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alexandreVBCI

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Tout ce qui a été posté par alexandreVBCI

  1. Il n'y a pas de base française, on a juste envoyé (gratuitement en plus !) des Mirages 2000 assurés la protection aérienne de l'île pendant quelques mois. Les Islandais n'ont pas d'armée et profitent de la générosité des autres (avant c'était les américains qui assuraient leur protection !). C'est sûr qu'avec un droit de veto européen l'Islande se vendrait au plus offrant, ils n'ont aucune culture européenne, ça ne les dérangeraient pas de se mettre à dos tous les autres pays sans compter qu'ils prendraient la grosse tête à pouvoir faire chanter l'europe : on serait soumis à de l'extorsion à chaque seconde. On a déjà du mal avec des pays européens récents qui veulent bien des subventions mais qui rechignent sur tout le reste (EURO, PESD, etc... ). Si les décisions européennes étaient prises à la majorité, l'adhésion de l'Islande ne serait pas un problème aussi important.
  2. Charité chrétienne ? C'est difficile de tendre l'autre joue après qu'ils nous aient craché à la gueule... et comment faire confiance à des politiques prêt à se vendre comme ça ? L'adhésion à l'union implique certaines responsabilités et la volonté de travailler en commun, en équipe : Et si l'europe à un problème un jour, ils nous laisseront tomber pour se vendre à qui ? Leur économie repose sur la pêche sans contrôle et des banques "riches" de crédits pourris !
  3. La mutualisation des hélicoptères lourds européens ne semble être la meilleure solution, on va pas se lancer seul dans la fabrication d'un nouvel hélico lourd (même si le projet HTH n'est pas officiellement enterré) pour en avoir une poignée d'exemplaires. Les autres pays européens achètent des CH-47, mais si on n'en achète pas et qu'on ne peut pas en fabriquer, il nous reste toujours la possibilité d'en profiter dans un pool européen : on mutualise et on rationalise.
  4. La page des vidéos d'Austral : http://www.austal.com/go/news-and-images/video?PRODID=346661F8%2DA0CC%2D3C8C%2DD996148A8AF4E550 Tous leurs catamarans militaires : http://www.austal.com/index.cfm?objectid=8CB443B3-65BF-EBC1-2E9AA13F04C0896A
  5. L'inconnu ne le restera pas bien longtemps c'est vrai, le site parle d'ailleurs de la Thailande comme le client potentiel. Pour moi l'info principale c'est que ST Marine se lance dans la construction de LPD et que l'acheteur cherche des capacités d'assaut amphibie... qui n'est pas une capacité défensive par définition.
  6. AFP : Confrontée à une grave crise économique, l'Islande annonce la mise en place d'une commission chargée d'étudier une éventuelle adhésion à l'Union européenne, un projet qui a longtemps divisé le pays. Le Premier ministre, Geir Haarde, a également fait état de progrès dans la résolution d'un litige qui empêche le déblocage d'une aide de plusieurs milliards de dollars, tout en concédant : "Nous n'y sommes pas encore." Haarde a déclaré que sa formation, le Parti de l'indépendance, avancerait la date d'un congrès programmé en octobre 2009 au mois de janvier prochain pour débattre de l'adhésion à l'UE. Adhérer à l'Union est un préalable obligatoire pour adopter l'euro, une idée qui a fait son chemin en Islande après la dégringolade le mois dernier de la couronne islandaise et de l'ensemble de l'économie. "Nous avons toujours dit que nous réfléchirions le moment voulu à notre coopération avec l'Europe", a déclaré Haarde lors d'une conférence de presse à l'issue d'une réunion de son parti. "Ce processus nous aidera à prendre une décision." Haarde lui-même a longtemps été opposé à l'idée de rejoindre les Vingt-sept et les habitants sont divisés sur cette question. Les pêcheurs, notamment, craignent d'être victimes de la réglementation européenne. Mais la crise, qui affecte pratiquement toute la population, a changé la donne et dans un récent sondage, 70% des personnes interrogées se déclaraient favorables à une adhésion. La Commission européenne n'était pas joignable dans l'immédiat. Un responsable de la présidence française de l'UE a déclaré que la question de l'adhésion de l'Islande "n'avait pas été abordée". "C'est une question hypothétique pour le moment", a-t-il dit. C'est bizarre tous ces pays qui critiquent l'UE et qui crachent sur l'EURO quand tout va bien et qui soudain nous découvre toutes les vertues et nous appelle à l'aide (financière surtout) au moindre problème !
  7. ST Engineering subsidiary Singapore Technologies Marine Ltd (ST Marine), reports that they have “secured a contract in a basket of currencies amounting to about S$200m” (about $135 million) to design and build a 141 meter Landing Platform Dock (LPD) amphibious assault ship, along with ancillary vessels: a pair of 23m Landing Craft Mechanized (LCM) that can transport heavy equipment like tanks from the ship’s well deck to the shore, and a pair of smaller 13m Landing Craft Vehicle and Personnel (LCVP) for people and small wheeled vehicle. Their customer is “a navy in the Asia Pacific region,” other than Singapore. That customer could be the Thai Navy, which floated an RFP for an LPD-type ship in April 2008. ST Eng lists their ship design as an “LST” (Landing Ship Tank) on their site, but it does not beach itself; the label LPD is more appropriate. Construction is scheduled to begin in mid 2009, and delivery is planned for in the second half of 2012. ST Engineering release. http://www.defenseindustrydaily.com/Singapores-ST-to-Build-LPDLST-Landing-Craft-for-Regional-Navy-05152/
  8. Yes ! ça fait un moment que j'attends une nouvelle de ce genre, j'ai toujours pensé que ce type de navire rapide avait de l'avenir, tous les retours ont été positifs aux USA sur les différents prototypes. A terme, je suis sûr qu'en europe on finira bien par comprendre qu'on a besoin de catamarans de transports rapides.
  9. Les rebelles islamistes somaliens ont brièvement occupé dans la matinée trois bourgs situés au sud de Mogadiscio avant de les évacuer à l'arrivée de détachements éthiopiens venus de la capitale. Des habitants contactés par Reuters ont rapporté que les islamistes masqués et armés du groupe Al Chabaab avaient pénétré dans la nuit à Elacha, Arbis et Lafoole, trois faubourgs de Mogadiscio. "Les hommes d'Al Chaabab ont disparu lorsqu'ils ont entendu les convois militaires éthiopiens approcher. Maintenant la ville est calme et les troupes éthiopiennes patrouillent dans le secteur", a confie un habitant d'Elacha, Bile Farah. Les islamistes, chassés du pouvoir par l'armée éthiopienne il y bientôt deux ans, contrôlent une grande partie du sud du pays et ont pris mercredi le port de Merka, à 90 km au sud-ouest de Mogadiscio. Petit à petit, les islamistes se rapprochent de Mogadiscio, les combats risquent de reprendre.
  10. Entre les Talibans et les extrémistes somaliens, c'est le concours de ceux qui sont les plus cons ? AFP : Quinze jeunes filles qui se rendaient au lycée ont été attaquées mercredi à Kandahar, dans le sud de l'Afghanistan, par des hommes à moto qui les ont aspergées d'acide, blessant gravement trois d'entre elles, a-t-on appris de source officielle. L'attaque, qui n'a pas été revendiquée, s'est déroulée en début de matinée, dans l'ouest de Kandahar, la grande ville du sud du pays, un bastion de l'insurrection des talibans. "Quinze jeunes filles ont été blessées ou atteintes par des jets d'acide, et trois sont dans un état grave, alors qu'elles se rendaient au lycée pour filles Mirwais Nika", a déclaré le porte-parole du ministère de l'Education, Hamed Elmi. "Nous étions à mi-chemin du lycée quand deux hommes à moto se sont arrêtées près de nous. L'un d'eux a projeté de l'acide sur le visage de ma soeur, j'ai essayé de l'aider et ils m'ont aussi aspergé", a témoigné Atefa, 16 ans, depuis son lit d'hôpital. A côté d'elle, sa soeur Shamsia, 18 ans, se tord sur son lit. Défigurée, elle ne peut pas parler, seulement hurler de douleur. "Nous avons appelé au secours, des gens sont venus et les hommes ont fui. Je ne sais pas pourquoi ils ont attaqué, la ville n'est pas sûre. Mais on ne peut pas rester enfermé chez soi, il faut qu'on reçoive une éducation. Le gouvernement doit nous aider", a ajouté Atefa. Des enseignants de l'école des victimes se sont rendues à l'hôpital et ont fait part de leur incompréhension et de leur inquiétude face à cette attaque. Les deux jeunes filles, qui portaient des burqa, vêtement qui couvre entièrement le corps et masque le visage, appartiennent à la minorité chiite afghane. Le président Hamid Karzaï a condamné ces agressions, qu'il a attribuées aux "ennemis de la paix et de la prospérité en Afghanistan", expression qui désigne les talibans et autres insurgés anti-gouvernementaux. Lorsqu'ils étaient au pouvoir, entre 1996 et 2001, les talibans avaient interdit l'éducation des jeunes filles. Des centaines d'écoles ont été brûlées depuis 2001 et plusieurs dizaines d'enseignants et d'étudiants assassinés, dans des attaques attribuées aux insurgés islamistes. Les talibans ont lancé une insurrection meurtrière depuis qu'ils ont été chassés du pouvoir à la fin 2001 par une coalition internationale emmenée par les Etats-Unis. Les violences ont redoublé d'intensité depuis près de deux ans malgré la présence de 70.000 soldats de deux forces multinationales, l'une de l'Otan, l'autre sous commandement américain (Operation Enduring Freedom). REUTERS : Un frère du président Hamid Karzaï a échappé mercredi à un attentat suicide commis dans les locaux de l'administration provinciale de Kandahar, dans le sud de l'Afghanistan, ont annoncé les autorités, qui avancent un bilan de six morts et d'une quarantaine de blessés. L'explosion s'est produite sur une route située entre le siège des services de renseignement et un complexe abritant le conseil provincial présidé par Ahmad Wali Karzaï. Ce dernier, qui en est sorti indemne, a indiqué que la déflagration avait soufflé les vitres du complexe, blessant plusieurs personnes qui se trouvaient à l'intérieur. "La moitié du bâtiment est détruite", a-t-il dit par téléphone à Reuters. D'après le gouverneur de Kandahar, Rahmatullah Rawufi, six personnes, dont deux membres des services secrets, ont été tuées et 42 autres blessées, pour la plupart des civils. Il a précisé aux journalistes que le kamikaze avait actionné des explosifs qui se trouvaient dans un camion. Les forces de sécurité ont bouclé le secteur après l'attentat, qui n'a pas été revendiqué, ont déclaré des riverains joints au téléphone.
  11. Les insurgés islamistes somaliens ont remporté mercredi une victoire majeure en s'emparant sans combats de la ville portuaire de Merka (100 km au sud-ouest de Mogadiscio), un des principaux centres de transit de l'aide humanitaire à la population somalienne. Avec la prise de Merka, les miliciens islamistes somaliens ("shebab") confortent leurs positions dans le sud de la Somalie, où ils ont déjà le contrôle depuis août de la grande ville portuaire de Kismayo (500 km au sud de Mogadiscio). Mardi, les shebab avaient déjà pris Qoryoley, localité située près de Merka, et une autre bourgade, El-Dheer, située au nord de la capitale et jusque là aux mains d'une milice locale. Selon des habitants joints par l'AFP depuis Mogadiscio, les combattants islamistes sont entrés dans la ville après que les milices pro-gouvernementales qui contrôlaient le port eurent pris la fuite sans combattre. "Des centaines d'entre eux (des shebab) sont entrés dans la ville et ont pris le contrôle des postes de police et d'autres positions clé. Ils sont armés de mitrailleuses lourdes et de (lance-roquettes) RPG", a raconté l'un de ces habitants, Ibrahim Abdalla Ali. "Ils portent des uniformes marron et (circulent) dans des camions. Certains ont demandé à la population de rester calme", a-t-il ajouté. Les shebab, qui avaient encerclé la ville pendant la nuit, sont entrés dans Merka après le départ des miliciens pro-gouvernementaux. "Notre commandant nous a donné l'ordre de quitter la ville pour éviter des combats", a expliqué l'un de ces miliciens, Hussein Yusuf Maalim: "Ils (les shebab) sont de plus en plus puissants et nous n'avons pas assez de forces pour défendre la ville". Le port de Merka est régulièrement utilisé par le Programme alimentaire mondial des Nations unies (PAM) pour acheminer de l'aide alimentaire destinée à la population somalienne. Selon des estimations de l'ONU, quelque 3,2 millions de personnes ont actuellement besoin d'une assistance humanitaire en Somalie, pays livré au chaos depuis le début d'une guerre civile en 1991. "La situation à Merka semble calme (...) Merka est un endroit stratégique pour le PAM. C'est un port naturel (...) et nous prévoyons de continuer à l'utiliser", a déclaré à l'AFP le porte-parole de l'agence à Nairobi Peter Smerdon. Les shebab (littéralement "jeunesse" en arabe), qui refusent tout accord politique avec le gouvernement somalien de transition, sont à la tête de l'insurrection armée en Somalie et ont promis d'appliquer la charia (loi islamique) dans le pays. Ils forment un groupe dissident des tribunaux islamiques qui ont contrôlé pendant le deuxième semestre 2006 le centre et le sud du pays, dont Mogadiscio, jusqu'à leur mise en déroute par les troupes éthiopiennes venues soutenir les autorités somaliennes. Tandis que les responsables des tribunaux islamiques ont quitté le pays, ces jeunes combattants sont restés en Somalie, notamment à Mogadiscio où ils mènent depuis une guérilla acharnée contre les troupes éthiopiennes, les forces de sécurité somaliennes, les troupes de l'Union africaine (UA) et des responsables gouvernementaux. Désireuse de s'extraire d'un bourbier militaire, l'Ethiopie a annoncé fin octobre un retrait progressif de ses troupes de Somalie, tout en prévenant qu'elle n'hésiterait pas à renvoyer son armée à Mogadiscio pour empêcher les islamistes radicaux de prendre le pouvoir. Gros problèmes en vue, la prise du port de Merka permet aux islamistes d'accèder aux navires du PAM et donc potentiellement de prendre en otages des millions d'affamés, les équipages des navires et le personnel des Nations Unis. =(
  12. AFP : Les dix otages, dont 7 Français, du secteur pétrolier enlevés dans la région de Bakassi (sud-ouest du Cameroun) ont été libérés sains et saufs mardi en début de soirée après douze jours aux mains de ravisseurs dont les motivations restent floues. Le ministère français des Affaires étrangères d'abord puis les ravisseurs ont annoncé la libération des sept Français, deux Camerounais et un Tunisien enlevés dans la nuit du 30 au 31 octobre au large de la péninsule de Bakassi alors qu'ils se trouvaient à bord d'un navire du groupe français Bourbon travaillant dans le secteur pétrolier. Les ex-otages sont "en bonne santé" et se trouvaient mardi soir à l'ambassade de France à Yaoundé, où ils devaient être examinés par un médecin envoyé par la cellule d'urgence du Quai d'Orsay, a annoncé une source diplomatique à Paris. Ils devaient également s'entretenir avec le président camerounais Paul Biya. "Les deux collaborateurs camerounais vont rejoindre rapidement leurs familles et leurs proches. Les huit autres collaborateurs, sept Français et un Tunisien, vont regagner la France", a annoncé leur employeur qui précise également que "tous sont en bonne santé". Les ex-otages qui vont regagner la France sont attendus mercredi matin à Paris, où ils arriveront par un vol affrété par leur employeur, selon la source diplomatique qui n'a pas précisé l'aéroport et l'heure d'arrivée. "Je suis contente. Je ne m'y attendais pas", a réagi Mayrise Tallec, l'épouse du capitaine. "Il y avait des négociations en cours, cela a été quand même été assez rapide", a-t-elle jugé. Les autorités françaises, et notamment le président Nicolas Sarkozy, ont exprimé leur "soulagement". Le président français "s'associe pleinement à la joie de leurs familles, de leurs proches et de la société Bourbon", a indiqué l'Elysée. Le Quai d'Orsay ainsi que la société Bourbon ont remercié les autorités camerounaises, M. Sarkozy saluant "l'investissement" de Paul Biya "grâce auquel cette prise d'otage a pu trouver un dénouement rapide et heureux". L'enlèvement avait été revendiqué par les Combattants de la Liberté de Bakassi (Bakassi Freedon fighters, BFF), qui n'ont jamais révélé publiquement leurs demandes. La libération des otages a fait suite à "des discussions entre les autorités du Cameroun et les ravisseurs. Il n'y a pas eu d'opération" et la France n'a "pas versé de rançon", a affirmé la source diplomatique au Quai d'Orsay. Si des canaux ont été ouverts rapidement entre la France ou la société Bourbon et les ravisseurs, il n'y a eu aucun contact entre les ravisseurs et le gouvernement camerounais pendant plus d'une semaine, alors que c'était la principale revendication des preneurs d'otages. Les négociations entre les ravisseurs et les émissaires du gouvernement camerounais n'ont commencé que dimanche après un premier contact téléphonique samedi, selon le "général" AG Basuo chef du Conseil de sécurité et défense du delta du Niger (NDDSC), dont font partie les BFF. Les 12 jours de captivité auront été marqués par des moments de grande tension, même si les ravisseurs ont affirmé avoir "bien traité" leurs prisonniers. Ils ont commencé par menacer de tuer les otages dans les trois jours avant de "changer d'avis". Pendant la semaine, les ravisseurs ont affirmé avoir essuyé et repoussé une attaque de l'armée nigériane. Des medias, citant les ravisseurs, avaient fait état de la mort d'un des otages pendant cette attaque. Les ravisseurs ont également vécu une "grande tension" les derniers jours en raison de la "présence de deux bateaux de guerre de la marine nigériane" près du camp où étaient détenus les otages. La péninsule de Bakassi, dont les eaux sont potentiellement riches en pétrole et gaz, est une région de mangrove instable dans le delta du fleuve Niger, où de nombreux groupes armés sont actifs. Elle a été rétrocédée au Cameroun par le Nigeria le 14 août, après quinze ans d'un différend frontalier. Les BFF estiment que cette rétrocession s'est faite sans consulter les populations. Tout se finit bien !
  13. alexandreVBCI

    FNH SCAR

    Obama s'est prononcé en faveur de Boeing contre A330 MRTT pendant les élections. Le fusil d'assaut du soldat américain est un domaine sensible et aux USA, Colt est au fusil d'assaut ce que Boeing est à l'aviation, intouchable pour les grosses commandes. Colt à surement plus d'avocats et d'hommes politiques dans la poche que la Belgique n'a d'habitants, ils ont fait annuler par Bush une loi votée par Clinton sur le contrôle des fusils d'assaut et (sauf erreur car mon info est assez vieille) Colt est le plus gros contributeur/partenaire de la NRA. Le SCAR à un grand avenir mais de là a équiper toute l'USMC ?
  14. ... avec le taux de pertes lors des entrainements ! :lol:
  15. Pour info, le site globalsecurity.com donne pas mal d'infos et de cartes sur les 2 armées : CdN : http://www.globalsecurity.org/military/world/dprk/index.html ROK : http://www.globalsecurity.org/military/world/rok/index.html J'ignorais que la Corée du Sud était devenu un bon client de la Russie (char T80, BMP3...) et que le patriotisme sud-coréen était aussi fort ! Pour rappel, Séoul et sa périphérie est aussi peuplée que toute la Corée du Nord réunie ! Séoul est la 3ième ville la plus peuplée au monde d'après wikipédia, après Tokyo et Mexico.
  16. Je ne me lasse pas de la vie du "Cher Guide" : Train de vie : Des observateurs notent les goûts de luxe et le train de vie fastueux du « Cher Guide ». De 1989 a 1999, Kim Jong-il aurait commandé, selon ABC entre 650 000 $ et 800 000 $ d'alcools et de vins fins par an. Kim Jong-il a aussi, selon des réfugiés, un goût pour les mets fins, que son escouade de chefs étrangers va acheter directement à l'étranger, que ce soit au Japon, en Chine ou en Europe. Ce luxe bénéficie également à ses quatre troupes de danse exclusivement féminines et jeunes, afin qu'elles aient toutes la peau claire et de bon aspect. En l'absence de toute source extérieure aux informations officielles, le Washington Post, estime cependant que les éléments du train de vie prêté à Kim Jong-il relèvent de rumeurs parfois aussi extravagantes que sa mythologie officielle, même s'il reconnaît également que la réalité est tout aussi étrange que ce qu'on a rapporté. La disparition en 1978 du réalisateur sud-coréen Shin Sang-ok et de son ancienne épouse, l'actrice Choi Eun-hee, réapparus ensuite à Pyongyang où ils ont contribué au développement du cinéma nord-coréen, aurait été le résultat d'un enlèvement sur ordre de Kim Jong-il, avant qu'ils n'obtiennent l'asile politique lors d'un déplacement en Europe. Les conditions dans lesquelles Shin et Choi ont rejoint la Corée du Nord sont cependant controversées car cette version des faits est celle donnée par Shin et Choi après leur retour au Sud. Le Washington Post fait également état des spectacles osés (pour la Corée du Nord) auxquels s'adonnerait la troupe personnelle de danse du dirigeant. Konstantin Poulikovsky, un émissaire russe ayant voyagé avec Kim dans son train personnel entre la Corée du Nord et la Chine rapporte qu'il dinait de homards frais, apportés chaque jour par hélicoptère avec des baguettes en argent. Vie privée : Kim Jong-il a trois fils : Jong-nam (né en 1971), Jong-chol (né en 1981) et Jong-un (né en 1983). Les noms des deux premiers sont parfois cités pour sa succession. Le samedi 22 juin 2006, un journal sud-coréen annonce que Kim Jong-il se serait marié pour la 4e fois. Son épouse actuelle serait Kim Ok, 42 ans, diplômée de piano de l'Université de Pyongyang. Kim Jong-il avait auparavant eu trois épouses, toutes décédées. Sa première épouse, Kim Young-sook, s'est éteinte dans les années 1970 pour une raison non déterminée. Sa deuxième, Sung Hae-rim, ancienne actrice, est décédée de maladie cardiaque à Moscou en 2003, et sa troisième, Ko Yong-hui, ancienne danseuse, est morte d'un cancer du sein, à Paris, en août 2004. http://fr.wikipedia.org/wiki/Kim_Jong-il Le Figaro, tout en nuance : http://www.lefigaro.fr/international/20060707.FIG000000115_le_dr_no_qui_affame_son_pays.html Reporters Sans Frontières : Corée du Nord - Rapport annuel 2005 Les médias, tous contrôlés par le parti unique, et pour certains par Kim Jong-il lui-même, n’ont connu aucune évolution positive malgré les réformes annoncées par le « Cher Leader ». Le régime continue d’offrir à la population la même "propagande abrutissante". Des journalistes seraient détenus dans des camps de concentration. Il a suffi que des portraits de Kim Jong-il disparaissent, à la mi-novembre 2004, des murs de bâtiments officiels pour que les médias du monde entier s’interrogent sur un possible changement à la tête du plus fermé des Etats du globe. Il n’en serait rien. Le « Cher Leader » aurait simplement décidé de limiter le culte de la personnalité à son père, Kim Il-sung, décédé en 1994 et devenu depuis le « Président pour l’éternité » de la Corée du Nord. L’article 11 de la Constitution nord-coréenne définit le régime strict de l’Etat-Parti : « La République démocratique populaire de Corée doit conduire toutes ses activités sous la direction du Parti du travail de Corée. » Le parti unique est guidé par le « djoutché » et l’idéologie révolutionnaire de Kim Il-sung. C’est le Comité central, ou son bureau politique, qui prend les décisions. Mais de fait, Kim Jong-il, à la tête du praesidium dont il est l’unique membre, dirige seul le pays, comme l’avait fait son père avant lui. Il est entouré d’une garde rapprochée composée de plusieurs membres de sa famille. Et, selon toute vraisemblance, il commande personnellement la redoutée sécurité d’Etat Kukka Anjon Bowibu qui a notamment la charge des camps de concentration où sont détenus près de 200 000 Nord-Coréens. Des dizaines de milliers d’autres y ont déjà péri au cours des quatre dernières décennies. Aujourd’hui, le « Cher Leader » défend ses réformes économiques pour améliorer les conditions de vie de ses concitoyens. Mais plus de six millions d’entre eux survivent encore grâce à l’aide alimentaire internationale. La presse défend les grands mensonges du régime La dynastie communiste des Kim a fait le choix, il y a plusieurs décennies, de développer le socialisme nord-coréen en vase clos. Cet isolement rend plus facile le travail de propagande. Les médias officiels peuvent distiller les grands mensonges du régime sans subir une concurrence de médias indépendants ou étrangers. Les témoignages des réfugiés nord-coréens confrontés, dans leur exil chinois, à la réalité du monde, sont bouleversants. Pas étonnant que 70 % de ceux interviewés par Médecins Sans Frontières, anéantis par le mensonge, souffrent de troubles post-traumatiques aigus. La dizaine de médias du pays, notamment le Rodong Shinmun (Le Journal des travailleurs), l’agence de presse Korean Central News Agency, la télévision nationale JoongAng Bang Song, la « troupe de Kim Jong-il » comme les désigne la terminologie guerrière officielle, sont au service exclusif du culte de la personnalité de Kim Il-sung et de Kim Jong-il. A la faculté de journalisme de l’université Kim Il-sung de Pyongyang, les étudiants apprennent à respecter le « plan permanent d’information » qui hiérarchise strictement l’information. Première priorité : faire la publicité de la grandeur de Kim Il-sung et de son fils Kim Jong-il. Ensuite, démontrer la supériorité du socialisme nord-coréen et dénoncer la corruption bourgeoise et impérialiste. Enfin, dénigrer l’instinct d’invasion des impérialistes et des Japonais. « Une fois par mois, le directeur de la chaîne organisait un programme de presse. Il répartissait les sujets entre les différentes sections. Par exemple, je devais faire trois sujets sur la grandeur de Kim Jong-il et deux sujets sur la menace impérialiste. Pour cela, nous avions accès aux archives de la télévision, une grande salle où sont classées des cassettes selon des thèmes tels que « La grandeur de Kim Jong-il en agriculture », « La grandeur de Kim Il-sung en industrie ». Bien entendu, il y avait des archives secrètes, notamment les images de la télévision sud-coréenne. Nous avions besoin de l’autorisation du président de la télévision pour les utiliser », explique Jang Hae-sung, journaliste de la chaîne JoongAng Bang Song (Télévision centrale) de 1976 à 1996. Le Parti compte par ailleurs sur les journalistes pour promouvoir l’histoire officielle. Les « grands mensonges » de la Corée du Nord sont défendus quotidiennement par la presse. Par exemple, selon la propagande, le Sud aurait attaqué le Nord en juin 1950 ; et les services de santé seraient gratuits pour tous les Nord-Coréens. Tout au long de leur vie, les journalistes doivent continuer à suivre des formations idéologiques. L’ancienne rédactrice en chef Kim Gil-sun raconte : « Tous les samedis de 9 heures à 17 heures, nous devions assister à des conférences. Des membres du Comité central nous enseignaient les réalisations de Kim Jong-il et Kim Il-sung, leurs principaux discours et l’idéologie du Parti. (...) Bien entendu, nos résultats aux tests avaient des conséquences sur notre carrière. Le Parti comptait sur les journalistes les plus disciplinés. » Les conséquences sur le traitement de l’information sont évidentes. Les journaux télévisés ne sont qu’une succession d’images de Kim Jong-il visitant de nouvelles entreprises ou inaugurant des cérémonies, le tout accompagné de commentaires lyriques sur la grandeur du père et du fils. Des dizaines de journalistes « révolutionnisés » En Corée du Nord, une faute de frappe ou un commentaire malheureux peuvent coûter cher. Début 2004, un journaliste de la radio d’Etat a été sanctionné pour s’être trompé en attribuant le poste de ministre à un vice-ministre. Il aurait passé quelques mois en camp de « révolutionnisation ». En 1986, un journaliste de la télévision, Kim Kwan-hee, a passé un an dans un de ces camps de rééducation pour avoir qualifié Park Chung-he de « leader démocrate » alors qu’il a dirigé un régime autoritaire en Corée du Sud de 1961 à 1979. Ces camps, des usines ou des fermes d’Etat où le travail est obligatoire, sont le passage obligé des fonctionnaires, notamment des journalistes, qui ont commis une erreur. Jang Hae-sung, journaliste pendant vingt ans à la télévision, a affirmé à Reporters sans frontières avoir eu connaissance d’au moins quarante cas de journalistes « révolutionnisés », lui compris. Reporters sans frontières a également appris en 2004 que des journalistes seraient détenus dans des camps de concentration, notamment Song Keum-chul, de la télévision d’Etat, arrêté fin 1995, pour avoir organisé un petit groupe de journalistes critiques. On est sans nouvelles de lui depuis. Les postes de radios, « nouveaux ennemis du régime » En l’absence d’Internet - les e-mails sont interdits - et de paraboles satellitaires, capter les programmes en coréen des radios étrangères reste pour un certain nombre d’habitants du Nord l’unique manière de contourner la propagande officielle. « Oui, on peut acheter des radios en Corée du Nord, mais elles sont bloquées sur la fréquence officielle. Certains prennent le risque de les démonter pour capter d’autres fréquences », explique un réfugié. Aujourd’hui, de plus en plus de postes de radio pénètrent dans le pays, notamment à Pyongyang, en provenance de Chine populaire. « Je pense que beaucoup de transfuges ont décidé de partir après avoir écouté les stations internationales, notamment Voice of America et Radio Free Asia, et sud-coréennes. Cela ouvrait les yeux », affirme le directeur de la radio dissidente FreeNK. Fin 2003, le Parti a lancé une vaste campagne de vérification des radios. Chaque responsable de cellule du Parti dans un quartier ou un village a reçu l’instruction de contrôler les scellés sur tous les postes. Le 13 juin 2004, les autorités nord-coréennes ont désigné les postes de radio comme de « nouveaux ennemis du régime ». Selon toute vraisemblance, il n’existe aucune publication clandestine en Corée du Nord. On sait seulement que Kim Jong-il avait ordonné, en 1999, d’augmenter la surveillance des machines à écrire et des photocopieurs de peur qu’ils ne soient utilisés contre le régime. Mais, en novembre 2004, on aurait trouvé dans des régions frontalières de la Chine, des tracts dénonçant la dictature et l’idéologie du djoutché. Le début d’une contestation interne ? Certains officiels nord-coréens affichent clairement leur hostilité à la presse internationale acceptée au compte-gouttes dans le pays. En septembre, le ministre des Affaires étrangères, Paek Nam-sun, interrogé par son homologue britannique sur la nature d’une explosion repérée par les Etats-Unis et la Corée du Sud, avait répondu sèchement : « Les journalistes sont tous des menteurs. » Ce pays est un asile d'aliénés ! aucune chance qu'il puisse battre la Corée du Sud !
  17. La guerre de 1950-1593 http://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_de_Cor%C3%A9e à montrée que les coréens du sud savaient se battre contre leurs propres compatriotes pour leur liberté et avec l'aide de l'ONU ils ont reconquis une partie de la péninsule, jusqu'à l'intervention chinoise. Rien ne dit que l'armée sud coréenne actuelle est incapable de combattre une armée du nord technologiquement dépassé et qui ne peut espérer une victoire que par le sacrifice de millions de soldats pour la plupart non entrainés. L'armée n'est pas fidèle au régime au point de se suicider en masse, surtout sans raison valable. L'une des solutions de sortie idéale est justement un coup d'état militaire suivie d'une transition démocratique et finalement une réunification... la mort du nain serait aussi une bonne nouvelle Et russes, japonais, ONU..... les variables sont trop nombreuses pour effectivement prendre l'hypothèse d'une attaque nord coréenne au sérieux.
  18. AFP: L'Union européenne a approuvé lundi la première opération navale de son histoire pour lutter contre la piraterie en plein essor au large de la Somalie et dans le golfe d'Aden, a annoncé la présidence française de l'UE. L'opération Eunavfor Atalanta a été formellement autorisée par les ministres de la Défense réunis à Bruxelles, et elle devrait débuter courant décembre au large de la Corne de l'Afrique, a indiqué un diplomate français. Face à la multiplication des attaques de pirates dans ces parages, l'UE avait déjà mis en place à la mi-septembre une "cellule de coordination" contre la piraterie, qui repose actuellement sur deux frégates françaises et un avion de patrouille espagnol. Si le nom du commandant de la force navale, le vice-amiral britannique Philip Jones, et son quartier général, -Northwood, sur la côte anglaise- sont déjà officiels, sa composition précise en revanche ne l'est pas encore, même si l'Allemagne, la France, le Royaume Uni et l'Espagne ont annoncé leur participation. L'Eunavfor sera constituée d'au moins sept navires, dont trois frégates et un navire de ravitaillement, et bénéficiera de l'appui d'avions de patrouille maritime. Le Yémen a immédiatement réagi en se disant inquiet de la présence navale multinationale près de ses côtes. "La présence navale multinationale à l'embouchure sud de la mer Rouge est un sujet de préoccupation", a déclaré le ministre yéménite des Affaires étrangères Abou Bakr Korbi, selon l'agence officielle Saba. "Cela représente un danger pour la sécurité nationale arabe et pourrait préluder à un plan d'internationalisation de la mer Rouge qui avait été un temps avancé par Israël et rejeté par les Arabes", a-t-il ajouté. M. Korbi a affirmé que son pays tentait de sensibiliser ses voisins arabes au problème des pirates somaliens et de "susciter une position arabe commune sur la présence militaire (étrangère) et les actes de piraterie en mer Rouge". Il a rappelé que son pays était en faveur d'une prise en charge des pays de la mer Rouge et de la mer d'Arabie de la lutte contre les actes de piraterie. Selon lui, le Yémen a déjà pris des mesures en déployant 1.000 soldats à ses côtes et en mettant en place des postes d'observation. ça bouge... lentement, mais ça bouge...
  19. Deux religieuses européennes ont été enlevées lundi par des malfaiteurs somaliens lourdement armés dans une localité kényane proche de la frontière, El Wak, rapportent des témoins. La Somalie est l'un des pays les plus dangereux pour le personnel humanitaire, cible d'exactions le plus souvent imputées aux milices islamistes qui cherchent à renverser le gouvernement provisoire. Les ravisseurs ont attaqué un poste de la police kényane à la grenade et au lance-roquettes, dimanche vers 22h00 GMT. "Ils ont tiré dans tous les sens (...) puis ont enlevé la Néerlandaise et l'Italienne dans l'église locale", a raconté un témoin. Ils ont pris la fuite à bord de trois voitures volées, a fait savoir la Croix-Rouge, qui craint que les religieuses n'aient été emmenées en Somalie. "Nous ignorons quelle direction ils ont pris. Nous ne savons pas exactement qui ils sont, mais on peut dire que ce sont des bandits somaliens", a déclaré le cheikh Hassan Hussein, chef de l'administration de la région somalienne de Gedo, joint par téléphone. Les autorités kényanes n'ont pas réagi. AFP Les troubles en Somalie débordent allégrement sur les pays voisins et la prise d'otages semble de plus en plus rentable pour tenter des coups pareils !
  20. Il y a aussi un centre de commandement à Séoul + celui des américains. Il est inutile de déplacer la Capitale, dans une étude de la ROK que j'ai lu il y a quelques années (en version anglaise évidemment), la Corée du Sud estimait qu'il faudrait 8 (ou 10) mois de bombardements massifs pour détruire le plus gros de la ville compte tenu de sa taille et de sa population (20 millions d'habitants avec la périphérie). Il faudrait 1 million de soldats à la corée du Nord pour contrôler la ville, et les combats dureraient des années (vu l'expérience Grozni, Stalingrad ou même Bagdad). En plus le nord ne peut pas utiliser d'arme chimique ou bactériologique contre des cibles civiles de cet importance (20 millions de morts = vitrification immédiate de la corée du Nord à coup de bombes H... et même le Dalaï Lama et le Pape seraient d'accord !). La capitale est vulnérable mais les conditions pour la prendre ou la détruire sont impossibles à remplir, même si elle est proche de la frontière.
  21. alexandreVBCI

    Littoral Combat Ship

    La dernière vidéo sur le LCS de Lockeed Martin : http://www.lockheedmartin.com/how/ (sélectionner la vidéo du LCS dans la liste en bas) Une autre vidéo : http://www.lockheedmartin.com/how/stories/lcs.html
  22. Le "Cormorant" un MPUAV proposé par Lockeed Martin (voir la vidéo) : http://www.lockheedmartin.com/how/stories/cormorant.html
  23. Enfin ! il y a 3 finalistes pour le programme JLTV : "US Army Announce JLTV Winners GTV, Navistar-BAE Systems and Lockheed Martin will develop three competing designs for final selection within 27 months. The U.S. Army narrowed the list of potential JLTV bidders to three, awarding development contracts for each of the three teams, to continue the 27 month technology development of the proposed Joint Light Tactical Vehicle. The finalist to be selected at the end of this phase could win orders to deliver more than 60,000 armored vehicles over an eight year span augmenting and replacing part of the 160,000 HMMWVs currently in service with U.S. armed services." Ils ont tellement de hummers qu'ils en donnent gratis aux amis, c'est sympa de leur part ! "Les Etats Unis ont donné 52 véhicules légers à roues Humvee d’une valeur de 16 millions de $ à l’armée bulgare. Les véhicules seront utilisés par l’armée bulgare dans le cadre de missions spécifiques. Des soldats bulgares réceptionnent les Humvee américains, qui ont été stationnés temporairement dans le port 'Varna-west' de la Mer Noir, près de la ville de Devnja, situé à l’Est de la capitale Sofia, ce 02 novembre 2008." http://www.defense-update.com/newscast/1008/29100801_jltv_armyselectionteamsselected.html Mon préféré : [url=http://g.imageshack.us/img369/lmjltv3ox8.jpg/1/]
  24. Dans le lien proposé par Tomcat-2000, les USA indiquent déjà en 1997 que l'hypothèse d'une attaque nord coréenne ne tient pas la route compte tenu du retard technologique et de l'effondrement de l'économie nord coréenne. Une attaque surprise est totalement inenvisageable. Dans le même site, dans le rapport le plus récent OPLAN 5029 (octobre 2008 et non octobre 2009 comme indiqué par erreur en début d'article) http://www.globalsecurity.org/military/ops/oplan-5029.htm les USA envisage un effondrement de la corée du nord comme le plus probable (et non une attaque nord coréenne) avec son plus gros problème : devoir gérer les millions de réfugiés nord coréens. La corée du sud a déjà une population double de celle de la corée du nord. Politiquement et économiquement la situation est tout à fait différente des années 60-70, la CdN est en ruine, le régime peine a se maintenir en place, ses généraux sont nonagénaires, sa doctrine militaire date de Staline et sa population affamée cherche à fuir le pays par tous les moyens. Le régime échange l'abandon de ses recherche sur les armes nucléaires contre des sacs de riz à la corée du sud et aux USA, afin de nourrir ses propres soldats ! Sans compter l'aspect psychologique : comment réagiraient les soldats nord coréens en découvrant la richesse de la corée du sud et les mensonges de leur propre gouvernement ?
  25. ça coute combien une licence de fabrication pour la France ? Parce que s'il est fabriqué en europe, c'est plus du matériel de ces sales impéralistes yankees ! on peut donc l'acheter sans problème .... et vive l'europe !
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