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  1. urgent:mali: arrestation du trafiquant lié à aqmi baba ould cheikh www.cridem.org/C_Info.php?article=641824 12-04-2013 00:25 - Mali: la double vie du caïd déchu Baba Ould Cheikh Recherché depuis février pour trafic de drogue et arrêté mercredi, le notable malien Baba Ould Cheikh fut aussi médiateur auprès d'Aqmi pour la libération d'otages occidentaux. Les trajectoires sahéliennes sont rarement aussi chimiquement pures que la cocaïne qui, après avoir transité par le continent africain, atterrit sur le "marché" européen. Pour preuve, le parcours du Malien Baba Ould Cheikh, arrêté mercredi au nord de Gao. Maire de la localité de Tarkint, ce quadragénaire figurait sur la liste des personnages visés par les mandats d'arrêt qu'émit le 8 février le parquet de Bamako, notamment pour "trafic international de drogue". De même, son nom était apparu au détour de l'enquête sur l'extravagante aventure d'un Boeing 727 venu du Venezuela et affrété par un cartel de la came latino-américain, qui s'était posé en novembre 2009 en plein désert malien, et que les trafiquants locaux avaient incendié après avoir débarqué sa cargaison. Or, à la même époque, Baba Ould Cheikh fut aussi un médiateur influent dans les tractations engagées pour obtenir la libération d'otages occidentaux enlevés par Al-Qaeda au Maghreb islamique (Aqmi). Au point de se voir mandaté par l'ex-président Amadou Toumani Touré, alias ATT, renversé lors d'un putsch en mars 2012. Un contact vers Mokhtar Belmokhtar Conseiller spécial du chef de l'Etat burkinabé Blaise Compaoré, le Mauritanien Moustapha Limam Chafi a raconté, en février dernier à L'Express, le rôle que joua l'intéressé lorsque, dans le cadre d'une mission visant à arracher le diplomate canadien Robert Fowler et son assistant des griffes de leurs geôliers islamistes, il rencontra pour la première fois l'émir d'Aqmi Mokhtar Belmokhtar. En chemin, Chafi avait fait escale à Gao et logé, à l'écart de la ville, dans une villa appartenant au fameux "Baba". Lequel supervisa la longue et angoissante méharée qui le conduisit jusqu'à la retraite désertique d'"Al-Laouar" -le Borgne-, l'un des sobriquets de Belmokhtar, encore surnommé "Mister Marlboro" du fait de son expertise dans la contrebande de cigarettes. Pas sûr que les services rendus naguère par le notable interpellé mercredi en compagnie de six autres narcotrafiquants présumés suffiront à fléchir ses juges le moment venu... www.cridem.org/C_Info.php?article=641824 et www.lexpress.fr/actualite/monde/afrique/mali-la-double-vie-du-caid-dechu-baba-ould-cheikh_1239465.html "médiateur" ou livreur?on saura bientôt!!!!!!!!!!!!!!!!!
  2. urgent:guerre contre aqmi:le ministre mauritanien de la défense au brésil pour renégocier l'acquisition de tucanos www.cridem.org/C_Info.php?article=641677 08-04-2013 07:17 - Le ministre mauritanien de la défense au Brésil pour renégocier l’acquisition de Tucanos Le ministre mauritanien de la défense, Ould Radhi, se trouverait actuellement au Brésil pour renégocier le contrat d’acquisition de 3 avions Tucano (ou A-29) du constructeur brésilien Embra, révèle le site Taqadoumy dimanche. Selon le site Taqadoumy cette visite du ministre de la défense auprès du constructeur, après le crash de l’un de ces avions, non loin d’Awjeft, pourrait trahir des défaillances techniques dans ces appareils de guerre. La Mauritanie aurait acquis les trois avions pour un coût de 54 millions Usd. Ils avaient été livrés en octobre de l’année dernière. www.mauriweb.info/fr/?p=1453
  3. urgent:groupes armés azawadis en mauritanie www.lauthentic.info/spip.php?article3796 Groupes armés du Nord Mali:la Mauritanie, terre de rencontre des combattants de l’Azawad Dimanche 7 avril 2013 Selon plusieurs sources de presse, la Mauritanie serait devenue depuis un certain temps un véritable carrefour où se croisent les différents courants de l’Azawad ainsi que les alliés des groupuscules terroristes islamistes en guerre contre le Mali, en l’occurrence le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao), ainsi que les grands trafiquants du Sahel. La Mauritanie deviendrait surtout une terre de refuge pour les groupes Arabes, Touarègues et Brabiches, qui s’y retrouvent pour débattre de leur problème, résoudre leurs différents et peaufiner leur stratégie de négociation avec le gouvernement malien. L’objectif des Azawadiens qui semblent bien se plaire en Mauritanie est de dégager une plateforme commune, sorte de consensus, entre les différents groupes, bien que beaucoup pensent que ces manœuvres arrivent tard, eu égard au fossé profond qui les sépare désormais et ce point de non retour dans les relations entre les composantes Azawadies. Est particulièrement dénoncée cette mainmise des tribus soi-disant majoritaires et fortes sur les commandes du MNLA (Mouvement national pour l’Azawad), présidé actuellement par le Touarègue Bilal ag Chérif, et contre lequel se bat le Mouvement Arabe de l’Azawad. Selon les informations relayées par la presse locale, les frères ennemis de l’Azawad auraient reçu l’autorisation des autorités mauritaniennes pour se réunir prochainement dans un lieu et à une date qu’ils choisiront. Des pourparlers intenses, selon le site Maurinews, se dérouleraient actuellement dans ce sens entre Ahmed Ould Sidi Mohamed, président du Mouvement des Arabes de l’Azawad et Mohamed Mahmoud Amrany, ancien diplomate malien dont l’influence auprès des Brabiches serait grande. Parmi les points communs déclarés entre les deux groupes, leur rejet du terrorisme et la nécessité de mettre en place une proposition consensuelle de sortie de crise à présenter au gouvernement de Bamako. Il faut rappeler dans ce cadre les propos du président malien Diacounda Traoré qui avait déclaré lors de sa visite en Mauritanie que si négociation il y aura, ce sera exclusivement avec le MNLA, une organisation qui regrouperait Touarègues, Arabes et les Kounta. Parmi les personnalités Azawadies qui avaient préparé le terrain en terre mauritanienne, le site Maurinews cite Henoune Ould Ali, un commerçant plusieurs fois cités dans la presse comme le principal financier du MUJAO. Il appartient à une petite tribu, alliée des Brabiches. Mais la personnalité la plus célèbre parmi les présents, serait selon le site, Amar Ould Hamaha, l’homme d’Aqmi qui créa avec la guerre contre la France le mouvement « Ançar Charia » essentiellement constitué de Brabiches et que d’aucuns qualifient de bras armé du Mouvement Arabe de l’Azawad. Il faut dire que Hamaha a roulé sa brosse dans les différents courants islamistes, passant du groupe « Daewa Wa Tabligh » à Al Qaïda au Maghreb Islamique (Aqmi), notamment la Katiba des « Moulathimines » sous la conduite de Khaled Aboul Abass ou Belwar, son beau-frère, puis le MUJAO et ensuite Ançardine, et enfin Ançar Charia qu’il créa. Contrairement à Aqmi, Ançar Charia a choisi l’emblème blanc avec l’inscription « La Illaha Ila Lah ». Hamaha, plus connu sous le nom de « Barbe rousse » et dont la presse malienne a déclaré la mort , vient de montrer qu’il est toujours vivant à travers une déclaration diffusée lundi soir dernier par Radio Nouakchott et dans laquelle il a démenti la mort de Belwar ainsi que les chiffres de tués gonflés dans les rangs des Moujahidines. www.lauthentic.info/spip.php?article3796
  4. urgent:vaste opération française dans le nord de gao: www.cridem.org/C_Info.php?article=641694 08-04-2013 15:05 - Mali : l'armée française mène une vaste opération au nord de Gao L'armée française a entamé dimanche une opération pour traquer les islamistes au nord de la ville de Gao. Baptisée "Gustav", c'est l'une des plus importantes en termes de moyens engagés. Elle se poursuit ce lundi et doit durer plusieurs jours. Ce sont un millier d'hommes, plusieurs dizaines de blindés, des hélicoptères, de l'artillerie, des drones et de l'aviation qui sont mobilisés. Cette opération – baptisée "Gustav – menée par l'armée française au Mali est l'une des plus importantes depuis le début du conflit au mois de janvier. Les militaires français sont déployés depuis dimanche au nord de Gao. Leur mission dans un oued asséché est toujours en cours ce lundi et devrait se poursuivre plusieurs jours. Il s'agit de traquer des islamistes. Pour le moment, aucun combattant n'a été découvert et aucun coup de feu tiré. Les hommes du Gébie ont toutefois trouvé et neutralisé environ 340 obus et roquettes de gros calibre cachés sous des acacias. Le quatrième oued fouillé Selon le général Barrera, commandant de la composante terrestre de la force Serval, "nous avons encerclé cette vallée au nord de Gao, dont nous pensons qu'elle sert de base logistique aux groupes djihadistes, et nous avons commencé à la fouiller méthodiquement. C'est le quatrième oued que nous fouillons dans la région de Gao, il y aura sans doute d'autres opérations de ce genre mais peut-être pas de la même ampleur". Quelque 4.000 soldats français sont actuellement engagés au Mali pour lutter contre les groupes islamistes armés. Mais à compter de fin avril, ils vont entamer leur retrait jusqu'à la fin de l'année. Il n'y en aura alors plus qu'un millier, selon Paris. www.franceinfo.fr/monde/mali-l-armee-francaise-mene-une-vaste-operation-au-nord-de-gao-945239-2013-04-08
  5. urgent:un jihadiste canadien d'origine sud-coréenne arrêté en mauritanie: www.cridem.org/C_Info.php?article=641605
  6. www.cridem.org/C_Info.php?article=641612 06-04-2013 13:13 - Gilles Kepel se confie à Liberté: les pays du golfe ont sponsorisé les islamistes et les salafistes' Universitaire, arabisant, Gilles Kepel est retourné entre 2011 et 2013 dans treize pays arabes pour mieux comprendre les événements qui agitent la région depuis 2011. Fruit de ses deux années de voyage Passion arabe est un journal de 480 pages où se mêlent des analyses, des anecdotes et des rencontres… Liban, Bahreïn, Émirats arabes unis, Syrie, Tunisie, Égypte, Palestine, Israël, Qatar, Arabie saoudite, Yémen, Turquie, Libye : un livre de vie (Kitab al-hayat) sur les printemps arabes. Dans cet entretien, Kepel explique comment les salafistes sont sortis vainqueurs des révolutions arabes et pourquoi les monarchies du Golfe à commencer par l’Arabie saoudite ont financé les mouvements intégristes pour islamiser les sociétés arabes par le bas. Mais l’auteur fait remarquer que les nouvelles générations semblent réfractaires aux discours religieux, du moins en tant que mode de gouvernance. Liberté : Qu’est-ce qui pousse un universitaire reconnu de 57 ans à jouer les jeunes “chercheurs-reporters” et à retourner sur le terrain ? Gilles Kepel : En décembre 2010, le patron de Sciences-Po Paris a pris la décision absurde de fermer le département d’études du monde arabe, que j’avais créé. Pour cette nouvelle direction, restriction budgétaire oblige, il suffisait de surfer sur les blogs et les réseaux sociaux derrière son ordinateur et de parler l’anglais pour comprendre les sociétés arabes. Après “cette mise à mort”, j’avais besoin de me reconstruire. Le déclenchement des révolutions le 17 décembre 2010 (*), en Tunisie allait me permettre d’encaisser le coup de massue. J’ai entrepris ce long voyage. Cela fait 40 ans que je fréquente cette région. J’y ai beaucoup d’amis, un certain nombre d’ennemis aussi. Je vis avec ce monde une vraie passion, faite d’amour et de détestation. Mais la soudaineté, la détermination populaire, les mots d’ordre des manifestants de ces Printemps arabes nous ont tous surpris. Pour ma part, les catégories de pensée dans lesquelles j’étais enfermé ne fonctionnaient plus. Je devais tout reprendre. Aller sur le terrain comme un observateur de base, pour comprendre. Retrouver ces lieux où j’avais erré, rencontrer les acteurs de ces printemps pour éviter de plaquer trop rapidement des schémas d’interprétation sans fond. Deux ans de pérégrinations, 35 voyages et 13 pays visités vous ont finalement donné la clé de “ces printemps” ? Il faut avoir l’humilité de ne pas tirer de conclusions hâtives. Le processus ne fait que commencer. Il est loin d’être fini. Nous sommes entrés dans la troisième phase de la révolte. Quelles sont ces phases ? La première qui va de la mi-décembre 2010 à l’automne 2011 est celle des jeunes qui descendent dans la rue pour réclamer des droits universels : démocratie, liberté et justice sociale. La seconde comprise entre septembre 2011 et le 1er semestre 2012 correspond à la montée des islamistes. Les Frères musulmans notamment qui, invisibles et silencieux au début des révoltes, remportent les élections en Tunisie et en Égypte. Et enfin la troisième phase, celle où depuis un an, les Frères qui ont montré leur incapacité à résoudre les problèmes sont contestés par la rue. Aujourd’hui, plus que les libéraux, on entend surtout les salafistes qui contestent les gouvernements en place. En Égypte le parti Nour, en Tunisie Ansar al-Chariah s’en prennent régulièrement aux laïcs, aux intellectuels, aux mauvais musulmans, aux artistes et aux femmes. L’assassinat le 6 février dernier de l’opposant laïc Chokry Belaïd témoigne de la violence de ces groupes. Les salafistes sont la partie visible, “spectaculaire” de ces révolutions. Ils font beaucoup de bruit et les médias les montrent. Mais les laïcs et la société civile ne sont pas en reste. En Tunisie, au lendemain de l’assassinat de l’avocat Chokry Belaïd, des milliers de gens, libéraux et démocrates, sont descendus dans les rues de la capitale, pour réclamer la fin des violences islamistes et le départ d’Ennahda au pouvoir. En Tunisie comme ailleurs, il existe des associations citoyennes extrêmement attentives à la sauvegarde des libertés individuelles. Plus de deux ans après leur début, n’y a-t-il vraiment aucune certitude à tirer de ces printemps ? Quel que soit le devenir, il y a une chose sur laquelle on ne pourra pas revenir : pour la première fois dans ces pays est apparue une citoyenneté arabe. La liberté de s’exprimer, qui avait été confisquée après les indépendances par les régimes autoritaires au pouvoir, a fait surface. Les gens n’ont plus peur de descendre dans la rue, même si la contestation part dans tous les sens. Et que l’on y trouve aussi bien des jeunes en jeans et en baskets que des barbus en djellabas et des femmes recouvertes du voile intégral. Pourquoi ces mouvements islamistes, absents au début des révolutions, ont fini par “étouffer” les jeunes libéraux, et confisquer leur révolution ? Parce dans la clandestinité où les dictatures des anciens régimes arabes les maintenaient, ils s’étaient efficacement organisés en groupes structurés. œuvrant dans l’ombre, un peu comme les partis communistes naguère. Ils jouissaient aussi de l’aura des partis martyrs : un grand nombre de leurs dirigeants avaient été emprisonnés sous les dictatures.Ils apparaissaient aux yeux de la population rurale plus honnêtes que les autres. Contrairement à ce que les télévisons occidentales nous ont montré, les révolutions ne se réduisaient pas à la jeunesse éduquée des centres-villes, parlant le français et l’anglais et utilisant Internet et les réseaux sociaux. Aux yeux des ouvriers, des fellahs des quartiers pauvres et des campagnes, cette jeunesse révoltée semblait trop occidentalisée. Très vite aussi quand les premières difficultés sont apparues, les Frères ont été considérés comme les seuls pouvant rétablir l’ordre et la sécurité. Aujourd’hui l’état de grâce est terminé ? Le même chauffeur de taxi qui en Égypte vous assurait en juin 2012 qu’avec un président comme Mohamed Morsi et son parti, Liberté et Justice au pouvoir, l’Égypte était sauvée, stigmatise aujourd’hui la confrérie en vous assurant que ces chefs sont incapables de sortir le pays du chaos. Le danger ce sont les salafistes. Soutenus par l’Arabie Saoudite, certains de leurs militants n’hésitent pas à utiliser la violence. Ces extrémistes profitent des frustrations pour gagner le cœur des peuples et conquérir les opinions publiques. Quel est la différence entre les Frères musulmans et les salafistes ? Soutenus par le Qatar, les Frères veulent s’emparer du pouvoir politique par le haut, en prenant le pays par les urnes. Financés par l’Arabie saoudite, les salafistes veulent islamiser l’ensemble de la société par le bas, en œuvrant dans les quartiers pauvres et les bidonvilles, sans forcément prendre le pouvoir politique. Même si récemment ils ont formé des partis. Ce qui est nouveau pour leur mouvance. Frères et salafistes ne tiennent-t-ils pas un double langage en se montrant rassurants pour la communauté internationale et les Occidentaux, alors qu’au fond, leur désir commun est d’islamiser les sociétés ? Ces printemps ont amené des dissensions dans les rangs islamistes, des Frères comme des salafistes. En Tunisie, l’ancien Premier ministre, Hamadi Djeballi, a démissionné de son poste car il était en désaccord avec la ligne trop religieuse de sa hiérarchie. D’autres personnalités défendent une société civile et une privatisation du religieux coupé du politique. Les islamistes ne parlent plus d’une voix unique. Ils sont confrontés à des difficultés économiques et la jeune génération se rend compte peu à peu, qu’on ne dirige pas un pays avec des versets religieux. Vous dites que le pétrole est la cause de l’arrivée de ces mouvements islamistes. Pourquoi ? Les révolutions arabes ont terrorisé les princes des gazomonarchies comme le Qatar et ceux des pétromonarchies comme l’Arabie Saoudite. Les mots d’ordre des jeunes révolutionnaires : démocratie, liberté, justice sociale incarnent tout le contraire de la politique de ces émirats et royaumes corrompus et dictatoriaux. Ces derniers ont vécu dans l’angoisse, de voir les manifestants arriver jusqu’à leurs portes pour les prier de partager leurs richesses. Pour endiguer cette menace, les pays pétroliers du Golfe ont sponsorisé des groupes islamistes et salafistes, afin que ces mouvements religieux retournent la colère de leurs partisans contre les laïcs, les libéraux et les mauvais musulmans, sans remettre en cause les comportements et les privilèges des princes qataris ou saoudiens. Le pétrole est une vraie “malédiction”. (*1) Le 17 décembre 2010, Mohamed Bouazizi, jeune vendeur ambulant de Sidi-Bouzid, ville du centre de la Tunisie, s’immole par désespoir sur une place publique. Son suicide déclenche la révolte des Printemps arabes, et entraîne la chute de trois dictatures en quelques mois : la Tunisie le 14 janvier 2011, l’Égypte le 11 février 2011, et la Libye www.liberte-algerie.com/actualite/les-pays-du-golfe-ont-sponsorise-les-islamistes-et-les-salafistes-gilles-kepel-se-confie-a-liberte-197445
  7. www.cridem.org/C_Info.php?article=641272 27-03-2013 21:04 - Les mauritaniens réagissent à la nomination du nouveau leader d'AQMI La nomination de Yahia Abou El Hammam comme nouveau commandant d'al-Qaida alimente les discussions en Mauritanie. "Il a été désigné il y a quelques jours comme le nouveau chef d’AQMI pour la région s’étendant de Ghardaïa, dans le centre-sud de l’Algérie, à la région de l’Azaouad au nord du Mali, mais il doit encore être confirmé dans ses fonctions lors d’une réunion de la direction d’AQMI", a expliqué Mohamed Mokeddem, directeur de la chaîne de télévision algérienne Ennahar TV le dimanche 25 mars à l'annonce de cette information. Son prédécesseur Abou Zeid (de son vrai nom Mohamed Ghadir), le chef de la brigade Tariq ibn Ziyad, a été tué à la fin du mois dernier dans les monts des Ifoghhas au Mali, ont confirmé samedi les autorités françaises. El Hammam (de son vrai nom Djamel Oukacha) est un proche d'Abdelmalek Droukdel, a fait remarquer Jidou Ould Sidi, journaliste spécialisé dans les questions de sécurité. Tous deux appartiennent au "groupe d'Alger", qui désigne les terroristes de haut rang nés dans la région de la capitale algérienne, a-t-il souligné. Ould Sidi a également rappelé le rôle actif joué par Oukacha dans la guerre menée par le Groupe islamique armé (GIA) contre le gouvernement algérien dans les années 1990. "Oukacha aurait rejoint le nord-Mali en 2004. Sa présence avait également été signalée parmi le commando ayant attaqué une caserne militaire en 2005 en Mauritanie. Il serait aussi impliqué dans l’assassinat en 2009, toujours en Mauritanie, de l’Américain Christopher Leggett, qui travaillait pour une ONG", a-t-il précisé. Selon Ould Sidi, le successeur d'Abou Zeid, âgé de 34 ans, aurait très vite gravi les échelons au sein d'AQMI. "Son parcours n’est pas aussi fameux que celui des autres chefs de l’organisation et il n’a pas l’envergure d’un Mokhtar Belmokhtar." "C'est un djihadiste convaincu qui ne change pas de position pour de l'argent", a indiqué Le Figaro citant Jean-Paul Rouiller, directeur du Centre d'analyse du terrorisme basé à Genève. Oukacha a également passé dix-huit mois dans une prison algérienne au milieu des années 1990. Passé du Groupe islamique armé au Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), il a été actif dans le Nord de l’Algérie, dans la région kabyle de Tizi Ouzou. "La désignation d’Oukacha intervient dans un contexte difficile pour AQMI, qui est actuellement aux aguets du fait de l’intervention franco-africaine au nord-Mali", a expliqué le spécialiste du terrorisme Sidati Ould Cheikh. "Sa priorité sera certainement de tenter de réorganiser ses troupes en les réaffectant. Elles ont subi des pertes que l’on dit très importantes aussi bien en hommes qu’en matériel. Il lui faudra trouver des hommes de la trempe d'Abou Zeid et de Belmokhtar, que l’on présente aussi comme mort", a-t-il ajouté. Mais il souligne que malgré l'intervention militaire internationale en cours dans le nord-Mali, "la menace terroriste est loin d’être écartée". "Elle interpelle les pays de la région, ainsi que la communauté internationale dans son ensemble, sur l’urgence d’une action résolue et intégrée", a-t-il ajouté. www.cridem.org/C_Info.php?article=641272 et www.magharebia.com/fr/articles/awi/features/2013/03/26/feature-01
  8. www.france24.com/en/20100924-key-figures-al-qaedas-north-african-branch
  9. urgent:katiba des moulathamines:belmokhtar toujours vivant: www.cridem.org/C_Info.php?article=641470 01-04-2013 23:44 - Katiba des Moulathamins: Bellawar n'est pas mort Dans un contact avec l'ANI, un porte –parole de la katiba des moulathamins; qui s'était présenté sous l'identité de "Moghrane" a affirmé que Bellawar n'est pas mort, indiquant toutefois ne pas ne posséder suffisamment d'éléments d'information sur "certains grands chefs jihadistes". Ce même Moghrane; citant Hacen Ould Khlil; alias Jouleibib , porte-parole, déjà connu,des moulathamins; que cette katiba a "déploré 15 à 20 combattants au cours des combat de la chaîne de montagnes de Tigharghart et qu'elle a tué un certains nombre de soldat français, dont un officier des transmissions"; soulignant que "des moujahidins ont pu constater directement la mort de cet officier". Il a également précisé que 20 autres ont été tués à Gao en plus de 5 portés disparus. "15 autres ont été tués dans d'autres combats; dont Abou Aicha Almassri; Ziyad Al Tounoussi, Farouk Almaghribi, deux mauritaniens dont Ahmed Ould El Moctar, un soudanais et d'autres", a-t-il affirmé. Il; par ailleurs, affirmé "qu'au cours de l'offensive de Tagharghart, où les tcahdiens avaient annoncé la mort de 25 soldats; seulement 5 moudjahidines ont été tués". "Nous; membres de la katiba des moulathamins, promettons de continuer les attaques contre les ennemis d'Allah; les français et leurs alliés qui prennent part à l'agression", a-t-il conclu. www.ani.mr/?menuLink=9bf31c7ff062936a96d3c8bd1f8f2ff3&idNews=21377
  10. urgent:barbe-rouge ould hamaha éliminé www.cridem.org/C_Info.php?article=641433 01-04-2013 12:42 - La mort de barbe-rouge Omar Ould Hamaha, alias barbe rouge, l’homme qui déclarait attendre fermement les forces françaises, aurait été tué le 23 mars par des arabes kountas lors d’affrontements qui se seraient déroulés dans la région de Gao. Fin de partie pour celui qui prétendait combattre pour le djihad pour mieux garnir son compte en banque grâce au trafic de cocaïne. Arabe bérabiche malien, il avait donné sa soeur à Mokhtar Bel Mokhtar pour bénéficier, à la fois de sa protection et de ses réseaux mafieux, ceci confortant l’idée que ceux qui avaient pris le contrôle du nord Mali depuis avril 2012 étaient plus motivé l’argent que par la lecture exégétique du Saint Coran. Mégalomane comme tous les chefs djihadistes, il avait créé sa katibat « Ansar Al charia » avec des combattants issus de la mouvance du MUJAO et de la katibat « Al Moulathamine » de son beau-frère borgne. Vite dépassé par les évènements lors de l’offensive des forces alliés lancée au mois de janvier, il s’était rapidement réfugié dans la zone de Gao pensant pouvoir continuer le combat en proposant aux jeunes désœuvrer de la région de l’argent pour aller faire le coup de feu contre les forces internationales. L’argent venait bien évidemment du trafic de drogue contrôlé par ses amis dont le fameux Baba Ould Cheikh, l’homme qui faisait poser au nord Mali des boeings lourdement chargés en provenance des cartels sud-américains, à l’origine du scandale « Air Cocaine ». Il faisait également partie de la triste équipe qui avait pris en otage des occidentaux à Tindouf en 2011, action qui avait été revendiquée à l’époque par le Mouvement pour l’Unité et le Djihad en Afrique de l’Ouest dont c’était une des premières actions, avec déjà pour objectif premier de récupérer de l’argent sous prétexte de lutte pour l’Islam. On se souviendra, sans grande nostalgie, de ses parades en 4x4, à Gao ou Tombouctou, ou il aimait faire peur aux femmes et aux enfants, en vociférant contre l’Occident et la France en particulier. Au déclenchement de la guerre, il fût beaucoup plus furtif et timoré quand il fût question d’affronter cette fois de vrais soldats. Il préféra laisser les plus jeunes se faire tuer pour, disait-il, aller chercher des renforts, des armes et du ravitaillement, qui ne vinrent bien sûr jamais. Il préférait probablement plutôt aller teindre sa barbe, qu’il voulait impressionnante, au henné. L’usage de la teinture au henné d’ordinaire réservée aux femmes traduisait certainement une sexualité confuse chez celui qui aimait être entouré de jeunes hommes. Ce détail n’avait pas échappé à son beau-frère Mokhtar Bel Mokhtar qui avait pris depuis quelques semaines ses distances. Les amitiés « viriles » au sein des katibats devaient être discrètes pour être tolérées, alors qu’Omar Ould Hamaha avait la réputation d’être très « tactile ». La mort d’Omar Ould Hamaha quelques jours après celle d’Abu Zeid marque bien la fin du narco-djihadisme au Sahel. Une nouvelle ère s’ouvre désormais pour la jeunesse du nord mali, qui espérons le, saura trouver le chemin de la paix. www.alterinfo.net/La-mort-de-Barbe-rouge_a88551.html?com#last_comment
  11. *** ag ghali en route pour le sahara occidental,ici: www.malijet.com/actualite-politique-au-mali/flash-info/68180-mali-lyad-ag-rhaly-en-route-vers-le-sahara-occidental.html
  12. urgent: www.cridem.org/C_Info.php?article=641380 31-03-2013 06:40 - Le top 17 des terroristes -1. Mohamed Ghadir (Abdelhamid Abou Zeïd), annoncé mort officiellement par Paris. -2. Mokhtar Belmokhtar (Abou Al Abass) -3. Yahia Djouadi (Yahia Abou Ammar), émir de la katiba du Sahara pour Al Qaîda avant la nomination de Nabil Makhloufi -4. Nabil Makhloufi (Nabil Abou Alqama), qui a remplacé Abou Ammar qui a rejoint le commandement d’AQMI dans l’ouest de la capitale, à la demande de Abdelmalek Droukdel. En 2012, il est tué dans un accident de voiture au Nord-Mali -5. Abderrahmane Al Tandighi, Mauritanien, membre du majliss echoura d’AQMI -6. Hamada Ould Mohamed Al Kheiri, ancien membre d’AQMI, fondateur du Mouvement pour l’unicité et le jihad dans l’Afrique de l’Ouest (Mujao). Relâché contre des otages espagnols en Mauritanie -7. Ahmed Al Tlemci, relâché lui aussi en échange de la libération des otages espagnols, membre fondateur du Mujao -8. Djamel Okacha (Yahia Abou Al Hamam), émir de la branche d’Al Qaîda au Sahel, il a notamment été actif dans l’est de la capitale. Il a été annoncé la semaine dernière comme remplaçant d’Abou Zeïd -9. Lamine Bencheneb, dirigeant du Mouvement des enfants du Sahara pour la justice islamique et un des fondateurs du Mujao. Il a été tué lors de l’attaque de Tiguentourine -10. Nacer Toumi, responsable des liaisons entre AQMI au Nord et les émirs du Sahara -11. Taïb Ould Sidi Ali, responsable de la communication et des opérations pour Al Qaîda au Sahel et en Mauritanie avant son élimination. -12. Edoum Ould Omar, né Hamma, membre de la katiba des Moulathanmine, gendre et second de Mokhtar Belmokhtar. Edoum a été tué dans un raid aérien lancé pour l’opération de sauvetage de l’otage français Michel Germaneau en 2011 -13. Sidna Ag Hita, Mauritanien, émir de la katiba Youcef Ibn tachfin. Sa mort a été annoncée au début du mois de mars 2013 lors d’un raid aérien -14. Mohamed Lamine Ould Hassan Ould Hadrami, (Abdullah Chanqiti), Mauritanien membre de la katiba Tariq Ibn Ziyad, l’un des principaux responsables des enlèvements pour AQMI -15. Hamlaoui Abou Ammar Mohammed Atounoussi, Tunisien, l’un des collaborateurs les plus proches d’Abou Zeïd, parle plusieurs langues, censé être en charge de la communication pendant les négociations pour la libération des otages occidentaux -16. Guoami Ouled El Kouri Abou Mohsen, Malien, chef du comité d’Al Ançar dans les katiba du Sahara d’AQMI. -17. Abdelhadi Zaoui Abou Hayan Al Maghrebi, Marocain. Il s’est séparé d’AQMI pour rejoindre le Mujao A cette liste ont été rajoutés récemment Iyad Ag Ghali, le chef d’Ançar Eddine, le commandant militaire de la même organisation, Mohammadi Ould Ennadji, et Senda Ould Bou Amama, porte-parole d’Ançar Eddine. www.elwatan.com/actualite/le-top-17-des-terroristes-29-03-2013-208330_109.php
  13. urgent:découverte de caches d'armes dans un cimtière de tombouctou www.cridem.org/C_Info.php?article=641336 29-03-2013 18:04 - Mali : Découverte d'importantes caches d'armes dans un cimetière à Tombouctou Bamako - Les forces maliennes ont découvert jeudi après-midi une importante cache d'armes au cimetière du quartier Sans-Fil de Tombouctou au nord du Mali, a révélé un officier de l'armée malienne. Nous avons déterré un arsenal conséquent dans un caveau au cimetière. Ce lot est composé d'armes de toute calibre, de minutions et des engins explosifs improvisés. Il s'agit d'un Grad-P, une mitrailleuse de 12,7 mm, une caisse de grenades, une caissette de 7,6 mm semi-long et d'autres engins explosifs et système de mise de feu", a expliqué notre source militaire. Selon cet officier de l'armée malienne, la ville de Tombouctou est truffée d'armes et d'engins explosifs de toute nature. "C'est un réel danger pour la population civile et surtout les enfants. Les terroristes ont réalisé des caches d'armes même dans le fleuve. C'est pour signaler que la ville de Tombouctou nécessite aujourd'hui une opération d'envergure de dépollution à tous les niveaux", a-t-il apprécié. Au même moment, un responsable de la gendarmerie a confirmé le décès du "commissaire islamique" de la ville de Tombouctou Hassan Mahamane,qui ordonnait la destruction des mausolées. Ce "leader" a été tué lors de l'attaque kamikaze de la semaine dernière sur la route de l'aéroport de Tombouctou. www.afriquinfos.com/articles/2013/3/29/mali-decouverte-dimportantes-caches-darmes-dans-cimetiere-tombouctou-220983.asp
  14. www.ani.mr/?menuLink=c16a5320fa475530d9583c34fd356ef5&idOpinion=1702 Guerre au Mali: L’Algérie a-t-elle joué et perdu? En précipitant la guerre au Mali, la France a, non seulement fait échec et mat aux manœuvres algériennes qui visaient à empêcher l’arrivée effective des troupes de la CEDEAO sur le sol malien pour combattre les groupes islamistes et terroristes affiliés à Aqmi, ou à sortir les pays du champ, voire du Sahel, de l’influence de leur ancien colonisateur, mais elle a sérieusement entamé, sinon le leadership algérien dans la lutte contre le terrorisme, du moins sa vocation d’être une puissance régionale sans l’implication de laquelle, les djihadistes ne peuvent être chassés du septentrion malien. Non seulement la rapide reconquête des villes aux mains des djihadistes s’est faite en un clin d’œil, mais ce coup de force français est comme venu ôter à l’Algérie de sa crédibilité auprès des puissances occidentales en la contournant, elle qui entretenait des relations occultes avec le mouvement Ansar-Eddine et son chef, Iyad Ag Ghali, considéré comme leur interlocuteur privilégié, notamment dans les différentes médiations tentées par Alger dans le cadre du conflit opposant les touaregs maliens au pouvoir central de Bamako. N’ose-t-on pas douter qu’Alger aurait équipé Ansar-Eddine en lui livrant vivres et équipements jusqu’à son sanctuaire de Kidal, même à la veille de l’assaut lancé contre les villes-garnison maliennes de Sévaré et Mopti ? Un soutien qui n’aura pas manqué de profiter au MUJAO et autres acolytes d’Aqmi dans le nord du Mali. Des relations entre Iyad Ag Ghali et les autorités algériennes qui n’ont pas échappé aux chancelleries occidentales, surtout depuis l’insurrection touareg de 2012, le principal souci d’Alger demeurant de diaboliser le MNLA. N’est-on allé, côté Algérie, jusqu’à provoquer chez la rébellion touareg du MNAL, une scission pour en dégager une entité à connotation islamiste qui entre en contact avec les groupes djihadistes existant dans le nord du Mali alors que, tout le sait que les revendications du MNLA n’ont jamais dépassé le cadre politique ? En propulsant au devant de la scène du chef du mouvement Ansar-Eddine, Alger espérait certainement un pourrissement du dossier malien, mais elle avait oublié qu’elle ne pouvait longtemps se jouer de tout le monde, la compétition régionale sur fond d’intérêts géostratégiques pour les grandes puissances, ne pouvant que lui être fatale. Or, justement, le Sahel qui est soumis à des troubles de plus en plus violents, est une région est riche en pétrole et il n’est étonnant que le Mali, qui y compte pour beaucoup, provoque en effet désormais un vif intérêt. Beaucoup de malien et la presse malienne en a fait cas plus d’une fois, n’arrêtent plus de «considérer Alger comme la principale responsable de la tragédie actuelle vécue par le Mali, mais aussi comme le principal écueil à toutes les tentatives internationales visant à trouver une sortie de crise. Maliweb.net écrira dans une édition : «La posture adoptée par les généraux algériens préconisant et défendant bec et ongles le principe de négociations stériles et improductives avec les irrédentistes touaregs d’Ansar-Dine et leurs velléités de blanchir, par voie interposée, Aqmi, ne trompent plus personne et exaspèrent de plus en plus le citoyen malien qui est désormais convaincu que ce pays voisin cherche (à tout prix) à garder son hégémonie sur le nord-malien en y créant une zone de non droit, quitte à ce que les terroristes y soient mandatés pour gérer ses desseins occultes». Sid’Ahmed Ag Mohamed www.ani.mr/?menuLink=c16a5320fa475530d9583c34fd356ef5&idOpinion=1702
  15. urgent:combattants du polisario dans les rangs d'aqmi www.cridem.org/C_Info.php?article=641207 26-03-2013 02:03 - 700 combattants du Polisario au Nord-Mali Ils seraient plus de 700 combattants du Polisario à s’être rendus au Mali. Selon des rapports de chancelleries occidentales accréditées au Mali, ces membres du Polisario auraient rejoint individuellement ou par groupe les djihadistes algériens au nord du Mali, rapporte le site d’information mauritanien Al Akhbar. Le salaire de ces combattants s’élèverait entre 200 et 600 euros. D’après des officiels diplomatiques cités par le média en ligne, le gouvernement algérien œuvre en faveur de l’instabilité au Sahel. Son but serait d’influencer les pays maghrébins et freiner les activités militaires et de renseignements de la France et des Etats-Unis au Sahel. Les auteurs des rapports affirment que l’Algérie coopère avec d’autres pays tels que la Syrie, l’Iran ou la Corée du Nord pour mener à bien cette mission. Ils ajoutent que le Polisario est un instrument utilisé par l’Algérie pour occuper la zone sahélo-saharienne. L’Algérie s’était fortement prononcée contre une intervention militaire au Mali, préférant privilégier les négociations. Tiéman Coulibaly en est convaincu Ces accusations portées par ces chancelleries viennent confirmer les dires du ministre malien des Affaires étrangères qui en février dernier affirmait que le Polisario envoyait des hommes combattre au Mali. « Ils n’étaient que 500 djihadistes au départ. Aujourd’hui, ils sont entre 5.500 et 7.000 hommes. Ces groupes djihadistes ont été rejoints par des jeunes sans perspectives y compris par des jeunes sahraouis des camps », avait-il déclaré lors d’un entretien accordé à Atlasinfo, tout en faisant allusion notamment au camp de Tindouf sous le contrôle du Polisario au sud de l’Algérie. L’Algérie avait pourtant « autorisé sans limite le survol de son territoire aux avions français » pour se rendre au Mali, selon le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius. Bien qu’en réalité les rafales français ont survolé le Maroc et non l’Algérie. Que le Polisario soit actif au Nord-Mali, même Habib Ould Youssouf, Nigérien et leader du Mujao, l’a confirmé en louant le grand soutien qu’il reçoit du Polisario. En donnant son aval à Paris de survoler son espace aérien, Alger s’était officiellement engagé dans le conflit. Pour autant, est-il, en parallèle, réellement complice du Polisario dans l’envoi d’hommes au Nord-Mali ? www.afrik.com/700-combattants-du-polisario-au-nord-mali
  16. www.cridem.org/C_Info.php?article=641164 24-03-2013 17:28 - Al-Qaïda désigne Djamel Okacha pour succéder à Abou Zeid Al-Qaïda désigne Djamel Okacha pour succéder à Abou Zeid Alger - L'Algérien Djamel Okacha, 34 ans, a été désigné comme successeur d'Abdelhamid Abou Zeid, l'un des principaux chefs d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) dont Paris vient de confirmer la mort au Mali, a rapporté dimanche la chaîne de télévision algérienne Ennahar TV. Okacha, au pseudonyme de Yahia Aboul Hannam, est un proche du chef d'Aqmi, Abdelmalek Droukdel. Il a été désigné il y a quelques jours mais doit encore être confirmé dans ses fonctions lors d'une réunion de la direction d'Aqmi, a précisé à l'AFP le patron d'Ennahar TV, Mohamed Mokeddem (bien: Mokeddem). Le nouveau chef d'Aqmi pour la région s'étendant de Ghardaïa (centre-sud de l'Algérie) à la région de l'Azawad (Nord du Mali) est considéré comme l'homme de confiance de Droukdel et l'homme fort de l'organisation, selon la même source. Samedi, le président français François Hollande a confirmé de manière certaine la mort de l'Algérien Abdelhamid Abou Zeïd, tué fin février par l'armée française dans le massif des Ifoghas dans le nord du Mali. Sa mort avait été annoncée le 1er mars par le président tchadien Idriss Déby, dont les forces combattent aux côtés des soldats français dans l'extrême nord du Mali notamment contre les combattants d'Aqmi.
  17. www.theblaze.com/stories/2013/03/20/here-are-the-first-alleged-excerpts-from-the-hacked-hillary-clinton-benghazi-memos-do-they-explain-the-video-story/
  18. www.cridem.org/C_Info.php?article=641101 23-03-2013 00:27 - Soutien à al-Qaida des salafistes tunisiens Tunisie - Les djihadistes salafistes tunisiens ont réitéré cette semaine leur allégeance à al-Qaida, en acceptant l'invitation lancée par le groupe à participer à la guerre sainte. L'appel lancé, le dimanche 17 mars, par al-Qaida au Maghreb islamique pour combattre la France, l'Occident, les partisans de la laïcité et les autres soit-disants "ennemis" a été favorablement accueilli par les djihadistes salafistes tunisiens, a déclaré à Assabah Mohamed Anis Chaieb, le leader de ce mouvement. "La déclaration publiée par AQMI appelle à la préservation des acquis de la révolution tunisienne, et le mouvement djihadiste salafiste répondra à cet appel et défendra ces acquis", a-t-il déclaré à Assabah. Il a ajouté que ce sont les "attaques des laïcs" qui ont poussé les sheikhs et al-Qaida à demander aux jeunes du Maghreb de ne pas quitter leurs pays, parce que "ces terres sont désormais vulnérables". C'est la première fois que les groupes djihadistes salafistes de Tunisie apportent officiellement leur soutien à al-Qaida, bien que certains de leurs leaders soient connus pour leurs liens avec la nébuleuse terroriste. C'est par exemple le cas du leader d'Ansar al-Sharia Saif Allah bin Hussein (alias Abou Iyadh), qui fait actuellement l'objet d'une enquête de la part des services de sécurité. Depuis le renversement de l'ancien Président Zine El Abidine Ben Ali début 2011, les forces de sécurité ont affronté à maintes reprises des hommes armés appartenant à des mouvements religieux militants. "Les Tunisiens considèrent ce phénomène comme une menace pesant sur le style de vie de la majorité d'entre eux", avait déclaré le Président Moncef Marzouki en novembre, mettant en garde contre ces extrémistes qui tentent "d'imposer leur vue par la force dans certaines mosquées et dans certains quartiers de notre pays". Il s'agit selon lui d'un "plan conçu par les salafistes pour instaurer un émirat islamique en Tunisie, à l'instar de ce qui s'était produit en Irak et en Afghanistan", a déclaré l'ancien Premier ministre par intérim Hamadi Jebai. Pour Neila Makhlouf, enseignante dans le secondaire, "l'appel au soutien (d'al-Qaida) témoigne de sa défaite et de sa désintégration, ainsi que d'un déclin de sa popularité après les révoutions arabes". Mais l'organisation tentera de profiter de l'insécurité qui prévaut dans la région, ajoute-t-elle. "Ils veulent combattre la laïcité par la violence, les assassinats et les actes de sabotage. Mais je leur dis qu'il existe un autre moyen de s'opposer et de lutter contre la laïcité, par le biais de la connaissance et de la science", poursuit-elle. "Ils soutiennent al-Qaida dans sa lutte contre la France et les laïcs, mais ne viennent pas en aide à l'économie du pays, ni aux pauvres ou aux orphelins. Combattre la France et la laïcité n'est pas la solution pour le peuple tunisien, parce que les armes et le terrorisme sont un problème, pas une solution", déclare pour sa part Fourat Yahmadi. www.cridem.org/C_Info.php?article=641101
  19. il faut parfois être ferme et convaicant pour faire parler certains,surtout quand le temps presse.................
  20. urgent:nord-mali:la guerre de la cocaine: www.cridem.org/C_Info.php?article=641068 21-03-2013 23:14 - Mali: la guerre de la cocaïne Depuis dix ans, le nord du pays est une plaque tournante de l'acheminement de la poudre blanche sud-américaine vers l'Europe. Militaires, politiques, ethnies... Le trafic a trouvé des relais dans tous les camps, djihadistes inclus. L'intervention française a coupé la route. Jusqu'à quand? Parmi les multiples racines de la crise que traverse le Mali, en voie d'être sauvé par l'intervention militaire, le trafic international de drogue a joué un rôle important. En moins de dix ans, le pays est devenu l'une des principales zones de transit de la coke sud-américaine vers l'Europe. Une montée en puissance orchestrée par les cartels colombiens et vénézuéliens. Au début des années 2000, ceux-ci décident de contourner les routes maritimes et aériennes directes, trop surveillées à leur goût, pour faire de l'Afrique de l'Ouest la plaque tournante du trafic destiné au marché européen. Les cargaisons, acheminées à travers l'Atlantique par bateau ou avion, seront désormais débarquées dans les pays côtiers: Guinée-Bissau, Gambie, Ghana... A partir de là, les immensités désertiques du nord du Mali, frontalières de la Mauritanie, de l'Algérie et du Niger, offrent un "boulevard" pour convoyer les chargements jusqu'aux rives de la Méditerranée. "Au fil des années, la présence de l'Etat n'a cessé de se réduire dans le nord du territoire, déplore un ancien ministre, originaire de Gao. Le pouvoir de Bamako y était déjà fragilisé par la rébellion touareg, les rivalités ethniques, la contrebande ''traditionnelle'' et la présence d'Aqmi, et les narcotrafiquants se sont engouffrés dans cette brèche." 15 milliards d'euros depuis dix ans Selon le dernier rapport de l'Office des Nations unies contre la drogue et le crime (Unodc), 18 tonnes de cocaïne auraient transité par l'Afrique de l'Ouest en 2010, après un pic de 47 tonnes en 2007. D'autres sources avancent une moyenne annuelle oscillant entre 40 et 80 tonnes. "Un flou absolu règne sur les quantités, mais elles sont forcément sous-estimées car toutes les filières ne sont pas connues", estime pour sa part Mathieu Pellerin, spécialiste des questions de sécurité au Sahel. La valeur totale de la cocaïne ayant traversé depuis dix ans le Sahara avoisinerait les 15 milliards d'euros. De quoi s'assurer bien des complicités... Les narcos graissent la patte de douaniers, policiers, militaires, mais aussi de chefs de milices communautaires. Sans oublier les politiciens, toutes ethnies confondues, dont certains proches d'Amadou Toumani Touré, alias ATT, l'ex-président de la République, déposé par un coup d'Etat le 22 mars 2012 et actuellement réfugié au Sénégal. Cette chaîne de corruption est indispensable pour assurer le transit des cargaisons de drogue sur des milliers de kilomètres de piste. Il faut recruter des guides et des chauffeurs de 4x4 chevronnés, souvent des Touareg, ainsi que des gardes armés. A chaque portion de territoire traversée, chefs de tribu et de milice réclament un droit de passage. Ils se font aussi payer pour assurer la sécurité du convoi jusqu'à l'étape suivante. Parfois, la marchandise change plusieurs fois de mains en cours de route: les sacs de coke sont alors déposés dans une maison abandonnée ou enterrés en plein désert, à un endroit identifié par sa position GPS. Pour une livraison acheminée à bon port, un chauffeur peut percevoir 2500 euros. Après deux ou trois allers-retours réussis, le véhicule lui est offert. Une vraie fortune à l'échelle locale: beaucoup de jeunes désoeuvrés se pressent pour jouer les "petites mains" des réseaux. Un temps en retrait, les terroristes d'Al-Qaeda au Maghreb islamique (Aqmi) ont fini par entrer à leur tour dans le circuit. Avant la guerre, ils prélevaient une dîme équivalant à 10 % de la valeur des convois pour les escorter de l'extrême nord du Mali vers le Maroc, la Libye ou le Tchad. "Ce n'était pas leur revenu principal", précise toutefois, au téléphone, Ibrahim Ag Mohamed Assaleh, un cadre du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA), groupe touareg séparatiste qui a déclenché la dernière rébellion en janvier 2012. Cet ancien député de la région de Gao, poursuivi par la justice malienne pour "sédition" et "atteinte à l'intégrité du territoire national", a observé de près les connexions entre narcos et djihadistes. "Les terroristes d'Aqmi reversaient aux trafiquants de drogue une partie des rançons reçues pour libérer les otages occidentaux, poursuit-il. En retour, ils se faisaient ravitailler en logistique: véhicules, armes, médicaments, matériel électronique..." De juteuses commissions à chaque libération d'otage Dans cette "Mali connection", quelques personnages ont joué sur tous les tableaux. Parmi eux, Baba Ould Cheikh, 45 ans, maire de la commune de Tarkint. Issu de la communauté Lamhar, "Baba", comme on le surnomme, dirige depuis les années 2000, à Gao, deux entreprises de bâtiment et de transport. Grâce à sa flotte de camions, il importe illégalement d'Algérie tous les produits de consommation courante qui alimentent le nord-est malien. Autant dire qu'il connaît du monde... Dès 2003, il devient ainsi l'un des négociateurs officieux chargés par les autorités de Bamako d'obtenir la libération des premiers otages enlevés par Aqmi. Il noue des liens de confiance avec les Algériens Abou Zeid et Mokhtar Belmokhtar, deux des principaux chefs djihadistes (qui auraient été tués les 22 février et 2 mars derniers). A chaque libération obtenue, Baba Ould Cheikh s'octroie de juteuses commissions. Il est dans les petits papiers du président ATT, qu'il peut joindre directement sur son portable. Mais Baba fait aussi dans la "poudre". Avec des "hommes d'affaires" espagnols, latino-américains et libanais bien établis à Bamako, il organise en 2009 un coup énorme. Trop, peut-être... L'affaire est si incroyable qu'elle va attirer l'attention des services secrets occidentaux et de la presse internationale. Nous voici en novembre 2009, en plein désert. Un Boeing 727-200 atterrit près de Tarkint, après avoir coupé ses systèmes de communication. En provenance du Venezuela, cet avion transporte au moins 5 tonnes de cocaïne. Quelques jours plus tard, la sécurité d'Etat malienne "découvre" son épave, calcinée. En fait, l'appareil n'a pas pu redécoller: les narcos l'ont incendié après avoir transbordé la cargaison sur des 4x4. Durant trois semaines, les autorités tentent d'étouffer le scandale d'"Air Cocaïne". L'enquête débouchera un an plus tard sur l'arrestation, à Bamako, de neuf personnes. Dans le lot, un Français, mais également un proche du fameux Baba: Mohamed Ould Awainat, un entrepreneur de Gao, l'homme qui avait fait aménager la piste d'atterrissage du Boeing. Depuis, tous ces suspects ont bénéficié d'un non-lieu et d'une remise en liberté, en janvier et en août 2012. Entre-temps, plusieurs sources ont certifié que le même avion avait déjà atterri, et à plusieurs reprises, à Tarkint... Au-delà de l'enrichissement personnel, ce business a nourri bien des intérêts politiques. "Les narcos achetaient les élections locales et faisaient élire certains députés", raconte Mohamed Ould Mahmoud, consultant pour des ONG. Drapé d'un boubou blanc, ce membre d'une grande famille berabiche (arabe) de Tombouctou, poursuit: "Le régime d'ATT a laissé certains clans, liés au trafic, armer des milices pour combattre les rebelles touareg. Quitte à attiser les rivalités entre communautés et à faire du Nord une "narco région''..." Ainsi, les tribus nobles touareg des Ifoghas, acteurs majeurs de la rébellion, ont trouvé face à elles l'armée régulière malienne mais aussi deux groupes paramilitaires: l'un recrutant chez des clans touareg de rang inférieur; l'autre parmi les Arabes de Gao (voir encadré ci-dessous). Ces milices, commandées par deux officiers de haut rang toujours en activité, agissent aussi bien sous les couleurs de l'armée malienne que pour leur propre compte. Quand, au printemps 2012, les groupes islamistes armés s'emparent des villes du Nord, le trafic de drogue connaît une nouvelle embellie. Un autre avion suspect atterrit près de Gao. Baba Ould Cheikh et son ami Mohamed Ould Awainat s'associent au Mouvement pour l'unicité et le djihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), lié à Aqmi. D'autres narcos locaux, dont un ancien député et le beau-fils d'un ex-ministre, pactisent avec le chef djihadiste Mokhtar Belmokhtar... "Dans ces groupes hybrides, chaque partie a trouvé son avantage: un ancrage local pour les djihadistes, un "parapluie'' en remplacement de l'Etat malien pour les trafiquants", commente le chercheur Mathieu Pellerin. Le 4 février dernier, sur le marché de Gao, ville libérée, le maire, Sadou Diallo, se promenait en compagnie d'un invité encombrant: Baba en personne... Menacé d'être lynché, ce dernier a été remis à la gendarmerie malienne. Il est parvenu à s'enfuir, la nuit suivante. Contre une enveloppe, semble-t-il, de 750 000 francs. Soit 1 150 euros. "Une culture de l'impunité a longtemps régné sur ces affaires de trafic, tempête Daniel Tessougué, le nouveau procureur général de la cour d'appel de Bamako. J'ai demandé que l'on me transmette le dossier d'Air Cocaïne, je l'attends toujours..." Précédé d'une réputation d'incorruptible, ce magistrat de 54 ans a rendu publics, en février, 28 mandats d'arrêt lancés contre des ressortissants maliens, dont huit pour "trafic international de drogue". D'autres poursuites sont en cours. A ce jour, toutes les personnes recherchées sont dispersées dans la nature. Certes, depuis l'intervention militaire dans le nord du Mali, les routes de la cocaïne sont paralysées. Mais les narcos planchent déjà sur d'autres itinéraires, en particulier via le nord du Niger. La poudre et le sable n'ont pas fini de voisiner. Cocaïne: tensions ethniques, le nerf du trafic Pour enraciner leur business, les narcotrafiquants et leurs alliés politiques ont joué délibérément sur les tensions ethniques et les rivalités à l'intérieur même des communautés du nord du Mali. Depuis 2006, afin de contrer la rébellion touareg menée essentiellement par les lignées nobles du massif des Ifoghas, deux milices communautaires ont ainsi été formées et armées grâce à l'argent de la cocaïne. La première recrute parmi les Imghad, des tribus touareg vassales, autrement dit considérées de rang "inférieur". La seconde milice regroupe certains membres des clans Lamhar (arabes), originaires de la vallée du Tilemsi, dans la région de Gao. Ces derniers ont aussi profité de leur nouvelle puissance pour contester la suprématie des Kountas, autre tribu arabe réputée pour son savoir religieux. "L'argent de la drogue a déstructuré la société traditionnelle au profit d'intérêts personnels et d'arrières pensées politiques, explique un fin connaisseur des chefferies du nord malien. D'autant plus que les djihadistes se sont appuyés sur ces manoeuvres pour instaurer leur nouvel ordre politico-religieux." Le même phénomène s'est déroulé dans la région de Tombouctou, entre différents clans berabiche (arabes) dont certains, impliqués dans le trafic de cocaïne, se sont alliés à Aqmi. www.lexpress.fr/actualite/mali-la-guerre-de-la-cocaine_1233028.html
  21. urgent:belmokhtar vivant,dans le nord-mali,près de l'algérie: www.cridem.org/C_Info.php?article=640998 20-03-2013 00:08 - Alors qu'il a été donné pour mort, Mokhtar Belmokhtar court toujours Il a été signalé par des habitants d'El Khalil, non loin de la frontière algéro-malienne. Donné pour mort par le gouvernement tchadien, le 2 mars dernier, l'empereur du désert, Mokhtar Belmokhtar, est finalement vivant, confient des sources très bien imprégnées des donnes sécuritaires et de la situation qui prévaut actuellement au Sahel. La réapparition du brigand a été signalée, semble-t-il, même par des habitants d'El Khalil, non loin de la frontière algéro-malienne. Il aurait été aperçu dans une petite localité désertique, ancienne mine de sel, connue sous le nom de Taoubenit, dans la périphérie du massif de Tighar Ghar, située entre Tombouctou et le nord-ouest Infoghas-Tilemsi, une zone connue aussi sous le nom d'Adrar vers les frontières de la Mauritanie. Cette région a toujours été le point de repère initial de BMB, avant le coup d'Etat contre l'ancien président malien, Amadou Touré. Elle abritait même un petit aérodrome qui sera complètement détruit par BMB en 2007, du fait de son exploitation par des troupes militaires françaises. Peu de personnes connaissent la région, indiquent nos sources, dont une couverture sécuritaire est quasi impossible du fait qu'elle a été ensablée. Le périmètre de 25/25 km où aurait été aperçu ce chef terroriste, est riche en grottes souterraines s'ouvrant l'une sur l'autre. Elles serviraient d'abris pour les lots d'armes et de munitions et de refuge pour les terroristes d'Al Qaîda au Maghreb islamique. Les autorités militaires de la Mauritanie viennent d'ailleurs d'engager un dispositif sécuritaire important, par mesure de prévention, surtout que des terroristes du Mujao, ont pris la fuite vers ce pays depuis l'intervention de l'armée française. Mokhtar Belmokhtar, alias Belaouer, alias Khaled Abou al Abbas ancien adepte de l'AIS, né le 1er juin 1972 à Ghardaïa, a été donné pour mort à plusieurs reprises au même titre que Hassen Hattab, avant que ce dernier ne décide de déposer les armes et se rendre aux services de sécurité. Des sites islamistes avaient démenti la déclaration du gouvernement tchadien selon laquelle le chef de l'organisation «les Signataires par le sang», aurait été abattu. Porté sur la liste noire américaine des hommes à abattre, MBM a été à l'origine de la prise d'otages survenue en janvier sur le site gazier de Tiguentourine. Sa mort prétendue par les Tchadiens n'a été confirmée ni par les autorités compétentes algériennes ni par les français engagés aux côtés des Maliens pour libérer les territoires occupés par les terroristes au Mali. Dans ce contexte, Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense français avait déclaré: «Le ministre de la Défense ne doit pas parler au conditionnel. J'en appelle à la prudence et à l'esprit de responsabilité à l'égard d'indications que nous ne sommes pas en mesure de confirmer matériellement à ce stade.» De même, qu'aucune source autorisée n'a confirmé cette information du côté algérien. MBM qui avait annoncé son divorce avec Al Qaîda au Maghreb islamique le mois d'octobre 2012 avait menacé de revenir à la charge pour perpétrer d'autres attaques. Le brigand du désert demeure l'un des terroristes les plus recherchés au monde. www.lexpressiondz.com/actualite/170976-mokhtar-belmokhtar-court-toujours.html
  22. urgent:des milliers de jihadistes dans le sahara occidental: www.cridem.org/C_Info.php?article=640974 19-03-2013 19:49 - Guerre au Mali : Plusieurs milliers d'islamistes au Sahara occidental Plusieurs milliers de combattants islamistes auraient fuit le nord du Mali pour se réfugier au Sahara Occidental, c'est l'information exclusive qu'a laissé filtrer ce mardi matin une source sécuritaire proche de l'africom (Le Commandement des États-Unis pour l'Afrique). La migration vers le Sahara occidental aurait débuté aux premières heures des frappes aériennes françaises (le 11 janvier 2013) et se serait ensuite poursuivie par vague d'arrivée au fur et à mesure de l'avancée des troupes de l'opération Serval. Notre source nous indique, sans pouvoir précisément donner le nombre d'islamistes mais en les estimant à plus de 5 000, que de forts soupçons pèseraient désormais sur la sécurité du Maroc avec des renseignements allant dans le sens de connexions avec le Front Polisario, mouvement politique et armé opposé depuis 1975 au Maroc pour le contrôle du Sahara occidental. Toujours selon nos informations, cette donne serait au cœur des préoccupations du Roi du Maroc avertit de cette menace sécuritaire qui pourrait désormais peser sur le royaume Chérifien. Tout indique que le sujet sera à l'ordre du jour de la discussion ce mardi à Abidjan avec le président de la Cedeao, Alassane Ouattara. Pour finir, du peu de détails reçus à cette heure, notons que l'Etat major malien avait fin février, renseigné koaci.com d'importants mouvements islamistes en direction de la frontière mauritanienne. www.cridem.org/C_Info.php?article=640974 et www.koaci.com/articles-80990
  23. serval aura raison de ces animaux!!!!!!!!!!!!!!!!!!question de jours!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
  24. urgent:arrestation de terroristes du nord Mali en Mauritanie: www.cridem.org/C_Info.php?article=640999 20-03-2013 10:42 - Arrestation de terroristes du Mali en Mauritanie Cinq djihadistes armés ont été appréhendés alors qu'ils tentaient de pénétrer en Mauritanie depuis le nord du Mali. "La Mauritanie a fourni des efforts importants pour maîtriser ses frontières pour mieux assurer la sécurité de son territoire et garantir la stabilité du pays", a déclaré le ministre des Affaires étrangères Hamadi Ould Hamadi lors d'une conférence de presse organisée le dimanche 17 mars pour annoncer ces arrestations. D'autres individus appartenant aux "groupes islamistes armés actifs dans le nord du Mali" ont été arrêtés alors qu'ils "tentaient de se faire passer pour des réfugiés", a précisé le ministre. Le Haut-Commissaire pour les Réfugiés des Nations-Unies a compris que la Mauritanie avait procédé à ces arrestations "pour sauvegarder sa sécurité et celle de ses frontières", a noté le haut responsable. "Les mesures prises par la Mauritanie pour assurer le contrôle strict de ses frontières constituent le meilleur service rendu à son voisin malien", a poursuivi Ould Hamadi. Avec la guerre au Mali, "la Mauritanie est en première ligne", explique Sheikh Tourad Ould Eli, expert en terrorisme. Le nombre de réfugiés frise les 150 000 personnes, précise-t-il. En plus du camp de M’Bera, situé au sud-est de la Mauritanie, le projet de l'implantation d’un deuxième camp est prévu à Aghor, un site qui avait déjà abrité les réfugiés maliens durant les années 1990, dit-il. "Abou El Hammam, nouveau leader d'Al-Qaida au Maghreb Islamique (AQMI), a proféré de graves menaces au début du conflit, affirmant que les combattants islamistes cibleront tous les états qui ont participé de près ou de loin dans la guerre en cours et refusé la neutralité", indique Ould Eli. Le ministère français des Affaires étrangères avait, le mois dernier, exprimé les mêmes préoccupations concernant les éventuels dangers courus par la Mauritanie : "Les événements en cours au Mali...exposent le territoire mauritanien à des risques particuliers d’infiltration par des éléments terroristes". Face à cette menace, le gouvernement mauritanien aidé par ses partenaires a pris les dispositions nécessaires pour sécuriser son territoire. Le lancement du Projet Sahel Occidental a eu lieu le 22 janvier dans le cadre des efforts visant à sécuriser les frontières terrestres, longues de plus de 5 000 kilomètres, de la Mauritanie, dont les 2 200 kilomètres de frontières communes avec le Mali. Le travail de lutte contre le terrorisme accompli par le Président Mohamed Ould Abdel Aziz s'est lui aussi avéré efficace, déclare l'universitaire Mohamed Ould Brahim. "Sa politique de quadrillage du territoire national et les moyens importants mis à la disposition de l’armée n’ont pas tardé à porter leurs fruits", explique-t-il. "L’armée mauritanienne a remporté plusieurs victoires contre l'AQMI et a réussi à endiguer les velléités offensives de l’organisation terroriste", ajoute Ould Brahim. Un point de vue partagé par Cheikh Tourad Ould Eli, spécialiste du terrorisme. "Si Ould Abdel Aziz n’avait pas opté pour une stratégie d’attaques préventives contre les bases des terroristes d’AQMI au Mali, la Mauritanie aurait subi le même sort que le Mali", explique Ould Eli. La plupart des zones frontalières avec ce pays ont été déclarées par les autorités mauritaniennes "zones militaires fermées". www.cridem.org/C_Info.php?article=640999 et www.magharebia.com/fr/articles/awi/features/2013/03/19/feature-03
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