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il y a 1 minute, collectionneur a dit :

@Stark_Contrast Il faut tout de même compter sur l'inflation en 25 ans. 100 dollars US en 2001 en valent 180 aujourd'hui. 

Il ne faut pas non plus oublier le contexte. En 2001, la Russie est une puissance militaire sinistrée. Et la Chine très loin de ce qu'elle est aujourd'hui.

Si les Américains en reviennent à cette situation budgétaire là, proportionnellement... ils se sabordent encore plus.

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Il y a 3 heures, MIC_A a dit :

Il me semble qu'aux US, toucher au lobby militaro-industriel c'est prendre de gros risques d'abord politiques mais pas que !

Assisterons-nous au prochain assassinat d'un président Américain en fonction ?

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il y a 40 minutes, Pasha a dit :

Assisterons-nous au prochain assassinat d'un président Américain en fonction ?

Rien n'est impossible chez eux, je ne lui souhaite pas et cela voudrait dire que des puissances occultes dirigent en sous main, ah, on me souffle que c'est le cas !

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il y a une heure, Pasha a dit :
Il y a 4 heures, MIC_A a dit :

 

Assisterons-nous au prochain assassinat d'un président Américain en fonction ?

C'est une possibilité, mais cette fois ci, Trump a pris un vice président moins propice à cela.

Sinon, quand je vous lis, sur ce sujet ou celui de la guerre en Ukraine, j'ai l'impression que d'aucuns sont en "roue libre".

J'aurais cru que le changement de "paradigme" aurait mis de l'eau dans le vin de certains, mais que nenni,

c'est même dans l'ensemble pire qu'avant, comme s'il était impossible de faire amende honorable,

et sortir d'aveuglements qui nuisent à toute analyse rationnelle de la situation.

Si Trump ne meurt pas rapidement, comme la Russie, la Chine et beaucoup d'autres accepteront probablement ce nouveau "narratif",

quelques forumeurs français se la jouant Astérix n'y changeront rien, profitez en pour vous laver le cerveau, vae victis.

 

Modifié par Dedieu
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il y a 3 minutes, Dedieu a dit :

C'est une possibilité, mais cette fois ci, Trump a pris un vice président moins propice à cela.

Sinon, quand je vous lis, sur ce sujet ou celui de la guerre en Ukraine, j'ai l'impression que d'aucuns sont en "roue libre".

J'aurais cru que le changement de "paradigme" aurait mis de l'eau dans le vin de certains, mais que nenni,

c'est même dans l'ensemble pire qu'avant, comme s'il était impossible de faire amande honorable,

et sortir d'aveuglements qui nuisent à toute analyse rationnelle de la situation, vae victis.

Tu peux nous éclairer de tes lumières DeDieu !
Amende honorable de quoi stp de voir deux potus passer quelques arrangements sur le dos des autres ?
 

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il y a 46 minutes, Dedieu a dit :

C'est une possibilité, mais cette fois ci, Trump a pris un vice président moins propice à cela.

Sinon, quand je vous lis, sur ce sujet ou celui de la guerre en Ukraine, j'ai l'impression que d'aucuns sont en "roue libre".

J'aurais cru que le changement de "paradigme" aurait mis de l'eau dans le vin de certains, mais que nenni,

c'est même dans l'ensemble pire qu'avant, comme s'il était impossible de faire amende honorable,

et sortir d'aveuglements qui nuisent à toute analyse rationnelle de la situation.

Si Trump ne meurt pas rapidement, comme la Russie, la Chine et beaucoup d'autres accepteront probablement ce nouveau "narratif",

quelques forumeurs français se la jouant Astérix n'y changeront rien, profitez en pour vous laver le cerveau, vae victis.

 

Pas sûr de comprendre que quelle "amende honorable" tu parles. Je n'ai pas l'impression que ce forum soit particulièrement américanophile ni atlantiste et voir les USA jouer contre l'Europe, cette fois ci de manière parfaitement assumée, ne surprend pas grand monde, même si le style Trump reste si éloigné de toutes les conventions diplomatiques qu'il continue à "choquer" superficiellement. 

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https://www.msn.com/en-us/money/markets/hegseth-set-to-seek-8-spending-shift-at-pentagon/ar-AA1z4N0S (20 février 2025)

Hegseth cherche à obtenir une réduction de 8 % des dépenses du Pentagone

M. Hegseth a dressé une liste de 17 domaines qui « peuvent ne pas être inclus par les services et les composantes dans leur réduction de 8 % ». Outre l'application de la loi sur les frontières, la liste des exemptions comprend le sous-marin de classe Virginia, ce qu'elle appelle les « programmes exécutables de navires de surface », la défense antimissile intérieure, le nouvel avion de combat collaboratif de l'armée de l'air, les drones d'attaque à sens unique, les « projets critiques prioritaires de cybersécurité, de munitions et de construction Indo-Pacom » et les soins médicaux dans le secteur privé.

Conformément aux thèmes favoris du président Donald Trump et de M. Hegseth, la note appelle à cibler la bureaucratie excessive et les dépenses sur les programmes liés au changement climatique et à la diversité, à l'équité et à l'inclusion, que M. Hegseth a qualifiés de « faible impact » et de « gaspillage ».

Comme les administrations précédentes, l'équipe de M. Hegseth examine et révise le plan de dépenses théorique de l'administration précédente, qui prévoyait des dépenses de 876,8 milliards de dollars pour l'année fiscale 2026, contre 849 milliards de dollars cette année.

Cette révision est la première incursion de M. Hegseth dans les rouages budgétaires de la gestion du plus grand ministère des États-Unis.

Sa note n'aborde pas l'avenir de certains des principaux programmes du ministère de la défense, notamment le plus coûteux, le F-35 construit par Lockheed Martin Corp. Bien que le milliardaire Elon Musk, l'un des principaux conseillers de Trump, ait déclaré que l'avion de chasse devrait être annulé à l'ère de la guerre des drones, Trump a parlé de vendre des F-35 à l'Inde, ce qui nécessiterait la poursuite de leur production.

 

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il y a 53 minutes, Ciders a dit :

Attention, Wallaby est très pointilleux sur l'orthographe !

Du calme. Je voulais positivement te féliciter pour l'orthographe de Brzeziński avec le "ń" que je n'ai jamais la patience d'écrire. Quand j'ai réussi à aligner les différents "r" et "z" dans l'ordre, j'ai déjà fait beaucoup d'efforts, et pourtant je parle un peu et j'écris un peu le polonais, ou plutôt j'ai parlé et j'ai lu un peu le polonais, il y a bien longtemps.

Mais comme dans la même phrase tu avais commis une petite imperfection dans un autre nom propre, je ne pouvais pas m'empêcher pour être juste, de dire les choses.

 

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Il y a 3 heures, 13RDP a dit :

 

Comme quoi il m'arrive - une fois n'est pas coutume - de ne pas être d'accord avec Bernie Sanders.

04:38 Les États-Unis sont la démocratie la plus ancienne du monde.

Donc l'esclavage c'est la démocratie, ce qui nous donne une définition très large de la démocratie. Et accessoirement, Saint-Marin, la Suisse et l'Islande n'existent pas.

Ronald Reagan aussi a été décrié quand il a promu la détente avec Gorbatchev, et l'URSS de Gorbatchev était une dictature.

Le 17/07/2018 à 12:20, Wallaby a dit :

La dernière fois qu'un président a choqué l'establishment américain en se montrant conciliant avec les Russes, c'était avec Reagan :

https://foreignpolicy.com/2010/06/07/think-again-ronald-reagan/ (7 juin 2010)

Reagan a commencé à abandonner sa position anti-soviétique dure à la fin de 1983, 18 mois avant que Gorbatchev ne prenne le pouvoir. L'une des raisons en était la politique intérieure. (...). Le soutien public aux dépenses de défense a chuté, et la Chambre des représentants des États-Unis a approuvé un gel de la production d'armes nucléaires.

Craignant que ces tendances pacifiques puissent menacer la réélection de Reagan, le chef d'état-major de la Maison-Blanche James Baker a poussé Reagan à faire une ouverture aux Soviétiques, une suggestion soutenue par Shultz, qui était impatient de reprendre les pourparlers sur les armes.

Leur effort a coïncidé avec un changement chez Reagan, qui a longtemps été marqué par une véritable terreur de la guerre nucléaire, reflétée dans sa croyance vieille de plusieurs décennies - souvent ignorée par ses partisans de droite - que les armes nucléaires devraient finalement être abolies. La terreur avait ses racines, comme beaucoup d'inclinations de Reagan, dans le cinéma. Selon Colin Powell, conseiller à la sécurité nationale de 1987 à 1989, Reagan avait été profondément affecté par le film The Day the Earth Stood Still de 1951.

En janvier 1984, il a dit au pays que "mon rêve est de voir le jour où les armes nucléaires seront bannies de la surface de la Terre". En été, il avait en grande partie supprimé les conditions préalables à la rencontre avec les dirigeants soviétiques, et en septembre, le magazine Time a rapporté qu'il avait dit au ministre soviétique des Affaires étrangères Andrei Gromyko que les États-Unis "respectent le statut de superpuissance de l'Union soviétique et ne souhaitent pas changer son système social".

En mars 1985, quelques heures après la sélection de Gorbatchev, Reagan l'invita à un sommet sans conditions préalables. La même année, il a renversé la ligne dure de l'administration et a discrètement mis au rebut certains sous-marins plus anciens afin que les États-Unis ne violent pas le traité SALT II jamais ratifié et ne mettent pas ainsi le Kremlin en colère.

Lorsqu'ils se sont rencontrés à Genève, en novembre, Reagan a chuchoté à Gorbatchev : "Je parie que les extrémistes de nos deux pays saignent quand nous nous serrons la main". Une première réunion prévue pour durer 15 minutes a duré cinq heures.

En 1988, bien que l'Union soviétique n'ait pas encore libéré l'Europe de l'Est de son emprise, Reagan niait explicitement que l'Union soviétique constituait toujours un "empire du mal" et avait commencé à appeler Gorbatchev "mon ami".

Dès 1982, après que Reagan s'est opposé à Israël, a refusé d'envoyer des troupes américaines en Amérique centrale et a refusé de couper les prêts occidentaux à la Pologne communiste, Norman Podhoretz a déclaré dans Commentary que les néoconservateurs "s'enfonçaient dans un état de quasi-désespoir politique".

En 1986, alors que Reagan n'annule pas son deuxième sommet avec Gorbatchev malgré l'emprisonnement d'un journaliste américain à Moscou, Podhoretz l'accuse d'avoir " fait honte à lui-même et au pays " dans son "  lâche empressement " à céder l'arsenal nucléaire. Le chroniqueur du Washington Post, George Will, a déclaré que l'administration s'était dégonflée "comme un ballon perforé". Lorsque Reagan a signé le Traité INF, la plupart des républicains qui rivalisaient pour lui succéder se sont manifestés dans l'opposition. Les dirigeants conservateurs de la base ont créé l'Alliance contre l'apaisement pour s'opposer à la ratification et ont publié des annonces dans les journaux comparant Gorbatchev à Hitler et Reagan à Neville Chamberlain.

-

Le 17/09/2024 à 22:28, Wallaby a dit :

 https://www.theguardian.com/books/2024/mar/31/annie-jacobsen-nuclear-war-scenario

Nuclear War: A Scenario, par Annie Jacobsen

Annie Jacobsen était lycéenne en 1983, lorsque la chaîne ABC a diffusé le film Le jour d'après, sur les horreurs de la guerre nucléaire. Elle n'a jamais oublié cette expérience. Plus de 100 millions d'Américains ont regardé le film et ont été terrifiés à leur tour. L'un d'entre eux vivait à la Maison Blanche. Selon son biographe et ses propres mémoires, cette expérience a contribué à faire de Ronald Reagan un opposant à la guerre nucléaire au cours de son second mandat.

Peu de temps après, le stock mondial d'ogives nucléaires a atteint son maximum et a commencé à diminuer rapidement, passant de 70 000 à un peu plus de 12 000 actuellement, selon la Federation of American Scientists.

« Pendant des décennies, les gens sont partis du principe que la menace nucléaire avait pris fin avec la chute du mur de Berlin », a déclaré Mme Jacobsen, avant de suggérer une autre raison pour laquelle la menace existentielle des armes nucléaires a été éliminée du discours dominant : elle a été transformée en un débat technique.

« Les armes nucléaires et toute la nomenclature qui les entoure ont été tellement raréfiées qu'elles ont été réservées aux personnes bien informées », a-t-elle déclaré.

Dans son livre, Mme Jacobsen s'efforce de dépasser le jargon et les détails pour raconter une histoire terrifiante d'une manière dévastatrice et directe. L'alerte spoiler, c'est que ça ne se termine pas bien.

Comme le promet la couverture du livre, celui-ci présente un scénario unique de guerre nucléaire, situé à l'époque actuelle. La Corée du Nord, peut-être convaincue qu'elle est sur le point d'être attaquée, lance une attaque surprise de missiles contre les États-Unis, ce qui amène Washington à répondre par une salve de 50 missiles balistiques intercontinentaux (ICBM) Minuteman III. Ces missiles visent les sites d'armement et les centres de commandement de la Corée du Nord, mais pour atteindre leur cible, ils doivent survoler la Russie, car ils n'ont pas la portée nécessaire pour emprunter une autre voie.

Conscient du risque d'erreur de calcul, le président américain tente de joindre son homologue russe. Mais les deux hommes et les pays qu'ils dirigent ne s'entendent pas, et il échoue. Pour ne rien arranger, le système russe d'alerte précoce par satellite, Tundra, a exagéré l'ampleur de la salve américaine et, depuis son bunker sibérien, le président russe (Vladimir Poutine de son vrai nom) ordonne une attaque nucléaire totale contre les États-Unis.

Le scénario est basé sur des faits connus concernant les arsenaux, les systèmes et la doctrine nucléaires du monde. Ces faits sont tous du domaine public, mais Jacobsen pense que la société les a mis de côté, malgré (ou peut-être à cause de) leur caractère choquant.

Mme Jacobsen a été stupéfaite d'apprendre qu'une attaque de missiles balistiques intercontinentaux contre la Corée du Nord devrait passer par la Russie et que le système d'alerte précoce russe est en proie à des défaillances, un fait particulièrement inquiétant lorsqu'on sait que les États-Unis et la Russie disposent tous deux d'une partie de leurs arsenaux nucléaires prêts à être lancés avec un préavis de quelques minutes. La doctrine nucléaire des deux pays prévoit également la possibilité d'un « lancement sur alerte », sans attendre l'arrivée de la première ogive.

Un président américain disposerait de quelques minutes pour prendre une décision si les systèmes d'alerte précoce américains signalaient une attaque imminente. Pendant ces quelques minutes, il ou elle devrait traiter un flux urgent , complexe et inévitablement incomplet d'informations et de conseils émanant des plus hauts responsables de la défense. M. Jacobsen souligne que, dans de telles circonstances, le président est susceptible d'être soumis à un « brouillage », c'est-à-dire à un chœur de voix militaires l'incitant à suivre des protocoles qui mènent inexorablement à un lancement de représailles.

« Je suis restée bouche bée devant tant de choses que j'ai apprises, qui n'étaient pas classifiées mais qui avaient simplement été retirées ou plutôt aseptisées du discours public », a-t-elle déclaré. « J'ai été constamment surprise par la folie de ce que j'ai appris et par le fait que tout cela est accessible au public ».

https://www.lapresse.ca/contexte/2024-04-21/nuclear-war-a-scenario/tout-simplement-cauchemardesque.php

Ce livre est plus cauchemardesque encore que le plus terrifiant des livres d’horreur de Stephen King.

Soyez prévenu cependant : ce livre est aussi un tour de force.

Il repose notamment sur une série d’entrevues avec des experts (y compris d’anciens secrétaires américains à la Défense et des ingénieurs nucléaires) qui savent ce qui est susceptible de se produire dans une telle éventualité. Et plusieurs connaissent dans le détail les plans du gouvernement américain.

Bien franchement, ils sont rares, les essais qui nous tiennent en haleine de cette façon.

Selon la thèse de l’auteure, la journaliste Annie Jacobsen, c’est le Pentagone qui serait ciblé en premier.

Ce que nous raconte Annie Jacobsen relève de la fiction. Mais ça pourrait facilement, trop facilement, ne pas être le cas.

C’est d’ailleurs, à mon sens, le grand mérite de ce livre. Il secoue ses lecteurs d’une façon telle qu’il est par la suite impossible de nier que le risque d’une apocalypse nucléaire est aujourd’hui trop élevé.

Et il nous rappelle une intolérable vérité. Jusqu’ici, « personne n’a fait quoi que ce soit de substantiel pour empêcher la troisième guerre mondiale nucléaire ».

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Modifié par Wallaby
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il y a 40 minutes, Wallaby a dit :

Du calme. Je voulais positivement te féliciter pour l'orthographe de Brzeziński avec le "ń" que je n'ai jamais la patience d'écrire. Quand j'ai réussi à aligner les différents "r" et "z" dans l'ordre, j'ai déjà fait beaucoup d'efforts, et pourtant je parle un peu et j'écris un peu le polonais, ou plutôt j'ai parlé et j'ai lu un peu le polonais, il y a bien longtemps.

Mais comme dans la même phrase tu avais commis une petite imperfection dans un autre nom propre, je ne pouvais pas m'empêcher pour être juste, de dire les choses.

Au temps pour nous.

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il y a une heure, Wallaby a dit :

Du calme. Je voulais positivement te féliciter pour l'orthographe de Brzeziński avec le "ń" que je n'ai jamais la patience d'écrire. Quand j'ai réussi à aligner les différents "r" et "z" dans l'ordre, j'ai déjà fait beaucoup d'efforts, et pourtant je parle un peu et j'écris un peu le polonais, ou plutôt j'ai parlé et j'ai lu un peu le polonais, il y a bien longtemps.

Mais comme dans la même phrase tu avais commis une petite imperfection dans un autre nom propre, je ne pouvais pas m'empêcher pour être juste, de dire les choses.

Astuce : un copier/coller suffit. 

il y a 25 minutes, vincenzo a dit :

Kash Patel confirmé à la tête du FBI...

Encore un ultra-centriste !

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il y a 2 minutes, mehari a dit :

Pour ceux qui ne sont pas au courant, il s'agit d'un compte parodique

Pour l'instant. On a bien déjà proposé côté républicain de rebaptiser du nom de Trump un jour ferié, ou de mettre sa tête sur le Mont Rushmore.

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il y a 3 minutes, CortoMaltese a dit :

Je comprends où tu veux en venir mais je reste d'accord (comme souvent moi aussi) avec Sanders. Les USA furent une démocratie sous l'esclavage, dans le sens où leur société et leur système politique était une démocratie. Les esclaves (et les quelques afro-américains libres) n'étaient tout simplement pas partie prenante de cette société politique. La fin de l'esclavage puis, 100 ans plus tard, le combat pour les droits civiques, ont fini par obtenir l'intégration des afro-américains au sein de cette communauté politique. Bref, c'était une sorte de "démocratie non universelle" dont seule une partie des êtres humains présents physiquement sur le sol américain avaient le droit de faire partie. C'est évidemment profondément choquant, mais du point de vue de l'ancienneté des institutions qui conditionnent le fonctionnement de la démocratie américaine, il est évident qu'elles précèdent l'abolition de l'esclavage. Tout comme la France était une démocratie même quand la majeure partie des êtres humains vivant sur un territoire contrôlé par la France étaient réduits au statut peu enviable (bien que largement préférable à l'esclavage) de "sujet coloniaux". 

Ou quand la France était une démocratie censitaire, ou que les femmes n'avaient pas le droit de vote...

Une démocratie n'est pas forcément universelle ni libérale.

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Oui enfin cela n'en fait toujours pas la démocratie la plus ancienne à ce tarif là. Mais c'est vrai que pour les Américains l'histoire ne débute qu'en 1776. 

Déjà qu'ils ont du mal avec la géographie alors l'histoire... dur dur.

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Il y a 5 heures, Wallaby a dit :

Ronald Reagan aussi a été décrié quand il a promu la détente avec Gorbatchev, et l'URSS de Gorbatchev était une dictature.

Comparer poutine à Gorbatchev?

À sa mort en aout 2022 Gorbatchev a été purement et simplement snobé, oublié par la société russe et même blâmé, sous les auspices de poutine qui lui attribuait tous les torts.

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Il y a 9 heures, gustave a dit :

Ou quand la France était une démocratie censitaire, ou que les femmes n'avaient pas le droit de vote...

Une démocratie n'est pas forcément universelle ni libérale.

Ni les militaires.

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Donc Trump va modifier les equilibres CCA/F-35. Le f-35 ne fait pas parti des programmes sauvegardé au contraire des virginia.

Ni le ngad, les constellation je pense non plus mais sans certitude. Je ne sais pas ce que le progeamme sur les fregates recouvre.

Modifié par herciv
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il y a 8 minutes, herciv a dit :

Donc Trump va modifier les equilibres CCA/F-35. Le f-35 ne fait pas parti des programmes sauvegardé au contraire des virginia.

Ni le ngad, les constellation je pense non plus mais sans certitude. Je ne sais pas ce que le progeamme sur les fregates recouvre.

… Mais comment notre ami Texan dit le « bavard d’Albuquerque » va maintenir son équilibre sur la corde de ses accointances si le programme JSF est sabré ?

Pas de panique pour ses followers … C’est un avocat, il retombera toujours sur ses pattes … Sacré matou :happy: 

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il y a 7 minutes, Lordtemplar a dit :

L'article du Washington Post a propos des coupes budgetaires de 8% annuellement sur 5 ans selon un "memo" de P. Hegseth n'est pas exacte.

Selon un dernier communique mercerdi dernier de Deputy Secretary of Defense Robert Salesses, il s'agirait d'une reallocation de 8% (ie $50 milliards) de programmes "woke et DEI" vers des projets en ligne avec les 17 nouvelles priorites de Potus

"The Washington Post reported the potential 8% cut as an annual reduction for five years. But in a memo sent out Wednesday evening, acting Deputy Secretary of Defense Robert Salesses said the goal was to find “offsets” in the fiscal 2026 budget plan, with a goal of finding at least $50 billion to transfer to “programs aligned with President Trump’s priorities.”    .....

..... “Through our budgets, the Department of Defense will once again resource warfighting and cease unnecessary spending that set our military back under the previous administration, including through so-called ‘climate change’ and other woke programs, as well as excessive bureaucracy,” Salesses wrote. “The time for preparation is over. We must act swiftly to deter current and impending threats and make the best use of taxpayers’ dollars in doing so.”

https://www.defensenews.com/news/pentagon-congress/2025/02/19/white-house-eyes-8-cut-to-defense-budget-to-boost-trump-priorities/

 

Est-ce un camouflage pour éviter une levée de bouclier ? De toute façon sans les détails difficile d'en savoir plus.

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