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  1. urgent:abou zeid tué avec 40 compagnons,trésor,détails: www.cridem.org/C_Info.php?article=640318 02-03-2013 16:59 - Exclusif : Abou Zeid a été tué avec 40 de ses compagnons et a laissé au Sahara un trésor dont il est le seul à connaître le lieu Des sources généralement bien informées au nord Mali ont confirmé à Sahara médias la mort d’Abdel Hamid Abou Zeid, qui était l’un des dirigeants les plus en vue d’Alqaeda au Maghreb Islamique (AQMI), il y a quatre jours, dans un raid aérien effectué par l’aviation française, à Taraghrarit, dans les montagnes des Ifoghas et ce après que les forces tchadiennes, tombées dans un piège et ayant perdu 40 de leurs éléments, aient demandé de l’aide. Les sources précisent qu’Abou Zeid avait pris personnellement le commandement de ses combattants dans ses accrochages féroces qui ont suivi le piège tendu aux forces spéciales tchadiennes et qu’il planifiait pour l’enlèvement de soldats français qui viendraient s’ajouter aux otages qu’il détenait déjà. Elles affirment également que lors de ces combats, 50 salafistes, dont des dirigeants opérationnels que Sahara médias n’a pu identifier les noms, ont péri. L’on pense que la bataille s’est déroulée dans la même zone où sont retenus les quatre otages français et qu’Al qaeda a séparé et caché dans des grottes depuis le déclenchement de la guerre au nord Mali, selon ce que suppose un spécialiste de la zone. Et avec la mort d’Abdel Hamid Abou Zeid disparait aussi un secret qu’il était le seul à connaître, à savoir le sort de millions d’euros venant de rançons obtenues pour la libération d’otages. La dernière rançon de 16 millions d’euros a été remise par un intermédiaire et l’on suppose qu’elle vient de la société française AREVA contre la libération de trois otages sur un total de sept (Alex Kodio, de nationalité togolaise, Françoise Laribé, épouse de l’un des otages, un Malgache du nom de Jean Claude Rakotirina). Abou Zeid s’est rendu célèbre dans la gestion de l’immense pactole tiré des rançons, selon le témoignage de personnes qui l’ont connu de près. Et en l’absence de moyens pour conserver l’argent tiré de la prise d’otages, Abou Zeid avait souvent caché des millions d’euros dans le désert, s’aidant en cela avec des données GPS qu’il était le seul à connaître. Il tenait à partir seul, dans des zones perdues de l’immense désert où il avait caché « son trésor » et qu’il utilisait pour l’achat d’armes et de véhicules pour sa qatiba il était aussi connu pour être le plus courageux et le plus téméraire. Les français le considéraient comme le Ben Laden d’AQMI. Sa haine pour les Français et sa volonté de prendre pour cible leurs intérêts sont aussi connus. Il a atteint le record dans la participation aux opérations militaires menées en Libye, au Niger et en Mauritanie. Il avait enlevé un grand nombre d’otages, ce qui le faisait passer, aussi d’AQMI, pour l’expert en la matière de conduite des véhicules tout-terrain. Il a eu dans le passé un accrochage avec le groupe de Mohamed Najem, chef militaire et dirigeant du Mouvement nationale pour la libération de l’Azawad (MNLA), sur la frontière algéro-libyenne, et est passé en Tunisie où il a été la cible des avions français, perdant dans cette opération certains de ses hommes. Il a tout de même réussi à se sauver, malgré la soif, qui a tué 7 de ses compagnons après une marche d’une semaine dans le désert. Parmi les personnes qui étaient avec Abou Zeid, lors de ce voyage de la peur, figuraient les fondateurs du mouvement pour l’unicité et le djihad en Afrique de l’ouest (MUJAO), depuis leur ralliement à AQMI, et notamment ceux qui viennent du front Polisario. Abdel Hamid Abou Zeid avait été nommé dernièrement comme adjoint à l’émir du Sahara Yahya Abou El Hemmam après la mort de Nabil Abou Alqama. L’homme s’est rendu célèbre également pour sa vaste culture en plus d’être un grand mécanicien, et un parfait utilisateur de toutes sortes d’armes. Il jouissait d’une grande estime au sein des jeunes combattants, notamment au sein d’AQMI. www.cridem.org/C_Info.php?article=640318 et www.fr.saharamedias.net/EXCLUSIF-Abou-Zeid-a-ete-tue-avec-40-de-ses-compagnons-et-a-laisse-au-Sahara-un-tresor-dont-il-est-le-seul-a-connaitre_a3842.html
  2. coup rude pour aqmi, www.cridem.org/C_Info.php?article=640282 01-03-2013 12:58 - Mort annoncée d'Abou Zeid: cela signifierait la fin de la présence officielle d'Aqmi au Sahel La mort du dirigeant d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a été annoncée jeudi par un site algérien. Mathieu Guidère, professeur d'islamologie et spécialiste du Sahel, analyse l'impact que produirait la disparition du chef terroriste. La mort d'Abou Zeid, l'un des chefs d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), a été annoncée jeudi dans l'après-midi par le site de la chaîne de télévision algérienne Ennahar. Cette information n'a pour le moment été confirmée ni par Paris ni par Bamako. Si elle est avérée, cette nouvelle constituerait une victoire pour la France dans la lutte contre le terrorisme au Sahel. Mathieu Guidère, professeur en islamologie à l'université Toulouse II - Le Mirail, revient pour L'Express sur les conséquences qu'engendrerait la mort du chef terroriste. Si le décès d'Abou Zeid était confirmé, quel impact cela aurait-il sur Aqmi? Cela signifierait la fin de la présence officielle et formelle d'Aqmi dans la région sahélienne. Abou Zeid était le dernier chef rattaché à Al-Qaïda. Mokhtar Belmokhtar, l'autre figure du terrorisme au Sahel, a quitté l'organisation il y a trois mois pour fonder le mouvement des "Signataires par le sang". Quant au Mujao (Mouvement d'unicité pour le djihad en Afrique de l'Ouest), il est également né d'une scission avec Aqmi, en 2011. Les principaux chefs terroristes ont donc déjà créé leur propre groupe. Si l'annonce de la mort d'Abou Zeid était avérée, on assisterait à la dissolution de sa brigade, Tarik ibn Ziad. Celle-ci entraînerait alors un risque d'éclatement de ses troupes en petit comité et un risque de radicalisation. Quelles seraient les conséquences sur le sort des otages français détenus au Sahel? Il existe deux possibilités. Soit les otages étaient détenus avec Abou Zeid dans la zone visée par l'aviation française, et ils seraient donc des victimes collatérales de cette attaque. Soit ils n'étaient pas retenus à proximité du dirigeant d'Aqmi, et leur sort est alors incertain. Le risque concernant le sort des otages français est réel. Lors d'attaques, les terroristes décident la plupart du temps d'exécuter leurs otages en représailles. Oeil pour oeil, dent pour dent. L'exemple-type est celui de l'intervention française en Somalie en janvier dernier. Les rebelles shebabs avaient alors décidé de tuer l'agent de la DGSE Denis Allex après une opération commando ratée. Que représente la brigade d'Abou Zeid dans la galaxie djihadistes du Sahel? Cette brigade d'Aqmi est composée d'éléments très bien formés et entraînés: au Sahel, les troupes d'Abou Zeid sont les leaders militaires et politiques. Mais ils ne sont pas les plus nombreux. Les rébellions touaregs, et principalement Ansar Eddine, bien implantées dans la population, constituent les principales forces de la galaxie terroriste dans la région. Quels liens Aqmi entretient-il avec les autres groupes terroristes de la région? Les organisations terroristes au Sahel sont des alliés politiques et militaires. Fin avril 2012, lors de la prise de contrôle du Nord-Mali, ces groupes se sont réunis dans la région pour mettre en place une plateforme commune visant à gérer le territoire malien. Depuis l'intervention française, des dissensions sont apparues. D'abord entre les groupes laïcs et islamistes. Ensuite entre les groupes islamistes eux-mêmes, qui se sont pour certains divisés. www.cridem.org/C_Info.php?article=640282
  3. bien le chef terroriste,confirmation adn,détails dans www.cridem.org/C_Info.php?article=640291
  4. Urgent:Abou Zeid a péri: www.cridem.org/C_Info.php?article=640259 28-02-2013 16:05 - Abou Zeid, l'émir d'Aqmi serait mort Un des principaux chefs d’al-Qaïda au Sahara aurait été tué par les forces françaises au nord du Mali, selon la rébellion touarègue, ainsi que des notables locaux. Après un raid aérien de l’armée française, Abdelhamid Abou Zeid, « émir » important d’AQMI et principal preneur d’otages, aurait été trouvé mort le samedi 23 février dans la zone d’In Sensa, près de Tigharghar, sur les versants de la chaîne montagneuse de l’Adrar des Ifoghas. La nouvelle, révélée jeudi, n’a pas été confirmée par l’armée française. « Nous n’avons aucune information spécifique sur cette personne » a indiqué le colonel Thierry Burkhard, porte-parole des armées. Il a néanmoins confirmé qu’un raid aérien français dans la zone d’In Sensa avait détruit six véhicules identifiés comme étant des objectifs militaires. Les cadres dirigeants du mouvement rebelle touareg MNLA (Mouvement national de libération de l’Azawad), ainsi que des notables de la ville de Kidal, affirment que 45 combattants d’AQMI et du groupe islamiste Ansar ad-Dine auraient trouvé la mort durant le raid français. Le MNLA indique en outre que ses combattants, qui épaulent les Forces Spéciales françaises dans le désert, auraient ensuite fait sept prisonniers parmi les survivants du raid. "Il est mort et enterré" Les sept prisonniers, pris par les Touaregs et les Forces Spéciales, seraient quatre Maliens, un Algérien, un Mauritanien et un homme du Front Polisario. L’un d’entre eux, Seden Ag Hita, est un personnage connu dans le nord du Mali. Ancien sergent-chef de la garde nationale malienne, il avait fait défection pour rejoindre le groupe islamiste Ansar ad-Dine avant de rallier les katibas d’AQMI. Aujourd’hui détenu à Kidal, Seden aurait apporté la preuve du décès d’Abou Zeid durant le raid français. « C’est une certitude, il est mort et enterré » indique aussi un notable important de Kidal, ayant accès aux prisonniers. En Algérie, les services de renseignements, d’habitude très informés, indiquaient jeudi ne pas pouvoir entièrement confirmer l’information. « Nous avons de bonnes raisons de penser qu’il est mort, mais ça pourrait être une fausse nouvelle pour brouiller les pistes et ménager sa fuite », indique un responsable algérien. A Paris, l'entourage du ministre de la Défense signalait être au courant de l’information, sans pouvoir immédiatement la confirmer. Abou Zeid détenait notamment les otages français et africains de la société Areva. Mais selon les notables de la région de Kidal, et le MNLA, ces otages ne seraient plus dans la zone de l’Adrar de Ifoghas. Confiés par Abou Zeid au commandant d’AQMI pour le « Grand Sud », Yahya Abou El Hammam, la plupart des otages seraient répartis par petits groupes cachés dans le désert au nord de Tombouctou www.cridem.org/C_Info.php?article=640259 et www.parismatch.com/Actu-Match/Monde/Actu/Abou-Zeid-l-emir-d-Aqmi-serait-mort-468100/
  5. urgent:le général ham de l'africom dans l'est de la mauritanie www.cridem.org/C_Info.php?article=640229 28-02-2013 10:03 - Mauritanie: visite d’un général américain la frontière avec le Mali en guerre Le général Carter Ham, Haut-commandant des forces armées américaines en Afrique (Africom), est venu saluer mercredi les soldats engagés dans des exercices militaires dans le sud de la Mauritanie, près de la frontière avec le Mali en guerre, selon la radio nationale. Le général Ham, dont les forces armées supervisent cet exercice avec la participation d’un millier de soldats européens, africains et arabes, a assisté à des opérations aéroportées et au sol menées par ces troupes basées à Néma (extrême sud-est de la Mauritanie). Il a « félicité les troupes pour le succès des opérations », a indiqué un porte-parole militaire mauritanien, cité par la radio. Ces exercices militaires connus sous le nom de « Flintlock 2013″, initiés par les Etats-Unis depuis 2000, ont débuté lundi pour trois semaines, avec la participation de quelque 1.100 militaires de 20 pays, dont les Etats-Unis, la France et la Mauritanie. Ils se déroulent près de la frontière avec le Mali où une opération militaire franco-africaine est en cours depuis un mois et demi contre des groupes islamistes armés liés à Al-Qaïda qui ont occupé pendant plusieurs mois en 2012 le Nord malien. « Cet exercice a été programmé depuis 2011, il n’a rien à voir avec ce qui se déroule au Mali voisin », avait affirmé lundi le colonel Mohamed Ould Beyda, responsable mauritanien de Flintlock 2013. Le général George Bristol, chef d’état-major des opérations spéciales d’Africom, avait cependant reconnu que l’opération Flintlock « change de tactique en corrélation avec les évènements dans le monde ». Le général Carter Ham est arrivé mardi à Nouakchott où il s’est entretenu avec le président Mohamed Ould Abdel Aziz et de hauts responsables militaires. Aucune indication n’a été donnée de sources officielles sur la teneur de ces entretiens, mais selon des sources diplomatiques à Nouakchott, la crise au Mali et le danger représenté par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), ainsi que la coopération militaire entre les deux pays ont été passés en revue. www.maliactu.net/mauritanie-visite-dun-general-americain-la-frontiere-avec-le-mali-en-guerre/
  6. Urgent:les Etats-Unis ajoutent Iyad Ag Ghali à la liste des terroristes recherchés: www.cridem.org/C_Info.php?article=640217 28-02-2013 07:17 - Iyad Ag Ghali déclaré ennemi des Etats-Unis. Le chef salafiste touareg, leader du groupe Ansar Dine est placé sur la liste des terroristes visés par les Etats-Unis. Parallèlement, l'ONU a inscrit Iyad Ag Ghali sur sa liste des sanctions pour ses activités au Mali. L'administration américaine a annoncé la nouvelle en précisant que tous les avoirs du leader islamiste Iyad Ag Ghali sont gelés. De même il est interdit aux Américains de mener des affaires avec lui. Grande figure de la cause touareg dans les années 90, Iyad Ag Ghali s'est converti au salafisme et l'an dernier, son groupe Ansar Dine a pris possession d'une grande partie du Nord du Mali où il a instauré la charia. Du haut de ses 54 ans, Iyad Ag Ghali est un personnage influent. Il a défendu les revendications touareg pendant au moins deux décennies. Il connaît bien l'ex guide libyen Mouammar Kadhafi dont il était un pion et a été nommé à un poste diplomatique en Arabie Saoudite en 2007 par le Mali. Un militantisme touareg au salafisme C'est peut-être là où tout commence véritablement avec le radicalisme. Aujourd'hui, Iyad Ag Ghali est placé sur la liste noire des Etats-Unis. Pour l'expert du terrorisme, Mohamed Benhamou, la décision prise par Washington ouvre une nouvelle phase dans la vie de Iyad Ag Ghali. Mohamed Benhamou soutient par ailleurs que cette action des Etats-Unis n'aura pas de réel impact sur les activités d'Ansar Dine. Mais où pourrait se trouver actuellement Iyad Ag Ghali ? Peut-être retranché dans le massif des Ifoghas, cible actuellement des forces françaises et tchadiennes dans le Nord Mali. Pas exclu non plus que celui qui est surnommé "renard du désert" se faufile entre les frontières poreuses de la région. www.cridem.org/C_Info.php?article=640217 et www.dw.de/iyad-ag-ghali-d%C3%A9clar%C3%A9-ennemi-des-%C3%A9tats-unis/a-16631360
  7. urgent:la Mauritanie confirme son soutien à l'opération anti-terroriste menée au nord-mali www.cridem.org/C_Info.php?article=640140 26-02-2013 09:26 - Mali: Nouakchott salue le combat courageux des soldats français et africains Le ministre mauritanien des Affaires étrangères, Hamady Ould Hamady, a salué lundi à Nouakchott le combat courageux des soldats français et africains, dont ceux du Tchad, contre les terroristes au Mali, en recevant son homologue espagnol, José Manuel Garcia-Margallo. « Le contexte est particulier, celui de l’intervention courageuse de la France et des armées de la sous-région, singulièrement celle du Tchad, qui mènent un combat intrépide pour détruire les bases opérationnelles des groupes terroristes » dans le Nord malien, a dit M. Ould Hamady. Des combats vendredi dans le massif des Ifoghas (nord-est du Mali) avaient fait 116 morts, selon l’état-major tchadien: 23 dans les rangs de l’armée tchadienne et 93 dans le camp des islamistes armés. Le Tchad est, avec la France, en première ligne dans cette région proche de l’Algérie dans la traque des islamistes armés liés à Al-Qaïda qui s’y sont retranchés depuis le début de l’intervention française au Mali, le 11 janvier. Le ministre mauritanien a affirmé que son pays avait été le premier à attirer l’attention sur le danger que représentaient ces groupes islamistes armés pour la région et pour le monde,notamment pour l’Europe du Sud. Il a ajouté que, sans participer directement à la guerre au Mali, la Mauritanie faisait des efforts importants pour empêcher l’infiltration des terroristes sur son sol . Le ministre espagnol, qui a eu des entretiens avec le président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz, a de son côté affirmé que les échanges avec les responsables mauritaniens permettraient à son gouvernement de mieux comprendre ce qui se passe au Mali et de prendre les mesures nécessaires pour coopérer avec la communauté internationale pour la stabilisation du Mali . M. Garcia-Margallo, qui avant sa visite en Mauritanie, s’était rendu au Niger et au Mali, devait quitter Nouakchott lundi après-midi. www.cridem.org/C_Info.php?article=640140
  8. urgent:déploiement de drones américains predators dans le nord-mali www.cridem.org/C_Info.php?article=640050 24-02-2013 09:06 - Drones américains déployés au Mali De nouveaux combats ont opposé samedi des rebelles touareg alliés aux forces françaises et un groupe armé dans le nord du Mali, où la traque des jihadistes se poursuit désormais avec l'appui de redoutables drones américains Predators. Des hommes du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA, rébellion touareg) ont affronté samedi les "combattants arabes" d'un groupe armé à In-Khalil, localité proche de Tessalit et de la frontière avec l'Algérie, selon des sources sécuritaires régionale et malienne. Le Mouvement arabe de l'Azawad (MAA, autonomiste, créé en mars 2012) a affirmé avoir attaqué samedi vers 04H00 (locales et GMT) le MNLA en représailles à des violences contre des Arabes dans la zone. Mohamed Ibrahim Ag Assaleh, responsable du MNLA basé à Ouagadougou, a assuré que les assaillants sont des "terroristes" menés par Omar Ould Hamaha, du Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), un des groupes islamistes ayant occupé le nord du Mali en 2012 et qui a revendiqué un attentat-suicide commis vendredi à In-Khalil contre le MNLA. Sur place, "le MNLA a combattu le Mujao, le MAA et Ansar Al-Charia", qui est une "dissidence du Mujao", a-t-il affirmé, affirmant que les combats avaient cessé samedi en fin d'après-midi. Il a fait état de fait "neuf prisonniers" aux mains du MNLA: "six qui se réclament du Mujao et trois d'Ansar Al-Charia". Le MAA a de son côté fait état d'un retour au calme, en dénonçant une intervention de l'aviation française. "L'armée française a bombardé un de nos véhicules à In-khalil, à 9 km de la frontière algérienne" a dit un de ses responsable, sans fournir de bilan. Cette intervention aérienne a été confirmée par des sources sécuritaires régionale et malienne. "Un véhicule dans lequel il n'y avait personne a été détruit par l'aviation française au nord de In-Khalil", à moins de 15 km de la frontière algérienne, a dit la source régionale. In-Khalil est à plus de 175 km au nord de Kidal. Les forces françaises ont repris fin janvier le contrôle de l'aéroport de Kidal avec quelque 1 800 soldats, qui sécurisent la ville, contrôlée depuis peu par des islamistes se disant "modérés" et le MNLA qui y refuse la présence de soldats maliens mais assure collaborer avec la France. La région de Kidal abrite aussi l'Adrar des Ifoghas, zone montagneuse entre Tessalit et Kidal-ville (1 500 km de Bamako) considérée par certains Touareg comme leur berceau et où se sont réfugiés de nombreux islamistes armés liés à Al-Qaïda traqués par l'armée française. Le Tchad a annoncé vendredi soir y avoir tué 65 jihadistes, mais avoir aussi enregistré 13 morts dans ses rangs. Il s'agit des pertes connus les plus lourdes subies par les forces soutenant le Mali. Le président français François Hollande a salué samedi l'action de l'armée tchadienne, qui "témoigne de la solidarité africaine à l'égard du Mali". Un légionnaire français avait été tué cette semaine lors d'une opération dans cette région montagneuse des Ifoghas, à une cinquantaine de kilomètres au sud de Tessalit. Predators US surveillent le champ de bataille Les troupes françaises, maliennes et africaines bénéficient désormais sur le champ de bataille du soutien de drones américains Predators. Selon un responsable américain, les Etats-Unis ont déployé plusieurs de ces engins au Niger voisin, sur une base de Niamey, d'où ils décolleront pour effectuer des vols de reconnaissance sur le Nord malien. Ils ne feront pas usage des missiles dont ils sont équipés, mais seront seulement utilisés pour espionner les jihadistes, selon Washington. Au total, une centaine de personnels militaires américains seront déployés au Niger pour soutenir l'intervention de ces drones. A 350 km au sud-ouest de Kidal, Gao, la plus grande ville du nord du Mali, l'armée malienne poursuivait des opérations de "ratissage" samedi, au lendemain de combats avec des islamistes infiltrés. Vendredi, des soldats maliens avaient combattu les jihadistes à l'arme lourde - notamment contre la mairie de Gao, où s'étaient retranchés certains d'entre eux portant des ceintures explosives - avec l'appui de l'armée française. A la mairie, les islamistes ont été "neutralisés" par les forces maliennes, "un élément du génie français est intervenu afin de désamorcer les charges explosives. Au cours de cette action, deux soldats français ont été très légèrement blessés", selon l'état-major de l'armée française. De même source, une dizaine de jihadistes ayant tenté de fuir par le fleuve Niger ont aussi été "neutralisés". Le Mujao, qui a annoncé récemment avoir envoyé des combattants à Gao, a réitéré samedi ses menaces d'attaques dans le Nord malien et évoqué des attentats programmés par les jihadistes à Bamako, mais aussi Ouagadougou et Niamey. Après l'enlèvement le 19 février dans l'extrême-nord du Cameroun d'une famille de sept Français, dont quatre enfants, la France a mis en garde contre des risques d'attentat ou d'enlèvement au Bénin, où l'engagement français au Mali est "susceptible d'avoir des répercussions" sur la sécurité des ressortissants français. Samedi, le président algérien Abdelaziz Bouteflika a estimé que la situation au Mali mettait en danger la sécurité de son pays. AFP www.france-amerique.com/articles/2013/02/23/drones_americains_deployes_au_mali.html
  9. urgent:violents combats dans les massif des ifoghas,plusieurs jihadistes tués: www.cridem.org/C_Info.php?article=640151 26-02-2013 13:09 - Mali : les combats continuent, beaucoup, beaucoup de morts jihadistes. Paris - Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a affirmé mardi que des combats violents entre forces françaises et groupes islamistes armés se poursuivaient dans le nord du Mali, dans le réduit des terroristes, faisant beaucoup, beaucoup de morts jihadistes. Les combats sont violents et se poursuivent au moment où nous parlons dans le massif des Ifoghas, a déclaré M. Le Drian sur la radio RTL. Le nombre des jihadistes tués est significatif, a-t-il ajouté, se refusant à une comptabilité plus précise. Il y a des morts tous les jours mais les forces françaises font en revanche très peu de prisonniers, a-t-il précisé. On est en train de toucher au dur, a poursuivi M. Le Drian, interrogé sur l'opération en cours dans ce massif de moyenne montagne à l'extrême nord du Mali près de la frontière algérienne. C'est un secteur où nous pensions que les groupes terroristes les plus radicaux s'étaient réfugiés. Nous n'en étions pas sûrs. Maintenant nous en sommes certains, a-t-il ajouté. Nous sommes chez eux, nous sommes rentrés dans leur maison. Là c'est plus compliqué, il faut passer au sol, au peigne fin, doucement mètre après mètre sur un territoire qui est quand même assez vaste, mais c'est là que se trouve le réduit des terroristes, a insisté M. Le Drian. L'intervention française durera jusqu'à ce que l'ensemble de ce secteur-là (soit) libéré complètement, selon lui. La présente dans cette zone de huit otages français enlevés dans le Sahel est une hypothèse de travail, a ajouté le ministre sans autre précision. Commencée il y a 45 jours, l'opération Serval a déjà coûté à la France plus de 100 millions d'euros, a estimé M. Le Drian. AFP www.cridem.org/C_Info.php?article=640151 et www.romandie.com/news/n/_Mali__les_combats_continuent_beaucoup_beaucoup_de_morts_jihadistes__RP_260220131014-21-325704.asp?
  10. urgent:manuel d'aqmi contenant des "astuces" pour déjoué les attaques de drones découvert à tombouctou: www.cridem.org/C_Info.php?article=640082 et www.express.be/joker/fr/world/le-manuel-secret-de-22-trucs-pour-dejouer-les-attaques-de-drones-selon-al-qaida-au-mali/186589.htm 25-02-2013 01:14 - Le manuel secret de 22 'trucs' pour déjouer les attaques de drones, selon Al Qaida au Mali Un guide secret d’Al-Qaida contentant 22 « trucs » pour échapper aux attaques de drones a été découvert au Mali par des journalistes d’Associated Press en place dans ce pays. Les reporters ont mis la main sur des copies de ce manuel à Tombouctou, sur le sol d’une maison abandonnée par les terroristes du réseau Al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi) face à l’avancée des troupes françaises. Parmi les conseils mis en avant dans ce document, citons, entre autres, le masquage de voitures avec des matelas en herbes tissées du désert, la simulation de réunions avec des mannequins ou encore la tenue de celles-ci à l’abri des arbres. Ce document serait une preuve que le réseau Aqmi aurait anticipé une attaque militaire au Mali avec des drones, explique AP. Par ailleurs, la présence de ce document dans cette région montre qu’il existe une coordination entre divers groupes d’Al-Qaida car la rédaction originale a été entreprise par un Yéménite, ce qui préoccupe les experts américains de la sécurité. « Ce document témoigne du fait que nous ne sommes plus face à un phénomène local mais que nous avons maintenant affaire à un ennemi qui partage ses conseils sur plusieurs continents », a déclaré Bruce Riedel, ancien de la CIA qui travaille actuellement à l'institut de recherche Brookings. Associated Press évoque certains de ces conseils : - Conseil 7 : se cacher pour ne pas être repéré, directement ou indirectement et ce, surtout la nuit - Conseil 18 : procéder à de faux rassemblements avec des mannequins, des poupées et des statues pour tromper l’ennemi - Conseil 3 : la fabrication de boue avec de la terre, de l’eau, du sucre ou encore avec du verre réfléchissant pour en tapisser le toit des voitures et des bâtiments « Ces techniques ne sont pas stupides. Cela montre que les terroristes agissent de manière astucieuse », a déclaré le colonel Cedric Leighton, un vétéran de l'Air Force américaine qui a aidé à la mise en place du programme de drone Predator, qui a notamment suivi Oussama Ben Laden en Afghanistan. « Ces techniques leur permettent de gagner du temps, et dans ce conflit, le temps est un élément fondamental », a-t-il encore expliqué. Le site Wired, cité par Slate, souligne que beaucoup de drones sont équipés actuellement de caméras infrarouges qui peuvent capter la chaleur des véhicules. Les techniques de recouvrement de boue ne serviront donc plus à grand-chose. Par contre, les caméras des drones enregistrent souvent des plans fixes pendant de longs moments et les mouvements d’angles se font selon des intervalles spécifiques. Mais pour un véhicule qui circule dans le champ de vision de la caméra d’un drone pour une courte période de temps avant de disparaître, ces techniques de déguisement ont un certain mérite. Enfin, Wired explique que le visionnage des drones n’est pas automatisé et que la personne, située à des milliers de kilomètres derrière son écran, doit réussir à percevoir qu’il s’agit bel et bien d’un véhicule. www.express.be/joker/fr/world/le-manuel-secret-de-22-trucs-pour-dejouer-les-attaques-de-drones-selon-al-qaida-au-mali/186589.htm
  11. urgent:attaque de gao:complicités locales? www.cridem.org/C_Info.php?article=640017 et www.journaldumali.com/article.php?aid=6019 23-02-2013 11:51 - Attaque jihadiste à Gao : des complicités locales ? - Mais que se passe-t-il à Gao ? La question taraude l’esprit de plus d’un Malien. Les compatriotes sont aujourd’hui interloqués par la résistance et les attaques des jihadistes dans la Cité des Askias contrairement à Tombouctou. Après les attaques kamikazes des 8 et 9 et les affrontements du 10 février dernier au commissariat central, la région de Gao, a été hier le théâtre de violents affrontements mortels entre terroristes et les militaires maliens appuyés par les soldats français... Les jihadistes seraient entrés dans la ville dans la nuit du mercredi, qui par le fleuve via les pinasses, qui par la route de Bourem à des dizaines de kilomètres de Gao. Ce malgré les dispositions prises par les forces de défense après les combats du 10 février. Complicités locales... En tout cas, cette deuxième attaque a choqué beaucoup de Maliens qui commencent à émettre des doutes sur la sincérité de la collaboration des habitants de la région. Toute coopération, pensent-ils, indispensable dans la réussite de la traque des islamistes. Les plus virulents poussent la critique jusqu’à évoquer une possible complicité entre les jihadistes et les populations locales. « Sans la coopération des habitants de Gao, les efforts des militaires seront vains. On a vécu la même situation en Afghanistan où la collusion entre population et combattants terroristes a donné du fil à retordre à leurs adversaires », tranche Mamadou Mariko déçu par les affrontements d’hier ayant mis à sac des édifices publics. Et Adama Touré d’embrayer : « je suis d’autant plus convaincu du manque de coopération de certains habitants de Gao que lors de la chute de la région, ce sont des gens de Gao qui ont indiqué la localisation des militaires maliens jusque dans les familles. Ils doivent prendre l’exemple sur Tombouctou qui doit sa situation paisible à la franche collaboration de ses habitants ». Sans accabler la population, explique un sous-officier supérieur de l’armée malienne, les militaires ne sauraient gagner à eux seuls la partie sans un soutien plus appuyé de ceux-là qu’ils sont censés sécuriser. La thèse du manque de collaboration est battue en brèche par des habitants de Gao qui estiment être victimes d’un mauvais procès. Mamadou Maïga est l’un d’entre eux. Il pointe plutôt un doigt accusateur à la stratégie des militaires sur le terrain qui, selon lui, ont préféré rester dans la ville de Gao au lieu d’aller traquer les islamistes retranchés aux alentours de la région. A ceux qui doutent de la bonne foi des ‘’Gaois’’,M.Maïga rappelle que ce sont seuls les jeunes de sa région qui ont osé affrontés islamistes. « On a assez souffert des agissements des assaillants. Qu’on n’en rajoute pas à nos souffrances. "De Grâce ! Epargnez-nous !", fulmine-t-il www.cridem.org/C_Info.php?article=640017 et www.journaldumali.com/article.php?aid=6019
  12. urgent:attentat-suicide près de tessalit,cinq morts: www.cridem.org/C_Info.php?article=639994 22-02-2013 12:22 - Mali : un attentat-suicide près de Tessalit fait au moins 5 morts Deux véhicules kamikazes ont explosé, visant des civils et des combattants du Mouvement national de libération de l'Azawad, dans le nord-est du pays. Un attentat-suicide à la voiture piégée visant des rebelles touareg et des civils a été commis vendredi matin à Inhalil, près de Tessalit, dans le nord-est du Mali, faisant au moins cinq morts, dont deux kamikazes, a-t-on appris de sources sécuritaires et auprès de rebelles touareg. "À Inhalil ce vendredi matin, vers 6 heures (heures locale et GMT), deux véhicules kamikazes ont explosé visant des civils et des combattants du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA, rébellion touareg). Il y a eu trois morts et plusieurs blessés dans les rangs du MNLA et parmi les civils", selon une source sécuritaire malienne. L'information a été confirmée par une autre source sécuritaire régionale et par un responsable du MNLA à Ouagadougou, Mohamed Ibrahim Ag Assaleh. "Deux véhicules piégés ont explosé dans une base du MNLA à 5 h 30 (heures locale et GMT) à Inhalil, près de Tessalit, à la frontière algérienne", a déclaré Ibrahim Ag Assaleh. "Les deux kamikazes sont morts et dans nos rangs il y a trois morts et quatre blessés graves", a-t-il ajouté. Selon lui, "trois véhicules ont aussi été incendiés par le souffle des explosions". "Se coordonner" Le responsable du MNLA a accusé le groupe islamiste Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), d'être à l'origine de cet attentat. "C'est le Mujao qui depuis quelque temps menace de s'attaquer partout au MNLA", a-t-il affirmé. "Les terroristes ont toujours affirmé qu'ils combattraient les forces françaises et leurs alliés, c'est ce qui s'est passé à mon avis", a déclaré la source sécuritaire malienne contactée dans le nord du Mali depuis Bamako. Jeudi, l'armée française, interrogée sur une éventuelle collaboration avec les rebelles touareg du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA) présents dans la région de Kidal et Tessalit, a déclaré "se coordonner" effectivement avec "les groupes qui ont les mêmes objectifs" que Paris. Le MNLA, qui avait lancé une offensive en janvier 2012 dans le nord du Mali contre l'armée malienne avec les groupes islamistes armés, en avait très vite été évincé par ceux des grandes villes de Gao, Tombouctou et Kidal. Il est réapparu dans le berceau des Touareg des régions de Kidal et Tessalit à la faveur de l'intervention française contre les islamistes armés liés à al-Qaida qui a commencé le 11 janvier. www.cridem.org/C_Info.php?article=639994
  13. www.malijet.com/actualte_dans_les_regions_du_mali/rebellion_au_nord_du_mali/65195-prelude-a-la-bataille-de-kidal-quatorze-pick-up-sur-18-detruits.html
  14. urgent:nord-mali,la bataille de kidal imminente: www.cridem.org/C_Info.php?article=639882 19-02-2013 15:28 - Prélude a la bataille de Kidal : Quatorze pick-up sur 18 détruits dans le Gourma Foyer des différentes rébellions ou révoltes touaregs depuis 1960 au Mali, la ville de Kidal fait encore parler d’elle dans la récupération totale de l’intégrité du territoire malien. D’où depuis, une situation très confuse. N’abdiquant pas à recouvrer totalement le territoire national, l’Armée malienne avec ses alliées africaines et françaises gagnent allègrement du terrain. C’est dans cette avancée fulgurante qu’elles sont rentrées à Bourem lors de leur ratissage vers Kidal à terre. Tandis qu’une colonne de 18 véhicules aperçus dans le Gourma en partance au Burkina a perdu 14 pick-up suite au bombardement des hélicoptères. Avec un bilan très lourd pour les terroristes. Après une récupération éclair des régions de Tombouctou et de Gao, celle de Kidal continue faire des vagues. Par le fait que les Armées françaises et tchadiennes se trouvent actuellement dans la ville sans celle du Mali. Cette situation crée des remous au sein de la population malienne. Surtout que dans sa propagande continuelle, le Mnla continue sur des ondes internationales à crier haro sur l’Armée malienne. Même si jusqu’à présent aussi bien la France, le Tchad et les autres restent dans une seule dynamique : restaurer l’intégrité territoriale du Mali. C’est dans l’accomplissement de cette mission que, de sources sécuritaires concordantes, l’Armée française aurait aperçue 18 pick-up des terroristes ce samedi en partance au Burkina. Sans coup férir, les hélicos les auraient bombardés en détruisant 14 et faisant de nombreuses victimes. Nos sources, cependant, nous indiquent que les 4 autres ayant échappé se seraient dirigés vers le Burkina Faso. Au même moment les soldats français, maliens et nigériens qui sont en train de ratisser large par la voie terrestre sont entrés hier dimanche dans la ville de Bourem. Une ville située entre Gao et Kidal, dans le nord. Mais les soldats qui y sont arrivés seraient arrivés de Tombouctou. Arrivés, les militaires auraient été chaleureusement accueillis par la population de Bourem brandissant des petits drapeaux français et maliens. Demeurant toujours le goulot d’étranglement de la libération totale du pays, Kidal où se trouveraient retranchés quelques terroristes du Mnla, d’Anesardine et du Mia, est un massif montagneux proche de la frontière avec l’Algérie. Où l’Armée malienne dans sa progression stratégique avec ses alliées devrait s’y retrouver d’ici quelques jours. D’ores et déjà, après les mauvais coups des terroristes à Gao, les forces sur le terrain seraient en train de faire le porte-à-porte aussi bien à Tombouctou qu’à Gao. Sans oublier que les petites villes et petits villages sont en train d’être dépourvus de leurs terroristes et bien sûr sécurisés. En attendant la rentrée de l’Armée malienne à Kidal, il nous est revenu d’apprendre, de sources concordantes, que la libération de 4 des otages ne va pas tarder. Ils ayant été bien localisés et que les terroristes, faute de refuges et de moyens adéquats, se chercheraient pour les laisser à leur propre sort. Si cela s’avère, ce serait une bonne nouvelle pour nos amis français. Alors, wait and see ! Boubacar Dabo Source: Zénith Balé www.cridem.org/C_Info.php?article=639882
  15. à moins d'une heureuse surprise!croisons les doigts!
  16. urgent:guerre contre terrorisme au sahel:début de l'exrecice flintlock 2013 en mauritanie www.cridem.org/C_Info.php?article=639875 19-02-2013 10:42 - Mobilisation de tous les moyens nécessaires à la réussite de l'exercice fintlock 2013 La Mauritanie est le pays hôte cette année l'exercice militaire dénommé Fintlock 2013 qui prendra pied sur les Wilayas des deux Hodhs et de l'Assaba, a annoncé lundi soir à Nouakchott, le colonel Mohamed Ould Cheikh Ould Boidda, coordinateur de l'opération, lors d'une rencontre avec la presse. Le colonel Ould Boidda a rappelé que le Fintlock est exercice militaire multinational initié par les États-Unis d'Amérique au début des années 2000. "L'objectif de l'exercice est le renforcement des capacités opérationnelles des forces participantes en matière de lutte contre les menaces non conventionnelles", souligne-t-il. Il ajouté que la manoeuvre verra la participation des unités et instructeurs venant de 20 pays d'Afrique et d'Occident. Au sujet des préparatif, le coordinateur a affirmé que les autorités nationales mauritaniennes ont mobilisé en temps réel tous les moyens humains et matériels nécessaires à la formalisation de l'architecture générale de l'exercice et du maillage sécuritaire qu'il induit. Il a aussi salué la contribution du colonel Georg Bristol, commandant de l'État Major des opérations spéciales d'Africom à l'organisation de l'exercice. Au sujet de l'impact de l'opération sur la Mauritanie, le colonel Ould Boidda a indiqué que le retombées importantes pour les forces mauritaniennes en terme de retour d'expérience, de formation et de renforcement de capacités opérationnelles dans un environnement multinational et face à des menaces mutantes et diffuses. L'exercice Flintlock est organisé annuellement et de manière tournante dans l'un des pays de la bande sahélo-saharienne. www.cridem.org/C_Info.php?article=639875 Après la présentation, le coordinateur et le commandant de l'État Major des opérations spéciales d'Africom ont répondu aux questions des journalistes, question axées essentiellement sur les préparatifs de l'opération.
  17. urgent:gao:arrestation de neuf personnes soupçonnées de terrorisme www.cridem.org/C_Info.php?article=639846 18-02-2013 13:56 - Gao : Arrestation de neuf personnes soupçonnées de relations avec les islamistes. Selon un responsable militaire malien, les autorités de son pays ont procédé dimanche 17 février à l’arrestation à Gao de neuf personnes soupçonnées d’appartenir aux groupes islamistes armés qui ont occupé il y a quelques mois le nord Mali. Selon l’officier malien, l’arrestation des neuf personnes par les unités militaires maliennes a eu lieu lorsque celles-ci sont arrivées à Gao à bord d’une pirogue en provenance de la zone de Boundam frontalière du fleuve. Les forces maliennes soutenues par des unités françaises et nigériennes contrôlent depuis dimanche 17 février la ville de Boundam située sur le fleuve au nord du mali. Selon la presse internationale, les forces qui sont entrées dans cette ville située entre Kidal et Gao n’ont rencontré aucune résistance. www.cridem.org/C_Info.php?article=639846
  18. urgent:la mauritanie,une plaque tournante de l'infiltration terroriste? www.cridem.org/C_Info.php?article=639843 18-02-2013 12:52 - Terrorisme au Sahel : La Mauritanie est-elle devenue une plaque tournante? A voir le nombre de plus en plus croissant de jeunes Mauritaniens enrôlés dans les groupuscules islamistes armés au sein des organisations terroristes qui essaiment le Sahel, que cela soit Al Qaïda au Maghreb Islamique (Aqmi) ou Ansar Dine, s’ils ne fondent eux-mêmes leurs propres organisations jihadistes, comme Ançar Acharia, l’opinion se demande si la Mauritanie ne risque pas de se transformer en plaque tournante du terrorisme dans la Région. Même si jusqu’à présent, le pays n’abrite aucune base abritant des groupuscules armés, il en fournit cependant de plus en plus le gros du contingent. D’où l’idée inspirée de cette table-ronde internationale sur le terrorisme qui vient de s’achever à Nouakchott. Nouakchott abrite depuis mardi 12 février 2013 une table-ronde sur la lutte contre le terrorisme qui s’achève en principe aujourd’hui, jeudi 14 février, en présence d’invités venus de plusieurs pays. Organisée par le Centre mauritanien des études stratégiques en collaboration avec l’Etat-major des forces armées, les Ulémas, les experts et plusieurs hauts officiers, cette table-ronde discutera des différents aspects du terrorisme et de ses causes ainsi que de la politique mauritanienne dans le domaine, ses conséquences économique et sociales, et le rôle de la société civile. Dans son mot d’ouverture, le ministre de la Défense, Ahmedou Ould Radhi fera le bilan des assauts répétés que la Mauritanie avait subis dans le passé du fait des attaques terroristes, ainsi que les avertissements qu’elle ne cessait de lancer aux pays du voisinage afin que les efforts soient unis pour combattre ce fléau. Il finira par exprimer le souhait que cette table-ronde qui réunit autant d’experts et de compétences puisse générer assez d’échanges fructueux et d’idées lumineuses à même de d’aboutir à la fin des travaux à des recommandations utiles capables de contribuer à la lutte contre le terrorisme. De son côté, l’ancien ministre de l’Intérieur, Lemrabott Sidi Mahmoud Ould Cheikh Ahmed, président de la commission préparatoire de cette rencontre, a déclaré que cette table-ronde scientifique qui réunit une élite d’Ulémas et d’officiers, ainsi que des experts, constitue une rare opportunité pour définir avec exactitude le phénomène du terrorisme, ses causes et ses conséquences. Selon lui, le combat contre ce fléau requiert qu’on lui trouve le meilleur antidote et celui-ci ne peut émaner que d’équipes pluridisciplinaires. Pour Lemrabott Ould Cheikh Ahmed, la Mauritanie a très tôt appréhendé le phénomène du terrorisme et du fanatisme, citant au passage le président Mohamed Ould Abdel Aziz, ajoutant que c’est pourquoi elle a déployé tous les moyens matériels et humains pour y faire face avec rigueur, allant jusqu’à poursuivre les terroristes dans leur tanières et prévenir le mal en le tuant dans l’œuf. La survenue d’une telle table-ronde répond selon plusieurs participants, interrogés en marge de la cérémonie d’ouverture officielle de la rencontre, à une inquiétude latente face au développement dangereux de ce fléau. Il faut dire que la jeunesse mauritanienne est de plus en plus sensible à l’appel des jihadistes. Les cursus enseignés dans les Mahadras et dans les Instituts islamiques dans le pays ont une grande part de responsabilité dans cet état d’esprit, trouvent plusieurs stratèges. En plus des quatorze terroristes jugés et condamnés, certains à la peine capitale, et dont le sort reste méconnu, car placés dans une prison secrète, la prison civile de Nouakchott en regorge. Ces derniers restent très actifs et communiquent avec une aisance déconcertante avec le monde extérieur. La preuve, le coup de fil en direct passé entre l’un d’entre eux et une radio de la place pour démentir les rumeurs relatives à la mise en place d’une nouvelle cellule dénommée « Ançar Acharia Vil Bilad Chinguit ». Cette affaire alimente aujourd’hui les discussions, entre démentis et affirmations fermes. Le nommé Didi Ould Bezeïd, condamné à 13 ans de réclusion criminelle pour le meurtre de l’Américain Christophe Legget au Ksar en 2008 a déclaré que ni lui ni les autres détenus salafistes de la prison civile ne sont même pas au courant de cette organisation, demandant en retour à ce que l’Etat accepte de recevoir son appel en cassation. Didi prétend appartenir au même titre que ses camarades au groupe salafiste qui avait accepté le dialogue initié par l’Etat en vue de leur repentir. Plusieurs parmi ces dialoguistes ont été libérés, certains ont vite rejoint Aqmi, alors que lui et les autres continuent de croupir en prison. Le développement du phénomène se poursuit ainsi, dans les couloirs de la justice mauritanienne et dans les maquis des Jihadistes dans le Nord Mali, au moment où deux autres présumés salafistes viennent d’être remis aux autorités à Nouakchott. Il s’agirait d’un certain Ibrahim Ould Ahmeïda, dont le frère qui faisait partie du commando de la centrale gazière d’In Amenas (Algérie) a été tué, et un autre du nom de Mohamed Lemine Ould Cheikhany. Plusieurs jeunes mauritaniens qui sont en train de fuir l’enfer malien et les bombardements des forces maliennes et africaines aidées par la France, tombent ainsi régulièrement dans les filets des forces de l’ordre mauritaniens. Certains d’entre eux seraient soumis actuellement à des interrogatoires pour déterminer leur appartenance ou non aux Jihadistes du Nord Mali. La jeunesse mauritanienne et son implication dans les groupuscules terroristes au Sahel est un thème récurrent qui a été ainsi abordé par la table-ronde de Nouakchott sur le terrorisme. Le problème selon le colonel Ibrahim Vall Ould Cheïbany qui a abordé l’approche mauritanienne de la question, est d’abord d’ordre idéologique, avant d’être socioéconomique. www.cridem.org/C_Info.php?article=639843
  19. urgent:des jihadistes du nord-mali ont pénétré en guinée www.cridem.org/C_Info.php?article=639791 17-02-2013 06:02 - Les islamistes du Mali se planquent en Guiné Que font les Américains à Kourémalé ? A 700 km de Conakry, la capitale guinéenne, cette bourgade poussiéreuse écrasée sous le soleil n’a d’autre intérêt que de s’étirer des deux côtés de la frontière entre la Guinée et le Mali. Pour y parvenir, il faut endurer pendant des heures les cahots de voies défoncées tout en tâchant d’éviter, à partir de la tombée de la nuit, les «coupeurs de routes», véritables bandits de grand chemin qui dépouillent les occupants des voitures. Dans les gargotes de Kourémalé, le long de la nationale 6, côté guinéen, s’entassent les voyageurs qui viennent de passer la douane, ou qui s’apprêtent à le faire. On avale rapidement un plat de riz à la viande ou au poisson, avant de reprendre la route. «Ici, c’est un flot ininterrompu, de jour comme de nuit, indique un gendarme guinéen en poste depuis un an. On voit défiler des gens de toutes les nationalités : Sénégalais, Ivoiriens, Libériens, Mauritaniens, etc. Sans compter les familles maliennes ou guinéennes réparties des deux côtés de la frontière.» «Le front de la guerre au Mali est à plus 1 000 km, on est donc assez tranquilles, mais on surveille», tente de rassurer le gendarme. L’important dispositif sécuritaire déployé récemment à Kourémalé par les autorités guinéennes trahit cependant une réelle inquiétude. Ça grouille désormais de policiers, gendarmes, douaniers et militaires. Discret sanctuaire Vendredi 25 janvier, le ministre de la Sécurité, Maramany Cissé, vêtu d’un grand boubou marron, est venu en personne présider sur place une importante réunion de travail. Deux heures pour visser les boulons. Preuve de la tension et de l’enjeu, le ministre refusera tout net de livrer le moindre commentaire à la sortie. Coïncidence ? Le même jour, des Américains venus de leurs ambassades de Conakry et de Bamako se retrouvent eux aussi à Kourémalé. Officiellement pour étudier un éventuel plan d’évacuation des personnels diplomatiques de la capitale malienne. Au cas où… Bamako n’est qu’à 129 km par une route bien goudronnée. Pour étudier ce plan à l’abri des oreilles indiscrètes, et balayer aussi les questions sécuritaires, les Américains se retireront dans un hôtel voisin. Depuis quelque temps, les services de renseignements guinéens et occidentaux ont acquis la certitude que des islamistes radicaux en provenance du Mali s’infiltrent en Guinée. D’où l’effervescence constatée sur la frontière. Les «barbus» qui jouissaient jadis d’une certaine quiétude dans la capitale malienne sont désormais pourchassés, la population n’hésitant pas à les dénoncer à la police. La fuite vers le nord étant impossible en raison de la guerre, les islamistes intégristes descendent donc vers la Guinée où ils espèrent trouver un discret sanctuaire où se faire oublier en attendant leur heure Le chef du district de Kourémalé, un vieillard habillé d’un grand boubou blanc et coiffé du petit bonnet traditionnel des musulmans, est assis dans un fauteuil sur le seuil du bureau de la douane. Adama Keita est le seul officiel qui acceptera de répondre à quelques questions. Il livre une information importante. «Nous avons dû accueillir un groupe important de Touaregs avec leurs moutons, dit-il dans un bon français, mais nous n’avons pas vu passer beaucoup d’islamistes radicaux par ici. Mais je sais qu’ils passent plutôt du côté de Labé.» Située à plus de 300 km à l’ouest, dans les montagnes du Fouta-Djalon, la grande ville peule est proche à la fois des frontières malienne et sénégalaise. Or, il existe aussi au Sénégal une frange d’islamistes radicaux dont certains se sont engagés sous la bannière d’Aqmi. Dans le bureau de la douane de Kourémalé, les contrôles, beaucoup moins tatillons qu’à l’aéroport de Conakry, où les passagers sont systématiquement pris en photo, se limitent à l’examen des passeports et à un coup de tampon. Les voyageurs remontent ensuite tranquillement dans leurs véhicules pour s’enfoncer dans le pays malinké. Des régimes si fragiles… A Conakry, le conflit chez le voisin malien rappelle pourtant de douloureux souvenirs. En 2000, le Libérien Charles Taylor avait exporté sa sale guerre en Guinée. Les rebelles avaient semé la terreur dans le sud du pays, notamment à Guékédou et dans les villages environnants, où ils s’étaient livrés à des atrocités. La ville, autrefois prospère, porte encore les stigmates de la guerre et ne s’en est jamais relevée. Raison pour laquelle aujourd’hui la télévision publique guinéenne évoque le plus rarement possible le conflit du Mali. Même si la Guinée a aussi prévu d’engager un contingent de 500 hommes aux côtés des autres forces africaines. Mais la discrétion du pouvoir reste de mise pour ne pas inquiéter la population. Il n’empêche que la présence éventuelle d’islamistes radicaux infiltrés est une mauvaise nouvelle. D’abord, pour les forces alliées africaines et françaises engagées au Mali. Aucune armée au monde n’aime avoir dans son dos des éléments potentiellement dangereux. Ensuite, parce que la dissémination des sympathisants d’Aqmi dans toute la sous-région présente à terme des risques de déstabilisation politique de régimes souvent fragiles. Un réel défi, notamment, pour le président guinéen Alpha Condé, élu il y a deux ans, et qui doit affronter des élections législatives compliquées en mai prochain. www.cridem.org/C_Info.php?article=639791
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  21. Urgent:document de Droudkel retrouvà Tombouctou www.cridem.org/C_Info.php?article=639768 et www.rfi.fr/afrique/20130216-mali-document-inedit- sur-strategie-aqmi-sahel-tombouctou 16-02-2013 14:29 - Mali : un document inédit sur la stratégie d'Aqmi dans le Sahel retrouvé à Tombouctou - Un document signé du chef d'Aqmi, Abdel Malek Droukdel a été retrouvé à Tombouctou dans les décombres d'un local occupé par les islamistes par des journalistes de médias anglophones. Dans ce document dactylographié en arabe et authentifié par des islamologues, on découvre, noir sur blanc, les grandes lignes de la stratégie d'Aqmi au Mali. Sous forme de correspondance avec les chefs locaux d'Aqmi, Abdel Malek Droukdel recommande à ses lieutenants une application plus souple de la charia, en s'appuyant sur les groupes locaux. Le document est daté du mois de mars 2012, juste avant la prise des trois principales villes du Nord par Aqmi, al-Qaïda au Maghreb islamique, et ses alliés Ansar Dine et le Mujao, Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest. Un document sous forme de recommandations : Droukdel reproche à ses lieutenants de ne pas prendre suffisamment de précautions : « Nous devons prendre en compte l'environnement local qui rejette un islam trop rigoureux », explique le chef d'Aqmi qui cite deux applications problématiques de la charia : la destruction des mausolées de Tombouctou et la lapidation en cas d'adultère. Il dénonce une application trop radicale de la charia par le Mujao à Gao. Le chef algérien d'Aqmi appelle ses hommes à privilégier les alliances avec les groupes locaux. Il estime que la décision d'Ansar Dine d'entrer en guerre contre le MNLA, Mouvement national de libération de l'Azawad, est une erreur majeure. Pour lui, Aqmi ne doit pas monopoliser la scène politique et militaire locale et doit se faire discret. « Mieux vaut apparaître, dit il, comme un mouvement local avec ses propres causes et ses préoccupations. Nous n'avons aucune raison de mettre en avant notre projet jihadiste et expansionniste ». « ll nous faut, dit Droukdel, planter juste quelques graines dans un sol fertile qui, grâce à des engrais, deviendront un arbre stable et vigoureux ». Une doctrine de la patience bien loin de son application sur le terrain au nord du Mali. Mathieu Guidère, islamologue, a authentifié et analysé ces documents qu'il estime, rares et précieux. www.rfi.fr/afrique/20130216-mali-document-inedit-sur-strategie-aqmi-sahel-tombouctou
  22. urgent:ministre mauritanien de la défense:la mauritanie a démantelé un nombre significatif de cellules terroristes www.cridem.org/C_Info.php?article=639646 13-02-2013 08:26 - La Mauritanie a démantelé beaucoup de cellules terroristes depuis 2008 (ministre). La Mauritanie a démantelé un grand nombre de cellules terroristes dormantes dans sa lutte contre les groupes islamistes au cours des dernières années, a affirmé mardi le ministre mauritanien de la Défense, Ahmed Ould Ideye, lors d’un colloque sur le terrorisme à Noaukchott. « Notre approche a permis de démanteler un grand nombre de cellules terroristes dormantes et a réussi à mettre en échec des opérations terroristes qui visaient la déstabilisation du pays en s’attaquant à des objectifs sensibles de l’Etat », a indiqué le ministre à l’ouverture de ce colloque. Depuis son arrivée au pouvoir en 2008, le président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz, ex-général putschiste, mène une politique active contre Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), un des groupes islamistes armés présents dans le nord du Mali qui a aussi opéré dans des pays voisins, dont la Mauritanie et le Niger. Le président Aziz avait notamment ordonné des raids contre des bases d’Aqmi au Mali en 2010 et 2011, pour prévenir des attaques en Mauritanie. Le colloque de Nouakchott a pour but à réfléchir à des approches pratiques, à même de venir à bout du terrorisme en renforçant les dispositifs de lutte mis en place par la stratégie mauritanienne. Il est organisé par l’Institut mauritanien des études stratégiques. M. Ould Ideye a affirmé que le Mauritanie avait considérablement renforcé sa présence sur ses frontières sud-est et nord avec le Mali et l’Algérie pour faire face au danger terroriste. Le Mali, appuyé par la France et des troupes africaines, mène depuis le 11 janvier une guerre contre les islamistes armés qui occupaient sa partie nord depuis plusieurs mois. Le président Aziz a exclu de participer à la force africaine en cours de déploiement pour prendre le relais des troupes françaises au Mali. Il a cependant indiqué que son armée riposterait à toute attaque en Mauritanie qui partage avec le Mali une frontière de plus de 2.000 km et approuve l’intervention militaire française et africaine au Mali. www.cridem.org/C_Info.php?article=639646
  23. urgent:les drones américains à la chasse de belmokhtar: www.cridem.org/C_Info.php?article=639532 10-02-2013 06:39 - Destinés officiellement à l’élimination de Belmokhtar : Des drones américains aux frontières algériennes Le Sahel sera-t-il un nouveau Yémen ou un nouveau Pakistan ? Les évènements se succèdent dans la sous-région, apportant à chaque rebondissement un nouvel élément d'information accréditant cette thèse. La révélation faite par le quotidien américain Wall Street Journal dans son édition d'hier conforte cette orientation. Dans son édition d'hier, le Wall Street Journal a révélé que «de hauts responsables militaires et des services de renseignement américains envisagent d'ajouter sur une liste secrète des personnes à «tuer» le nom de celui qu'on surnomme M. Marlboro». Pour ce faire, les Américains envisageraient, selon cette publication, de recourir à des drones, comme ils le font au Yémen et au Pakistan. «Ajouter son nom à cette liste impliquerait une expansion militaire importante des Etats-Unis dans le nord-ouest de l'Afrique, à travers une extension des frappes de drones et des opérations de contre-terrorisme», a ajouté Wall Street Journal. Pour rappel, les Etats-Unis sont déjà en «discussions très avancées» avec le Niger pour l'installation d'une base pour drones et unités des forces spéciales. L'information a été donnée alors que l'intervention militaire française au Mali avait commencé. Selon le Wall Street Journal, la décision prise par les Américains d'ajouter Mokhtar Belmokhtar, alias Khaled Abou El Abbès, suite à la prise d'otages faite par des terroristes à la base-vie de Tiguentourine, à In Amenas. Khaled Abou El Abbès avait, rappelle-t-on, revendiqué cette attaque terroriste au nom de katibat El Moulatamine (phalange des signataires par le sang) créée par Belmokhtar en décembre 2012, peu de temps avant l'offensive lancée par l'armée française au Mali. L'organisation terroriste auteur de la prise d'otages relève de la brigade dite «El moulatamine» dirigée par Mokhtar Belmokhtar, ancien émir de la zone 9 du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), devenu Al Qaïda au Maghreb islamique. Belmokhtar avait, rappelle-t-on, été écarté par Abdelmalek Droukdel, alias Abou Mossaâb Abdelouadoud, émir national d'Aqmi, au profit de Abdelhamid Abou Zeid, désigné par ce chef terroriste émir de katibate Tarek Ibn Ziad, auteur de l'enlèvement de 32 touristes en 2003. Inquiétude au Sahel Quelques semaines avant l'offensive française au Mali, Belmokhtar s'était, rappelle-t-on, installé, avec ses acolytes, à El Khalil, agglomération malienne se trouvant à 4 kilomètres du tracé frontalier avec l'Algérie et à 14 kilomètres de Bordj Badji Mokhtar. C'est à bord de dizaines de véhicules équipés de mitrailleuses lourdes que les acolytes de Belmokhtar s'étaient installés à El Khalil, dépossédant les habitants de leurs véhicules et provoquant leur fuite vers la destination la plus proche, à savoir Bordj Badji Mokhtar, déclarée, depuis quelque temps, «zone militaire» par l'Armée nationale populaire (ANP). Il est, donc, peu probable qu'avec les frappes menées par les hélicoptères militaires et Rafale français au Mali, Belmokhtar et ses acolytes soient restés à El Khalil. Par ailleurs, l'utilisation de drones suscite l'inquiétude au Sahel. L'utilisation de cette arme a fait des centaines de morts parmi les civils en Irak, au Yémen et au Pakistan, selon des organisations non gouvernementales (ONG) internationales. Le Washington Post a révélé, dans son édition du 5 février 2013, l'existence d'une base secrète de drones américains en Arabie saoudite. Le quotidien connaissait l'existence de cette base depuis plus d'un an mais a préféré garder le secret (partagé par d'autres médias) à la demande du gouvernement Obama, a-t-il été rapporté. www.cridem.org/C_Info.php?article=639532
  24. urgent:découverte d'explosifs à laéroport de nouackhott www.cridem.org/C_Info.php?article=639482 08-02-2013 10:58 - Découvertes d’explosifs à l’aéroport de Nouakchott Des témoins font « état de mesures exceptionnelles à l’aéroport de Nouakchott suite à une découverte d’explosifs, prétendent-ils jeudi soir. Les services de sécurité aéroportuaires bloqueraient actuellement l’entrée de l’aéroport et auraient demandé aux personnes présentes d’évacuer les lieux. Si cette rumeur se confirmait, elle serait en relation avec la situation au Mali et la présence des armées engagées dans les opérations Flintlock en Mauritanie.
  25. urgent:nord-mali:le mujao déclare avoir installé des mines www.france24.com/fr/20130207-mali-islamistes-mujao-revendiquent-pose-mines-nord-armee-francaise-malienne-soldats 07/02/2013 - islamisme - mali Les islamistes du Mujao revendiquent la pose de mines dans le Nord En perte de vitesse au Nord-Mali face à l'offensive franco-malienne, le Mouvement pour l'unicité et le djihad en Afrique de l'Ouest a revendiqué jeudi la pose de mines dans la région. Quatre soldats maliens ont péri la veille dans une explosion. Par FRANCE 24 (texte) Le Mouvement pour l'unicité et le djihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), groupe islamiste armé, a revendiqué jeudi auprès de l'AFP la pose de mines dans le Nord du pays. "Le Mujao est derrière l'explosion de deux voitures de l'armée malienne entre Gao et Hombori (nord)", a affirmé Abu Walid Sahraoui, porte-parole du Mujao. La veille, quatre soldats maliens avaient péri dans l'explosion d'une mine au passage de leur véhicule entre Douentza et Gao. Le 31 janvier, deux soldats maliens avaient déjà été tués dans une explosion similaire, sur la même route. À plusieurs reprises, les militaires français ont fait part de leur vigilance à l'égard d'éventuelles mines ou bombes artisanales que les islamistes auraient pu dissimuler dans la région. Ouverture d’un nouveau front "Nous avons réussi à créer une nouvelle zone de conflit, à organiser des attaques de convois et organiser des kamikazes," s’est également félicité Abu Walid Sahraoui, appelant "les citoyens à ne pas se déplacer sur les routes nationales parce qu'il y a danger de champs de mines". "Nous exhortons au djihad [guerre sainte] contre les régimes infidèles et pour établir la charia et libérer les musulmans", a ajouté le porte-parole. Après plus de neuf mois de présence au Nord-Mali, le Mujao, comme les autres groupes islamistes, a fui les villes de la région, presque sans combat, devant l’avancée des armées française et malienne. www.france24.com/fr/20130207-mali-islamistes-mujao-revendiquent-pose-mines-nord-armee-francaise-malienne-soldats
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