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Tout ce qui a été posté par ATO
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J'ai eu la même information d'un cadre de bon niveau de chez HK. Quant à la réponse, disons qu'en France, il y a un peu trop de personnes qui vivent sur leurs certitudes...
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Ce sont deux commandes différentes.
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Je n'ai jamais prétendu le contraire... L'AMX 30 n'était un char lourd que dans l'esprit nostalgique de quelques cavaliers. Pour se faire une idée du niveau de protection, le simple tir, à une portée de l'ordre de 600-800 mètres, d'obus de 20 mm d'exercice à partir d'une Gazelle canon suffit pour transformer la tourelle en passoire.
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Dynamit Nobel possède aussi dans son escarcelle des produits développés avec Rafael. Une gamme très intéressante d'ailleurs.
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Rien n'est confirmer. L'achat de MAG 58 avec les tourelleaux WASP n'a rien à voir avec le marché de remplacement de l'ANF1, ce sont deux marchés différents.
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Un dispositif de piégeage, comme sur la bonne vieille ACID 51, est considéré par les ONG bien-pensantes comme dispositif anti-relevage. De nombreux pays, politiquement correct en terme de mine, ont envoyé des milliers de mines AC de ce type à la casse alors qu'elles étaient encore, certes techniquement dépassées, toujours intéressante en terme de lutte AC.
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L'idée en soit n'est pas si mauvaise, mais le fabriquant n'existe plus. Le savoir-faire correspondant non plus d'ailleurs... L'Apilas était, en France tout du moins, considéré une arme de transition destinée à fournir aux sections d'infanterie une capacité AC accrue par rapport au LRAC de 89 en attendant l'arrivée de l'Eryx. L'arrivée de l'Eryx a envoyé l'Apilas à la casse, avec de plus une certaine réticence des tireurs à l'utiliser, le tir de l'Apilas étant plutôt "viril". Pour une fois, l'infanterie sait à peu près ce qu'elle veut. L'idée est séduisante, mais le budget commande. Il faut donc trouver la "moins" mauvaise solution qui permet de satisfaire les besoins de l'infanterie, qui pour une fois sait à peu près ce qu'elle veut, tout en restant dans l’enveloppe budgétaire. Donc, ce sera sans doute un lance-roquette, jetable ou non, pour le segment 0-600 mètres et un missile, pas deux, au-delà. Vu le prix d'un Mistral M3 (en gros trois fois le prix d'un Javelin ou d'un Spike), "on" explose le budget !! :oops: Plus sérieusement, tirer sur un char lourd avec un Mistral ou équivalent revient à frapper un peu bruyamment à la porte.
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Certes, mais cela impose aussi de se débarrasser des mines disposant de dispositif anti-relevage car pouvant être utilisées en mode anti-personnel, et cela impose aussi, et c'est un peu vicieux, de toutes mines pouvant être déclenchées par un être humain. Donc, adieu la MI AC AH sous sa forme actuelle.
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13ème DBLE : l'ordre du jour du chef de corps a été cavardié... http://www.marianne2.fr/blogsecretdefense/13eme-DBLE-l-ordre-du-jour-du-chef-de-corps-a-ete-cavardie_a55.html
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L'Afghanistan n'a pas grand chose avec cet interêt, intérêt qui ne se porte pas d'ailleurs uniquement sur le Carl-Gustav. La redéfinition de la trame antichar est (enfin) passée par là. Il n' y a pas de charge tandem au sens propre du terme sur l'Eryx, mais deux charges creuses. La première est de petite taille et a pour seul but de faire réagir les blindages réactifs (avec une masse d'explo d'une cinquantaine de grammes), la capacité de perforation se trouve dans la deuxième charge (avec une masse d'explo d'environ 2,6 kg). Une échelle de 1 à 4 ou 5 est plus raisonnable si on considère le Milan 3, avec le Milan ER on passe à une échelle de 1 à 2, mais sans prendre en compte le poste de tir et surtout le cout de la formation qui est bien plus important avec le Milan qu'avec un Javelin ou un Spike. L'infanterie voulait 600 mètres, elle a eu 600 mètres. Nous ne sommes pas les seuls à le penser.... Jetable ou pas jetable, c'est LE débat. Mais la conclusion in fine sera sans doute l'un ou l'autre, pas les deux. 100 missiles par an ?? Nos amis anglais consomment à l'entrainement une cinquantaine de missile par an, mises en condition avant projection comprises. Un principe simple : un stage de formation Milan se termine (en théorie) par un tir de missile par stagiaire, avec le Javelin, le stage se termine par le tir d'un seul missile par le premier du stage, les autres regardent. Ce sera pourtant le cas, les besoins anti-infra/bréchage/antipersonnel/etc. seront pris en compte C'est sans doute pour cela que de nombreuses unités ont ressorti ce brave vieux LRAC 89 qui disposent d'une roquette AP-AV dont les capacités antipersonnelles sont jugées plus "intéressantes" que celle de l'AT4CS.
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Embuscade à Surobi
ATO a répondu à un(e) sujet de Shuggart dans Politique etrangère / Relations internationales
La mise en batterie d'un mortier de 81 sous le feu n'a jamais été une partie de plaisir. Le chef de section a géré "au mieux", et ses décisions lui ont valu des félicitations tant françaises qu'américaines. Cela aurait-il été le cas avec un gros point noir ?? Bavure(s) française(s) ?? Source ?? -
Ici on parle uniquement que de la société Nexter
ATO a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Thales et Nexter pourraient s'allier dans les munitions http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20101115trib000572658/thales-et-nexter-pourraient-s-allier-dans-les-munitions.html -
Soit 26 lanceurs rénovés, j'en enlève deux pour les écoles, reste 24 en ligne avec une capacité d'emport de 12 roquettes, on obtient effectivement moins de deux salves. Mais, le contrat opérationnel ne comporte pas 24 lanceurs... Ce n'est pas non plus ce qu'on lui demande. N'oublions pas, les frappes de saturation pour arrêter les vagues de blindées popofs déferlant par la troué de Fulda appartiennent au passé. En plus, c'est aujourd'hui politiquement incorrect (dégâts collatéraux, etc., enfin le blabla habituel). Relire le livre blanc entre les lignes, la capacité d'entrée en premier sur un théâtre demeure, à condition de ne pas jouer un monologue. Seulement dans les rêves les plus fous de mes p'tits cos artilleurs ;)
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Grenade offensive modèle 37. La grenade qui est tirée est une AC 58 avec piège à balle, donc pas d'utilisation de cartouche de lancement sans balle.
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La galette bretonne va déposé son bilan !!
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Certes, mais ces marchés passés en 2009 portaient sur des quantités relativement faible de munitions, ce qui explique l'absence de fourniture d'arme(s) aux titulaires de ces marchés. Maintenant, comme je l'ai dit précédemment, il y a ceux qui ont compris que le client était l'armée de terre et non pas la DGA, et qui ont donc parlé au client, et ceux qui qui ne l'ont pas fait. Et puis le monde des cartouchiers est un petit monde où tout le monde se connait, et où surtout tout se sait. Il suffit d'écouter...
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Comment dit-on "ouverture de parapluie" en italien ?? Et puis, ne pas oublier que le client n'est pas la DGA, qui n'est que l'acheteuse, le client, c'est l'armée de terre. Dans ce domaine comme dans de nombreux autres domaine industriels, il est d'usage de parler au client, ne serait-ce que par politesse... La majorité des industriels du domaine petit calibre savent très bien ce qu'est un Famas. Et nombre d'entre eux, sans même avoir été auparavant fournisseur de la France, possèdent quelques Famas dans leur armurerie. Quant à la mise à disposition d'arme(s) au titulaire d'un marché, la demande de mise à disposition est à la charge du titulaire du marché, sauf si celui-ci l'a fait intégrer dans les clauses contractuelles.
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Moi aussi, j’aimerais bien que le successeur du Famas soit 100% français, mais qui est encore capable de réussir un tel projet ? Manufrance peut-être... A la mise en service du Famas, la majorité des munitions livrées par GIAT étaient avec étui laiton (en gros 70% laiton, 30% acier). Ce n'est qu'après les premiers retex, et aussi avec l'arrivée à maturité (les premières livraisons ont elles aussi générées quelques soucis...) du processus de fabrication des étuis acier que la proportion a été inversé pour finir avec uniquement des étuis acier. Par contre, je ne suis pas entièrement en accord avec votre analyse sur les origines possibles des problèmes actuels. Certes, le choix de l'acier est lié à la chambre, mais le choix d'une chambre cannelée est lié au mode de fonctionnement de l'arme car comme vous l'expliquer très bien un peu plus loin, la pression en fin de mouvement arrière n'est pas suffisante pour permettre l'extraction de l'étui si celui-ci colle dans la chambre. C'est un peu le serpent qui se mord la queue... Petite rectification. Les premiers accidents n'ont pas eu lieu avec les "fameuses" F3, mais avec des F5. Et si on remonte un peu le temps, les premiers étuis laiton GIAT rencontraient aussi le même souci, ce qui a conduit en partie à l'étui acier, mais aussi à une sur-spécification des étuis laitons que continuait de fabriquer GIAT. Cette sur-spécification se traduisait par l'utilisation d'un laiton de meilleur qualité que celui utilisé par ADCOM (et par les autres fabriquants, ceci dit en passant), mais surtout par une augmentation de l'épaisseur de l'étui et des tolérances beaucoup plus serrées que le standard. Il n'y a pas de fumée sans feu... A l'époque de la mise au point et de la mise en service du Famas, il n'y avait pas de standard OTAN pour les 5.56. Le standard OTAN était à ce moment là le 7,62x51. Depuis, dans le domaine des FA, à l’exception de la cartouche, il n'y a aucun standard OTAN validé. L'EMAT a fait le choix d'un achat sur étagère, à condition bien sur qu'il y ait quelque chose sur les étagères des prétendants, car si certains des concurrents potentiels ont une belle vitrine, leurs étagères sont parfois couvertes de poussière... Quant au choix d'une arme "française", ce sera une décision politique qui comblera surement l'armée de terre suivant le bon vieux principe : "Content, pas content, content quand même !!" Non, les problèmes existent avec toutes les sources actuelles d'approvisionnement. C'est aussi la munition du Famas Félin. Prions... On peut difficilement faire plus court comme résumé des problèmes actuels ;) . Une solution en attendant la relève ?? More majorum !!
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Sissi, il y a du monde qui gratte à la porte, et plus que vous ne pensez. Les commandes de munitions au niveau occidental (hors US) sont à la baisse, le marché français devient donc de plus en plus attractif même avec la problématique Famas dans la balance. Et puis, arriver à se positionner comme fournisseur unique de la France n'est financièrement pas inintéressant. La marine n'a pas acheté de cartouches de 5,56 depuis plusieurs années... Quant au prix des munitions suisse, je te renvoie à mon message précédent. Pour info, lors de l'appel d'offre des "fameuses" F3 (remporté par ADCOM), RUAG proposait un prix supérieure à celui d'ADCOM qui tournait autour de 0,22 € (avec la TVA). Turlututu !! ;) Le Famas doit s'aborder comme un système d'arme à part entière, donc comme une arme et sa munition, chose qui a été malheureusement perdu de vue ces dernières années. A l'époque de sa mise en service, qui aurait pu parier sur les bouleversements tant politique qu'économique que nous avons vécu ces trente dernières années ? Et puis, discourir sur les erreurs du passé n'a de sens qui cela permet de faire avancer le schmilblick... On peut aussi changer d'infanterie, en espérant que la suivante saura ce qu'elle veut...
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Serge donne un ordre d'idée très approchant. L'étui acier français est laqué et verni. Plus facile ? L'acier est beaucoup moins ductile que le laiton, ce qui impose entre chaque phase d'emboutissage des traitements thermiques du type recuit pour conserver les qualités de l'acier, qualités qui doivent être conservé avec le Famas car l'étui participe à l'étanchéité. Les étuis acier de l'est n'ont pas les mêmes qualités, car étant destiné à des armes n'ayant pas les contraintes du Famas, ils ne subissent pas le même nombre de phases de fabrication. Les hangars de Cusset sont vides. RUAG a vendu en 2009 des 5,56 à l'armée de terre, avec un prix supérieur de 60%. Certes, les quantités étaient relativement faibles (quelques millions), mais quand même, ton prix est étonnant. Quant au prix des dernières fabrications GIAT, 0,50€ correspond au prix de l'époque. Si on actualise, il est raisonnable d'amener le prix unitaire autour de 0,90 voir 1€.
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Au sortir de la guerre froide, la France disposait, dans certaines catégories de munitions, de stocks colossaux dont certains remontait à l'époque du plan Marschal. Certaines de ces munitions continuent d'être utilisées, car elles correspondent encore au besoin. Tout dépend de la qualité de la fabrication et des conditions de stockage. Vous avez résumé en une ligne la problématique actuelle du Famas. Etape suivante, trouver un fabriquant de munitions "digestible"...
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La combustion des propulseurs des roquettes M26, et donc aussi leur destruction, dégage sous forme gazeuse des produits fort sympathique pour l'environnement tel que l'oxyde nitrique, l'acide chlorhydrique ou le chlorure d'hydrogène.
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Ce dont vous faites état au travers de ces rapports du sénat concerne la roquette qui aurait du, à l'origine, succéder à la roquette M26, et correspondant au programme américain "extended range rocket MLRS" . Cette roquette, aussi désignée M30, n'a jamais équipé l'armée de terre. Le stock de 22 000 roquettes étant donc uniquement constitué de M26, nous en revenons à mes prix... ;) Certes, mais depuis le découpage a changé, et les munitions de l'armée de Terre ne sont plus, comme je l'écrivais précédemment, uniquement achetées sur le budget terre (P178) mais aussi sur le P146 (équipement des forces). De plus, vos chiffres sont ceux d'une époque où l'armée de terre possédait des stocks conséquents, car issue de la guerre froide, et correspondant pour partie à des systèmes d'armes qui ont aujourd'hui été retiré du service (AMX 30, Roland, etc..) mais qui étaient encore à cette époque "en première ligne". Ceci avait donc un impact sur les acquisitions de munitions. Depuis, les temps ont changé... Prenez le prix fournit par philippe, soit en gros 53 000€ en 2002 (avec une petite inconnue dès le départ, ce prix est-il HT ou bien TTC ?). Ajoutez l’inflation, sans oublier de prendre en compte les hausses parfois exponentielles sur les différentes matières premières et vous aurez un ordre d'idée du prix d'une roquette à tête unitaire. ;) Pour le reste, je ne suis pas du domaine.
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VDAT : Volontaire De l'Armée de Terre. Bienvenue quand même.
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Le centre de recrutement de l'AdT en corse victime d'un attentat
ATO a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Divers
Peut-être tout simplement une lettre de rappel pour le paiement de l'impôt révolutionnaire...