Serge

J'ai une solution, qui va faire rire personne: et si on rejoignait le FRES-SV? Plus simplement, je pense comme G4lly. Le maître-mot de cette affaire est:"confusion". Sans vouloir lancer la discution sur ce fil, l'origine est le choix du VBCI qui bouscule nos repaires en terme d'adéquation mission/châssis. Comme début de réponse à la question de Eckers sur l'intérêt ou non du 105mm: Pour le 40mm CTA: - effet tactique sur l'ennemi proche de celui du 105mm, - plus d'obus par véhicule, - vitesse d'engagement sur ennemi multiple supérieur, - moins de contraintes en tir, - capable d'avoir un effet vulnérant, voir destructeur, sur plus d'ennemis différents qu'un 105 (engagement drones lents et hélicoptères), - canon compact et tourelle légère. - facilité d'intégration sur châssis, - mise en place d'un armement unique VCI/Reco (avantage énorme) - coût de l'obus de base moindre, - facilité logistique en transport et manipulation, Pour le 105: - munition à effet "durcit", - taux de destruction satisfaisant, - tir indirect, - diversité des obus. Avant le 120 POLE, Denel avait travaillé sur une tourelle hybride char/automoteur en 105. Je crois que c'était le Leopard.

Ça passe à la télé les week end. Hier, face à la France. On ne voyait que ça.

Je parlais de la vitesse de réaction de Army Reco....

Khadafi s'adresse aux peuples et non à leurs gouvernements dont il regrette (dénonce) l'assujetissement à l'Occident. L'adresse aux musulmans se fait assez peu avec une idée nationnale mais vers le monde musulman dans son integralité. C'est une particularité que l'on oubli. La lutte d'un musulman est la lutte de tous, surtout face à l'extérieur. Les autorités morales (khadafi en est une) voient leurs propos, leurs analyses portés dans toute la "huma islamia" sans contrainte de frontières aucune.

Trop forts ces belges!

L'alimentation en données sur l'ennemi se fait par tout le monde. Pas seulement les drones. En situation calme, quand un ennemi est observé, il est rentré dans le système par l'interface (écran tactile, clavier). Le renseignement va immédiatement remonter et se rajouter à d'autres renseignements. Là, les spécialistes rens vont travailler pour donner une image d'ensemble de l'ennemi. Cette image repart en sens inverse pour redescendre vers les petits échelons. A ce moment là, progressivement, grâce à cette vue d'ensemble, les chefs vont donner leurs ordres. Et le combat commence. Quand on est sous le feu, on passe plus facilement une situation en parlant dans un combiné que sur un clavier. Dans ce cas, le renseignement est noté sous forme papier par le supérieur (vieille méthode) et c'est à son niveau que le système est alimenté pendant la phase de combat. Une fois au calme, l'élément pris sous le feu réutilise la machine pour faire ses points de situation. Le coup des drones, ça fait bien dans les films mais dans les films seulement. Dans le réel, tout le monde participe à la collecte du renseignement sur l'ennemi. Au début de leur numérisation, les américains se faisaient détruire car ils regardaient leurs écrans pour voir la désignation de l'ennemi. Ils ont vite appris qu'il faut d'abord regarder le terrain pour alimenter la machine. Dire "Je suis là et je ne vois rien" est aussi important car au-dessus, la conclusion est "l'ennemi est ailleur."

+1 Bien souvent en France, on raille le niveau en histoire et géographie des américains. On dit qu'ils ne connaissent rien en dehors de leur pays. Faites le test avec des français, ils ne connaissent pas tous les grandes villes de France et les pays limitrophes.

Abérant? Pas autant que cela. Les méthodes qu'il propose sont difficiles à contourner et particulièrement efficaces. Elles ont une logique qui doit être entendue dans un rapport du faible au fort. Si les masses populaires musulmanes se lèvent face à toute activité suisse, alors celles-ci gagnent. Une stratégie d'évitement ne sert pas à grand chose face à une généralisation de rejet puisqu'à une certaine étendu, il n'y a plus d'évitement possible mais confrontation systématique.

La poitrine d'un rugbyman gallois pour Under-Armor.

Les relations entre pays sont comme entre les humains. Tout n'est pas que matériel... La Grande-Bretagne a théorisée le Sea-power au XIX, l'Allemagne le Hartland. C'est logique.

In Frensh?? Well, what an idea! La seul chose ici serait les deux HS 23 et 25 de RAIDS de Santoni sur l'infanterie méca. Mais, si l'idée est bonne, la présentation du combat mécanisé n'est pas bonne. Le coup du Raid méca de 2000km, c'est du grand n'importe quoi. En langue francaise, il n'y a pas grand chose car, comme tout domaine un peut technique, le lectorat est de petite taille. De plus, le sujet est étranger et pour avoir des infos, des interview, il faut voyager. Ça coûte cher. J'ai moi même actuellement une idée de bouquin mais mes moyens sont faibles pour le moment surtout que je ne veux pas me contenter d'un regroupement de photos.

Inscrire un lien, c'est assumer une proximité rédactionnelle. Les blocs-notes géostratégiques n'ont peut être pas de points communs ou ne veulent que leur image soit noircie par un forum où peut se développer des idées de maternelle. Il peut y avoir aussi du snobisme. Ce qui est très français. Pour ma part, je trouve que Air-Defense se tient très bien. Les membres apportent de l'info assez diversifiée, les discutions sont sympas et ça réfléchi bien. Le point faible, à la limite, c'est que les questions ne sont pas celles de néophytes. C'est dommage car le futur se prépare avec les jeunes. Pour le bloc-notes de JD Merchet, je suis navré par certaines réactions. Il n'y a pas de réponse à certaines affirmations crapuleuses. Mais, il est vrai que ce n'est pas un forum. De toute façon, seul Merchet sait ce qu'il pense et ce qu'il veut.

C'est du détaille. Les aisselles sont la seul chose que l'on voit. Les flancs sont couverts par le pare-balles. La couleur unie vient de problème de propriété non-feux qui ne sont pas simple. De plus, c'est source d'économie. Les sous vêtements n'ont pas besoin d'être cam'. C'est de la coquetterie. L'AdT avait fournie des T-short cam' au lieu du vert. Ils ont arrêté car ça coutait cher pour rien. Enfin, il est parfois volontaire de fournir des pièces non bariolées. Cela interdit leur port en couche externe au combat.

Non, il faut remonter à l'AML. La France maitrisait la pliure de l'acier: À partir d'une plaque, on savait comment faire un "V" pour éviter les soudures et leure faiblesse balistique. En vendant les AML aux sud-africains (baptisée Elan), on leur a donné ce savoir-faire. Ils vont l'employer très tôt avec les premiers véhicules adaptés au minage de harcellement de la SWAPO dans le Sud-Ouest Africain (Namibie maintenant). Ils vont faire murire cette méthode grâce aux blindés de la SADF (Ratel, Buffel...) et du Koefoet (prononcer Koufoute (la pince), unité COIN de la police. Leur blindé fut le Casspir). A la fin de la "Border-War", les sud africains se sont retrouvés avec une grosse expérience dans la guerre des mines. Ils ont travaillé pour les marchés de déminage qui se développent en Yougoslavie, Cambodge... Années 90, une version boostée du Casspir voit le jour: c'est le Lion Mk3. Il a un radar anti-mines et un bras de fouille!!! Force-Protection aux EU en achette les droits. La guerre commence en Afghanistan, Force-Protection présente son Buffalo..

C'est en partie français.

Je vais en faire bondire mais, comme je l'ai déjà écrit sur ce forum, les britanniques sont de très grands alliés. En cela, nous ne pouvons que les soutenir. Ce soutien consiste à agir sur le plan diplomatique et à leur fournir du renseignement de première main. C'est ça qui importe. Je ne suis pas convaincu par une action de force ou même une simple démonstration. Ce serait suicidaire pour leur économie. Suite à notre aide, ils nous ont renvoyé l'ascenseur et ceci dans plusieurs dossiers.

Oui. C'est ce dont nous discutons depuis quelques temps. Mais il ne faut pas se figurer que les sections ne feront que ça. Elles prendront part à toutes les operations ou le terrain le permet.

Que voit-on? Rien. Photo: Soldier Systems Photo: US DOD En vie de quartier, à la base, je trouve ça super. Photo: Military Moron Exemple par son créateur Crye Precision d'un Combat Shirt. Photo: USMC les premiers à avoir mis ca en service furent le Marine Corps. Photo: MOD Les britanniques ont très vite mis en service un modèle. C'est le Under Body-Armor Shirt. De plus, les pièces non bariolées ne font pas seulement des économies, elles évitent que le vêtement ne soit porté en couche externe s'il n'y est pas destiné. PS: En été, je suis sûre que les mobiles et CRS en rêve sous leur tenue MO. Maintenant, cela ne tolère pas l'obésité.

Il est évident qu'il faut de bonnes relations. Il est un bon outil de réglementée compte et ça irrite pas mal.

Cette partie a deux fonctions: - evacuer la chaleur et la transpiration. - protéger du feux. Le barriolage ne se justifie pas car il y a un pare-balles dessus.

Le premier système a été rejeté. Il ne donnait pas satisfaction. De plus, il était impossible d'utiliser l'IL sans le casque.

Source: www.defense-update.com

L'un n'empêche pas l'autre. Inscrire un lien, c'est créer un lien. Maintenant, l'absence de lien n'empêche pas un suivi. Ce n'est pas parceque je me refuse d'acheter Libé que je ne vais pas sur son blog. Maintenant, mes propos étaient humouristique. Pour son nom, j'y arriverai. Un jours....

Ils ont une défense dimentionée à leur taille et forme diplomatique.

Oui, il y a une fluidité dans la diffusion. La lecture de la situation tactique amie grâce au "Blue Force Traking" est rapide. Pour avoir un tel plot, il faut en premier lieu detecter l'ennemi. Cette étape sera toujours la première. Un message est précis car les soldats s'entrainent pour cela. De plus, au contact, parler (phonie) est plus facile que de tapper sur un écran (Transmission de données). Au combat, on travaille sur cartes, avec des carnets voir des dictaphones. La numérisation ne fait que placer cartes et ordres sur un écran. Les supports papiers ne sont pas supprimés. Loin de là. Il y a de nombreux savoir faire qui peuvent sembler archaïques mais qu'il ne faut pas oublier. Le commandement aux gestes et fanions est un exemple. C'est la seule méthode pour une section, un peloton d'avancer en silence radio. L'usage d'éstafettes à moto, c'est la même chose. Pendant la seconde GM, les allemands sanglaient des motos sur leurs chars. Le chef de peloton pouvait se rendre aux ordres du capitaine. Il y a plus de 15 ans, on a testé les motos montées sur un rail à l'arrière des AMX-30. Ça a été abandonné car en recullant, elles étaient écrassées contre les arbres. L'idée était pourtant excellente.