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Tout ce qui a été posté par zx

  1. Entendu à la radio, 6 mercedes auraient été vues en train de passer la frontière de l'algérie, on suppose que ce sont des hauts responsables lybiens partis se réfugiés. peut être Khadaffi et ses fils. A confirmer.
  2. Pour ma vue, le problème du rafale actuel, c'est un faux-vrai furtif, c'est qu'on ne peut pas dire qu'il n'est pas furtif et on ne peut pas dire que c'est un vrai furtif tel qu'on l'entend. Une espèce de brique avec des facettes et deux ailes en triangle. il est entre deux. C'est un avion de 4eme de génération avec des caractéristiques de furtivité, sur sa forme, sur ses composants, sur son système de contre mesure, sur ses émissions em/ir , c'est pour cela qu'on dit que c'est un 4.5., j'espère que le rafale stealth le fera avancé à la 5eme. Pour un journaliste, ca doit être bizarre. le F35 est un avion doté d'une réelle furtivité passive.
  3. Pour moi, il y en a pas. c'est une interrogation de Joab. Meme si le rafale est bien moins furtif que le f35,j20,t50,f22 ca reste un avantage pour le rafale, en attendant que cela soit améliorer avec le rafale stealth.
  4. Woui ! tu n'as pas révé, elle a utilisée le terme de "furtif polyvalent"
  5. Je viens d'entendre à la radio quand faisant le cumul de tout, on atteint un total 54 milliards de gaspillage fiscal en pure perte. ca tombe bien, on arrive au budget 2012 Ce qui me surprend, c'est le faible montant de l'impôt sur les sociétés par rapport au montant de l'impôt sur le revenu. Un peu plus du double de l'impot sur la fortune :O
  6. http://www.lexpress.fr/actualite/monde/quand-la-chine-s-arme-washington-s-inquiete_1024365.html#xtor=AL-447 Le Pentagone a rendu public son rapport annuel sur l'armée chinoise. Il y dénonce la course à l'armement lancée, selon lui, par Pékin. La Chine a immédiatement dénoncé une "ingérence" dans ses affaires intérieures. Coup de froid sur les relations sino-américaines. Deux jours seulement après la visite en Chine du vice-président des Etats-Unis, Joe Biden, le rapport annuel du Pentagone sur l'armée chinoise, publié le 24 août, a provoqué un incident diplomatique entre Pékin et Washington. En cause: la modernisation accélérée de l'appareil militaire chinois, qui, selon le ministère américain de la Défense, pourrait bouleverser les équilibres géopolitiques en Asie. Selon cette étude destinée aux membres du Congrès américain, et publiée chaque année depuis 2000, la Chine continue à renforcer son arsenal nucléaire et à développer sa puissance navale, tout en se dotant de nouvelles armes. La Chine serait également en bonne voie pour atteindre son objectif: avoir une armée "moderne" d'ici 2020. La Chine devrait lancer la construction de son propre porte-avion Les auteurs de ce document signalent que Pékin a amélioré ses systèmes radar, accru sa flotte de sous-marins d'attaque et rénové ses navires de guerre. La Chine devrait également lancer la construction de son propre porte-avion. Le 10 août, la sortie en mer du premier porte-avion chinois - un navire de l'ère soviétique acheté en 1998 à l'Ukraine - avait déjà suscité l'inquiétude des Etats-Unis, qui redoutent les ambitions maritimes et territoriales du géant chinois. Pékin disposait déjà de la plus grande armée du monde avec un effectif total de 1,25 millions d'hommes. Mais son équipement militaire, désuet car hérité de l'époque maoïste, ne lui permettait pas rivaliser ni avec les Etats-Unis, ni avec la Russie. Devenue une grande puissance politique et économique, la Chine modernise aujourd'hui son appareil militaire à marche forcée. La très forte croissance économique du pays - 10,3% en 2010 - donne à Pékin les moyens de ses ambitions. Un budget militaire en hausse Les Etats-Unis s'inquiètent régulièrement du manque de transparence du régime communiste sur son budget militaire. En 2011, selon les chiffres officiels, les dépenses militaires chinoises devraient atteindre 91,5 milliards de dollars, un budget en hausse de 13% par rapport à 2010. Mais le chiffre réel, probablement supérieur, reste un secret d'Etat. La réaction de Pékin a été immédiate. Le 25 août, par la voix de l'agence de presse officielle, la Chine a accusé les Etats-Unis "d'ingérence" dans ses affaires intérieures et a dénoncé un rapport qui propagerait des "spéculations sans fondements". Autre condamnation: celle du ministère chinois de la Défense, le 26 août. Son porte-parole, Yang Yujun, a critiqué un rapport "totalement infondé" qui "déforme gravement les faits". De son côté, le Quotidien du Peuple, organe officiel du Parti communiste, a affirmé que la Chine "ne poursuivra jamais des buts d'hégémonie ou d'expansion militaire". Le journal a renvoyé la balle dans le camp américain en dénonçant l'augmentation "continue" du budget militaire des Etats-Unis depuis treize ans. Cette passe d'armes diplomatique entre Pékin et Washington intervient après la relance difficile du dialogue militaire entre les deux pays, qui bute fréquemment sur la fourniture d'armes à Taïwan par les Etats-Unis. En janvier 2011, Robert Gates, alors secrétaire américain à la défense, avait fait le déplacement en Chine pour renforcer la coopération militaire, interrompue en 2010 par Pékin.
  7. :oops: :oops: :oops: :oops: :oops: http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2011/08/26/04016-20110826ARTFIG00511-125-niches-inefficaces-pour-un-cout-de-117milliards.php Un rapport de l'Inspection des finances, que Le Figaro s'est procuré, estime que 19% des niches sont inefficaces et coûtent à l'État 11,7 milliards d'euros. 47% sont jugées «peu efficientes». Un rapport sans concession. Pendant plus d'un an, des dizaines de hauts fonctionnaires, pilotés par l'Inspection des finances, ont analysé les niches fiscales et sociales, à la suite d'une demande de mission de François Fillon. «Le montant total des dépenses fiscales et niches sociales pèse lourdement sur les finances publiques. Leur développement peut par ailleurs affecter la lisibilité du système fiscal et social, ainsi que la juste répartition des charges publiques», écrivait alors le premier ministre. La tâche de ces hauts fonctionnaires a été titanesque, à la mesure de leur rapport de 6000 pages, que Le Figaro s'est procuré. Il existe en France 470 niches fiscales (réduisant les impôts) et 68 niches sociales (diminuant les cotisations sociales et la CSG), qui coûtent respectivement 66 et 38 milliards d'euros par an aux finances publiques. Les membres de la mission ont audité environ 70 % de ces dispositifs. Ils les ont notés de 0 (efficacité nulle) à 3 (pleinement efficiente). Verdict : 19% des niches fiscales sont inefficaces, et elles coûtent à l'État 11,7 milliards! 47% des niches sont jugées «peu efficientes», alors qu'elles grèvent les finances publiques de 28 milliards. Le constat est moins désastreux pour les niches sociales: 9% sont inefficaces, et ce pour un coût de 3,3 milliards, tandis que 27% sont peu efficientes, pour une facture de 9,5 milliards. Le Scellier peu efficace Le rapport épingle particulièrement certains dispositifs. L'abattement de 10% sur le montant des pensions et des retraites pour le calcul de l'impôt sur le revenu, par exemple, une mesure «inefficace» qui coûte 4,3 milliards. Le rapport estime que «cet abattement qui se justifiait dans les années 1970 devrait évoluer pour plusieurs motifs», notamment car «le niveau de vie des personnes âgées a désormais atteint un niveau équivalent à celui actifs». Les niches relatives aux services à la personne, qui comprennent par exemple la réduction d'impôt pour l'emploi à domicile, ne sont pas bien notées non plus. Leur facture, 6 milliards, a été multipliée par deux en 6 ans. Ces dispositifs «semblent surcalibrés par rapport à l'objectif de lutte contre le travail au noir», estime le rapport. Celui-ci ajoute que les 10 % des Français les plus riches consomment 67 % de ces niches de service à la personne. Les niches sur l'outre-mer (4,7 milliards de coût) et celles sur la Corse (400 millions de coût) sont elles aussi pointées du doigt. Le Scellier pour l'investissement locatif est lui jugé peu efficient. Par ailleurs, le rapport regrette que les niches ne soient pas régulièrement réévaluées. Il constate par exemple que la niche sur les indemnités de stage n'est plus adaptée. Elle date de 1958! En revanche, le rapport épargne la TVA à 5,5 % sur la restauration, même s'il précise qu'il faudrait vérifier la qualité des emplois créés. Le Crédit Impôt Recherche est lui considéré comme indispensable pour l'activité et l'emploi. Les allégements de charges sociales sur les bas salaires sont elles aussi jugés «très efficients». Tout comme la TVA à 2,1 % pour les médicaments remboursables. Dans son ensemble, le rapport estime que la suppression à hauteur de 10 milliards de niches les plus efficaces conduirait au bout de 10 ans à une moindre activité de 1,1 point de PIB et un emploi inférieur d'au moins 145 000 postes. Les parlementaires, qui viennent de recevoir ce rapport, s'en inspireront certainement pour proposer des mesures cet automne lors de l'examen des Budgets de l'État et de la Sécu au parlement. Le gouvernement a devancé les conclusions de la mission en supprimant certaines niches. Le crédit d'impôt sur les intérêts d'emprunt pour l'achat de la résidence principale, instauré à l'été 2007 et jugé inefficace par le rapport, a ainsi été supprimé l'an passé par Bercy.
  8. http://www.lefigaro.fr/societes/2011/08/26/04015-20110826ARTFIG00402-le-b-787-dreamliner-certifie-en-europe-et-aux-etats-unis.php autorités américaines et européennes ont certifié le long courrier de nouvelle génération de Boeing. Le premier appareil sera livré à All Nippon Airways, la compagnie de lancement, le 25 septembre à Seattle. Bon pour le service! L'Administration fédérale de l'aviation (FAA) américaine et l'Agence européenne de sécurité aérienne (EASA) ont certifié ce vendredi 26 août, le B787 Dreamliner, le long courrier de nouvelle génération de Boeing. Cela, après une campagne d'essais au cours de laquelle les B787 ont effectué 1700 décollages et accumulé 4800 heures de vol ainsi que des milliers de tests au sol dans toutes les conditions climatiques et sur tous les continents. La direction de Boeing a publié un communiqué officiel dans la soirée. Ce feu vert officiel se décline en plusieurs certificats. Deux concernent la conception du B787 qui permet aux deux agences d'affirmer que «l'avion est sûr et fiable» et le système de production qui permet «de construire des avions en toute fiabilité». Le double pari de Boeing lancer un avion qui comporte plusieurs sauts technologiques avec l'emploi massif de matériaux composites (50 % des structures primaires) et révolutionner son système de production en externalisant des parties entières de l'appareil est donc validé. Première livraison L'enjeu était de taille pour Boeing qui n'avait pas conçu de nouvel avion depuis le B777 en 1995. Mais le projet, lancé en 2004, a connu bien des vicissitudes qui se sont traduites par un retard de plus de trois ans sur le calendrier initial et la défaillance de plusieurs grands sous-traitants. Ce qui a amené Boeing à intervenir avec ses propres équipes notamment au Japon où les industriels partenaires fabriquent un tiers du fuselage (les ailes notamment) ainsi qu'en Italie. Au final, l'avionneur qui prévoyait d'externaliser jusqu'à 80% de l'appareil, aurait remis le curseur à 60%. Ce feu vert des autorités aériennes ouvre la voie à la première livraison suivie de la première mise en service de l'appareil avec des passagers. La compagnie japonaise All Nippon Airways (ANA) annonce vendredi qu'elle prendra officiellement possession de son premier Dreamliner le 25 septembre, à Seattle, berceau industriel de Boeing, et qu'une cérémonie sera organisée le jour suivant sur place. «L'avion est prêt, ANA est prête et Boeing est prêt», se réjouit la compagnie japonaise qui aurait dû recevoir son premier appareil en mai 2008, selon le calendrier initial fixé par Boeing lors du lancement du Dreamliner. ANA qui en a commandé 55 exemplaires sur un total de 851 commandés par 56 compagnies clientes, a prévu de mettre en service son B 787 Dreamliner un mois environ après la réception de l'appareil. Débuts au Japon Le premier vol commercial inaugural verra le B 787 rallier Tokyo Narita à Hong Kong. En novembre, l'appareil dessiné pour les vols long-courriers sur lesquels il promet une économie de carburant de 20% par rapport aux avions de génération précédente, fera ses débuts sur le réseau intérieur japonais en desservant Hiroshima et Okayama. En décembre, ANA lancera la première ligne commerciale entre Tokyo Haneda et Pékin puis, en janvier 2012, elle inaugurera sa première liaison internationale en Dreamliner entre Tokyo Haneda et Francfort. ANA compte sur une montée en puissance rapide de sa flotte de B 787 avec la mise en service de 14 appareils d'ici au printemps 2012 puis 10 autres en 2013. «Le B 787 jouera un rôle important dans la stratégie d'expansion internationale d'ANA qui ambitionne de devenir numéro un en Asie», précise-t-elle. De son côté, Boeing engage la montée en cadence de la production qui doit atteindre 10 B 787 par mois à partir de 2013 dont sept dans ses usines historiques d'Everett, à côté de Seattle, et trois dans un nouveau site de production construit Charleston en Caroline du Sud. Pour autant que le litige entre Boeing et l'agence indépendante chargée de préserver les droits syndicaux (NLBR) qui empêche actuellement l'ouverture du site, soit résolu.
  9. http://videos.tf1.fr/jt-13h/libye-les-rafales-francais-en-mission-d-information-6660940.html
  10. Libye : quand la France jubile, la Russie désespère http://fr.news.yahoo.com/libye-france-jubile-russie-d%C3%A9sesp%C3%A8re-mis-%C3%A0-jour-112928452.html
  11. Chacun appréciera à sa juste façon http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/08/26/97001-20110826FILWWW00298-kim-jong-il-veut-ouvrir-une-brasserie.php Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-Il envisage d'ouvrir une brasserie et des restaurants coréens en Extrême-Orient russe, indique aujourd'hui Viktor Ichaïev, représentant du président russe Dmitri Medvedev dans la région, cité par l'agence Ria Novosti. "Kim Jong-Il a dit qu'il était prêt à ouvrir ici une brasserie. Baltika (marque russe) travaille déjà (dans la région), nous avons aussi de la bière chinoise, japonaise et allemande. S'il y a en plus de la bière coréenne, qui s'y opposerait?", a déclaré M. Ichaïev, qui a accompagné le dirigeant nord-coréen durant son récent voyage en Russie. Kim Jong-Il a également manifesté de l'intérêt à l'idée d'ouvrir des restaurants de cuisine coréenne en Extrême-Orient russe, demandant même dans quelles villes il serait plus judicieux de le faire, a ajouté M. Ichaïev. Arrivé le 20 août en Extrême-Orient russe à bord de son train blindé, Kim Jong-Il, qui n'aime pas voyager en avion, a quitté hier la Russie, après s'être entretenu avec Dmitri Medvedev en Sibérie, au cours d'un sommet centré sur l'énergie et l'aide alimentaire à la Corée du Nord. Il effectuait sa troisième visite en Russie après ses déplacements de 2001 et 2002. Pour des raisons de sécurité, sa venue n'a fait l'objet d'aucune annonce officielle et le Kremlin n'a dévoilé aucun détail du programme en Russie du dirigeant nord-coréen, dont les voyages à l'étranger sont rares.
  12. J'ai du mal à imaginer une force sans un important appui logistique ou le soutien d'une base arrière proche, avant l'attaque, j'aurais bien vu l'installation discrète d'une base avancée sur la face cachée de la lune ou sur mars, quasiment hors de porté des humains, pour exploiter des ressources (helium 3, minerai,etc..), réparation des vaisseaux et réapprovisionnement en armement et énergie des vaisseaux.
  13. Allez, la flotte arrive se met orbite, les aliens font une démonstration de force en détruisant toute les bases militaires avec une attaque eclair, navire de guerre, sous marin, après ca, en roulant des mécaniques, ils demandent aux humains de se rendre en prenant pour cible toutes les ville humaines. Les informations sur la civilisation humaine auront été collectés préalablement (sondes, espion). Comment réagirait les humains en sachant qu'ils n'ont pas une chance de gagner. la bonne vieille méthode Goa'uld. Il y a de fortes chances que la plupart des nations se rendent sauf exception.
  14. La remarque de Tancrede est bonne, quel est l'objectif des extra terrestres ? l'extermination pour s'emparer de la planète ou l'esclavage des humains pour servir sous leur domination, la stratégie n'est pas la même.
  15. il y aussi les Oris de Stargate, plus ils avaient des esclaves humains sousmis au livre des origines, plus ils étaient puissant =)
  16. Cela dépend de ce qu'ils veulent, si ils veulent seulement la planète ou des esclaves ouvrier/soldats pour les aider à coloniser la galaxie comme dans tout plan d'expansion. Pour la première c'est facile, iborg a déjà fait la présentation avec un bombardement planétaire (destruction bases & villes & structures) , puis armes bactériologique / bio armement, puis envoi de bombardier, puis pour finir l'infanterie. il y a peu de chance pour que les humains puissent s'en sortir. Pour la seconde, c'est plus compliqué, c'est un projet d'investissement des Aliens pour coloniser la galaxie et ils ont intérêt à être de bons gestionnaires et éviter tout gaspillage, il leur faut des soldats et des ouvriers, il faut capturer les humains en masses sans leur faire de mal, les déporter sur une planète de camp de travail, il faut veiller à leur santé et bien les traiter pour avoir un bon rendement selon leur capacité, ils seront soumis à un conditionnement et ils devront porter un collier d'asservissement, un système de carotte/bâton pour les motiver, ils seront formés pour devenir des ouvriers ou des combattants, ils n'auront aucun moyen de se révolter contre leur maître, le niveau des effectifs doivent être maintenus pour construire les vaisseaux de guerre et exploiter les ressources pour les prochaines invasions qu'ils meneront à leur tour sous le contrôle des aliens. Dans le genre, ca me fait penser aux Chroniques de Riddick et les necromongers
  17. allez ! vous reprendrez bien un petit peu de BHL article complet: http://www.lepoint.fr/monde/libye-bhl-livre-ses-secrets-24-08-2011-1365965_24.php Libye : BHL livre ses secrets Le philosophe français dévoile les coulisses de la victoire de l'Otan et des insurgés libyens après cinq mois de combats. WANTED ! http://www.lepoint.fr/fil-info-reuters/mouammar-kadhafi-reste-introuvable-sa-tete-mise-a-prix-24-08-2011-1365974_240.php
  18. Déjà le vieux crocodile n'est toujours pas dans la marmite et on a pas encore cloué sa peau au mur, et il promet d'être particulièrement dur à digérer. :lol:
  19. zx

    Eurofighter

    http://www.dodbuzz.com/2011/08/22/is-typhoon-the-end-of-history-for-uk-aerospace/ Is Typhoon the end of history for UK aerospace? By Philip Ewing Monday, August 22nd, 2011 1:00 pm No question about it — the Brits have given the world some classic combat aircraft: The Spitfire. The Harrier. The Fairey Gannet. The Buccaneer. Their joint ventures with European partners have also been successful, including the Jaguar, the Tornado and most recently, the Eurofighter Typhoon. But the outgoing boss of UK aerospace supplier GKN warns that with the realities of the defense world today, the Typhoon could be Britain’s last fighter — and it’s only a portion British to begin with. GKN CEO Kevin Smith tells Defence Management that for all the Typhoon’s success and its futre prospects as an export fighter in India and elsewhere, the UK and Europe have nothing in the hopper. The Typhoon is the payoff of decisions made years ago, Smith argues, and unless Euro-leaders get something going now, it could be the end of the British defense aerospace industry, at least, if not all of Europe’s. Read more: http://www.dodbuzz.com/2011/08/22/is-typhoon-the-end-of-history-for-uk-aerospace/#ixzz1VwWTHkqhDoDBuzz.com En sous lien http://www.defencemanagement.com/feature_story.asp?id=17236 Typhoon: The last hurrah for the UK aerospace industry? 22 August 2011 Outgoing GKN plc Chief Executive Sir Kevin Smith tellls DMJ editor Anthony Hall what the UK aerospace industry must do to secure its future in tough economic times… With the government focusing its defence industry policy towards a drive for exports, the invitation from UKTI DSO to visit the Pall Mall offices of GKN plc to speak to CEO Sir Kevin Smith was a timely one. A business leader with over 30 years' experience in the aerospace industry, Smith has been chief executive of GKN since 2003 and a member of the government's Business Ambassador Network since its inception in 2008. In March, he announced his retirement at the end of the year, but if the interview had the tone of a valedictory, it was also spiced with some straight talking about the future needs of the UK's aerospace sector. Smith's role as a Business Ambassador and his work as a member of the government's Asia Task Force have seen him promote UK aerospace to some of the world's biggest export markets. Having seen how trade is developing internationally, DMJ begins by asking him where he believes the UK's key markets will lie in the future. "India is particularly strong for the UK," Smith reveals. "The Typhoon competition that's currently building there is important. The Middle East will continue to be strong for us and is an area we need to continue to focus on." He also points to the recent bilateral arrangements with Brazil as having the potential for some interesting developments, while in Japan, the new fighter programme involving Typhoon provides, in his considered opinion, "the best opportunity we've ever had to get equipment in there". Markets in which the UK has traditionally performed strongly will always be very important, Smith maintains, citing the work to sell Hawk into the US training requirement as an example. "North America is going to be extremely important to us. Exporting there is difficult, but building relationships where we can take British products will remain important." Growth in the market around Asia, in Smith's view, will be driven by China's development and how its neighbours see that in terms of potential threat. "I do feel that there is more growth in Asia as their economies give them the ability to spend more on defence," he says. As far as individual nations are concerned, Smith remains unconvinced that Japan will experience major market growth, save for a number of replacement programmes, but suggests that India will continue to grow strongly, again stressing the nation's importance as a UK defence customer and partner. The normal process of Indian defence procurement, he explains, requires a long-term business relationship. Initial acquisition will move into a phase of license build, where Indian firms will manufacture the technology under a license agreement. "Then you're into support and upgrades that have long-term potential for value generation for the UK and the UK defence industry." This is why maintaining these relationships, particularly in regard to the Indian fighter programme, is so vital. "If we lose it now," says Smith, "we've lost it for a long time." As regards other countries vying for business in the aerospace sector, Smith identifies North America and France, and to a lesser extent Sweden, as the UK's prime competitors, but also notes Russia's growing competitiveness, particularly in the Asian economies. UK aerospace and future competitiveness Smith describes a "lumpiness" in terms of global procurement that makes the success of Typhoon all the more important to UK defence: "It's the only product we have in that space in the market at the moment," he says, although he does point to the UK position within the Joint Strike Fighter (JSF) programme, "which is valuable and can be produced in significant volumes," as well as the Hawk. However, Smith strongly believes that what is required now is an entirely new development programme in Europe, which would have a positive long-term impact on the sector. The UK, he says, has "no aircraft that we own, develop and build". Its real strength has been in systems integration. "We also have a very good reputation for building military aircraft for various roles, but that continues to diminish. If the European governments don't order new platforms," he asserts, "there's no way that the UK industry can continue to compete at home or abroad." For Smith, the retention of the UK's industrial expertise in the aerospace sector is vital, not just in economic terms but in supporting the defence of the country. "I have worked in and around the industry for a long time, and you were always brought up as being part of the defence capability of the country, and felt very proud of being involved in that. Whenever we've been in conflict, the ability to react rapidly and support our armed forces is something that the industry has always coalesced behind and always felt a real part of what was happening with our armed forces. "I think we are responsive in the UK and can make things happen very quickly from an industrial point of view to support our armed forces," he continues. "We have some real strengths in terms of aircraft and structural manufacturing and the systems that go in them, and we can continue to develop that into new programmes." It's not all good news, however: "We're going to struggle to maintain the industry we have today and its competitiveness," he asserts. "Clearly times are very difficult; economically things are really tough, and the armed services in particular are at the front of that. When you go through a period when you have to make cuts, you have to take care of the capabilities that really matter, in terms of the defence of the UK, as well as in terms of the economic value creation that industry is responsible for – not just in terms of exports, but also the spin-offs into other sectors. In my time, for example, the spin-off from military aircraft manufacture into civil aviation has been extremely valuable to the development of that industry." What has been lost, he believes, is a principle of understanding the value of industrial capabilities in the same way as the value of the armed forces and defence capabilities are understood. Specifically linking the off-the-shelf procurement strategy to this, he suggests that such thinking is "potentially detrimental to the industry in the long term". Another priority in economically stringent times must be to maintain industry's technological base, Smith outlines. In doing so, industry retains the ability to respond and react as economic times improve and resources become available to invest in defence. "Being able to demonstrate technologies, even if you can't build them at this point...I think that's really important," he says. "Once you lose those capabilities, it's very, very difficult to rebuild." When asked how easy it would be in his opinion to raise technology in the UK back up to the highest level, Smith is less than optimistic: "I think we have lost a lot. When I worked in the Military Aircraft Division at British Aerospace in the 1990s, we were producing the two variants of the Tornado – the IDS and the ADB – in collaboration. We had Sea Harrier incorporated in production and we had the AV8 in collaboration with the US Marine Corps, which then went back into the Royal Air Force for the GR7 and the Harrier TMK10. We had the 60, 100 and 200 series Hawk and the T45 Hawk collaboration for the US Navy, and we were doing the early phases of development of Eurofighter. Then in the latter part of the 1990s, we moved into the Nimrod programme. A lot of the capability to do that has gone, and continues to disappear. We don't make a whole aircraft anymore and have probably lost that capability as a nation." While stressing that collaboration is important, and that sustaining the capability to develop advanced systems and weapons systems across Europe is key, he concedes that nationally, once the UK loses its own capability, it cannot be rebuilt: "It goes, and I think that is demonstrated by how the aerospace industry, although it still has a strong position globally, is substantially based on decisions that were made a long time ago." Once again, the Eurofighter/Typhoon provides a pertinent example. Launched in the late 80s and early 90s, it is viewed today by most of those outside the UK aerospace industry as its defining aircraft. However, this owes little to current practices, Smith explains: "The industry we have today is not a product of what's happened over the last two or five years. It's a product of what happened 10 years ago. The decisions we take or don't take now affect the ability to sustain the industry in the next 10-15 years. The Typhoon could be the last hurrah." This is why a new European aircraft programme is so important, he says. "In the US, you have the JSF Programme, which is just starting to come into production, and behind that, they have programmes that they're demonstrating technology on today, which are going to be the production programmes in 10 or 15 years' time." The concern, he says, is that the UK isn't developing a demonstration phase. "I know it's very difficult to commit to major procurement programmes at this point, but to have a long-term understanding of how to develop a defence capability and the industry to support it, and therefore what sort of technologies we should be working on today, I think a demonstration phase is important." Only through collaboration, he says, can this be achieved, adding: "I believe our collaborative homeland has been Europe." "I love the aviation industry," Smith concludes. "I feel very proud to have been a part of it and very proud that we have the second biggest aviation industry in the world, and a very strong part of that is the defence side." The civil side continues to grow, and he wants to see that continue, but "the technology development on defence and the global positioning of our industry from the defence side is hugely important". The UK, he says, should be doing absolutely everything it possibly can to make sure the core muscle of that industry continues to be supported and developed. "Guys like me have a significant role to play, but in the defence sector you can't do it without government alongside us, and from a UK point of view, we can't do it without European governments alongside us."
  20. Visiblement les négociations aux EAU n'ont pas repris contrairement à ce qu'on avait entendu, bizarre l'histoire. Ils veulent peut être une démo personnalisée comme en Libye ! :lol: :oops: je sors http://www.tacticalreport.com/view_news/UAE:_Sheikh_Mohammad_Bin_Zayed_and_the_Rafale_issue/2112 UAE: Sheikh Mohammad Bin Zayed and the Rafale issue (25 credits) Posted on: Wed, Aug 24, 2011 Crown Prince of Abu Dhabi and Deputy Supreme Commander of the UAE Armed Forces General Sheikh Mohammad Bin Zayed Al Nahyan is said to have no idea about when to expect the talks on the Rafale aircraft to resume.
  21. On va récuperer ca en nature, en petrole brut =) L'opération Harmattan a coûté près de 200 millions d'euros à la France http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20110823trib000643859/l-operation-harmattan-a-coute-pres-de-200-millions-d-euros-a-la-france.html Déjà 1 milliard de dépenses pour les « opex », pour 650 millions budgétés pour 2011. Autour de 200 millions d'euros. C'est environ l'ordre de grandeur du coût pour la France de l'opération Harmattan débutée le 19 mars en Libye, explique-t-on au ministère de la Défense. Ceci sur la base d'un mode de calcul très simple. « Le surcoût du conflit s'élevant en moyenne à 1,2 million d'euros par jour, le montant sur cinq mois approche les 190 millions [187 millions, Ndlr] », assure une source militaire. « Les munitions et les salaires des 2.000 à 2.500 soldats de l'aéronavale constituent l'essentiel de la dépense. L'enveloppe englobe aussi l'utilisation des avions Rafale ou Mirage, des hélicoptères, du porte-avions Charles-de-Gaulle jusqu'à début août, de la maintenance... Entre le 11 et le 18 août, le dispositif militaire français a assuré près de 150 sorties, dont plus de 65 % sont des missions de frappe au sol », explique un communiqué de l'état-major. À titre de comparaison, le coût de la présence française en Afghanistan est légèrement supérieur à près de 1,3 million. Les opérations en Libye n'ayant évidemment pas été prévues, le budget dévolu en 2011 aux opérations extérieures (les « opex »), de 650 millions d'euros, va être largement dépassé. « Avec l'Afghanistan et la Libye, les dépenses devraient se situer entre 950 millions et 1 milliard d'euros », dit-on au ministère de la Défense. Qui financera ce surcoût ? Mystère. Dans le passé, l'État n'avait pas hésité à combler de tels surcoûts en ponctionnant les autres ministères.
  22. Allez ! vlan! Attaque stuka en piqué :lol: http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20110823trib000644007/pour-greenspan-si-les-etats-unis-vont-mal-c-est-la-faute-de-l-europe.html L'ancien président de la Fed impute les difficultés de l'économie américaine... aux banques européennes. Il n'a pas mâché ses mots lors d'un forum à Washington : "l'euro est en train de se décomposer". L'ancien président de la banque centrale américaine (Fed) Alan Greenspan a estimé mardi à Washington que l'euro était "en train de se décomposer" et que cela expliquait les difficultés de l'économie américaine à retrouver du rythme. "L'euro est en train de se décomposer", a déclaré M. Greenspan lors d'un forum à Washington. Selon lui, les banques européennes sont en difficulté car elles détiennent des titres de dette de pays comme la Grèce. "La raison pour laquelle nous sommes si lents (à croître aux Etats-Unis) est le niveau d'incertitude" provoqué par cette situation, a-t-il estimé. M. Greenspan a présidé la Fed de 1987 à 2006. Agé de 85 ans, il a été l'un des principaux instigateurs de la déréglementation financière aux Etats-Unis ayant contribué au déclenchement de la dernière crise et a toujours rejeté les accusations des économistes pour qui la politique de taux ultrabas menée par la Fed de 2003 à 2005 porte une lourde responsabilité dans la bulle immobilière ayant précédé son éclatement. Mauvaise foi ? Alan Greenspan ne dit en revanche pas un mot sur les origines de la crise financière, qui a entraîné la crise de la dette en zone euro : les "subprimes", la faillite de Lehman Brothers ou encore l'affaire Madoff. Déjà, en 2010, à propos des subprime, il avait estimé que ce n'était pas l'accès plus facile des Américains les moins fortunés au crédit immobilier qui avait plongé les Etats-Unis dans la crise, mais la tendance de Wall Street à transformer les prêts en produits financiers opaques. Le niveau colossal de la dette américaine, dont le plafond a dû être relevé en catastrophe, et la dégradation de la note des Etats-Unis par S&P ne semble pas non plus constituer le facteur principal du ralentissement subi outre-atlantique.
  23. zx

    Ici on cause MBT ....

    il semble que c'était un peu la pagaille, un coup de clairon pour remettre de l'ordre ? http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/air-defense/actu/0201584860385-armement-terrestre-apres-trois-ans-d-absence-nexter-a-decide-de-reintegrer-le-gicat-209391.php Armement terrestre : après trois ans d'absence, Nexter a décidé de réintégrer le Gicat Le champion français de l'armement terrestre avait claqué la porte du syndicat professionnel du secteur en 2008, pour des raisons à la fois personnelles et de fond. La pression de l'armée n'est, semble-t-il, pas étrangère à la décision de le réintégrer.
  24. Séisme de 5.8 sur NYC et Washington, évacuation du Pentagone et du capitole http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/08/23/97001-20110823FILWWW00562-tremblement-de-terre-dans-l-est-des-usa.php
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