (UMP, Ardennes), président de la commission des lois, c'est "une question de libertés publiques". "Il nous est proposé de créer sur notre territoire des zones où l'application du droit sera limitée, rappelle-t-il. Ces limitations ne devraient intervenir que pour le strict intérêt du pays ; on ne saurait en abuser afin d'entraver l'action d'éventuels contre-pouvoirs." Selon le ministre de la défense, Hervé Morin, "il fallait éviter qu'un magistrat puisse tomber sous un délit de compromission", lorsque, dans le cadre d'une perquisition, il accède à des documents couverts par le secret. Les magistrats n'étant pas habilités au secret de la défense nationale, ils ne peuvent pas consulter des documents classifiés, sous peine de violer l'article 413-10 du code pénal. "J'ai fait en sorte que ce nouveau dispositif n'empêche pas la loi républicaine de s'appliquer ", assure M. Morin. "Il y a une différence d'approche, voire une différence de culture", reconnaît Emile Blessig (UMP, Bas-Rhin), rapporteur pour avis de la commission des lois. Actuellement, aucune disposition ne définit des modalités particulières pour les perquisitions dans des lieux abritant des secret-défense. Dans son avis du 5 avril 2007, le Conseil d'Etat a confirmé que "le juge d'instruction n'a pas à solliciter d'autorisation pour pénétrer dans une zone protégée". Tout magistrat se présentant à la porte d'un lieu susceptible d'abriter des secret-défense doit donc pouvoir y effectuer une perquisition. MIS SOUS SCELLÉS Dans les faits, les juges se voient déjà opposer des résistances : en mai 2007, deux juges d'instruction parisiennes ont vainement tenté de perquisitionner à la cellule Afrique de l'Elysée dans le cadre de l'affaire Borrel. De plus, quand ils ont saisi et mis sous scellé des documents classifiés, ils ne peuvent en prendre connaissance qu'à l'issue de la procédure de déclassification instituée par la loi de 1998. Le Conseil d'Etat recommandait que les règles de procédure soient complétées et les prérogatives de la Commission consultative nationale du secret de la défense nationale (CCSDN) étendues afin de lui permettre d'intervenir lors de la découverte d'informations classifiées, notamment en zone protégée. Le projet de loi étendant la notion de secret aux lieux, il serait dès lors impossible d'y pénétrer sans habilitation. "Il faut bien avoir à l'esprit, rappelle M. Blessig, que la décision de classification d'un lieu par le premier ministre sera elle-même une information classifiée. Dès lors, cette décision ne pourra faire l'objet d'aucun recours juridictionnel. Elle ne pourra pas non plus être contestée puisqu'elle sera secrète." Une situation que le député juge "inacceptable car elle signifie que le pouvoir exécutif a la latitude de décider à tout moment la classification d'un lieu, empêchant dès lors toute investigation judiciaire dans ce lieu". En clair, la commission des lois craint un "abus" de classification, risquant de mettre des entraves supplémentaires au fonctionnement de la justice. Un de ses amendements visait à soumettre la décision de classification du premier ministre à un avis conforme de la CCSDN. La commission de la défense l'a rejeté. Dans ces conditions, la commission des lois a estimé qu'il ne lui était pas possible de donner un avis favorable à ce volet du projet de loi de programmation militaire. Patrick Roger
  19. Photo de famille lors de l'exercice "FIESOLE 2009" pour l'EUROFOR. http://www.operacional.pt/exercicio-fiesole-2009/
  20. Les jeunes, combien de division? Contrairement à 1981, ce ne sont plus les jeunes qui font une élection. L'UMP a d'ailleurs abandonné il me semble cette cible. Le nouveau cœur de cible sont les papy-boomers.
  21. Un nouveau groupe antifédéraliste se crée au Parlement européen http://www.lemonde.fr/elections-europeennes/article/2009/05/30/un-nouveau-groupe-antifederaliste-se-cree-au-parlement-europeen_1200416_1168667.html#xtor=RSS-3208 Hubert Védrine: "Les controverses générales sur l'Europe sont épuisées depuis le référendum de 2005" http://www.lemonde.fr/elections-europeennes/reactions/2009/05/30/hubert-vedrine-les-controverses-generales-sur-l-europe-sont-epuisees-depuis-le-referendum-de-2005_1200182_1168667_1.html
  22. Face à la crise, les jeunes Britanniques s'enrôlent en nombre dans l'armée http://www.lemonde.fr/la-crise-financiere/article/2009/05/28/face-a-la-crise-les-jeunes-britanniques-s-enrolent-en-nombre-dans-l-armee_1199378_1101386.html#xtor=RSS-3208
  23. Les Iraniens peuvent réutiliser Facebook http://www.liberation.fr/monde/0101569549-les-iraniens-peuvent-reutiliser-facebook
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