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Marché mondial ,futures acquisitions et ventes d'hélicoptères militaires
Thomas a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Hélicoptères militaires
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2008/10/23/01011-20081023FILWWW00340-helicopteres-us-contrat-repousse.php Hélicoptères US: contrat repoussé Source : AFP 23/10/2008 . La prochaine administration américaine, qui sortira des urnes le 4 novembre, devra se prononcer sur le sort d'un contrat de 15 milliards de dollars portant sur la fourniture de 141 hélicoptères de reconnaissance au Pentagone, affirme l'agence DowJones Newswires. Ce contrat avait été initialement attribué au constructeur aéronautique Boeing, mais avait été remis en jeu en 2006 après une plainte des perdants, Lockheed Martin et Sikorsky (groupe United Technologies). L'appel d'offre avait alors été jugé vicié par la Cour des comptes américaine, le GAO, exactement comme il l'a fait au printemps sur le méga-contrat des avions ravitailleurs de l'Armée de l'air américaine. -
Effectivement, les infrastructures portuaires sont à prendre en compte. La capacité hélicoptère paraît tout de même intéressante pour pouvoir doper le potentiel des remplaçants des P400.
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Oui, ce serait déjà bien. Pour les capacités du hangar, on parle souvent d'un groupe 8 Tigre + 8 NH90 mais il me semble que la capacité est de 16 NH90. Donc si on ne met que 8 NH90, on peut imaginer qu'il y ait de la place pour une douzaine d'appareils supplémentaires type Gazelle/Alouette.
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Je me suis procuré le numéro de Marines et Forces navales recommandé par Pascal (merci pour le tuyau). C'est vrai que la nouvelle gamme Gowind est alléchante. 1000 à 2500 tonnes, de 85 à 110 mètres, équipage de 30 à une soixantaine de personnes seulement, le tout avec des armements de base qui montent en gamme à mesure que la coque s'allonge (VLS notamment) et de la modularité pour toutes les versions. La marine a voulu remplacé les avisos par des Fremm, et elle n'a pas réussi. Mais au final, elle ne sera peut-être pas perdante si elle parvient à remplacer les avisos ET le P400 par des Gowind (30 hommes pour la version de base, avec spot hélo ; évidemment, il faut les hélicos qui vont bien avec). Si le concept Gowind fait ses preuves, il y a peut-être là matière à décliner une longue série en 2 ou 3 versions, qui pourrait remplacer les avisos, le P400, les Floreal plus tard, voire même les FLF à long terme (et en plus, il y a un sonar sur les versions haut de gamme).
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Embuscade à Surobi
Thomas a répondu à un(e) sujet de Shuggart dans Politique etrangère / Relations internationales
http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2008/10/20/l-otan-retourne-en-force-dans-la-vallee-afghane-d-uzbin_1108844_3216.html#ens_id=1088193 L'OTAN retourne en force dans la vallée afghane d'Uzbin La pleine lune éclaire la longue file de véhicules militaires arrêtés tous feux éteints sur la route de Jalalabad. Il est 3 heures du matin, ce samedi 18 octobre. Une dizaine de chefs de groupe ont remonté à pied la colonne pour se regrouper à l'arrière du véhicule blindé léger (VBL) du capitaine qui commande la progression des troupes de la Force internationale d'assistance à la sécurité (FIAS, sous commandement OTAN) vers la vallée d'Uzbin, située à l'est de Kaboul. Il y a deux mois, jour pour jour, dix soldats français y ont été tués et vingt et un blessés, dans un paysage de rocaille surplombé de crêtes, propice aux embuscades. L'opération "Oquab" (aigle, en persan) a été lancée à minuit, à partir de la "Fob (base opérationnelle avancée) Tora", d'où étaient partis les renforts, le 18 août. Son objectif est la reconquête de la vallée d'Uzbin, qui est en passe de devenir une base arrière des insurgés. Cette mission mobilise 605 soldats français, 150 soldats et 30 policiers afghans, une trentaine de soldats américains, une quinzaine d'hélicoptères et d'avions. A l'ouest, dans la province de Kapisa, ainsi qu'à l'ouest, dans celle de Laghman, d'autres troupes, américaines et françaises, de la FIAS et de l'armée nationale afghane (ANA) ont été mobilisées. Il s'agit de faire de la vallée d'Uzbin une nasse, de bloquer la fuite des talibans vers d'autres vallées. "Nous voulons que le sentiment d'insécurité change de camp", explique le colonel Jean-Pierre Perrin, commandant du bataillon français de la région centre (Kaboul) et chef de corps du 3e RPIMa (régiment parachutiste d'infanterie de marine), dont les troupes, avec celles du 8e RPIMa, constituent l'essentiel des forces engagées. "Je ne dispose pas des effectifs pour contrôler l'ensemble de la vallée, ajoute-t-il, mais les insurgés doivent sentir que dans la moitié sud au moins, ils ne peuvent établir un sanctuaire." L'objectif, un contrôle temporaire de zone, est à la fois modeste et important : la population afghane, explique le colonel Perrin, doit savoir qu'il n'y a pas de fatalité à la domination talibane. Cette guerre anti-insurrectionnelle en rappelle d'autres : "C'est du bouclage de zone, suivi d'un ratissage du terrain, comme en Algérie", observe un officier. Du côté insurgés, les moyens militaires sont modestes : des fusils d'assaut Kalachnikov, des lance-roquettes RPG-7, quelques mortiers et... des Motorola. C'est grâce à ces appareils radio et aux téléphones portables que les talibans se coordonnent, et l'OTAN, en interceptant leurs communications, peut évaluer les effectifs adverses. Les talibans le savent, en jouent parfois en émaillant leurs échanges de fausses informations. Les quelque 90 véhicules blindés de l'OTAN progressent difficilement dans la nuit sur une piste souvent bordée de ravins. Les drones américains Predator ont "nettoyé" la route, les ondes qu'ils émettent faisant en principe exploser les IED (engins explosifs improvisés), arme préférée des insurgés. A l'aube, les gros hélicoptères américains Chinook ont déposé 120 parachutistes français sur les crêtes, ainsi que des équipes de "Tac-P", ces spécialistes de la localisation d'objectifs qui guident les avions de combat et les hélicoptères. Les troupes afghanes, encadrées par leurs "mentors" américains, ont lancé une opération de diversion sur le village de Wakah, à une dizaine de kilomètres de là. Tout est en place. Commence alors sous le soleil une longue attente... Toute la journée, les hélicoptères français Caracal et Gazelle, ainsi que les Blackhawk américains, le drone Predator, et surtout les incroyables ressources de la guerre électronique, vont permettre de repérer des mouvements des insurgés, d'évaluer leurs effectifs dans la vallée à environ 150 combattants. Systématiquement, tout individu suspect est contrôlé, de ce porteur d'un poste radio récepteur qui peut servir à provoquer l'explosion d'un IED, à ce soi-disant policier en civil. De leur côté, les insurgés auront vite fait de prendre la mesure du déploiement militaire conséquent de l'OTAN. Par petits groupes d'une dizaine, ils vont faire mouvement, à pied ou à bord de pick-up tout-terrain. En milieu de matinée, deux mortiers français de 120 mm, disposés sur un col de la vallée d'Uzbin, vont ouvrir le feu : en moins d'une heure, ils tireront 29 obus sur un ennemi apparemment dérisoire. Les hélicoptères Apache et Blackhawk aideront les parachutistes à se désengager, quitte à essuyer un tir de roquette. Le bilan militaire : 3 morts et 3 ou 4 blessés du côté taliban, aucune perte parmi les soldats français et afghans. La leçon politique et psychologique est jugée significative : quand elle s'en donne les moyens, la FIAS peut s'imposer n'importe où, fût-ce de façon temporaire. Préparée pendant un mois et demi, cette opération militaire qui a montré la bonne coordination entre l'OTAN et l'armée afghane a permis aux troupes occidentales de contrôler, pendant une dizaine d'heures, le sud et les accès de la vallée d'Uzbin. Puis, protégées par des hélicoptères d'attaque, celles-ci ont repris le chemin de la "Fob Tora". Les soldats s'attendaient à des représailles des talibans sur le chemin du retour. Il n'en a rien été. Il n'est pas sûr cependant que le sentiment d'insécurité ait changé de camp. Laurent Zecchini http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2008/10/20/l-otan-retourne-en-force-dans-la-vallee-afghane-d-uzbin_1108844_3216.html#ens_id=1088193 -
Ben parce qu'on ne parle pas de croiseurs, mais de Super Floréal/OPV/low cost dont le rôle ne sera pas de déclencher un déluge de feu.
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Dans ces conditions, mieux vaut se passer de mortiers que de tenter de faire atterrir un BPC alors...
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Exact Fusilier, ça doit être ce fil là auquel tu penses : http://www.air-defense.net/Forum_AD/index.php?topic=7198.0 De mon côté, je ne posais pas la question dans l'hypothèse de poster quelques dizaines de blindés lourds sur le pont d'un BPC, mais plutôt dans un configuration + light et rustique (mot à la mode ;)) avec une poignée de mortiers de 120 mm qui nécessiteraient au plus de neutraliser un ou deux spots. Histoire d'avoir un petit appui feu de là où le BPC lâche ses chalands, donc assez près de la côte.
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J'ai aussi une question pour ce fil, que j'ai en tête depuis que j'ai vu cette photo : http://www.netmarine.net/bat/batral/dumont/photo16.htm Est-ce qu'il est envisageable, pour appuyer une opération amphibie ou une action vers la terre, de déployer des mortiers de 120 voir des 155 mm tractés sur le pont d'un BPC, ou est-ce que c'est techniquement impossible compte-tenu de l'absence de stabilisation qui engendrerait des tirs trop imprécis ? Est-ce que ça a déjà été testé ?
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Une question : est-il envisagé de développer une version navale du 40 mm CTA et est-ce que ça pourrait être un armement convenable (puissance) et satisfaisant (poids/coût par rapport au 76 mm) pour les OPV/Super Floreal ?
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Hypothèse de reprise Mirage Dash 9 EAU
Thomas a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
J'ai l'impression que pour le moment, c'est plus une évolution dans la formation des pilotes qu'une véritable modernisation des 2000 C RDI qui est envisagée. J'avais lu qq part qu'ils faisaient de plus en plus d'entraînements air-sol, avec canons, bombes lisses et GBU je crois. Mais il n'est pas prévu de les doter d'une capacité d'emport de pods de désignation. Dans un Air Fan récents, ils parlent de l'ajout d'un GPS et d'une visualisation supplémentaire dans le cockpit pour développer les missions air-sol. -
C'est 200 kits de guidage pour GBU-12 pris sur les stocks actuels qui doivent être mis au standard Enhanced Paveway II, selon Air & Cosmos. Ca coûterait 23 millions euros et les livraisons aux escadrons sont prévus fin 2009, dixit même source.
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Je suis aussi de cet avis, dans l'absolu. Et tant qu'à faire, je me dirais qu'un lanceur octuple Sylver serait encore mieux. Seulement, il n'y a même pas de Tetral sur les BPC (voir le diaporama sur corlobe, avec le malheureux Simbad bien visible à la poupe) ni sur les Horizon. Et tant qu'à dépenser de l'argent pour cette classe d'OPV, je me dis qu'il serait judicieux d'orienter les fonds vers des équipements et une conception modulaire, comme le Stanflex danois (qui permet d'embarquer de manière optionnelle des mines, des missiles antinavires, un VLS pour sea sparrow, des torpilles - il y a un sonar de coque de série).
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Deux silos de Mica VL, ça ferait même bcp pour un navire de cette catégorie je trouve. Par contre, un Tetral...
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100 MdcN ! C'est ce qui s'appelle charger la barque =) J'imagine qu'il faudrait toute une machinerie pour les amener des espaces de stockage vers les rampes de lancement. Ca doit prendre une place folle...
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Visiblement, Guisnel n'a pas les mêmes infos. Je ne sais qu'en penser. Se fourre-t-il le doigt dans l'oeil jusqu'au coude ? Est-ce l'EMA qui ment ? La vérité est-elle entre les deux ? Ca me rappelle le débat sur Secret Défense sur les capcités au décollage des SEM à Kandahar... "Quant aux Gazelle elles sont dotées d'un viseur Viviane qui leur permet d'observer le terrain de jour et de nuit, et de tirer le missile antichars Hot. Un vrai plus pour les troupes françaises engagées dans la Kapissa. Le problème, c'est que la Gazelle est faiblement motorisée, ce qui ne lui permet pas de dépasser une altitude de 2800 mètres, insuffisante pour naviguer dans les montagnes afghanes." http://www.lepoint.fr/actualites-monde/trois-helicopteres-francais-de-plus-a-kaboul/1648/0/280695
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Oui, le message est là. Et si on en mettait 20, de 2000-5, le message serait peut-être sur-significatif, et donc possiblement mal interprété, et donc, vu le contexte, etc, etc. Enfin, moi, c'est comme ça que je l'interprète ;)
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Je crois que la partie arrière des BPC a été construite en Pologne, et que l'assemblage et l'intégration des "éléments sensibles" s'est faite en France.
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Oui, à coup sûr. Le contrat pour la trentaine de -9 neufs et la trentaine de -9 retrofités a été signé en 1998. Les livraisons se sont poursuivies au moins jusqu'en 2003-2004, et je pense que c'était des exemplaires neufs.
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D'accord, mais si on fait de nouveaux BPC, il faudra trouver les hélicos pour aller dessus... Et si on équipe un BPC de Scalp, c'est tout de suite un gros capital ship, qui ne pourra pas évoluer sans l'escorte qui va avec, et là on va être juste compte-tenu du format prévu. Tandis qu'un navire qui n'est qu'un porte-silos, il ne sort qu'en cas de crise et colle au cul du porte-avions, en profitant de son escorte.
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Si c'est "titanesque", ça coutera tout de suite bonbon, ne serait-ce que pour les missiles. De mon côté, j'en resterais à mon petit navire low cost avec 4 cellules de silos qui s'insère dans et sous la protection du GAN. Ca ne change rien aux doctrines de la marine, ça évite d'en faire LA cible de l'ennemi et de se lancer dans une modif des BPC qui sont bien comme ça, ça coûte guère plus cher que les 64 missiles qu'il emporte. Bref, ça permet juste de doubler les capacités de frappe (16 Scalp sur chacune des 2 Fremm ASM + 64 dans le mini-frappeur + ceux (combien ?) du PA pour les Rafale). Eventuellement, si on voit un peu plus grand, on pourrait installer ces 64 silos sur une navire multirôles sur base RoRo comme le Canterbury néozélandais (pour moi, le format de marine idéal c'est 2 PA, 2 BPC, 2 TCD et 2 MRV dont l'un assurerait, sur une partie de ses missions, la relève de la Jeanne d'Arc).
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Ton idée n'a pas ressurgi avec le désarmement du Bougainville des fois ? =) Peut-être que cette idée pourrait être réexaminée en moins ambitieux mais dans le contexte d'utilisation de la liaison 16. Un navire moderne, mais ultra low-cost, qui n'aurait d'autres capacités que de pouvoir emporter 3 ou 4 Sylver A70 (Scalp ou Aster 30) et de pouvoir suivre le rythme du GAN ou d'un groupe amphibie. Un truc qui ne sortirait jamais seul en mer, et dont la protection et les capacités de désignation de cibles ne reposeraient que sur l'escorte AA et ASM habituelle du GAN. On peut rêver un peu...
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[Le monde de l'ALAT] Aviation Légère de l'Armée de Terre.
Thomas a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Hélicoptères militaires
La seconde vie des Gazelle françaises Alors que l'Aviation Légère de l'Armée de Terre (ALAT) reçoit ses premiers hélicoptères de combat Tigre, une seconde vie s'ouvre pour le parc de Gazelle français. D'ors et déjà, six Tigre ont été livrés au 5ème Régiment d'Hélicoptère de Combat, huit à l’Ecole Franco-Allemande et un à la Gamsat. En Irak Et le marché de l’occasion vient offrir une nouvelle vie aux Gazelle française. Après le don des Emirats Arabes Unis d’appareils de ce type à l’armée libanaise, l’Irak a débuté des négociations avec la France pour l’achat de plusieures dizaines de machines. La dernière chaîne de production de Gazelle neuves (Mostar) ayant été fermée depuis plusieurs années, la France ne pourrait proposer que des systèmes d’occasion. L’intérêt pour les militaires irakiens réside dans leur formation initiale réalisée sur Gazelle (type 342). Alors que certains avancent le chiffre de 50 hélicoptères Gazelle pour l'armée Irakienne, cet intérêt interviendrait dans un contexte de reprise de la coopération avec l’Irak notamment dans le domaine militaire. Le ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner avait invité, le 20 juin, une vingtaine de chefs de grandes entreprises françaises pour les inciter à réinvestir en Irak. Selon le Quai d’Orsay, les exportations françaises vers l’Irak représentent 0,7 % des importations totales irakiennes, c’est-à-dire 250 millions de dollars sur 35 milliards. Les Irakiens, qui connaissent bien les équipements militaires français (ils possédaient des ERC90, des VCT avec missiles Hot, Milan, Roland, des Mirage F1, des Alouette, des Super Frelon, des Gazelle, des Puma, des Super Puma...) sont demandeurs. La signature de protocole de coopération militaire entre Paris et Bagdad pourrait donc lever les derniers obstacles légaux. En Tunisie Par ailleurs, après plusieurs mois de négociations, la société Aerotec (dirigée par Paul Rossini avec, en appui, Jérôme Rivière, député UMP), en coopération avec la Délégation Générale pour l’Armement et Eurocopter, a signé avec la Tunisie la vente de cinq hélicoptères Gazelle (341). Ces appareils, sortis de l’Aviation légère de l'armée de terre (ALAT), seront modernisés. La prestation comprend également un important aspect de formation des pilotes. Conclu un peu comme un FMS américain, le contrat pourrait en appeler d’autres, sur des appareils similaires. A noter que l’armée de l’air tunisienne possède déjà cinq hélicoptères Gazelle. Avec cette acquisition, elle doublera la taille de sa flotte d’appareils de ce type. http://www.ttu.fr/francais/Articles/gazelled%27occasio.html Quelqu'un sait d'où viennent ces Gazelle exactement, et quelle modernisation est proposée ? -
Marine : Un troisième BPC pour remplacer la Jeanne d'Arc ?
Thomas a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
En attendant, elle va repartir pour un (petit) tour Avec l'âge, la Jeanne préfère naviguer au soleil Lors de son prochain périple, il faudra ménagerla machine. Et ne pas trop consommer. Pour sa 44e et avant-dernière campagne, la Jeanne d'Arc ne fera pas de folie. Accompagné de la frégate Georges Leygues, le navire-école quittera Brest le 9 décembre pour cinq petits mois de campagne. Pas de grandes traversées vers les Amériques en vue. Pas de Saint-Sylvestre à New York comme en 2007. Après un passage en Méditerranée, la Jeanne se contentera de faire le tour de l'océan Indien. Les marins passeront Noël et le Nouvel An en mer. On a connu plus glamour. La hausse des prix du pétrole est passée par là. Le « pacha » du navire-école, Hervé Bléjean, a dû revoir à la baisse son programme de navigation pour réduire la facture. « Nous aurons une consommation de carburant inférieure de 20 à 30 % à celle de l'an passé. » La Jeanne d'Arc est une vieille dame gourmande. Ses chaudières à vapeur consomment 45 tonnes de gazole par jour. Et encore, à condition de naviguer entre 10 et 15 noeuds et d'éviter les variations de vitesse. La suite ici : http://www.brest.maville.com/Avec-l-age-la-Jeanne-prefere-naviguer-au-soleil-/re/actudet/actu_loc-715166------_actu.html -
Arrivée de 3 Mirage 2000-5 sur l’implantation militaire française aux Emirats Arabes Unis Mercredi 1er octobre, 3 Mirage 2000-5 du Groupe de chasse " Cigognes " en provenance de la base aérienne 102 de Dijon, ainsi qu’un Boeing C 135 FR du Groupe de Ravitaillement en vol " Bretagne " de la base aérienne 125 " Charles Monier " ont décollé d’Istres à destination de la base aérienne 104 insérée dans la base émirienne d’Al Dhafra. La création, le 1er septembre 2008, de la BA 104 s’inscrit dans le cadre de la mise en place d’une implantation militaire française permanente aux Emirats Arabes Unis (IMFEAU) dont la création avait fait l’objet d’un mémorandum signé le 15 janvier 2008 par le ministre de la défense Hervé Morin à l’occasion de la visite officielle du président de la République Nicolas Sarkozy aux Emirats Arabes Unis (EAU). Cette IMFEAU comprendra une base navale de soutien, un groupement de l’armée de terre et une base aérienne. Elle concrétise le partenariat stratégique que la France a noué avec les EAU en 1995 par la signature d’accords de défense bilatéraux. Les Mirage 2000-5 français seront déployés sur la base d’Al Dhafra aux côtés des Mirage 2000-9 émiriens. http://www.defense.gouv.fr/ema/base/breves/arrivee_de_3_mirage_2000_5_sur_l_implantation_militaire_francaise_aux_emirats_arabes_unis