Eau tarie Posté(e) le 12 février Share Posté(e) le 12 février Qu'on se dirige tout droit vers un duel Biden - Trump, punaise ça me déprime. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fanch Posté(e) le 12 février Share Posté(e) le 12 février C'est ce que je trouve le plus désolant : que les démocrates comme les républicains n'aient pas pu/su préparer la relève. (bon quand je regarde chez nous, on a le même problème). 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Stark_Contrast Posté(e) le 13 février C’est un message populaire. Share Posté(e) le 13 février 1 hour ago, Fanch said: This is what I find most distressing: that both the Democrats and the Republicans were unable/unable to prepare for the next generation. (well when I look at our place, we have the same problem). Les républicains ont déjà fait leur révolution. Si Trump avait décidé de ne pas se présenter en 2024, DeSantis aurait été un choix facile. Pour les démocrates, c'est plus compliqué. En 2016, nous savions tous qu'il s'agissait d'Hillary Clinton, sauf que Bernie Sanders a lancé une attaque étonnamment impressionnante. Hillary était censée être la continuation de l'hégémonie. 8 ans de plus, en gros. (sa réélection en 2020 était aussi évidente que son élection en 2016) la défaite de 2016 a plongé tout le monde dans le chaos. Il y a une raison pour laquelle il y a environ 24 challengers en 2020. Ce n'est pas que les 24 personnes étaient toutes aussi viables. C'est loin d'être le cas. Mais c'est encore une fois le fait qu'il n'y ait pas d'héritier naturel ou de favori qui fait que les gens ne se donnent même pas la peine d'essayer, comme c'est généralement le cas. Si vous voulez voir à quoi cela ressemble, il n'y a actuellement aucun candidat démocrate sérieux - et ils ne sont pas très heureux que RFK Jr. ait même essayé. Il n'y avait pas d'héritier apparent au trône en 2020. Biden était le plus familier et tout le monde a joué très gentiment et s'est rallié à lui lorsqu'il est apparu comme le favori. Personne ne veut être l'insurgé qui a coûté à Biden l'élection de 2020 et qui a valu au pays 4 années supplémentaires de Trump. N'oubliez jamais que les républicains veulent revenir aux années 1980 de Reagan. et les démocrates aux années 1990 de l'ère Clinton. Pour les démocrates, même le vice-président actuel n'est pas considéré comme l'héritier naturel du trône. Réfléchissez un instant et rendez-vous compte de l'étrangeté de la situation. Où est la suite ? Pendant un certain temps, nous avons eu un plan pour gouverner la Maison Blanche de 2008 à 2024. Elle peut s'accrocher à Biden et prier pour qu'il réussisse en 2024, car nous avons déjà vu qu'elle n'arrivera à rien toute seule à ce niveau. Le parti démocrate est de plus en plus en difficulté. Biden est l'une des rares choses qui le relie et même lui souffre en marge. C'est pourquoi il est important de se rassembler contre Trump. C'est l'une des rares choses sur lesquelles tout le monde peut être d'accord. Je ne veux pas faire trop de commentaires sur Gaza, mais ils ont mis le président de côté. C'est quelqu'un qui a fait ce qu'il fallait pour les électeurs progressistes pendant des années, au détriment des électeurs centristes, et maintenant c'est "Joe le génocidaire" Voilà les "remerciements" que reçoit le président. Oui, c'est très bien d'avoir Trump à pointer du doigt actuellement, en effet. 2 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 14 février Share Posté(e) le 14 février Encore un coup de tonnerre montrant le disfonctionnement politique aux États-Unis. Ce précédent pourra être utilisé pour démolir n'importe quel membre du gouvernement par le parti ayant la majorité . .. https://www.lefigaro.fr/flash-actu/les-republicains-a-la-chambre-inculpent-le-ministre-de-biden-charge-de-l-immigration-20240214 Le secrétaire à la Sécurité intérieure Alejandro Mayorkas a été destitué mardi 13 février par les Républicains à la Chambre des représentants. Il était accusé de «crimes et délits graves » pour avoir «délibérément et systématiquement» refusé de se conformer aux lois des États-Unis sur l'immigration en ne détenant pas systématiquement les migrants illégaux interpellés à la frontière mexicaine et en laissant pénétrer certains sur le territoire américain, ainsi que d'avoir abusé le public américain en affirmant avoir le contrôle de la situation sur la frontière. «Depuis son entrée en fonction, le secrétaire Mayorkas» a alimenté «la pire catastrophe frontalière de l'histoire des États-Unis», a déclaré le président républicain de la Chambre Mike Johnson dans un communiqué publié après le vote de destitution. En démettant de ses fonctions un membre de l'administration démocrate, les républicains créent un précédent historique, la procédure n'ayant pas été utilisée contre un ministre depuis plus d'un siècle. Ce vote témoigne de la profondeur de la division entre les deux partis au Congrès. Une première tentative avait échoué la semaine dernière à une voix près. 1 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 14 février Share Posté(e) le 14 février il y a 39 minutes, collectionneur a dit : la procédure n'ayant pas été utilisée contre un ministre depuis plus d'un siècle Elle a donc déjà été utilisé (et est donc prévu dans les institutions ?). C'est clairement un coup de tonnerre mais on est toujours dans le cadre de fonctionnement de cette démocratie. Par contre déterrer de la sorte une telle procédure est un acte politique qui montre une grande conflictualité dans le personnel politique. Tout cà n'est pas très digne. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Alexis Posté(e) le 14 février C’est un message populaire. Share Posté(e) le 14 février Le 12/02/2024 à 16:31, Janmary a dit : Ce sont quand même les USA qui fournissent le plus d'effort financier. Ce qui n'est pas normal compte tenu de leurs propre défense, de celle du Pacifique et Asie et de leurs engagement au Moyen Orient. Ce point est indéniable. J'ajouterais que du point de vue des pays européens concernés, il y a quelque chose de honteux - en plus d'être dangereux - à demeurer dépendant de la protection d'un pays lointain non seulement pendant quelques années après la catastrophe historique que fut la séquence 1914-1945 (que l'on peut considérée comme une seconde "Guerre de Trente Ans"), mais quatre-vingt ans ( !) après Le 12/02/2024 à 16:31, Janmary a dit : Compte tenu des problèmes intérieurs aux USA (Immigration, dépassement colossaux des budgets, repli sur eux mêmes vers une neutralité comme avant le second conflit mondial, etc.). l'Europe ferait mieux de s'activer à la création d'une Force Armée en parallèle à celle de leurs engagement de l'OTAN. Dès qu'un conflit apparait, nous faisons appel aux USA, même dans l'ex-Yougoslavie jadis. Je pense que l'Europe devrait honorer pour moitié avec les USA pour l'autre parti, les 2% de leurs budgets à chaque Etat. Il s'agit de NOTRE Europe dont la Commission Européenne travaille à un Etat futur et unique à caractère Fédéral. En attente l'Histoire enseigné par chaque Nation doit être simplifiée (Napoléon n'existe déjà plus aux programmes) pour créer une Histoire Européenne compatible avec le futur Etat. Mais cela est un autre problème à venir. C'est un point de vue qui va dans le sens du fédéralisme européen. Je suis pour ma part partisan de l'indépendance et la continuité nationale. Ce n'est pas le lieu d'en discuter Juste une remarque très générale sur l'aspect générationnel de tout cela. Une anecdote rapportée je ne sais plus si c'est par Peyrefitte. Dans les années 60, conversation avec De Gaulle parlant de l'indépendance et de la grandeur de la France, son interlocuteur lui fait remarquer "Mais mon général... c'est de l'Europe que les jeunes veulent entendre parler. C'est ce qui les motive". Suivant son témoignage, De Gaulle n'a rien trouvé à répondre... Aujourd'hui, le balancier est semble t il reparti dans l'autre sens. Ce qui se voit notamment, et pas seulement, dans les votes. Les jeunes d'aujourd'hui, deux générations plus tard, ne s'intéressent pas à ce qui motive toujours les aînés, qui sont précisément les jeunes de l'époque de De Gaulle. Le balancier repartira t il dans l'autre sens ? Les jeunes de 2080 ou 2100 seront-ils fédéralistes ? Je n'en sais rien. Mais le fait politique aujourd'hui et la motivation, c'est la Nation, non l'Europe. Même le plus européiste des 11 candidats à la présidence de 2017 ne peut éviter d'en tenir compte, maintenant qu'il est élu, et Macron fait plus de souverainisme qu'on ne s'en rend compte - même s'il reste de mon point de vue très insuffisant sur ce chapitre, il est indéniable qu'il a sérieusement bougé. La défense des Européens par eux-mêmes, aujourd'hui, ne peut être basée que sur une coopération entre Nations Le 12/02/2024 à 18:09, Eau tarie a dit : Qu'on se dirige tout droit vers un duel Biden - Trump, punaise ça me déprime. Si j'ai bien compris, une majorité d'Américains souhaiterait un autre duel que celui-là, autre chose que la réédition de 2020. Ça me fait penser à certain un pays où une majorité aurait bien voulu autre chose qu'une réédition en 2022 du duel Macron-Le Pen de 2017... Le 13/02/2024 à 01:28, Stark_Contrast a dit : Mais c'est encore une fois le fait qu'il n'y ait pas d'héritier naturel ou de favori qui fait que les gens ne se donnent même pas la peine d'essayer, comme c'est généralement le cas. Si vous voulez voir à quoi cela ressemble, il n'y a actuellement aucun candidat démocrate sérieux - et ils ne sont pas très heureux que RFK Jr. ait même essayé. Il n'y avait pas d'héritier apparent au trône en 2020. C'est un grand paradoxe des Etats-Unis que le pays qui a eu un régime républicain en continu depuis le plus longtemps, le pays qui n'a jamais eu de noblesse héréditaire et a fait figure de laboratoire de la démocratie... ... se soit retrouvé avec des dynasties Les Kennedy. Les Bush. Les Clinton ont failli en commencer une. Et qui sait si les Trump ? On pourrait avoir l'impression de deux clans rivaux de nobles qui se disputent le contrôle d'institutions républicaines, l'un sous le signe de l’Âne l'autre de l’Éléphant Le 13/02/2024 à 01:28, Stark_Contrast a dit : N'oubliez jamais que les républicains veulent revenir aux années 1980 de Reagan. et les démocrates aux années 1990 de l'ère Clinton. Nous avons en France la dérive inverse. Le bras droit du chef du parti au pouvoir, c'est-à-dire du président, a 34 ans. C'est un jeune homme qui présente bien, qui communique bien, et qui n'a aucune réussite remarquable à son actif... c'est bien pourquoi il est premier ministre ! Le bras droit du chef du principal parti d'opposition a 28 ans. C'est lui aussi un jeune homme qui présente bien, qui communique bien, et qui a encore moins à son actif que le premier ministre... ce qui justifie bien sa position ! Jeunisme forcené en France, sénilisme passionné aux Etats-Unis. Vers la fin du second mandat de Joe Biden, aux réunions du G7, le président des Etats-Unis pourra promener dans une poussette le président de la République française et lui donner le biberon. Et il l'appellera Charlemagne, bien sûr Je ne sais pas lequel est le meilleur - ou plus exactement lequel est le pire. 4 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 14 février Share Posté(e) le 14 février il y a une heure, Alexis a dit : et Macron fait plus de souverainisme qu'on ne s'en rend compte En parlant de : "souveraineté européenne", il a lavé l'opprobre qui entachait naguère le "vilain mot" de "souverainisme", et en a fait un concept honorable. il y a une heure, Alexis a dit : La défense des Européens par eux-mêmes, aujourd'hui, ne peut être basée que sur une coopération entre Nations C'est l'OTAN sans les États-Unis dont parlait le général Desportes : "Moi je ne demande surtout pas la désintégration de l'Otan, c'est un outil remarquable. Je demande simplement que les Américains quittent l'Otan..." Le 10/06/2016 à 23:04, Wallaby a dit : http://www.france5.fr/emissions/c-dans-l-air/diffusions/08-06-2016_491953 (8 juin 2016) 11:52 Vincent Desportes : Ce que je crois aujourd'hui c'est que nous sommes dans un moment dangereux. Nous ne savons pas ce qui est fait pour l'Otan, est-ce que cela relève de la dissuasion, ou est-ce que cela relève de l'escalade ? 13:40 François Clémenceau : Là on a 30000 hommes de l'Otan, ce n'est pas une manoeuvre de l'Otan, c'est une manoeuvre de l'armée polonaise, coordonnée par un certain nombre de pays de l'Otan, pas tous : la France par exemple n'y est pas. 22:10 Vincent Desportes : Moi je me demande si ça n'est pas dangereux, si l'Otan n'est pas dangereux. Parce que l'Otan, qui aurait du disparaître il y a maintenant vingt ans, vingt ou vingt-cinq ans, perdure et naturellement l'Otan a intérêt à avoir un adversaire, à faire monter les tensions, etc. Et donc on voit bien qu'on a des intérêts là-dessus. Moi je pense qu'aujourd'hui l'Otan est plus un danger qu'une sécurité. Parce que si nous n'avions pas l'Otan, si l'Otan avait disparu il y a vingt-cinq ans nous aurions aujourd'hui une Europe de la défense. Aujourd'hui nous aurions une entité stratégique européenne. Parce que ce sentiment de la menace serait venu, parce qu'aujourd'hui, qu'ont fait les gouvernements européens ? Ils ont dit ne vous en faites pas à leur population, vous êtes défendu, il y a une surassurance américaine, donc nous pouvons baisser les budgets de défense. C'est exactement ce qui s'est passé. Si l'Otan n'avait plus existé, l'Europe se serait prise en main, et moi j'espère très vivement que l'Europe aille se prendre en main. 23:05 Vincent Desportes : Je ne dis pas que ces manoeuvres sont dangereuses, je dis aujourd'hui, il faut être raisonnable. Je disais tout à l'heure nous sommes entre l'escalade et la dissuasion et à un moment donné, si nous continuons dans l'escalade, parce que nous sommes dans une escalade des tensions, nous ne saurons pas où cette escalade va s'arrêter. 23:20 Yves Calvi : Vous êtes en train de nous dire : à force de se donner des baffes, il y a toujours un moment où l'on s'énerve, vraiment ? 23:30 Vincent Desportes : C'est exactement comme cela. Tous les conflits ont commencé comme cela et on sait quand même que les Russes sont un petit peu chatouilleux. Je crois que l'allié naturel des Européens et de la France, c'est la Russie. Cela ne sont pas les Etats-Unis. Nous sommes condamnés à nous entendre pour la gestion géopolitique de ce grand ensemble qui est l'Eurasie. Nous sommes condamnés à le faire. Nous sommes condamnés à comprendre que dans quelques années quoi qu'il arrive, les Américains ne s'intéresseront plus à l'Europe pour des tas de raison qu'on peut expliciter si vous le souhaitez, et donc nous avons intérêt à trouver un gentleman's agreement, peut-être un reengineering de l'Europe avec la Russie, cela me parait évident. Est-ce que l'Otan est efficace ? Oui c'est un outil efficace, mais un outil ne sert à rien s'il est contre-productif en termes de sécurité générale. 30:20 Vincent Desportes : L'Otan est important. Moi je ne demande surtout pas la désintégration de l'Otan, c'est un outil remarquable. Je demande simplement que les Américains quittent l'Otan, parce que cet outil... 30:30 Yves Calvi : Là c'est le général de Gaulle qui parle... 30:31 Vincent Desportes : ... Mais pourquoi pas ? Nous avons perdu - je suis tout à fait modeste dans mon propos naturellement - mais nous avons perdu totalement notre autonomie stratégique. Je dis que l'Otan est un bel outil : conservons-le! Nous voyons bien que les Américains sont opposés à la création d'un pillier européen. Nos amis Britanniques qui nous quitteront peut-être dans peu de temps sont opposés à un état-major européen, etc. On voit bien qu'aujourd'hui les Américains - et c'est vrai depuis 70 ans - veulent diriger eux-mêmes le monde occidental, et ne supportent pas d'avoir un alter-ego quelque part. Donc ils sont opposés à une autonomie et à un fort pillier européen. Et je dis donc que la seule façon de s'en sortir, c'est d'avoir une rupture : on va l'avoir peut-être assez rapidement. 31:15 Yves Calvi : Vous dites qu'il faut se passer d'eux au sein de l'Otan pour pouvoir prendre en charge pleinement notre outil ? 31:20 Vincent Desportes : Je constate le résultat. Le résultat aujourd'hui, c'est que l'Europe n'est plus défendue. Vous parlez du pivot américain et c'est vrai que Monsieur Obama est en train de revenir, et c'est vrai que Monsieur Poutine le pousse, mais naturellement la dérive des continents, la dérive économique des continents, la dérive démographique des continents fait que l'Amérique, quoi qu'il arrive aura de petits soubresauts pour revenir vers l'Est, mais de toute façon va aller vers l'Ouest et donc il nous reste quelques petites dizaines d'années pour retrouver notre autonomie de défense et notre autonomie stratégique, et cela, il faut le faire assez rapidement. 58:23 Yves Calvi : Vous avez dit tout à l'heure : Poutine, c'est nous qui l'avons créé : qu'est-ce que vous vouliez dire par là ? 58:30 Vincent Desportes : Ce que je voulais dire, c'est que pendant la présidence de Monsieur Clinton, on a eu une politique de la main tendue : l'Amérique a tenté d'établir des relations cordiales, je dirais, avec la Russie. Et puis on a eu l'arrivée de George W. Bush, et alors les choses ont changé : on a eu une triple manoeuvre agressive : première chose : on a eu cet élargissement de l'Otan, qui ne pouvait être que perçu que agressif, ensuite on a eu le bouclier anti-missiles, qui est perçu - c'est une perception, mais qui est perçu comme agressif, et puis les Américains ont eu la politique de contournement de la Russie par l'Asie Centrale, donc trois politiques agressives. Donc qu'à un moment donné, la Russie se réveille, se sente agressée, et génère Monsieur Poutine qui surfe sur cette vague du mécontentement et du mépris, cela me parait normal. Donc je crois vraiment que c'est la politique agressive des Etats-Unis qui a construit cette Russie agressive. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eau tarie Posté(e) le 14 février Share Posté(e) le 14 février C'est vrai qu'en France, on dirait que la génération né vers 70/80 n'est pas très présente, ou ne réussi pas en politique. On est passé des boomers 1940/1950 et post boomer 1960, quasi directement aux années 90 ! 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ksimodo Posté(e) le 14 février Share Posté(e) le 14 février il y a une heure, Eau tarie a dit : C'est vrai qu'en France, on dirait que la génération né vers 70/80 n'est pas très présente, ou ne réussi pas en politique. Je dirai que les 60 / 70 sont absents. Les 80 sont bien là. Pour les 70's ( c'est ma catégorie ) je dirai sans doute pas assez conservateurs, ni assez djeun's. Le bras droit du chef du parti au pouvoir, c'est-à-dire du président, a 34 ans. C'est un jeune homme qui présente bien, qui communique bien, et qui n'a aucune réussite remarquable à son actif... Le bras droit du chef du principal parti d'opposition a 28 ans. C'est lui aussi un jeune homme qui présente bien, qui communique bien, et qui a encore moins à son actif que le premier ministre... Tu peux être plus direct. Pour les 2, ce n'est pas qu'il n'y a pas de réussite remarquable à l'actif, y'a pas d'actif du tout. Passif - 1 euro, actif +1 euro, bilan nul. Dans un monde normal ça vaut peau d'balle. Mais dans le monde actuel qui se projette sur des rêves ça fonctionne. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 14 février Share Posté(e) le 14 février 23 novembre 2023. Niall Ferguson 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 14 février Share Posté(e) le 14 février il y a 37 minutes, Wallaby a dit : 23 novembre 2023. Niall Ferguson Les finances US ne vont pas bien et çà devrait pousser à des réformes fiscales qui ne viennent pas. Les chinois ont largement dépassé les US en terme de production de valeur. Les US n'ont qu'une semaine de stock de missiles en cas de confrontation avec la Chine ... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 14 février Share Posté(e) le 14 février (modifié) Cher collègues : Le House Permanent Select Committee on Intelligence (HPSCI) a identifié une question urgente concernant une capacité militaire étrangère déstabilisatrice qui devrait être connue de tous les décideurs politiques du Congrès. La clause 11(c)(1) de l'article X du règlement de la Chambre des représentants pour le 118e Congrès demande au HPSCI d'attirer rapidement l'attention de la Chambre sur une question qui requiert son attention. Le 13 février 2024, la Commission a voté la mise à disposition de certaines informations de renseignement pour examen par tous les membres de la Chambre, conformément à la règle 14(D) du HPSCI. Ces informations peuvent être consultées uniquement par les députés dans l'espace HPSCI, situé dans HVC-304, les mercredi 14, jeudi 15 et vendredi 16 février 2024, et le vendredi 16 février 2024. Modifié le 14 février par Titus K 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ksimodo Posté(e) le 14 février Share Posté(e) le 14 février La Corée du Nord à portée nuk de l'Alaska ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Stark_Contrast Posté(e) le 14 février Share Posté(e) le 14 février 9 hours ago, Alexis said: If I understood correctly, a majority of Americans would like another duel than this one, something other than the 2020 reissue. C'est vrai à bien des égards. Je savais que ce serait Trump, parce que l'approbation républicaine de Trump est plus importante que celle de Saint Ronald Reagan. Donc, dès que Trump a jeté son chapeau dans l'arène, il a gagné - à moins d'une intervention juridique ou d'un autre événement qui l'aurait empêché de se présenter. C'est aussi la raison pour laquelle la plupart des républicains n'ont pas vraiment essayé de défier Trump de manière importante. gardez vos munitions pour 2028. En ce qui concerne Biden, il y a d'abord le retard de la révolution que j'ai décrit. mais maintenant, bien sûr, le désir profond de "rester avec le cheval gagnant" de Biden pour 2024. Les 5 priorités des démocrates sont les suivantes. 1. Battre Trump 2. Battre Trump 3. Battre Trump 4. sauver l'Ukraine 5. Trouver ce que nous ferons en novembre 2024, quel que soit le vainqueur de l'élection. Nous sommes pris au piège La réalité est que Biden doit gagner les élections. Mais il est de plus en plus évident qu'il ne peut plus être président très longtemps. 9 hours ago, Alexis said: It is a great paradox of the United States that the country which has had a continuous republican regime for the longest time, the country which has never had hereditary nobility and has acted as a laboratory of democracy... ... ended up with dynasties The Kennedys. The Bushes. The Clintons almost started one. And who knows if the Trumps? We could have the impression of two rival clans of nobles vying for control of republican institutions, one under the sign of the Donkey and the other of the Elephant. Je suis d'accord. L'une des répliques les plus brillantes que j'aie jamais entendues est celle d'Obama, qui s'opposait à Hillary Clinton lors des primaires de 2008, et qui a déclaré : "L'histoire ne devrait pas être celle de Bush, Clinton, Bush, Clinton", ce qui revient à dire beaucoup de choses en utilisant peu de mots. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rivelo Posté(e) le 14 février Share Posté(e) le 14 février 9 hours ago, Wallaby said: C'est l'OTAN sans les États-Unis dont parlait le général Desportes : "Moi je ne demande surtout pas la désintégration de l'Otan, c'est un outil remarquable. Je demande simplement que les Américains quittent l'Otan..." Le nouveau siège de l'OTAN à Bruxelles ferait un excellent Pentagone européen, proche géographiquement des autres institutions (parlement, commission...), avec déjà tout ce qu'il faut en bunker et salles de commandement multi-nationales. Un super Balargone déjà construit et opérationnel. Une affaire ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 14 février Share Posté(e) le 14 février (modifié) Le Général Desportes parle d'OTAN sans US depuis bien longtemps : https://www.asafrance.fr/item/otan-interview-du-general-vincent-desportes.html Citation Interview du Général Desportes Le général de l'armée de terre française Vincent Desportes a développé, pour RT France, son avis et analyse de l'OTAN qui célèbre ses 70 ans cette année, avant de décrypter les ambitions de l'Europe de la défense. Illusion de la protection américaine, manque de cohésion et de solidarité, interrogations internes sur la pertinence de l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (OTAN), crise du leadership… A l’occasion des 70 ans d’une Alliance atlantique «en état de mort cérébrale» selon Emmanuel Macron, le général de l’armée de terre française également professeur à Sciences Po et HEC, Vincent Desportes, a développé, pour RT France son analyse critique de l’OTAN avant de décrypter les ambitions de l’Europe de la défense. «Est-ce que l’OTAN est le meilleur outil ? Ma conviction est que non» Avant d’engager sa réflexion sur l’avenir de l’OTAN, Vincent Desportes est revenu sur les dysfonctionnements qu'il perçoit actuellement au sein de l'organisation politico-militaire basée à Bruxelles. Selon lui, l’Alliance atlantique «est frappée de deux maux. Le premier est un problème de leadership. L’autre est un problème de solidarité». D’une part les Etats-Unis sont de moins en moins amenés «à participer à la défense des pays de l’Europe» et «ne régulent plus vraiment les différents membres» de l’organisation, estime Vincent Desportes. D’autre part, «certains membres [de l'OTAN] ne se comportent pas comme des alliés fiables» tels les Etats-Unis ou la Turquie, poursuit le général. La question de la pertinence de l’OTAN, que ce soit pour la France ou pour l’Europe, devient donc primordiale et toujours plus d’actualité. «Est-ce que l’OTAN est, dans sa forme actuelle, le meilleur outil ?», se demande l'expert avant d'y apporter une réponse négative. En effet, selon lui, «l’OTAN est devenue un protectorat américain dirigé par un allié souvent brutal, parfois méprisant, qui va imposer un certains nombres de conditions commerciales, légales, etc. à ses membres en échange de leur protection». Néanmoins, «l’Europe est un continent mature, composé de nations anciennes, qui doit enfin trouver son autonomie stratégique […], politique, opérationnelle et capacitaire», apprécie Vincent Desportes. Avant de continuer : «l’Europe doit être capable d’engager les combats qu’elle a à [mener]» et «doit être capable de conduire une politique étrangère qui puisse être différente de celle des Etats-Unis». «L’avenir de l’Europe n’est pas transatlantique, il est eurasiatique» Depuis la chute du mur de Berlin et la dislocation de l’URSS en 1991, l’OTAN a perdu sa raison d’être et ses objectifs. Toutefois, même si «l’ennemi officiel, aujourd’hui, de l’OTAN est le terrorisme», d'après le professeur, il semblerait qu’elle ait «des ennemis officieux». «Il est clair que l’OTAN […], s’étant consolidée dans sa lutte contre le pacte de Varsovie, il y a un gène qui est en elle et qui tend en permanence à ramener cette organisation vers son ancien adversaire. Il est probable que les tensions qui existent aujourd’hui entre la Russie et l’OTAN, sont pour une bonne part le fait de l’OTAN même et des Etats-Unis», considère Vincent Desportes. Pourtant, tout comme «les Etats-Unis [qui] sont en train de se tourner vers leur ouest […], l’avenir de l’Europe n’est pas transatlantique, il est eurasiatique. Il faut donc que l’Europe arrive à vivre dans des conditions raisonnables avec son grand allié, son grand voisin, qui est la Russie», évalue l'expert en affaires internationales et militaires. En effet, «la Russie fait partie de l’Europe, elle a toujours fait partie de l’Europe», poursuit-il. Qui plus est «la France, en particulier, a toujours eu une histoire avec la Russie, une amitié avec la Russie, même si on s’est chamaillé quelques fois comme on s’est chamaillé avec tous les pays d’Europe. Nous avons intérêt à bâtir ensemble notre avenir», estime-t-il. «L’Europe doit être souveraine, donc elle doit posséder la puissance» Vincent Desportes nous apporte également son avis sur l’Europe de la défense. Le général insiste sur la nécessité pour l’Europe de regagner sa souveraineté par la mise en place d’une armée européenne, notamment pour ne plus subir «l’extraterritorialité du droit américain [et] les règles commerciales qui nous sont imposées» par Washington. Le général français appelle également les pays européens à se réveiller car, selon lui, «l’OTAN est un marchand de sable. Elle endort les pays européens en leur disant dormez braves gens, nous, les Etats-Unis, nous vous protégeons». Avant de poursuivre : «aujourd’hui, le parapluie américain, de toute évidence, n’est plus fiable».Toutefois, l'expert considère que l'armée européenne est encore un mirage : «nous n’en sommes pas à créer une armée européenne. Nous en sommes extrêmement loin.» Selon son analyse, «pour qu’une nation soit entendue […], il faut qu’[elle] possède la puissance. La grammaire géopolitique du 21e siècle, c’est la souveraineté et la puissance».Ainsi, pour que l’Europe soit souveraine et entendue lors de négociations internationales, «elle doit posséder la puissance», indique le professeur. «Pourquoi est-ce que la France, aujourd’hui, pèse d’avantage que l’Europe ? Parce que la France a une puissance militaire et qu’elle peut se déployer. Cette puissance militaire, il faut que l’Europe la construise de manière à pouvoir être entendue», conclut Vincent Desportes. Découvrez l'interview en date du 18 décembre 2019 donné pa le général (2S) Vincent Desportes : «L’OTAN est devenue un protectorat américain dirigé par un allié brutal» en cliquant sur le visuel ci-dessous. --> pas de chance les vidéos de Russia Today France ne sont plus disponibles. Modifié le 14 février par Titus K 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 14 février Share Posté(e) le 14 février L'avertissement du GOP d'une "menace pour la sécurité nationale" est que la Russie veut une arme nucléaire dans l'espace https://abcnews.go.com/amp/Politics/white-house-plans-brief-lawmakers-house-chairman-warns/story?id=107232293 Ce ne serait pas pour larguer une arme sur Terre, mais peut-être de l'utiliser contre des satellites. Le conseiller à la sécurité nationale de la Maison Blanche et les principaux législateurs du Capitole ont cherché à apaiser les inquiétudes du public mercredi, après que le président de la commission du renseignement de la Chambre des représentants a mis en garde contre une "menace pour la sécurité nationale" liée à une "capacité militaire étrangère déstabilisante" si grave que le président Joe Biden devrait déclassifier "toutes les informations" à ce sujet. Deux sources au fait des délibérations au Capitole ont déclaré que les renseignements en question avaient trait à la volonté de la Russie d'envoyer une arme nucléaire dans l'espace. Il ne s'agirait pas de larguer une arme nucléaire sur la Terre, mais plutôt de l'utiliser éventuellement contre des satellites. Néanmoins, "c'est très préoccupant et très sensible", a déclaré une source, qui a parlé d'une "grosse affaire". Bien qu'ils n'aient pas abordé le sujet directement, plusieurs membres du Congrès ont rapidement qualifié la question de sérieuse, sans pour autant alimenter l'inquiétude de l'opinion publique. "Nous allons travailler ensemble pour traiter cette question, comme nous le faisons pour toutes les questions sensibles qui sont classifiées", a déclaré Mike Johnson, président de la Chambre des représentants, à des journalistes au Capitole mercredi après-midi. "Mais nous voulons simplement assurer à tout le monde que des mains sûres sont au volant", a-t-il ajouté. Le député Jim Himes, démocrate du Connecticut et membre de la commission du renseignement de la Chambre des représentants, a fait écho à ces propos dans sa propre déclaration, qualifiant l'avertissement de "significatif" mais "pas de motif de panique". "Quant à savoir s'il est possible de déclassifier davantage d'informations sur cette question, c'est une discussion intéressante, mais ce n'est pas une discussion à avoir en public", a déclaré M. Himes. Plus tôt dans la journée de mercredi, le républicain de l'Ohio Mike Turner, président de la commission du renseignement de la Chambre des représentants, a déclaré dans un communiqué que sa commission avait "mis à la disposition de tous les membres du Congrès des informations concernant une grave menace pour la sécurité nationale". "Je demande au président Biden de déclassifier toutes les informations relatives à cette menace afin que le Congrès, l'administration et nos alliés puissent discuter ouvertement des actions nécessaires pour répondre à cette menace", a déclaré M. Turner. Il a ajouté qu'il mettait à la disposition de tous les membres de la Chambre des représentants les informations relatives à cette question dans un lieu sécurisé, conformément au règlement de la Chambre. Une lettre envoyée aux membres du Congrès par MM. Turner et Himes, obtenue par ABC News, indique que la menace est liée à "une capacité militaire étrangère déstabilisante qui devrait être connue de tous les décideurs politiques du Congrès". Le conseiller à la sécurité nationale de la Maison Blanche, Jake Sullivan, a déclaré lors de la conférence de presse de mercredi qu'il avait déjà programmé une réunion classifiée avec les dirigeants du Congrès avant la demande de M. Turner. Les journalistes ont insisté à plusieurs reprises auprès de M. Sullivan sur la demande de renseignements, mais il a refusé de préciser si la réunion de jeudi porterait sur la menace signalée. Il a également refusé de fournir d'autres détails à ce sujet, se contentant de dire que, d'une manière générale, "les Américains comprennent qu'il existe une série de menaces et de défis dans le monde auxquels nous sommes confrontés chaque jour", tels que le terrorisme. "Je suis convaincu que le président Biden, par les décisions qu'il prend, va assurer la sécurité du peuple américain", a déclaré M. Sullivan. "J'ai contacté en début de semaine le Gang des Huit" - en référence aux leaders des deux partis dans les deux chambres du Congrès et aux membres les plus importants des services de renseignement - "pour me proposer une séance d'information personnelle ... et en fait nous avons prévu une séance d'information pour les quatre membres du Gang des Huit de la Chambre des représentants demain", a-t-il déclaré. "Je suis donc un peu surpris que le député Turner soit venu aujourd'hui", a-t-il ajouté. Il a ajouté que la Maison Blanche "est allée plus loin et a traité de manière plus créative et plus stratégique la déclassification des renseignements dans l'intérêt national des États-Unis que n'importe quel autre gouvernement dans l'histoire". Vous ne trouverez donc certainement pas de réticence à le faire". "Mais pour être clair, Turner parle d'une question urgente concernant une capacité militaire étrangère déstabilisante", a demandé Mary Bruce, correspondante en chef de la Maison Blanche sur ABC News. "Êtes-vous conscient qu'il y a une menace sérieuse émergente à laquelle il fait référence ? "Je dirai simplement que j'ai personnellement contacté le Gang des Huit. C'est très inhabituel, en fait, pour le conseiller à la sécurité nationale de faire cela." Le président Biden avait suivi la menace citée par Turner et a spécifiquement demandé à Sullivan d'"engager" le Gang des Huit à ce sujet, a confirmé un fonctionnaire américain à ABC News. "J'ai fait cela pour organiser une réunion. ... Nous aurons cette conversation demain", a déclaré M. Sullivan lors de la conférence de presse. "Je ne dirai rien de plus. 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Ciders Posté(e) le 14 février C’est un message populaire. Share Posté(e) le 14 février Après la torpille nucléaire, l'arme anti-satellite nucléaire, prochaine étape la Lada nucléaire. Vivement la contre-attaque avec le Nuka Quantum ! 4 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Stark_Contrast Posté(e) le 14 février Share Posté(e) le 14 février 1 hour ago, Titus K said: General Desportes has been talking about NATO without the US for a long time : https://www.asafrance.fr/item/otan-interview-du-general-vincent-desportes.html Il semble donc qu'il soit temps de se débarrasser des Américains de vous mettre dans les bras chaleureux des Allemands et de vous lier d'amitié avec les Russes 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 15 février Share Posté(e) le 15 février (modifié) Il y a 2 heures, Titus K a dit : L'avertissement du GOP d'une "menace pour la sécurité nationale" est que la Russie veut une arme nucléaire dans l'espace https://abcnews.go.com/amp/Politics/white-house-plans-brief-lawmakers-house-chairman-warns/story?id=107232293 Ce ne serait pas pour larguer une arme sur Terre, mais peut-être de l'utiliser contre des satellites. Le conseiller à la sécurité nationale de la Maison Blanche et les principaux législateurs du Capitole ont cherché à apaiser les inquiétudes du public mercredi, après que le président de la commission du renseignement de la Chambre des représentants a mis en garde contre une "menace pour la sécurité nationale" liée à une "capacité militaire étrangère déstabilisante" si grave que le président Joe Biden devrait déclassifier "toutes les informations" à ce sujet. Deux sources au fait des délibérations au Capitole ont déclaré que les renseignements en question avaient trait à la volonté de la Russie d'envoyer une arme nucléaire dans l'espace. Il ne s'agirait pas de larguer une arme nucléaire sur la Terre, mais plutôt de l'utiliser éventuellement contre des satellites. Néanmoins, "c'est très préoccupant et très sensible", a déclaré une source, qui a parlé d'une "grosse affaire". Bien qu'ils n'aient pas abordé le sujet directement, plusieurs membres du Congrès ont rapidement qualifié la question de sérieuse, sans pour autant alimenter l'inquiétude de l'opinion publique. "Nous allons travailler ensemble pour traiter cette question, comme nous le faisons pour toutes les questions sensibles qui sont classifiées", a déclaré Mike Johnson, président de la Chambre des représentants, à des journalistes au Capitole mercredi après-midi. "Mais nous voulons simplement assurer à tout le monde que des mains sûres sont au volant", a-t-il ajouté. Le député Jim Himes, démocrate du Connecticut et membre de la commission du renseignement de la Chambre des représentants, a fait écho à ces propos dans sa propre déclaration, qualifiant l'avertissement de "significatif" mais "pas de motif de panique". "Quant à savoir s'il est possible de déclassifier davantage d'informations sur cette question, c'est une discussion intéressante, mais ce n'est pas une discussion à avoir en public", a déclaré M. Himes. Plus tôt dans la journée de mercredi, le républicain de l'Ohio Mike Turner, président de la commission du renseignement de la Chambre des représentants, a déclaré dans un communiqué que sa commission avait "mis à la disposition de tous les membres du Congrès des informations concernant une grave menace pour la sécurité nationale". "Je demande au président Biden de déclassifier toutes les informations relatives à cette menace afin que le Congrès, l'administration et nos alliés puissent discuter ouvertement des actions nécessaires pour répondre à cette menace", a déclaré M. Turner. Il a ajouté qu'il mettait à la disposition de tous les membres de la Chambre des représentants les informations relatives à cette question dans un lieu sécurisé, conformément au règlement de la Chambre. Une lettre envoyée aux membres du Congrès par MM. Turner et Himes, obtenue par ABC News, indique que la menace est liée à "une capacité militaire étrangère déstabilisante qui devrait être connue de tous les décideurs politiques du Congrès". Le conseiller à la sécurité nationale de la Maison Blanche, Jake Sullivan, a déclaré lors de la conférence de presse de mercredi qu'il avait déjà programmé une réunion classifiée avec les dirigeants du Congrès avant la demande de M. Turner. Les journalistes ont insisté à plusieurs reprises auprès de M. Sullivan sur la demande de renseignements, mais il a refusé de préciser si la réunion de jeudi porterait sur la menace signalée. Il a également refusé de fournir d'autres détails à ce sujet, se contentant de dire que, d'une manière générale, "les Américains comprennent qu'il existe une série de menaces et de défis dans le monde auxquels nous sommes confrontés chaque jour", tels que le terrorisme. "Je suis convaincu que le président Biden, par les décisions qu'il prend, va assurer la sécurité du peuple américain", a déclaré M. Sullivan. "J'ai contacté en début de semaine le Gang des Huit" - en référence aux leaders des deux partis dans les deux chambres du Congrès et aux membres les plus importants des services de renseignement - "pour me proposer une séance d'information personnelle ... et en fait nous avons prévu une séance d'information pour les quatre membres du Gang des Huit de la Chambre des représentants demain", a-t-il déclaré. "Je suis donc un peu surpris que le député Turner soit venu aujourd'hui", a-t-il ajouté. Il a ajouté que la Maison Blanche "est allée plus loin et a traité de manière plus créative et plus stratégique la déclassification des renseignements dans l'intérêt national des États-Unis que n'importe quel autre gouvernement dans l'histoire". Vous ne trouverez donc certainement pas de réticence à le faire". "Mais pour être clair, Turner parle d'une question urgente concernant une capacité militaire étrangère déstabilisante", a demandé Mary Bruce, correspondante en chef de la Maison Blanche sur ABC News. "Êtes-vous conscient qu'il y a une menace sérieuse émergente à laquelle il fait référence ? "Je dirai simplement que j'ai personnellement contacté le Gang des Huit. C'est très inhabituel, en fait, pour le conseiller à la sécurité nationale de faire cela." Le président Biden avait suivi la menace citée par Turner et a spécifiquement demandé à Sullivan d'"engager" le Gang des Huit à ce sujet, a confirmé un fonctionnaire américain à ABC News. "J'ai fait cela pour organiser une réunion. ... Nous aurons cette conversation demain", a déclaré M. Sullivan lors de la conférence de presse. "Je ne dirai rien de plus. Ah donc ils proposent juste une bonne vieille HANE (High Atmospheric Nuclear Explosion) pour péter les satellites. Un classique. Revoir le test Starfish Prime. Révélation Images d'époque: Sauf que si les russes font ça leurs propres satellites seraient bousillés également car étrangement les radiations ne reconnaissent pas les nationalités. Bref. il y a une heure, Stark_Contrast a dit : Il semble donc qu'il soit temps de se débarrasser des Américains de vous mettre dans les bras chaleureux des Allemands et de vous lier d'amitié avec les Russes Si tu veux un avis purement extérieur, le général Desportes, autrefois assez compétent, est devenu coutumier de ce genre de positions un peu borderline depuis quelques années déjà. https://fr.wikipedia.org/wiki/Vincent_Desportes Je ne sais pas si c'est la proximité des woke de l'institut de Sciences Politiques de la Sorbonne à Paris (connu pour avoir engendré bon nombre de dingues) qui lui a retourné le cerveau, mais il a déjà fait quelques "sorties" assez "spéciales" si je puis dire. L'OTAN sans les américains c'est totalement impossible, et la défense européenne sans l'Amérique, il n'y a que quelques personnes en France qui y croient, sans avoir le dixième des moyens qu'il faudrait pour que ça puisse fonctionner, puisque ça signifierait en effet que la France doive, comme les autres pays, assumer un rôle bien plus grand, ce qu'elle n'est pas capable de faire... Et la plupart des autres européens pareillement. Bref, c'est n'importe quoi. Modifié le 15 février par Patrick 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eau tarie Posté(e) le 15 février Share Posté(e) le 15 février Atlantique Nord sans les US. LA blague. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fanch Posté(e) le 15 février Share Posté(e) le 15 février Il y a 9 heures, Patrick a dit : Si tu veux un avis purement extérieur, le général Desportes, autrefois assez compétent, est devenu coutumier de ce genre de positions un peu borderline depuis quelques années déjà. Le problème de Desportes est qu'il aspirait à des fonctions beaucoup plus hautes dans l'institution, il semble qu'il soit parti un peu aigri... et depuis il prend parfois des positions pour exister. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Aisym Posté(e) le 15 février Share Posté(e) le 15 février Il y a 10 heures, Patrick a dit : Je ne sais pas si c'est la proximité des woke de l'institut de Sciences Politiques de la Sorbonne à Paris (connu pour avoir engendré bon nombre de dingues) qui lui a retourné le cerveau, mais il a déjà fait quelques "sorties" assez "spéciales" si je puis dire. La Sorbonne (Paris I) et l'IEP de Paris (Sciences Po Paris) sont deux écoles différentes Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Heorl Posté(e) le 15 février Share Posté(e) le 15 février il y a une heure, Aisym a dit : La Sorbonne (Paris I) et l'IEP de Paris (Sciences Po Paris) sont deux écoles différentes Même genre de camés cependant. Et je dis ça en sortant d'un IEP. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 15 février Share Posté(e) le 15 février Il y a 4 heures, Eau tarie a dit : Atlantique Nord sans les US. LA blague. Pourquoi ? Compte sur cette carte le nombre de pays qui n'ont pas de cote atlantique dans l'alliance actuelle, à comparer avec les 31 pays membres de l'alliance... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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