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christophe 38

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Tout ce qui a été posté par christophe 38

  1. Les balles perdues ne le sont pas pour tout le monde... Les vitres des domiciles attirent les balles... J ai fait des trous à st Martin d Heres il y a quelques années... Sur un ricochet... Et, il y a longtemps, quand nous avons touché les Manhurin, le gipn de Lille a blessé une victime, suite à une surpenetration... Le crapeau a été touché mais la balle est ressortie pour toucher un tiers... Même chose sur Marseille... Je sais, c était l époque des 357 magnum.. mais, dans le stress, quand tu ripostes à un agresseur à 10m devant toi, tu n as pas toujours le temps de t assurer que tu peux allumer parce que derrière, c est clair.. portée letale d un 9 para, en gros 1200m
  2. j'ai eu cotoyé des collegues dont certains travaillaient dans des groupes d'intervention.. d'autres ont fait partie des testeurs à l'époque de l'arrivée du SIG 2022 (avec le choix du Glock en face). Nous ne sommes pas aux USA (pour les conditions d'usage ) ; A l'époque, (où je voulais acheter un 5.7 qui était interdit à la vente en France pour cause de trop d'efficacité par rapport aux gilets pb), nous avions parlé balistique, vitesse initiale, poids, fleche... ricochet (s) je maintiens : la 9 para a une portée létale tres importante (surtout quand on l'utilise en ville) et une capacité de perforation plus importante ...
  3. ouais et sur les plages, les CRS coutent moins cher aux municipalités que d'autres solutions et les CRS sont également des policiers ; ils font donc appliquer la loi si necessaire et quand ça l'est (contrairement aux secours cotiers qui se font envoyer ... ch*/er)
  4. et le 9 para est une munition d'arme de guerre, qui a peu d'efficacité dans une arme de poing, avec (en plus) des munitions blindées... (ce qui me gène avec la 9 para, c'est sa portée létale (1200-1500 m) qui en ville (usage police) fait que c'est trop et a un petit effet contre des gilets pare balles (lire le contraire pour la 5.7, tant pour la portée, pour cause de fleche importante et tres haute vitesse initiale..)
  5. le post de Tenny entrouvrait la possibilité que les missions de controle anti immigration soit ouvert aux gendarmes... et, plus haut, il y a un rapport de la cour des comptes comme quoi les gendarmes voudraient récuperer des départements, en lieu et place de la police (département dont seule la prefecture est tenue par la police..), d'où l'explication sur l'arnaque possible
  6. peut etre parce que les SDIS n'ont pas de pelotons de haute montagne ???? peut etre parce que les pompiers n'ont pas (encore) la qualif qui permet d'aller chercher des plongeurs spéléos coincés ou morts à 80 m de profondeur ou en dessous ??? peut etre aussi, parce que ceux qui font le boulot le font bien et qu'il n'y a pas necessité de rajouter un service, un partenaire pour en remplacer l'un des deux ou les deux, alors qu'il faudrait des dizaines d'années d'experience pour arriver au meme niveau, des années pendant lesquelles des accidents pourraient causer des victimes (chez le remplaçant) et qu'une fois qu'on a viré l'ancienne équipe, la connaissance, le savoir se perdent tres vite... En effet, les gendarmes pourraient etre formés.... quoique : moi, j'en suis resté qu'un gendarme ne fait pas toute sa carriere dans la meme affectation ; il tourne tous les 2-3 ans, voire quand il prend du galon. Donc, imaginons que tu l'envoies suivre un stage de fraude doc (qui comprend plusieurs niveaux et qui necessite un temps entre chaque stage)... et que les années passent et que son statut lui impose de bouger...(tu as compris qu'il fait des voeux pour ses mutations, voeux qui ne sont pas forcément suivis par la hierarchie). Bref, il peut alors se retrouver dans une brigade ou ses stages ne lui serviront à rien... gaspillage.
  7. parce que c'est une escroquerie... une connerie ! et toi, tu verrais des comité de surveillance de feux de forets, municipaux, faire du secours à personnes sur un accident de car ou aller éteindre un incendie dans une tour ? pourtant, ce sont des pompiers... donc, je reprends. Les gendarmes sont des militaires. (point) certains sont mis pour emploi pour faire de la police en milieu non urbain. (en gros, 50 000 sur un total d'en gros 110 000 personnes, officiers et sous officiers, prévots, gendarmes du transport aerien, mobiles, gendarmes maritimes.....) Nous sommes dans une démocratie ; les premieres personnes que rencontrent les voyageurs qui franchissent nos frontieres ne sont pas ni des militaires, ni des douaniers ; ce sont des gardes frontieres. Pour avoir quelques années de PAF, c'est un metier (la connaissance des visas, la detection des faux documents, par exemple ou la lutte contre le travail dissimulé et ses reseaux) Ce que je veux dire, c'est que ce n'est pas une option que l'on coche ; ce sont des compétences à maitriser. J'ai présenté à un numero 2 d'une circonscription le rapport de la cour des comptes sur la répartition police gendarmerie et la volonté des cousins de prendre des départements. la réponse a été simple : c'est une arnaque : ils n'ont pas les effectifs, loin de là, donc ne peuvent couvrir les memes périodes, les memes durées. dans un commissariat (d'une prefecture), il y a la police secours qui travaille en regime cyclique de 12h08 (le cycle : 3x2x2x3x2x2 ) donc 3 jours de travail, 2 jours de repos, 2 jours de travail, 3 jours de repos, 2 jours de travail, 2 jours de repos et on recommence le cycle. 1604 h par an (normal) (18 congés annuels, 188h09 d'ARTT (vu que la somme des heures travaillées dépasse largement le quota annuel, il y a contrepartie), et 109h de credit ferié (pour compenser les jours feriés travaillés) ; 40% de congés en meme temps (donc, pour avoir, par exemple, 2 véhicules de 3, il te faut 10 personnes dans ce groupe, pour en avoir toujours 6 présentes) bien sur, à l'échelle départementale, un service accident, un pool plaintes, un service débits de boissons et salles de spectacles, un service stupéfiants, heu, des renseignements territoriaux ... une brigade des mineurs, un service motard, une BAC, une compagnie d'intervention... (je passe sur le matériel, ) un service formation (les stages), les moniteurs de sports, de tir... bref, tout ceci pour dire que ce n'est pas une coquille vide tout ceci pour dire que.... je demande à voir (mais la barre est haute)
  8. merci, je poserai la question (parce que, pour moi, le controle transfrontalier, c'est un travail de garde frontieres, de police que la gendarmerie soit dans les aeroports, c'est normal et ça fait partie de leur role : la gendarmerie du transport aerien est à sa place sur les pistes, dans les hangars (et la PAF n'a rien à y faire)... mais, le controle des passagers, là, j'ai du mal.. merci encore
  9. la responsabilité de quoi ? de son AVC ? de sa visite médicale qui le rend inapte ?? air canada ? il y faisait quoi ? est ce qu'il volait ? enfin, concernant la responsabilité de l'ancien employeur.... que dire des anciens militaires qui se sont reconvertis dans des boites de sécurité pour embarquer sur des navires de commerce afin de lutter contre la piraterie ? ils devraient oublier ce qu'ils ont appris ??? j'ai bien compris que vous placez la barre au niveau de l'éthique (c'est à dire qu'un de nos anciens officiers pilote ne devrait pas dire ou montrer/enseigner, mais, comme je ne sais pas ce qu'il a fait en Chine, ce qu'il a pu enseigner, s'il a enseigné ou renseigné, je m’abstiens)
  10. juste en passant que s'il a fait un AVC, son metier de pilote.... (ferais tu confiance à un pilote de ligne, qui vole en solo (puisque les nouvelles normes tendent à cela, au moins pour des vols courts), qui est enfermé dans son poste de pilotage, avec un passif pareil ??? aurait il l'aptitude ???
  11. Mais, tu peux aussi rajouter que, tant à Maurice, aux Seychelles, qu à la Réunion où à Mayotte, il existe une communauté indienne, que ce soit les karannes ou les zarabes... Donc solidarité... Unité de pensée...
  12. Merci, De par mon ancien métier, j essaie de m en tenir aux faits, rien qu aux faits. Même s il n y a pas de fumée sans feu...
  13. D accord avec le dernier paragraphe. Donc, le tribunal médiatique....
  14. Côté navires, pour utiliser ce mot, la gendarmerie maritime est aux ordres de l amiral, responsable du secteur, pas d un general de gendarmerie... Ne pas oublier que, si eux, parfois font un travail de police, la surveillance et le contrôle aux frontières échoit à la PAF
  15. Disons que les améliorations, que ce soit en matériel, en locaux, en horaires, on ne les doit pas à la grandeur d esprit de la hiérarchie... Et côté hiérarchie, le nombre d officiers a décru. Une part de leurs postes sont occupés par des majors.
  16. dans la PN, ils ont des avions (à la PAF), des plongeurs (à la fluviale à Paris et à Marseille), des unités nautiques (en Guyane, à Mayotte et, en saison, à Bordeaux, voire à Calais)... https://www.police-nationale.interieur.gouv.fr/nous-rejoindre/nos-metiers/policier-en-brigade-de-police-aeronautique https://www.republicain-lorrain.fr/edition-de-metz-ville/2015/08/24/gare-la-brigade-aeronautique-veille https://www.lavoixdunord.fr/1362861/article/2023-08-17/traversees-de-la-manche-en-patrouille-dans-les-airs-avec-la-police-aux https://www.google.com/search?q=BRIGADE+NAUTIQUE+police+aux+frontieres&client=firefox-b-d&sca_esv=7eb926410e39e903&udm=2&biw=1376&bih=639&ei=Iq-HZ-y_LOCYkdUP7bykuAk&ved=0ahUKEwjs2O6A4veKAxVgTKQEHW0eCZcQ4dUDCBE&uact=5&oq=BRIGADE+NAUTIQUE+police+aux+frontieres&gs_lp=EgNpbWciJkJSSUdBREUgTkFVVElRVUUgcG9saWNlIGF1eCBmcm9udGllcmVzSMEtUL0KWI4ocAF4AJABAJgB0gGgAZ4NqgEGMTUuMS4xuAEDyAEA-AEBmAIBoALWAcICCBAAGAcYCBgemAMAiAYBkgcDMi0xoAeFCg&sclient=img
  17. en effet, et voir aussi (prendre en compte) qu'il y a 10 000 démissions de chaque coté, tous les ans... et pas forcément pour aller voir l'autre képi... en gros, les attentes d'une partie des démissionnaires ne se trouvent plus là où ils sont. c'est un peu pour cela que je parlais de la police municipale comme troisieme force (mais, travailler à h24, en lieu et place de la nationale, ce n'est pas encore cela (ils ne veulent pas))
  18. pas convaincu : il existe des passerelles entre nos deux corps : il y a plus de gendarmes qui viennent en police que l'inverse mais, je pense que leur esprit militaire a un peu de mal avec les syndicats... (et pourtant, ils sont utiles)
  19. demande aux gendarmes s'ils veulent redevenir civils, eux qui sont militaires, avec les choix d'affectation correspondant (par exemple, en ambassade, les gendarmes ont environ 75% des postes et le reste à la police). Demande aux gendarmes quels sont leurs salaires et les primes quand ils vont en Corse, en affectation (pour un flic, c'est salaire métropole et une annuité pour un an.... (comprendre que les gendarmes, c'est plus)). ne demande pas aux policiers s'ils veulent devenir militaires, ce n'est pas la peine.
  20. disons que, pour moi, les gendarmes sont des militaires, dont certains sont mis pour emploi à l'Interieur (d'autres sont à la gendarmerie des transports aeriens, d'autres à la Gend Mar, d'autres à la prévoté et vont en intervention en Afrique...) Peut etre que des politiques ont estimé que donner la responsabilité de l'ordre public dans une prefecture, à des militaires, c'etait peut etre excessif les commissariats sont ouverts à H24 et necessitent donc des effectifs, du nombre. à part réclamer de prendre des responsabilités (les commissariats dans les "petites" villes), quels effectifs ont ils pour mettre dedans ?
  21. le rapport, ici : https://www.ccomptes.fr/fr/publications/la-repartition-des-zones-de-competence-entre-la-police-et-la-gendarmerie-nationales#:~:text=La Cour des comptes recommande,leurs missions de manière autonome. le point de vue des maires : https://www.maire-info.com/sécurité/zones-police-gendarmerie-la-cour-des-comptes-reclame-une-refonte-urgente-tenant-compte-davantage-des-polices-municipales-article-29286 Édition du mardi 14 janvier 2025 Zones police-gendarmerie : la Cour des comptes réclame une refonte « urgente » tenant compte davantage des polices municipales Pointant une carte des zones de compétence devenue « incohérente » et « inefficiente », les magistrats financiers demandent une meilleure prise en compte de cette « troisième force » dans le maillage des forces de sécurité. Et particulièrement dans les métropoles. Par A.W. © Adobe stock Enchevêtrement confus des zones de compétences, sureffectifs dans des zones sans enjeux de délinquance, des polices municipales pas assez prise en compte dans le maillage local des forces de sécurité… Dans un rapport publié hier, la Cour des comptes a analysé la répartition territoriale des forces de police et de gendarmerie qu’elle juge « inefficiente ». Celle-ci déplore le « peu d’évolution » de leurs zones de compétences au cours des 80 dernières années et constate que plus aucune modification n’est d’ailleurs intervenue depuis 2014, alors même que « l’évolution de la démographie et celle de la délinquance l’auraient justifié ». Pourtant, le fait que la répartition des 253 000 policiers et gendarmes du pays relève désormais de l’unique tutelle du ministère de l’Intérieur depuis 2009 « aurait dû permettre une révision plus substantielle de la carte que lorsque la gendarmerie relevait du ministère de la Défense », pointent les magistrats financiers qui estiment qu’il est désormais « indispensable » et « urgent » de procéder aux « ajustements nécessaires ». Une répartition « datée et incohérente » Depuis que le régime de Vichy a étatisé la police dans les communes de plus de 10 000 habitants, seulement un millier de communes (sur environ 36 000 communes françaises) ont changé de zone de compétence, au cours de quatre vagues de transferts « d’ampleur inégale ». Récemment, en 2022, le gouvernement a renoncé à mettre en œuvre les propositions faites dans le Livre blanc de la sécurité intérieure qui prévoyait de confier les communes de moins de 30 000 habitants à la gendarmerie, celles de plus de 40 000 habitants à la police nationale et d’analyser individuellement la situation des communes comprises entre ces deux seuils. Pour la Cour, « les freins à une réécriture d’ampleur de la carte sont multiples [et] tiennent notamment aux enjeux d’équilibre entre police et gendarmerie, à la sensibilité de ce sujet pour les organisations syndicales mais aussi, dans certains cas, aux réticences des élus locaux ». Entre « lourdeurs décisionnelles » et « concurrence entre les deux forces », la répartition actuelle des forces est donc jugée « datée et incohérente » par les magistrats de la rue Cambon. Ce qui en fait une « source de dysfonctionnements et d’inefficiences au détriment du service rendu à la population », estiment-ils. Premier exemple : alors que l’organisation de la police nationale est adaptée aux territoires urbains densément peuplés et ceux de la gendarmerie aux territoires plus étendus, « plus d’une circonscription de police sur dix couvre une population inférieure à 20 000 habitants, quand les deux tiers des communes intégrées à des métropoles sont en zone de gendarmerie », relèvent ainsi les magistrats, en déplorant « un positionnement des effectifs décorrélé des enjeux de délinquance ». 76 circonscriptions vulnérables à confier à la gendarmerie Une situation également illustrée par le cas de la Lozère, département de France le moins touché par les actes de délinquance, qui « compte un ratio de policiers et gendarmes pour 1 000 habitants supérieur à celui du Rhône, département cinq fois plus criminogène ». Sans parler de « l’enchevêtrement des zones [qui] crée des situations confuses », comme c’est le cas pour des stations de métro, à Toulouse notamment, dont « le sous-sol est en zone police et la surface en zone gendarmerie ». Même constat pour « des aéroports, des zones d’activité commerciale, des hôpitaux et des établissements scolaires, qui se trouvent à cheval sur deux zones ». Des situations qui peuvent donc entraîner « des difficultés opérationnelles manifestes » et conduire à « fragiliser la situation des plus petites circonscriptions de police nationale ». Pour y remédier, la Cour recommande donc de transférer « 76 petites circonscriptions de police jugées vulnérables » ainsi que « l’ensemble des communes des départements ruraux et faiblement peuplés, chefs-lieux inclus », à la gendarmerie. Dans le même temps, elle souhaite voir confier à la police « les communes des métropoles qui présentent des enjeux de délinquance continus avec ceux de la ville-centre ». L’essor des polices municipales, une « troisième force » Par ailleurs, si le bilan opérationnel des précédents transferts a « toujours conclu à leur effet positif sans pouvoir l’appuyer sur des éléments chiffrés », en réalité « ces transferts ont pu entraîner des surcoûts liés aux opérations immobilières et à une gestion peu rigoureuse des mutations qui a conduit à des sureffectifs dans des zones sans enjeux de délinquance », regrette l’institution de la rue Cambon. Sans compter que le ministère de l’Intérieur a privilégié les projets de réforme interne de chaque force plutôt qu’une refonte de la carte. La réorganisation de la police nationale et le plan « 200 brigades » de la gendarmerie pourraient ainsi « conduire, notamment par les projets immobiliers afférents, à figer durablement la carte en découlant », estime-t-elle. La Cour recommande donc « un ajustement continu plutôt que de grandes vagues complexes à décider, parfois coûteuses et aux effets non maîtrisés ». Elle souligne, au passage, que « la question de la répartition des zones police et gendarmerie doit être posée à l’aune de l’essor des polices municipales, particulièrement dans les métropoles, et de la place croissante qu’elles occupent dans le continuum local de sécurité ». Cette « troisième force » – présente « dans 4 558 communes et dotée de plus de 27 000 agents » – occupe ainsi « une place croissante » dans la construction des politiques locales de sécurité, avec notamment les « contrats de sécurité intégrée » conclus entre l’État et les collectivités locales. Raison pour laquelle le ministère de l’Intérieur devrait davantage la prendre en compte dans le « maillage local des forces ». « Il est indispensable de bâtir une doctrine, partagée, relative aux modalités d’articulation de l’action des polices municipales avec celle des forces de sécurité intérieure », réitère une nouvelle fois la Cour. Communes nouvelles : une compétence mixte trop « complexe » Par ailleurs, l’institution de la rue Cambon revient sur les quelques exceptions existantes à la stricte séparation entre zone police et zone gendarmerie jugées « parfois inutilement complexes ». C’est notamment le cas des communes nouvelles qui peuvent être sous compétence mixte depuis 2017. Bien que son usage soit très limité – il ne concerne que trois communes : Annecy, Héricourt et Thouars –, il entraîne « des difficultés matérielles et une complexité administrative ». Les magistrats financiers recommandent donc de « modifier la réglementation en désignant, dans le cas de fusion de communes, une seule force de sécurité intérieure (police ou gendarmerie), compétente sur l’ensemble du territoire de la commune, après avis des élus locaux ». De la même manière, certaines spécificités locales ont conduit « la police et la gendarmerie à instaurer, par protocole, une dualité de compétence dans certaines communes, comme à Narbonne, Arles et Millau ». Des situations qui ne sont « pas conformes à la réglementation », affirme la Cour qui recommande de « donner une base juridique à ces situations qui conduisent à une compétence partagée des deux forces sur le territoire d’une même commune ».
  22. et, là, on ne peut pas mettre le signe " = " entre les deux. j'avoue que j'ai mal vécu ma periode en zone gendarmerie où, il n'y avait qu'une patrouille VP le matin, voire, parfois une l'apres midi, sur une ile de 3 km de coté.. et dont les bureaux etaient fermés entre midi et 2 et apres 18h30.... bref, en cas d'urgence, au minimum 30 minutes d'attente (pour s'équiper) avant l'arrivée des camarades... et, en campagne, une patrouille pour une zone de 30 km de large.... pas le temps d'approfondir, de creuser.... bref, on compare et on veut mettre deux forces différentes sur le meme point (je miserai plus sur les polices municipales)
  23. Je ne conteste pas tes chiffres. Simplement je pense qu il est illusoire de penser qu une force qui a 30% de personnels de moins qu une autre peut avoir la même occupation du terrain. Combien de patrouilles de gendarmerie dans le canton à l instant T? Et, dans les effectifs de la gendarmerie, combien sont dédiés à la prévôté ? A la mobile, c est à dire pas à la police du quotidien ? Combien pour la surveillance des sites (GTA) ? Donc si tu reprends les chiffres bruts des effectifs, que tu retranches les différentes catégories ( officiers, prévôts, mobiles...) il en reste combien ? Quel est leur taux d occupation de la voie publique ?
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