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Tout ce qui a été posté par Serge
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Il y a de la part de l'auteur une volonté de garder les capacités actuelles. C'est sûre. Il répète exactement le contrat opérationnel des TAP sans ce poser la moindre question, ce qui en pose. En effet, dans sa réflexion il évoque la notion des stratégies d'interdiction. Selon lui, elles justifient les parachutistes et il a raison. Sauf qu'il y a un gros problème dans sa démonstration. La justification de moyens non aérolargables comme l'ERC-90 Sagaie. À part vouloir sauver ses potes du RHP, cela ne tient pas une seconde. Là, il faudra qu'il explique pourquoi il en parle alors qu'il dit que dès l'ouverture des pistes, les forces classiques peuvent être posées. Mieux vaut en effet faire tout de suite arriver des 10RCR plutôt que de perdre du temps avec des ERC. C'est la même chose avec le VBMR. Avec l'A400M, il ne faut pas perdre des financements vers des programmes de faible utilité. Les véhicules aérolargables utiles sont les moyens de terrassement pour ouvrir les pistes. On l'a vu, ils ont été cruciaux au Mali. L'un d'eux a même failli atterrir dans un bâtiment (d'après ce que j'ai compris). Pour le porte charge, ce sont des fardiers. Son texte n'est autre que la doctrine et je ne doute pas que sa prudence lui fasse conserver son potentiel de carrière. Il ne risque pas de fâcher grand monde en ne se posant pas les questions de la pertinence du CAESAR chez les paras, en défendant un truc indéfendable comme l'ERC mais qui fait vivre le 1er Hussards, en ne se demandant pas s'il ne fallait pas passer sur un modèle de type Ranger.
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En effet, les espagnols sont exactement dans la même fenêtre que nous. Ils doivent remplacer un blindé du même âge que les nôtres, ont les même besoins opérationnels et ont un budget contraint (au minimum). Ils n'ont pas d'opposition comme l'aurait les italiens avec leur industrie autonome mais ont une capacité de production nationale.
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Nom de code : "VÉRITÉ-1 et 2".
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Non. Pas les brits. Un pays qui a un blindé comme le VAB.
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Non. En Europe. L'Afrique du sud continue l'achat des AMV qui seront fabriqués localement avec des tourelles locales.
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Et si on restait chez nous sur cette affaire.
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Donc s'ils étaient préoccupés par la projection, ils feraient comme nous, des VBMR entre 20 et 25t. En revanche, il y a une armée qui a très exactement le même besoin que nous et dont je m'étonne de ne jamais avoir vu, lu d'évocation d'un rapprochement. Ils s'étaient lancés dans un programme de 8x8 hors de prix qu'ils ont abandonné en urgence et maintenant, ils n'ont rien pour remplacer leurs blindés à roues. Devinez à qui je pense. J'en avais parlé il y a au moins un an.
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À titre personnel, je le pense. Voir une diminution des Tigre ne m'a pas dérangé. En revanche la baisse des NH-90 (comme des A400M) l'est beaucoup plus. Après, quand on a pas d'argent...
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Ça doit être ça.
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Le problème est que tu veux impérativement proposer une solution avec des blindés 4x4 très légers à des unités qui, en France, seront toujours ou à pieds ou comme les régiments d'infanterie motorisés. Aujourd'hui c'est du VAB. Demain, ce sera des VBMR. Si tu relis l'étude de prospective que tu as mis en lien, tu remarqueras que l'auteur ne parle que de saisir et tenir des points. Qu'à aucun moment il ne parle de manœuvre terrestre après largage. La réalité du para est bien là. Il saute pour saisir et préparer un site et cela s'arrête là. Il ne fait rien d'autre.
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Et à quel prix ? Les allemands se retrouvent avec un VCI de 43t, un VBTT de 33t. Et en dessous? Rien. Des Mungo qui ne sont tellement pas mobile et protégés qu'ils servent de véhicules navettes à l'intérieur des bases.
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Je ne connais pas les détails. Il me semble qu'ils ont surtout des XA-185 de mémoire. Non ?
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Le programme VBMR cible un blindé moins complexe que le VBCI. Voici trois éléments : - entre deux véhicules très proche, celui qui consomme moins sera le plus léger. Donc avoir un écart de 5t fera économiser du carburant par rapport au châssis VBCI. - quand on passe de 8 à 6 roues, chaque changement de pneumatique a une différence de deux pneux. Ce qui en fait 32 par compagnie. - il ne faut pas seulement comparer le poids. Prenons le couple VB2L et PVP. Ils sont tout deux fabriqués au même endroit par le même fabriquant. Le VB2L aurait pu reprendre certaines mission du PVP sauf que le PVP est moins cher que le VBL en offrant une meilleur protection et en étant plus lourd. Beaucoup de personnes l'oublient. Donc, si le programme VBMR est bien mené, on pourra avoir un véhicule moins cher que le VBCI pour plus de 1000 exemplaires. Là, c'est un autre sujet. Celui de pourquoi seulement 34 VBCI au Mali. Et on en vient à la capacité réelle des armées a être projetées. De même, et c'est plus grave, il n'y avait que 2 canons de 155mm et ils étaient à court de munitions très régulièrement. Pour la France, c'est un problème de coût. Le châssis VBCI est trop cher par rapport au budget militaire. Avoir un porte-mortier de 120, une ambulance... C'est en effet logique mais nous n'avons plus d'argent pour cela. Il faut reporter ces fonctions sur d'autres châssis. Ce qui peut poser d'autres problèmes que des problèmes logistiques. Car les camions sont des camions. C'est véhicules sont optimisés pour porter des charges générales sans connexion entre la cabine et le plateau. Ils ont des volumes encombrant. Les véhicules blindés sont par définition des véhicules optimisés pour des fonctions qui, sans forcément être vraiment de combat, assure un équilibre satisfaisant entre leur coût et leur capacité opérationnelle. Cette dernière ne se limitant pas au transport au sens routier du terme.
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On ne peut pas rearticuler une unité de la sorte en mission. Tu ne peux pas envoyer une troupe en la montant sur 6 véhicules pendant une semaine et en la basculant sur 4 après. De plus, ton système devient très complexe car il faudrait s'assurer que le nombre de véhicules léger engagé corresponde à celui nécessaire au bout d'un mois. C'est impossible. Quand on sait que certains avions ont décollé pour le Mali avec seulement une P4 en soute alors que la France à une certaine maîtrise de la projection, je te laisse imaginer la complexité de ton système.
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Défaut de traduction de ma part. C'est la Lettonie.
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Les allemands à la place d'un 8x8 de 32t (le VBCI français) sont en train de mettre en service un chenillé de 43t en ordre de combat, le SPz-Puma. Successeur du SPz-Marder faisant lui déjà plus de 33t. Le TPz-2 Boxer est le remplaçant du TPz-1 Fuch. Le premier fait 33t et n'est armé que d'une 12,7 car ce n'est qu'un simple transport de troupe. Ce n'est pas un véhicule de combat. Le Fuchs faisait déjà 19t dans les années 70. Il a été surblindé pour faire la jointure avec le Boxer. Donc, je ne comprends pas la remarque du véhicule de 20t qui n'existerait pas. Avoir 5 sièges ne fait pas rentrer dans la catégorie des transport de troupe. Les Dingo et Eagle-5 reprennent les fonctions de soutien et de liaison que l'on donne en France aux PVP et à certains VAB.
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Une des petites armées des pays baltes dont on parle peu :
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À propos des BTR-80 et 90, il faut revenir à la toute première génération : le BTR-60P. En restant assez simple et évitant de nombreuses digressions: Aux sorties de la Seconde guerre mondiale, toutes les armées cherchent à motoriser leurs troupes. La manœuvre à pieds ne permet plus la vitesse nécessaire à la victoire. Ici, les soviétiques vont adopter des blindés à roues assez rudimentaires et donc au coût très faible. À cause de leur terrain très boueux et leur faible réseau routier, ils vont en venir à sélectionner une sorte de voiture blindé 8x8 avec le moteur à l'arrière. À cette époque, la fabrication de blindés sans toit n'était pas encore vue comme une absurdité et réduisait les coûts. Ce sera le BTR-60P. À compter de ce moment, à chaque fois qu'ils vont vouloir résoudre un problème, ils ne vont pas revoir la copie à 0 mais simplement améliorer le véhicule. Le BTR-60P n'a pas de toit. On embarque et débarque en passant sur les côtés. Une simple rafale et tout le monde meure, mais c'est la mode. Le moteur est à l'arrière et, à l'avant, il y a une mitrailleuse sur pivot. Le premier problème fut que les hommes n'étaient vraiment pas protégés. Un toit fut rajouté. Il a fallu trouver un moyen d'entrer et sortir. Des petites portes carrées ont été rajoutées sur les côtés. La mitrailleuse reste servie "homme exposé" à l'avant. C'est le BTR-60PA. Pour protéger le mitrailleur, une petite tourelle fut rajoutée. C'est le BTR-60PB. Comme le BMP-1 pour les chenilles, ce châssis va devenir le châssis à roues universel. De nombreuses versions verront le jour. Les BTR-60PB ont un gros problème : leur motorisation. Il y a deux moteurs qui chacun envoie le mouvement à un côté du train de roulement. C'est complexe et ça tombe en panne. La solution : toujours deux moteurs, mais chacun transmettant le mouvement à deux essieux sur les quatre. C'est le BTR-70. Il reprend la formule du 60 mais améliore certaines choses. Ainsi, les concepteurs aménagent une porte entre les essieux 2 et 3. On entre plus facilement (tout est relatif) mais il y a un problème. Si le pilote démarre trop tôt, un soldat peut passer sous les roues. Les accidents sont nombreux. Fin des années 70, une solution est trouvée. Une porte en deux parties sur toute la hauteur du compartiment. La partie basse sert de marche pieds. On peut enfin entrer et débarquer. C'est étroit mais c'est mieux. Ce sera le BTR-80. Le BTR-80 a un autre avantage, il a un moteur unique. La transmission est bien plus fiable. Il va devenir le nouveau châssis universel à roues de l'Armée Rouge pour succéder au châssis 60. Le 70 sera en fait peu produit. Le BTR-90 sera une tentative visant deux objectifs : améliorer protection et volume disponible, simplifier la logistique russe en intégrant la tourelle du BMP-2. Avec ce choix, BMP-2, BMD-3 et BTR-90 auraient eu exactement la même tourelle ce qui est très intéressant conceptuellement. Il ne sera jamais adopté car les russes travaillent depuis longtemps à un système de tourelles/châssis interchangeable et donc universel. C'est l'objectif de leurs blindés futurs. Pour résumer, si les BTR-60 à 90 avaient des portes latérales, ce n'est pas grâce à une analyse tactique fine mais à cause d'un problème de conception initiale : le moteur est à l'arrière. L'argument du moteur arrière a vécu longtemps. L'un des arguments consistait à dire que même si le blindage est percé, le véhicule roule. La réponse est simple : un moteur qui tourne a besoin d'un équipage en vie pour être utile.
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Les BTR-60 à 80 sont des catastrophes hergonomiques. Ils cumulent tous les problèmes. Explications un peu plus tard sur ces blindés et le pourquoi du comment. Les portes latérales sont impérativement à éviter. À titre personnel, je ne vois qu'une unique exception : celle des blindés à usage police / anti-émeutes comme le VBRG. Dans le cadre des missions marquées "police", le blindé sera employé, posté assez différemment d'un transport de troupe militaire à cause de la différence de nature de l'ennemi. Pour faire simple, le blindé sera très souvent employé comme écran, un bouclier. Dans ce cas, le débarqué latéral permet de bénéficier de toute la longueur du blindé. En revanche, le jour où la même unité de police/gendarmerie sera face à des mitrailleuses lourdes et des lances-roquettes, il ne sera plus question de servir d'écran.
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Des photos des trois variantes aujourd'hui produites : VCI avec l'UT-30BR au repos Tourelleau 12,7 Et circulaire blindée
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Oui. Il est très important d'avoir la même capacité qu'une unité classique. En effet, on sait toujours comment ça commence mais on ne sait jamais comment ça va évoluer. Il faut donc toujours prévoir large et qui peut le plus, peut le moins. Quand on part au Mali, on peut mettre de côté les matériels NRBC. Mais il faut être à toc pour tout le reste. Et ça commence par les munitions. Restons dans l'idée de l'urgence : On peut imaginer le largage de parachutistes. Ils sont là pour ça. Immédiatement, arriveront les unités classiques par A400M et C-130 avec leur VBMR, VBCI, EBRC. Puis, arriveront les VBMR des paras. Ils arriveront même très vite. Si on les engage avec un matériel plus léger, on court un autre risque : complexité logistique de la relève. Imaginons que l'on suive l'idée d'un véhicule spéciale pour les forces d'urgence. Celles-ci se trouvent déployées avec puis vient la relève passés quelques mois. Et là, que fait-on ? Rappatrier les PVP-XL et reprojeter des VBMR! Ce serait une manœuvre logistique très complexe et coûteuse. Avec nos faibles moyens, on ne peut se le permettre. Actuellement, une fois qu'un véhicule est projeté sur un théâtre, il y reste et est passé d'un mandat à l'autre. Les visites de maintenance y sont faites. Il n'est rappatrié que quand il est à 0 de son potentiel. Une fois en France, il est remis à niveau en étant placé dans le parc de maintenance. Quand la remise à niveau est faite, alors il repart en régiment ou dans le parc d'alerte. Il faut aussi faire une petite remarque sur la façon dont les fabriquants de blindés présentent leurs produits. Si on les écoutait, leur matériel serait toujours l'alpha et l'oméga de toute chose. Je resterais prudent ici. Quand on voit ce qui était transporté dans les VAB pour entrer au Kosovo, je doute qu'un PVP-XL fasse l'affaire. Et de très loin.
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Le Jackal ne pose pas de problème. C'est même un très bon véhicule sur son créneau. Le problème vient plutôt de : - l'ensemble Husky (le MXT américain), Panther (LMV italien) et Foxhound (collaboration Ricardo et Force Protection). Ces trois blindés sont de classe très proches. Ils peuvent donc être employés pour les même missions. Un seul aurait suffit. - l'ensemble de blindés articulés chenillés BVS-10 Viking et ATTC-Bronco. Là, c'est du plein délire. Un, le BVS-10 est sélectionné pour les besoins amphibies des RM. Jusqu'ici, tout va bien. Puis, en Afghanistan, un lot de Bronco est acheté pour avoir un blindage plus lourd. Et puis, grand spectacle, ils achètent à nouveau des BVS-10. Ils ont donc deux blindés différents pour faire la même chose. - l'ensemble Mastif et Ridgeback, deux variantes des MRAP Cougar en 4x4 et 6x6. Ils sont tellement lourds et encombrants qu'ils ne savent pas quoi en faire. On peut aussi citer les Pinzgauer pour les artificiers du génie. Tout cela fait une grande quantité de matériels différents et cela devient ingérable en terme de soutien logistique. Cet état de fait vient de gros problèmes de suivi des programmes blindés chez les britanniques mais aussi de l'inexistence de blindés chez eux comme le VAB. Ils ont des AT-105 Saxon mais pas beaucoup car leur armée est formée d'un gros poing blindé sur Warrior et de beaucoups d'unités légères sur camion. L'Irak et l'Afhhanistan leur a fait imposer des choix en urgence qui ont syphoné et désorganisé leurs programmes de blindés. Avec des choix comme le Panther imposé en contre-partie d'accord sur le Typhoon La France a elle une particularité ici qui fut un avantage. Avec la professionnalisation de 1996, il y a eu tellement de régiments de dissous que nous avons eu assez de VAB pour tout le monde. Et toute l'AdT s'est alors blindée quand les autres armées gardaient une composante non blindée.
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Pour compléter ce qu'ecrit G4lly : On observe une tendance chez les blindés à roues prévus pour le transport de troupe à avoir de plus en plus les flancs verticaux. Avant, ceux-ci étaient inclinés sur l'intérieur (VAB, TPz-1 Fuchs...). Le but était l'allégement de la caisse : En inclinant certaines parois, on diminue leur surface totale ce qui allège le véhicule. De plus, ces inclinaisons contribuent à rigidifier la partie haute. En effet, la plaque de blindage formant le toit étant moins large, elle a moins tendance à se déformer sous son seul poids dans le temps. Rappelons que le toit n'est pas la surface la plus blindée donc la plus épaisse donc la plus rigide. Très souvent on trouve des longerons pour solidifier cette zone. Par exemple, c'est le rôle de la grande barre transversale qui est soudée sur le toit des certains VAB. Pour le compartiment arrière dans ces cas là, le problème est que tout ce qu'on y rentre (caisse de munitions, outillage, santé, alimentation, eau....) est de forme cubique. Or, avec les angles formés par ces inclinaisons, il y a une grosse perte de volume disponible. Et on s'appercoit que l'on ne range pas grand chose en définitive. Jusqu'aux années 90, cela allait. Mais maintenant, vu l'augmentation du volume de matériel qui doit suivre un groupe, cela n'est plus possible. Depuis 20 ans, les choses changent grâce à la technique : 1) Les trains de roulement à roues progressent et permettent de porter des caisses blindés plus lourdes. Du coups, à protection constante, les volumes peuvent être supérieurs. 2) La métallurgie progresse aussi et produit des blindages plus légers, plus rigides. Les techniques de soudure progressent aussi. Tout cela conjugué, les véhicules ont de plus en plus les flancs verticaux ce qui offre des volumes intérieurs plus hergonomiques avec des protections balistiques meilleurs. Pour suivre cette tendance, il est très intéressant de comparer les blindés qui évoluent par génération. Ils offrent à chaque nouvelle génération plus de volume pour une meilleur protection. On peut citer les XA-180, 185, 186, 188 et enfin 203. Il y a aussi les Piranha-II, III et V (la génération IV n'a pas été commercialisée très longtemps) où c'est particulièrement visible avec le passage du II au III. N'oublions pas la proposition de reconstruction des VAB de RTD sous le nom VAB Mk2. Le seul fait d'avoir des flancs verticaux change tout pour ce dernier. Pour revenir au Guarani, la finesse du blindage (il faut voir les renforts de toit pour porter la tourelle de 30mm.) permet d'avoir des flancs verticaux très hauts pour avoir la meilleur flottabilité possible.
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Ce sont là des PVP classiques. Soit 3 ou 4 hommes. Peut être des circulateurs d'ailleurs. Pour ce qui est de la notion de "solution temporaire", cela n'aura pas lieu car cela coûte toujours très cher. Quand on mets de l'argent quelque part, il ne va pas ailleurs. C'est d'ailleurs ce qui s'est passé chez les britanniques qui de retrouvent avec des blindés dont ils ne savent pas quoi faire. Pour l'heure, il n'y a pas le feu au lac. Les VAB sont essoufflés mais la modernisation en Ultima est une bonne rustine sachant que la TOP-12,7 S2 sera démontée pour aller sur des VBMR. Et ça, c'est bien joué.
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Et ? Quels sont les blindés allemands qui portent des groupes complet ? Aucun de moins de 20 t sinon les Husky et les Mungo (dessinés pour monter en soute des CH-53. Autant dire que le plus simple ouvre boîte l'éventre.)