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ZEE française La France d'Outre-mer et son voisinage
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de Gibbs le Cajun dans Politique etrangère / Relations internationales
et, coté images, c'est ici que ça se passe ; attention, c'est gore ! https://www.swisstransfer.com/d/7c34840c-a4a6-463a-9fee-0d9b8d3b587e -
ZEE française La France d'Outre-mer et son voisinage
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de Gibbs le Cajun dans Politique etrangère / Relations internationales
dans la presse de ce jour : https://www.leparisien.fr/societe/la-situation-ne-cesse-dempirer-a-mayotte-les-bandes-de-jeunes-violents-mettent-lile-sous-tension-13-02-2022-KFIFVTSPC5GHFL7BZOFMHWQOX4.php?ts=1644775044475 Par Marie-Christine Tabet, envoyée spéciale à Mayotte Le 13 février 2022 à 07h17 « Mais c’est notre vie, ça ! » La remarque fuse dans l’amphithéâtre du lycée des Lumières de Kaweni. À Mayotte, ce lundi 7 février, près de 150 élèves de 2de et de terminale viennent d’assister à la projection du film « Tropique de la violence », l’histoire tragique de Moïse, un collégien confronté à l’ultraviolence d’un gang d’adolescents. Un enfant de l’immigration clandestine, entré comme tant d’autres en « kwassa-kwassa », ces bateaux de pêche à moteur utilisés par les passeurs, alors qu’il n’était encore qu’un nourrisson. La plupart des migrants arrivent d’Anjouan, une des îles les plus pauvres de l’archipel des Comores, à seulement 70 km du 101e département français. La proximité mais aussi une histoire commune lient étroitement les deux populations. D’autres, moins nombreux, sont originaires de Madagascar ou de l’Afrique des grands lacs, du Burundi, du Rwanda ou de la République démocratique du Congo. À lire aussiMayotte : dans «l’enfer» de Kaweni, le plus grand bidonville de France Plusieurs scènes de ce long-métrage, sombre et puissant, dont la sortie en France est prévue le 23 mars, ont été tournées dans le bidonville qui surplombe l’établissement. En bas, c’est l’école, ses patios fleuris, un équipement informatique dernier cri. Au-dessus, un amas de tôles ondulées dans un camaïeu de couleur bleu, rouge, gris, des cabanes souvent sans eau ni électricité, façon favelas brésiliennes. A Mayotte, cela se nomme un « banga ». Nichés dans la forêt tropicale, où la police ne met pas les pieds, les illégaux vivent de travaux des champs, de la vente de marmites en fer-blanc. De nombreux élèves passent quotidiennement d’un monde à l’autre. Un débat s’engage avec le réalisateur, Manuel Schapira. « C’est vrai, tout ce qui est dit, reprend en écho une jeune fille, saisie par la vraisemblance des situations. Mais vous croyez pas, monsieur, que ça donne une trop mauvaise image ? Nous, on veut vraiment que Mayotte soit l’île aux parfums ! » Il y a six ans, le roman éponyme de Nathacha Appanah, dont est inspirée la fiction coécrite avec l’écrivaine Delphine de Vigan, avait déjà enflammé et divisé ce confetti français de 375 km2 à l’ouest de la Réunion. Le conseil départemental de Mayotte n’a pas souhaité apporter son financement à la production. Au contraire, le rectorat en assure la promotion. Cambriolages, caillassages, barrages de route et crimes au « chombo » Dans l’île, deux conceptions s’opposent à nouveau. Taire ou dénoncer la terreur imposée à Mayotte par ces bandes, qui recrutent dès l’âge de 11 ans. Cambriolages, caillassages, barrages de route et crimes au « chombo », une sorte de machette, empoisonnent le quotidien des insulaires. Depuis début 2022, cinq jeunes se sont entretués et un père de famille a été assassiné chez lui au coupe-coupe. Les photos de son corps déchiqueté ont circulé sur les réseaux sociaux. En 2021, la parquet a été saisi d’un peu plus de 500 procédures criminelles, principalement des vols en bande organisée, viols, blessures aves infirmité permanente, homicides... pour une population officielle de 350 000 personnes. Après 18 heures, on ne s’aventure plus sur les routes sans redouter de se faire agresser par ces hordes de jeunes délinquants. Attachés à un village ou à un quartier, les groupes rivaux s’affrontent pour un regard ou une insulte. À Kaweni, les habitations de fortune sont constituées de tôles ondulées qui n'ont souvent ni eau ni électricité, façon favelas brésiliennes. David Lemor Un camion de gendarmes et dix agents de sécurité gardent les abords du lycée de Combani, à la croisée de différents territoires. Toute la journée, les jeunes carburent à la « chimique », une drogue locale faite de tabacs et de produits de synthèse, arrosée d’alcool. Une dose de 5 euros les transforme en zombies insensibles à la douleur. Pour tromper l’ennui, les bandes élèvent des chiens destinés aux combats, volent et rançonnent pour payer téléphones et dopants. « Désormais, avec mon épouse, raconte Alain Charier, lorsque l’on va dîner chez des amis, on dort sur place. » Ce professeur de lettres, un métropolitain, effectue son deuxième séjour dans l’île. Il ne veut pas sombrer dans le catastrophisme et garde plaisir à enseigner là. « La majorité de nos élèves sont respectueux. Entre 2001 et 2005, cela n’avait rien à voir. Depuis que je suis revenu, en 2014, la situation ne cesse d’empirer », reconnaît-il pourtant après la séance. Les enfants, meilleure chance d’obtenir un titre de séjour Les « bandits », comme on les appelle ici, sont à la fois le cauchemar et la mauvaise conscience de Mayotte. Ils sont les victimes d’un système fou. Pour une famille, un enfant né ou élevé sur le territoire français, c’est l’espoir d’obtenir un jour un titre de séjour. Contrairement aux idées reçues, le droit du sol ne suffit pas. Il faut avoir au moins un parent français ou justifier d’une présence régulière sur le territoire national dès le plus jeune âge pour devenir Français. C’est ainsi que Mamoudzou est devenue la première maternité de France. L’an dernier, elle a enregistré 11 000 naissances – contre 9 000 en 2016. « Lorsque les parents clandestins sont expulsés, ils laissent les enfants seuls. Au mieux ils les confient à des proches jusqu’à leur majorité, se lamente Zaidou Tavanday, directeur de cabinet au conseil départemental, car les mineurs isolés ne peuvent être renvoyés et sont scolarisés. Ce qui est la meilleure preuve de résidence sur place. Il faut savoir que 80 % des titres de séjours sont obtenus au nom du regroupement familial. » Le film «Tropique de la violence» a été tourné en partie dans le bidonville de Kaweni. David Lemor Mohamed est né sur l’île d’Anjouan aux Comores. Il est arrivé à Mayotte en 2000, à l’âge de 4 ans. Son père est reparti vivre en Grande Comore et sa mère avec ses deux jeunes sœurs se sont installées près de Lyon. Hébergé par une demi-sœur, le jeune homme a trouvé un emploi dans un snack six jours sur sept pour 200 euros par mois. Il avait 17 ans lorsqu’il a arrêté l’école après avoir péniblement atteint la classe de 3e. Depuis huit ans, il traîne. « J’étais dans une bande, les 45 – dont les deux chiffres sont tatoués sur son bras – , j’ai fait pas mal de conneries mais j’ai arrêté car je veux des papiers. » Pour l’instant, son dossier reste bloqué à la préfecture. Ses parents, eux, ont obtenu leurs titres de séjour un peu grâce à lui. Souffrant de problèmes pulmonaires, il a dû être opéré à la Réunion. Cela leur a permis de rentrer dans la procédure administrative. Nées à Mayotte, ses deux jeunes sœurs ont également pu s’envoler vers la métropole Vente de riz et consommation d’électricité : les vrais indicateurs de population Actuellement, l’île compterait 6 000 mineurs isolés. Les services de l’État et les collectivités locales n’arrivent plus à faire face, et les éducateurs sont trop peu nombreux. Le développement d’un réseau de familles d’accueil inquiète les associations plus qu’il ne les rassure. « Elles ne sont pas encadrées, explique la conseillère principale d’éducation d’un grand lycée de Mamoudzou. Certaines ont quatre ou cinq enfants en même temps. À raison de 700 euros d’indemnités par tête, cela devient un vrai business. Les gamins fuguent et personne ne s’en préoccupe. J’ai fait des signalements mais la justice ne bouge que si un fait grave est arrivé. » Selon les estimations du ministère des Outre-mer, plus de 12 000 mineurs auraient quitté l’école et se seraient évaporés dans la nature. L’île déborde d’enfants. Un habitant sur deux à moins de 18 ans. Selon les estimations officielles, la population de Mayotte avoisinerait 300 000 personnes, dont 50 % sont étrangers, auxquels il faudrait ajouter entre 150 000 et 200 000 illégaux. « Les calculs de l’Insee sont inadaptés ici, poursuit Zaidou Tavanday, nous avons des indicateurs plus empiriques qui le prouvent, comme la vente de riz ou la consommation électrique. Elle est décuplée par rapport au nombre de raccordements déclarés. L’eau vient à manquer. Nous vivons désormais au rythme d’une coupure par semaine. » Les chiffres donnent le tournis. À la rentrée, il a fallu scolariser 103 000 élèves. Ce qui signifie pousser les murs et jongler avec les emplois du temps. Les élèves viennent en classe par rotation. Mayotte doit faire face à un afflux massif d'immigrants. On estime entre 150000 et 200000 les illégaux qui vivent sur l'île. David Lemor Dès six heures du matin, une armée de gamins déambule sur les routes pour rejoindre leur école. L’après-midi, un autre bataillon prend la relève. Les deux « équipes » ont droit à un repas chaud. Avec 77 % des familles vivant en dessous du taux de pauvreté, la cantine permet à de nombreux écoliers de bénéficier d’au moins un repas par jour. Dans ce département français, faute de places, beaucoup d’écoles maternelles n’accueillent pas les enfants avant l’âge de 4 ou 5 ans. La situation n’est pas près de s’arranger. « On ouvre entre trois et cinq classes par an, explique le principal du collège de Kwalé, Benjamin Lazard-Peillon. J’ai en moyenne 15 classes d’une trentaine d’élèves par niveau. » Niché au pied d’une forêt de bananiers et de bidonvilles, le collège a été prévu pour un effectif de 900, cette année il accueille autour de 1 800 enfants. Au rectorat, les fonctionnaires tentent d’anticiper les besoins avec les moyens du bord… La couleur des plaques de fer d’un baraquement permet de dater plus ou moins l’année de construction et l’âge des enfants à venir. Ce grand embouteillage scolaire n’est pas sans conséquences sur le niveau des élèves. « Nous avons toujours des élèves brillants mais le niveau général baisse d’année en année, confie Julien, un enseignant du secondaire. On a des consignes pour ne pas décourager nos élèves alors on majore systématiquement les notes mais beaucoup de couples font le choix d’envoyer leurs enfants en métropole dans de la famille ou à La Réunion. Dans ce cas, un des deux parents, souvent la mère, les accompagne. » « La montée du racisme est palpable » La pression migratoire est si forte à Mayotte qu’elle suscite des tensions de plus en plus vives entre la population mahoraise et les étrangers. Le terme « Anjouanais » s’apparente à une insulte. Des milices s’organisent pour traquer les bandes. Marine Le Pen, fréquemment en visite dans l’île, a remporté 44 % des voix aux élections européennes de 2019. Dans son joli pavillon, au cœur du petit centre-ville, Estelle Youssouffa, reçoit avec des gâteaux à la cardamome et du thé glacé. Elle veut montrer une autre image de Mayotte et balaye rapidement les questions sur le film, qu’elle n’ira pas voir. À 43 ans, cette ancienne journaliste, à la tête de l’un des collectifs de citoyens les plus puissants de l’île, est devenue le visage de la fronde antimigrants. Son style cash et ses formules travaillées font mouche dans les médias et surtout les réseaux sociaux. « Ce n’est pas parce qu’on est noirs, musulmans et à 10 000 km de Paris qu’on doit nous abandonner. On est Français depuis 1841, on a réaffirmé notre volonté de le rester par référendum en 1976 et on est un département depuis 2011 », poursuit-elle. En décembre, la jeune femme a organisé une manifestation de 400 personnes devant le tribunal pour que soit levée la garde à vue de deux Mahorais soupçonnés de s’être faits justice eux-mêmes. Elle se défend d’être d’extrême droite et se présentera sans étiquette aux législatives. À lire aussi«C’est important que Marine Le Pen soit venue à Mayotte» : des habitants de l’île séduits par le discours du RN « Elle joue avec le feu mais elle a un réel écho dans la population qui ne supporte plus cette immigration, constate un fonctionnaire de l’État. La montée du racisme est palpable. » En dépit des moyens de lutte contre l’immigration spécifiques déployés à Mayotte (huit bateaux chargés d’interceptés les embarcations illégales, un avion de surveillance, une centaine de fonctionnaires de la police aux frontières), qui permettent d’expulser quelque 25 000 clandestins, entre 150 et 200 nouveaux migrants réussiraient à accoster chaque jour. L’action du gouvernement est de plus en plus décriée. Sébastien Lecornu, le ministre des Outre-mer, vient d’essuyer un camouflet. Le projet de loi qu’il avait concocté pour limiter la vague migratoire a été unanimement rejeté par les élus locaux. En cette saison de pluies et d’élection présidentielle, Mayotte sent le soufre. Les touristes et les fonctionnaires la boudent. Les hôtels ne sont remplis que de gendarmes en mission et d’infirmières pour l’hôpital et sa maternité. Triste tropique. À Kaweni, Fazal, de la réalité à la fiction Fazal (à droite avec le bob, ici avec Elanique) a d'abord refusé le rôle dans «Tropique de la violence», de Manuel Schapira. Manuel Schapira Manuel Schapira a abordé Fazal dans la rue. Le garçon qui zonait avec ses copains s’est tout d’abord méfié. Il pensait avoir à faire à un policier. Déscolarisé depuis la 5e, il a tout d’abord refusé le rôle que lui proposait le réalisateur, puis s’est ravisé, poussé par sa mère et son désir de réapprendre à lire. « Je l’ai auditionné et je l’ai immédiatement trouvé très juste, très doué, avec une drôlerie particulière », se souvient Manuel Schapira. Il lui a confié l’un des rôles principaux du long métrage. Aujourd’hui, à 21 ans, l’apprenti comédien vit toujours avec sa mère et ses cinq frères et sœur dans une seule pièce, à Kaweni. D’origine comorienne, il est Français, comme dans la fiction. Sa mère renouvelle encore son titre de séjour tous les ans. Son père a disparu depuis longtemps. L’histoire du film est un peu la sienne. Comme celle de son acolyte, Elanique, 15 ans, ou des quinze jeunes interprètes repérés sur place. « C’était un pari, raconte, la productrice, Carole Lambert, ces jeunes n’avaient pas l’habitude des contraintes et des obligations. Mais on leur a fait confiance et cela a fonctionné. » Début février « Tropique de la Violence » a été projeté au cœur du bidonville devant plus de 600 personnes. Dans le quartier, on salue les stars. Pour la première fois de leur courte vie, Fazal et Elanique s’envisagent un avenir et tentent de décrocher de la chimique, cette drogue qui jusqu’à présent était leur unique moyen de rêver. -
USA
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de zx dans Politique etrangère / Relations internationales
mafia italienne : tu les couches sur un tapis roulant, au bout, la broyeuse et la viande, éjectée, est bouffée par les cochons... tu en laisses juste un en vie pour qu'il raconte aux autres.. -
USA
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de zx dans Politique etrangère / Relations internationales
ça dépend si tu le prends au sens strict ou au sens figuré... -
[BREXIT]
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de Gibbs le Cajun dans Politique etrangère / Relations internationales
normal : pour rentrer dans l'UE, la marche arriere ne suffit pas : il faut reprendre une procédure longue (j'avais lu 15-18 ans) pour y revenir... il faudra qu'ils s'habituent à vivre comme ça. -
Oui, à Cannes .. A Djibouti, ce serait pareil ? A Abu Dhabi, tu laisserai s approcher des navires civils ? autrement écrit, tu me donnes comme exemple la France, et une commune qui a l'habitude de recevoir des paquebots... rien d'exceptionnel moi, je te donne un autre cas : des pays dont les habitants, ou du moins une partie, seraient content de se payer des Français... des pays qui n'ont pas forcément la même sécurité sur leurs embarcations, etc... Parce que, faire des permissionnaires, en France, depuis un navire au mouillage, avec des forces militaires qui interdisent la zone (interdiction qui sera respectée) et ailleurs dans le monde, je crois que ce ne sera pas pareil.
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une vedette ? A combien estimes tu le nombre de personnes necessaires/indispensables qui doivent rester à bord, sur un équipage d'environ 2 000 personnes (pour le CdG)... ? donc, le reste monte sur une éventuelle vedette ? et, il faut combien de rotations ? donc combien de temps pour vider et re remplir ?
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Opérations au Mali
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
Parce que tu crois que c est facile d expulser les clandestins, toi ? Mdr On en expulse moins de 20 pour cent.... Parce que c est facile... -
Coronavirus - Covid 19
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de Lordtemplar dans Politique etrangère / Relations internationales
il y a une épidémie, en police, depuis le début de l'année... edit : https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/suicides-dans-la-police-un-debut-d-annee-2022-catastrophique-1643299578 -
Opérations au Mali
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
en attendant la releve par Wagner ? -
Police, Gendarmerie, Pénitentiaire, Pompiers [infos only]
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de Akhilleus dans Divers
plus simple : le service territorialement compétent, en premier ; ensuite, les magistrats choisissent qui va faire l'enquete tant qu'il n'y a pas des circonstances autres (que ce ne soit pas du terrorisme, parce que ce serait de l'anti terro, un mec qui travaille dans un service "protegé", parce que ça ne sera pas confié au premier opj venu)... -
Opérations au Mali
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
non, ils n'ont pas eu de bol... parce qu'un hélico etait en vol avec un TE... et, les notres, ont eu du bol, de les tuer et de récuperer le mortier... communication radio, OK mais, si tu remplaces radio par téléphone... et, pour l'équipe "césar", elle doit etre d'alerte à combien de secondes ? 20 secondes ??? (je ne me moque pas ; j'imagine très bien une équipe, dans un abri, prêts à servir au déclenchement d'alerte) -
Opérations au Mali
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
un peu pareil, mais dans un autre sens Imaginons la vie, normale dans le camp ; à 10h00, une roquette ou un pelot de mortier tombe. Il faut combien de temps, de secondes, de minutes, pour que l'équipe, les servants du canon aient l'info "azimuth distance" et puissent riposter ? et, est on prié de penser que les auteurs du tir vont rester dans les sandales sans bouger ?? on peut le faire dans l'autre sens ? vous avec comme objectif de balancer un obus, à l'aveugle, sur le camp fr. Comment faites vous ? combien de temps ça prend ? Pour ma part, si j'ai plusieurs coups à balancer, je tire depuis la ville, ce qui évitera une riposte artillerie et me permettra de me fondre dans la population et vous ? -
Opérations au Mali
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
Humm, il n'y a pas des sanctions régionales parce que ce quateron de putchistes ne met pas en place les elections ??? putchistes qui ont fait un second coup d'état, qui avait dégommé le pouvoir elu... pourquoi ? il y a eu un coup d'etat aux uesses ? et en Australie ??? -
Opérations au Mali
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
juste une petite explication, pour moi ; c'est quoi le gouvernement souverain, au Mali ? celui sorti des urnes ou celui du coup d'état qui refuse les élections et qui n'est pas reconnu par l'international ?? -
Coronavirus - Covid 19
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de Lordtemplar dans Politique etrangère / Relations internationales
et, qu'accessoirement, pour une personne en rea, on ferme des services, donc des lits, pour mettre le personnel à disposition de ce malade qui, par choix, ne s'est pas vacciné. Par choix, il cause un tort, interdisant à ceux qui doivent se faire operer d'y aller... -
Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
re, pour moi, il y a 2 "drones" à considerer : en ville, en Europe, ce sont plus des drones "familiaux", de moins de 2 kg .. et, par exemple, au Yemen ou en Irak, avec des machines qui ont plus d'un metre d'envergure, entre des drones "courte" portée et d'autres.... -
Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
certes (je suis d'accord) ; mais, il faut (alors) integrer cette protection dans le déploiement des artilleries... je ne sais pas, mais quand je lis qu'en Suede, des drones non identifiés ont survolé et ont observé (j'ai cru comprendre ) de longues minutes des centrales nuke, je me dis qu'il y a une faille, là ; cela équivaut à laisser des cibles à haute valeur se faire démonter par des drones pas forcément sophistiqués https://www.ga.com/ga-ems-and-boeing-team-to-develop-300kw-class-helws-prototype-for-us-army la réponse existe : https://www.defense.gouv.fr/aid/actualites/helma-p-un-systeme-laser-pour-la-lutte-anti-drone -
Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
bonjour la lutte du blindage et du projectile ? je ne dis pas que la mobilité ne sert à rien, mais, la vue, ici, sur ce forum, d'un drone azeri qui a reperé un lanceur de missiles arménien en plein effort..., qui l'a suivi pendant quelques minutes alors qu'il allait se mettre à couvert (à proximité d'autres LR)... Les images qui ont suivi ont montré la destruction du premier et d'un autre à proximité... le blindage n'aurait pas servi à grand chose, comme la mobilité, ici. la mobilité n'est pas la panacée, surtout quand l'adversaire a des drones qui permettent de guider, viser les cibles à haute valeur.. -
Police, Gendarmerie, Pénitentiaire, Pompiers [infos only]
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de Akhilleus dans Divers
le prix du carburant ? oui, enfin, peut etre : ce n'est pas le pere de famille qui paie avec sa carte bleue et dont le compte en banque est débité.. mais, ce sont des administrations qui ont des contrats carburant, des cartes essence, qui passent des milliers de metre cube de carburant par jour... le prix n'est pas le meme que celui du consommateur. Enfin, et pour l'avoir touché du doigt quand j'etais chef nautique, avec un budget carburant de 180 000 euros par an pour les bateaux, s'il était explosé, ce budget était abondé : il etait impossible d'envisager de laisser à quai (au garage) les moyens mobiles alors que les missions, les interceptions attendent dehors. donc, le prix est un faux probleme pour l'Etat : quel est le prix du carburant ? l'essence, hors taxe, est à 64 cents.... le reste étant des taxes et de la marge. Là, on ne parle pas de 2 balles le litre mais, plutot 3 fois moins. https://www.economie.gouv.fr/facileco/prix-lessence -
Police, Gendarmerie, Pénitentiaire, Pompiers [infos only]
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de Akhilleus dans Divers
le comparo peut prendre aussi en compte les accidents, la tole froissé et les pieces à changer (et la complexité de les changer) -
Embarcation fluviale de l'armée de terre et de la gendarmerie
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de Scarabé dans Divers Terre
Bonjour, à Mayotte, nous sommes (tous) équipés soit de (vieux) Raidco https://www.nauticexpo.fr/prod/raidco-marine/product-22737-264092.html soit de zodiacs milpro (là, c'est celui de la gendarmerie) ; une idée de ce qui est utilisé, en ce moment, ici Nous allons recevoir des Zepplin parce que le matos Zodiac s'est revelé etre tres, tres fragile et inadapté. Le critere bateau, ici, c'est pouvoir embarquer 50 pax au moins et aller à 20 nautiques au large (missions identiques pour la gendarmerie nautique et la PAF). Nos bateaux font 11m et un poil plus de long et ont au moins 300 CV ou 350 CV en bi motorisation. coté vetements, ce sont des chaussures de pont, des shorts en synthétique, tee shirt en synthétique, coupe vent si necessaire et casquette "maison"... Au plus froid, il fait 23-24, la nuit l'hiver, au plus chaud, 37 (et ressenti au dessus de 40)... les collegues doivent pouvoir etre mouillés par des embruns et secher rapidement. Ils ont des brassieres individuelles (viking) avec 2 cartouches, déclenchement auto et manuel et normalement leur pareballes. Suivant les crises, ils peuvent embarquer des pareballes à flottabilité posiitive -
Police, Gendarmerie, Pénitentiaire, Pompiers [infos only]
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de Akhilleus dans Divers
je comprends bien, un véhicule pour la ville ; mais, je ne suis toujours pas d'accord : il te faudra un vehicule electrique pour les rues pietonnes et l'hyper centre ville, un véhicule endurant pour rouler sur les voies express, un véhicule solide pour embarquer 4 collegues équipé MO, un véhicule.... bref, au niveau du parc, de la gestion des pieces détachées, au niveau de la disponibilité ou de l'interchangeabilité, c'est un cauchemar de logisticien. (plus haut, je te parlais de Grenoble ; tu as des rocades, des voies express, des rues avec du débit, surtout quand tu appuies ; il faut des watts... J'ai été en CDI, dans le 95 ; tu peux tres bien etre à Cergy et qu'on t'envoie à Montmorency ou à Sarcelles.... (pas Argenteuil, trop proche)... Il faut y aller et en revenir, tourner, patrouiller, se montrer... J'ai fini à Hendaye ; la PAF est compétente dans une zone de 20 km de la frontiere ; ça monte, ça descend et les "clients" ne vont pas respecter le code de la route. Donc, dans tout ça, ton véhicule dédié à la ville ne pourra pas etre preté à une unité qui fait du routier... ou des bornes ; ce n'est pas souple. quant à l'autonomie, on en reparlera au bout d'un an ou deux... coté réparabilité, en passant, les vehicules electriques necessitent des qualifications "electriques" pour les intervenants, mécanos ou carrossiers.. je demande, aussi, à voir un comparatif entre le cout d'entretien d'un vehicule electrique et d'un thermique qui font les memes missions (et je demande à ce que l'électrique fasse les memes missions que le thermique). On sera dans le comparatif. -
Embarcation fluviale de l'armée de terre et de la gendarmerie
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de Scarabé dans Divers Terre
hummm ils ne sont pas sortis en mer ; ils ont juste fait un rond dans l'eau pour les photos ; ce ne sont que des vetements de "terriens", en coton, qui peseront une fois mouillé ou donneront froid... bref, ils ne sont pas en patrouille, pas en mer, ce n'est que de la comm' -
Police, Gendarmerie, Pénitentiaire, Pompiers [infos only]
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de Akhilleus dans Divers
@ tous merci pour vos réponses, mais, comme il m'est impossible de quoter les paragraphes... mais, dans l'idée, je me rapproche du point de vue de Gally...