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Serge

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Tout ce qui a été posté par Serge

  1. Ici, le plus important, c'est d'avoir le lanceur. Dès que celui-ci sera en service, les dotations en munitions évolueront au grès des besoins.
  2. Que l'arrête de vouloir être le gendarme du monde et ce sera pas mal.
  3. Oui mais là, il n'y a pas de renouvellement à faire. On a pas de stock
  4. L'introduction de munitions caseless est intéressantes en cela que l'on gagne du poids. Pour le fantassin, ce n'est pas rien. En revanche, faire un tel saut est presque impossible car il faut réunir les conditions suivantes : - adopter une arme compatible, - passer d'un stock classique à un stock caseless, - trouver des fournisseurs pour ces munitions (plusieurs si possible), - pour lancer des productions, il faut pour le fabriquant avoir plusieurs clients. Si tu ne résouds pas les trois derniers points, tu ne peux voir de changement. Et pour rappel, quitter le 5,56 pour les US couterait 3 milliards de $. C'est dire.
  5. En effet. Ces histoires d'ambidextre, c'est du détail. Que l'on fasse but et après, on en reparle. Le franchissement de porte ne permet pas forcément d'appui. Enfin, il pose plus le problème de ce que l'on cherche à conquérir. Les pièces ou les portes. Moi, je privilégie la deuxième option.
  6. La puissance d'un pays se mesure à la puissance de ses entreprises. Le crowdfunding est un des outils pour améliorer le taux de création d'entreprises mais aussi leur durée de vie moyenne. Article intéressant sur deux points : http://m.nextinpact.com/news/87652-arnaud-montebourg-veut-faire-paris-capitale-crowdfunding.htm 1- L'argument de la limite de 1000€ est l'idée selon laquelle ce serait une protection contre la perte de l'investissement initiale. C'est intéressant car ceux la même qui imposent cette "protection" de l'investisseur sont ceux qui veulent taxer le capital autant que le travail. Or, comme ils le rappellent eux même, le propre du capital est d'être risqué. Donc, il ne peut en aucune façon être taxé comme le travail. Le travail n'est lui pas risqué par définition. 2- L'avantage comparatif. Le ministre propose une harmonisation européenne pour que les structures de crowdfunding françaises bénéficient de leur "avantage comparatif" (avantage qu'il faudrait déjà prouver; mais bon...). Or, s'il y a harmonisation, par définition il y a unicité d'environnement. Donc, il n'y aura plus d'avantage. Et puis, je pense que les britanniques vont rires sur l'avantage français dans ce domaine. En conclusion, c'est du "grand n'importe quoi". Ces gens ne comprennent pas ce qu'ils disent.
  7. Il me semble qu'il y a un truc dans ce genre pour le marché US. Sans compter le wifi qui va écraser la 4G.
  8. Fait gaffe, tu écris des trucs de libéraux. L'état ne peut investir en productivité. Il ne produit rien. Ce sont les entreprises et les citoyen qui produisent. Et c'est grâce à cela qu'ils paient les impôts d'ailleurs. Et il aurait dit quoi l'état allemand? Tu aurais des textes où il dit ce genre de truc.
  9. Serge

    VBCI

    Les Stryker font ce pour quoi ils ont été choisis. Pour les critiques, il faut voir qu'il fut un changement culturel majeur puisque qu'aucun blindé de combat n'était à roue chez les américains.
  10. Serge

    VBCI

    Le seul facteur propre au Stryker est le nombre de personnels portés. Tout le reste est partagé avec les unités sur Bradley.
  11. L'USMC lance un gros programme de modernisation de ses LAV. Il semble donc qu'il n'ait pas d'effet de l'ACV-1.1 sur les LAV.
  12. Serge

    VBCI

    Pas besoin de contre-parties à moins que ce ne soit gratuit.
  13. Deux candidats sont en course pour moderniser une partie des AAV-7A1.
  14. C'est la même chose dans tous les pays. Le niveau bas d'un salaire au sein d'un pays n'est pas une anomalie. Cela existe partout. On est tous le pauvre et le riche d'un autre. La seul question qui importe, c'est la mobilité salariale et la Suisse a plus d'atouts que la France sur ce point. Notamment grâce à l'absence du salaire minimum. Les emplois à bas revenus sont connus. Ceux qui se portent dessus le savent. Tout le monde sait qu'être ingénieur nucléaire rapporte plus que coiffeur, sauf que tout le monde n'a pas la capacité à se placer sur les créneaux les plus lucratifs. De même que tout le monde ne peut être Zlatan', pourtant, il y a des candidats. Ce qui compte donc, c'est que notre coiffeur soit dans un environnement économique, normatif, fiscale.... qui lui laisse les possibilités de se lancer sur une opportunité qu'il perçoit. C'est à dire qu'il ne doit pas subir de frein (sinon celui de la concurrence) pour prendre un risque (monter son salon, faire une formation, regrouper ses économies avec un associé...). Là aussi, c'est comme dans tous les pays. En France, si tu regroupes les catégories A, B et C de chômeurs, tu as environ 6 millions de personnes pour une population active de 28 millions. Ça ne fait pas 11%. En fait, c'est tout le contraire. Une rémunération forcée de 4000CHF aurait exclue du marché tout ceux qui quitteraient l'école sans formation. C'est ce qui se passe en France. Pour voir comment ça marche, il faut introduire un acteur essentiel : l'employeur. Quand celui-ci propose un emploi dans un droit du travail à salaire minimal imposé, il compare les candidats qui sont en compétition entre eux. Ceux qui n'ont aucune formation sont éjectés sans la moindre hésitation. Les seuls dossiers étudiés (comprendre "ouverts") seront ceux des candidats qui auront suivi des formations. Entre un gars de 18 ans qui n'a rien et celui de 20 ans qui a fait deux ans d'apprentissage même avec une rémunération basse (et surtout celui-là, car il démontre sa volonté de s'en sortir, d'être compétent.), le choix est vite fait. Surtout que lorsque l'on est jeune, on peut vivre chez ses parents. La rémunération n'est pas critique. C'est pour cela que, quand un SMIC (ou SMIG) est à un taux supérieur à celui du marché, il y a création de chômage. Ce n'est pas une vue de l'esprit. Le drame est donc pour ceux qui n'ont aucune formation, ne sont pas productifs, n'ont rien à monnayer et ne peuvent se voir proposer un contrat de travail avec un salaire plus bas prenant en compte leur retard. Ces gens subissent une barrière à l'entrée sur le marché du travail. Et si tu rajoutes les rigidités au licenciement, ils ne peuvent même pas faire leurs preuves. Ils n'ont aucune chance car le point crucial pour eux n'est pas de travailler mais de trouver leur premier travail pour faire leurs preuves. Si en France, le niveau minimum de salaire n'était pas trop haut, il n'y aurait pas tout ces mécanismes de baisse de charges. Surtout qu'en France, il n'est pas possible de licencier aussi facilement qu'en Suisse. Ça ne se fait pas en 24h.
  15. Je ne vois pas dans cet article où est le problème.
  16. ??? Parcequ'il reste toute sa vie en dessous de ce seuil ? C'est étrange. Très étrange. Le salaire est un revenu qui augmente avec le temps. En France, la progression moyenne du revenu le long de la vie professionnelle va de 80% du revenu moyen en debut à 115% en fin de vie professionnelle. Le salaire moyens étant d'environ 1800€. Pour le chômage, quand on a 4% de chômeurs cela signifie que l'on touche le taux naturelle voir le frictionnelle. Donc les problèmes de vies de chômeurs en Suisse ne sont pas comme en France où on est vers les 12%. Pour ce qui est de l'argument du "on peut pas vivre avec", il faut voir que l'introduction d'un salaire minimal est cause de chômage pour les jeunes et les non-qualifiés. C'est ce qui se passe en France. Donc le choix est simple, ou on accepte de démarrer bas et de progresser comme tout le monde, ou on augmente le nombre de chômeurs qui ne peuvent trouver du travail par manque de productivité. De mon côté, je sais quoi choisir. Cette votation est simplement la validation par les citoyens suisses de la situation qui existe aujourd'hui. Quand on voit la différence de niveau de vie pour vos pauvres comparé à ceux de France, on peut se dire que votre environnement est autrement meilleurs que le notre. Les manque de revenus dont tu parles ne touchent que 10% de la population. En France par exemple, 50% des contribuables ne payent pas l'impôt sur le revenu. Donc ce n'est pas insurmontable. Enfin, corriges moi si je me trompe mais cette votation fut lancée pour s'opposer à celle contre le contrôle de l'entrée des ressortissants étrangers. L'argument étant pour les socialistes et écologistes de dire :" il faut laisser entrer les étrangers. Ce n'est pas un danger pour les suisses car pour faire face à la pression à la baisse des salaires, on peut mettre en place un salaire minimum."
  17. Quand un marché est libéralisé, il y a les même investissements. Tu n'as pas de changement sur ce point. La différence se fait vis à vis de la recherche du client et de sa conservation. C'est à dire que sur un marché libéralisé (vraiment j'entends), le mécanisme de développement se fait sur le seul arbitrage du marché (confrontation de l'offre et de la demande.). Il n'y a même plus besoin de réglementation ou sinon seulement d'une réglementation minimale (notion de déréglementation). En exemple, on a le droit du travail suisse qui compte au total 200 textes fédéraux. Ici, il ne faut pas confondre avec la dérégulation. La dérégulation n'existe pas car si l'état se retire de la fonction de régulateur qu'il s'était arrogé, le marché est un mécanisme autonome de régulation. Il pourvoit aux arbitrages sur les prix, les volumes, les natures et modalités des échanges. Une fois ceci posé, un marché libéral a deux grandes caractéristiques par rapport à ce que l'on connaît. 1) Personne ne donne d'objectif collectif. En revanche, les entreprises font des offres et les clients sélectionnent celles qui sont les meilleurs pour eux en les confrontant à la valeur marginale subjective. Donc, si la 4G est un four, il y aura trop peu de clients pour la développer; elle va mourir. Si c'est utile, elle va se développer. 2) Il n'y a pas de barrière à l'accès à ce marché. C'est à dire que ceux qui veulent être dessus le peuvent. À eux de démontrer leur efficacité. Ces deux éléments transforment profondément la structure du marché, ici les télécom. Actuellement, pour avoir une licence d'exploitation, un opérateur doit tenir des objectifs de couverture. S'il veut faire du 4G, il lui est imposé de couvrir 95% du territoire. S'il ne tient pas cet objectif, il peut être pénalisé par l'autorité de régulation. En marché libéral, ce sont les clients qui arbitrent. Si un opérateur ne veut s'implanter que sur certains territoires, il peut le faire. Le problème est que cela doit correspondre au besoin du client. Dans les faits, les opérateurs vont développer eux-même les réseaux. Leur but étant de démontrer que leur couverture est la plus efficace. Ils captent les clients et surtout : ils les gardent. Après, il y a les marges du réseau. C'est à dire les endroits où il n'est pas économiquement rentable de s'implanter. Un hameau isolé de deux familles, tirer de la fibre est à fonds perdu. Les opérateurs vont donc avoir tendance à rester sur les villes et les axes de communications. C'est là que cela devient intéressant. En effet, certains vont dire "c'est dégueulasse. Il y en a que pour le profit." Cette marge est un problème. Or, un problème est pour un entrepreneur toujours une solution. Et tu auras toujours des entreprises qui vont se créer pour palier à ces trous. Elles vont ce tourner vers ceux qui sont isolés pour leur offrir une liaison mais avec une solution adaptée qu'un grand groupe n'a pas trouvé. Le marché de type libéral est ici le plus efficace car il n'y a pas de barrière à l'entrée la concurrence étant libre. Pour résumer, en cas de marché complètement libéralisé, il y aurait des déploiements de réseaux mais avec des méthodes plus nombreuses pour, à chaque fois, trouver le meilleur rendement d'infrastructure. On ne verrait pas comme en France des réseaux lourds se déployer partout car le gourvernement l'imposerait. On peut comparer cela à un réseau routier. Est-il nécessaire de remplacer les routes communales par des trois voies ? Il me semble que non, et ce serait un gouffre financier. Comme le rappelle Draken, on n'a pas besoin de très haut débit sur la totalité du réseau. De plus, la fibre optique ne peut que se déployer dans le temps. C'est une certitude. Il est même probable qu'il ne reste à terme que de la fibre pour tout ce qui est des communication tellement le débit est élevé. En revanche, il ne faut surtout pas forcer ce changement car cela coûte très cher aux opérateurs. Si Bouygues est mal, c'est à cause du coût exorbitant du réseau qu'on lui a imposé de déployer. Et les clients ne sont pas très nombreux à en vouloir. Après, il y aurait beaucoup de choses à dire sur ces histoires de réseaux. C'est rien d'autre que du flan politique car personne ne peut prévoir la nature des pratiques et des technologies futurs.Tous les discours sur le soi disant retard en fibre ou en 4G, c'est du pipeau. Cela ne recoupe aucune réalité économique. La 4G est déjà dépassée et peut être décapitée très vite par les concurrents.
  18. Ce qui compte en effet, c'est le besoin du client.
  19. Pour ce qui est du refus de l'Armee, en effet, ce n'est pas crédible. Dire non quand on a pas le pouvoir de l'argent ne mène à rien et serait contre-productif. Les événements de la gendarmerie en 2000 furent un désastre pour cette institution. En revanche, une démission des grands chefs aurait de la classe, même à quelques mois de la retraite. Ce genre d'action a du sens. Sinon, il y a le relais des journalistes qui est bon en ce moment. L'armée a un bonne quote en ce moment. Il ne faut pas la griller par des réflexes près pubères. Bienvenue en politique.
  20. La Suisse n'est pas prête d'être une république bananière. En Europe, elle a même de la marge beaucoup. Le vote de lois rétroactives en revanche n'est pas une bonne chose. C'est l'insécurité juridique assurée. On sait où ça commence, non là où ça fini. À moins qu'elle soit au bénéfice des justiciable mais il y en a peu. Sinon, une très bonne nouvelle venant de Suisse : http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2014/05/18/20002-20140518ARTFIG00085-les-suisses-refusent-la-creation-d-un-salaire-minimum.php
  21. Oui. Mais sur la scène internationale, ce serait un message de réarmement donc de préparation de guerre.
  22. Donc le scénario qui n'aura pas lieu et sur lequel il ne faut rien construire.
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