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Tentative d’assassinat de Donald Trump : le Secret Service a « échoué » dans sa mission de protection, reconnaît sa directrice devant le Congrès

« En tant que directrice, j’assume la pleine responsabilité de toute faille de sécurité », a assuré Kimberly Cheatle, qualifiant l’événement de « plus important échec opérationnel du Secret Service depuis des décennies ».

Le Secret Service, chargé de la protection des hautes personnalités américaines, a « échoué » dans sa mission de protéger le candidat républicain Donald Trump, visé le 13 juillet en Pennsylvanie par une tentative d’assassinat, a déclaré lundi 22 juillet sa directrice, Kimberly Cheatle, lors d’une audition au Congrès.

« La mission solennelle du Secret Service est de protéger les dirigeants de notre nation (…). Le 13 juillet, nous avons échoué », a dit Kimberly Cheatle devant une commission de la Chambre des représentants. « En tant que directrice, j’assume la pleine responsabilité de toute faille de sécurité », a-t-elle ajouté, en qualifiant également l’événement de « plus important échec opérationnel du Secret Service depuis des décennies ».

Depuis le 13 juillet, son service fait face à des critiques sur d’éventuels manquements et défaillances humaines. Et des appels à la démission de Kimberly Cheatle sont venus aussi bien de républicains que des démocrates.

Un « drame [qui] était évitable »

Une enquête indépendante a été ordonnée pour déterminer notamment comment le tireur, Thomas Matthew Crooks, a pu se retrouver sur un toit avec un fusil semi-automatique, à moins de 150 mètres de l’estrade où Donald Trump s’exprimait. L’ancien président américain, âgé de 78 ans, a été légèrement blessé à l’oreille. Un spectateur a été tué et deux autres grièvement blessés. Thomas Matthew Crooks, 20 ans, a été abattu par le Secret Service vingt-six secondes après le premier des huit tirs qu’il a effectués.

Ce week-end, des médias américains ont rapporté que le Secret Service avait rejeté des demandes de renforcement de la sécurité de Donald Trump par le passé.

Ce service s’occupe entre autres de la sécurité du président, de la vice-présidente, des anciens présidents et de leurs familles, ainsi que des principaux candidats aux élections et des chefs d’Etat étrangers en déplacement aux Etats-Unis.

En entamant l’audition, le président de la commission de supervision de la Chambre des représentants, le républicain James Comer, a assuré que ce « drame était évitable », se disant convaincu que Kimberly Cheatle « devait démissionner ». « Le Secret Service n’a pas le droit à la moindre erreur dans ses missions mais il a failli le 13 juillet et dans les jours qui ont précédé le meeting » électoral, a-t-il ajouté. Selon lui, le service, qui « compte des milliers d’employés et est doté d’un budget important », est aujourd’hui devenu synonyme d’« incompétence ».

Un parlementaire républicain de l’Ohio, Michael Turner, a, lui, affirmé que si Kimberly Cheatle ne quittait pas son poste d’elle-même, le président Joe Biden devait la « limoger car sa vie, celle de Donald Trump et celles de tous ceux » que le Secret Service protège sont « en danger ».

Le Monde avec AFP

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43 minutes ago, g4lly said:

« En tant que directrice, j’assume la pleine responsabilité de toute faille de sécurité », a assuré Kimberly Cheatle

Elle répète ceci sans arrêt :rolleyes: et pourtant elle n'a aucune intention de démissionné. 

Donc concrètement ca veut dire quoi "assumer la pleine responsabilité"? 

On doit faire confiance qu'elle va magiquement reformer ce service quand c'est sous sa direction que cette defaillance a vu le jour? 

Modifié par Lordtemplar
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14 minutes ago, Wallaby said:

dommage que Michelle Obama ne veut pas se presenter.  Elle est largement plus credible que Kamala. Je pense que Michelle a l'etoffe pour faire face a Trump dans un debat

Modifié par Lordtemplar
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il y a 39 minutes, Lordtemplar a dit :

dommage que Michelle Obama ne veut pas se presenter.  Elle est largement plus credible que Kamala. Je pense que Michelle a l'etoffe pour faire face a Trump dans un debat

On verra 

De toute façon, en tant que non-Américain, j'affirme une chose : si Harris est élue en novembre c'est une excellente chose, et si Trump est élu c'est une excellente chose aussi 

Le reste regarde les Américains, et je n'en suis pas :smile:

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il y a 10 minutes, Alexis a dit :

On verra 

De toute façon, en tant que non-Américain, j'affirme une chose : si Harris est élue en novembre c'est une excellente chose, et si Trump est élu c'est une excellente chose aussi 

Le reste regarde les Américains, et je n'en suis pas :smile:

Mais le monde ne s'arrête pas à nos frontières (ou aux leurs)

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il y a 55 minutes, Lordtemplar a dit :

dommage que Michelle Obama ne veut pas se presenter.  Elle est largement plus credible que Kamala. Je pense que Michelle a l'etoffe pour faire face a Trump dans un debat

Mais quel est son bilan ou sa carrière à part être ex-première dame ?

Je sais qu'au USA tout est possible et qu'à peut près n'importe qui peut se faire élire mais bon...

Je n'aime pas Kamala mais 4 ans de Vice-Présidente c'est quand même pas négligeable.

 

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1 hour ago, Banzinou said:

Mais quel est son bilan ou sa carrière à part être ex-première dame ?

Je sais qu'au USA tout est possible et qu'à peut près n'importe qui peut se faire élire mais bon...

Je n'aime pas Kamala mais 4 ans de Vice-Présidente c'est quand même pas négligeable.

 

Je suis d'accord que Michelle n'a pas d'experience politique classique, mais ce n'etait pas une potiche non plus.  C'est une avocate qui s'exprime tres bien. Etant l'epouse de Barrak, elle a baigne dans le milieu de la Maison Blanche et du parti democrate. Elle a fait plein de discours, interview etc... donc le publique la "connait" et elle passe bien et connecte avec la majorite des americains.   Apres ce serait a elle de definir son agenda (pas heritiere de celui de Biden) et convaincre le peuple.  Je la pense tout a fait capable, mais ce n'est pas une garantie.

Il ne faut pas oublier que l'election presidentielle n'est pas qu'un referendum sur un agenda politique ou experience, c'est a la base un concours de popularite (quid Barrak Obama avait a peine 2 ans d'experience de senateur quand il a etait elu.  Senateur ce n'est pas une experience "executive" comme un gouverneur qui lui dirige son etat)

Mais bon, Michelle ne se presente pas.

Quand a Kamala, sa liste d'accomplissement est plus que leger, (a part envoyer des criminels en priso, elle a fait quoi concretement?)  C'est negligeable voir inexistant, si on compare a Hillary Clinton qui maitrisait tous les dossiers (mieux que bcp d'homme politique) , etc... mais au final elle a perdu contre Trump car le publique n'accrochait pas.  C'est pas sur que Kamala fasse mieux avec l'americain ordinaire, bien que la gauche caviar et les media l'adorent.  D'ailleurs Kamala est tres populaire avec la Silicon Valley ce qui ne jouera pas en sa faveur dans le Rust Belt delaisse par la globalistation, le outsourcing, etc...

Sa carriere de procureur est plutot mitige, au mieux mediocre, voir polemique avec des mouvements comme Black Lives Matter quid les lois "3 strikes you are out" 

Le poste de VP est plutot symbolique (sauf Dick Cheney) et meme la elle ne brille pas car elle etait en charge de dossier comme l'immigration et voting rights avec des resultats insuffisants, voir 0. 

En plus Kamala est issue de l'administration Biden et donc heritiere du bilan (tu ne peux pas pretendre que tu est le candidat de choix car VP et en meme temps ne pas assumer les critique de l'administration Biden)  L'opinion publique est plutot clair sur ce qu'il pense du bilan Biden et Co.  il n'y a qu' a voir les sondages qui en disent long.  Il lui sera tres difficile de convaincre le publique de changement, nouvelle generation etc... car Kamala au final c'est status quo. 

Finalement, il va falloir convaincre que l'administration Biden n'a pas cache la deterioration de la sante de Joe au publique americains. En tant que VP, Kamala ne peut pas plaider l'ignorance.

PS Les bruits courent que Schumer (top democrate au Senat) et Jeffries (top democrate House of Rep.) vont bientot officiellement donner leur soutien a Kamala.  Donc un "couronnement", ce qu'a peu pres la moitie des electeurs democrates ne voulaient pas selon plein de sondages.  On verra le resultat en Nov, mais je ne suis pas convaincu qu'elle pourra surmonter le deficite dans les etats du Rust Belt.  A suivre...

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https://www.spiked-online.com/2024/07/22/there-is-nothing-graceful-about-bidens-withdrawal-from-the-race/

La machine de propagande tourne à plein régime. Les spindoctors font des heures supplémentaires. Ils sont déterminés à dépeindre le retrait de Biden de la course comme un acte d'altruisme sans précédent. Comme un courageux effacement de soi pour que la démocratie puisse encore vivre. Comme quelque chose de « tout à fait extraordinaire », selon les termes du New York Times. Soyez impressionnés par « l'ampleur de ce que Biden vient de faire », peut-on lire. L'histoire est en train d'être réécrite en temps réel.

La rapidité avec laquelle l'abandon de la candidature de M. Biden a été transformé en une histoire d'« intégrité » devrait horrifier tous ceux qui se soucient de la vérité. Cela fait trois semaines - trois longues semaines - qu'il est monté sur la scène du débat de CNN et a choqué le monde par sa confusion et son incapacité. Au cours de ces trois semaines, nous l'avons tous vu s'accrocher furieusement au bureau ovale. Nous l'avons tous vu rejeter hautainement les inquiétudes selon lesquelles il n'était plus apte à exercer ses fonctions. Nous avons tous entendu que Jill Biden écartait ses détracteurs - de George Clooney à Barack Obama - comme autant de Brutus venus destituer son mari parfaitement capable. La grâce ? L'humilité ? Ce fut l'un des spectacles les plus inconvenants de préservation jalouse du pouvoir des temps modernes.

La vérité est que Biden n'a pas élégamment tiré sa révérence - il a été forcé de partir par les gros bonnets et les donateurs démocrates. Il n'est pas tombé sur son épée - il a été victime d'un coup d'État interne exécuté par les élites démocrates qui se sont rendu compte qu'elles ne pouvaient plus continuer à mentir sur le fait qu'il était parfaitement compos mentis [en pleine possession de ses moyens].

Le fait que M. Biden ait été évincé de la course par une mutinerie sans effusion de sang des hommes de pouvoir de la côte, plutôt que de se réveiller un matin et de décider héroïquement de se retirer, ressort clairement de la façon dont sa sortie a été désordonnée. La « grande majorité » de ses collaborateurs, y compris ceux qui ont « passé des années à travailler sur sa campagne de réélection », ont appris son départ de la même manière que tous les autres Américains : en lisant les journaux.

L'establishment démocrate, avec la complaisance des médias libéraux, présente un coup d'État comme une passation de pouvoir en toute sérénité. C'est l'humilité de Biden, et non nos couteaux, qui l'a poussé à se retirer, affirment-ils. Nous ne devrions pas être surpris par cette propagande éhontée. Car n'est-ce pas leur désinformation sur la santé de M. Biden qui a plongé l'Amérique dans cette crise ? Les mêmes politiciens et journaux qui affirment aujourd'hui que Biden a gracieusement accepté qu'il n'était plus apte à gouverner nous ont dit pendant des années qu'il était apte à gouverner et que quiconque disait le contraire était un menteur et peut-être « d'extrême droite ».

Leur culot est stupéfiant : pendant des années, ils nous ont abreuvés de faussetés sur le fait que Biden était en pleine forme, et maintenant ils nous abreuvent de faussetés sur le fait que la démission de cet homme malade est un modèle de bonne conduite auquel nous, les plébéiens, devrions aspirer.

Au cours des trois dernières semaines, ces personnes se sont converties à une croyance qu'elles qualifiaient auparavant d'âgiste, de trumpiste et de fausse : à savoir que Biden n'est pas tout à fait à la hauteur. Les médias ont qualifié de « conneries » les propos sur le « prétendu déclin mental » de M. Biden. La secrétaire de presse de la Maison Blanche, Karine Jean-Pierre, a déclaré que les vidéos montrant M. Biden dans un état de confusion étaient des « faux » fabriqués par des gens de droite de « mauvaise foi ».

Aujourd'hui, les élites démocrates reconnaissent enfin qu'il est épuisé et CNN avoue que « la santé mentale de Biden aurait pu être mieux couverte [par les médias] ». Qu'en pensez-vous ?

La question est de savoir pourquoi cela n'a pas été le cas. Nous le savons tous : parce que les forgeurs de l'opinion consensuelle de l'élite, la classe politique et leurs amis des médias libéraux, n'allaient pas permettre à quoi que ce soit, pas même à la vérité, d'entamer l'administration qu'ils soutenaient. Ils ont donc dissimulé la réalité. Pire encore, ils ont calomnié tous ceux qui parlaient de cette réalité, les qualifiant d'imposteurs et de haineux. Ces gens aiment critiquer Trump pour ses « faits alternatifs », mais ils étaient les maîtres des « faits alternatifs ». D'abord, ils nous ont imposé le « fait alternatif » que Biden était en parfaite santé, maintenant ils colportent le « fait alternatif » qu'il s'est héroïquement retiré de la course alors que nous savons tous ce qui s'est réellement passé : ils l'ont forcé à se retirer après avoir réalisé que leurs « faits alternatifs » avaient été ébranlés et que leur pouvoir politique était en train de s'affaiblir.

Si la manière dont M. Biden a été démis de ses fonctions témoigne du mépris des élites pour la vérité, le fait qu'elles aient désigné Kamala Harris comme candidate de remplacement témoigne de leur mépris pour la démocratie. M. Biden l'a soutenue sans réserve. Les célébrités et la classe militante se rallient à elle. Aucun d'entre eux ne se soucie-t-il du fait qu'elle n'a pas été démocratiquement choisie par la base démocrate pour être la candidate ? Et que Biden l'a été ? Certains réclament une « mini-primaire » pour soumettre la candidature de Mme Harris à la démocratie du parti, mais d'autres semblent choqués de la voir figurer sur le ticket alors qu'elle n'a pas obtenu le vote d'un seul membre pour se présenter à la Maison-Blanche. Nous sommes passés des « faits alternatifs » à la « démocratie alternative ».

L'ascension de Mme Harris vers la candidature est un signe des temps qui fait froid dans le dos. Elle est un nouveau type de politicienne, qui doit son pouvoir davantage à l'idéologie DEI (diversity equity inclusion) qu'au fonctionnement de la démocratie. Elle a été choisie en grande partie pour être la vice-présidente de Biden parce que, comme il l'a dit en 2019, il voulait une personne de couleur ou une femme comme colistière - avec Harris, il a eu les deux. Et maintenant, elle est sur le ticket pour la Maison Blanche non pas par mérite, et encore moins par enthousiasme démocratique, mais parce que le président est souffrant. C'est la politique identitaire et la faveur de l'élite qui a élevé cette politicienne spectaculairement insignifiante à de tels sommets politiques.

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il y a 50 minutes, Wallaby a dit :

https://www.spiked-online.com/2024/07/22/there-is-nothing-graceful-about-bidens-withdrawal-from-the-race/

La machine de propagande tourne à plein régime. Les spindoctors font des heures supplémentaires. Ils sont déterminés à dépeindre le retrait de Biden de la course comme un acte d'altruisme sans précédent. Comme un courageux effacement de soi pour que la démocratie puisse encore vivre. Comme quelque chose de « tout à fait extraordinaire », selon les termes du New York Times. Soyez impressionnés par « l'ampleur de ce que Biden vient de faire », peut-on lire. L'histoire est en train d'être réécrite en temps réel.

La rapidité avec laquelle l'abandon de la candidature de M. Biden a été transformé en une histoire d'« intégrité » devrait horrifier tous ceux qui se soucient de la vérité. Cela fait trois semaines - trois longues semaines - qu'il est monté sur la scène du débat de CNN et a choqué le monde par sa confusion et son incapacité. Au cours de ces trois semaines, nous l'avons tous vu s'accrocher furieusement au bureau ovale. Nous l'avons tous vu rejeter hautainement les inquiétudes selon lesquelles il n'était plus apte à exercer ses fonctions. Nous avons tous entendu que Jill Biden écartait ses détracteurs - de George Clooney à Barack Obama - comme autant de Brutus venus destituer son mari parfaitement capable. La grâce ? L'humilité ? Ce fut l'un des spectacles les plus inconvenants de préservation jalouse du pouvoir des temps modernes.

La vérité est que Biden n'a pas élégamment tiré sa révérence - il a été forcé de partir par les gros bonnets et les donateurs démocrates. Il n'est pas tombé sur son épée - il a été victime d'un coup d'État interne exécuté par les élites démocrates qui se sont rendu compte qu'elles ne pouvaient plus continuer à mentir sur le fait qu'il était parfaitement compos mentis [en pleine possession de ses moyens].

Le fait que M. Biden ait été évincé de la course par une mutinerie sans effusion de sang des hommes de pouvoir de la côte, plutôt que de se réveiller un matin et de décider héroïquement de se retirer, ressort clairement de la façon dont sa sortie a été désordonnée. La « grande majorité » de ses collaborateurs, y compris ceux qui ont « passé des années à travailler sur sa campagne de réélection », ont appris son départ de la même manière que tous les autres Américains : en lisant les journaux.

L'establishment démocrate, avec la complaisance des médias libéraux, présente un coup d'État comme une passation de pouvoir en toute sérénité. C'est l'humilité de Biden, et non nos couteaux, qui l'a poussé à se retirer, affirment-ils. Nous ne devrions pas être surpris par cette propagande éhontée. Car n'est-ce pas leur désinformation sur la santé de M. Biden qui a plongé l'Amérique dans cette crise ? Les mêmes politiciens et journaux qui affirment aujourd'hui que Biden a gracieusement accepté qu'il n'était plus apte à gouverner nous ont dit pendant des années qu'il était apte à gouverner et que quiconque disait le contraire était un menteur et peut-être « d'extrême droite ».

Leur culot est stupéfiant : pendant des années, ils nous ont abreuvés de faussetés sur le fait que Biden était en pleine forme, et maintenant ils nous abreuvent de faussetés sur le fait que la démission de cet homme malade est un modèle de bonne conduite auquel nous, les plébéiens, devrions aspirer.

Au cours des trois dernières semaines, ces personnes se sont converties à une croyance qu'elles qualifiaient auparavant d'âgiste, de trumpiste et de fausse : à savoir que Biden n'est pas tout à fait à la hauteur. Les médias ont qualifié de « conneries » les propos sur le « prétendu déclin mental » de M. Biden. La secrétaire de presse de la Maison Blanche, Karine Jean-Pierre, a déclaré que les vidéos montrant M. Biden dans un état de confusion étaient des « faux » fabriqués par des gens de droite de « mauvaise foi ».

Aujourd'hui, les élites démocrates reconnaissent enfin qu'il est épuisé et CNN avoue que « la santé mentale de Biden aurait pu être mieux couverte [par les médias] ». Qu'en pensez-vous ?

La question est de savoir pourquoi cela n'a pas été le cas. Nous le savons tous : parce que les forgeurs de l'opinion consensuelle de l'élite, la classe politique et leurs amis des médias libéraux, n'allaient pas permettre à quoi que ce soit, pas même à la vérité, d'entamer l'administration qu'ils soutenaient. Ils ont donc dissimulé la réalité. Pire encore, ils ont calomnié tous ceux qui parlaient de cette réalité, les qualifiant d'imposteurs et de haineux. Ces gens aiment critiquer Trump pour ses « faits alternatifs », mais ils étaient les maîtres des « faits alternatifs ». D'abord, ils nous ont imposé le « fait alternatif » que Biden était en parfaite santé, maintenant ils colportent le « fait alternatif » qu'il s'est héroïquement retiré de la course alors que nous savons tous ce qui s'est réellement passé : ils l'ont forcé à se retirer après avoir réalisé que leurs « faits alternatifs » avaient été ébranlés et que leur pouvoir politique était en train de s'affaiblir.

Si la manière dont M. Biden a été démis de ses fonctions témoigne du mépris des élites pour la vérité, le fait qu'elles aient désigné Kamala Harris comme candidate de remplacement témoigne de leur mépris pour la démocratie. M. Biden l'a soutenue sans réserve. Les célébrités et la classe militante se rallient à elle. Aucun d'entre eux ne se soucie-t-il du fait qu'elle n'a pas été démocratiquement choisie par la base démocrate pour être la candidate ? Et que Biden l'a été ? Certains réclament une « mini-primaire » pour soumettre la candidature de Mme Harris à la démocratie du parti, mais d'autres semblent choqués de la voir figurer sur le ticket alors qu'elle n'a pas obtenu le vote d'un seul membre pour se présenter à la Maison-Blanche. Nous sommes passés des « faits alternatifs » à la « démocratie alternative ».

L'ascension de Mme Harris vers la candidature est un signe des temps qui fait froid dans le dos. Elle est un nouveau type de politicienne, qui doit son pouvoir davantage à l'idéologie DEI (diversity equity inclusion) qu'au fonctionnement de la démocratie. Elle a été choisie en grande partie pour être la vice-présidente de Biden parce que, comme il l'a dit en 2019, il voulait une personne de couleur ou une femme comme colistière - avec Harris, il a eu les deux. Et maintenant, elle est sur le ticket pour la Maison Blanche non pas par mérite, et encore moins par enthousiasme démocratique, mais parce que le président est souffrant. C'est la politique identitaire et la faveur de l'élite qui a élevé cette politicienne spectaculairement insignifiante à de tels sommets politiques.

Eh ben : tu as déjà de sacré stock de propagande anti-Democrates ! Je suis très surpris ! :bloblaugh:

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Le 21/07/2024 à 22:06, Patrick a dit :

Possible. Parce que justement ce n'est pas l'alpha et l'oméga de l'action de De Gaulle.

Je pense que Vance voit en lui ce qu'il veut bien y voir: un rassembleur, un patriote, un homme fort, mais surtout un homme d'état fort ce qui ne colle pourtant pas trop avec la formule "no big gov" des Républicains MAGA.

Oui il y a bien des point sur lesquels De Gaulle devrait plaire aux Américains conservateurs plutôt que les irriter, mais le véritable drame c'est qu'il est aussi le "patient zéro" de l'incapacité à définir de façon transpartisane des relations apaisées entre France et USA dans des domaines spécifiques et de façon suffisamment significative sous la forme de partenariats gagnant-gagnant pour qu'il ne vienne à l'idée de personne d'être tenté de tout casser, ce qui est pourtant le cas sans discontinuer depuis des décennies maintenant.

Bon, après, ce qu'illustre cette prise de position, c'est qu'il y a clairement une faction francophobe et une autre francophile aux USA, comme partout dans le monde anglo-saxon, qui dépasse les clivages politiques, ce qui est assez amusant en soi.

Je ne vais donc pas bouder mon plaisir d'avoir à la fois un Blinken et un Vance aux USA, parce qu'on a besoin des deux, mais il serait peut-être bien de réussir à concrétiser des choses en étant plus qu'une simple option trop souvent malmenée sans raison ou portée aux nues sans raison par l'Amérique...

En gros je pense qu'il faut continuer à renforcer notre indépendance stratégique dans tous les domaines MAIS qu'on garde la porte ouverte aux Américains, qu'on cultive les partenariats qui fonctionnent aujourd'hui, et qu'on lance quelques ponts de corde au moins en guise de réassurance.

C'est pour mémoire un peu la réponse qu'avait fait Trappier à Amy Schedlbauer, ministre conseillère aux affaires économiques, donc une pointure, envoyée en mission-suicide par le département du commerce pour proposer dans un contexte post-AUKUS (!) des partenariats aux entreprises Françaises de défense, dans le contexte de la guerre en Ukraine. Un événement passé totalement inaperçu mais qui m'avait fortement marqué:

La vidéo dure 45 minutes et était à l'époque riche d'enseignements.

Le passage intéressant, mais toute la vidéo est géniale si vous avez 30 minutes devant vous (ça se regarde très bien en vitesse x1.5).

Et la réponse de Trappier était assez ferme:

Merci @Patrick très intéressant 

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2 hours ago, Boule75 said:

Eh ben : tu as déjà de sacré stock de propagande anti-Democrates ! Je suis très surpris ! :bloblaugh:

pourquoi de la propagande? 

n'est ce pas vrai que Biden a ete pousser dehors? 

n'est ce pas vrai que Kamala va etre "couronner" a la tete des democrates sans scutin de l'electorat democrate?  apres tout, il reste plus de 100 jours avant Novembre.  On a bien eu des elections en Angleterre en 6 semaines, et en France deux tours en environ 2 mois.  Et maintenant faut avaler que c'est le choix du peuple? pour rappel en 2020 lors des primaires democrates, Kamala n'a meme pas terminer dans le top 15 des candidats, elle n'a obtenu que 844 votes! (0 pledged delegates)

https://en.wikipedia.org/wiki/Results_of_the_2020_Democratic_Party_presidential_primaries

on peut quand meme constater que c'est pas tres democratique, sans etre un complotiste,  un troll a propagande, etc...

C'est pas mieux avec les republicains qui arrivent a s'imposer avec un systeme de "electoral college" qui leur permet de gouverner sans la majorite du vote populaire.

peut etre c'est ok pour toi.  En tous cas je plains les americains qui doivent choisir qu'entre un demagogue ou le mort vivant "the anointed one".

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https://www.theguardian.com/us-news/article/2024/jul/22/secret-service-director-kimberly-cheatle-hearing-trump-assassination-attempt

Cheatle ne pouvait pas repondre aux questions du comite politique afin de ne pas nuire aux enquetes en cours. Ceci a envere les gens a un tel point qu'elle a reussi a unir les democrates et republicains a demander sa demission :biggrin:

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Il y a 13 heures, g4lly a dit :

Thomas Matthew Crooks, a pu se retrouver sur un toit avec un fusil semi-automatique, à moins de 150 mètres de l’estrade où Donald Trump s’exprimait. […]Thomas Matthew Crooks, 20 ans, a été abattu par le Secret Service vingt-six secondes après le premier des huit tirs qu’il a effectués.

À 150 m de Trump le tireur a pu effectuer 8 tirs et les snipers du Secret Service ont mis 26 sec à le neutraliser. Vu la latence avant de le neutraliser ils ne savaient donc pas d’où venaient les tirs et ont du balayer l’horizon à sa recherche avant de finir par le trouver.

Il existe pourtant des systèmes acoustiques statiques (mais aussi des systèmes de détection d’optique pointée) qui permettent immédiatement de localiser le tireur dans la seconde suivant le premier tir avec les infos d’azimut, de distance et d'élévation du tireur exactes (permettant un tir immédiat de neutralisation).

Sarkozy bénéficiait de ces systèmes déjà à son époque lors du défilé du 14 juillet…

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il y a une heure, Neuron a dit :

À 150 m de Trump le tireur a pu effectuer 8 tirs et les snipers du Secret Service ont mis 26 sec à le neutraliser. Vu la latence avant de le neutraliser ils ne savaient donc pas d’où venaient les tirs et ont du balayer l’horizon à sa recherche avant de finir par le trouver.

Il existe pourtant des systèmes acoustiques statiques (mais aussi des systèmes de détection d’optique pointée) qui permettent immédiatement de localiser le tireur dans la seconde suivant le premier tir avec les infos d’azimut, de distance et d'élévation du tireur exactes (permettant un tir immédiat de neutralisation).

Sarkozy bénéficiait de ces systèmes déjà à son époque lors du défilé du 14 juillet…

et encore, il n'avait pas de silencieux....

 

il y a quelque chose à reprendre dans la sécurité (faire occuper les points hauts par des effectifs policiers ou les neutraliser (les rendre inaccessibles temporairement)...

 

pour moi, vieux plongeur (tek), l'experience, c'est la somme des erreurs, les notres et celles des autres qu'on a su faire notres....

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il y a 24 minutes, christophe 38 a dit :

pour moi, vieux plongeur (tek), l'experience, c'est la somme des erreurs, les notres et celles des autres qu'on a su faire notres....

J'ai deux autres définitions de l'expérience qui peuvent aussi matcher avec la situation :

Citation

L'expérience, c'est ce qui permet d'identifier une connerie la deuxième fois que tu la commets.

Et dans cette optique, le mea culpa du SS, le "on a merdé", montre une certaine expérience. :unsure:

Sinon, plus philosophiquement :

Citation

L'expérience, c'est une lanterne dans ton dos qui éclaire le chemin parcouru.

Ce qui montre que l'expérience, seule, a pour but de ne pas reproduire les erreurs du passé, mais n'offre, en rien, des solutions pour envisager l'inconnu à venir.

Il est alors nécessaire de cumuler toute l'expérience possible, avec une bonne dose d'imagination et de créativité afin de reprendre, comme tu le soulignes, pas mal d'éléments déficients dans la protection des personnalités aux États-Unis. À cet égard, la protection d'une personnalité remuante (agitée, incontrôlable, voire rebelle à l'autorité) telle que Trump soulève de nouveaux défis qui ne semblent pas nécessairement avoir été anticipés par le SS qui s'est peut-être endormi sur ses lauriers et basé seulement sur son expérience.

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Il y a 1 heure, Neuron a dit :

À 150 m de Trump le tireur a pu effectuer 8 tirs et les snipers du Secret Service ont mis 26 sec à le neutraliser. Vu la latence avant de le neutraliser ils ne savaient donc pas d’où venaient les tirs et ont du balayer l’horizon à sa recherche avant de finir par le trouver.

Il existe pourtant des systèmes acoustiques statiques (mais aussi des systèmes de détection d’optique pointée) qui permettent immédiatement de localiser le tireur dans la seconde suivant le premier tir avec les infos d’azimut, de distance et d'élévation du tireur exactes (permettant un tir immédiat de neutralisation).

Sarkozy bénéficiait de ces systèmes déjà à son époque lors du défilé du 14 juillet…

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https://www.foxnews.com/opinion/trump-assassination-attempt-3-key-questions-secret-service-must-answer (22 juillet 2024)

3 questions clés auxquelles le Secret Service doit répondre

Michael Matranga est un ancien agent des services secrets des États-Unis affecté à la division des opérations spéciales, à l'équipe de contre-assaut et à la division de protection présidentielle.

1. Qui était chargé de sécuriser le bâtiment ?

Il y a eu un échec catastrophique dans la définition et la communication de la responsabilité d'être posté et de tenir le bâtiment d'où le tireur, Thomas Matthew Crooks, a accédé au toit et a tiré sur le président Trump et les participants au rassemblement le samedi 13 juillet. 

La façon dont le Secret Service définit et désigne les responsabilités est une série d'événements connus sous le nom de « 7 phases d'avancement sur le terrain ». Tous les agents sont formés à ce processus avant d'obtenir leur diplôme au Federal Law Enforcement Training Center (FLETC) de Glynco, en Géorgie.

Nous évaluons les faiblesses potentielles et les points d'intérêt où une menace pourrait émerger. Nous devons nous demander comment les informations ou les missions spécifiques concernant les tâches du service de police du canton de Butler sont devenues floues.

Au cours de la dernière décennie, le United States Secret Service (USSS) a été soumis à d'énormes pressions en matière d'effectifs en raison de ses ressources limitées. Les nombreux appels à l'augmentation du budget de recrutement et à l'amélioration des capacités technologiques de l'agence n'ont pas porté leurs fruits.

Les trois dernières administrations ont toutes ajouté des personnes à protéger à la responsabilité de l'agence et des hommes et femmes du United States Secret Service. Pourtant, la pression sur les effectifs reste très forte, d'où la nécessité pour l'agence de s'appuyer fortement sur les autorités locales pour combler les lacunes.

Je suis persuadé que ce que le peuple américain verra au fur et à mesure de l'enquête, c'est que le « toit » en question a été considéré comme un problème par l'équipe de contre-tireurs et de contre-assaillants qui est responsable de l'avancée tactique. Cela dit, en raison des contraintes de main-d'œuvre, les postes du périmètre extérieur sont principalement occupés par des homologues locaux. Bien que l'agence ne puisse fonctionner sans leur coopération, la réalité est que le maintien de l'ordre et la sécurité ne sont pas identiques - l'un est principalement réactif et l'autre proactif et préventif. 

En utilisant principalement des unités de contrepartie locales réactives, il y a toujours eu un décalage sur la raison pour laquelle nous, dans l'industrie de la sécurité, en particulier les services secrets des États-Unis, faisons des choses que ceux de l'industrie réactive font normalement. Par exemple, se tenir sur le toit d'un bâtiment sous un soleil de plomb pendant des heures pour s'assurer de l'intégrité du site avant, pendant et peu après l'une des visites de protection de l'agence.

Je ne comprends pas que le tireur de Butler, en Pennsylvanie, soit passé entre les mailles du filet. Nous devons savoir qui a demandé aux homologues locaux de rester à l'intérieur du bâtiment plutôt que sur le toit. Si la directive de rester sur le toit du bâtiment a été donnée par l'agence, pourquoi, avant d'entrer en scène ou d'arriver sur le site une fois les postes occupés et le site sécurisé, une correction n'a-t-elle pas été apportée ?

2) Pourquoi le président Trump a-t-il été autorisé à monter sur scène au moment où il l'a fait ?

Nous devons nous demander comment les informations ont été traitées par les autorités locales compétentes de la résidence des parents de Crooks et si ces informations ont été transmises au canton de Butler et, par la suite, aux services secrets.

Sur la base de mes connaissances, de mes compétences, de ma formation et de mon expérience professionnelle, cette seule déclaration des parents ne constituerait pas une menace.

Crooks semble avoir mis au point un plan impulsif dans les 24 à 36 heures précédant l'événement. Depuis près de trente ans, l'USSS mène des recherches approfondies sur ces événements, qu'elle qualifie généralement de « planification avant l'attentat ». Selon les rapports, ses parents ont informé les autorités qu'il avait disparu et qu'il avait potentiellement de mauvaises intentions à l'égard de l'ancien président Trump. C'est ce que nous appelons communément une fuite.

Par expérience, il est fréquent que l'on signale la présence d'une personne inconnue et suspecte sur les sites de protection. L'équipe de contre-surveillance désignée met tout en œuvre pour localiser l'individu. Si elles sont localisées, ces personnes seront interrogées par l'équipe de renseignement de protection désignée afin de déterminer leurs intentions. Cependant, si l'information était relayée et que les autorités avaient une personne suspecte inconnue sur le terrain et qu'il y avait une menace imminente, je pense que les questions suivantes seraient appropriées à poser aux responsables :

* Pourquoi se précipiter pour faire monter le président sur scène ?

* Pourquoi ne pas avoir attendu ?

3. Quand Kimberly Cheatle, chef de l'USSS, s'adressera-t-elle au peuple américain ?

En tant qu'ancien agent, je sais que l'agence a une « politique d'une seule voix », avec laquelle je suis d'accord. Toutefois, il s'agit d'un événement historique. Mes anciens collègues, moi-même et d'autres personnes travaillant actuellement au sein de l'agence estimons que son manque de transparence et sa décision de ne pas s'adresser au peuple américain ont été un échec. Nous méritons mieux.

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Il y a 2 heures, christophe 38 a dit :

et encore, il n'avait pas de silencieux....

 

il y a quelque chose à reprendre dans la sécurité (faire occuper les points hauts par des effectifs policiers ou les neutraliser (les rendre inaccessibles temporairement)...

 

pour moi, vieux plongeur (tek), l'experience, c'est la somme des erreurs, les notres et celles des autres qu'on a su faire notres....

Oui et en plus il n’avait pas de silencieux c’est vrai. Les systèmes de détection acoustique fonctionnent même s’il y’a un silencieux. Ils restent très précis sur azimut et élévation mais ne peuvent plus donner qu’une indication de distance (et non plus la distance réelle) si il y’a un silencieux. 
 

Il est clair comme tu le soulignes qu’il y’a eu un gros raté sur la sécurité. Comment un tireur avec un fusil d’assaut à pu se retrouver sur un point haut à seulement 120 mètres de Trump. 

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https://www.politico.eu/article/kamala-harris-europe-us-election-joe-biden-democratic-party/ (22 juillet 2024)

Isabel Schnabel, membre du conseil d'administration de la Banque centrale européenne, a été surprise au début de l'année en train de critiquer la vice-présidente en la qualifiant d'« invisible » et en prédisant qu'elle ne gagnerait jamais. Le processus de sélection du parti démocrate « est un échec », a déclaré Mme Schnabel dans des propos rapportés ici pour la première fois.

« Ils auraient dû construire une autre candidate que Kamala Harris dès le début », a déclaré Mme Schnabel lors d'une conversation privée avant un événement en février, ignorant apparemment que ses remarques étaient retransmises en direct. « Elle ne gagnerait jamais une élection, c'est sans espoir ». Le commentaire suivant de Mme Schnabel était particulièrement tranchant : « Je ne la connais même pas parce qu'elle a été tellement invisible ».

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il y a 11 minutes, Wallaby a dit :

https://www.politico.eu/article/kamala-harris-europe-us-election-joe-biden-democratic-party/ (22 juillet 2024)

Isabel Schnabel, membre du conseil d'administration de la Banque centrale européenne, a été surprise au début de l'année en train de critiquer la vice-présidente en la qualifiant d'« invisible » et en prédisant qu'elle ne gagnerait jamais. Le processus de sélection du parti démocrate « est un échec », a déclaré Mme Schnabel dans des propos rapportés ici pour la première fois.

« Ils auraient dû construire une autre candidate que Kamala Harris dès le début », a déclaré Mme Schnabel lors d'une conversation privée avant un événement en février, ignorant apparemment que ses remarques étaient retransmises en direct. « Elle ne gagnerait jamais une élection, c'est sans espoir ». Le commentaire suivant de Mme Schnabel était particulièrement tranchant : « Je ne la connais même pas parce qu'elle a été tellement invisible ».

En quoi l'opinion d'une économiste allemande, dont les sujets de prédilection sont l'histoire économique, le secteur bancaire et les crises financières, certes influente par son mandat au directoire de la BCE, pourrait-elle être pertinente pour juger à la fois de la politique intérieure d'un pays non-européen, et des processus de sélections d'un parti étranger duquel elle ne peut avoir qu'une vision extérieure, partielle et biaisée ?

Attention, je ne disconviens pas de sa capacité à avoir un avis, ni même à l'exprimer. Mais je me méfie de l'autorité qu'on pourrait conférer à un tel avis, au point d'en faire un argument alors qu'il n'est qu'une opinion personnelle parmi d'autres - et même pas forcément mieux formée ou informée.

 

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il y a 45 minutes, Neuron a dit :

Oui et en plus il n’avait pas de silencieux c’est vrai. Les systèmes de détection acoustique fonctionnent même s’il y’a un silencieux. Ils restent très précis sur azimut et élévation mais ne peuvent plus donner qu’une indication de distance (et non plus la distance réelle) si il y’a un silencieux. 
 

Il est clair comme tu le soulignes qu’il y’a eu un gros raté sur la sécurité. Comment un tireur avec un fusil d’assaut à pu se retrouver sur un point haut à seulement 120 mètres de Trump. 

Fonctionnent ils avec "silencieux" + munitions subso ? (Sans dévoiler d'infos sensibles si tu es du métier)

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