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Le Royaume-Uni refuse de prêter ses bases pour attaquer l’Iran http://info-aviation.com/?p=14168
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Personnellement j'attends la démonstration et le retour sur expérience, c'est cela qui décidera de l'avenir de ce moteur. après les crédits suivront si c'est un succés. Je m'amuse pas à spéculer. Actuellement ils sont maintenant encadrés par la NASA et ses contraintes, ce n'est plus du tout la même musique, on verra bien.
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Faut pas conclure trop vite, ca serait trop facile, il faut déjà démontrer que le système fonctionne dans l'espace avant de s'occuper du carburant, les premier moteurs à essence faisaient du 80-100l au 100km, voir plus. Aujourd'hui, on se plaint quand on fait plus de 5l au 100km. Jusqu'a présent, ils ne se sont pas souciés de la consommation, si ils ont gagnés 10% en rendement, ils en gagneront encore, si ca marche sur l'iss, ils devront améliorer le système pour être intégrer sur un satellite démo, l'étape suivante après l'iss, leur crédits en dépendent.
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http://www.traqueur-stellaire.net/2010/09/le-moteur-vasimr-et-lexploration-martienne/ http://rocket.itsc.uah.edu/u/cassibj/VASIMR#_ednref2 un document récent qui fait la synthèse des problèmes de vasimr et des solutions envisagées http://erps.spacegrant.org/uploads/images/images/iepc_articledownload_1988-2007/2011index/IEPC-2011-251.pdf ARC et la NASA ont signé un accord de collaboration concernant les questions de sécurité. Il s'agit pour AARC de familiariser le personnel du JSC avec les moteurs plasmiques de haute puissance, et pour la NASA d'accompagner AARC dans le processus d'intégration du VASIMR sur les véhicules habités et automatiques. http://www.adastrarocket.com/AdAstraRelease31May2012Final.pdf La NASA participe également à la conception du VF-200 qui doit être monté sur l'ISS, en tant que conseil. Ils travaillent sur l'amélioration du rendement, A la suite de la campagne d'essais de juin, AARC rapporte une amélioration de l'ordre de 10% du rendement du VASIMR par rapport aux données de 2010, sur une large plage d'impulsion spécifique. AARC a également testé la variation de poussée/Isp à puissance constante sans observer de perte d'efficacité significative. http://www.adastrarocket.com/AdAstra-Release-July-27-2012-English.pdf
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Pour Mars, Il faut 200MW, une combinaison de solaire et de pile nucleaire. a voir. il sera peut être possible de rendre moins gourmand le vasimr. il faut déjà voir si ca marche, avant de refléchir à la version diesel.
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Pour l'instant ce n'est qu'expérimental en labo, tant qu'on aura pas essayer dans l'espace pour voir ce que ca donne, rien n'existe, faut attendre le premier prototype en test sur l'iss en 2013 si ils tiennent les délais, voir une première sonde qui utilisera cette techno. deep space, smart et hayabusa ont utilisés des petits moteurs ioniques, le gros problème et qu'ils sont fragiles et qu'ils mettent très longtemps à atteindre leur vitesse. vasimr pose le problème du besoin d'énergie. Mais je crois en la techno des moteurs ionique. quand au 39 jours, ce n'est qu'un objectif, il faut multiplier au moins par 3 ou 4 la vitesse actuelle. smart 1 ca s'est bien passé, d'ailleurs un succès discret pour la snecma http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/univers/d/smart-1-le-plasmique-tient-ses-promesses_3457/ pour hayabusa, elle est revenue sur un seul moteur et elle a mis 7 ans pour revenir avec beaucoup de difficultés. http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=7917 pour vasimr, c'est plus gros http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=2341
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je suis pas trop sur qu'avec un petit transall on réussi a faire à la russe, même après avoir vu le rase motte sur les spoters =).
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ils reviennent. Spain still hopes Typhoon will be selected http://www.sunday-guardian.com/index.php?option=com_content&view=article&id=15599&catid=1#.UI0KCK0QDTw.twitter
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ca progresse pas mal dans le domaine de la détection des furtifs par les radar sol aesa, on a quelque chose équivalent chez nous ? AESA Driving New Applications For Ground Radars http://www.aviationweek.com/Article.aspx?id=/article-xml/AW_10_15_2012_p21-500892.xml
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Le leclerc est hors course par rapport au Leopard ?, j'avoue que je ne connais pas grand chose aux MBT, trop cher? plus a jour? il avait été entièrement refait à cause des EAU ?
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Mon point de vue personnel, je ne suis pas pour aller sur Mars directement, ca fera comme les missions apollo et ca sera tout, ca finira dans les livres d'histoire, c'est bien sur possible mais très risqué, cela a peu d'intérêt et donne un gout de déjà vu. Si on est pas capable d'exploiter notre satellite, on ne sera pas capable d'exploiter Mars, pour moi il faut procéder par étape. Je suis pour passer d'abord par la case base lunaire, avec des objectifs multiples, pour éprouver les technologies (construction, production d'énergie, recyclage, serre, recherche, exploitation), les recherche scientifiques,observatoires,mine, collecter l'helium 3 et se rembourser (2-4 milliards $ la tonne si je me souviens bien), la sonde chinoise change a estimer les réserve à 100000 tonnes, ils ne perdent pas le nord et je suis sur qu'ils y pensent très fort dans leur programme lunaire, avec une base vers 2024 pour exploitation, l'heilium3 est très peu présent sur terre,. http://www.flashespace.com/html/jan06/30a_01.htm http://www.enerzine.com/2/7992+helium-3---quand-lenergie-viendra-de-la-lune+.html Si on ramène régulièrement 5 tonnes d'hellium3 vers la terre, ca en fait de l'argent. Exploiter les autres ressources disponible, il faut mettre en oeuvre les vaisseaux cargo automatique pour amener le matériel et le ravitaillement eau/o2/nouriture et le retour du minerai, pour finir préparer les missions vers Mars et refaire la même chose en plus grand. Techno précurseur, avec des systèmes type skycrane pour amener les charges lourdes, bigelow pour les structures gonflables, vasimr pour la propulsion plasmique. etc.. http://www.actinnovation.com/innovation-aerospatiale/vasimr-objectif-mars-en-39-jours-avec-un-moteur-plasma-1874.html Si on veut l'espace, il faut penser profit à court/moyen terme, malheureusement on doit compter sur la cupidité des investisseurs. c'est ce qu'on a réussi à faire avec les satellites commerciaux. Tout cela permettrait de lancer la mission vers Mars. Avec l'appauvrissement accélérer des ressources de notre planète d'ici 15-50 ans on verra resurgir cette préoccupation. pour l'instant ce n'est plus à l'ordre du jour. Ca reste mon avis. =)
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B. Sweetman : Wrongheaded? Really? http://www.aviationweek.com/Blogs.aspx?plckController=Blog&plckScript=blogScript&plckElementId=blogDest&plckBlogPage=BlogViewPost&plckPostId=Blog%3a27ec4a53-dcc8-42d0-bd3a-01329aef79a7Post%3a7d4840f7-616f-4279-a3ae-ece678980c57
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http://www.defpro.com/news/details/40652/?SID=236f9838ee3cc1af6328aa50e8f70e05 Cassidian’s Engineering Support System improves operational capability of the German Eurofighter fleet 14:31 GMT, October 24, 2012 Cassidian is developing a new Engineering Support System (ESS) for German Air Force Eurofighter. The Cassidian ESS acts as an interface for the exchange of maintenance data with the aircraft, the analysis of aircraft and engine data, structural loads, and the interpretation of error messages from the Eurofighter avionic systems. A successor to the present ESS – which is used by the four Eurofighter core nations – is needed in order to provide optimum support for future equipment upgrades to the Eurofighter as of software version SRP12 (P1E). In addition, the new system is fully connected to the Bundeswehr’s logistics information system (SASPF – standard application software product families). The Cassidian ESS will also improve the operational capability of the German Eurofighter fleet, for instance significantly shortening the inspection times between consecutive missions. The ESS has a modular design and contains a standard interface for linking it to various logistics systems. This not only enables it to support other weapon systems, but also to be tailored to the specific requirements of other nations. Cassidian was awarded the development contract by the German Federal Office of Bundeswehr Equipment, Information Technology and In-Service Support (BAAINBw) in early October. The new system is being developed at the Military Air Systems Centre in Manching in cooperation with the German Air Force, and will be delivered to the customer in 2014.
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Les relations avec les Émirats arabes unis se sont dégradées (Le Drian) http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20121024.FAP1644/les-relations-avec-les-emirats-arabes-unis-se-sont-degradees-le-drian.html PARIS (Sipa) - Les relations avec les Émirats arabes unis (EAU) se sont fortement dégradées, notamment en terme de dépenses militaires, a estimé Jean-Yves Le Drian dans une interview au Parisien/Aujourd'hui en France publiée mercredi. "Les EAU, qui effectuaient 70% de leurs dépenses militaires en France, ont fait passer ce pourcentage à 10%", a chiffré le ministre de la Défense, en visite à Abu Dhabi le week-end dernier. "Cette visite (...) avait pour objectif de réaffirmer notre attachement à (un) partenariat" avec les EAU qui se traduit "par l'existence de forces françaises terrestres, aériennes et navales prépositionnées (750 hommes)" sur leur territoire, a expliqué M. Le Drian, qui réfute le rôle de VRP de l'industrie militaire française. "Le rôle d'un membre du gouvernement, c'est d'établir les conditions de la confiance. Les industriels, eux, doivent jouer leur rôle et proposer l'offre la plus performante. Mais il ne faut pas mélanger les genres", a-t-il estimé. "Je pense que, si la France n'a jamais vendu de Rafale, c'est peut-être qu'on a confondu les rôles. Je ne les confondrai pas", a-t-il assuré, parlant d'un dossier qui "empoisonnait" les relations menant à un "effilochage" des rapports depuis 18 mois. "Je ne suis pas allé aux Emirats pour les Rafale. Les Rafale attendront" précisant que l'avion de chasse "n'est pas notre unique produit militaire d'exportation". Le ministre s'est entretenu avec l'émir de Dubaï et le prince héritier d'Abu Dhabi. Il a admis être porteur d'une lettre du président de la République, mais n'a pas voulu confirmer qu'elle préfigurait une prochaine visite de François Hollande dans les EAU.
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Modules gonflables Bigelow Aerospace
zx a répondu à un(e) sujet de stormshadow dans Engins spatiaux, Espace...
ca reste un design fiction avec des vues artiste, mais je trouve qu'il y a des idées à creuser pour un projet plus sérieux. Mais avant bigelow doit demontrer que son concept est viable. http://hobbyspace.com/nucleus/?itemid=26786- 79 réponses
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Modules gonflables Bigelow Aerospace
zx a répondu à un(e) sujet de stormshadow dans Engins spatiaux, Espace...
on imagine des vaisseaux à base du concept de bigelow, c'est sur c'est pas le galactica our l'enterprise. on fait plutôt dans le bidon. mais avec des composants à mémoire de forme, on pourra peut être améliorer ca. http-~~-//www.youtube.com/watch?v=8zJ__F7ktvo Long-duration space journey vehicle for crew of 6 for periods of 1 -24 months - CIS-lunar would be initial Operations Zone [shakedown phase] - Exo-atmospheric, Space-only vehicle - Integrated Centrifuge for Crew Health - Life Support in deployed Large Volume with shirt-sleeve servicing - Truss & Stringer thrust-load distribution concept (non-orthogird) - Capable of utilizing variety of Mission-Specific - Propulsion Units [integrated in LEO, semi-autonomously - Utilizes Inflatable & Deployed structures - Incorporates Industrial Airlock for construction/maintenance - Integrated RMS - Supports Crewed Celestial-body Descent/Return Exploration vehicle(s) - Utilizes Orion/Commercial vehicles for crew rotation & Earth return from LEO Pour ceux qui ont le courrage d'attendre le download 15 minutes http://www.onorbit.com/node/2970 on peut telecharger le ppt concernant le nautilus- 79 réponses
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Epilogue http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20121023trib000726576/bae-des-actionnaires-exigeraient-la-demission-du-president.html
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La France table sur au moins 5 milliards d'euros de prises de commandes cette année, en très net retrait sur un an. Jean-Yves Le Drian tacle Nicolas Sarkozy. http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/air-defense/actu/0202344665067-armement-les-exportations-francaises-marquent-le-pas-503358.php
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ca bosse et ca bosse dur, L'Airbus A350 volera-t-il l'été prochain au salon du Bourget ? http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20121023trib000726648/l-airbus-a350-volera-t-il-l-ete-prochain-au-salon-du-bourget-.html Airbus a inauguré ce mardi la chaîne d'assemblage final de l'A350 XWB dont la première livraison est prévue en 2014. Airbus est confiant pour un premier vol d'essai à l'été 2013 et pourrait même voler pendant le salon aéronautique du Bourget en juin. Mais l'avionneur rappelle que la montée des cadences de production reste le défi à relever. Il était là, non pas en chair et en os mais en matériaux composites et en métal, dans l'usine d'assemblage final "Roger Béteille" (du nom d'un des quatre pères fondateurs d'Airbus) sur le site de l'avionneur à Toulouse. Cinq ans après son lancement, le premier exemplaire de l'A350 XWB, un long-courrier a montré ses formes aux 1.500 invités à l'inauguration de la chaîne d'assemblage final. C'est le Premier ministre Jean-Marc Ayrault qui l'a inaugurée avec le PDG d'Airbus, Fabrice Brégier et Roger Béteille. Des retards supplémentaires ? Cet exemplaire ne volera jamais. Il sera destiné aux essais statiques. Cinq autres avions suivront pour la campagne d'essais dont le premier vol est prévu à l'été 2013 pour une première livraison prévue au deuxième semestre 2014, avec un décalage par rapport au calendrier initial (mi-2013). Y aura-t-il d'autres retards ? Beaucoup d'analystes en sont persuadés. Plusieurs d'entre eux tablent sur une année de retard supplémentaire et le consensus évalue les provisions pour ce retard entre 1,5 et 3 milliards d'euros. Pour l'heure, le chef du programme A350, Didier Evrard, estime que le programme entre dans une phase "plus familière" pour l'avionneur. "Nous savons faire voler les avions. Nous avons déboggé tous les processus de la chaîne d'assemblage final", a-t-il dit. Le défi à relever est celui de la montée des cadences de production. Les tronçons mis sous tension à Toulouse "Nous avons eu trois étapes dans ce programme, explique Didier Evrard. La première, au cours des trois premières années, où il fallait accélérer l'apprentissage de la technologie du carbone pour les ailes et le fuselage. La seconde, à partir de mars 2010 consistait à fabriquer des pièces d'avions de grande taille. Cette étape de risques s'est extrêmement bien passée. La troisième, le processus d'assemblage de nos pré-FAL (à Hambourg, Saint-Nazaire...) a permis d'assembler la mécanique avec les systèmes". De fait les tronçons d'avions sont arrivés dès le premier exemplaire à Toulouse en ayant été testé sur le plan électrique. Ils vont être mis sous tension à Toulouse. Premier vol mi-2013 ? Aujourd'hui, alors que se profile la phase d'essais durant laquelle des problèmes peuvent intervenir, Didier Evrard se dit "assez confiant pour un premier vol mi-2013", même si cela risque d'être un peu juste pour faire une démonstration au prochain salon aéronautique du Bourget en juin prochain. "Je ne crois pas. En tout cas ce serait la cerise sur le gâteau". Pour autant sur les ondes de RTL, le PDG d'Airbus, Fabrice Brégier, ne l'a pas exclu. "Il faudrait que l'on soit un peu en avance, mais pourquoi pas, je ne l'exclus pas". Les fournisseurs tiendront-ils la cadence ? Le gros sujet reste donc la capacité de la chaîne des fournisseurs d'assurer la montée en cadence. "Ce n'est pas gagné. C'est une très longue chaîne qui mobilise beaucoup de monde", explique Didier Evrard. Près de 400 fournisseurs de rang 1 et 2. L'objectif est d'assurer une cadence 1 (un avion par mois) en 2013 pour produire les avions d'essais et ceux qui seront livrés aux premiers clients. Ensuite, Airbus espère monter à deux ou à trois appareils. L'objectif est d'améliorer l'industrialisation de certaines pièces pour être, un an après la mise en service, en condition de monter en pleine production à l'horizon 2017-2018 (10 avions) par mois. Entre 20 et 25 A350 en production au moment de la certification Reste une problématique dans cette phase de montée des cadences. La gestion de la production entre le moment de l'obtention de la certification qui permet les livraisons des avions et celui de la livraison prévue contractuellement avec le client. Le tout est d'avoir suffisamment d'appareils dans les tuyaux au moment de l'obtention de la certification pour pouvoir livrer les appareils mais pas trop non plus en cas de problème détecté pendant les essais qui nécessiterait d'apporter des modifications coûteuses sur tous les appareils étant à un stade avancé de fabrication. C'est ce qui est arrivé à Boeing. "A l'entrée en service de l'A350, nous aurons entre 20 et 25 appareils dans le pipe à différents niveaux", précise Didier Evrard. L'Allemagne montrée du doigt Les réticences de l'Allemagne de verser une tranche de 600 millions d'euros d'une avance remboursable pour le développement de l'A350 menace-t-elles la suite du programme ? "Non, le futur de l'A350 ne dépend pas de ces aides", assure Fabrice Brégier, rappelant qu'Airbus disposait de beaucoup de trésorerie. Selon lui, l'Allemagne est la seule dans ce cas. La Grande-Bretagne, la France et l'Espagne n'ont pas remis en cause leur contribution. "Les Etats européens jouent un rôle majeur dans le développement de grands projets aéronautiques. C'est bien sûr le cas pour l'A350. Il est essentiel que les engagements soient intégralement tenus. La France respectera les siens", a déclaré Jean-Marc Ayrault, faisant allusion aux réticences allemandes à verser des avances remboursables au programme A350. Le coût du programme de l'A350 dépasse largement les 10 milliards d'euros.
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Man arrested in Finmeccanica India deal probe released http://www.newsrt.co.uk/news/man-arrested-in-finmeccanica-india-deal-probe-released-886297.html euters) - Guido Ralph Haschke, a businessman who has advised Finmeccanica (SIFI.MI), said he had been released after being arrested on Friday in Switzerland in connection with an Italian probe into alleged bribes paid by the defence group. "I was immediately released because the judge reckoned that there was no reason for the arrest," Haschke told Reuters on Sunday by phone from his home in the Swiss canton of Ticino. That confirmed a report in Italian newspaper Corriere della Sera which also said Swiss authorities had kept Haschke's Italian and U.S. passports
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Les priorités de la DGA en matière de recherche et développement
zx a posté un sujet dans Technologie
http://www.opex360.com/2012/10/20/les-priorites-de-la-dga-en-matiere-de-recherche-et-developpement/ Lors de son audition devant la commission de la Défense et des Forces armées de l’Assemblée nationale, le 10 octobre dernier, le Délégué général pour l’armement (DGA), Laurent Collet-Billon, a évoqué la recherche et le développement (R&D) en matière d’armement. Chaque année, le ministère de la Défense consacre près de 750 millions d’euros pour financer les activités de recherche, dont 50 millions vont au dispositif RAPID (régime d’appui à l’innovation duale) et au soutien des pôles de compétitivité. Ces investissements en matière de R&D sont les plus importants en Europe, avec ceux consentis par le ministère britannique de la Défense (MoD). Mais d’une manière générale, les dépenses de recherche des pays européens restent très inférieures à celles du Pentagone, plus précisément aux sommes allouées à la Defense advanced research project agency (DARPA). Et ce n’est pas près de changer car si le budget des forces armées américaines va diminuer au cours des 10 prochaines années, ce ne sera pas le cas pour celui dont bénéficie l’agence de recherche du Pentagone. D’où le risque d’un aggravation du décrochage technologique du Vieux Continent par rapport aux Etats-Unis. Pour le moment, la Direction générale de l’armement se prépare, vers 2015, à lancer des études amont liées à la dissuasion. Ce qui aura, selon Laurent Collet-Billon, un “effet d’éviction” sur le reste, alors que dans le même temps, il faudra financer d’autres opérations, “très lourdes et donc très coûteuses”, concernant notamment la recherche sur les missiles et la poursuite de l’évolution du Rafale. “En termes de maturité technologique, 15 % des études amont correspondent au plus bas niveau – c’est peu –, environ 50 % à l’adaptation des technologies aux besoins militaires et le reste aux démonstrateurs” a précisé Laurent Collet-Billon. Or, ayant un oeil sur les projets de la Darpa, le DGA a souligné la nécessité de développer des “technologies de rupture”, notamment liées à la robotique. “Elles profiteront tout d’abord, dans l’aérien, aux drones de combat” a-t-il précisé, mais aussi à la robotique terrestre. Une autre priorité concerne les nanotechnologies, qui, selon Laurent Collet-Billon, “permettront peut-être de trouver des matériaux de substitution pour la protection du combattant ou des blindés ou le stockage de l’énergie.” Et de préciser que la DGA travaille “en partenariat avec le CEA qui intervient massivement sur ces technologies.” Enfin, insistant sur le fait que la Darpa, qui “s’occupe des technologies de très bas niveau de maturité” concernant la “furtivité, la robotique et les missiles hypersoniques” bénéficiera de moyens relativement importants, Laurent Collet-Billon a avancé l’idée d’utiliser éventuellement les fonds structurels européens “à des fins de défense.” “Ce serait une évolution majeure” a-t-il dit, surtout “si nous voulons rester un acteur important de la défense.” -
http://www.flightglobal.com/blogs/the-dewline/2012/10/second-british-f-35b-delivered.html Second British F-35B delivered to Eglin--flown by a British pilot The UK Royal Air Force's second Lockheed Martin F-35B Joint Strike Fighter was delivered to Eglin AFB, Florida, on 19 October. The short take-off vertical landing (STOVL) aircraft, known as ZM136, was flown to the sea-side base by RAF Sqn Ldr Jim Schofield. It was accompanied by a US Marine Corps F-35 flown by USMC Maj Adam Levine. The flight from the Lockheed pant in Fort Worth, Texas, to Eglin took about 90 minutes. There are now 16 F-35s at the Florida base.