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penaratahiti

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Tout ce qui a été posté par penaratahiti

  1. Là dessus je te suis, j'ai l'impression que Poutine s'en serait bien passé mais qu'on lui a forcé la main, qu'il s'est fait dépasser par la base comme on dit.
  2. Ils demandent aussi le démantèlement des Aegis Ashore en Roumanie qui techniquement sont incapables de tirer autre chose que du missile anti missile (et pas de Tomahawk).
  3. Poutine considère que le Mémorandum de Budapest ne s'applique plus à l'Ukraine dès lors que ce n'est plus le même état ukrainien qui a signé ce Mémorandum suite à la révolution orange. Donc il considère qu'il peut s'asseoir dessus alors qu'il faudrait par contre respecter de vagues promesses non-ratifiées sur le non-élargissement de l'OTAN.
  4. Habituellement on désigne SSGN un SSN avec des tubes de lancement dédiés pour des missiles aérodynamiques (par opposition aux missiles ballistiques). Mais du coup on pourrait dire que les 688 avec VLS sont des SSGN, ce qu'ils ne sont pas dans la nomenclature US...
  5. en plus certains lecteurs ont l'outrecuidance de lui demander ses sources !
  6. Non non 1940, c'est documenté, et assumé par de Gaulle est les hommes politiques de la première heure de l'oeuvre commune.
  7. La dissuasion nécessite une sanctuarisation de ressources. Si ce sanctuaire est en péril, on active la dissuasion, ça vaut pour les SNA/SNLE/FASM/Rafale/Phénix/AWACS
  8. Et c'est aussi ce que je disais dans un autre fil sur les FAS, tu peux montrer que tu mets en puissance ton dispositif de frappe ASMP-A : rapatriement de Rafale B/Phénix/AWACS sur le territoire, même le décollage du dispositif peut être un signe ostentatoire avant l'engagement. Gardez toujours en tête que la dissuasion française prend racine dans le traumatisme de 1940.
  9. Justement on laisse volontairement le flou dans la notion d'intérêts vitaux pour pas que l'adversaire ne s'amuse à rester sous le seuil de déclenchement. Ça reste à l'appréciation du PR, mais Macron avait en 2020 explicité le fait que ça avait désormais une dimension européenne. On peut donc considérer qu'une atteinte à l'intégrité territoriale de l'UE déclenche le feu nucléaire, ou pas. Le territoire français c'est une certitude. Tu coules le CDG, je sais pas, mais du coup t'as pas envie d'essayer sauf si tu te défends contre une agression française... Tu touches aux piliers de la crédibilité de la dissuasion, tu déclenches quasi sûrement... Tu le sens le flou ?
  10. Effectivement l'adversaire doit rester persuadé qu'on n' hésitera pas à s'en servir s'il touche à nos intérêts vitaux. C'est le concept
  11. ça coûte environ 100€/an/français. par contre, je ne sais pas calculer le retour sur investissement (influence sur la géopolitique, ruissellement des recherches sur d'autres domaines civils, crédibilité sur les marchés exports...)
  12. Un docu complet (mais en Russe) sur la fabrication des S400 de Telecanal Zvezda, beaucoup de détails et d'images très intéressants, même pour ceux qui ne comprennent rien :
  13. penaratahiti

    Airbus

    C'est quand même un changement de paradigme et un signe de la domination d'Airbus par rapport à Boeing en ce.moment. Qu'est-ce qui fait qu'une entreprise peut se permettre de choisir ses Clients, et de surcroît envoyer balader une compagnie nationale d'un Etat pétrolier puissant ? Ça revient à demander pourquoi un chat se lèche le trou de balle ? Ben parce qu'il peut se le permettre. Désolé c'est encore vendredi [-->]
  14. Rien de concret, on acte nos désaccords, nos ligne rouges respectives... même si au final ils sont peut-être allés un peu plus dans le détail technique en off, avec des suggestions/propositions conditionnées, mais c'est pas le moment de publier ?
  15. Conclusions de la rencontre Blinken-Lavrov d'aujourd'hui à Genève : Source TASS (tass.ru - différences substantielles avec tass.com, je trouve l'info plus variée et en profondeur) Les États-Unis fourniront à la Russie des réponses écrites à ses propositions de garanties de sécurité la semaine prochaine. C'est ce qu'ont déclaré le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov et le secrétaire d'État américain Anthony Blinken à l'issue des entretiens qu'ils ont eus vendredi à Genève. Après cela, Lavrov et Blinken ont l'intention de se revoir. Alors que les parties restent sur les mêmes positions : Washington appelle à une "désescalade" de la situation autour de l'Ukraine et souligne l'intention de maintenir la politique de la "porte ouverte" au sein de l'Otan, tandis que Moscou se plaint que tout s'effondre dans les relations russo-américaines à "ce que ressentent les Ukrainiens" du président Volodymyr Zelensky. TASS a recueilli les déclarations clés de Lavrov et Blinken après la réunion. Réponses écrites Les États-Unis ont accepté de fournir à la Russie des réponses écrites à ses propositions de garanties de sécurité, après quoi le secrétaire d'État américain et le ministre russe des Affaires étrangères prévoient de tenir une autre réunion. Le document lui-même, qui sera remis à Moscou la semaine prochaine, pourrait être publié. "Je pense qu'il serait juste de rendre cette réponse publique, et je demanderai à Anthony Blinken qu'ils ne s'y opposent pas", a déclaré Lavrov. Contacts éventuels des dirigeants À l'avenir, un contact entre les dirigeants des deux pays n'est pas exclu, cependant, le ministre russe des Affaires étrangères a émis une réserve, il ne faut pas "prendre les devants" dans cette affaire : "Le président [de la Fédération de Russie Vladimir] Poutine est toujours prêt pour des contacts avec le président [US Joe] Biden. Il est clair que ces contacts doivent être sérieusement préparés. Selon Blinken, Washington est prêt à des contacts au plus haut niveau, « si cela est utile », mais jusqu'à présent, seuls des pourparlers entre les chefs des agences des affaires étrangères sont prévus. Importance de l'Ukraine "Nos collègues américains ont une fois de plus tenté aujourd'hui de placer l'Ukraine à l'avant-garde de tout ce processus [de négociation]", a déclaré M. Lavrov lors d'une conférence de presse. Selon lui, Moscou convient que la question ukrainienne "nécessite une attention particulière", mais "tout le problème de l'architecture de sécurité européenne" ne doit pas s'y réduire. Le ministre a déploré que la Russie et les États-Unis devraient penser "de manière adulte" aux problèmes mondiaux tels que le changement climatique : "Mais au lieu de cela, ce que nous faisons, c'est que tout dans les relations russo-américaines se résume à ce que Zelensky et son régime ressentent". . Ce n'est pas bien". Y a-t-il une "menace" pour Kiev Lavrov a répété lors de la réunion que Moscou n'allait pas "envahir" l'Ukraine : "La Russie n'a jamais, nulle part, jamais menacé le peuple ukrainien par la bouche de ses représentants officiels". Son homologue américain a également confirmé la position de son pays qui est d'exiger le retrait des militaires russes des frontières ukrainiennes. Selon lui, l'Occident est prêt à donner une "réponse rapide, ferme et unifiée" non seulement si "des forces militaires russes traversent la frontière ukrainienne", mais aussi si "un ensemble de mesures agressives qui ne sont pas liées à des actions militaires " est adopté. Élargissement de l'OTAN Lavrov et Blinken étaient également en désaccord sur le refus de l'OTAN de s'étendre vers l'est, ce qui est exigé par Moscou. Le ministre russe a réitéré cette demande, le secrétaire d'Etat américain a répondu en disant que l'alliance n'abandonnerait pas le principe de la "porte ouverte". "Cela inclut les questions liées à la limitation du droit souverain du peuple ukrainien à déterminer son propre avenir. Il ne peut y avoir de négociation ici", a souligné Blinken. Dans le même temps, Moscou estime que les actions de l'Otan envers l'Ukraine "montrent bien que l'alliance considère ce pays comme une zone de son influence". Le chef du ministère russe des Affaires étrangères a comparé cela à la politique menée par les puissances coloniales. Appréciation de la rencontre Lavrov espère que la rencontre avec son homologue américain aidera Washington à préparer des réponses écrites aux propositions de Moscou, et l'a qualifiée d'"intermédiaire". Le secrétaire d'Etat américain a donné un bilan plus détaillé : "la discussion <...> a été franche et substantielle", et les pourparlers ont été "utiles". "Aujourd'hui, nous ne nous attendions à aucune percée significative. Mais je suis sûr que nous sommes maintenant sur une voie claire pour comprendre les préoccupations mutuelles", a-t-il ajouté. En gros, rien de nouveau sous le soleil. Je peux pas m'empêcher de penser à cette scène : "ca suffit ! Vous essayer de gagner du temps"
  16. Cf. Le dernier article d'OPEX, on vient d'être propulsés aux premières loges des revendications de la Russie. http://www.opex360.com/2022/01/21/moscou-veut-le-retrait-des-forces-de-lotan-presentes-en-roumanie-ou-paris-prevoit-denvoyer-un-groupement-tactique/
  17. penaratahiti

    Airbus

    Rarissime qu'une commande soit annulée à l'initiative de l'avionneur, on sent le ras le bol d'Airbus !
  18. C'est rhétorique non ? Après faut pas confondre les pro-russes qui fantasment sur le torse musclé d'un Vova chevauchant un ours et ceux qui tentent de comprendre et d'expliquer l'attitude russe, quitte parfois à laisser penser à tort qu'ils adhèrent . Allez c'est vendredi :
  19. Ça me paraît glissant un découpage de sphères d'influences par les puissants qui tirent de grands traits sur des cartes. on paie encore une des plus grandes erreurs géopolitiques du 20e siècle près de 100 ans après, et c'était complètement dans ce délire. Un développement intéressant : Ministère russe des Affaires étrangères: les exigences pour que l'OTAN retire ses forces étrangères s'appliquent également à la Bulgarie et à la Roumanie MOSCOU, 21 janvier. /TASS/. La Bulgarie et la Roumanie n'étaient pas membres de l'OTAN depuis 1997, de sorte que la demande de la Fédération de Russie à l'alliance pour le retrait des forces, équipements et armes étrangers s'applique à ces pays. C'est ce qu'indiquent les réponses du ministère russe des Affaires étrangères vendredi aux questions des médias reçues lors de la conférence de presse du ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov. "Nous parlons du retrait des forces, équipements et armes étrangers et d'autres mesures afin de revenir à la configuration de 1997 sur le territoire de pays qui n'étaient pas membres de l'OTAN à la date spécifiée. Il s'agit à la fois de la Bulgarie et de la Roumanie", dit le ministre. Est-ce qu'on peut en conclure que la présence de l'Aegis Ashore en Roumanie est un casus belli pour la Russie ?
  20. Ca matraque beaucoup dans les médias russes, on parle de S400/Pantsir/Su-35 envoyés en Biélorussie, des trains chargés d'équipements et de carburants traversent la russie venant d'extrême Orient, avec lance-roquettes, brigades de commandement, personnel médical... L'essentiel des militaires sous contrat se rendent à proximité des frontières ukrainiennes et des familles commentent des posts tiktok/twitter en parlant de "voyage d'affaire", que le déploiement pourrait durer jusqu'à 9 mois... Beaucoup d'inquiétude.
  21. penaratahiti

    Le Rafale arrive en Grèce

    En terme d'emport asymétrique, le Super Étendard avait aussi la config AS30 Laser + bidon + Atlis II sous fuselage, et l'ASMP à la place de l'AM39.
  22. penaratahiti

    Le(s) PA de la Royale

    Ok donc on se positionne d'ores-et-déjà dans le dialogue dissuasif, c'est pas souvent qu'on parle ostensiblement de la FANu lors d'un déploiement du CDG il me semble.
  23. penaratahiti

    Le(s) PA de la Royale

    Pendant Polaris 21, on parlait du Suffren dans le dispositif. Peut-être un soum britannique ou us en plus ?
  24. penaratahiti

    Le(s) PA de la Royale

    https://news.usni.org/2022/01/18/usni-news-fleet-and-marine-tracker-jan-18-2022 Le Harry Truman oui
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