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Tout ce qui a été posté par Raoul
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Israël et voisinage.
Raoul a répondu à un(e) sujet de loki dans Politique etrangère / Relations internationales
ça ne veut pas dire qu'il ne constitue pas un groupe de pression influent... surtout quand on voit le peu de chose que ce vote à l'ONU va changer sur le terrain. -
Intéressant... reste plus qu'à savoir le poids des différents éléments d'une batterie de samp/t
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La nationalisation suivie de la revente du n°1 mondial de l'assurance (AIG) a permis à l'Etat fédéral US de se faire une plus-value de plus de 20 milliards de dollars... L'idée, de plus en plus répandue, selon laquelle on "donne de l'argent aux financiers" ou encore "on nationalise les pertes pour privatiser les profits" est donc à nuancer... beaucoup.
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Un maintien de l'emploi au moins le temps où la boite et là ainsi que l'acquisition de compétences pour les personnes ayant travaillé dans cette boite. Mais je ne sais pas si celà compense les aides publiques.
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Délocalisation (à terme, éventuellement) de la production ne signifie pas echec du projet...
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S'il y a bien une chose dont il faut se méfier dans ce dossier, c'est le jugement préconçu ;) http://www.boursorama.com/forum-geci-international-une-expertise-redonne-de-l-espoir-421667450-1
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Merci pour cette tentaive de réponse technique à une question technique.
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Je connais, pas aussi finement que toi, mais un peu quand même l'ordre de bataille de notre marine (actuel et futur) ainsi que la doctrine d'utilisation. Mais question concernait la faisabilité technique du tir de samp/t directement depuis le pont d'envol, et non pas la mise en place de sylver sur le navire (et encore moins les choix d'équipement d'autre pays) :P
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Et sinon, à part ça ? :-[ =(
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Est-ce que le tir d'une batterie de samp/t est concevable de puis le pont d'envol du BPC ? Même question concernant un scalp naval... Merci d'avance 8)
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C'est le nom d'un fa israélien qui lui ressemble.
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Venezuela
Raoul a répondu à un(e) sujet de tharassboulbah dans Politique etrangère / Relations internationales
Quand bien même il aurait été le "poids lourd" du coin, nous (ainsi que nos alliés) sommes mal placés pour donner des leçons sur l'inutilité d'une armée crédible. -
C'est, comme qui dirait, du semi-mobile. Avec une bonne boucle ooda on pourrait tenter de les traiter avec des scalp, mais bon, c'est un peu limite quand même (sans oublier les leurres gonflable tels que décrits sur un autre fil)... d'autant plus qu'on n'en a pas des masses, de scalp.
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Punaise, ces considérations me confortent dans mon rêve d'un asmp conventionnel à vocation antiradar. Imaginons les gros radar sol-air portant habituellement à 300km maxi. Face à un appareil relativement discret comme le Rafy, la portée de ce radar doit être un peu moindre (250 ? 200 ? 150 ?). Imaginons donc notre Rafale qui perçoit la présence de ce radar vers 300km ; il balance alors son asmp qui file à basse altitude vers ledit radar qui n'a toujours rien détecté et poursuit "tranquillement" sa route. Cette arme antiradar, serait sans équivalent et permettrait des missions sead/dead véritablement stand-off. On peut même imaginer une version air-air (en intégrant cette fois un autodirecteur au missile) qui serait le cauchemar des awacs et autres hawkeye. Donc, pour préciser ce que j'ai écrit avant : OUI, la présence de l'aasm combiné au spectra fait que le déficit capacitaire lié à l'absence d'antiradar dédié (façon harm, martel...) est supportable. MAIS, la mise en service d'un antiradar supersonique à longue portée (basé sur l'asmp donc) nous offrerait des capacités uniques au monde pour un investissement relativement modeste.
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C'est assez comparable avec notre flotte, non ? 120 Rafale au lieu de 450 avions ;)
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Oui. Vous m'avez convaincu que l'absence d'antiradar dédié n'entraîne qu'un déficit capacitaire assez faible du fait de la combinaison aasm/spectra (même si, pour des radar AA se dévoilant au "dernier moment", une arme supersonique, pas forcément dédiée, apporterait un vrai plus).
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OK. Peut-on donc dire que ce différentiel de temps profitant à l'avion s'estompe dans le cas des pénétration à basse altitude (la distance de détection de l'avion corrspondant peu ou prou à la portée du radar, voire moins) ? Concernant une pénétration à haute altitude, est-ce que ce temps d'avance (cette "longueur d'avance" pour reprendre les termes de pascal) compense la différence de vitesse entre l'aasm et le sam ? Si on dit que le radar à une portée de 50km, il sera détecté par le Rafale à 100km, soit ! Mais, ce Rafale devra quand même se rapprocher à 50km (quasiment la portée maxi de l'aasm) pour effectuer son tir antiradar d'opportunité et continuer sa route vers sa cible initiale. En largant son aasm à 50 km, le radar ennemi est "tranquille" pendant près de 4 minutes alors qu'il reçoit des echos exploitable ce qui lui permet de tirer ses SAM (et même de faire du shoot-look-shoot). Pouvez-vous m'expliquer, en quoi, cette longueur d'avance, donne tactiquement l'avantage à l'avion dans le cadre de cette lutte contre le radar AA (étant entendu que la possibilité, pour l'avion, de contourner le radar est un vrai avantage, mais, pas pris en compte ici car nous parlons du tir d'opportunité d'une aasm antiradar) ?
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Le temps nécessaire au "retour" de l'onde est extrêmement bref (vitesse des onde radio ?) Il ne pourra jamais compenser le différentiel de vitesse entre un aasm (volant à 800km/h au mieux) et celle d'un sam (mach 2 à 4).
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Concernant le tir "d'opportunité" d'une aasm sur un radar, quid de la difficulté suivante ? Si le Rafale détecte, le radar, ce dernier le détectera aussi et pourra commander le tir d'un sam. Or, le sam étant nettement plus rapide que l'aasm, il est probable que le Rafale devra "gérer" l'arrivée du SAM avant que son aasm n'arrive sur le radar ennemi. C'est pourquoi, je pense que l'absence d'une arme antiradar supersonique constitue un déficit capacitaire important.