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Il y a 15 heures, CANDIDE a dit :

Citant J. Bolton :

Et tout est subordonné à la question de savoir comment cela va profiter à « Donald Trump », politiquement ou personnellement.

Donc ce qu'il dit ensuite sur Trump quittant brutalement l'OTAN n'est pas du tout cohérent, puisqu'on ne voit pas comment Trump profiterait politiquement d'une sortie brutale de l'OTAN, alors qu'il a tout à gagner de poser comme l'homme qui a "forcé l'Allemagne à dépenser 2% du PIB en défense", qui a négocié un "meilleur deal" pour les USA.

Le 22/03/2024 à 02:31, Wallaby a dit :

https://www.foreignaffairs.com/united-states/why-america-cant-have-it-all (14 février 2024)

Stephen Wertheim

Le retrait de l'Europe présente un défi différent : le risque de perte est plus délétère pour les intérêts américains, mais les chances d'un résultat idéal - une transition ordonnée vers le leadership européen de la défense européenne - sont plus élevées qu'elles ne le sont au Moyen-Orient. La guerre en Ukraine a rendu cette transition plus réalisable en incitant les alliés européens à dépenser davantage pour la défense et, malgré les efforts de M. Biden, en leur montrant le danger qu'il y a à dépendre des caprices de Washington. Alors que les forces russes restent concentrées en Ukraine, l'alliance transatlantique a une occasion unique de transférer la majeure partie du fardeau de la défense à l'UE et aux membres européens de l'OTAN, sans laisser à Moscou une fenêtre d'opportunité pour une nouvelle agression. Un président favorable au retrait conclurait un nouveau marché qui maintiendrait les États-Unis au sein de l'OTAN, mais qui, sur une décennie, remplacerait progressivement la plupart des forces et des capacités américaines par des forces et des capacités européennes.

Sauf volte-face, l'administration Biden n'adoptera pas cette approche si elle remporte un second mandat. Mais elle devrait le faire, et ses successeurs pourraient encore le faire. Le regain de confiance dans la primauté des États-Unis à la suite de l'invasion de l'Ukraine par la Russie s'est avéré de courte durée, et les générations d'Américains qui n'ont aucun souvenir de la guerre froide arrivent au pouvoir. Pour préserver la possibilité d'un repli responsable, M. Biden ne doit toutefois pas assumer de nouvelles obligations en matière de défense. Un traité obligeant les États-Unis à défendre l'Arabie saoudite, comme il l'envisage actuellement, nuirait aux intérêts américains.

Si M. Trump revient à la Maison Blanche l'année prochaine, il pourrait éventuellement devenir un président de repli, mais cela impliquerait de changer une grande partie de sa vision et de sa conduite. Au cours de son premier mandat, les engagements des États-Unis en matière d'alliances et les dépenses de défense n'ont fait qu'augmenter. Malgré toutes ses critiques à l'encontre de ses alliés, M. Trump s'est efforcé d'obtenir un meilleur accord avec les accords de sécurité existants, et non de les rétracter. À moins qu'il ne manifeste une préférence plus forte et plus cohérente pour le repli et qu'il ne nomme le personnel approprié, la deuxième administration Trump pourrait bien ressembler à la première. La promesse de M. Trump de rétablir "la paix par la force" - son mantra de campagne - participe de l'imaginaire même qui a conduit la politique étrangère des États-Unis à ce point bas. En fait, aucune dose de force américaine ne fera reculer le reste du monde dans la peur et accepter la paix selon les conditions de Washington.

Et c'est très bien ainsi. Les États-Unis n'ont pas besoin d'une domination militaire mondiale pour prospérer. Ce qu'ils doivent faire, c'est sauver leur démocratie libérale, reconstruire leurs partis politiques et restaurer la confiance de leurs citoyens. Le fait de s'accrocher à la primauté fait obstacle à cette grande tâche. Elle crée une politique étrangère qui échappe perpétuellement à tout contrôle et un pays qui perd le sens de la maîtrise de soi.

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Il y a 15 heures, CANDIDE a dit :

La vérité est que, pour lui, les Européens ne sont pas vraiment nos amis.

Pour George Washington non plus :

Le 11/08/2020 à 18:33, Wallaby a dit :

https://en.wikisource.org/wiki/Washington's_Farewell_Address

Notre véritable politique consiste à éviter les alliances permanentes avec toute partie du monde étranger ; jusqu'à présent, je veux dire, comme nous sommes maintenant libres de le faire ; car permettez-moi de ne pas être considéré comme capable de prêcher l'infidélité aux engagements existants. J'ai pour maxime, non moins applicable aux affaires publiques qu'aux affaires privées, que l'honnêteté est toujours la meilleure politique. Je le répète donc, que ces engagements soient observés dans leur sens véritable. Mais, à mon avis, il est inutile et il serait peu judicieux de les prolonger.

 

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il y a 17 minutes, Wallaby a dit :

Donc ce qu'il dit ensuite sur Trump quittant brutalement l'OTAN n'est pas du tout cohérent, puisqu'on ne voit pas comment Trump profiterait politiquement d'une sortie brutale de l'OTAN, alors qu'il a tout à gagner de poser comme l'homme qui a "forcé l'Allemagne à dépenser 2% du PIB en défense", qui a négocié un "meilleur deal" pour les USA.

Pas forcément, quitter l'OTAN serait une sacré économie pour les Etats-Unis (100000 hommes stationnés, sans parler de tout le matos). Donc Trump pourrait se glorifier d'appliquer son credo America First.

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il y a 23 minutes, CANDIDE a dit :

Pas forcément, quitter l'OTAN serait une sacré économie pour les Etats-Unis (100000 hommes stationnés, sans parler de tout le matos). Donc Trump pourrait se glorifier d'appliquer son credo America First.

Au-delà de la perte d'influence derrière, une économie alors qu'il faudra les redéployer, construire de nouvelles infrastructures, financer le transport ?

Le retrait soviétique de RDA et du Pacte de Varsovie leur a pris des années et coûté une fortune. Bon évidemment, les effectifs n'étaient pas les mêmes mais la troupe a beaucoup souffert à son retour en Russie où... rien n'était prêt pour l'accueillir.

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Le 28/03/2024 à 09:56, Eau tarie a dit :

Là perso, comment je sens le truc à la vue des images (mais on verra l'enquête).

Disons un genre de "feeling statistique"....

-Le navire fait un black à un endroit franchement merdique (étroit pour passer le pont + courant constant )

=>A mon avis, les mecs ça leur arrive "souvent"...et ils misent sur "ça va revenir" rapido et on reccupère les contrôles / ça va le faire j'ai le temps.

-Le chef elec qui court réparer / shunter/ relancer comme ce qui se passe d'habitude sur son tableau.  Sauf que là ce n'est pas ça, mais il ne le sait pas...

-Donc quand ça revient, ça ressaute instantanément.

-Il prévient le commandant. t il est trop tard pour basculer sur tous les backup.

=>Il faut le dire, les commandes ne sont pas spécialement fait pour être actionné en 20 secondes comme sur un avion... Là il s'écoule 3 minutes...ça va très vite (d'une certaine manière).

-Panique totale, Crash Stop qui fait pivoter le navire et qui fait que la trajectoire est encore plus pourrie...+ tentative de largue le mouillage (1 seul et pas les 2 d'ailleurs, peut être à cause du personnel pas dispo à ce moment, seulement une 20aine de mec à bord sur un machin de 300m il faut le rappeler).

 

 

Pour revenir sur l'accident.

A priori il y avait 2 pilotes du port à bord.

Citation

L'équipage n'a pas été mis en cause

Le porte-conteneurs était alors resté sur place le temps de la réparation et l’incident avait été l’objet d’une enquête. Depuis, le navire a changé d’exploitant mais a conservé le même armateur, le géant danois Maersk. Long de 300 mètres pour 48 mètres de largeur, le Dali, battant pavillon singapourien a aussi passé avec succès deux inspections l’an dernier. 

L’équipage n’a quant à lui pas été mis en cause dans la catastrophe de Baltimore, à la suite de la "perte momentanée de propulsion" subie par le Dali, d’après l’enquête. Deux pilotes spécialistes du port se trouvaient même à bord pour guider le navire. À 1h24 locales, mardi 26 mars, des alarmes ont commencé à retentir à bord du navire, signalant des problèmes de propulsion. Le pilote a rapidement informé les autorités portuaires par radio que le navire se dirigeait vers le pont, et a demandé l'intervention de remorqueurs. L'appel à l'aide a été également reçu par deux équipes de l'autorité locale des transports qui se trouvaient sur le pont en raison des travaux. Ces dernières ont alors fermé toutes les voies de circulation, sauvant ainsi probablement des vies. Puis, à 1h29, l'enregistreur du navire a enregistré des "sons correspondant à la collision".

Le pont, inauguré en 1977 et emprunté chaque jour par des dizaines de milliers de véhicules, s'est alors effondré tel un château de cartes, des pans entiers de la structure se retrouvant sur le bateau. L'enquête préliminaire montre qu'il s'agit d'un accident, selon les autorités.

D'un côté ça aide, ils connaissent les lieux comme leur poche ! (d'ou la présence des pilotes sinon aucun intérêt...)

De l'autre, ils ne connaissent peut être pas hyper bien le navire en cas d'avarie. Et ça peut cafouiller à la prise de décision....

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Il y a 18 heures, CANDIDE a dit :

Vous racontez un autre épisode, qui a fait couler beaucoup d'encre depuis que vous l'avez révélé, sur le fait qu'en 2018, Trump a véritablement failli quitter l'Otan. Était-ce du théâtre ? Pourrait-il mettre ce projet à exécution s'il était réélu ?

Je pense qu'il est très probable qu'il quitterait l'Otan s'il était réélu. Trump, quand il a une idée, y revient encore et encore, puis se laisse distraire, oublie, mais finalement y revient et agit. Voilà pourquoi une sortie de l'Otan est une vraie possibilité. Beaucoup de gens pensent que c'est juste un instrument de négociation, mais je ne le pense pas. J'ai passé beaucoup d'heures à appeler les Européens à dépenser plus pour la défense, comme tant d'autres responsables américains.

Mais nous le faisions parce que nous savions que l'Alliance serait beaucoup plus forte si les nations européennes dépensaient ce qui est nécessaire au lieu de s'en remettre aux Américains. Ce n'est pas le but de Trump. Il n'insiste pas sur les contributions européennes pour renforcer l'Alliance, mais pour l'affaiblir et punir nos alliés qui, selon lui, nous ont trompés et forcés à signer des traités commerciaux peu avantageux.

La vérité est que, pour lui, les Européens ne sont pas vraiment nos amis. Voilà pourquoi l'Alliance souffrira s'il revient. 

 

Punaise, quand tu vois l'évolution du PIB / Habitant ces 10 dernières années...ça fait pleurer. Avantageux pour qui alors ?

 

Fig8.png

Fig6.png

 

GDP-per-capita-Nominal.png

 

 

A part l'Irlande....

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il y a une heure, Eau tarie a dit :

Punaise, quand tu vois l'évolution du PIB / Habitant ces 10 dernières années...ça fait pleurer. Avantageux pour qui alors ?

 

Fig8.png

Fig6.png

 

GDP-per-capita-Nominal.png

 

 

A part l'Irlande....

Il faudrait sans comparer en parité de pouvoir d'achat. En ce qui concerne la courbe du haut, on voit une inflexion de la courbe US à partir de 2005. Or, le dollar valait 0,77 Euro, alors qu'en 2020 il vaut 0,90 soit 16% de plus, soit un gain de PIB/tête de 12000 $ uniquement du à la parité du dollar.

Maintenant, je ne fais que reproduire un interview de Bolton, ce n'est pas une opinion personn

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il y a 9 minutes, CANDIDE a dit :

Il faudrait sans comparer en parité de pouvoir d'achat. En ce qui concerne la courbe du haut, on voit une inflexion de la courbe US à partir de 2005. Or, le dollar valait 0,77 Euro, alors qu'en 2020 il vaut 0,90 soit 16% de plus, soit un gain de PIB/tête de 12000 $ uniquement du à la parité du dollar.

Maintenant, je ne fais que reproduire un interview de Bolton, ce n'est pas une opinion personn

Tu n'étais pas du tout visé. C'est ce qui nous est rapporté de l'avis de Trump qui me sidère !

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Il y a 6 heures, Wallaby a dit :

Donc ce qu'il dit ensuite sur Trump quittant brutalement l'OTAN n'est pas du tout cohérent, puisqu'on ne voit pas comment Trump profiterait politiquement d'une sortie brutale de l'OTAN, alors qu'il a tout à gagner de poser comme l'homme qui a "forcé l'Allemagne à dépenser 2% du PIB en défense", qui a négocié un "meilleur deal" pour les USA.

Il y'a quand même des chances qu'il connaisse mieux son ex-patron que toi ou moi. 

Tu le dis par la suite, il ne faut voir aucune rationalité dans les décisions de Trump. Il ne fait pas ça pour obtenir ça rentre échange, il le fait parce que ça lui chante.

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Il y a 4 heures, mayamac a dit :

Attention, à mon sens les 100000 hommes stationnés le sont aux frais des pays qui les reçoivent….

si les us se barrent de l’Otan, je me dis, peut être à torT, qu’ils vont se retrouver avec 100000 mecs à devoir recaser à leurs frais ou ne pas savoir qu’en faire

C'est le pays de l'offre et de la demande, s'il n'y a plus de job tu es licencié, s'il y a du job on t'embauche.

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il y a 23 minutes, Teenytoon a dit :

C'est le pays de l'offre et de la demande, s'il n'y a plus de job tu es licencié, s'il y a du job on t'embauche.

Ok. Mais du coup c’est pas trop America first / America great 100k de mecs au chomdu 

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Pourquoi tout de suite 100000 au chômage, peut-être aussi simplement 100000 non recrutés à l'autre bout de la chaîne ou 100000 déplacés en Asie...

Modifié par Teenytoon
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Il y a 1 heure, Teenytoon a dit :

Pourquoi tout de suite 100000 au chômage, peut-être aussi simplement 100000 non recrutés à l'autre bout de la chaîne ou 100000 déplacés en Asie...

On en revient au problème de base : où les mettre et combien ça va coûter en temps et en argent ?

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Mais ils ont plutôt besoin de main d'oeuvre aux US. Donc la plupart de ces mecs trouverons assez rapidement du boulot.

3.5% de chomage.

Des mecs plutôt en forme, et avec une expérience à l'étranger, ils vont pas rester sur le carreau longtemps.

 

unemployment-rate.jpg?resize=1536,1324&q

 

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https://nationalinterest.org/blog/jacob-heilbrunn/why-joe-lieberman-was-true-neoconservative-210279 (28 mars 2024)

Joe Lieberman, qui est décédé mercredi à l'âge de 82 ans, était à bien des égards un néoconservateur classique.

Lieberman avait fait pression pour la levée de l'embargo sur les armes à destination de la Bosnie, en coparrainant avec le sénateur Bob Dole des mesures visant à aider le pays, notamment la loi de 1995 sur l'autodéfense de la Bosnie et de l'Herzégovine. L'adoption de cette loi a joué un rôle clé en incitant l'administration Clinton à modifier sa politique de non-intervention, qui avait été promue à l'origine par le secrétaire d'État Warren Christopher et le conseiller à la sécurité nationale Tony Lake au début de l'administration.

Lieberman était également un fervent partisan de la deuxième guerre d'Irak, qu'un certain nombre de faucons libéraux exaltés, tout juste sortis de leurs triomphes dans les Balkans, considéraient comme la prochaine campagne contre la tyrannie et l'agression à l'étranger. Lieberman n'a jamais hésité sur la guerre - en 2007, il a voté avec les républicains pour s'opposer au retrait des troupes américaines de ce conflit désastreux. Son soutien indéfectible à la politique de l'administration Bush lui a valu d'être mal perçu par les démocrates du Connecticut, et il s'est présenté avec succès au Sénat en tant qu'indépendant en 2006. Il s'est ensuite fait le champion de la candidature de John McCain à la présidence en 2008, un revirement révolutionnaire par rapport à sa propre candidature en 2000 en tant que colistier d'Al Gore à la présidence. John McCain a envisagé de choisir Lieberman comme colistier avant d'opter pour Sarah Palin, la gouverneure de l'Alaska.

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24 mars 2024

Steve Coll, journaliste chevronné, prix Pulitzer, doyen de la faculté de journalisme de Columbia, présente son livre The Achilles Trap: Saddam Hussein, the C.I.A., and the Origins of America's Invasion of Iraq . Il était correspondant du Washington Post pour l'Asie du Sud dans les années 1990 et il a couvert l'Afghanistan.

01:40 Débuts en Afghanistan
08:23 Le rôle du Pakistan en Afghanistan
12:18 Le rôle de l'Iran
19:14 Pourquoi Saddam voulait-il des armes nucléaires ?
21:02 La guerre du Koweït
29:16 Saddam et les armes chimiques
40:29 Donald Rumsfeld
44:38 Comment parler à son ennemi ?
51:53 Les sanctions fonctionnent-elles ?

 

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@christophe 38 il semblerait, comme tu le pressentais, que les autorités ont abandonné l'idée de retrouver les 4 dernières victimes. Ils font état d'un trop grand danger (multiples morceaux de poutrelles intriqués) et d'une eau bien trop turbide sans risquer un grave accident. 

Le chantier pour retirer l'ensemble du pont effondré les restes du tablier et le porte-conteneur va être un véritable tour de force d'ingénierie.

Modifié par Ardachès
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il y a 14 minutes, Ardachès a dit :

@christophe 38 il semblerait, comme tu le pressentais, que les autorités ont abandonné l'idée de retrouver les 4 dernières victimes. Ils font état d'un trop grand danger (multiples morceaux de poutrelles intriqués) et d'une eau bien trop turbide sans risquer un grave accident. 

Le chantier pour retirer l'ensemble du pont effondré les restes du tablier et le porte-conteneur va être un véritable tour de force d'ingénierie.

Malheureusement, les risques et les enjeux économiques ont certainement dicté ce choix. Tout n est pas perdu : en Europe, particulièrement chez nos voisins suisses, à Genève, la police possède des sonars très précis pour la recherche de corps. Ils nous ont aidés à Annecy... Pour la recherche d un noyé et en ont trouvé 7.

Ce que je veux dire, c est que si, en Europe nous avons cette technologie, pas de raison qu ils n aient pas la même sur leur continent.

 

La recherche par plongeur doit être initiée le plus tôt après l accident pour limiter l'effet de la dérive due aux courants, à la marée...

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il y a 9 minutes, christophe 38 a dit :

Malheureusement, les risques et les enjeux économiques ont certainement dicté ce choix.

… Je ne vais pas trop spéculer pas sur la nationalité des victimes et l'arrêt des recherches … Pour autant, quand on regarde les images sonar, la masse des d'amas de métaux fait que ça ne va pas être une partie de plaisir pour qu'un jour ils puissent, non seulement relancer - rapidement - le traffic mais aussi commencer la reconstruction du pont.

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