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Le 21/03/2025 à 17:09, Polybe a dit :

Il est aussi possible que LA preuve sur Trump n'existe pas, car il n'y a pas de trahison le concernant. Qu'il soit manipulé/sous influence par plusieurs proches compromis etc., c'est déjà beaucoup plus complexe à comprendre, détecter, analyser etc.

Ou tout simplement, ce qui rejoint assez ce que l'on a constaté dans le passé, il rejoint les visions politiques (je fais ce que je veux sans considération de politique intérieure, enfin pas dans un sens parlementaire) et géostratégique (je recherche mes intérêts, y compris par l'usage de la menace voire de la coercition) des grands autocrates (Kim, Vlad, Xi...), et jalouse leur propagande.

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Le 21/03/2025 à 09:17, olivier lsb a dit :

Mais pourquoi les gens des services de renseignement, qui doivent surement avoir des éléments sur la compromission de Trump, ne montrent ils pas leurs preuves ? C'est qu'elles n'existent pas ?

Les "gens" en question, quand ils commencent à sortir du bois... Trahison du secret défense, poursuites judiciaires, broyage en règle dans la machine judiciaire américaine. Divulguer des documents issus du renseignement, même s'ils sont accablants, c'est chose impossible. Surtout si c'est pour incriminer le commander in chief.

https://x.com/Colon_David/status/1902816274134012267

https://www.motherjones.com/politics/2023/11/fbi-raids-buma-whistleblower-giuliani/

Le problème est que d'autres sont sortis du bois, dont l'ancien directeur de la CIA, excusez du peu, et sous présidence démocrate, ce qui n'a pas pour autant donné le moindre commencement de preuve. 

On rappellera par ailleurs que Mara a Lago a bien été perquisitionné, qu'une enquête a bien été conduite, et donc que l'hypothèse que l'ensemble des fonctionnaires US étaient paralysés par la peur de Donald sous la présidence Biden est infirmée par les faits.

Encore une fois, imaginer que les services US sachent (et depuis longtemps au dire de ceux soutenant cette version) que DT est un agent russe et ne fassent rien sous la présidence Biden est digne des plus belles théories complotistes. 

Modifié par gustave
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Il y a 10 heures, gustave a dit :

Le problème est que d'autres sont sortis du bois, dont l'ancien directeur de la CIA, excusez du peu, et sous présidence démocrate, ce qui n'a pas pour autant donné le moindre commencement de preuve. 

On rappellera par ailleurs que Mara a Lago a bien été perquisitionné, qu'une enquête a bien été conduite, et donc que l'hypothèse que l'ensemble des fonctionnaires US étaient paralysés par la peur de Donald sous la présidence Biden est infirmée par les faits.

Encore une fois, imaginer que les services US sachent (et depuis longtemps au dire de ceux soutenant cette version) que DT est un agent russe et ne fassent rien sous la présidence Biden est digne des plus belles théories complotistes. 

Bof, bof, bof...

On a très bien vu dans le cas des caisses de documents tamponnés "secret" éparpillés à Mar-a-Lago que le système judiciaire US était profondément vulnérable aux entraves. Idem pour les deux impeachments que les Républicains au Sénat ont traité très efficacement par le mépris sans aucune considération pour le fond. La Cour Suprême à la main de Trump a mis la touche finale en lui accordant une quasi "invulnérabilité" légale durant son mandat.

Et quand bien même : le pantin a été condamné à de multiples reprises pour des faits qui, voici 30 ans, l'auraient forcé à fuir la politique pour se retirer loin, dans un ashram avec un matelas à clous... mais désormais ça passe crème car on pardonne tout au gourou.

Au final, l'hypothèse généralement faite à propos de Trump n'est pas celle d'un "agent" au sens 007, mais celle d'un idiot utile, tenu et manipulé. Un bon indice est sa propension maintes fois démontrée à répéter pieusement les éléments de langage russes à propos de l'Ukraine.

Modifié par Boule75
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Il y a 9 heures, gustave a dit :

Ou tout simplement, ce qui rejoint assez ce que l'on a constaté dans le passé, il rejoint les visions politiques (je fais ce que je veux sans considération de politique intérieure, enfin pas dans un sens parlementaire) et géostratégique (je recherche mes intérêts, y compris par l'usage de la menace voire de la coercition) des grands autocrates (Kim, Vlad, Xi...), et jalouse leur propagande.

Je pense que ce sont des explications qui ne s'excluent pas, et que justement ça souligne la possible grande complexité du sujet.

Il y a 6 heures, Boule75 a dit :

Bof, bof, bof...

On a très bien vu dans le cas des caisses de documents tamponnés "secret" éparpillés à Mar-a-Lago que le système judiciaire US était profondément vulnérable aux entraves. Idem pour les deux impeachments que les Républicains au Sénat ont traité très efficacement par le mépris sans aucune considération pour le fond. La Cour Suprême à la main de Trump a mis la touche finale en lui accordant une quasi "invulnérabilité" légale durant son mandat.

Et quand bien même : le pantin a été condamné à de multiples reprises pour des faits qui, voici 30 ans, l'auraient forcé à fuir la politique pour se retirer loin, dans un ashram avec un matelas à clous... mais désormais ça passe crème car on pardonne tout au gourou.

Au final, l'hypothèse généralement faite à propos de Trump n'est pas celle d'un "agent" au sens 007, mais celle d'un idiot utile, tenu et manipulé. Un bon indice est sa propension mainte fois démontrée à répéter pieusement les éléments de langage russes à propos de l'Ukraine.

 

Pour le coup qu'il soit un idiot-utile me parait plus juste.

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Il y a 5 heures, Polybe a dit :

Je pense que ce sont des explications qui ne s'excluent pas, et que justement ça souligne la possible grande complexité du sujet.

Pour le coup qu'il soit un idiot-utile me parait plus juste.

Dans le fond, que Trump soit recruté ou manipulé importe assez peu. Le résultat est peu ou prou le même. 

Ce qui est aussi inquiétant, voir plus, c'est toute la catégorie des hauts cadres qu'il a propulsé au sommet du pouvoir.

Quand on entend les propos de Witkoff, qui reprend sans rougir ce que Poutine lui dit, en semblant y croire sincèrement.. On peut quand même se poser un paquet de questions. En oubliant toutes considérations pour l'Ukraine, s'il n'est question que de la défense des intérêts américains, on peine à comprendre l'intérêt de ces manœuvres et l'exposition de leur ignorance et incompétence crasse. 

La vidéo de l'interview. 

 

 

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il y a 47 minutes, olivier lsb a dit :

Dans le fond, que Trump soit recruté ou manipulé importe assez peu. Le résultat est peu ou prou le même. 

Ce qui est aussi inquiétant, voir plus, c'est toute la catégorie des hauts cadres qu'il a propulsé au sommet du pouvoir.

Quand on entend les propos de Witkoff, qui reprend sans rougir ce que Poutine lui dit, en semblant y croire sincèrement.. On peut quand même se poser un paquet de questions. En oubliant toutes considérations pour l'Ukraine, s'il n'est question que de la défense des intérêts américains, on peine à comprendre l'intérêt de ces manœuvres et l'exposition de leur ignorance et incompétence crasse. 

La vidéo de l'interview. 

 

 

Bah des réactionnaires qui se sont trouvés quoi...

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Il y a 3 heures, Lecteur de passage a dit :

https://www.institutmontaigne.org/expressions/le-big-bang-maga-aux-origines-du-trumpisme (Baudouin de Hemptinne)

« Le début de la deuxième présidence Trump n’est pas seulement un changement d’administration, mais bien un changement de régime qui se traduit par une attaque pure et simple contre la vision des systèmes démocratiques. »

« Il apparaît dès lors que MAGA n’est pas simplement une clownerie, mais un projet reposant sur un matériel idéologique articulé et robuste, développé au cours des dernières années pour une nouvelle ère "postlibérale". La conséquence d’une telle défiance envers la démocratie et un monde fondé sur des valeurs - dignité humaine, état de droit, contre pouvoirs, pluralisme, multilatéralisme - est que l’Europe représenterait un obstacle plus grand pour l’agenda MAGA que la Russie ou la Chine, et qu’elle pourrait finalement devenir une cible politique. »

« Le mouvement MAGA, qui a pris le contrôle du Grand Old Party, se compose de deux principaux courants de partisans. D’une part, les intellectuels postlibéraux dirigés par Vance. D’autre part, les libertariens du monde de la tech, avec Musk comme figure de proue. Ces deux courants partagent un rejet et une colère envers le libéralisme et la démocratie. Ils se sont engagés à mener une guerre culturelle contre la liberté individuelle, la séparation des pouvoirs, les contre-pouvoirs, le pluralisme et la tolérance considérés comme responsables de tous les problèmes sociaux. »

« la politique économique sous le régime MAGA est instrumentalisée pour créer une ligne de démarcation claire entre vassaux et ennemis. Le mépris de tout type d’approche multilatérale pour le commerce ou le système financier international, au profit de la loi du plus fort, ne pourrait pas être plus clair. »

« La nouvelle approche sécuritaire est profondément impérialiste : une sorte d’équilibre entre isolement et expansion. »

« Tout ce qui ne rend pas le territoire des États-Unis stricto sensu plus fort, plus sûr ou plus prospère devient sans importance. »

« Dans son discours d’investiture, Trump appelle littéralement les États-Unis à "se considérer comme une nation en expansion", "une nation qui étend son territoire" et qui "porte son drapeau vers de nouveaux horizons magnifiques". »

« Mais comment concilier des approches apparemment contradictoires d'isolement et d'expansion ? Une vision impérialiste le permet. En voyant le monde comme devant être dominé par des sphères d’influence dirigées par du hard power, on peut argumenter de manière cohérente en faveur d’un empire américain qui exerce une influence décisive sur les Amériques et le Grand Nord, tout en soutenant un retrait de l’implication des États-Unis dans les sphères d’influence des autres grandes puissances. »

« Toute réflexion sur la responsabilité qui découle de la force et du statut de puissance mondiale disparaît dans un tel univers, tout comme la notion d’allié qui disparait, ainsi que les notions de valeurs morales ou universelles. »

« Rejoindre des voix autoritaires comme Orbán et Poutine et soutenir les partis illibéraux dans les pays européens semble être une manœuvre pour sauver l'Occident de sa propre décomposition. En poussant cette troublante expérience de pensée plus loin, l’Europe et le projet de l’Union européenne pourraient finalement devenir un obstacle plus important pour l’agenda libertarien et postlibéral MAGA que la Russie ou la Chine. L’Europe, supposée être le foyer de toutes les idéologies maléfiques, pourrait finalement devenir une cible politique. »

« La fracture d’aujourd’hui se situe entre ce que l’on pourrait appeler l’Internationale libérale et l’Internationale illibérale - avec des acteurs des deux camps présents dans tous les pays. »

« À ce jour, rien n'est écrit d’avance. Il est encore possible que les luttes internes - qu’il s’agisse de la confrontation entre intellectuels postlibéraux et entrepreneurs techs, ou de la résistance de la population et des institutions -empêchent la réalisation complète du coup d’État Trump. »

Cette Broth’ligarchie s’annonce plaisante…

Modifié par Benoitleg
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Sur la stabilité du système monétaire et sur les sources de financement de la BCE ... C'est chaud. On y apprend entre autre qu'en 2023 c'est la FED qui a sauvé le Credit Suisse.

Via ZOnebourse :

Certains fonctionnaires européens se demandent s'ils peuvent compter sur la Fed pour obtenir des dollars sous Trump
 

Révélation

Le 24 mars 2025 à 09:00

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Six personnes au fait du dossier ont déclaré que certains responsables européens de la banque centrale et de la supervision se demandent s'ils peuvent encore compter sur la Réserve fédérale américaine pour fournir des financements en dollars en temps utile, ce qui jette un doute sur ce qui a été un pilier de la stabilité financière.

Les sources ont déclaré à Reuters qu'elles considéraient qu'il était très improbable que la Fed n'honore pas ses garanties de financement et que la banque centrale américaine elle-même n'avait donné aucun signal en ce sens.

Mais les responsables européens ont eu des discussions informelles sur cette possibilité - que Reuters rapporte pour la première fois - parce que leur confiance dans le gouvernement des États-Unis a été ébranlée par certaines des politiques de l'administration Trump. Le président Donald Trump a rompu brutalement avec la politique américaine de longue date dans plusieurs domaines, notamment en semblant approuver la position de la Russie sur l'Ukraine, en soulevant des questions sur l'engagement des États-Unis en faveur de la sécurité européenne et en imposant des droits de douane à ses alliés. Dans certains forums européens où les participants évaluent les risques potentiels pour le système financier, ces fonctionnaires ont discuté de scénarios dans lesquels le gouvernement américain pourrait faire pression sur la Fed pour qu'elle suspende les mesures de soutien au dollar, ont déclaré deux des sources.

Certains responsables ont cherché à savoir s'ils pouvaient trouver des alternatives à la banque centrale américaine, ont indiqué les deux sources. En temps utile, la Fed a permis à la Banque centrale européenne et à d'autres grandes contreparties d'accéder à des financements en dollars.

La conclusion à tirer de ces discussions est qu'il n'y a pas de bon substitut à la Fed, ont déclaré les six sources, qui comprennent des cadres supérieurs de la BCE et du personnel de supervision bancaire de l'Union européenne ayant une connaissance de première main des conversations.

Les sources ont toutes demandé l'anonymat pour pouvoir parler franchement de ces délibérations privées.

La BCE et la Fed ont refusé de commenter cet article. La Maison Blanche n'a pas répondu à une demande de commentaire.

La Fed est une institution indépendante, responsable devant le Congrès. La banque centrale n'a jamais laissé entendre qu'elle ne soutiendrait pas ses garde-fous, qu'elle maintient comme première ligne de défense contre les traumatismes économiques ou financiers étrangers qui se répercutent sur les États-Unis.

Par ailleurs, cinq hauts responsables de la banque centrale de la zone euro ont déclaré que les conversations informelles - tenues en dehors des réunions régulières des décideurs politiques - n'étaient pas motivées par des signaux émanant de la Fed ou de la direction de la BCE.

L'une des sources ayant une connaissance directe des conversations a déclaré que la question avait été discutée ces dernières semaines au sein de groupes de travail qui aident les responsables à examiner les problèmes, et qu'elle impliquait des cadres supérieurs de la banque centrale européenne et du personnel de supervision.

Une autre source a indiqué que la question de savoir si l'Europe peut compter sur les mesures de soutien de la Fed devrait également être abordée prochainement dans le cadre de discussions plus formelles.

L'une des sources a déclaré que les discussions se déroulaient dans un contexte où les autorités américaines risquaient de réduire leur coopération internationale.

Lors d'une audition du Parlement européen jeudi sur le virage protectionniste des États-Unis et son impact sur l'économie européenne, la présidente de la BCE, Christine Lagarde, a déclaré que la relation avec la Fed n'avait pas changé depuis l'entrée en fonction de M. Trump en janvier.

ÉVALUATION DES RISQUES

En tant que banque centrale des 20 pays de la zone euro, la BCE définit la politique monétaire et est chargée d'accroître la résilience du système financier et d'identifier les risques potentiels. Elle supervise également les principales banques de la région, qui comptent parmi les plus grandes du monde.

Les discussions sur les alternatives de financement font partie d'une analyse plus large des vulnérabilités du système financier de la zone euro, que la BCE et d'autres régulateurs de l'UE effectuent de manière systématique, ont indiqué les sources.

Le dollar américain est la monnaie dominante pour les échanges économiques et les flux de capitaux. En temps utile, les investisseurs, les entreprises et les institutions financières se précipitent vers la sécurité de la monnaie de réserve mondiale.

Plus récemment, en 2023, la Fed a fourni des dizaines de milliards de dollars à la banque centrale suisse, ce qui a permis au Credit Suisse de répondre à la demande de liquidités de ses clients. Bien que le Crédit Suisse ait finalement dû être sauvé, la Fed a permis d'éviter une implosion qui aurait pu anéantir le système financier, selon les analystes.

Malgré les doutes exprimés par les responsables bancaires lors de conversations privées, la possibilité que la Fed réduise un jour ses lignes de financement est considérée par les responsables européens comme une éventualité très lointaine, selon les cinq responsables des banques centrales de la zone euro, qui ont également parlé à Reuters sous le couvert de l'anonymat.

En effet, une telle décision de la Fed aurait de profondes répercussions sur les marchés mondiaux, la stabilité financière et l'économie. Elle se répercuterait probablement sur l'économie américaine, menacerait la suprématie du dollar et ferait baisser la demande de dette publique américaine, ont déclaré plusieurs de ces sources.

Si l'indépendance de la Fed n'est pas remise en question, quatre des six sources au fait des discussions ont déclaré que certains responsables européens estimaient possible que l'administration Trump augmente la pression sur la banque centrale en temps utile, ce qui conduirait au scénario où elle ne fournirait pas de financement en dollars.

La Fed a refusé de commenter cette possibilité, tandis que la Maison Blanche n'a pas répondu à une demande de commentaire.

L'une des sources a déclaré que les fonctionnaires de l'UE sont préoccupés par les emprunts à court terme des banques européennes en dollars, qui rendent vital l'accès continu aux lignes de crédit de la Fed.

Selon une étude récente de la BCE, environ 17 % des financements des banques de la zone euro sont en dollars.

 

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22 mars 2025

James Robenalt ( https://en.wikipedia.org/wiki/James_Robenalt )

01:05 Beaucoup de gens, y compris mardi soir, quand les documents ont été rendus publics, ont dit qu'ils ne contiennent rien. C'est des "nothingburgers". "Circulez il n'y a rien à voir". "Il n'y a pas de pistolet fumant" (smoking gun, une preuve accablante). (...) Cela fait 80 000 pages. Comment pouvez-vous dire ça [avant de les avoir lues] ?

01:28 C'est des techniques d'espionage (spycraft). C'est rempli de noms de codes du début jusqu'à la fin. Il y a toutes ces différentes feintes, et toutes ces choses que font les espions et vous devez d'abord comprendre en profondeur pour pouvoir ensuite vous faire une idée générale.

01:44 Ce que les gens qui savent de quoi ils parlent, découvrent quand ils s'y mettent, c'est qu'il y a de véritables indices que la CIA a été assez profondément impliquée dans ce qui s'est passé, notamment avec les exilés cubains, et certains concluent que la CIA était impliquée dans les assassinats. Ils ne parlent pas à la légère. Ils travaillent depuis des décennies, et la plupart d'entre eux, assez intensément au cours des dix dernières années. Donc les gens qui disent qu'il n'y a rien à voir, ne savent pas de quoi ils parlent. Ils n'ont pas assez d'information pour simplement savoir ce qu'ils sont en train de lire.

Austin Westfall : Jefferson Morley, qui est la personne considérée comme l'expert à la pointe de la recherche sur les dossiers JFK croit qu'il existe suffisamment de preuves pour conclure définitivement que la CIA a joué "un rôle" dans le meurtre de JFK. Qu'entend-il par "un rôle" ? Un grand rôle ? Un petit rôle ?

02:42 Ce qu'il a démêlé définitivement est : est-ce que cela était une conduite intentionnelle de la part de la CIA, ou était-ce une malversation ? Les preuves montrent qu'ils savaient ce qu'Oswald s'apprêtait à faire. Ils avaient des renseignements sur lui, ils le surveillaient, et ils ont menti à la commission Warren à ce sujet. Pourquoi donc ?

03:02 En outre, ils savaient ce que leur bureau à Miami faisait avec les exilés. Ils les avaient entraînés comme paramilitaires, ils savaient que ces gens détestaient JFK, donc ce qu'il dit essentiellement est « je ne pense pas que c'était juste accidentel ou une malversation ». Au centre de tout cela, il y a cet homme nommé James Jesus Angleton, un type assez légendaire de la CIA, et il n'a pas agi accidentellement. Il avait pris Oswald en filature, et le jour de l'assassinat il avait un dossier de 181 pages sur son bureau. Donc il [Jefferson Morley] croit qu'il y doit y avoir eu une conduite intentionnelle. Que la CIA ait approuvé un assassinat ou qu'elle ait été impliquée dans l'assassinat, ou qu'elle en ait été témoin et l'ait observé en connaissance de cause, il pense qu'ils étaient au courant et qu'ils ont eu un rôle qu'ils ont joué. Donc c'est vraiment fascinant, Austin.

04:32 Il y a deux autres mecs affiliés eux aussi à la Mary Farrell (Foundation) qui ont écrit un livre - celui que j'utilise comme support pour mon micro - il est intitulé "The Oswald Puzzle" [Larry Hancock & David Boylan, 14 janvier 2025]. Ce livre est fascinant parce que ces mecs enquêtent sur Oswald et ils se demandent « Mais qu'est-ce qu'il fabrique ? ». Et ils répondent sous la forme d'un historique. Et dans la troisième partie du livre, ils disent « nous allons spéculer sur la base de tout ce que nous savons ». Et franchement, ils pensent qu'il n'avait rien à voir avec l'assassinat. Il ne savait même pas qu'il y aurait un assassinat, et il n'en a pris connaissance qu'après qu'il ait eu lieu, et c'est alors qu'il a compris qu'il avait été piégé par certains de ces exilés cubains qui se présentaient à lui comme des pro-Castro, et essayaient de l'exfiltrer de Dallas vers Cuba le même jour au moyen d'un avion détourné d'une façon ou d'une autre. (...) Je ne sais pas si j'irais aussi loin, il en faudrait plus pour me convaincre, mais le livre est fascinant, et si des gens veulent creuser ce sujet, ils devraient s'acheter ce livre et le lire. Il est captivant et parfaitement documenté.

Anna Paulina Luna (représentante républicaine de Floride) a pris la tête d'une nouvelle task force chargée de la déclassification de matériaux fédéraux. Elle a récemment fait allusion, sur le podcast de Jefferson Morley - je cite - que le "document smoking gun" d'un certain lanceur d'alerte de la CIA "implique la CIA". Mais devons nous être prudents par rapport à ce que disent ces responsables ? Est-ce que Luna, par exemple, peut dorer son blason de politicienne si ces documents révèlent effectivement une conspiration ?

06:39 Elle et Tulsi Gabbard essaient de donner une bonne image de Trump en sortant ces documents alors que les autres présidents ne l'ont pas fait. C'est légitime, car c'est ce qu'il fait et cela aurait dû être fait plus tôt. La CIA l'a convaincu lui durant son premier mandat et les autres présidents de garder secrète une partie de ces choses, alors qu'ils n'auraient pas dû. C'est clairement un abus. Mais je vais dire ceci en sa faveur : elle était sur le podcast de Jefferson Morley hier soir. C'était un podcast de deux heures. Elle a commencé son intervention en disant "je vais faire un scoop, et Jefferson Morley sera mon premier témoin, nous sommes en relation avec des gens qui nous ont mis sur la piste d'un document d'un lanceur d'alerte de la CIA qui dit que la CIA est complice. Si ce document n'est pas dans les 80000 pages nous allons le trouver et nous n'allons pas le garder secret". Nous devons attendre et voir (wait and see), mais c'est ce qu'elle a dit.

09:18 J'espère qu'ils convoqueront aussi [à l'audition de la commission au Congrès le 1er avril] Paul Landis [1], qui est le dernier témoin survivant qui a révélé des preuves sur les emplacements où il a trouvé les balles, ce qui pour moi restent les preuves les plus importantes depuis 60 ans. Le reste ajoute de la couleur, sur qui aurait pu être impliqué mais ses révélations disent qu'il y avait des tireurs multiples.

16:09 Un mois après l'assassinat, l'ancien président Harry Truman, le créateur de la CIA, a déclaré : nous devons leur serrer la bride. Ils sont censés uniquement collecter des renseignements pour le président, mais ils ne sont pas censés être simultanément une agence de renseignement et une agence d'opérations. Et il pensait qu'ils avaient enfreint cette limite. Allez consulter cela dans le Washington Post, un mois après l'assassinat de Kennedy. Et cela nous amène au 11 septembre où nous avons cette défaillance massive du renseignement et maintenant nous avons le DNI dont Tulsi Gabbard a pris la tête. Et ces gens, encore une fois, ont acquis beaucoup de pouvoir et d'influence à cause des attaques sur notre pays. Et la question aujourd'hui est : sommes nous à nouveau allés trop loin avec ces agences de renseignement, et doivent-elles être remises au pas ? Doivent-elles rendre des comptes ? Je pense que c'est la principale conclusion qui pourrait être tirée de tout cet exercice d'examen des dossiers JFK. Nous devons être très prudents avec les agences comme la CIA et les empêcher de sortir de leur voie, de devenir opérationnelles et incontrôlables.

[1] https://www.lemonde.fr/international/article/2023/09/14/assassinat-de-jfk-paul-landis-ex-agent-du-secret-service-met-a-mal-la-theorie-de-la-balle-magique_6189337_3210.html

Interrogé par le New York Times, James Robenalt, avocat de Cleveland et auteur de plusieurs livres d’histoire, qui a longuement enquêté sur l’assassinat de JFK, estime que le témoignage de Paul Landis, s’il est vrai, « est susceptible de rouvrir la question du deuxième tireur ». Selon lui, il n’est pas possible qu’un tir distinct ait pu provenir de Lee Harvey Oswald, qui n’aurait pas eu le temps de recharger aussi vite son arme.

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il y a 11 minutes, Wallaby a dit :

22 mars 2025

James Robenalt ( https://en.wikipedia.org/wiki/James_Robenalt )

01:05 Beaucoup de gens, y compris mardi soir, quand les documents ont été rendus publics, ont dit qu'ils ne contiennent rien. C'est des "nothingburgers". "Circulez il n'y a rien à voir". "Il n'y a pas de pistolet fumant" (smoking gun, une preuve accablante). (...) Cela fait 80 000 pages. Comment pouvez-vous dire ça [avant de les avoir lues] ?

01:28 C'est des techniques d'espionage (spycraft). C'est rempli de noms de codes du début jusqu'à la fin. Il y a toutes ces différentes feintes, et toutes ces choses que font les espions et vous devez d'abord comprendre en profondeur pour pouvoir ensuite vous faire une idée générale.

01:44 Ce que les gens qui savent de quoi ils parlent, découvrent quand ils s'y mettent, c'est qu'il y a de véritables indices que la CIA a été assez profondément impliquée dans ce qui s'est passé, notamment avec les exilés cubains, et certains concluent que la CIA était impliquée dans les assassinats. Ils ne parlent pas à la légère. Ils travaillent depuis des décennies, et la plupart d'entre eux, assez intensément au cours des dix dernières années. Donc les gens qui disent qu'il n'y a rien à voir, ne savent pas de quoi ils parlent. Ils n'ont pas assez d'information pour simplement savoir ce qu'ils sont en train de lire.

Austin Westfall : Jefferson Morley, qui est la personne considérée comme l'expert à la pointe de la recherche sur les dossiers JFK croit qu'il existe suffisamment de preuves pour conclure définitivement que la CIA a joué "un rôle" dans le meurtre de JFK. Qu'entend-il par "un rôle" ? Un grand rôle ? Un petit rôle ?

02:42 Ce qu'il a démêlé définitivement est : est-ce que cela était une conduite intentionnelle de la part de la CIA, ou était-ce une malversation ? Les preuves montrent qu'ils savaient ce qu'Oswald s'apprêtait à faire. Ils avaient des renseignements sur lui, ils le surveillaient, et ils ont menti à la commission Warren à ce sujet. Pourquoi donc ?

03:02 En outre, ils savaient ce que leur bureau à Miami faisait avec les exilés. Ils les avaient entraînés comme paramilitaires, ils savaient que ces gens détestaient JFK, donc ce qu'il dit essentiellement est « je ne pense pas que c'était juste accidentel ou une malversation ». Au centre de tout cela, il y a cet homme nommé James Jesus Angleton, un type assez légendaire de la CIA, et il n'a pas agi accidentellement. Il avait pris Oswald en filature, et le jour de l'assassinat il avait un dossier de 181 pages sur son bureau. Donc il [Jefferson Morley] croit qu'il y doit y avoir eu une conduite intentionnelle. Que la CIA ait approuvé un assassinat ou qu'elle ait été impliquée dans l'assassinat, ou qu'elle en ait été témoin et l'ait observé en connaissance de cause, il pense qu'ils étaient au courant et qu'ils ont eu un rôle qu'ils ont joué. Donc c'est vraiment fascinant, Austin.

04:32 Il y a deux autres mecs affiliés eux aussi à la Mary Farrell (Foundation) qui ont écrit un livre - celui que j'utilise comme support pour mon micro - il est intitulé "The Oswald Puzzle" [Larry Hancock & David Boylan, 14 janvier 2025]. Ce livre est fascinant parce que ces mecs enquêtent sur Oswald et ils se demandent « Mais qu'est-ce qu'il fabrique ? ». Et ils répondent sous la forme d'un historique. Et dans la troisième partie du livre, ils disent « nous allons spéculer sur la base de tout ce que nous savons ». Et franchement, ils pensent qu'il n'avait rien à voir avec l'assassinat. Il ne savait même pas qu'il y aurait un assassinat, et il n'en a pris connaissance qu'après qu'il ait eu lieu, et c'est alors qu'il a compris qu'il avait été piégé par certains de ces exilés cubains qui se présentaient à lui comme des pro-Castro, et essayaient de l'exfiltrer de Dallas vers Cuba le même jour au moyen d'un avion détourné d'une façon ou d'une autre. (...) Je ne sais pas si j'irais aussi loin, il en faudrait plus pour me convaincre, mais le livre est fascinant, et si des gens veulent creuser ce sujet, ils devraient s'acheter ce livre et le lire. Il est captivant et parfaitement documenté.

Anna Paulina Luna (représentante républicaine de Floride) a pris la tête d'une nouvelle task force chargée de la déclassification de matériaux fédéraux. Elle a récemment fait allusion, sur le podcast de Jefferson Morley - je cite - que le "document smoking gun" d'un certain lanceur d'alerte de la CIA "implique la CIA". Mais devons nous être prudents par rapport à ce que disent ces responsables ? Est-ce que Luna, par exemple, peut dorer son blason de politicienne si ces documents révèlent effectivement une conspiration ?

06:39 Elle et Tulsi Gabbard essaient de donner une bonne image de Trump en sortant ces documents alors que les autres présidents ne l'ont pas fait. C'est légitime, car c'est ce qu'il fait et cela aurait dû être fait plus tôt. La CIA l'a convaincu lui durant son premier mandat et les autres présidents de garder secrète une partie de ces choses, alors qu'ils n'auraient pas dû. C'est clairement un abus. Mais je vais dire ceci en sa faveur : elle était sur le podcast de Jefferson Morley hier soir. C'était un podcast de deux heures. Elle a commencé son intervention en disant "je vais faire un scoop, et Jefferson Morley sera mon premier témoin, nous sommes en relation avec des gens qui nous ont mis sur la piste d'un document d'un lanceur d'alerte de la CIA qui dit que la CIA est complice. Si ce document n'est pas dans les 80000 pages nous allons le trouver et nous n'allons pas le garder secret". Nous devons attendre et voir (wait and see), mais c'est ce qu'elle a dit.

09:18 J'espère qu'ils convoqueront aussi [à l'audition de la commission au Congrès le 1er avril] Paul Landis [1], qui est le dernier témoin survivant qui a révélé des preuves sur les emplacements où il a trouvé les balles, ce qui pour moi restent les preuves les plus importantes depuis 60 ans. Le reste ajoute de la couleur, sur qui aurait pu être impliqué mais ses révélations disent qu'il y avait des tireurs multiples.

16:09 Un mois après l'assassinat, l'ancien président Harry Truman, le créateur de la CIA, a déclaré : nous devons leur serrer la bride. Ils sont censés uniquement collecter des renseignements pour le président, mais ils ne sont pas censés être simultanément une agence de renseignement et une agence d'opérations. Et il pensait qu'ils avaient enfreint cette limite. Allez consulter cela dans le Washington Post, un mois après l'assassinat de Kennedy. Et cela nous amène au 11 septembre où nous avons cette défaillance massive du renseignement et maintenant nous avons le DNI dont Tulsi Gabbard a pris la tête. Et ces gens, encore une fois, ont acquis beaucoup de pouvoir et d'influence à cause des attaques sur notre pays. Et la question aujourd'hui est : sommes nous à nouveau allés trop loin avec ces agences de renseignement, et doivent-elles être remises au pas ? Doivent-elles rendre des comptes ? Je pense que c'est la principale conclusion qui pourrait être tirée de tout cet exercice d'examen des dossiers JFK. Nous devons être très prudents avec les agences comme la CIA et les empêcher de sortir de leur voie, de devenir opérationnelles et incontrôlables.

[1] https://www.lemonde.fr/international/article/2023/09/14/assassinat-de-jfk-paul-landis-ex-agent-du-secret-service-met-a-mal-la-theorie-de-la-balle-magique_6189337_3210.html

Interrogé par le New York Times, James Robenalt, avocat de Cleveland et auteur de plusieurs livres d’histoire, qui a longuement enquêté sur l’assassinat de JFK, estime que le témoignage de Paul Landis, s’il est vrai, « est susceptible de rouvrir la question du deuxième tireur ». Selon lui, il n’est pas possible qu’un tir distinct ait pu provenir de Lee Harvey Oswald, qui n’aurait pas eu le temps de recharger aussi vite son arme.

Ben...et ?

Ils connaissaient les intentions d'Oswald ? Jusqu'à quel point ? On revient sur le débat des Fichés S...

Il y a un lien entre la CIA, des cubains déçus de la Baie Des Cochons...sans dec', c'est un scoop ça ?! ^^

Le débat renseignement/action ? Oui, ça c'est partout et tout le temps. Et vu le desastre de la Baie Des Cochons, ça doit-être lu sous se prisme je pense.

 

Bref y a...rien !

Cela serait un peu comme dire que parce que Merah a voulu s'engager dans l'armée française, puis qu'il a été auditionné par les RG, ses actes sont téléguidés par l'Etat : complètement con !

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Il y a 4 heures, herciv a dit :

Et si vous n’êtes pas satisfaits du service que propose ce gouvernement, vous n’avez qu’à vous en trouver un autre.

Pour Yarvin, cette réponse formaliste revient tout simplement à rétablir la monarchie absolue.

Là je décroche. Cela ne me parait pas très facile dans une monarchie absolue de changer de roi quand "vous n'êtes pas satisfait du service rendu".

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il y a 5 minutes, Wallaby a dit :

Là je décroche. Cela ne me parait pas très facile dans une monarchie absolue de changer de roi quand "vous n'êtes pas satisfait du service rendu".

Non ca veut dire que la personne qui n'est pas satisfaite doit changer de pays.

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il y a une heure, herciv a dit :

Non ca veut dire que la personne qui n'est pas satisfaite doit changer de pays.

Merci. Je n'avais pas vu qu'on pouvait lire la phrase de cette façon. Mais quand le "vous" c'est l'entière population du pays, c'est peut-être un peu coûteux en frais de déménagement.

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Il y a 6 heures, herciv a dit :

Sur la stabilité du système monétaire et sur les sources de financement de la BCE ... C'est chaud. On y apprend entre autre qu'en 2023 c'est la FED qui a sauvé le Credit Suisse.

Via ZOnebourse :

Certains fonctionnaires européens se demandent s'ils peuvent compter sur la Fed pour obtenir des dollars sous Trump

Vu que je ne suis pas économiste : est-ce un levier que peut utiliser les USA pour forcer la BCE à ne pas financer les prêts pour l'Ukraine ?

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il y a 5 minutes, rendbo a dit :

Vu que je ne suis pas économiste : est-ce un levier que peut utiliser les USA pour forcer la BCE à ne pas financer les prêts pour l'Ukraine ?

C'est un levier c'est sûr et il peut servir à plein de chose. D'un autre côté la BCE doit avoir à peu prêt le même à disposition.

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Donald Trump va imposer des droits de douane de 25% aux pays achetant du pétrole vénézuélien

https://www.lefigaro.fr/conjoncture/donald-trump-va-imposer-des-droits-de-douane-de-25-aux-pays-achetant-du-petrole-venezuelien-20250324

Donc en gros, il décrète la mise à mort économique du Venezuela ..déjà que le pays était très mal en point depuis 15 ans avec un exode économique du quart de sa population fuyant l'effondrement économique du pays.

Après quels sont les pays qui seront impactés ?

Il est clair que les pays du tiers monde qui achète le pétrole vénézuélien ne changeront pas leur politique car ils n'exportent presque rien aux etats-unis .

Toutefois, le Venezuela va se priver de tout ses clients européens , voir une partie des sud américains ..

 

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