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La politique étrangère et de défense selon Sarkozy
Borisdedante a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Deux aides de camp de la marine "remerciés" par Sarkozy http://www.lepoint.fr/actualites-monde/2009-07-20/info-lepoint-fr-deux-aides-de-camp-de-la-marine-remercies-par-sarkozy/1648/0/362910 -
[Iran] projet nucléaire et conséquences / Archive
Borisdedante a répondu à un(e) sujet de juanito dans Politique etrangère / Relations internationales
http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2009/07/19/tolle-conservateur-en-iran-contre-la-nomination-du-nouveau-vice-president_1220566_3218.html En Iran, Ahmadinejad critiqué pour son choix du premier vice-président Signe que Mahmoud Ahmadinejad n'aura pas la tâche facile pour la formation de son futur gouvernement, son choix de nommer un de ses proches, Esfandiar Rahim Machaii, au poste de premier vice-président, a provoqué un véritable tollé dans son propre camp. A tel point que M. Rahim Mashaii, jusqu'à présent vice-président chargé du tourisme dont la nomination a été annoncée vendredi, a "démissionné trois jours après avoir été nommé" premier vice-président, a rapporté, dimanche 19 juillet, la chaîne en langue anglaise Press TV. M. Rahim Mashaii, un personnage controversé, est considéré comme très proche de Mahmoud Ahmadinejad : sa fille a en effet épousé le fils du président iranien. En juillet 2008, il s'était attiré les foudres du régime en affirmant que l'Iran est "l'ami du peuple israélien", dans une déclaration inhabituelle contrastant avec les attaques verbales de Téhéran contre Israël. A l'époque, ces déclarations avaient provoqué un tollé, notamment chez les dignitaires religieux et les parlementaires conservateurs, qui avaient exigé son départ. Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, avait dû intervenir pour mettre un terme à la polémique. INVESTITURE D'AHMADINEJAD ENTRE LE 2 ET LE 6 AOÛT Dimanche, la polémique sur la promotion de M. Rahim Mashaii est montée en puissance. "Il est nécessaire d'annuler la nomination de M. Rahim Machaii par respect pour le peuple conservateur" fidèle aux principes de la révolution islamique, a ainsi écrit Hossein Shariatmadari, directeur du quotidien Kayhan. Un religieux conservateur, Ahmad Khatami, un des imams de prière du vendredi de Téhéran, a également critiqué cette nomination, selon le quotidien Etemad Melli. "Cette nomination (...) est un défi aux membres de l'Assemblée des experts et du Parlement" qui avait dénoncé les propos de M. Rahim Mashaii à l'époque, a déclaré M. Khatami.. Le président Ahmadinejad, réélu avec 63 % des voix, sera officiellement investi entre le 2 et le 6 août. Sa victoire que l'opposition attribue à la fraude électorale a provoqué un mouvement de contestation jamais vue en trente ans de République islamique et divisé jusqu'au camp conservateur. M. Ahamdinejad devra ensuite présenter la liste de son cabinet au Parlement pour un vote où chaque ministre devra obtenir individuellement la confiance des députés. Le premier vice-président n'est en revanche pas soumis au vote de confiance, pas plus que les vice-présidents. Le gouvernement actuel en compte onze. -
http://www.lemonde.fr/carnet/article/2009/07/18/l-un-des-derniers-survivants-de-la-premiere-guerre-mondiale-est-mort_1220542_3382.html#xtor=RSS-3208 L'un des derniers survivants de la première guerre mondiale est mort Le Britannique Henry Allingham, considéré comme le doyen de l'humanité et qui était l'un des derniers survivants de la première guerre mondiale, est mort à l'âge de 113 ans, a annoncé samedi 18 juillet la maison de retraite où il vivait près de Brighton, sur la côte sud de l'Angleterre. M. Allingham, qui avait un jour expliqué sa longévité hors du commun par "les cigarettes, le whisky et les femmes très, très sauvages", s'est éteint dans son sommeil. "Il est mort de manière tout à fait apaisée", a expliqué une porte-parole de la maison de retraite de St. Dunstan. UN ARRIÈRE-ARRIÈRE-ARRIÈRE-PETIT-ENFANT Né en 1896, il s'était marié avec Dorothy en 1918, était veuf depuis 1970. Ses deux fils sont morts avant lui. M. Allingham, qui avait accédé en juin au rang de doyen de l'humanité après le décès du Japonais Tomoji Tanabe, avait cinq petits-enfants, douze arrière-petits-enfants, quatorze arrière-arrière-petits-enfants et un arrière-arrière-arrière-petit-enfant. Lors de la première guerre mondiale, il avait servi dans le Royal Naval Air Service puis avait rejoint à la fin du conflit la Royal Air Force, tout juste créée. "J'ai eu le privilège de rencontrer Henry plusieurs fois. Il avait un caractère extraordinaire, c'était l'un des derniers représentants d'une génération de caractères extraordinaires", a déclaré dans un communiqué le premier ministre britannique, Gordon Brown.
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[BalardGone] Pourquoi pas un Pentagone français?
Borisdedante a répondu à un(e) sujet de Rescator dans Divers
http://www.lemonde.fr/economie/article/2009/07/16/trois-candidats-pour-construire-le-pentagone-francais_1219733_3234.html#ens_id=1219738 Trois candidats pour construire le "Pentagone" français Les trois principaux groupes français du BTP – Vinci, Bouygues et Eiffage – sont candidats à la construction du "Pentagone à la française", qui doit être achevé en juin 2014 dans le sud de Paris, a annoncé jeudi 16 juillet le ministère de la défense. Ces groupes sont les trois leaders des groupements qui ont été les seuls à répondre à l'appel à candidatures, clos mercredi soir, pour la construction du futur ministère de la défense, dans le quartier de Balard (XVe arrondissement), a ajouté le ministère. Le futur "Pentagone à la française" doit réunir l'ensemble des états-majors des armées, les administrations centrales de la défense et le ministère lui-même, soit quelque dix mille personnes. UN PROJET DE 2 MILLIARDS D'EUROS Cet impressionnant chantier fait l'objet d'un partenariat public-privé qui porte sur le financement, la conception, la construction, la rénovation de l'ancienne Cité de l'Air mais aussi la maintenance des 300 000 m2 de bâtiment et la prestation de services comme la restauration, avec un contrat d'une durée de trente ans, l'Etat devenant propriétaire des lieux après avoir payé un loyer pendant vingt-sept ans et demi. Le coût total du projet est estimé à 2 milliards d'euros, dont 600 millions pour la seule construction, après une procédure dite de "dialogue compétitif". La décision finale de l'Etat est prévue en février 2011 pour un démarrage du chantier en avril suivant pour se terminer en juin 2014. -
Israël et voisinage.
Borisdedante a répondu à un(e) sujet de loki dans Politique etrangère / Relations internationales
http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2009/07/17/les-ultra-orthodoxes-repartent-en-guerre-contre-les-laics-a-jerusalem_1219828_3218.html#xtor=RSS-3208 Les ultra-orthodoxes repartent en guerre contre les laïcs à Jérusalem Depuis le début de la semaine, Jérusalem est le théâtre d'un nouvel épisode de la petite guerre qui oppose à intervalles réguliers les forces de l'ordre aux radicaux de la communauté ultra-orthodoxe (les haredim, les "craignant Dieu"). Jeudi 16 juillet, pour la troisième journée consécutive, des milliers d'entre eux, vêtus de l'habit noir des religieux ont semé la désolation dans les rues de la ville sainte, pour protester contre l'arrestation d'une des leurs, accusée d'avoir laissé dépérir son garçon, âgé de 3ans. L'enfant, qui ne pèse que 7 kg, a été hospitalisé, tandis que sa mère, visiblement affligée de troubles mentaux, a été placée en garde à vue. En représailles, des poubelles ont été incendiées, des feux de signalisation ont été cassés et des véhicules de police et des services municipaux ont été caillassés. Dix policiers ont été blessés par des jets de pierre et une vingtaine d'émeutiers ont été appréhendés. En juin, des violences similaires s'étaient déjà déroulées, à la suite de la décision de la mairie de Jérusalem d'ouvrir un parking le samedi, jour du shabbat. Une mesure jugée profanatoire par les hommes en noir, arc-boutés sur une stricte lecture de la halakhah, la tradition religieuse, qui prohibe tout travail et toute dépense d'énergie ce jour-là. Une contre-manifestation avait eu lieu, réunissant quelques centaines de Yérosolomitains, agacés de voir leur ville se figer chaque samedi et inquiets de l'arrivée de familles ultra-orthodoxes dans des quartiers jusqu'à présent laïcs. "La bataille pour le shabbat dure depuis plus de soixante-dix ans, explique Yehouda Goodman, sociologue à l'université hébraïque de Jérusalem. Sous le mandat britannique, les ultra-orthodoxes se soulevaient déjà contre l'entrée des camions de l'armée dans leurs quartiers. L'affaire de la mère, c'est autre chose. Il y a un sentiment d'insulte, car les haredim ont tendance à se considérer moralement supérieurs. Mais, in fine, les deux histoires alimentent un nouvel épisode de la guerre culturelle que les haredim mènent contre le monde laïc." Cette poussée de fièvre intervient huit mois après que les ultrareligieux, qui représentent deux cinquièmes de la population juive de Jérusalem, ont perdu la municipalité au profit de Nir Barkat, le candidat laïc. "ILS SERRENT LES RANGS" Divisés pour le scrutin, les haredim sont en train de sceller leur réconciliation dans cette démonstration de force. Ses instigateurs sont des membres d'Eda Haredit, l'une des sectes les plus antisionistes du mouvement haredi, farouchement opposée aux symboles et institutions de l'Etat d'Israël. Pour autant, leur révolte ne déplaît pas aux fractions plus modérées, comme l'atteste le fait que les députés ultra-orthodoxes de la Knesset, davantage légalistes, répugnent pour l'instant à dénoncer les violences. "Dans les périodes de tensions, les ultra-orthodoxes fonctionnent à l'égard des laïcs comme les juifs à l'égard des gentils. Ils serrent les rangs, persuadés qu'ils sont à la fois le peuple élu et le peuple le plus haï", dit Gilad Malach, doctorant à l'université hébraïque, spécialiste des haredim. Nir Barkat, le nouveau maire devra se montrer habile pour ne pas perdre dans la rue le pouvoir décroché dans les urnes. Benjamin Barthe -
Quel était le sens de la Chevauchée des Walkyries ?
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terrorisme Somalie : Affrontements, djihad et terrorisme
Borisdedante a répondu à un(e) sujet de lefoudeladefense dans Politique etrangère / Relations internationales
http://www.courrierinternational.com/breve/2009/07/13/le-camp-presidentiel-affirme-avoir-pris-le-controle-de-mogadiscio Le camp présidentiel affirme avoir pris le contrôle de Mogadiscio 13.07.2009 | Mail & Guardian Le 12 juillet, le président somalien Sharif Cheikh Ahmed a revendiqué la “victoire” dans la bataille, qui dure depuis des mois, contre les rebelles islamistes pour le contrôle de Mogasdiscio”, peut-on lire sur le site Internet de l’hebdomadaire sud-africain. Le 12 juillet, les forces gouvernementales ont lancé une offensive dans le quartier d’Abdiasis, dans le nord de la capitale somalienne. Elle aurait permis de porter un coup décisif aux islamistes. Au moins dix-huit personnes auraient été tuées, en grande partie des civils. -
Quels pourcentages des ménages ont accès à l'université? Au vu de la population US, bien peu. Les montants élevés de cette minorités sont noyés dans la masse.
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http://www.lepoint.fr/actualites-monde/2009-07-09/regardez-le-nouvel-avion-de-nicolas-sarkozy/1648/0/359913 Le nouvel avion de Nicolas Sarkozy C'est notre confrère Air & Cosmos , hebdomadaire spécialisé dans les affaires aéronautiques, qui sort LE scoop dans son numéro 2180 daté du 10 juillet. La photo interdite du magnifique Falcon 7X qui transportera désormais Nicolas Sarkozy. Comme nous l'annoncions, l'appareil porte effectivement la nouvelle décoration extérieure des avions officiels français, sobre et élégante. En hommage à l'épouse du président de la République, cet appareil exclusif a été baptisé Carla One par les aviateurs de l'Armée de l'air. Ils ont officiellement reçu l'avion le 3 juillet dernier sur la base de Villacoublay, mais dans un hangar fermé pour que personne ne le voie... Merci à Air & Cosmos qui nous a offert ces quelques images. ______________ http://www.lepoint.fr/actualites-monde/2009-07-01/luxe-et-volupte-info-le-point-fr-le-premier-palais-volant-de-nicolas-sarkozy/1648/0/357364 INFO LE POINT.FR : Le premier palais volant de Nicolas Sarkozy livré vendredi à Villacoublay par Jean Guisnel Cette fois, c'est fait. Le premier des deux Falcon 7X acquis par le ministère de la Défense pour la flotte gouvernementale sera livré à l'armée de l'air par Dassault vendredi 3 juillet. Il arrivera à l'aéroport militaire de Villacoublay dans la foulée. L'information est conservée plus secrètement que le code de la bombe atomique, et ni les armées ni le constructeur Dassault n'ont accepté de la confirmer au Point. Nous pouvons préciser que le deuxième appareil du même type sera livré dans un an, chaque avion étant facturé environ 50 millions d'euros, aménagements spécifiques compris. Ces derniers sont notamment des équipements de communication protégés, le reste des aménagements intérieurs n'étant pas précisé. Pour ceux qui ne le sauraient pas, précisons que le Falcon 7X est une merveille d'avion, ce qui se fait de mieux au monde en aviation d'affaires. Trois réacteurs, une autonomie de 11.000 km, des prestations techniques incomparables et une maintenance automatisée en font un outil particulièrement prisé par les hommes d'affaires et les chefs d'État. Selon de bons connaisseurs du dossier, le secret absolu, et à vrai dire assez craintif, entourant cette arrivée dans la flotte présidentielle s'explique " par les consignes extrêmement strictes et dures imposées par l'Élysée. Toute communication est interdite, et à ma connaissance, l'Élysée n'a pas non plus l'intention de dire quoi que ce soit ". Ajoutons, pour les spotters, que ce nouvel avion arborera les nouvelles couleurs de la flotte gouvernementale française. Ce curieux secret d'État s'expliquerait surtout par la volonté de l'Élysée de ne pas donner l'impression que Nicolas Sarkozy s'affranchit des consignes d'austérité générale. Alors même que cette acquisition s'imposait, notamment en raison de la vétusté des actuels avions affectés aux missions de transport gouvernemental. Les deux Falcon 900 actuels ont 22 ans de service, et une dizaine d'années de plus pour les quatre Falcon 50. Ces quatre derniers appareils seront remplacés par des Falcon 2000 biréacteurs dans deux ans. De plus, un vieil Airbus A 330-200 biréacteur entrera en service en octobre 2010. Acquis auprès d'Air Caraïbes, comme l'avait révélé Jean-Dominique Merchet voici un an , cet appareil remplacera deux Airbus A319-CJ vieillissants et au rayon d'action insuffisant. En cours de réaménagement, il coûtera 176 millions d'euros et entrera à l'automne 2010... Quant à l'usage de cette nouvelle flotte, ce sera comme aujourd'hui : plus aucun membre du gouvernement ne peut utiliser ces avions sans l'accord de l'Élysée.
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[Afghanistan] Archive
Borisdedante a répondu à un(e) sujet de jeanmi dans Politique etrangère / Relations internationales
http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2009/07/11/l-administration-americaine-accusee-de-couvrir-des-crimes-de-guerre-commis-en-afghanistan_1217735_3218.html#xtor=RSS-3208 L'administration américaine accusée de couvrir des crimes de guerre commis en Afghanistan L'administration de l'ancien président américain George W. Bush a tenté à plusieurs reprises de bloquer des enquêtes sur le massacre fin 2001 de centaines de prisonniers talibans impliquant le général Abdul Rashid Dostam, soutenu à l'époque par la CIA, rapporte le New York Times, vendredi 10 juillet. ... -
[Somalie] Piège en haute mer pour des pirates au large
Borisdedante a répondu à un(e) sujet de Bill dans Actualités marines
Déclassification probable des documents relatifs à l'assaut du "Tanit" http://www.lemonde.fr/societe/article/2009/07/07/declassification-probable-des-documents-relatifs-a-l-assaut-du-tanit_1216152_3224.html#xtor=RSS-3208 -
[Iran] projet nucléaire et conséquences / Archive
Borisdedante a répondu à un(e) sujet de juanito dans Politique etrangère / Relations internationales
Une universitaire française détenue depuis le 1er juillet http://www.lepoint.fr/actualites-monde/2009-07-06/iran-une-universitaire-francaise-detenue-depuis-le-1er-juillet/924/0/359037 -
Création d'une Armée Africaine
Borisdedante a répondu à un(e) sujet de scorpion-rouge35 dans Politique etrangère / Relations internationales
http://www.courrierinternational.com/breve/2009/07/03/l-union-africaine-se-dote-d-une-autorite-commune L'Union africaine se dote d'une autorité commune 03.07.2009 | Mail & Guardian Les dirigeants de l'Union africaine (UA), réunis en sommet en Libye, sont parvenus ce 3 juillet à un compromis pour créer une nouvelle autorité régionale. Celle-ci aura pour mission de coordonner les politiques de défense, mais ne pourra agir sans mandat des pays membres, détaille l'hebdomadaire de Johannesburg. L'Afrique du Sud, de même que le Nigeria et l'Angola, ont refusé de lui accorder des pouvoirs plus étendus. C'est donc un semi-revers pour Muammar Kadhafi, président en titre de l'UA, qui rêvait d'Etats-Unis d'Afrique. -
Israël et voisinage.
Borisdedante a répondu à un(e) sujet de loki dans Politique etrangère / Relations internationales
La «bataille du shabbat» secoue Jérusalem http://www.lefigaro.fr/international/2009/07/04/01003-20090704ARTFIG00226-la-bataille-du-shabbat-secoue-jerusalem-.php -
A quelques semaines de la publication en anglais du livre, un chroniqueur de la chaine ultraconservatrice Fox News appelle à lire ce texte dangereux afin de «connaître l'ennemi». http://www.liberation.fr/brut-de-net/06011086-fox-news-fait-de-la-pub-pour-l-insurrection-qui-vient
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[Irak] passé, présent, avenir
Borisdedante a répondu à un(e) sujet de roland dans Politique etrangère / Relations internationales
François Fillon met sa casquette de VRP pour aller à Bagdad http://www.lemonde.fr/politique/article/2009/07/02/francois-fillon-met-sa-casquette-de-vrp-pour-aller-a-bagdad_1214173_823448.html#xtor=RSS-3208 -
http://www.lemonde.fr/politique/article/2009/06/30/relance-les-collectivites-locales-rechignent_1213409_823448.html Les collectivités locales rechignent à financer les grands projets Nicolas Sarkozy, annonçant le 5 décembre 2008 son plan de relance, s'enthousiasmait : "Entre 2010 et 2014, c'est quatre lignes de chemin de fer à grande vitesse qui seront construites en parallèle." Six mois plus tard, le plan de financement de la plupart des grands projets mis en oeuvre par l'Etat n'est toujours pas bouclé, en dépit du recours aux opérateurs privés. Les dizaines de collectivités locales mises à contribution dans ces tours de table se montrent parfois très réticentes à mettre au pot. Les élus locaux ont appris à être méfiants vis-à-vis des engagements financiers de l'Etat, et n'hésitent plus à marchander leur participation, d'autant que la perspective de la disparition de la taxe professionnelle, leur principale ressource, les inquiète. Conséquence : il manque 29 millions d'euros sur les 2 milliards nécessaires pour réaliser le prolongement de la ligne TGV Est, avec 6 500 emplois à la clé. Les collectivités de la région Champagne-Ardenne qui doivent les verser y mettent des conditions. Autre projet majeur en souffrance : la ligne TGV Sud Europe Atlantique, de 300 kilomètres, qui doit, d'ici à 2016, mettre Bordeaux à deux heures de Paris et se prolonger vers l'Espagne. Son coût jusqu'à Bordeaux, de 7,2 milliards, est pris en charge pour moitié par le privé ; l'autre sera supportée par l'Etat et les 55 collectivités locales à hauteur de 1,8 milliard d'euros. Le plan de financement, qui aurait dû être clos fin 2008, ne l'est toujours pas : il manque 222 millions d'euros. La région Poitou- Charentes et les conseils généraux des Landes, des Hautes-Pyrénées et des Deux-Sèvres, ainsi que l'agglomération Bayonne-Anglet-Biarritz et celle de Niort, refusent de verser leur participation, n'y trouvant pas forcément leur intérêt. Même Michèle Alliot-Marie, adjointe au maire de Saint-Jean de Luz, fait de la résistance et refuse le tracé proposé, entre Bayonne et l'Espagne... Charles-De-Gaulle-Express, la liaison ferroviaire entre Paris et l'aéroport de Roissy, est, elle aussi, mal partie. Il n'y a qu'un candidat à l'appel d'offres de concession, Vinci associé à la SNCF, et le projet s'annonce coûteux, entraînant un prix final, pour l'usager, d'une vingtaine d'euros pour un aller simple. La Ville de Paris, qui souhaite l'enfouissement de cette liaison, à la porte de la Chapelle, vient, en outre, d'annoncer qu'elle formait un recours contre la déclaration d'utilité publique du projet. "La ville retirerait, évidemment, son recours dès qu'un accord serait trouvé avec l'Etat", précise le communiqué de presse, du 18 juin. LE SECTEUR DU BTP S'INQUIÈTE Enfin, l'énorme projet de Canal Seine-Nord, reliant la Seine au nord de l'Europe et où seulement deux consortiums sont en compétition pour l'appel d'offres, souffre encore d'un manque d'argent. Sur les 4,5 milliards d'euros nécessaires, les collectivités locales, sollicitées pour 900 millions d'euros, se font attendre doutant des retombées économiques. La région de Haute-Normandie, par exemple, n'a pas encore voté le principe de sa participation (50 millions d'euros). Il manque aussi entre 300 et 400 millions d'euros des départements traversés. Pour sortir de ces réticences locales, la Fédération nationale des travaux publics (FNTP) suggère que, au-delà de la volonté affichée d'un gouvernement, ces grands projets soient validés par une loi adoptée par le Parlement. Toutes ces tergiversations inquiètent les entreprises de travaux publics. Leur chiffre d'affaires, de 42,7 milliards d'euros en 2008, se dégrade plus que prévu. "Après un recul de 5 % en 2008, nous nous attendions à une baisse de l'activité de 6 %, en 2009, mais elle sera de 11 % dès la fin du premier semestre", s'alarme Patrick Bernasconi, président de la FNTP. La profession, qui compte 260 000 salariés permanents, entend conserver ses effectifs, qu'elle a eu tant de mal à recruter et former au détriment des intérimaires, soit 10 000 postes perdus. "Nous embaucherons 25 000 personnes, au lieu de 30 000 les années précédentes, pour faire face aux départs à la retraite et au turn-over naturel", annonce M. Bernasconi. Outre les grands projets, la profession compte sur les 1 000 programmes de construction, détaillés par le ministre de la relance, Patrick Devedjian, le 2 février, à Lyon. Ce sont surtout les collectivités locales qui en ont l'initiative. Pour les stimuler, le gouvernement leur a promis de rembourser avec un an d'avance, la TVA que leur doit l'Etat (2,5 milliards d'euros). La condition toutefois était de signer avant le 15 avril 2009, une convention les engageant à dépenser cet argent avant la fin 2010 et à investir plus que les années passées. "Les collectivités locales, dont les commandes constituent 50 % de l'activité du secteur et 75 % de l'investissement public, ont joué le jeu", se félicite M. Bernasconi. 45 % des communes, 90 départements et 23 régions, ont signé la convention et comptent entreprendre pour 54 milliards d'euros de travaux. Les appels d'offres se multiplient déjà, mais "les chantiers ne débuteront qu'à partir de l'automne", explique Jean Guenard, président d'Eiffage Travaux Publics. Thomas Lafarge et Isabelle Rey-Lefebvre
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[Irak] passé, présent, avenir
Borisdedante a répondu à un(e) sujet de roland dans Politique etrangère / Relations internationales
http://www.lefigaro.fr/international/2009/06/30/01003-20090630ARTFIG00012-la-france-de-nouveau-bien-placee-pour-equiper-l-armee-irakienne-.php La France de nouveau bien placée pour équiper l'armée irakienne Georges Malbrunot Bagdad veut acheter du matériel d'aviation français, mais il est soumis à d'intenses pressions américaines. Lorsqu'une délégation militaire française s'est rendue fin mai à Bagdad, à aucun moment le colonel américain conseiller auprès du ministre irakien de la Défense n'était absent des discussions. «Il a tout entendu des deux rencontres que nos hommes ont eues avec le ministre Abdel Kader al-Obeïdi», regrette un diplomate à Paris. La concurrence est rude pour équiper l'armée irakienne, qui va remplacer les troupes américaines dans la sécurisation du pays. Les pays membres de la coalition, qui ont renversé Saddam Hussein en 2003, cherchent à rentabiliser leur présence. En première ligne, les Américains ont déjà fourni à Bagdad des avions de transport C-130J-30 équipés de systèmes antimissiles, des hélicoptères Boeing AH-6 dotés de missiles sol-air, ainsi que 350 véhicules blindés LAV-25 et 140 tanks M1A1 Abrams. Derrière eux, Britanniques, Italiens et Polonais ont réussi à tirer leur épingle du jeu. Mais depuis un an, Bagdad s'intéresse aussi aux matériels français, qui équipaient l'essentiel de l'armée irakienne sous Saddam Hussein. Le réchauffement des relations franco-irakiennes - illustré par le déplacement de Nicolas Sarkozy à Bagdad en février - favorise cette reprise de la coopération militaire. Après la signature en mars d'un premier contrat portant sur la vente de 24 appareils de transport EC 635, pour un montant de 360 millions d'euros, «l'armée de l'air irakienne est fortement intéressée dans l'ordre de priorité par 6 hélicoptères Panthers SAR, 18 Mirage F1 modernisés, 14 hélicoptères légers Fennec, et 6 petits avions Médévac», révèle au Figaro une source haut placée au ministère de la Défense, à Paris. L'armée de terre, de son côté, souhaite acquérir du matériel d'occasion (chars AMX 30, AMX 6 T), des véhicules de l'avant blindé VAB et Saggai E. «Mais elle a besoin de davantage de précisions pour se prononcer fermement», souligne le militaire français. Oublié le couac diplomatique Avec la chute du baril de pétrole - à 60 dollars, contre le double l'an dernier - le budget de la Défense a subi des coupes claires. «Avant, les délais de livraison étaient le premier des critères d'achat, maintenant c'est le coût», explique cette source. D'où le souci d'acquérir du matériel d'occasion. Pour satisfaire à cette exigence, Paris cherche à convaincre des pays voisins - l'Arabie saoudite, notamment - de revendre à l'Irak des chars AMX 30 français. Soucieuse d'assurer le contrôle de ses côtes, la marine irakienne envisage d'acheter 15 patrouilleurs (type Ocea), ainsi que deux bateaux de soutien. Mais là encore, les Américains sont aux aguets. «Au dernier moment, pendant la visite à Bagdad de notre délégation, les Américains se sont interposés pour faire une offre alléchante à la marine irakienne», déplore le militaire français. Conséquence : soumis à «d'énormes pressions», Bagdad a demandé aux Français d'«améliorer» leur offre. Pour consolider ses positions, Paris va prochainement nommer un attaché de défense à Bagdad, le colonel Luc Batignes. D'ici à fin juillet, le premier ministre, François Fillon, doit se rendre à Bagdad à la tête d'une délégation d'hommes d'affaires. Les relations franco-irakiennes sont au beau fixe. Oublié le couac durant la visite du premier ministre, Nouri al-Maliki, début mai à Paris. Constatant que du vin allait être servi au déjeuner à l'Élysée, al-Maliki a tout simplement exigé que l'«alcool impie» soit retiré de la table. Pas question, lui ont répondu les Français. Le déjeuner a donc été annulé. -
http://www.lemonde.fr/societe/article/2009/06/30/la-police-mise-en-cause-pour-ses-controles-au-facies_1213277_3224.html#xtor=RSS-3208 La police mise en cause pour ses contrôles au faciès La police française pratique à grande échelle des "contrôles au faciès". Une étude scientifique, conduite dans la plus grande confidentialité, montre que les forces de l'ordre effectuent des contrôles d'identité discriminatoires vis-à-vis des Arabes et des Noirs : pour les premiers, la probabilité d'être contrôlé est globalement 7,8 fois plus élevée que pour les Blancs; pour les seconds, elle est six fois plus importante. Ces résultats, publiés mardi 30 juin, ont été obtenus par l'observation du travail policier à Paris (gare du Nord et Châtelet-les Halles) entre octobre 2007 et mai 2008. Financés par une fondation américaine créée par le milliardaire Georges Soros, l'Open society institute - imperméable aux débats actuels sur la pertinence des statistiques ethniques dans le modèle français - les enquêteurs ont ainsi secrètement décrypté 525 opérations de police, relevant notamment l'âge, le sexe, la tenue et le profil ethnique des individus contrôlés pour les comparer avec ceux des personnes (37 000 au total) passant à proximité. Sans tabou : contrairement aux traditions françaises, ces individus, qui restent anonymes, sont désignés par la couleur de leur peau ("Blanc", "Noir", "Arabe", etc.). L'étude confirme, en lui donnant un caractère scientifique, ce qu'expriment, depuis des années, les minorités visibles en France. Jusqu'à présent, en effet, les enquêtes réalisées s'appuyaient uniquement sur des sondages déclaratifs, sans vérification possible et avec des échantillons réduits. "L'étude a confirmé que les contrôles d'identité effectués par les policiers se fondent principalement sur l'apparence : non pas sur ce que les gens font, mais sur ce qu'ils sont, ou paraissent être", indique le rapport, rédigé par deux chercheurs du CNRS, Fabien Jobard et René Lévy. Les chercheurs constatent que les tenues portées sont aussi des critères décisifs dans les choix policiers. "Bien que les personnes portant des vêtements aujourd'hui associés à différentes "cultures jeunes" françaises (" hip hop", "tecktonic", "punk" ou "gothique", etc.) ne forment que 10 % de la population disponible, elles constituent jusqu'à 47 % de ceux qui ont effectivement été contrôlés". Comme deux personnes sur trois arborant ce type de tenues (capuches, etc) font partie des minorités visibles, les auteurs retiennent l'hypothèse que les vêtements sont aussi, indirectement, des marqueurs ethniques. La plupart des quelque 500 contrôles observés se sont déroulés sans incident. Dans la moitié des cas, les contrôles ont toutefois débouché sur une fouille ou une palpation de sécurité – sans que les pratiques soient significativement différentes entre Arabes, Noirs et Blancs. Ce que confirment les personnes contrôlées, interrogées ensuite, discrètement, par les scientifiques : seules 3 % ont déclaré avoir perçu un traitement raciste ou insultant; 76 % ont émis un jugement neutre sur l'attitude des fonctionnaires; 6 % ont souligné que la police s'était comportée de manière respectueuse et polie. Mais le bon déroulement des contrôles n'empêche pas les populations ciblées d'exprimer leur colère, surtout face à leur caractère répétitif. Les auteurs parlent d'"effets délétères" pour les rapports entre la population et les policiers, citant les nombreuses émeutes intervenues en France depuis 2005. "Les contrôles sont en effet fréquemment au cœur de l'antagonisme entre les policiers et les jeunes, plus particulièrement vivant dans les zones urbaines reléguées. Ces derniers se plaignent depuis longtemps d'être la cible de contrôles d'identité répétés, dépourvus de nécessité et relevant du harcèlement". Ils soulignent que le cadre juridique "permissif" laisse aux policiers "un large pouvoir discrétionnaire". L'Open society institute émet une série de recommandations. D'abord en suggérant l'enregistrement par les patrouilles du profil ethnique des personnes contrôlées pour vérifier, a posteriori, l'impartialité des opérations – une démarche interdite en l'état du droit. Ensuite en modifiant le code de procédure pénale pour limiter les risques de discriminations. Enfin, en exigeant des policiers qu'ils expliquent systématiquement les motifs du contrôle aux citoyens concernés. Contactée, la préfecture de police de Paris a fait part de son "intérêt" pour ces résultats. "L'étude peut apporter des enseignements, explique la commissaire Marie Lajus, porte-parole de la préfecture. Mais n'oublions pas que la pratique policière se fonde sur des paramètres empiriques incontournables, notamment l'apparence, l'âge, le sexe ou l'origine géographique. Le travail policier ne peut pas s'apparenter à un sondage où on chercherait à être représentatif de la population. Notre mission, c'est de prévenir des délits et des crimes, pas de représenter la société". Luc Bronner
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L'emprunt d'état celon Fernandel
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Israël et voisinage.
Borisdedante a répondu à un(e) sujet de loki dans Politique etrangère / Relations internationales
et si http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/06/25/01011-20090625FILWWW00471-israel-un-diplomate-francais-brutalise.php Israël: un diplomate français brutalisé 25/06/2009 | Mise à jour : 13:20 Un agent du consulat de France à Jérusalem a été brutalisé par un policier israélien, a indiqué aujourd'hui le ministère français des Affaires étrangères en protestant contre cet "incident grave et inacceptable"."En l'état de nos informations, un agent de notre consulat général à Jérusalem, titulaire d’un passeport diplomatique et roulant dans un véhicule portant des plaques consulaires, a été victime de violences de la part d’un policier israélien dans le centre de Jérusalem", a déclaré un porte-parole du Quai d'Orsay, Romain Nadal. "Face à cet incident grave et inacceptable, le Consul général de France à Jérusalem a adressé une lettre de protestation au ministère israélien des Affaires étrangères, accompagnée d'un rapport médical détaillé, dans laquelle nous exigeons une enquête afin d’établir les faits avec exactitude", a-t-il poursuivi."Si cette enquête confirme ces informations, nous demandons que des sanctions soient prises à l’encontre du policier", a ajouté M. Nadal, interrogé sur des informations parues jeudi dans le journal Libération. Le quotidien affirme que lundi la directrice du centre culturel français de Naplouse (Cisjordanie) a été "sortie de son véhicule, jetée à terre et rouée de coups par des militaires israéliens près de Jérusalem"La victime s'est vu conseiller de ne pas déposer de plainte afin de ne pas "gêner" la visite mercredi à Paris du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, écrit le Journal. Mardi, toujours selon Libération, le directeur du centre culturel de Jérusalem-Ouest s'est fait insulter par des policiers alors qu'il circulait à bord d'un véhicule pourvu de plaques diplomatiques.Le journal rappelle d'autres incidents récents visant des agents diplomatiques français. Ainsi en juin 2008, la consule adjointe à Jérusalem avait été retenue 17 heures sans boire ni manger par les forces israéliennes à un point de passage avec la bande de Gaza. Durant le conflit de Gaza, en janvier, le domicile d'un agent consulaire français dans ce territoire avait été occupé et ravagé par des soldats israéliens -
[Iran] projet nucléaire et conséquences / Archive
Borisdedante a répondu à un(e) sujet de juanito dans Politique etrangère / Relations internationales
Contre le fauteur de troubles Selon le quotidien ultraconservateur Kayhan, Mir Hossein Moussavi remet gravement en cause les institutions de la République islamique. Et ne fait qu’encourager les casseurs. http://www.courrierinternational.com/article/2009/06/25/contre-le-fauteur-de-troubles Mir Hossein Moussavi a perdu avec une différence de 12 millions de voix une élection dont il affirmait pourtant avec beaucoup d’aplomb, vingt-quatre heures avant la tenue du scrutin, qu’il était le grand gagnant. Après la proclamation des résultats, face à une majorité de journalistes étrangers, il a immédiatement déclaré que ces élections étaient truquées et qu’il était donc le véritable président de la République iranienne, appelant dans la foulée ses partisans à descendre dans la rue. Comment une personne qui disposait de 40 000 observateurs postés dans tous les bureaux de vote peut-elle prétendre qu’une fraude portant sur des millions de voix a pu avoir lieu, sans produire ensuite le moindre document pour étayer cette thèse ?! Dans un communiqué, M. Moussavi expliquait ainsi que ces élections n’étaient pas valables, parce que M. Ahmadinejad réalisait depuis quatre ans des visites en province, où il rendait justice aux citoyens des classes les plus défavorisées en effectuant des distributions, et qu’en plus il avait osé critiquer des parvenus lors des débats télévisés préélectoraux ! Il y a quelques jours, M. Moussavi a été invité par le Conseil des gardiens de la Constitution [instance qui valide le scrutin] à venir présenter ses arguments et à fournir des éléments de preuve, mais il ne l’a pas fait et a préféré demander à ses partisans de descendre dans la rue. Comment expliquer une telle attitude ? Il déclare qu’il ne fait pas confiance au Conseil des gardiens. Mais alors, s’il n’a pas confiance dans cette institution ni dans le ministère de l’Intérieur, pourquoi donc a-t-il présenté sa candidature à cette élection ? Que doit-on penser d’une personne qui n’a aucun argument tangible mais qui pour autant s’obstine à porter des accusations inadmissibles à l’encontre du régime et continue à exciter les casseurs ? M. Moussavi n’a même pas accepté la proposition du Conseil des gardiens de procéder à un recomptage de 10 % des urnes choisies au hasard. Ce qui se passe ces jours-ci à Téhéran est un mouvement parfaitement orchestré qui n’a rien d’une mobilisation populaire et spontanée, contrairement à ce qu’affirment M. Moussavi et les médias étrangers, qui parlent d’une seule et même voix. Qualifier ce mouvement de “populaire” est d’ailleurs une insulte pour la population, dont la seule revendication aujourd’hui est qu’on s’en prenne aux casseurs et que la sécurité revienne dans les rues de la ville. Les quelques dizaines de milliers de manifestants qui sont sortis dans la rue lundi 15 juin, croyant que M. Moussavi allait leur fournir des preuves de ses accusations, ont vite compris que ce dernier n’avait rien à dire et que ce rassemblement était juste une bonne occasion de défoulement pour les casseurs au fil du temps. Dès ce moment-là, ce mouvement a commencé à s’effriter. Le jeudi 18 juin, il n’y avait déjà plus à Téhéran que quelques milliers de personnes autour de M. Moussavi. Samedi 20 juin, enfin, cette mobilisation se limitait à quelques centaines de vandales, dont la plupart sont aujourd’hui arrêtés. C’est ainsi qu’une grande partie des gens qui ont voté pour M. Moussavi ont, contrairement à ce dernier, pris leurs distances avec ces vandales et s’inquiètent ouvertement de l’attitude d’un personnage qui, avant les élections, en appelait au respect d’une loi qu’il ne reconnaît plus aujourd’hui. M. Moussavi, qui ne cesse de faire allusion à l’imam Khomeyni et à la révolution dans ses communiqués, devrait nous expliquer pourquoi nos ennemis l’apprécient tellement. Que dirait l’imam s’il était là aujourd’hui et qu’il voyait le peu de cas que M. Moussavi fait du respect de la loi ? Les provocations orchestrées par M. Moussavi ne sont-elle pas exactement ce que veut l’ennemi ? Les violences ne se sont-elles pas produites à la suite de ses rassemblements ? Tous les communiqués appelant au calme que M. Moussavi a pu diffuser ne diminuent en rien sa responsabilité dans ces débordements. S’il ne veut pas que son cas s’aggrave, il a intérêt à retrouver le plus vite possible la voie de la raison, car la République islamique ne se laissera pas dicter sa loi par une petite bande de vandales. -
http://fr.wikipedia.org/wiki/Emprunt_Giscard
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La photo du Rafale est assez explicite :lol:
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terrorisme Somalie : Affrontements, djihad et terrorisme
Borisdedante a répondu à un(e) sujet de lefoudeladefense dans Politique etrangère / Relations internationales
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2009/06/19/somalie-un-troisieme-haut-responsable-assassine-en-trois-jours_1209144_3212.html#xtor=RSS-3208 Somalie : un troisième haut responsable assassiné en trois jours Un député a été assassiné, vendredi 19 juin à Mogadiscio, troisième d'une série d'assassinats de hauts responsables de Somalie où le gouvernement lutte pour sa survie face à l'offensive de plus en plus virulente des insurgés islamistes. Il s'agit du troisième assassinat en trois jours d'un haut responsable somalien. Mercredi, le commandant de la police de Mogadiscio et sa région a été tué, tandis que le ministre de la sécurité intérieure a été victime d'un spectaculaire attentat-suicide jeudi, qui a coûté la vie à 19 autres personnes. UNE "MENACE" POUR LA RÉGION Le député qui a été tué vendredi, Mohamed Hussein Addow, est un chef de guerre rallié au pouvoir intérimaire. Il aurait été capturé et exécuté par les insurgés qui ont pris le contrôle de la zone de Mogadiscio. M. Addow était un fervent partisan du président Cheikh Sharif Ahmed, un islamiste modéré élu à la tête du pays fin janvier, que les insurgés ont juré de renverser. A l'offensive des insurgés lancée le 7 mai à Mogadiscio, les forces loyales à M. Ahmed ont répondu le 22 par une contre-offensive, mais qui se heurte à des revers. Manifestement inquiète de la tournure des événements, la communauté internationale a rapidement réitéré son soutien au gouvernement somalien, évoquant une "menace" pour l'ensemble de la région.