La réaction primaire semble tout à fait normal pourtant.
On explique souvent que les pilotes ne volent pas assez, qu'ils sont en dessous du quota horaire conseillé par l'OTAN, que les qualifications en métropole sont lentes car les heures vont surtout sur les OPEX gourmandes.
Alors quand on annonce que l'armée va se séparer de 10% de ses Rafale, dans les plus récents reçus, les gens s'interrogent