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Borisdedante

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  1. Opération dégraissage chez les sous-traitants en Irak D'ici fin 2010, la plupart des 150 000 contractants privés qui secondent les militaires américains devront avoir quitté le pays. Une partie d'entre eux devrait être remplacée par des Irakiens. http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=95443
  2. http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2009/03/08/la-coree-du-nord-se-tien-prete-a-combattre_1165167_3216.html La Corée du Nord a ordonné à son armée de se tenir prête au combat, ont annoncé lundi 9 mars (dimanche soir, heure de Paris) les médias officiels, à la veille de manœuvres conjointes entre les armées sud-coréenne et américaine. Dans un communiqué, l'armée de Pyong Yang qualifie cet exercice militaire, prévu du 9 au 20 mars, de prélude à la guerre, "sans précédent par le nombre des forces d'agression impliquées et par sa durée". "Le commandement suprême de l'armée de Corée du Nord a donné l'ordre à toutes ses forces de se tenir totalement prêtes à combattre", poursuit le texte. "Il s'agit d'une mesure juste d'autodéfense pour protéger la souveraineté et la dignité de la nation". Par ailleurs, la Corée du Nord a aussi averti qu'elle réagirait contre toute tentative d'intercepter le satellite qu'elle prévoit de lancer et qu'il pourrait en résulter une guerre.
  3. C'est indiqué dans l'article. Il y a 2 sources differentes. L'une évoque un missile de longue portée et l'autre un missile air-mer. http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2009/03/08/l-iran-teste-un-missile-longue-portee_1165107_3218.html#xtor=RSS-3208
  4. L'Iran effectue de nouveaux essais balistiques http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2009/03/08/l-iran-teste-un-missile-longue-portee_1165107_3218.html#xtor=RSS-3208
  5. Ehoud Barak frappe à la porte du gouvernement Nétanyahou http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2009/03/06/ehoud-barak-frappe-a-la-porte-du-gouvernement-netanyahou_1164761_3218.html Ehoud Barak n'entrera pas dans le gouvernement Nétanyahou http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2009/03/08/ehoud-barak-n-entrera-pas-dans-le-gouvernement-netanyahou_1165148_3218.html#xtor=RSS-3208
  6. http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=95324 Le 5 mars, l'Union africaine (UA) a demandé à la Cour pénale internationale (CPI) de lever le mandat d'arrêt lancé contre le président du Soudan pour les exactions qu'il a commanditées au Darfour. Le Kenya a fait savoir, comme d'autres membres de l'UA, qu'il ne coopérerait pas avec la CPI pour arrêter Omar El-Béchir. Le quotidien, s'il stigmatise une justice internationale à deux vitesses, dénonce des calculs personnels dans ces prises de position : beaucoup de despotes africains craignent de devoir eux aussi rendre des comptes.
  7. Dans certain pays on pouvait proposer un remplaçant.
  8. http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=94883
  9. L'Europe de l'Est, bombe à retardement pour l'euro http://www.lemonde.fr/economie/article/2009/02/21/l-europe-de-l-est-bombe-a-retardement-pour-l-euro_1158606_3234.html#ens_id=1158171&xtor=RSS-3208 La monnaie américaine serait-elle redevenue la devise la plus sûre aux yeux des investisseurs ? Auraient-ils déjà oublié leurs craintes concernant le dérapage des finances publiques américaines ? Pas vraiment, mais face à une économie japonaise qui s'enfonce dans la crise et à un euro malmené par la récession qui menace les pays de l'Est, ils sont revenus vers le dollar. Celui-ci a gagné, au cours de la semaine achevée vendredi 20 février, 2,67 % face au yen et plus de 2 % face à l'euro. Le produit intérieur brut nippon, publié lundi, a reculé de 12,7 % en rythme annuel entre octobre et décembre, sa pire contraction en trente-cinq ans. Et la banque centrale, qui n'a pas modifié jeudi le niveau de ses taux, à 0,10 %, a décidé de soutenir le crédit aux entreprises. Dans un premier temps, elle va racheter en mars pour 1 000 milliards de yens (8,3 milliards d'euros) de leurs emprunts. Ceux émis à moins d'un an par des entreprises notées au moins "A". Si cette annonce a stabilisé le yen jeudi, il reste encore à des niveaux historiquement élevés face au dollar (94,34 yens pour un dollar), proches de ceux de 1995 lorsque les Etats-Unis et le Japon étaient en pleine guerre commerciale. LES LIMITES DU YEN FORT Les prévisionnistes sont divisés sur l'orientation future du yen. Alors que ceux de Dresdner Kleinwort s'attendent à un repli de la devise nippone à 105 yens pour un dollar en fin d'année, ceux de Royal Bank of Scotland voient la monnaie japonaise se renforcer jusqu'à 80 yens pour 1 dollar en milieu d'année, à moins, disent-ils, que le Japon estime avoir atteint les limites du yen fort sur ses exportations et décide d'intervenir. Mais c'est surtout l'euro qui a vécu des heures difficiles au cours de la semaine, tombant à 1,2563 dollar mardi, son plus bas niveau depuis novembre 2008. La monnaie unique a souffert des craintes concernant les pays de l'Est, dont bon nombre sont aux portes de l'euro. Dégradation de la situation économique, système bancaire fragilisé, les flux de capitaux vers ces régions se tarissent, entraînant une chute de leurs devises depuis six mois. Les prévisions de la banque ING font état d'une contraction de l'économie hongroise, roumaine et ukrainienne de 3 % à 5 % en 2009. "SPIRALE DE DÉPRÉCIATION" L'agence de notation Moody's s'est inquiétée, mardi, de l'exposition des banques d'Europe de l'Ouest vis-à-vis de leurs filiales d'Europe de l'Est, en rappelant que les difficultés de ces dernières auraient des répercussions négatives sur leurs maisons mères. Selon Moody's, les banques de six pays (Autriche, Italie, France, Belgique, Allemagne et Suède) concentrent environ 84 % des engagements des banques ouest-européennes en Europe de l'Est. Le système bancaire autrichien est de loin le plus exposé, selon l'agence, devant les banques italiennes et scandinaves. Cette étude a accéléré le plongeon des devises d'Europe centrale. Le forint hongrois a atteint mardi son plus bas niveau historique (à 309,68 forints pour un euro), la couronne tchèque a coté 29,68 couronnes pour un euro, son plus bas niveau depuis novembre 2005 et le leu roumain a approché son plancher historique (à 1 euro pour 4,34 lei). Le zloty est tombé à 4,93 zlotys pour 1 euro, son plus bas depuis l'adhésion de la Pologne à l'Union européenne en 2004 Face à cette situation, le commissaire européen aux affaires économiques, Joaquin Almunia, s'est dit, mercredi, "préoccupé par l'évolution de la volatilité des taux de changes de certains Etats membres de l'Union européenne qui ont des régimes flottants" de changes, mais aussi "par la possibilité que certaines déclarations publiques aient accéléré cette évolution". Varsovie s'était en effet déclaré prêt à intervenir, mardi, pour défendre le zloty si son cours tombe sous le seuil de 5 zlotys pour un euro, tandis que le gouvernement tchèque avait rejeté, mercredi, une telle idée. Selon les économistes de la Banque Dresdner, "les devises d'Europe de l'Est sont engluées dans une spirale de dépréciation", et "pour l'euro, c'est une bombe à retardement". Les prévisions pour l'euro sont plutôt pessimistes. Les experts d'ABN Amro, d'UBS et de Natixis voient la devise européenne s'affaiblir jusqu'à 1,233 dollar. Steven Pearson, stratège chez Merrill Lynch, cité par l'agence Bloomberg, le voit s'effondrer à 1,12 dollar d'ici au mois de juin. Cécile Prudhomme
  10. Le point important n'est pas le taux de croissance au finales mais l'amplitude de la chute. C'est ce qui fait dire que la Chine est en crise alors qu'elle reste toujours à plus de 6%. Seulement passer de 11 à 6% est beaucoup plus grave que pour un autre pays de passer de 2% à 0%.
  11. La hausse importante du chômage(L'un des plus haut tauxt de chômage d'Europe), une prévision de croissance négative du PIB pour 2009 par le gouvernement espagnol semblent être un bon indicateur. Passer d'un taux de croissance de plus de 3,5% pour 2007 à celui d'une probable récession pour 2009 implique fortement un brutal ralentissement.
  12. Mais est ce mieux au seing de l'ONU? Avec l'UA ce n'est plus le même rapport de force. Sans autorisation du gouvernement que restait il comme solution pour l'ONU? l'intervention armée? Que ce serait il passer, si celui ci avait refusé les force de l'UA? quel serait la réaction de l'UA?
  13. Le gouvernement Soudanais a surement plus d'influence au seing de l'UA que au seing de l'ONU.
  14. Il me semble que ce n'est pas l'ONU mais le gouvernement Soudanais qui ne veut pas des troupes de l'ONU, lui préférant l'UA.
  15. Etats européens : le "chacun pour soi" nourrit les rancoeurs des petits LE MONDE | 13.02.09 http://www.lemonde.fr/europe/article/2009/02/13/etats-europeens-le-chacun-pour-soi-nourrit-les-rancoeurs-des-petits_1154986_3214.html#xtor=RSS-3208 La crise ravive les tensions entre les grands et les petits Etats membres en Europe. La multiplication des initiatives nationales non coordonnées suscite la nervosité des pays les plus modestes, incapables de rivaliser à coup de milliards d'euros pour soutenir leur économie. Depuis l'annonce du plan automobile français, qui conditionne l'octroi de prêts bonifiés à Renault et PSA au maintien des usines en France, la polémique sur le protectionnisme traduit l'étendue du malaise dans une Europe où les disparités de taille, de prospérité, se sont accrues au fil des élargissements. "Quelle sorte d'Union voulons-nous, si les plus forts peuvent violer les règles ? s'interroge l'ancien ministre des finances polonais, Leszek Balcerowicz, ce sont les pays les moins bien dotés qui vont devoir restructurer leur industrie." République tchèque, Suède, Pays-Bas, Belgique ou Slovaquie considèrent l'initiative française comme un test pour la cohésion des Vingt-Sept. Et ils s'en remettent à la Commission européenne afin de faire respecter les règles si le besoin s'en fait sentir. "Le Conseil européen du 1er mars nous permettra de préserver les acquis du marché intérieur", disait le premier ministre belge, Herman Van Rompuy, jeudi 12 février à Bruxelles, à l'issue d'une rencontre avec François Fillon. Le premier ministre français a martelé un peu plus tard devant le président de la Commission que le projet français n'est "en rien protectionniste". "Il faut être sûr qu'un plan national n'a pas d'effets collatéraux négatifs pour d'autres pays membres", lui a rétorqué José Manuel Barroso. Le malaise face aux grands Etats membres est particulièrement sensible en Belgique, une économie parmi les plus globalisées, très dépendante des capitaux européens. Avec quatre implantations (Audi, Ford, Volvo, Opel-GM), le Royaume, même privé de constructeur national, produit annuellement plus d'un million de véhicules. Quelque 17 000 personnes (170 000 indirectement) travaillent dans ce secteur. L'inquiétude est particulièrement vive pour les 3 000 ouvriers d'Opel, à Anvers, une usine que menace le plan de restructuration en préparation au sein de sa maison mère américaine, General Motors. Les autorités craignent que les mesures auxquelles le gouvernement allemand met la dernière main (l'Allemagne est le berceau d'Opel) ne pénalisent leur industrie. "SENTIMENT ANTI-FRANÇAIS" Les mêmes tensions existent dans le secteur bancaire. Mercredi soir, dépités par le vote de l'assemblée générale qui venait de mettre à mal le plan de sauvetage de Fortis Banque par les actionnaires et son rachat par BNP Paribas, des responsables se sont laissés aller à des déclarations inhabituelles. "L'actionnariat étranger, sur la base de ses propres intérêts, a, in fine, imposé sa loi au mépris de l'intérêt général de la Belgique", a indiqué la vice-première ministre centriste, Joëlle Milquet. Une allusion au vote du principal actionnaire de Fortis, le groupe d'assurances chinois Ping An, détenteur de quelque 5 % du capital. "Mais un sentiment anti-Français, traduisant une hostilité au pays qui a déjà "raflé" la Société générale de Belgique dans les années 1980 explique aussi, en partie, le vote hostile de mercredi", juge le collaborateur d'un ministre belge. Les tensions entre grands et petits Etats membres représentent un défi pour les institutions européennes, à l'heure où les règles en matière de concurrence, de marché unique et de discipline budgétaire sont soumises à forte pression. Car les pays qui en ont les moyens financiers ont tendance à exiger un assouplissement de la discipline commune pour renflouer leurs banques et leurs industries. "A l'Ecofin et dans d'autres instances, les réactions contre le "directoire des grands" sont de plus en plus fortes, relève un haut fonctionnaire. Et le fait que M. Barroso donne l'impression d'écouter surtout les avis des "grands" accentue cette tendance." La nervosité des petits explique leur insistance à garder un poste de commissaire pour chaque pays, comme l'Irlande en vue d'un second référendum sur le traité de Lisbonne. Le risque est pourtant d'affaiblir l'efficacité de l'exécutif et de favoriser, en fin de compte, les... "grands". Philippe Ricard et Jean-Pierre Stroobants
  16. Toujours au sujet des suicides chez les soldats américains. http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=94397
  17. Cherche slogan désespérément http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=94403 Désireuse de donner une meilleure image de la stratégie américaine en Afghanistan, en Irak et au Pakistan, la nouvelle administration revoit son vocabulaire.
  18. Pour Nicolas Sarkozy, la France doit "rénover ses relations avec l'Otan" http://www.lemonde.fr/europe/article/2009/02/07/pour-nicolas-sarkozy-la-france-doit-renover-ses-relations-avec-l-otan_1152142_3214.html#xtor=RSS-3208
  19. http://www.lemonde.fr/la-guerre-de-gaza/article/2009/02/06/gaza-l-agence-de-l-onu-cesse-ses-importations-d-aides_1151924_1137859.html#xtor=RSS-3208 Le Hamas a affirmé, vendredi 6 février, que la confiscation de plusieurs tonnes d'aide humanitaire de l'ONU à Gaza était une "erreur" et qu'elles seraient restituées. Cette annonce intervient juste après que l'Agence des Nations unies pour l'aide aux réfugiés palestiniens (Unrwa) a déclaré qu'elle allait cesser toutes ses importations d'aides dans la bande de Gaza suite à la "confiscation de centaines de tonnes d'aides alimentaires". Selon l'Unrwa, le ministère des affaires sociales du Hamas a confisqué dans la nuit de jeudi à vendredi dix camions de riz et de farine qui avaient pénétré par le terminal de Kerem Shalom, entre la bande de Gaza sous contrôle du mouvement islamiste Hamas et Israël.
  20. http://www.lemonde.fr/economie/article/2009/02/04/l-inde-achete-deux-reacteurs-epr-a-areva_1150367_3234.html Areva va livrer des réacteurs EPR à l'Inde Le groupe français Areva a annoncé, mercredi 4 février, la signature d'un protocole d'accord pour livrer deux à six réacteurs nucléaires de 3e génération, dit EPR, à l'Inde. "Areva et Nuclear Power Corporation of India Limited (NPCIL) ont conclu aujourd'hui à Delhi un protocole d'accord (...) portant sur l'implantation de deux à six réacteurs EPR", écrit le groupe dans un communiqué. "Sur ces six réacteurs, deux devraient être contractés dans l'année", a déclaré Anne Lauvergeon, présidente du directoire du groupe nucléaire. Les deux premiers EPR, d'une capacité de 1650 Mégawatts chacun, devraient être opérationnels vers 2017. Les quatre autres réacteurs pourraient ensuite être construits mais avec, cette fois, davantage de partenaires locaux. Avec une croissance économique qui devrait se situer aux alentours de 7,5 % lors de l'année fiscale qui se termine au 31 mars 2009, le géant asiatique doit faire face à d'importants besoins énergétiques. D'après les prévisions du cabinet de conseil McKinsey, la demande devrait dépasser les 3 000 Gigawatts dans 10 ans, obligeant le pays à quintupler sa capacité de production. L'industrie manufacturière, forte consommatrice en énergie connaît une croissance rapide, et 44 % des foyers indiens, répartis dans 125 000 villages, ne sont pas encore raccordés au réseau électrique. Le pays est confronté à un problème d'approvisionnement. La demande en électricité est actuellement supérieure de 9 % à l'offre. Pour réduire cet écart, l'Inde devra augmenter sa production énergétique à un rythme compris entre 6 % et 7,5 % par an. OBJECTIF : LE QUART DE LA CONSOMMATION ÉNERGÉTIQUE Le choix du nucléaire permet à l'Inde, troisième pollueur de la planète, de limiter ses émissions de carbone et de réduire sa dépendance vis-à-vis des matières premières. 70 % de ses besoins en pétrole sont importés. Pour le moment, les 17 réacteurs nucléaires en activité ne produisent que 4120 MW d'électricité, soit 2,9 % de la consommation énergétique du pays. Faute d'approvisionnement en uranium, les centrales ne fonctionnent qu'à 47 % de leur capacité. La levée de l'embargo sur le nucléaire civil, va permettre à l'Inde, qui ne dispose que de 0,8 % des réserves mondiales, d'augmenter sa production sur le court-terme. Areva a déjà promis, en décembre 2008, la livraison de 300 tonnes d'uranium et le Kazakhstan, deuxième producteur mondial d'uranium, a également signé, le 26 janvier, un accord d'approvisionnement avec New-Delhi. La dixième puissance économique mondiale souhaite tirer le quart de sa consommation énergétique du nucléaire. La fédération indienne des chambres de commerce et d'industrie (FICCI) estime que la production pourrait atteindre les 60 000 Mégawatts d'ici à 20 ans, moyennant un investissement d'au moins 100 milliards d'euros. Outre la construction de centrales, ces investissements concernent la création et la modernisation du réseau de transport et de distribution. Les pertes dans l'acheminement de l'électricité varient entre 18 % et 62 %, selon le ministère indien de l'énergie. Areva a déjà signé un accord d'entreprise commune avec l'indien Bharat Forge pour fabriquer des équipements destinés aux centrales électriques et à charbon. Reliance Power a prévu d'investir pour pénétrer ce nouveau secteur de la production d'énergie nucléaire. "Il s'agit pour les entreprises indiennes de passer de la construction à l'ingénierie nucléaire, explique Ajit Gulabchand, de Hindustan Construction company. Les efforts doivent également être poursuivis dans la création du réseau de distribution d'électricité. Reste à financer ce vaste programme de construction de centrales nucléaires. L'Inde, dont le déficit budgétaire devrait atteindre 6 % du PNB, mise sur les partenariats public-privé. Jusqu'à présent, la loi de 1962 sur l'énergie atomique n'autorisait qu'une participation minoritaire des investisseurs privés dans la construction de centrales nucléaires. Selon Anil Kakodkar, le président du commissariat indien à l'énergie atomique, la loi devrait être amendée prochainement pour accélérer le rythme de construction de centrales. Les autres secteurs, comme la transmission et la distribution d'électricité sont déjà ouverts à 100 % aux investissements privés, y compris étrangers. Les biens d'équipement servant à la construction de centrales nucléaires d'une capacité supérieure à 1000 MW seront exemptés de droits d'importation. Julien Bouissou
  21. Sarkozy choque les indépendantistes québécois http://www.lefigaro.fr/international/2009/02/04/01003-20090204ARTFIG00454-sarkozy-choque-les-independantistes-quebecois-.php
  22. Le Hamas s'empare de biens d'aide humanitaire de l'ONU à Gaz http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2009/02/04/le-hamas-s-empare-de-biens-d-aide-humanitaire-de-l-onu-a-gaza_1150842_3218.html#xtor=RSS-3208
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