Stinger Posté(e) hier à 10:26 Share Posté(e) hier à 10:26 (modifié) Elon me fait vraiment flipper. A partir de 36 secondes il s'exprime comme un enfant de 4 ans qui a reçu son jouet de Noël. Ce mandat va être long. Modifié hier à 10:26 par Stinger Erreur ponctuation 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Patrick Posté(e) hier à 13:21 C’est un message populaire. Share Posté(e) hier à 13:21 Il y a 17 heures, MonPetiChoux a dit : J'ai regardé les 17 programmes qui ne seront pas toucher, et il me semble se concentrer sur le coeur de l'armée et de son rôle. Les programmes DEI ou en rapport au changement climatique passe à la trappe, un dégraisser une partie de l'administratif semble aussi en cours. Voici les 17 programmes qui sont sanctuarisé: 1. Activités à la frontière sud-ouest (Southwest Border Activities) : Initiatives visant à renforcer la sécurité et les opérations le long de la frontière sud-ouest des États-Unis. 2. Lutte contre les organisations criminelles transnationales dans l'hémisphère occidental (Combating Transnational Criminal Organizations in the Western Hemisphere) : Efforts pour contrer les activités des organisations criminelles opérant au-delà des frontières nationales dans l'hémisphère occidental. 3. Audit : Processus d'évaluation et de vérification des finances et des opérations pour assurer la conformité et l'efficacité au sein du Département de la Défense. 4. Modernisation nucléaire, y compris NC3 (Nuclear Modernization, including NC3) : Mises à jour des capacités nucléaires des États-Unis, y compris les systèmes de commandement, de contrôle et de communication nucléaires (NC3). 5. Avions de combat collaboratifs (Collaborative Combat Aircraft - CCAs) : Développement d'aéronefs conçus pour opérer en collaboration avec d'autres plateformes et systèmes de combat. 6. Sous-marins de classe Virginia (Virginia-class Submarines) : Programme de construction et de maintenance de sous-marins nucléaires d'attaque de classe Virginia. 7. Navires de surface exécutables (Executable Surface Ships) : Programmes visant à garantir la construction et le déploiement efficaces de navires de surface opérationnels. 8. Défense antimissile du territoire national (Homeland Missile Defense) : Systèmes et initiatives destinés à protéger le territoire américain contre les menaces de missiles. 9. Systèmes d'attaque à sens unique/autonomes (One-Way Attack/Autonomous Systems) : Développement de systèmes d'armes autonomes conçus pour des missions d'attaque sans retour. 10. Initiatives de lutte contre les petits systèmes aériens sans pilote (Counter-small UAS Initiatives) : Efforts pour détecter et neutraliser les menaces posées par de petits drones hostiles. 11. Cybersécurité critique prioritaire (Priority Critical Cybersecurity) : Mesures visant à renforcer la protection des infrastructures et des systèmes critiques contre les cyberattaques. 12. Munitions : Approvisionnement et gestion des stocks de munitions nécessaires aux opérations militaires. 13. Préparation opérationnelle de base, y compris le financement complet du DRT (Core Readiness, including full DRT funding) : Assurer que les forces armées sont prêtes au déploiement rapide, avec un financement complet pour le "Deployment Readiness Training" (DRT). 14. Bases industrielles organiques de munitions et d'énergétiques (Munitions and Energetics Organic Industrial Bases) : Infrastructure dédiée à la production et à la maintenance des munitions et des matériaux explosifs. 15. Construction militaire exécutable pour l'INDOPACOM (Executable INDOPACOM MILCON) : Projets de construction militaire destinés à soutenir les opérations du Commandement Indo-Pacifique des États-Unis. 16. Financement des agences de soutien aux commandements combattants pour l'INDOPACOM, le NORTHCOM, le SPACECOM, le STRATCOM, le CYBERCOM et le TRANSCOM (Combatant Command support agency funding for INDOPACOM, NORTHCOM, SPACECOM, STRATCOM, CYBERCOM, and TRANSCOM) : Ressources allouées aux agences soutenant ces commandements pour assurer leur efficacité opérationnelle. 17. Soins médicaux dans le secteur privé (Medical Private-Sector Care) : Programmes permettant aux militaires d'accéder à des soins de santé fournis par des prestataires privés. Heu bonjour, vous êtes? Un passage par la case présentation merci. https://forum.air-defense.net/30-presentez-vous/ Il y a 16 heures, Brian a dit : Je doute qu'on le compense vraiment, mais oui à terme cette utopie de dissuasion partagée franco-européenne peut revenir sur la table. Et en quel honneur irait-on PARTAGER un truc qui ne se partage pas et nous ferait rompre nos engagements dans le TNP??? Sujet déjà débattu et rebattu. La seule chose qu'on pourrait envisager c'est un prépositionnement de forces nucléaires FRANÇAISES ailleurs en Europe pour diluer la capacité de riposte face à la russie. poutine a déjà commencé à placer ses armes nucléaires en Biélorussie, mais il n'a pas distribué ses armes à qui en voudrait non plus. Dans tous les cas si on devait aller vers la même architecture qu'aujourd'hui les Français resteraient maîtres de la bombe, quel que soit le montant payé par les autres Européens. Ils ont acquiescé à la puissance US pendant des décennies et accepté leur rôle de supplétifs sans broncher et maintenant ils voudraient venir préempter NOTRE propre matos? Ça va pas la tête? C'est quoi ce comportement de squatteur? On est où là? Dans une ZAD entre punks à chiens qui veulent "partager les richesses", et par "les", comprendre "celles des autres"? Si ça doit arriver il n'y aura pas d'Européanisation de la puissance nucléaire Française, il y aura une Françisation de la défense Européenne avec une composante nucléaire FRANÇAISE dedans prépositionnée ailleurs à la discrétion de la France. Les alliés apporteront leur concours en offrant un écrin militaire à cette force nucléaire, avec des bases, des escortes, des gardes, mais jamais ils n'auront leur mot à dire quant à son utilisation, au-delà de ce qui sera prévu par un traité en bonne et due forme spécifiant les cas où elle serait employée. Et ceci simplement parce qu'en cas d'emploi et de riposte russe dans la foulée, c'est SUR LA FRANCE que les russes riposteraient. Pas sur un autre pays Européen attaqué par la russie et frappé logiquement en retour par les forces nucléaires Françaises prépositionnées là-bas ou ailleurs en Europe! Donc si dans ces conditions les Européistes très Européens et qui étaient encore anti-Français il y a 5 minutes trouvent matière à se plaindre, et bien qu'ils se démerdent! Il y a 4 heures, Lordtemplar a dit : L'article du Washington Post a propos des coupes budgetaires de 8% annuellement sur 5 ans selon un "memo" de P. Hegseth n'est pas exacte. Selon un dernier communique mercerdi dernier de Deputy Secretary of Defense Robert Salesses, il s'agirait d'une reallocation de 8% (ie $50 milliards) de programmes "woke et DEI" vers des projets en ligne avec les 17 nouvelles priorites de Potus "The Washington Post reported the potential 8% cut as an annual reduction for five years. But in a memo sent out Wednesday evening, acting Deputy Secretary of Defense Robert Salesses said the goal was to find “offsets” in the fiscal 2026 budget plan, with a goal of finding at least $50 billion to transfer to “programs aligned with President Trump’s priorities.” ..... ..... “Through our budgets, the Department of Defense will once again resource warfighting and cease unnecessary spending that set our military back under the previous administration, including through so-called ‘climate change’ and other woke programs, as well as excessive bureaucracy,” Salesses wrote. “The time for preparation is over. We must act swiftly to deter current and impending threats and make the best use of taxpayers’ dollars in doing so.” https://www.defensenews.com/news/pentagon-congress/2025/02/19/white-house-eyes-8-cut-to-defense-budget-to-boost-trump-priorities/ Le wokisme a fait beaucoup de dégâts dans l'armée US, bien plus que 50 milliards en termes de capacités de combat par rapport à 2001, mais il n'a certainement pas coûté une telle somme d'argent à être mis en place et ne pompe pas un tel budget. 5 milliards peut-être, mais 50? Hegseth se raconte de belles histoires j'en ai peur. La réalité est que l'aspect RH de l'armée Américaine lui donne en effet du fait de la suradministration des airs de programme social au vu du nombre de non-combattants qui en sont partie prenante. Il y a 17 heures, Dedieu a dit : C'est une possibilité, mais cette fois ci, Trump a pris un vice président moins propice à cela. Sinon, quand je vous lis, sur ce sujet ou celui de la guerre en Ukraine, j'ai l'impression que d'aucuns sont en "roue libre". J'aurais cru que le changement de "paradigme" aurait mis de l'eau dans le vin de certains, mais que nenni, c'est même dans l'ensemble pire qu'avant, comme s'il était impossible de faire amende honorable, et sortir d'aveuglements qui nuisent à toute analyse rationnelle de la situation. Si Trump ne meurt pas rapidement, comme la Russie, la Chine et beaucoup d'autres accepteront probablement ce nouveau "narratif", quelques forumeurs français se la jouant Astérix n'y changeront rien, profitez en pour vous laver le cerveau, vae victis. C'est toi l'agriculteur donc j'ai besoin de ton "analyse rationnelle": est-ce que la pollution aux métaux lourds des terres les plus fertiles du monde par les russes qui ont détruit toute l'Ukraine de l'est ne te rend pas un peu, légèrement, gêné aux entournures, alors que tu es censément attaché à la notion de terroir? Parce que rien que pour ça en toute logique tu devrais être dégoûté de tes propres accointances idéologiques. Il y a 2 heures, Stinger a dit : Elon me fait vraiment flipper. A partir de 36 secondes il s'exprime comme un enfant de 4 ans qui a reçu son jouet de Noël. Ce mandat va être long. MAQA Make Autists Quiet Again 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) hier à 15:15 Share Posté(e) hier à 15:15 https://www.huffingtonpost.fr/international/video/steve-bannon-ouvre-la-grande-conference-des-extremes-droites-mondiales-avec-un-salut-nazi_246514.html On en est là.... 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MIC_A Posté(e) hier à 15:15 Share Posté(e) hier à 15:15 @Patrick, tu méritais mieux qu'un smiley rigolard mais je peux pas en mettre d'autres en sus ! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) hier à 16:32 Share Posté(e) hier à 16:32 (modifié) Pentagon proposes $50 billion in annual cuts and identifies priorities to expand Le Pentagone propose des réductions annuelles de 50 milliards de dollars et identifie des priorités à développer Le Pentagone a proposé de réduire de 8 % son budget pour chacune des cinq prochaines années - ce qui représente environ 50 milliards de dollars chaque année - mais a donné la priorité à 17 domaines allant des drones et des sous-marins à l'assistance militaire pour la frontière sud, ainsi qu'à l'augmentation du financement du commandement américain qui se concentre sur la Chine. La proposition intervient alors que les membres du Département de l'efficacité gouvernementale, ou DOGE, une entité chargée par le président Trump de réduire la taille du gouvernement fédéral, se sont présentés au Pentagone vendredi dernier pour identifier les programmes et le personnel qui pourraient être supprimés. « La mission confiée par le président Trump au département de la défense est claire : parvenir à la paix par la force », a écrit Robert G. Salesses, haut responsable du Pentagone, dans un communiqué de presse. « Nous y parviendrons en proposant des budgets qui ravivent l'éthique guerrière, reconstruisent notre armée et rétablissent la dissuasion. » M. Salesses a indiqué qu'en plus d'utiliser l'armée pour sécuriser la frontière méridionale, le Pentagone poursuivra la construction d'un Dôme de fer pour les États-Unis, faisant écho à un système de défense antimissile actuellement opérationnel en Israël. Il a ajouté que le ministère établirait une liste de réductions budgétaires « qui pourraient être utilisées pour financer ces priorités ». M. Salesses a ajouté que le ministère de la défense allait « mettre fin aux programmes gouvernementaux radicaux et inutiles de diversité, d'équité et d'inclusion (DEI) ainsi qu'aux préférences ». Ces réductions concerneront probablement des milliers de membres du personnel du Pentagone et des agences de défense, ainsi que certains programmes d'armement établis. Les fonctionnaires de la défense ont déjà reçu l'ordre de dresser une liste d'employés en période d'essai. « Ils nous demandent d'identifier tous ceux qui sont en période d'essai », a déclaré à NPR un fonctionnaire du Pentagone qui n'a pas été autorisé à s'exprimer publiquement. « Personne n'a dit qu'ils allaient être licenciés. Un autre fonctionnaire de la défense, qui n'a pas non plus été autorisé à s'exprimer publiquement, a déclaré que les licenciements de stagiaires pourraient avoir lieu dès jeudi, et que le chiffre pourrait inclure 55 000 personnes au sein du ministère de la défense. Le fonctionnaire a ajouté qu'il n'est pas clair combien, s'il y en a, seront exemptés pour des raisons de sécurité nationale, et qu'il n'est pas encore clair comment les personnes seront contactées, avec la possibilité que la nouvelle du licenciement soit communiquée par l'intermédiaire de l'Office of Personnel Management (OPM). Le Government Accountability Office a constaté qu'il y a plus de 700 000 employés civils à temps plein au Pentagone. Le ministère de la défense reste le plus grand employeur des États-Unis, avec une main-d'œuvre militaire et civile combinée de plus de 2,8 millions de personnes. Son budget annuel dépasse largement les 800 milliards de dollars. Un autre responsable militaire qui a parlé à NPR a déclaré qu'il se rendait à un exercice militaire en Afrique, mais qu'on lui a dit de retourner à son bureau pour dresser une liste d'employés en période d'essai. Il n'a pas été autorisé à s'exprimer publiquement. Le secrétaire à la défense, Pete Hegseth, s'est prononcé en faveur d'une réduction des effectifs du ministère, affirmant sur X au début du mois que le Pentagone devait « réduire le gras (le QG) et développer le muscle (les combattants) ». Selon des sources du Capitole et du Pentagone qui n'ont pas été autorisées à s'exprimer publiquement, on s'attend à ce que certains généraux et amiraux de haut rang soient bientôt licenciés. La liste des priorités et des réductions possibles a troublé certains membres du Capitole, qui pourraient voir leurs propres priorités réduites à néant. Un conseiller démocrate, qui n'a pas été autorisé à s'exprimer publiquement, a déclaré à NPR que ses collègues républicains « perdaient la tête » face aux propositions de M. Hegseth. La survie des priorités dépendra de l'appui du Congrès dirigé par les républicains, qui a jusqu'à présent soutenu le plan de M. Trump. Certaines des priorités de M. Hegseth ont été poussées par d'autres. La guerre en Ukraine, par exemple, a mis en évidence l'importance des drones dans la guerre, tant pour la Russie que pour les forces ukrainiennes. « Si vous étudiez l'Ukraine, vous avez un aperçu de l'avenir », a récemment déclaré à NPR l'ancien président de l'état-major interarmées, le général Mark Milley. « Une grande partie de l'invasion de Koursk qui a eu lieu récemment était due à leur capacité à utiliser des drones à courte et moyenne portée pour soutenir les opérations combinées sur le terrain. Pour les analystes de la défense, il est logique de mettre l'accent sur les sous-marins, car ils sont furtifs, contrairement aux navires de surface. Les responsables militaires affirment que les États-Unis ont une génération d'avance sur la Chine en matière de technologie sous-marine. « Les sous-marins d'attaque font partie de nos armes les plus efficaces et sont les joyaux de la couronne de la puissance militaire américaine », a déclaré l'année dernière le sénateur Roger Wicker du Mississippi, président de la commission des forces armées. « La guerre sous-marine est l'un des rares domaines dans lesquels nous conservons un avantage concurrentiel sur l'armée chinoise. La question de savoir dans quelle mesure le plan de l'administration deviendra réalité reste ouverte. Dov Zakheim, qui a été contrôleur du Pentagone sous l'ancien président George W. Bush, a déclaré qu'une réduction de 50 milliards de dollars du budget du Pentagone « est une cible énorme ». Il a ajouté que « les grands payeurs de factures » seraient probablement les employés civils des agences de défense. Et comme les priorités sont axées sur l'armée de l'air et la marine, les coupes budgétaires pourraient entraîner une réduction de l'armée de terre. En outre, certaines propositions pourraient entraîner des « coûts potentiellement énormes ». Le prix estimé d'un dôme de fer américain ? M. Zakheim estime qu'il pourrait atteindre 100 milliards de dollars par an. Les 17 priorités du Pentagone, telles qu'elles ont été communiquées à la NPR par un fonctionnaire américain non autorisé à s'exprimer publiquement, sont les suivantes : 1. Activités à la frontière sud-ouest 2. La lutte contre les organisations criminelles transnationales dans l'hémisphère occidental 3. Audit 4. Modernisation nucléaire (y compris NC3) 5. Avions de combat collaboratifs (CCA) 6. Sous-marins de classe Virginia 7. Navires de surface exécutables 8. Défense antimissile intérieure 9. Attaque unidirectionnelle/systèmes autonomes 10. Initiatives de lutte contre les petits UAS (systèmes aériens sans pilote) 11. Cybersécurité critique prioritaire 12. Munitions 13. Préparation de base, y compris le financement intégral de la formation (DRT) 14. Bases industrielles organiques de munitions et d'énergie 15. Exécutables INDOPACOM (Commandement Inde-Pacifique) MILCON (construction militaire) 16. Financement des agences de soutien des commandements de combat pour INDOPACOM, NORTHCOM (Northern Command), SPACECOM (Space Command), STRATCOM (Strategic Command), CYBERCOM (Cyber Command) et TRANSCOM (Transportation Command). 17. Soins médicaux dans le secteur privé Traduit avec DeepL.com (version gratuite) Modifié hier à 16:35 par Picdelamirand-oil 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) hier à 16:33 Share Posté(e) hier à 16:33 (modifié) Il y a 3 heures, Patrick a dit : Le wokisme a fait beaucoup de dégâts dans l'armée US, bien plus que 50 milliards en termes de capacités de combat par rapport à 2001 En recrutant des noirs et des femmes ? Tu deviens un vrai petit Trump ... Modifié hier à 16:33 par clem200 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Brian Posté(e) hier à 17:11 Share Posté(e) hier à 17:11 (modifié) Il y a 3 heures, Patrick a dit : Et en quel honneur irait-on PARTAGER un truc qui ne se partage pas et nous ferait rompre nos engagements dans le TNP??? Le wokisme a fait beaucoup de dégâts dans l'armée US. Sur le premier point, je ne dis pas que je suis pour, je dis que le sujet va revenir sur la table. Sur le deuxième, je doute que le "wokisme" pose le moindre problème. L'armée américaine est faite de professionnels, ils doivent recruter chaque année. Ouvrir le vivier de recrutements à un spectre plus large de la société civile, ce n'est pas un problème. Les bérets verts resteront des gars costauds qui ont peur de rien, vous inquietez pas. Modifié hier à 17:13 par Brian 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Patrick Posté(e) hier à 18:07 C’est un message populaire. Share Posté(e) hier à 18:07 il y a 48 minutes, Brian a dit : Sur le premier point, je ne dis pas que je suis pour, je dis que le sujet va revenir sur la table. Sur le deuxième, je doute que le "wokisme" pose le moindre problème. L'armée américaine est faite de professionnels, ils doivent recruter chaque année. Ouvrir le vivier de recrutements à un spectre plus large de la société civile, ce n'est pas un problème. Les bérets verts resteront des gars costauds qui ont peur de rien, vous inquietez pas. Oui et bien justement de tous les témoignages que j'ai pu lire et des échanges que j'ai pu avoir avec certaines personnes concernées au premier chef, les gens qui pensent cela sont complètement, et je dis bien complètement à côté de la plaque. Réellement. Ce n'est absolument pas ce qu'il s'est passé, au contraire. Ça a été un repoussoir qui a fait partir de nombreux bons éléments par dégoût et dépit. Se manger du SHARP toute la sainte journée au lieu de faire de l'entraînement au combat, observer un favoritisme abject, du clientélisme identitaire, et généralement avoir le sentiment d'être dans un univers dystopique, a provoqué une crise des vocations hallucinante quels que soient les MOS concernés... Et d'ailleurs si les campagnes de recrutement ont comme par hasard il y a déjà environs un an, donc bien avant trump, laissé tomber la mise en avant de cette zeitgeist culturelle pour revenir vers des choses plus "carrées", c'est bien parce que concrètement les effets sur le recrutement ont été catastrophiques, et je pèse mes mots. 2 2 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
nemo Posté(e) hier à 18:38 Share Posté(e) hier à 18:38 il y a 29 minutes, Patrick a dit : Oui et bien justement de tous les témoignages que j'ai pu lire et des échanges que j'ai pu avoir avec certaines personnes concernées au premier chef, les gens qui pensent cela sont complètement, et je dis bien complètement à côté de la plaque. Réellement. Ce n'est absolument pas ce qu'il s'est passé, au contraire. Ça a été un repoussoir qui a fait partir de nombreux bons éléments par dégoût et dépit. Se manger du SHARP toute la sainte journée au lieu de faire de l'entraînement au combat, observer un favoritisme abject, du clientélisme identitaire, et généralement avoir le sentiment d'être dans un univers dystopique, a provoqué une crise des vocations hallucinante quels que soient les MOS concernés... Et d'ailleurs si les campagnes de recrutement ont comme par hasard il y a déjà environs un an, donc bien avant trump, laissé tomber la mise en avant de cette zeitgeist culturelle pour revenir vers des choses plus "carrées", c'est bien parce que concrètement les effets sur le recrutement ont été catastrophiques, et je pèse mes mots. Et à part les rumeurs tu as quelque chose pour étayer ça? Parce que le "zeitgeist" anti-woke suffit justement à expliquer le revirement dont tu parles. Mais peut être as tu des éléments montrant que le recrutement va mieux depuis? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) hier à 18:49 Share Posté(e) hier à 18:49 il y a 39 minutes, Patrick a dit : Oui et bien justement de tous les témoignages que j'ai pu lire et des échanges que j'ai pu avoir avec certaines personnes concernées au premier chef, les gens qui pensent cela sont complètement, et je dis bien complètement à côté de la plaque. Réellement. Ce n'est absolument pas ce qu'il s'est passé, au contraire. Ça a été un repoussoir qui a fait partir de nombreux bons éléments par dégoût et dépit. Se manger du SHARP toute la sainte journée au lieu de faire de l'entraînement au combat, observer un favoritisme abject, du clientélisme identitaire, et généralement avoir le sentiment d'être dans un univers dystopique, a provoqué une crise des vocations hallucinante quels que soient les MOS concernés... Et d'ailleurs si les campagnes de recrutement ont comme par hasard il y a déjà environs un an, donc bien avant trump, laissé tomber la mise en avant de cette zeitgeist culturelle pour revenir vers des choses plus "carrées", c'est bien parce que concrètement les effets sur le recrutement ont été catastrophiques, et je pèse mes mots. M.Patrick, l'homme qui sait tout et qui, peut importe le sujet, possède des sources très bien placées et anonymes. C'est marrant la vie quand même hein Je ne comprends pas que tu ne sois pas le patron de la DGSE franchement Allez, bois ta tisane triquotidienne et laisse les wokes de cotés 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) hier à 19:18 Share Posté(e) hier à 19:18 il y a une heure, Patrick a dit : Oui et bien justement de tous les témoignages que j'ai pu lire et des échanges que j'ai pu avoir avec certaines personnes concernées au premier chef, les gens qui pensent cela sont complètement, et je dis bien complètement à côté de la plaque. Réellement. Ce n'est absolument pas ce qu'il s'est passé, au contraire. Ça a été un repoussoir qui a fait partir de nombreux bons éléments par dégoût et dépit. Se manger du SHARP toute la sainte journée au lieu de faire de l'entraînement au combat, observer un favoritisme abject, du clientélisme identitaire, et généralement avoir le sentiment d'être dans un univers dystopique, a provoqué une crise des vocations hallucinante quels que soient les MOS concernés... Et d'ailleurs si les campagnes de recrutement ont comme par hasard il y a déjà environs un an, donc bien avant trump, laissé tomber la mise en avant de cette zeitgeist culturelle pour revenir vers des choses plus "carrées", c'est bien parce que concrètement les effets sur le recrutement ont été catastrophiques, et je pèse mes mots. Ouais, la corruption wokiste ! D'ailleurs, quel groupe a été invité par Trump à son investiture ? LES VILLAGE PEOPLE. Corruption des mœurs ! Décrépitude sociale ! --- Et puis, c'est pratique de taper sur les trans, les homos et les femmes. Ça permet d'éviter de parler des vrais problèmes, notamment cette légère tendance aux violences sexuelles au sein des forces armées américaines, qui pousse pas mal de soldat(e)s à partir. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Wallaby Posté(e) hier à 19:39 C’est un message populaire. Share Posté(e) hier à 19:39 https://fair.org/home/whats-in-a-gulfs-name-a-test-for-democracy/ (18 février 2025) Si vous avez moins de 30 ans, vous ne vous souvenez probablement pas qu'il fut un temps, aux États-Unis, où l'on nous ordonnait pratiquement de haïr la France. Après que le plus vieil allié européen du pays a exprimé son opposition à l'invasion de l'Irak par les États-Unis (Guardian, 1/22/03 ; Brookings, 24/02/03), des experts de droite ont qualifié les Français de « singes de la capitulation », exhortant les Américains à boycotter les produits français (New York Post, 15/03/03 ; Guardian, 31/03/03). Dans le même temps, les médias favorables à la guerre ont exhorté à supprimer le mot « français » de notre vocabulaire, en commençant par rebaptiser les frites « frites de la liberté » (New York Times, 8/4/06 ; LA Times, 2/11/19 ; Washington Post, 2/11/19). Nous avons même eu droit à un nouveau petit-déjeuner : le freedom toast (CNN, 3/12/03). Aucune police linguistique fédérale n'a été déployée dans les communautés locales, bien que le changement de nom ait atteint le menu de la cafétéria de la Chambre des représentants (Daily News, 2/12/19). Lorsque le président Donald Trump a rebaptisé le golfe du Mexique « golfe d'Amérique » par décret (USA Today, 2/10/25), l'époque des « frites de la liberté » est revenue à la mémoire de beaucoup d'entre nous. Une fois de plus, les malheurs du pays étaient imputés à un autre pays ; tout, de la drogue à l'anxiété économique, pouvait être imputé à notre voisin du sud, désormais dirigé par une femme, gauchiste, climatologue juive (FAIR.org, 6/4/24). Tout comme les néoconservateurs, dans l'après-11 septembre, ont fait jouer leurs muscles impérialistes contre la « vieille Europe » (RFE/RL, 1/24/03), rebaptiser le Golfe est une autre façon pour cette administration républicaine revancharde et expansionniste d'affirmer que la doctrine Monroe est de retour en force, et que le reste de l'hémisphère ferait mieux de s'y habituer. Tout comme les « freedom fries », l'ensemble du spectacle « Gulf of America » ressemble à la folie d'un dictateur qui a perdu la tête, un peu comme le président latino-américain fictif dans le film Bananas de Woody Allen qui déclare que la langue officielle de son pays sera désormais le suédois. Malheureusement, ce n'est pas drôle. Google Maps l'a rebaptisé « Golfe d'Amérique » pour ceux qui lisent depuis les États-Unis, et Google « semble avoir supprimé certaines critiques négatives laissées dans le sillage de son changement de nom » (BBC, 13/02/25). Apple a apporté la même modification à son service de cartographie, mais cette initiative n'a pas réussi à gagner la confiance de la Maison Blanche, qui continue à se méfier de l'entreprise (New York Post, 13/02/25). Par ailleurs, les compagnies pétrolières apprécient la démarche de Trump (Wall Street Journal, 2/15/25). La capitulation d'Apple et de Google confirme la crainte largement répandue que ce ne soit pas seulement Elon Musk qui fasse le sale boulot de Trump pour défaire la démocratie, mais que la communauté Big Tech en général se soit alignée pour rester dans les bonnes grâces du pouvoir exécutif. Tim Cook, PDG d'Apple, et Google ont chacun fait don d'un million de dollars pour l'inauguration présidentielle de cette année (Axios, 1/3/25 ; CNBC, 1/9/25). En général, dans le journalisme, les noms de lieux et d'institutions ont une connotation politique particulière, et il peut être difficile de faire un choix de style pour un média. Cette ville d'Irlande du Nord s'appelle-t-elle Derry, selon les républicains irlandais, ou Londonderry, selon les loyalistes pro-britanniques (Irish Post, 7/24/15) ? Le choix d'orthographier la capitale de l'Ukraine Kyiv ou Kiev peut indiquer au monde quel camp de la guerre vous êtes le plus favorable (USA Today, 4/13/22). Pendant l'occupation indonésienne du Timor oriental, il était courant pour les médias américains d'indiquer la date des reportages en provenance de la capitale du Timor oriental comme « Dili, Indonésie » (Extra !, 11-12/93). Cela reflétait l'acceptation par Washington de la conquête indonésienne ; vous n'auriez pas trouvé des reportages américains pendant l'occupation du Koweït par Saddam Hussein avec la mention « Koweït City, Iraq ». Ces choix peuvent être difficiles pour un média qui veut être à la fois précis et impartial, mais le choix d'éviter de se laisser aller à l'idiotie de Trump est simple. Il n'y a jamais eu de mouvement « Gulf of America », ni de croyance générale aux États-Unis que le golfe du Mexique était en quelque sorte mal nommé, jusqu'à ce que cet ordre sorte de nulle part. Ce que l'administration Trump a fait, c'est créer une fausse controverse afin d'intimider les médias et le public pour qu'ils acceptent ce qu'elle dit, même si c'est étrange, donnant ainsi à l'exécutif la possibilité de censurer ceux qui ne s'y conforment pas. La seule façon pour une société démocratique de ne pas tomber dans l'autoritarisme est que les gens refusent de se conformer, même pour les petites choses. Google et Apple ont déjà échoué à ce test. D'autres membres des médias d'entreprise ont également échoué en ne prenant pas la défense d'Associated Press. David Brooks, chroniqueur conservateur au New York Times, est apparu sur Fox News (16/02/25) pour sympathiser avec la Maison Blanche, rejetant l'affaire comme l'attitude antagoniste habituelle de la Maison Blanche avec la presse. The Atlantic (2/15/25), tout en admettant que « refuser l'accès à un média en raison de son choix de mots viole le premier amendement », a déclaré qu'il s'agissait d'un « combat que l'AP n'aurait probablement jamais dû engager en premier lieu », indiquant que les médias devraient simplement abandonner face aux demandes insensées d'un autocrate. En fait, le centriste Atlantic semble être en phase avec la tribune du conservatisme américain, la National Review (14/02/25), qui a admis que Trump était « stupide et digne de Big Brother “, mais que ” les journalistes de l'AP souffrent d'une odieuse mentalité d'ayant-droit ». 3 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. PGM Posté(e) hier à 20:27 C’est un message populaire. Share Posté(e) hier à 20:27 (modifié) https://www.huffingtonpost.fr/international/article/trump-lache-par-le-new-york-post-apres-ses-propos-sur-poutine-et-sur-l-ukraine_246523.html Trump lâché par le « New York Post » après ses propos sur Poutine et sur l’Ukraine Le magnat de la presse conservatrice Ruppert Murdoch n’a pas toléré que le président américain attribue à Kiev la responsabilité de la guerre. Le « New York Post » et plusieurs médias appartenant à Ruppert Murdoch se sont retournés contre Donald Trump et critiquent ses propos sur Vladimir Poutine et sur l’Ukraine. INTERNATIONAL - Qui a dit que la presse pro-Trump était prévisible ? Sur sa dernière couverture ce vendredi 21 février, le très conservateur New York Post interpelle le président américain sur son rapprochement avec Vladimir Poutine, et il n’y va pas de main morte. Et pour cause, le quotidien possédé par la famille Murdoch – également propriétaire de Fox News – soutient depuis plusieurs mois les décisions de Donald Trump, qu’il avait même présenté comme « le choix évident » pour la présidentielle dans un édito partisan publié juste avant l’élection présidentielle américaine. Mais les propos du locataire de la Maison Blanche sur la guerre en Ukraine, dont il attribue la responsabilité à Kiev et à l’administration Biden, n’ont visiblement pas plu aux éditorialistes du New York Post. Sur sa dernière Une, adressée explicitement au « président Trump » et que vous pouvez voir ci-dessous, la phrase « Ceci est un dictateur » s’affiche en majuscules à côté d’une photo de Vladimir Poutine. L’intérieur de la publication, pas plus favorable au président, égrène « 10 vérités » que ce dernier ignore « aux risques et périls » des États-Unis. « Vladimir Poutine a commencé la guerre, contrairement à ce que le président Trump a dit il y a quelques jours », peut-on lire. Si l’article affirme que le chef d’État américain « a absolument raison de vouloir arrêter le bain de sang en Ukraine », il y a des « vérités à l’aune desquelles tout accord [de paix] sera jugé » et « les ignorer aura d’énormes conséquences pour les décennies à venir ». Une offensive anti-Trump dans tous les médias Murdoch Ce retournement de veste est d’autant plus impressionnant qu’il concerne apparemment les médias détenus par Ruppert Murdoch dans le monde entier, pointe le tabloïd britannique The i paper. Aux États-Unis, le New York Post et le Wall Street Journal ont tous les deux étrillé les « remboursements » excessifs que Donald Trump demande à Kiev en échange de l’aide américaine. Un des articles accuse même le président d’avoir été « manipulé » par le Kremlin. Côté britannique, The Sun a publié un article assurant que le locataire de la Maison Blanche est « prêt à trahir l’Ukraine et l’Europe pour apaiser Poutine ». De son côté, The Times a décrit les déclarations de Donald Trump sur la guerre comme « épouvantables » et l’accuse d’être « obsédé » par Volodymyr Zelensky. Dans son article, The i paper explique cet étonnant changement de ligne éditoriale par l’exaspération de Ruppert Murdoch face aux outrances du président américain. « Quand Trump s’est rangé du côté de Poutine plutôt que de celui de l’Ukraine, il a franchi une ligne rouge », a confié une source anonyme au média britannique, expliquant que Ruppert Murdoch en fait une affaire personnelle. Le magnat des médias « croit en la cause » ukrainienne et a toujours fermement défendu l’aide américaine à Kiev. « Le revirement de Murdoch est cohérent avec la ligne diplomatique qu’il défend depuis des décennies », a déclaré sur BlueSky l’historien David Colon, spécialiste de la communication politique, selon lequel Murdoch « méprise Trump depuis longtemps » et ne l’avait soutenu que « sous la pression de Musk ». « Il n’est reste pas moins étonnant de le voir entamer à 93 ans une carrière de résistant et de défenseur de la vérité », a-t-il poursuivi, rappelant que « cette nouvelle ligne éditoriale » sur l’Ukraine ne s’applique pour le moment pas à sa chaîne Fox News, véritable référence pour la galaxie trumpiste Modifié hier à 20:28 par PGM 2 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) hier à 20:29 Share Posté(e) hier à 20:29 Fin de l'effet Trump en bourse : Via la Tribune Marchés : le « Trump trade » s’essouffle plus rapidement que prévu L’euphorie à Wall Street est retombée et les investisseurs ne semblent plus très sensibles aux multiples déclarations du président américain, y compris sur les droits de douane. L'indice S&P 500 termine la semaine dans le rouge un mois après l'investiture de Donald Trump. CARLO ALLEGRI Un mois après l'investiture de Donald Trump, le fameux « Trump trade » serait-il déjà en train de s'essouffler sur les marchés américains ? Certes, l'indice S&P 500 a atteint un nouveau record mercredi, mais la performance apparaît bien terne au regard des indices européens, chinois ou même mexicain ! Le bitcoin a bien du mal à retrouver ses sommets au-dessus des 100 000 dollars et même le dollar donne des signes de fatigue. Quant à Tesla, la marque automobile symbole de la puissance d'Elon Musk ne cesse de perdre du terrain en Bourse, avec un recul de 15 % en un mois, après l'euphorie de la victoire du candidat républicain en novembre dernier. Sur un mois, le S&P 500 perd 0,4 % alors que l'indice Stoxx 600 gagne plus de 4 % et que l'indice chinois Hang Seng de Hong Kong gagne plus de 17 % sur la période, dopé par les valeurs technologiques. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) hier à 21:05 Share Posté(e) hier à 21:05 Visiblement, on a une nouvelle expression à la mode chez Trump : "les portes de l'Enfer". https://www.lefigaro.fr/flash-actu/washington-menace-les-cartels-d-ouvrir-les-portes-de-l-enfer-20250221 Pour ce que ça va changer... d'ailleurs, on a des nouvelles pour les importations de fentanyl ? Quelque chose a changé depuis les premières imprécations américaines ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Castor Posté(e) hier à 21:08 Share Posté(e) hier à 21:08 il y a 17 minutes, herciv a dit : Fin de l'effet Trump en bourse : Via la Tribune Marchés : le « Trump trade » s’essouffle plus rapidement que prévu L’euphorie à Wall Street est retombée et les investisseurs ne semblent plus très sensibles aux multiples déclarations du président américain, y compris sur les droits de douane. L'indice S&P 500 termine la semaine dans le rouge un mois après l'investiture de Donald Trump. CARLO ALLEGRI Un mois après l'investiture de Donald Trump, le fameux « Trump trade » serait-il déjà en train de s'essouffler sur les marchés américains ? Certes, l'indice S&P 500 a atteint un nouveau record mercredi, mais la performance apparaît bien terne au regard des indices européens, chinois ou même mexicain ! Le bitcoin a bien du mal à retrouver ses sommets au-dessus des 100 000 dollars et même le dollar donne des signes de fatigue. Quant à Tesla, la marque automobile symbole de la puissance d'Elon Musk ne cesse de perdre du terrain en Bourse, avec un recul de 15 % en un mois, après l'euphorie de la victoire du candidat républicain en novembre dernier. Sur un mois, le S&P 500 perd 0,4 % alors que l'indice Stoxx 600 gagne plus de 4 % et que l'indice chinois Hang Seng de Hong Kong gagne plus de 17 % sur la période, dopé par les valeurs technologiques. Ce n’est pas directement lié, mais c’est connexe. Une étude menée en 2021 a analysé les effets possibles des tweets de Trump sur les marchés financiers. https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0167923621000877 Les tweets auraient un effet baissier, avec une augmentation de la volatilité. L’étude suggère qu’un investisseur (à la hausse) dans le S&P 500 aurait intérêt à couvrir sa position à chaque fois que Trump publie un tweet ayant plus de 10 % de chance d’être lié à la guerre commerciale, et ce, idéalement pendant 75 minutes. Il pourrait ensuite reprendre sa position initiale. Cette stratégie permet d’améliorer la performance et de réduire la volatilité par rapport à une position « buy and hold » classique. L’étude avance également qu’une vente à découvert après les mêmes tweets permet, sur la période étudiée, d’obtenir un rendement annualisé de 34 %. 1 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. gustave Posté(e) il y a 23 heures C’est un message populaire. Share Posté(e) il y a 23 heures (modifié) Il y a 3 heures, nemo a dit : Et à part les rumeurs tu as quelque chose pour étayer ça? Parce que le "zeitgeist" anti-woke suffit justement à expliquer le revirement dont tu parles. Mais peut être as tu des éléments montrant que le recrutement va mieux depuis? Il y a tout de même eu un certain nombre de programmes assez "intéressants": simulation d'exercice en situation de grossesse obligatoire dans l'US Army, trois jours de formation à l'inclusivité sous toutes ses formes avant un déploiement au Moyen-Orient pour des officiers FS canadiens, obligation pour les généraux britanniques d'afficher leur soutien à l'inclusivité (par exemple en arborant un drapeau LGBT en attache de signature de courriel), imposition de quotas féminins et de minorités dans l'Army UK... On y attache l'importance que l'on souhaite, mais un certain nombre de militaires US (UK également mais ils en parlent difficilement, il y a une très forte pression sur ce sujet chez eux, un peu comme les militaires allemands et leur histoire militaire) avec lesquels j'ai évoqué le sujet (surtout d'unités combattantes il est vrai) s'en plaignaient. Je ne pense pas que les chiffres du recrutement s'en portent mieux, après cela facilitera probablement le recrutement de "guerriers" et moins celui desdites minorités et femmes. Effet variable donc selon les besoins et la réorientation de la gestion RH du recrutement. Modifié il y a 23 heures par gustave 2 4 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) il y a 23 heures Share Posté(e) il y a 23 heures il y a 56 minutes, Ciders a dit : Visiblement, on a une nouvelle expression à la mode chez Trump : "les portes de l'Enfer". https://www.lefigaro.fr/flash-actu/washington-menace-les-cartels-d-ouvrir-les-portes-de-l-enfer-20250221 Pour ce que ça va changer... d'ailleurs, on a des nouvelles pour les importations de fentanyl ? Quelque chose a changé depuis les premières imprécations américaines ? Je doute en effet que cela empêche les drogués US d'accéder à leur came (surtout quand elle ne vient pas des cartels). Pour autant il semblerait bien que les US débutent le ciblage des cartels de façon possiblement très "volontariste". On peut espérer que cela pourrait affaiblir la structuration de ces cartels et donc permettre d'affaiblir le système narco étatique d'un certain nombre de pays. A voir. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) il y a 22 heures Share Posté(e) il y a 22 heures Il y a 1 heure, PGM a dit : https://www.huffingtonpost.fr/international/article/trump-lache-par-le-new-york-post-apres-ses-propos-sur-poutine-et-sur-l-ukraine_246523.html Trump lâché par le « New York Post » après ses propos sur Poutine et sur l’Ukraine Le magnat de la presse conservatrice Ruppert Murdoch n’a pas toléré que le président américain attribue à Kiev la responsabilité de la guerre. Le « New York Post » et plusieurs médias appartenant à Ruppert Murdoch se sont retournés contre Donald Trump et critiquent ses propos sur Vladimir Poutine et sur l’Ukraine. INTERNATIONAL - Qui a dit que la presse pro-Trump était prévisible ? Sur sa dernière couverture ce vendredi 21 février, le très conservateur New York Post interpelle le président américain sur son rapprochement avec Vladimir Poutine, et il n’y va pas de main morte. Et pour cause, le quotidien possédé par la famille Murdoch – également propriétaire de Fox News – soutient depuis plusieurs mois les décisions de Donald Trump, qu’il avait même présenté comme « le choix évident » pour la présidentielle dans un édito partisan publié juste avant l’élection présidentielle américaine. Mais les propos du locataire de la Maison Blanche sur la guerre en Ukraine, dont il attribue la responsabilité à Kiev et à l’administration Biden, n’ont visiblement pas plu aux éditorialistes du New York Post. Sur sa dernière Une, adressée explicitement au « président Trump » et que vous pouvez voir ci-dessous, la phrase « Ceci est un dictateur » s’affiche en majuscules à côté d’une photo de Vladimir Poutine. L’intérieur de la publication, pas plus favorable au président, égrène « 10 vérités » que ce dernier ignore « aux risques et périls » des États-Unis. « Vladimir Poutine a commencé la guerre, contrairement à ce que le président Trump a dit il y a quelques jours », peut-on lire. Si l’article affirme que le chef d’État américain « a absolument raison de vouloir arrêter le bain de sang en Ukraine », il y a des « vérités à l’aune desquelles tout accord [de paix] sera jugé » et « les ignorer aura d’énormes conséquences pour les décennies à venir ». Une offensive anti-Trump dans tous les médias Murdoch Ce retournement de veste est d’autant plus impressionnant qu’il concerne apparemment les médias détenus par Ruppert Murdoch dans le monde entier, pointe le tabloïd britannique The i paper. Aux États-Unis, le New York Post et le Wall Street Journal ont tous les deux étrillé les « remboursements » excessifs que Donald Trump demande à Kiev en échange de l’aide américaine. Un des articles accuse même le président d’avoir été « manipulé » par le Kremlin. Côté britannique, The Sun a publié un article assurant que le locataire de la Maison Blanche est « prêt à trahir l’Ukraine et l’Europe pour apaiser Poutine ». De son côté, The Times a décrit les déclarations de Donald Trump sur la guerre comme « épouvantables » et l’accuse d’être « obsédé » par Volodymyr Zelensky. Dans son article, The i paper explique cet étonnant changement de ligne éditoriale par l’exaspération de Ruppert Murdoch face aux outrances du président américain. « Quand Trump s’est rangé du côté de Poutine plutôt que de celui de l’Ukraine, il a franchi une ligne rouge », a confié une source anonyme au média britannique, expliquant que Ruppert Murdoch en fait une affaire personnelle. Le magnat des médias « croit en la cause » ukrainienne et a toujours fermement défendu l’aide américaine à Kiev. « Le revirement de Murdoch est cohérent avec la ligne diplomatique qu’il défend depuis des décennies », a déclaré sur BlueSky l’historien David Colon, spécialiste de la communication politique, selon lequel Murdoch « méprise Trump depuis longtemps » et ne l’avait soutenu que « sous la pression de Musk ». « Il n’est reste pas moins étonnant de le voir entamer à 93 ans une carrière de résistant et de défenseur de la vérité », a-t-il poursuivi, rappelant que « cette nouvelle ligne éditoriale » sur l’Ukraine ne s’applique pour le moment pas à sa chaîne Fox News, véritable référence pour la galaxie trumpiste ALLELUIA Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Myrtil Posté(e) il y a 21 heures Share Posté(e) il y a 21 heures 5 hours ago, Brian said: Sur le deuxième, je doute que le "wokisme" pose le moindre problème. L'armée américaine est faite de professionnels, ils doivent recruter chaque année. Ouvrir le vivier de recrutements à un spectre plus large de la société civile, ce n'est pas un problème. Les bérets verts resteront des gars costauds qui ont peur de rien, vous inquietez pas. Ca dépend de ce que tu veux mettre derrière le terme "woke". Il y a une imposture intellectuelle à en faire passer la définition pour une ou des listes. Femmes, hommes, hétéros, homos, noirs, blancs etc... ça c'est une nature alors que le wokisme est une idéologie. J'ai du mal à voir ce qu'une idéologie, en général, peut apporter à l'armée, a fortiori si elle est co-substantielle du refus des traditions et des hiérachies. Je crois qu'il vaut mieux abandonner le terme dans ce cadre. Je ne me fais pas d'illusion, la chasse aux programmes "d'inclusion" ne vise pas à une neutralité des institutions, à l'image de la conception de la liberté d'expression par l'actuelle classe dirigeante américaine. Néanmoins j'aimerais retourner la question, spécifiquement pour l'armée. Dans quelle mesure ces programmes ont, jusqu'alors, favorisé la croissance de l'armée ou tout du moins endigué les pertes d'attrait ? Personnellement ça ne m'intéresse guère mais pour ceux s'engageant dans le débat, il faudra bien avoir une réponse car le nouveau secrétaire à la défense pourra toujours arguer de l'efficacité de ses nouvelles mesures puisqu'il compte dégraisser budget et rangs de tout manière et pourra ainsi se cacher derrière des objectifs atteints. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) il y a 14 heures Share Posté(e) il y a 14 heures Remplacement de hauts generaux / amiraux en cours. CEMA et cemm notamment. Mais eux seront remplacé. Pour les autres c'est moins sûr. https://www.lefigaro.fr/flash-actu/trump-annonce-remplacer-le-chef-d-etat-major-de-l-armee-americaine-20250222 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) il y a 13 heures Share Posté(e) il y a 13 heures Il y a 7 heures, Myrtil a dit : Ca dépend de ce que tu veux mettre derrière le terme "woke". Il y a une définition officielle dans le Petit Robert Woke : Qui est conscient et offensé des injustices et des discriminations subies par les minorités et se mobilise pour les combattre, parfois de manière intransigeante (surtout péjoratif, par dénigrement). J'aimerai bien que Patrick nous explique la parte de plusieurs dizaines de milliards de dollars parce qu'on est offensé des injustices 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) il y a 13 heures Share Posté(e) il y a 13 heures Ca sent la purge. Et comme Elon a le doigt sur les sous, un éventuel putsh sera bien plus compliqué. Reste les raisons de cette purge, du retrait d'Europe, de la saignée dans les effectifs de toute leur fonction publique. Chercher pas c'est la dette. Il y a de forts risques qu'elle ne soit pas remboursable puisque les actifs en dollars se placent de moins en moins facilement. Et c'est parti pour empirer. Il aurait pu le dire a sa population mais la panique aurait été trop compliqué à gérer. Donc il raconte son histoire de MAGA ca va bien avec la fatigue morale de ce peuple qui ne veut plus comprendre d'où lui vient son argent. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) il y a 11 heures Share Posté(e) il y a 11 heures Je rappelle ces éléments sur le wokisme dans l'armée et la Royal Air Force britanniques : Le 02/05/2024 à 21:55, Wallaby a dit : 2 mai 2024. Steven Edginton Steven Edginton est journaliste, auteur de l'article suivant : https://www.telegraph.co.uk/news/2024/02/10/army-challenge-overseas-recruits-security-checks/ L'armée va assouplir les contrôles de sécurité pour les recrues dans le cadre de la promotion de la diversité Un document divulgué décrit le contrôle de sécurité comme "le principal obstacle à l'enrôlement de personnel non britannique" dans le corps des officiers. Les forces armées britanniques n'ont jamais réussi à atteindre leurs objectifs de recrutement et se tournent vers l'étranger pour augmenter la représentation des minorités ethniques, qui représente actuellement 14 % de l'armée régulière. Un document ayant fait l'objet d'une fuite, intitulé "The British Army's Race Action Plan", indique que l'armée "peine à attirer des talents issus de minorités ethniques dans le corps des officiers". Publié en mars 2023 et considéré comme le dernier document d'orientation, il présente une série d'"actions" visant à accroître la représentation et décrit le contrôle des habilitations de sécurité comme étant "le principal obstacle à l'obtention d'une commission dans l'armée par le personnel non britannique". Il promet de "remettre en question les exigences en matière d'habilitation de sécurité" afin d'accroître la représentation dans les services de renseignement et les corps d'officiers, des postes qui ont "un accès incontrôlé à des actifs secrets". Sir Richard Dearlove, qui a dirigé le MI6 entre 1999 et 2004, a déclaré : "Les informations publiées aujourd'hui dans le Telegraph, qui donne apparemment la priorité à la diversité, à l'égalité et à l'inclusion en matière de sécurité nationale, sont en effet très inquiétantes. Les politiques de sécurité efficaces, quel que soit le niveau auquel elles sont appliquées, ne permettent tout simplement pas de prendre en compte les aspects "politiquement corrects". "La capacité de combat de nos forces armées, déjà vidée de sa substance comme l'a récemment montré la commission de défense, ne doit pas être davantage compromise par l'application excessive de l'idéologie de l'IED [Inclusion Equity Diversity]. Nous vivons dans un monde où la menace d'une guerre se rapproche". "Nous aidons nos ennemis si la création d'une mentalité de guerrier efficace n'est pas l'objectif principal de notre marine, de notre armée de terre et de notre armée de l'air". Dans une lettre ouverte adressée à M. Shapps [secrétaire à la défense], publiée intégralement dans le Telegraph dimanche, 12 anciens officiers supérieurs de l'armée ont critiqué la politique d'assouplissement de la vérification des antécédents des candidats venant de l'étranger, la qualifiant d'"insensée". "Avec l'islamisme et les autres formes d'extrémisme qui sévissent, cette [politique] n'est rien d'autre qu'une folie dangereuse", préviennent-ils. Ils ajoutent : "Les Russes, les Iraniens et les Chinois observeront avec joie notre descente dans la haine de soi et l'obsession de la diversité et de l'inclusion" et que les politiques de défense "woke" conduisent à un "désarmement moral" des forces armées. "Rien ne pourrait être mieux calculé pour détruire l'esprit de corps de nos forces armées que ce ramassis empoisonné d'absurdités ou pour dissuader de servir la Couronne précisément le type de personnes les plus motivées et les plus aptes à répondre à notre haute vocation. Nous sommes un pays tolérant et cette racialisation obsessionnelle de tout est à la fois dégoûtante et répréhensible", ajoutent-ils. https://www.telegraph.co.uk/news/2023/06/29/new-raf-head-richard-knighton-apology-diversity-drive/ Le nouveau chef de la RAF a présenté des excuses sans réserve pour une campagne de promotion de la diversité qui a illégalement discriminé des hommes blancs, dans ses premiers commentaires depuis sa prise de fonction. Le maréchal en chef de l'air Sir Richard Knighton a admis que le processus de recrutement et de sélection de la force avait "accéléré" à tort 161 aviateurs enrôlés, qui étaient soit des femmes, soit des personnes issues de minorités ethniques, pour qu'ils suivent une formation initiale avant les autres candidats entre 2020 et 2021. Au début du mois, le Telegraph a révélé que la RAF avait demandé à son personnel de cesser de choisir des "pilotes masculins blancs inutiles" pour les cours de formation. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) il y a 11 heures Share Posté(e) il y a 11 heures On ne va pas tirer sur l'ambulance mais dans la longue liste de ce qui a détruit les forces britanniques, le wokisme est sûrement en dehors de la liste. Sinon, ça vire les Noirs, les femmes et les Blancs non originaires du Deep South. Ça va redonner des ambitions de carrière à tous les petits Blancs qui végétaient en Virginie Occidentale depuis quatre ans, bien joué ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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