FATac Posté(e) le 7 février 2018 Share Posté(e) le 7 février 2018 Il y a 2 heures, Alexis a dit : Au-delà du spectacle de la puissance militaire, au-delà de l'hommage rendu aux soldats du pays, un tel défilé a aussi pour caractéristique de mettre en scène l'unité du pays - et dans une certaine mesure si c'est bien fait, de la renforcer - au-delà de toutes les différences et disputes du moment, qu'elles soient totalement futiles ou pas tout à fait. A cet égard, la liste des invités à la tribune est justement un révélateur de cette mise en scène ou de ce renforcement de l'unité. Il me semble que, depuis un certain temps, les anciens présidents, les leaders de l'opposition et quelques autres personnes pas systématiquement favorables au pouvoir en place garnissent néanmoins la tribune présidentiel. Moi, j'apprécie le symbole, quel que soit le côté du pouvoir en place. Croyez-vous que DT inviterait le couple Obama, le couple Clinton et les Bush à cet événement à ses côtés ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 8 février 2018 Share Posté(e) le 8 février 2018 Le 07/02/2018 à 11:31, FATac a dit : Croyez-vous que DT inviterait le couple Obama, le couple Clinton et les Bush à cet événement à ses côtés ? Ça aurait du sens, effectivement. Plus Jimmy Carter bien sûr, le deuxième président américain le plus âgé, le doyen étant le premier Bush. Sinon, certains Américains sont fortement opposés à l'idée d'une parade militaire... ne serait-ce que parce qu'elle vient de Trump. Ils citent une alternative, lui faire construire un Arc de TRUMPh 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 8 février 2018 Share Posté(e) le 8 février 2018 Cette affaire de défilé tourne au French bashing : Bon , J'ai laissé comme d'autres des commentaires sur le compte Twitter de Fox news , enfin ces articles ! http://www.weeklystandard.com/the-french-militarys-bad-reputation-is-inaccurate-and-undeserved/article/2003976 https://chrishernandezauthor.com/2013/07/09/working-with-the-french-army/ D'autres ont rappelé qui a sauvé les miches des soldats US dans le Sahel . Et ... Quel connard ce lieutenant colonel Peters ... 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Arland Posté(e) le 8 février 2018 Share Posté(e) le 8 février 2018 Il y a 2 heures, Gibbs le Cajun a dit : Quel connard ce lieutenant colonel Peters ... D'un autre coté je ne vois pas, dans son parcours militaire, ce qui lui permet de juger de la qualité guerrière des soldats français. C'est juste un type particulièrement arrogant qui cherche à faire un "bon mot" pour exacerber le "patriotisme" de ses spectateurs. Citation Military Peters enlisted in the U.S. Army in 1976, after attending, but not graduating from, Pennsylvania State University.[3] Peters' first assignment was in Germany. After returning from Germany, he attended Officer Candidate School and received a commission in 1980.[4][5] Subsequently, he served with 1st Battalion, 46th Infantry Regiment, then part of the 1st Armored Division.[6] Peters spent ten years in Germany working in military intelligence. He later became a Foreign Area Officer, specializing in the Soviet Union. He attended the Command and General Staff College. His last assignment was to the Office of the Deputy Chief of Staff for Intelligence. He retired in 1998 as a lieutenant colonel. Citation "There will be no peace. At any given moment for the rest of our lifetimes, there will be multiple conflicts in mutating forms around the globe. Violent conflict will dominate the headlines, but cultural and economic struggles will be steadier and ultimately more decisive. The de facto role of the US armed forces will be to keep the world safe for our economy and open to our cultural assault. To those ends, we will do a fair amount of killing." https://en.wikipedia.org/wiki/Ralph_Peters 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rogue0 Posté(e) le 8 février 2018 Share Posté(e) le 8 février 2018 Le 06/02/2018 à 17:57, Tancrède a dit : Sinon, un article du NYT qui a déjà fait couler beaucoup d'encre, et dont le sujet anime les discussions depuis quelques semaines, réunissant pour l'occasion médias traditionnels et "alt médias" dans une inquiétude unanime: https://www.nytimes.com/2018/02/04/opinion/hacking-politics-future.html Ou comment, par une simple appli disponible gratuitement, n'importe quelle vidéo peut être désormais truquée avec très peu d'efforts et à des niveaux de qualité acceptables,(...) On connaissait les vidéos porno à qualité pourrie où la tête d'une actrice célèbre était surimposée; la même chose peut désormais être faite en un clin d'oeil, à peu/pas de coût, avec un résultat très acceptable, voire carrément impressionnant. Première petite réaction (de base). Reddit s'est réveillé, et a fermé les fils de discussion ayant popularisé ces outils techniques: justification : interdiction de la pornographie "involontaire" ou de mineur.http://www.lemonde.fr/pixels/article/2018/02/08/reddit-bannit-les-videos-pornographiques-manipulees-a-l-intelligence-artificielle_5253677_4408996.html (pour le swatting, le harcèlement et les menaces de mort, notamment sur les fils alt right, on peut toujours courir ). Du coup, y a des billets intéressants du côté alt-média ? Je ne pensais pas voir en ce siècle*, un sujet ou les média traditionnels et alternatifs être d'accord sur un sujet. (* siècle numérique à l'ère trumpien, cad 1 an ) Le 06/02/2018 à 17:57, Tancrède a dit : En somme, la vidéo pourrait cesser d'être une preuve recevable au tribunal. (...) Tous ces moyens de fausser l'information reçue ont déjà gravement ébranlé l'édifice fragile par essence du débat public: on le fausse avec des bobards et du matraquage depuis longtemps, c'est certain. (...) accélérant encore plus le mouvement vers un monde où chacun choisit non son opinion, mais les "faits" sur lesquels il base son opinion. De manière encore plus irréductible, et donc vulnérable à tout manipulateur un peu organisé Vaste et intéressant sujet, je n'ai pas le temps de disserter dessus (soupirs de soulagement dans l'audience ). Cependant, cette technologie disruptrice ne fait qu'accentuer le phénomène déjà constaté : Il n'y a plus de "fait objectif" commun accepté par le peuple américain. Les meneurs d'opinion de chaque tribu (avant les mass media et les intello, maintenant les influenceurs ou botnet sur les réseaux sociaux) pré-déterminent quels messages seront matraqués / amplifiés. La réalité est de plus en plus ignorée au profit de l'idéologie. Du coup, comment les USA peuvent-ils se réveiller de ce rêve d'opium ? Vont-ils continuer à s'entre-déchirer, et rester paralysés pendant que les chinois leur (re)prennent la couronne mondiale ? Ou des factions internes US qui comptent (les méga-corporations et les riches donneurs) vont-elles se liguer et siffler la fin de la récréation ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 9 février 2018 Share Posté(e) le 9 février 2018 Il y a 18 heures, rogue0 a dit : Du coup, comment les USA peuvent-ils se réveiller de ce rêve d'opium ? Vont-ils continuer à s'entre-déchirer, et rester paralysés pendant que les chinois leur (re)prennent la couronne mondiale ? Ou des factions internes US qui comptent (les méga-corporations et les riches donneurs) vont-elles se liguer et siffler la fin de la récréation ? L'opium, historiquement, ça a plutôt concerné les Chinois - entendre, ça leur a fait énormément de mal. Pour les Américains, c'est plutôt les drogues de synthèse, fentanyl et autres. S'agissant des "riches donneurs"... D'une part je n’exagérerais pas leur influence au-delà de leurs sujets d'intérêt direct. Comment fait-on même avec un milliard de dollars pour combattre des criailleries qui emportent toute une classe politico-médiatique et une partie de l'ensemble du peuple ? D'autre part, qui dit qu'ils ne sont pas partie prenante de la folie grandissante ? Un exemple, voici Monsieur Sheldon Adelson, propriétaire immobilier, promoteur de casinos et faiseur de rois - de par la taille de ses contributions électorales, toujours dans le sens pro-Républicain très net, et dans le sens pro-Likoud de manière assez extrémiste. Adelson a notamment pesé fortement dans la décision américaine de déplacer leur ambassade à Jérusalem. Et ça c'est parce que Donald Trump est un modéré : le bon Sheldon lui a publiquement proposé d'envoyer "quelques missiles nucléaires au milieu de Téhéran" pour leur apprendre à s'opposer à Israël aux Etats-Unis. Je vois assez mal la modération venir du monde des corrupteurs donateurs. Au contraire, une partie importante des folies vient d'eux directement. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 9 février 2018 Share Posté(e) le 9 février 2018 Le déficit US a 1 000 milliard de dollar a du mal a être voté. http://www.tulsaworld.com/news/usworld/budget-plan-s-trillion-deficit-sours-some-republicans/article_ef493b1d-5c5c-5000-9f35-4dd1e877f608.html Du coup nouveau shutdown cette nuit. En fait les républicain trouve que cette nouvelle augmentation du déficit ne profite qu'aux pentagone et pas suffisamment au MEDICARE. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 9 février 2018 Share Posté(e) le 9 février 2018 il y a 54 minutes, herciv a dit : Le déficit US a 1 000 milliard de dollar a du mal a être voté. http://www.tulsaworld.com/news/usworld/budget-plan-s-trillion-deficit-sours-some-republicans/article_ef493b1d-5c5c-5000-9f35-4dd1e877f608.html Du coup nouveau shutdown cette nuit. Conscients de la nécessité d'une bonne gestion, ces républicains défendent une limitation des dépenses et une augmentation de la fiscalité. Il est donc tout à fait cohérent pour eux de s'opposer à un déficit d'un trillion. Attendez on me parle dans l'oreillette... il semblerait qu'en fait ces parlementaires aient défendu baisse de la fiscalité et augmentation des dépenses publiques... notamment militaires ? il y a 54 minutes, herciv a dit : En fait les républicain trouve que cette nouvelle augmentation du déficit ne profite qu'aux pentagone et pas suffisamment au MEDICARE. Ne caricature pas leur position voyons ! Ce n'est pas au Pentagone qu'en ont ces estimables conna... contributeurs au débat public. Seulement aux maths de primaire. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 9 février 2018 Share Posté(e) le 9 février 2018 Il y a 5 heures, Alexis a dit : L'opium, historiquement, ça a plutôt concerné les Chinois - entendre, ça leur a fait énormément de mal. Citation Opium, poison de rêve Fumée qui monte au ciel, C'est toi qui nous élève Au paradis artificiel. je vois le doux visage Les yeux de mon aimée, Parfois j'ai son image Dans un nuage de fumée. Dans le port de Saïgon il est une jonque chinoise Mystérieuse et sournoise Dont nul ne connaît le nom. Et le soir dans l'entrepont, Quand la nuit se fait complice Les Européens se glissent Cherchant des coussins profonds. Et le soir au port falot Les lanternes qui se voilent Semblent de petites étoiles Qui scintillent tour à tour. Et parfois dans leur extase Au gré de la fumée grise, Le fumeur se représente Ses plus beaux rêves d'amour. Puisqu'on dit que le bonheur N'existe pas sur la terre, Puisse l'aile de nos chimères Un jour nous porter ailleurs Au paradis enchanteur Plein de merveilleux mensonges Où dans l'ivresse de mes songes J'ai laissé prendre mon coeur. http://www.passionprovence.org/archives/2013/05/06/27095169.html Bon comme je suis un ancien de la Coloniale, je dirais que je suis en plein dedans avec ma morphine qui est un dérivé de l'opium ...mais j'en ai quand même marre de la morphine , mais pas le choix ... enfin bref ! Faut resté positif ! optique Oddball dans de l'or pour les braves ! j'essai de recoller au sujet via le cinéma US . Bon c'était ma minute Hors sujet ! Sinon pour recoller au sujet , le défilé militaire aux USA ...Ce n'est pas leur culture ... Si ils aiment bien les retours des Troupes lors de l'issu de gros événement , comme à la première guerre du Golfe , dernier truc qui me revient en tête , à New-York avec les confettis ( il y avait eu la Légion qui y avait participé) . Rien d'ironique dans mon message , c'est une vision qui leur est propre et qui s'entend du point de vue culturel and co . 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 9 février 2018 Share Posté(e) le 9 février 2018 (modifié) @Gibbs le Cajun http://webdocs.ecpad.fr/daguet/video/la-parade-a-new-york---41 Je n'ai pas trouvé de vidéos sur ce défilé, 24 000 militaires selon le général Derville, c'est énorme pour ce genre d’évènement Modifié le 9 février 2018 par collectionneur 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 9 février 2018 Share Posté(e) le 9 février 2018 il y a 3 minutes, collectionneur a dit : @Gibbs le Cajun http://webdocs.ecpad.fr/daguet/video/la-parade-a-new-york---41 Super bien fait ce web document , je l'avais déjà revu plusieurs fois déjà* , les témoignages sont excellent ! . effectivement ils en parlent de la parade à New York sur le web document. Merci ! * bon ben je vais allé me refaire une séance de visionnage de ce web document sur Daguet . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 10 février 2018 Share Posté(e) le 10 février 2018 Quote USA: la numéro 3 du ministère de la Justice démissionne Washington - La numéro trois du ministère américain de la Justice a démissionné à peine neuf mois après sa prise de fonctions, a annoncé vendredi le ministère dans un communiqué. "Je sais qu'elle manquera à la totalité du ministère mais nous la félicitons tous pour cette nouvelle opportunité dans le secteur privé", a commenté le ministre Jeff Sessions, cité dans le communiqué qui a confirmé une information du New York Times (NYT). Elle va partir "dans les semaines qui viennent", a indiqué le ministère. Le départ de Rachel Brand, spécialiste en droit de la sécurité nationale, intervient au moment où les attaques du président Donald Trump et de parlementaires républicains ne cessent de s'accroître contre le procureur spécial Robert Mueller, chargé d'enquêter sur l'ingérence russe dans la campagne présidentielle de 2016 et sur une éventuelle collusion américano-russe pour favoriser le milliardaire. La juriste de 44 ans se trouvait en position d'avoir à éventuellement superviser cette enquête si le numéro deux du ministère de la Justice Rod Rosenstein était limogé par M. Trump. Des élus démocrates craignent en effet que le président prenne cette décision depuis qu'il a déclassifié la semaine dernière une note rédigée par un parlementaire républicain très critique envers la police fédérale (FBI) et le ministère de la Justice au sujet de l'affaire russe. Nommée en 2003 par le président républicain George W. Bush au ministère de la Justice, Rachel Brand en était partie quatre ans plus tard pour un emploi dans le privé. Diplômée de Harvard, elle avait auparavant travaillé à la Cour suprême pour le juge Anthony Kennedy. En 2012, sur décision du président démocrate Barack Obama, elle entre au Comité de supervision des libertés civiles et de la vie privée qui est chargé d'examiner la légalité des programmes de surveillance de l'Agence américaine de sécurité nationale (NSA). Elle a regagné le ministère de la Justice en mai, choisie cette fois par M. Trump, pour occuper le poste de numéro trois travaillant directement avec M. Rosenstein et le ministre Jeff Sessions, qui s'est récusé de la supervision de l'enquête sur l'affaire russe en raison de sa propre implication. Agacé par cette enquête, M. Trump caresserait l'idée selon des médias de limoger M. Rosenstein qui est le seul, en tant que superviseur, à pouvoir renvoyer M. Mueller. Le président a déjà limogé en mai le patron du FBI James Comey à cause de ces investigations. En cas de renvoi de M. Rosenstein, Mme Brand se serait retrouvée dans la ligne de mire de la Maison Blanche en étant chargée de la supervision de l'enquête du moins le temps qu'un remplaçant à M. Rosenstein soit nommé et approuvé par le Congrès. (©AFP / 10 février 2018 00h26) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
true_cricket Posté(e) le 10 février 2018 Share Posté(e) le 10 février 2018 Le 06/02/2018 à 18:32, Wallaby a dit : - Il y a une variété d'explications possibles, d'après https://www.urbandictionary.com/define.php?term=Cracker Le mot vient de la guerre civile américaine des années 1860. Pendant cette période, la Floride, qui était un État neutre, approvisionnait de nombreux États du Sud. Ces fournitures ont été livrées en calèche. Les conducteurs utilisaient un fouet pour conduire ces chevaux, et les esclaves les appelaient ainsi "Crackers" lorsqu'ils craquaient leurs fouets. Quand les esclaves entendirent le craquement du fouet, ils dirent "Crackers' a comin", et ainsi les Floridiens reçurent ce surnom. (Contraceptive SpongeBob November 26, 2005) Terme utilisé dans le sud-est des États-Unis pour décrire les pauvres ordures blanches (poor white trash), dérivé de la signification écossaise du verbe "craquer" qui, en ce sens, dénote l'ostentation. "Je devrais expliquer à votre seigneurie ce que l'on entend par craquelins; un nom qu'ils ont obtenu en étant de grands vantards; ils sont un groupe de canailles sans loi aux frontières de la Virginie, du Maryland, des Carolines et de la Géorgie, qui changent souvent de domicile." 1766, G. Cochrane (W. Elliott April 05, 2006) Un cracker n'est pas un propriétaire d'esclave ou un superviseur qui claque (craque) un fouet. "Cracker" est antérieur à l'époque des plantations et désigne quelqu'un qui aurait été trop pauvre pour posséder des esclaves. Ce sont des agriculteurs qui n'ont cultivé que des produits concassés (craqués), comme le blé et le maïs. "Cracker" était un terme péjoratif appliqué à ces pauvres fermiers d'avant la Révolution Américaine. (Ditch November 18, 2005) Vient de la mouture ou du "craquage" (concassage) du maïs pour l'utiliser dans la semoule de maïs plutôt que d'acheter de la semoule ou de la farine dans un magasin. (b'cuz I can July 04, 2010) Dans mes tablettes, j'ai la Floride qui rejoint le camp de la sécession le 4 février 1861, soit un peu moins d'un mois après la première sécession. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 10 février 2018 Share Posté(e) le 10 février 2018 (modifié) La Florie à eu un rôle négligeable dans la guerre vu sa faible population de 150 000 habitants mais à envoyait tout de même 15 000 hommes combattre pour le Sud : https://fr.wikipedia.org/wiki/Floride_durant_la_guerre_de_Sécession Modifié le 14 février 2018 par collectionneur 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rogue0 Posté(e) le 13 février 2018 Share Posté(e) le 13 février 2018 Je ne savais pas trop où le mettre : Aujourd'hui, il y avait le rapport annuel sur l'état des menaces pesant sur les USA selon les SR américains (avec audition parlementaire à la clé). https://www.dni.gov/files/documents/Newsroom/Testimonies/2018-ATA---Unclassified-SSCI.pdf Comme toujours, ce document respire la joie et l'optimisme . Compte rendu de l'audition par le NY Times.https://www.nytimes.com/2018/02/13/us/politics/russia-sees-midterm-elections-as-chance-to-sow-fresh-discord-intelligence-chiefs-warn.html?rref=homepage&module=Ribbon&version=origin®ion=Header&action=click&contentCollection=Home Page&pgtype=article Révélation vidéo des auditions: https://www.lawfareblog.com/live-stream-senate-select-committee-intelligence-hearing-world-wide-threats Audition bonus sur la "sécurisation" des élections Pas trop le temps de rentrer dans le détail, mais je relève 3 points clés: Etrangement, les 5 grands patrons des renseignements US (coordinateur des SR, + les directeurs FBI, NSA, CIA, DIA, je ne compte pas la NGIA) ont été unanimes* à affirmer : Les ops d'influence russes existent, continuent toujours et ont déjà commencé pour les midterms 2018. Je suis agréablement surpris, car même les hommes nommés par Trump (et surtout Pompeo) ont partagé sans réserve ce constat. Juste derrière dans leur échelle des menaces, le cyberespionnage , et la crainte d'infiltration des infrastructures US par des firmes étrangères. là, ce sont les firmes de télécom chinoises qui sont pointées du doigt. La menace nord-coréenne est reléguée avec la contrebande des opiacés... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) le 13 février 2018 Share Posté(e) le 13 février 2018 il y a 14 minutes, rogue0 a dit : Je suis agréablement surpris, car même les hommes nommés par Trump (et surtout Pompeo) ont partagé sans réserve ce constat. En fait, comme Trump a arrêté de lire et que Fox & F(r)iends ne peut pas tout traiter, ils sont relativement libres. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Tancrède Posté(e) le 14 février 2018 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 14 février 2018 Le niveau de cette menace russe a quand même étrangement été amplifié bien au-delà du crédible: les médias en redemandent à l'infini, et continuent de pousser cette trame narrative qui aurait bouleversé les élections précédentes, avec un refus entêté de réellement dimensionner le phénomène: des clips youtube (et autres) à peine regardés, des chiffres de flux sur des comptes facebook censés impressionner (ils se gardent bien de parler de la fréquentation effective, juste des flux de référencements parce que ça chiffre en millions et donc sonne fort), des scans de quelques listes électorales transformés dans le récit en "attaques" (sans réellement dire en quoi consisterait une "attaque"), et des artifices sans fin pour "démontrer" le soi-disant impact des révélations de Comey sur les choix des électeurs (et ça fait franchement peine à voir quand on réfléchit deux secondes à ces "raisonnements"). A côté de ça, les préoccupations dominantes des électeurs, leur haine des deux candidats, la rancoeur à l'égard du système politique, et le matraquage constant pendant près de deux ans de campagne et pré-campagne, à coups de plusieurs milliards de dollars dépensés (au moins 5 des deux campagnes, des candidats de primaires, et des organisations associées) et de milliards supplémentaires de couverture médiatique permanente et "gratuite" (façon de parler, mais disons qu'il n'y a pas eu achat d'espace en cash), non, ça ne compte pas par rapport aux quelques dizaines de millions que les Russes ont foutu dans une opération d'asticotage sans réel plan, improvisée au fur et à mesure, accompagnée de quelques centaines de milliers de dollars en achats de pubs inefficaces (pas/peu vues). Tout au plus le trollage des principaux médias sociaux (bots, fermes à trolls) a t-il pu jouer un rôle marginal en soufflant sur les braises d'une polarisation de toute façon déjà absolument dominante sur les plates-formes numériques. Mais cette idée d'une Russie pouvant influer significativement sur le vote des Américains semble désormais trop tentante pour l'élite washingtonienne: après tout, les Russes n'ont jamais cessé de sentir le souffre depuis 91 (c'est devenu trop pavlovien, et les Russes eux-mêmes ont trop besoin de se sentir "rivaux" de la superpuissance.... Et trop envie de se méfier des ricains), et c'est pas comme si Daesh constituait un épouvantail suffisamment impressionnant pour justifier les dépenses et lois qu'on veut voir passer. 4 3 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Arland Posté(e) le 14 février 2018 Share Posté(e) le 14 février 2018 Il y a 12 heures, rogue0 a dit : Etrangement, les 5 grands patrons des renseignements US (coordinateur des SR, + les directeurs FBI, NSA, CIA, DIA, je ne compte pas la NGIA) ont été unanimes* à affirmer : Les ops d'influence russes existent, continuent toujours et ont déjà commencé pour les midterms 2018. Je suis agréablement surpris, car même les hommes nommés par Trump (et surtout Pompeo) ont partagé sans réserve ce constat. Juste derrière dans leur échelle des menaces, le cyberespionnage , et la crainte d'infiltration des infrastructures US par des firmes étrangères. là, ce sont les firmes de télécom chinoises qui sont pointées du doigt. Ah c'est bien ils reprochent aux autres ce qu'ils font depuis plus de 50 ans. Va falloir qu'ils apprennent à vivre avec ça à présent. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 14 février 2018 Share Posté(e) le 14 février 2018 http://nationalinterest.org/feature/the-deep-state-has-long-abused-its-power-24493 (13 février 2018) L'utilisation des vastes capacités de la communauté du renseignement pour recueillir des renseignements sur les campagnes politiques de l'opposition ne devrait avoir lieu que dans les circonstances les plus rares, justifiées par des preuves solides d'activités de trahison justifiées par le tribunal FISA. Le soi-disant dossier Steele, un produit de la recherche sur l'opposition financée par Clinton et recueillie à Londres par le biais de communications non sécurisées avec des contacts anonymes en Russie, ne répond pas à cette norme de preuve. Si, comme il est allégué mais non prouvé, le FBI s'est appuyé sur ce document non vérifié pour justifier un mandat FISA pour recueillir des renseignements sur les responsables de la campagne Trump, alors l'administration Obama a franchi une ligne éthique importante, mais probablement pas légale. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 14 février 2018 Share Posté(e) le 14 février 2018 Fusillade près du siège de la NSA : http://www.europe1.fr/international/etats-unis-fusillade-signalee-pres-du-siege-de-la-nsa-dans-le-maryland-3574472 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 14 février 2018 Share Posté(e) le 14 février 2018 Voilà qui n'est certes pas une nouvelle on en a déjà parlé plusieurs fois sur ce fil, d'ailleurs l'étude date de 2014, mais enfin il y a une jolie image qui en dit bien plus que beaucoup de texte sur l'évolution de la polarisation politique aux Etats-Unis, de manière radicale parmi les plus politiquement engagés, mais sensible même parmi ceux qui le sont moins. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kelkin Posté(e) le 14 février 2018 Share Posté(e) le 14 février 2018 Il y a 5 heures, Wallaby a dit : http://nationalinterest.org/feature/the-deep-state-has-long-abused-its-power-24493 (13 février 2018) L'utilisation des vastes capacités de la communauté du renseignement pour recueillir des renseignements sur les campagnes politiques de l'opposition ne devrait avoir lieu que dans les circonstances les plus rares, justifiées par des preuves solides d'activités de trahison justifiées par le tribunal FISA. Le soi-disant dossier Steele, un produit de la recherche sur l'opposition financée par Clinton et recueillie à Londres par le biais de communications non sécurisées avec des contacts anonymes en Russie, ne répond pas à cette norme de preuve. Si, comme il est allégué mais non prouvé, le FBI s'est appuyé sur ce document non vérifié pour justifier un mandat FISA pour recueillir des renseignements sur les responsables de la campagne Trump, alors l'administration Obama a franchi une ligne éthique importante, mais probablement pas légale. Ils me font marrer avec leur meme du "deep state". C'est grâce au coup d'état manqué en Turquie que ce terme est devenu populaire, car il correspondait à un phénomène historique concernant ce pays. Quand l'expression a été saisie par les commentateurs américains, c'est devenu une manière de remettre en question l'indépendance des agences gouvernementales et la séparation des pouvoirs. Un juge casse un décret Trumpien comme étant inconstitutionnel ? Deep state! Pour le coup du prétendu scandal FISA, non, le dossier Steele n'a pas fait parti des éléments retenus pour autoriser l'écoute de quelqu'un qui, lors de la délivrance de l'autorisation, avait de toute façon déjà quitté l'équipe de campagne de Trump. The National Interest est donc là à colporter une nouvelle doublement fausse. 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tancrède Posté(e) le 14 février 2018 Share Posté(e) le 14 février 2018 3 hours ago, Alexis said: Voilà qui n'est certes pas une nouvelle on en a déjà parlé plusieurs fois sur ce fil, d'ailleurs l'étude date de 2014, mais enfin il y a une jolie image qui en dit bien plus que beaucoup de texte sur l'évolution de la polarisation politique aux Etats-Unis, de manière radicale parmi les plus politiquement engagés, mais sensible même parmi ceux qui le sont moins. Et j'ose à peine imaginer ce que les 3 dernières années ont pu faire sur ces statistiques.... Mais j'apporterais quelques réserves, cependant: les "politically engaged "ne représentent pas la majorité, très loin de là, et ces sondages ont par ailleurs, de par leurs méthodes de quantification, une forte tendance à minimiser les "intermédiaires", indépendants à penchant prononcé ou "pur" indépendants, ainsi que les "chapelles" composant les grands ensembles, et qui sont plus compatibles entre elles: le phénomène libertarien, dans toutes ses (très nombreuses) itérations (de gauche et de droite), tout comme le phénomène autoritaire (de gauche et de droite), en expansion, sont ainsi "fondus dans la masse" et mésestimés. Enfin, et je crois que je l'avais signalé il y a très longtemps sur ce fil (l'année dernière, donc a long long time ago in a galaxy far far away), mais plusieurs personnes s'étaient fendues d'articles et de quelques études relativisant beaucoup la façon de présenter cette polarisation et le niveau d'extrêmisme tel que définis par ces catégories et "valeurs": - on voit un tout autre tableau quand on utilise une nomenclature de politiques spécifiques (couverture santé universelle, gun control....), où l'on voit notamment que sur les sujets économiques, une partie de la gauche n'est pas du tout à gauche, et une bonne partie de la droite n'est pas du tout anti-Etat - la quantification qui permet de définir les grands profils politiques d'électeurs dans ces définitions est souvent bancale et impropre à présenter les variantes régionales (suprêmement importantes pour les élections à la Chambre, à la présidence et, évidemment, aux parlements locaux), et plus encore la réalité des tempéraments et tropismes: ainsi, en essayant de "graduer" les valeurs et l'intensité avec laquelle des électeurs s'y rattachent, ces "comptabilités" foutraient un "gun nuts" (évalué à 3 -le maximum- sur l'échelle d'intensité) qui souhaite ardemment une couverture santé universelle (évaluée à 3 aussi.... De l'autre côté de la barrière) comme un modéré présent dans le centre des graphiques que tu montres.... Ce qui, dans la réalité, n'en fait pas un centriste du tout, et, suivant la situation (la petite dernière a un pépin de santé, ou une fusillade fait craindre que DraculObama vienne prendre les flingues), quelqu'un qui pourrait voter radicalement Sanders ou Trump. Je suis le premier à évoquer la polarisation aux USA, particulièrement sur quelques sujets culturels qui dominent les divisions et débats, et qui s'est avec le temps inscrite dans la géographie physique (zones d'habitation) et la société (milieux fréquentés, mariages....), voire, dans des temps de crispation comme aujourd'hui, s'insinue dans tous les aspects de la vie (sport, divertissement, consommation, marques....), mais quantifier sa réalité et définir les vraies incompatibilités politiques quand le fait de voter entre concrètement dans le champ de vision, est une autre paire de manche.... Les candidatures Sanders, Trump et, dans une moindre mesure, Johnson, ont montré cela en 2016: la nature de l'offre politique compte aussi beaucoup dans notre façon de voir ce paysage politico-culturel, et des candidatures (et plus encore des plates-formes et potentiellement des partis ou groupements) pouvant changer même un peu les lignes de batailles établies et incrustées entre les deux monolithes traditionnels, feraient éclater ces pseudo-chiffrages qui n'ont qu'une pertinence très partielle qui ne devrait pas obscurcir notre vision. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Arland Posté(e) le 15 février 2018 Share Posté(e) le 15 février 2018 (modifié) Une autre fusillade dans un Lycée en Floride cette fois-ci et qui aurai fait 17 morts. Citation Parkland (Etats-Unis) (AFP) - Un jeune homme armé d'un fusil semi-automatique a fait 17 morts le jour de la Saint-Valentin dans un lycée du sud-est de la Floride avant d'être interpellé, semant la panique parmi les élèves retranchés dans leurs classes ou tentant de s'échapper. Cette fusillade, l'une des pires aux Etats-Unis depuis 25 ans, s'est produite mercredi peu avant la fin des cours dans le lycée Marjory Stoneman Douglas de Parkland. Le suspect, identifié comme étant Nikolaus Cruz, un ancien élève de 19 ans renvoyé de l'établissement pour des raisons disciplinaires, a été arrêté plus tard dans la localité proche de Coral Springs, selon le shérif du comté de Broward, Scott Israel. Il a indiqué que l'arme utilisée était un fusil d'assaut semi-automatique AR-15, qu'il est très facile de se procurer dans la majeure partie des Etats-Unis. Né en septembre 1998, Nikolaus Cruz avait posté sur les réseaux sociaux des messages "très alarmants", a ajouté le shérif, insistant sur la nécessité de signaler ce type de publications. Le proviseur de l'établissement, Robert Runcie, et la police avaient auparavant indiqué qu'il y avait de "nombreux morts" et plusieurs blessés. Des coups de feu très rapprochés, caractéristique de ce fusil d'assaut, sont entendus sur une vidéo amateur apparemment tournée dans une salle de classe et diffusée par la chaîne CBS. Des élèves sont prostrés sous leur bureau ou allongés en silence, tandis qu'on entend des hurlements au loin. "Nous n'avons reçu aucun avertissement, aucune indication", a précisé Robert Runcie. "A notre connaissance, aucune menace n'avait été proférée". - Cachés dans les placards - Des témoins, dont plusieurs arboraient des coeurs et autres décorations de la Saint-Valentin --qu'enseignants et élèves célèbrent traditionnellement ensemble dans les écoles américaines--, ont rapporté s'être cachés jusque dans les placards lorsque les coups de feu ont retenti peu avant la fin des cours, à 14H30. "C'était la fin de la journée scolaire et l'alarme incendie s'est déclenchée. Nous avons commencé à évacuer. On pensait que c'était un exercice et après avoir fait 15, 20 pas hors de la classe on était à terre, et on se cachait dans le placard", a raconté une enseignante, Melissa Falkowski, sur CNN. Une élève, Peri Harris, a elle raconté à la chaîne CBS Miami que "toute sa classe" avait trouvé refuge dans "un tout petit placard". "Ce qui s'est passé, c'est que l'alarme à incendie a sonné et nous avons tous pensé que c'était un exercice parce qu'on avait déjà eu une fausse alerte incendie alors on ne l'a pas pris au sérieux, et tout à coup on a entendu des coups de feu de l'autre côté de l'école", a confié un autre élève sur la chaîne locale WSVN 7 News. Les images des télévisions locales ont montré plusieurs dizaines de personnes sortant de l'école souvent les mains en l'air ou croisées derrière la tête. Des ambulances, des camions de pompiers ainsi qu'une longue cohorte de voitures de police et plusieurs véhicules blindés d'un groupe d'intervention étaient stationnés près du lycée. Des victimes ont été évacués par hélicoptère. L'établissement comptait près de 3.000 élèves en 2014. - Déjà 18 fusillades - Le président Donald Trump "a été informé de la fusillade dans une école en Floride", a indiqué la Maison Blanche. "Nous surveillons la situation", a-t-elle précisé. "Aucun enfant, enseignant ou quiconque, ne devrait jamais se sentir en danger dans une école américaine", a tweeté le président. Le drame survenu mercredi est le dernier d'une longue série de fusillades ayant ensanglanté l'Amérique ces dernières années. A Las Vegas en octobre 2017, 58 personnes ont péri sous les balles d'un seul tireur et 49 personnes avaient été abattues dans un club gay d'Orlando en 2016. Et les fusillades sont particulièrement récurrentes dans les écoles américaines: il y en a déjà eu 18 en 2018 en comptant celle du lycée Marjory Stoneman Douglas. Depuis le massacre de Sandy Hook, une école primaire du Connecticut où furent abattus il y a cinq ans 20 enfants âgés de 6 et 7 ans, les procédures d'alerte et les exercices d'entraînement se sont multipliés dans les établissements scolaires américains. L'objectif de ces formations est d'apprendre aux écoliers comment réagir face à un individu tirant à l'aveugle dans le but de faire un maximum de victimes. "Il s'agit de la 291e fusillade en milieu scolaire depuis le début de 2013", souligne Shannon Watts, fondatrice de "Moms Demand Action For Gun Sense In America", une organisation qui lutte contre la prolifération des armes à feu. https://www.francetvinfo.fr/monde/usa/floride-une-fusillade-fait-de-nombreux-morts-dans-un-lycee_2610892.html Modifié le 15 février 2018 par Arland 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 15 février 2018 Share Posté(e) le 15 février 2018 (modifié) il y a 59 minutes, Arland a dit : "Nous n'avons reçu aucun avertissement, aucune indication", a précisé Robert Runcie. "A notre connaissance, aucune menace n'avait été proférée". C'est pas bien de mentir monsieur Robert Runcie. http://www.miamiherald.com/news/local/education/article200094039.html A teacher at the school told the Miami Herald that Cruz, 19, had been identified as a potential threat to fellow students in the past. Math teacher Jim Gard says he believes the school administration had sent out an email warning teachers that Cruz had made threats against other teenagers in the past. Another student interviewed on the scene by Channel 7 said the student had guns at home. “We were told last year that he wasn’t allowed on campus with a backpack on him,” said Gard, who said Cruz had been in his class last year. “There were problems with him last year threatening students, and I guess he was asked to leave campus.” Bref, la NRA ouin ouin, les armes ouin ouin, Donald Trump ouin ouin, les hackers russes, l'alt-right, etc. Traduction : l'université (edit : ou le lycée plutôt? vu l'emploi du terme highschool) aurait du porter plainte et obtenir un restraining order, le mec n'aurait JAMAIS pu passer un background check et aurait perdu toutes ses armes à feu automatiquement. Neeeeext. => Modifié le 15 février 2018 par Patrick Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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