Serge

Déjà, envoyons en FORAD les ERC-90. Prépositionnons les AMX-10RCR dans nos bases en Afrique. Transformons notre brigade para en vrai brigade para et pas en un truc multiroles para qui ne fait rien de bien. J'avais proposé de monter les T40 sur les châssis 10RCR. Cela ne compenserait pas les faiblesses en blindage du châssis, mais cela pourrait amortir certains coûts.

Pour le moment, je n'ai trouvé aucune bataille mais je ne suis pas au top sur les australiens. Je viens de trouver à l'instant en combinant ANZAC et abattoir. Wikipédia la bataille de Nek à Gallipoli.

De plus, chaque report impose de dépenser de l'argent dans le maintien en condition des matériels anciens. Résultat, chaque économie est en fait une hausse des coûts.

Par nature, l'économie d'endettement impose de se serrer la ceinture avec un risque supérieur à l'approche de capitalisation :C'est un pari sur l'avenir. Etre endetté et ne pas réaliser ses objectifs fait très très mal.

Quelques photos de Talisman Saber-2013: J'aime ces images de blindés toujours encombrés. A prendre en compte pour le VBMR mais aussi le VBCI.

Le taux d'intérêt n'est pas seulement le prix de renoncement du prêteur pour la jouissance de son argent, c'est aussi une prime de risque face à la possible faillite.

Personne ne "prend de risque". Ce sont juste des contrats qui arrivent à échéance et qui doivent être exécutés. De cette bonne exécution dépend d'autres prêts, investissements, payement de retraites... Ne pas respecter les délais a de lourdes conséquences pour le prêteur et ses actionnaires, clients. Après, la conséquence immédiate est la hausse des taux sur le marché.

Tout le monde peut faire faillite. Il faut juste être incapable de faire face à ses obligations de remboursement de ses emprunts. Dans le cas chinois, il faudrait s'assurer que les comptes ne soient pas truqués. À suivre.

Parfois les mécanos retrouvent des branchages en France.

Il faut toujours être prudent dans l'approche que l'on a des programmes Terre et Mer. Avec la Marine nationale, les choses sont toujours simples: on parle en bateaux. Dès lors, il y a beaucoup moins d'annonces et c'est en même temps beaucoup plus spectaculaire en terme d'enveloppe. Avec l'Armée de Terre, c'est très complexe. En effet, on parle toujours d'une miriade de petits programmes. Les conséquences sont que : - on a du mal à savoir si les choses vont ou pas, - il y a des annonces d'achats, de reports et d'annulations constamment. - il y a un multitude de petites lignes budgétaires chacune très tentante à annuler pour faire des économies. Les "pleurnicheries" des terriens sont donc difficiles à comprendre. Pour un marin, communiquer reste simple. Il suffit de dire l'âge d'une coque. On ne peut le faire avec les terriens. Quand ils annoncent l'âge d'un char, on leur répond "vous n'avez pas que des chars. Vous pouvez continuer à faire avec vos autres moyens". Et donner l'âge d'un GTIA n'est pas possible ( il y a des pièces de tous les âges.). Un GTIA n'a pas de date d'entrée et de sortie de service. C'est un système incrémental auquel on change quelques pièces tous les ans (C'est ce qui pour moi y est passionnant.). La situation du terrien est dès lors plus complexe à faire entendre, sans parler des fours conceptuels comme Félin qui assèchent les finances. Enfin, une autre particularité est que l'annulation d'un petit programme terrien touche toute l'armée. Pour la marine, un report ou une annulation ne concerne que la classe qui doit être remplacée.

Ramène nous de belles images et bonnes vacances.

Pour ce qui est des VAB, je ne veux pas écrire trop de bêtises mais, il y a 129 Ultima en commande avec plus de 200 kits de protection pour les autres. Biensur, l'intérieur n'est pas aussi reconfigurable qu'un VBCI même si on a déjà vu du joli bidouillage comme le VAB-ELI. À titre personnel, je rajouterais à la liste au Père-Noël des coffres arrières comme sur l'Ultima et des filets Barracuda pour réduire la température dans les véhicules.

En effet, tu as un VPC par compagnie/escadron lourd et tu as le PC régimentaire. Ce dernier doit compter 3 à 4 VPC.

C'est le métier du chauffeur. Il est recruté, formé pour cela. On ne lance pas un conducteur sur une ligne à l'improviste. On lui fait apprendre la subtilité de tout le trajet, point par point. Dans son cas, il me semble qu'il exploitait cette ligne depuis plus d'un an. Là, il arrive à 200 alors qu'il quitte le tronçon grande vitesse du trajet. Il est parfaitement au courant des contraintes de vitesse. Jusqu'à preuve du contraire, il n'y a pas eu de panne du train, pas de mauvaise surprise. Donc, pour l'heure, il est responsable. Il n'est pas possible de dépasser de 110km/h la vitesse Max qu'il connaît. D'ailleurs, quelqu'un a des infos sur la partie du tronçon entre la sortie de la grande vitesse et ce virage. Je n'ai encore rien vu ici. Ce pourrait être intéressant.

4 VPC par compagnie? C'est la dotation régimentaire pour toutes les compagnies.

Je te répondrais que, dans les faits, nous avons ces VTT. Ce sont les VBCI-VPC. En suivant ma petite explication sur les volumes reellement nécessaires pour remplir le contrat opérationnel fixé aux armées, nous pourrions faire la chose suivante: - Admettons qu'un VBCI-VCI ait un volume intérieur au VAB-PC des commandants d'unité. Donc, les CDU peuvent commander depuis l'intérieur d'un VCI. - À ce moment, donnons des VCI aux CDU avec un intérieur adapté lors de la constitution des GTIA (Je pense ici aux CDU infanterie comme cavalerie). L'un des gros avantages serait d'avoir pour les PC compagnie la même apparence que les Véhicules des groupes. - Cette disposition, en plus de la réduction du contrat opérationnel sur lequel la commande de VBCI fut faite, libérerait des VPC. Dans ce cas, ces blindés à volume supérieur pourraient être reconfiguré dans d'autres fonctions. Et toujours avec des kits amovibles. - Les VPC seraient conservés pour des états-majors de niveau GTIA où le volume intérieur est particulièrement important.

Continuellement, les modèles explicatifs de la crise actuelle se fondent sur une seule lecture de cycle (il suffirait d'attendre.), sur le Keynesianisme et donc l'intervention de l'état. Voici un long article sur un des chefs de fil de l'École Autrichienne, Murray N. Rothbard. Celle-ci promeut une contestation explicite de l'approche économique qui est à la source des analyses qui nous sont proposées au quotidien. https://www.contrepoints.org/2013/07/27/132373-les-depressions-economiques-causes-et-remedes-par-murray-rothbard Résumé de l'idée: Un court extrait:

C'est triste à dire mais la question ne se pose plus à savoir "combien il en faut?" mais "combien on peut s'en offrire?" Au doigt mouillé, 15 kits génie seraient pas mal.

http://forcesoperations.com/2013/07/26/lpm-serval-pour-rien/

Cela provient du réseau de vidéo-surveillance.

Les journées du renseignement au CEERAT, Saumur, porteront sur Serval en octobre.

Si, si. Et c'est une très bonne chose.

Aucun. Mais de toute façon, les russes sont en contact avec Iveco pour son Freccia/Centauro. Donc, c'est un peu grillé pour nous sur ce marché. Le seul truc à faire serait plus de mettre en avant l'intégration d'armements russes sur nos châssis.

La PEGP n'a pas, à proprement parler, cet effet. C'est juste une méthode d'optimisation de répartition du parc des matériels en dotation. La quantité totale est toujours celle nécessaire au "temps de guerre" prévu. En revanche, elle n'est plus répartie en intégralité aux seuls régiments. Considérant que les régiments des forces ne sont pas les meilleurs propriétaires dès qu'il s'agit d'entretien, il a était décidé de leur laisser le volume minimal incompressible à leur entraînement quotidien. C'est le PSP (Parc de Service Permanent. Je crois.) Le reste est dans le Parc d'entraînement dans les grands camps (CENTAC, CENZUB...) pour économiser les transports, dans le Parcs d'alerte prêt à être engagé en OPEX et enfin en entretien dans les centres du matériel, en réparation. Après, il y a la théorie et la pratique. Dans les faits, la PEGP permet de ne pas faire effort sur les matériels en réparation. Seul compte le parc d'alerte, puis vient celui d'entraînement et enfin celui qui reste au régiment. La baisse de dotation vient plutôt de la vocation expéditionnaire de l'armée française. Celle-ci, quand elle a 2000 hommes en OPEX, a 2000 hommes en préparation pour la relève et 2000 qui se reposent car revenant de l'OPEX. Cela fait donc 6000 hommes au minimum de nécessaire (disons 7500). Or seul 2000 font la guerre et les 2000 en préparation peuvent s'échanger une faible dotation de matériel pour se préparer. En conclusion, il faut de quoi combattre pour 3000 hommes quand on en a 7500. Voilà la raison réelle de la baisse des objectifs de dotation. L'interview dans FOB sur le VBMR s'explique par ce mécanisme et pas par les arguments d'une meilleure "analyse" comme expliqué par le chef Scorpion. Ainsi, si l'AdT avait pour objectif d'être engagée totalement face à un ennemi extérieur alors nous remplacerions les VAB par des VBMR en 1/1. Si le Livre blanc donne comme objectif 100 groupes de combat en VBMR, alors il faut seulement 100 VBMR pour l'opération, 10 comme mulets et 30 pour préparer les 100 groupes de relève. Cela fait 140 au lieu de 300.

Fait-il vraiment partie des forces armées françaises en cela qu'il y a un statu tout particulier. Même passé officier, il reste ainsi sous contrat. Il n'est pas appelé EVAT