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Tout ce qui a été posté par Serge
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Iveco sera comme toujours présent: http://forcesoperations.com/2014/06/12/iveco-en-force-pendant-eurosatory/ Je serais content de voir un SuperAV version USMC en partenariat avec BAE. Rheinmetall sera là aussi avec toute sa gamme. Il y aura un Kodiac suédois et un SPz Puma de série. Pour préparer la philo:http://nicomaque.com/2014/06/10/on-en-parle/
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En effet, et les 3x14 milliards ne sont pas définis. Ça fait juste plus de 6 mois que l'on ne sait pas. Mais, on peut se rassurer. Avec la chasse aux fraudeurs, ça va changer. Des types que l'on a jamais attrapé, maintenant, on les aura.
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Aucune banque universelle n'a jamais déclenché de crise économique. Ce sont les banques d'investissement qui ont provoqué des cracks.
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L'ÉNA n'est, ontologiquement, pas la référence en économie. La presque totalité des hommes politiques en est issue. Ça se voit. De même, on peut évoquer Jacques Généreux du Front de Gauche qui est prof d'économie. Quand on sait ce qu'il propose sur l'€, il y a un problème. Un gros problème même.
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Il ne faut surtout pas faire cela. Ce serait un désastre comme fut un désastre l'action de certains gendarmes en 2000. Les armées doivent rester neutres dans leur présentation. C'est un gage de puissance. En revanche, ce qu'il est possible de faire, c'est une démission simultanée. Ça ce serait efficace. Cela le bloquerait pas la machine et les armées garderaient leur respectabilité. Elles en gagneraient même.
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Car c'est l'Eryx qui fut le successeur du LRAC-89.
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De même, l'origine de l'employeur ne m'intéresse pas. Les actes, les décisions sont autrement plus importants. Je viens de lire son article dans l'Opinion. Il n'est pas un indice de quoi que ce soit. Elle montre que la situation est catastrophe. Ça, on est nombreux à en être convaincus. Maintenant, il n'y a aucune proposition dans ledit article. Sans cela, comment peser la pertinence d'une analyse, d'une méthodologie. Quand je voix tous ces libéraux qui sont des forcenés des méthodes japonaises, il y a de quoi s'inquiéter. Bien sur, être décrit unanimement comme libéral et être chronique dans l'Opinion, c'est un bon signe. Mais un signe ne produit pas d'effet, les décisions, oui.
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Les banques centrales n'ont pas toujours existé dans l'histoire économique. Elles sont même de création récente en fait. À noter que l'instabilité des taux et de la création monétaire n'existe aux États-Unis que depuis la création de la FED qui unifia le $. Avant, les taux étaient assez constants, sans à coups. Cela se faisait par le simple arbitrage des marchés. Depuis, il n'y a eu que des crises.
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[Blindé] Programme Marine Personnal Carrier, maintenant ACV-1.1
Serge a répondu à un(e) sujet de Serge dans Etats-Unis
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Les japonnais se rapprocheraient en ce moment des allemands pour les futurs programmes blindés.
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Les programmes blindés britanniques des années 90: http://www.thinkdefence.co.uk/2014/06/story-fres-nineties/ Tout sur le canon de 45mm, le Vextra, le Boxer...
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[Blindés Sud-Africains] la gamme s'élargit
Serge a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Afrique / Proche Orient
Une doc sur la version 6x6 BPV: http://www.baesystems.com/cs/groups/public/documents/document/mdaw/mtgz/~edisp/baes_159857.pdf -
Le premier argument contre la séparation des activités de dépôt et d'investissement est simple : ce n'est pas le sujet car les effondrements financiers n'ont jamais été le fait des banques universelles. Pour le reste des arguments, comme souvent, il faut aller chez Acrithene : http://acrithene.net/2013/02/04/la-confusion-entre-banque-universelle-et-too-big-to-fail/ Ce penseur doit être prudent car certains libéraux réfutent l'idée même de l'existence de banque centrale.
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Les Chicago Boys de M. Friedmann sont de libéraux. Rien de plus. Ils sont monétaristes dans leur méthodologie et ont influencé R. Reagan et le Chili depuis Pinochet. C'est eux qui ont influencé la mise en place d'une capitalisation des retraites chiliennes qui aujourd'hui se portent très bien. Pour donner une idée, Hayek, de l'école Autrichienne, considérait qu'après Keynes les écrits les plus dangereux étaient ceux de Friedmann. Pour lui, agir sur les taux pour obtenir un effet économique est néfaste sur le temps long. On le voit très bien au quotien depuis 2000. Si par voie législative, tu introduis des durées minimales d'investissement de quelque durée que ce soit, que ce soit par blocage pur des capitaux ou par une fiscalité variant selon la durée d'investissement, tu introduis alors des rigidités. Cela signifie que tu changes les arbitrages de ceux qui investissent. Il y a alors deux effets ici : 1- les choix des investisseurs von se porter vers les secteurs "défensifs", ceux qui sont stables. Les autres secteurs plus instables vont voir diminuer les capitaux mis à leur disposition. 2- la rigidité augmente le risque pour le propriétaire des capitaux. C'est à dire qu'il va demander des rendements supérieurs en contre partie du blocage de ses fonds. En effet, rien ne dit que quelques jours après son investissement sa propre situation ne change pas et qu'il n'ai pas un besoin urgent de reprendre son argent pour lui. Il faut donc que les capitaux soient libres d'entrer et de sortir sinon les entreprises vont devoir les rémunérer à des taux supérieurs ce qui peut les asphyxier ou les forcer à licencier pour dégager des marges supérieurs. Toutes choses égales par ailleurs, moins il y a de freins, plus il y a de capitaux et à des prix abordables. Si, si. J'ai très bien compris ce que signifie 15% d'épargne. C'est toi qui ne comprend pas qu'au delà du volume important que cela représente, celui-ci n'est pas disponible. Ce n'est pas un tas de liquidité dans un coffre. Il est intégré dans le capital productif, dans les chaînes de production ; ce sont donc des emplois. Orienter cette épargne vers le remboursement de la dette est criminel à double titre. Il assèche la disponibilité du capital pour l'investissement et il paupérise l'épargnant. Etrangement, tu ne te poses même pas la question de savoir pourquoi les individus épargnent 15% de leurs revenus. Tu n'es pas capable de comprendre que c'est un choix lucide au regard de la situation économique du pays. Ils ont très bien compris que l'état providence est terminé et qu'il va falloir rembourser. Ils sont prévoyants et ne veulent pas mourir de faim, perdre ce qu'ils ont. Mais bien sûr, ça, ça t'a échappé. Quand on a un président de la république qui annonce que la crise est finie depuis deux ans et qu'autour d'eux ils voient de plus en plus de chômeurs, ils comprennent très bien ce qui se passe. Les individus sont rationnels. Et ceux qui veulent réduire l'épargne des français creusent leurs tombes. Mon exemple ne porte pas sur les bulles mais sur la différence de vitesse de réalisation entre les anticipations négatives et positives. Il faut juste lire. Et les bulles sont formées par des effets d'aubaines législatives grâce à ton super chef d'orchestre que l'on appelle l'état.
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Ces tourelles sont fiables. Il n'y a aucun problème là dessus. En revanche, elles ont toujours les même limites vis à vis du chef tactique dans le véhicule. Pour le poids des tourelles téléopérées, il faut compter au minimum 1400kg pour du 30mm. Jusqu'à 2,5t. Le tourelle T40 peut monter à 7t selon le blindage. La tourelle téléopérée la plus légère en 25mm est la TRT sud-africaine.
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Je suis tout à fait d'accord avec deux remarques : - il est pour moi hors de question d'employer des recettes fiscales au profit d'une entreprise. Il peut y avoir des exceptions mais elles sont rares et relèvent de domaines plutôt militaires car le besoin d'autonomie sur ce point prévaut. Et la conduite d'une guerre provoque des mutations dans les rapports inter étatiques qui ne permettent pas la pratique d'échanges libres entre les agents économiques. - la prise de participation par l'état est dangereuse. Pour qu'elle ai une portée, il faut que ce soit au minimum un bloc de contrôle. Or, l'état est un propriétaire particulier : Sa logique ( d'acteur juridique immortel mais de composition humaine temporaire) est politique, non pas économique. C'est cette différence qui motive pour moi le non engagement de l'état dans les affaires d'industriels. Donc, la mise en avant de la pratique de la faillite comme mécanisme régulateur du malinvestissement n'interdit pas l'action publique. Mais celle-ci serait limitée strictement à la protection des biens des individus comme dans le cas Dinkic. Il n'y aurait pas de prise de participation. Je ne suis pas contre un fonds stratégique mais il ne servirait pas à cela. Et je le redis. Le plus compliqué est la transition. Aussi, si faillite il y a, ce sera dur un moment mais les entreprises réagiront très vites. En deux ans, le gros du problème sera nettoyé mais ce qui compte, c'est le long terme. De plus, il fait rajouter qu'il est rare qu'une faillite se résume à une fermeture et clefs sous la porte. Je vois deux cas : - les entreprises industrielles, agricoles ou commerciales. Quand elles font faillites, elles ont toujours des choses qui intéressent un concurrent. Donc, en fait, elles sont en partie rachetée. Il n'y a donc pas perte à 100% des compétences, de la capacité de production et du réseau de distribution. - les établissements de crédit. Eux, s'ils font faillites, c'est que leur comptes sont pourris. Et il n'y a pas le choix, il faut détruire tous les crédits. Sans cette action, il ne peut y avoir la confiance nécessaire dans la comptabilité de son interlocuteur. Cela n'interdit pas de reprendre un réseau de distribution (les agences et le personnel). Là aussi des concurrents vont chercher à en bénéficier pour se déployer si ce n'est pas déjà fait. Quand Sapir propose une séparation banque d'investissement et banque de dépôt, c'est parce que son système ne résout rien. Et il le sait, c'est pour cela qu'il est obligé de cloisonner. En plus, idéologiquement, cela permet de dénoncer la finance folle ultra-libérale débridée prédatrice et autres pipeaux. Ça fait bien à l'antenne. Bien sûr, il ne présente pas les défauts inhérents à ce cloisonnement.
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NON. Ça ne donne aucune idée de ce que l'on peut récupérer car on ne peut pas le récupérer. C'est simple. C'est pas possible. Ça n'existe pas. C'est de la pensée magique de tes neurosciences. Ces 15% ne sont pas une liasse de billets empilés dans un coffre. Ce sont des capitaux actifs placés dans des entreprises. Si tu augmentes les taux minimums, tu provoques immédiatement le retrait d'une partie de ces capitaux. En d'autre termes, tu détruis l'appareil productif. Ce n'est donc pas possible. Avoir 50€ sur son compte bancaire c'est avoir un droit de tirage de 50€ auprès d'une banque. Ce n'est pas avoir 50€ sur son compte bancaire. En effet, un pourcentage est détenu par la banque en fonds propre et une partie dans la banque centrale, le reste est placé sous forme d'investissement sur le globe. Quand tu seras capable de ressortir mes interventions où j'énumère les causes de la faiblesse capitalistique de l'économie française, tu pourras parler d'idéologie. Retournes ainsi voir ce que j'écrivais sur Alstom. Parler d'idéologie n'est qu'une manœuvre dilatoire. Un dénigrement de cours de récréation. Parce qu'il est évident que celui qui parle d'idéologie chez autruit serait forcément non idéologue lui même. Et les neurosciences, elles ont démontré quoi au fait? Que l'Homme n'est pas rationnel. Donc il faudrait laisser ces décisions à d'autres hommes ? Et eux seraient rationnels bien sûr. Tes neurosciences viennent donc à cet instant de démontrer ton irrationalité. Ce que l'on nomme aussi "idéologie". Et si les dépôts bancaires n'alimentent pas l'économie c'est peut-être que les banquiers ont une raison particulièrement rationnelle de ne surtout pas y placer l'argent. La législation a créé un effet d'aubaine sur l'immobilier par rapport aux autres secteurs économiques. Il est donc normal que les capitaux y soient injectés. C'est parfaitement rationnel Il faut en venir aux bases en effet. L'état est composé d'hommes qui à l'approche des élections se disent "Ouille, ouille, ouille. Mon électorat. Il faut faire quelque chose. Si on se prend une dérouillée, ça va coûter cher aux caisses du parti." C'est parce que depuis des années les états cherchent à contourner l'arbitrage des marchés que l'on est en plein dedans et que tu as des gars comme Sapir qui sont invités sur tous les plateaux télé pour raconter n'importe quoi tant que leur solution ne demande aucun effort aux individus. Dire "C'est la faute à l'ultra-libéralisme" (un truc que personne n'a théorisé d'ailleur et dont j'attends toujours que l'on me cite les penseurs) alors que l'on retrouve l'intervention de l'état à tous les niveaux, c'est à mourir de rire. Même si cela n'a rien de drôle car c'est du bien être des individus qu'il s'agit. L'Iran, c'est le fait d'un ÉTAT qui interdit le commerce de ses entreprises. Les bulles, par définition cela ne se dégonfle pas. Ça ne peut qu'éclater car les anticipations négatives sont immédiates à se produire quand les anticipations positives sont, elles, lentes. Quand tu as le choix entre plusieurs collèges pour placer ton enfant, tu prends du temps pour réfléchir, collecter des informations, peser ce qui t'es proposé à tes attentes. Quand tu apprends que ton collège est mauvais, tu prends la décision de l'en sortir immédiatement. La seule différence avec le marché ici est qu'il y a des rigidités qui ralentissent l'exécution de la sortie (déroulé d'année scolaire, carte scolaire, indisponibilité de place ailleurs).
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Un 40mm équivalent à un 105mm en recule ! Évidemment, quand le lien élastique n'est pas bien dimensionner, on doit le sentir passer. Il faudrait déjà le voir rouler. En suite, est-il la solition la plus pertinente en terme de polyvalence?
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Cette question est en effet épineuse. Face aux entreprises de grande taille doit-on leur appliquer le même régime qu'une PME ou doit-on leur accorder des facilités ? Pour moi, pas de pitié. L'intervention étatique pour sauver ces structures n'a pas qu'un effet bénéfique. En terme politique, il l'est (Un ministre peut se gausser en déclarant "Moi, j'ai sauvé 168743 emplois en 1993". Et personne ne le contredira.). En terme comptable, il n'en est rien. Reprendre ces boîtes bancales, c'est injecter des recettes fiscales pour colmater les brèches. Donc quand tout va bien, l'entreprise prend ses bénéfices et quand ça va mal, c'est l'argent du contribuable qui vient à la rescousse. Ça, c'est inadmissible. Les recettes fiscales sont une part des revenus des citoyens. Elle n'a pas à financer les incompétents. Secourir une entreprise est toujours un mauvais signale. En effet, les décisions entrepreneuriales sont prises au regard d'arbitrages. Ceux-ci intègrent alors une notion centrale : le risque. En conséquence, quand tu es à la tête d'un établissement de crédits dont tu constates l'effet de mauvais choix (tes choix), si tu sais que l'état te soutiendra, alors tu as une prime à continuer. Le risque de malinvestissement est donc supérieur. Quand maintenant tu sais que tu as un gars comme moi à l'Elysée, alors tu rigoles plus et tu mets très vite en place des mesures prudencielles que tu n'aurais pas jugées utiles précédemment. D'ailleurs, si les économies ne repartent pas depuis 2007, n'est-ce pas parce que les créances pourries de la titrisation n'ont pas été détruites ? En tout cas, c'est ma position. J'aurai préféré la destruction d'établissements bancaires plus nombreux pour renforcer la crédibilité comptable des survivants. Aujourd'hui, les comptes ne sont pas encore clairs et l'action de la FED et de la BCE (ne parlons même pas de la BOJ) font perdurer une situation artificielle donc dangereuse. En conclusion, décider de laisser faire faillite n'est pas une cause d'effondrement des grandes structures mais bien au contraire une preuve de leur puissance par le respect de mesures prudencielles qu'elles déjugent actuellement. Ce qui compte beaucoup dans l'application d'une nouvelle mesure en économie, c'est la phase de transition. Aussi, passer à une doctrine de sélection par la faillite provoquerait une période d'adaptation. Cela pourrait durer jusqu'à deux ans où l'on aurait des faillites en cascades. Passer ce cap, les circuits financiers seraient plus forts car plus seins. Toutes ces lois dont on parle sur la régulation de ceci où de cela n'auraient plus aucun intérêt. Les mauvais joueurs seraient détruits très vite. La régulation étatique ne serait plus nécessaire d'où des économies nouvelles pour les dépenses de l'état.
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La notion "d'abstraction conceptuelle" est évoquée ici pour s'opposer à l'idée répendue que l'état serait un acteur différent dans ses logiques décisionnelles. Parler de cette abstraction ramène l'état à ce qu'il est : un groupe d'hommes. Par conséquent, ses décisions ne sont en aucune façon différentes de celles prises par d'autres groupes humains. Il n'est donc pas plus mauvais ou meilleur qu'une entreprise dans ses arbitrage. Aussi, il peut se planter. Et comme il a le monopole de la force légitime, la "puissance publique", quand il se plante, c'est immédiatement copieux. Une entreprise qui fait faillite entraine ses clients, fournisseurs et créanciers. C'est tout, même si cela peut représenter du monde et qu'individuellement ce peut être violent. Quand la même chose arrive avec un état, c'est la totalité de la population qui est impactée alors qu'une partie est opposée aux décisions étatiques et ceux non sans arguments. Quand on n'est pas d'accord avec son employeur, on peut en chercher un autre. Dans le cas de l'état, c'est plus compliqué. Placer son argent dans une boite qui fait faillite est un problème personnel. Se faire prendre son argent alors que l'on est opposé à des décisions jugées suicidaires, c'est autre chose. C'est pour cela que toutes ces notions de "chef d'orchestre" sont infondées sinon dangereuses. Elles relèvent de la pensée magique. L'état a des fonctions régaliennes, qu'il s'en occupe. Qu'il le fasse bien et après on verra.
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Sur son goût pour l'étatisme, nous sommes d'accord. Après pour la disponibilité des ressources, il y en a assez. L'état n'a tout simplement pas à être en déficite. Donc, il n'y a pas de concurrence dans les faits sur ce point. C'est vrai que la réalité montre qu'il y a partage entre le financement de la dette et le financement de l'investissement. Mais c'est simplement une anomalie qu'il faut corriger. Même si la correction ne peut être que longue. Encore une fois, cela n'a rien à voir. Tu alignes les sophismes. On en a rien à faire que ce soit 15% ou plus ou moins. L'épargne n'est pas un stock thésaurisé de façon inerte. L'épargne est employée au financement de l'investissement. Si la loi force l'épargne vers les bons du trésor plus qu'elle ne le fait actuellement, tu vas juste assécher d'autant une source de financement des entreprises (Voir Alstom qui n'arrive pas à se financer). Et Sapir en est tellement fière qu'il annonce le chiffre : 250 milliard €. Rien que ça. Il va trouver du jour au lendemain 250 milliards €, comme ça. Et il n'y aura pas d'effet collatéral. De plus, la part d'obligations augmentant dans le porte-feuille de l'épargnant, le rendement de son épargne va plonger. Là aussi, notre ami Sapir ne voit pas d'effet secondaire. Rajoutons les 20% de hausse des produits importés avec la déflation (en fait 25% car 20% de baisse d'une monaie, c'est 25% de hausse des prix.) que beaucoup appellent de leurs voeux ici et l'économie est décapitée pour longtemps. Bien évidement, on va nous faire croire que les hommes politiques qui ont claqué nos impôts n'importe comment depuis 40 ans vont, du jour au lendemain, devenir de bons comptables, soucieux du bien collectif. Il en est de même pour les banques. T'es de ceux qui croient que (quand ça les arrange) mettre 100€ sur son compte, c'est le placer dans un coffre. Bien sûr, tu le sais très très bien, mais dès que l'on parle des grands agrégats, ça disparait). Aussi, je vais rappeler une petite chose: Une part de nos dépôts banquaires est obligatoirement conservée par nos banques de détails, une part est obligatoirement versée auprès de la banque centrale ( Ces fonds propres imposés par la loi sont un gage de sûreté pour limiter les risques de faillite banquaire.). Le reste, lui, est employé à l'octroi de prêts aux agents économiques. Or, il y a un détail. Les banques emploient des effets de levier qui vont de 10 à 40. Dans ce cadrplaposée déposer 100 sur un compte où la contrainte légale fixe la réserve obligatoire à 10%, permet à la banque de détail d'employer 90 pour créer des prêts, donc de l'investissement. Avec 90, on fabrique alors entre 900 et 3600€ selon la banque. Modifier les règles d'allocation des dépôts a donc des conséquences immédiates et radicales. Ce n'est pas pour rien que l'amende de BNP aux Etats-unis est une catastrophe. Avec 10 milliards, s'ils n'ont provisionné que 4, il en reste 6 à trouver. Et 6 avec des leviers de 10 à 40, c'est une destruction de prêts entre 60 et 240 milliards de $. La destruction d'investissement futur est d'autant. Rien que ça. Sapir est un suicidaire. C'est donc juste un abruti. Il joue avec l'argent des autres comme avec des légo. Non. Le chef d'orchestre est le client et la faillite est l'unique mécanisme de neutralisation des mauvais choix. Point. L'état n'existe pas. C'est une abstraction conceptuelle. En toute chose, quand l'organisateur n'est pas le payeur, on va dans le mur. Donc, personne d'autre que le client n'a à décider pour lui.
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Navré d'être vulgaire mais Sapir démontre qu'il est un abruti. Ce mec est dangereux au possible. Il veut porter à 40% le taux de détention obligatoire de bond du trésor. Il se félicite de dégager ainsi 250 milliards d'Euro pour financer la dette. Et ils sont où aujourd'hui ces 250 milliards ? Dans un coffre à dormir ? Avec un canard qui fait de la brasse coulée dedans ? Cet argent est la capitalisation actuelle de 250 milliards d'entreprise françaises. Et ça, il y avait pas pensé. En résumé, il veut assécher les entreprises de leur financement. S'il n'y a pas assez de chômeurs en France, il va en avoir. Pareil pour les banques. Mille bravo à cet abruti. Il a passé trop de temps à étudier l'URSS.
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Voici un historique de CVR(T) pour comprendre ce que doit remplacer le FRES-SV: http://www.thinkdefence.co.uk/2014/06/story-fres-introduction/
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Think Defence publie un historique des CVR(T) dans lequel il y a des éléments sur le programme MCV-80 qui abouti au FV-510 Warrior. http://www.thinkdefence.co.uk/2014/06/story-fres-eighties/
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Il existe 4 versions de RG35. La masse que tu donnes est celle du BPV rebaptisé IFV. C'est un 6x6. Je donne avec une erreur celle du MIV qui est 4x4 pour avoir une comparaison plus simple avec le VAB Ultima. Sa masse à vide est de 14,1t avec un niveau-1 pour 6,9t de charge utile. Le plus gros, le RG-35 MPV est à 18t et peut monter jusqu'à 33t. Il faut d'ailleurs souligner la masse élevé annoncée du MIV pour un 4x4. J'en connais pas qui dépassent les 20t. Il faudrait aller voir du côté du train de roulement. 21t en 4x4 hors MRAP, c'est énorme.